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 Does that make me crazy ?

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Lydia Kim
Lydia Kim
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MessageSujet: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeSam 20 Sep - 23:39

Does that make me crazy ?    
feat Alessandro

C'était fou... comme il était facile de vivre des mois durant en pensant qu'une idée était la bonne. Ou même pas seulement une idée, mais tout un concept. Un mode de vie, un quotidien, des rituels et même les fondations d'une relation. Et comment, un petit rien, infime à l'échelle d'une vie sûrement, pouvait faire entrer une question dans un esprit. Une question pertinente bien sûre, assez pour s'engrainer dans le tréfonds de votre âme. Et soudainement, c'est votre monde tout entier que vous observez avec un point d'interrogation. Et si ? Un simple "et si" entêtait Lydia depuis plusieurs jours maintenant. Une question dont elle avait bien trop honte pour oser la formuler à voix haute et qui pourtant existait bel et bien. Elle était de plus en plus présente, au réveil, au coucher seule dans ses draps pendant que Roman allait dormir dans sa chambre à lui et qu'elle restait là, dans la pénombre à réfléchir. Elle se souvenait de ce sourire, ce regard posé sur elle qui criait une envie de l'embrasser. De ce contact quand il l'avait aidé à monter hors du ravin et surtout, de son insistance, son assurance quand il disait qu'elle lui plaisait. Que le fait qu'elle soit fiancé ne la dérangeait pas. Le revoir le soir du bal n'avait fait que la troubler d'avantage. Il avait ce pouvoir attractif sur elle. Elle cherchait à lutter, car c'était la bonne chose à faire elle le savait et pourtant... Plus elle y cherchait des raisons et moins elle en trouvait en dehors du sens moral.

Roman avait su se montrer infecte au bal, arrivant plus qu'en retard et en charmante compagnie, faisant glousser cette femme sensuelle qu'elle ne connaissait pas tandis que Roman la regardait à peine. Sa remarque sur sa robe glissé à son oreille était bien éloigné des mots qu'Alessandro avait pu lui dire. Et elle était rentrée seule, fatiguée de le voir danser et rire avec d'autres. Une fois encore cette semaine, elle avait tentée de se rapprocher de son fiancé. Elle n'avait pas le moindre effet sur lui, c'était si flagrant que cela l'a dégoutait d'elle-même. Elle n'était pas attirante, elle le laissait de marbre. Elle même ne se trouvait plus rien en face de la glace. Un sentiment d'incertitude, d'inconfort s'était encré en elle et raisonnait constamment, jusque dans le moindre de ses sourires. Assez pour qu'elle aille passer une semaine chez Yano qui n'avait pas supporter de voir dans quel état il l'avait retrouvé après leurs mois sans s'être vu. Elle aimait son meilleur ami mais ça n'y faisait rien, il ne pouvait changer ce sentiment profond de froideur que Roman avait répandue en elle. Ou qu'il avait révélé, peut-être était-ce juste le vrai elle.
Mais le regard d'Alessandro changeait cela. L'intensité avec laquelle il assurait être attiré par elle la perturbait. Il brisait ce sentiment profond d'incertitude, envoyant un espoir, tremblant et fragile, mais malgré tout bien réel. C'était fou et irréel qu'un homme aussi charmant que lui puisse être attiré par elle. Oh elle n'était pas innocente au point de penser que ses idées s'arrêtaient à un simple baiser si son attirance envers elle était réelle. Elle doutait de pouvoir lui correspondre et pourtant le soir allongé dans ses draps elle laissait ses pensées la mener vers lui. Juste revoir son torse, les lèvres, ses yeux... Il devait en avoir fait fondre cent avant elle et en il pouvait en avoir encore des milliers. Mais elle ne pouvait plus nier face à elle même la curiosité qu'il avait créer dans sa poitrine. Il représentait cet espoir fou que peut-être, elle n'était pas froide, peut-être que... qu'elle pouvait se débrouiller mieux avec Roman si elle apprenait sur les hommes. Oui cette pensée était correcte, acceptable... elle voulait améliorer son couple et n'y arrivait plus seule.

Ce soir là Roman ne rentrerait pas avant tard dans la nuit, c'était le cas chaque samedi soir. La jeune femme comptait juste s'occuper seule au début. Seule dans sa chambre, elle ouvrit une partie de son armoire qu'elle n'avait plus ouverte depuis des mois. Son fiancé avait fait le trie il y avait des semaines déjà, elle l'avait empêcher de peu de jeter ses affaires, promettant de ne plus porter ses tenues trop aguicheuses. Délicatement, Lydia enfila sa petite tenue blanche, légère et en dentelle. Le short unie suivit, dévoilant ses longues jambes. Jouant devant la glace timidement, elle se maquilla discrètement, osant un trait d'eye-liner sur sa paupière, du mascara pour ses cils, une petite touche de rose fraiche sur ses lèvres. Continuant son jeu face au miroir, elle prit une potion confectionnée au boulot, juste quelques gorgées, de quoi éclaircir ses cheveux jusqu'au matin. Elle regarda alors son reflet, mais malgré l'image renvoyée, elle ne se sentait toujours pas entière. Son propre reflet lui renvoyait sa question silencieuse, mettant au grand jour son incertitude la plus profonde. La jeune chercheuse s'observa, de longues minutes durant, angoissée. Puis elle se décida, impulsivement, ne pouvait plus supporter de rester dans cette chambre. Attrapant son sac à main, elle descendit en bas, glissa ses pieds dans une paire de chaussure et sortie. Elle évita de croiser qui que ce soit et se rendit au plus vite à la destination qu'elle visait.

Elle frappa rapidement à la porte, craignant de se dégonfler au dernier moment. Le doute l'envahissait avant même qu'il n'ouvre la porte. Il s'amplifia quand elle le vit mais aussi contradictoire que cela pouvait l'être, elle se surprit à espérer aussi. « Alessandro... bonsoir. Je... je venais.. pour savoir si la plante avait bien soigné ton patient... » Elle leva les yeux vers lui, inquiète de ce qu'il penserait de la voir un soir à cette heure à sa porte. Trainée ? Immorale ? Elle se doutait bien que son excuse ne tenait pas la route une seconde, elle craignait son jugement. Peut-être serait-il déjà accompagné et qu'elle dérangerait ? Ou que tout ce qu'il avait dit était juste pour le plaisir de draguer sans aucune intension de quoi que ce soit... Pourquoi était-elle venue déjà ? Il était si beau qu'elle ne comprenait même plus comment elle avait pu espérer quoi que ce soit, c'était complètement dingue.

   
Tenue 01 _ 02 _ 03 _ 04
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 22 Sep - 19:56


L’appartement lui semblait vide désormais. C’était comme si toute vie l’avait quitté pour redevenir cette garçonnière qu’elle l’avait toujours été. Il y avait encore quelques jours, Cilian arpentait les pièces de celles-ci, suivit de près par son animal de compagnie, tout aussi luron que son maître. Un duo qui avait fait vivre cette maison, au plus grand damne de sa petite protégée, qui s’était souvent réfugiée dans son arbre à chat. Pourtant, après quelques jours de silence, elle commençait à se languir de son ami à quatre pattes et il n’était pas rare qu’il l’entende couiner en faisant le tour des pièces de la maison, à la recherche de son ami, en vain. Cela le troublait de la voir ainsi errer l’âme en peine, seule et abandonnée. C’était comme si elle lui renvoyait l’image de ce que son cœur éprouvait depuis la décision qu’ils avaient prise. C’était déroutant. Il parvenait à l’oublier au travail, mais entre les murs de cette demeure, chaque endroit était emprunt de la présence passée de son frère adoptif. Un frère qui ne l’était plus à ses yeux, et ce depuis des années. Cette affection fraternelle n’était plus. Elle était remplacée par ce désir envoutant et incontrôlable qui l’avait fait craquer tant de fois. Une folie dans laquelle il s’était laissé entrainer en ayant conscience des incidences. Il fallait qu’ils s’éloignent et c’était ce qu’ils avaient convenu, en mettant un terme à leur cohabitation. Il n’y avait rien d’étrange à cela. Depuis le début, il avait été convenu que Cilian resterait jusqu’à être prêt à vivre avec Aemélia. C’était devenu une nécessité qu’il aille vivre avec elle. C’était trop dangereux.

Il s’habituait donc à vivre seul de nouveau, se remettant tant bien que mal de cette nuit qu’ils avaient partagée ensemble. Une nuit luxuriante qu’il devait effacer de sa mémoire, y mettre une croix dessus pour avancer. Sagement assis sur son canapé, il fixait le vide, une bouteille de bière à la main. Une habitude qu’il avait depuis ses années au lycée après les cours ou après le boulot depuis qu’il était étudiant. Les journées défilaient et quand bien même celles-ci se trouvaient calmes pour la plupart d’entre elles, les cas des patients qu’il suivait parvenaient à lui changer les idées et ne point songer à ce poids qu’il ressentait dans sa poitrine. Il savourait donc le goût alcoolisé de sa bière, l’esprit un peu absent alors que Jezebel essayait de grimper sur son arbre à chat, encore bien trop frêle pour y arriver du premier coup. Il la regardait avec douceur et affection, la trouvant si adorable et attachante. C’est en se levant pour venir l’aider qu’il entendit un bruit sourd contre la porte. Il semblait avoir un invité et n’avait nulle idée de la personne en question. C’est donc sans même penser une seconde qu’il se trouvait dans une tenue inappropriée pour accueillir quelqu’un, qui vint ouvrir sa porte, se retrouvant face à une jeune femme, qu’il reconnut immédiatement. Son expression intriguée disparut pour faire place à un sourire charmeur et taquin. Quelle surprise, se lança-t-il alors qu’il la détaillait avec attention. Il laissa son regard la découvrir avec intérêt, la trouvant rayonnante et magnifique dans cet ensemble qui mettait merveilleusement ses formes en valeur. Elle était sexy et il la déshabillait du regard. Il écoutait néanmoins ce qu’elle disait.

Elle semblait fébrile, indécise et surtout intimidée. Elle était là pour lui demander si la plante qu’ils avaient cherchée ensemble avait bien soigné son patient. Il s’agissait bien évidemment d’une excuse et il en avait parfaitement conscience. Le regard intimidé qu’elle lui tendit le fit sourire alors qu’il l’invitait à rentrer. « Bonsoir Lydia ! Quelle surprise ! Je ne m’attendais pas à te voir, mais j’en suis particulièrement ravi et honoré. » Il avait murmuré cela dans une voix plus suave, un sourire joueur aux lèvres puisqu’il pouvait sentir le regard fébrile de la jeune femme glisser sur son torse nu. Il savait qu’il lui faisait de l’effet et cela lui conférait un air particulièrement sexy et érotique. « Rentre, je t’en prie. » Dit-il en venant s’éloigner de la porte, la laissant rentrer chez lui. Il n’avait pas besoin de lui où aller, elle connaissait déjà la maison. Il referma la porte derrière elle alors qu’il la voyait se diriger timidement vers le salon. « Tu veux boire quelque chose ? » Ajouta-t-il en se rapprochant d’elle pour se glisser derrière elle, murmurant contre son oreille de façon très suave : « Tu es magnifique ce soir. Cette tenue te va à merveille. Je te mentirais si je ne t’avouais pas, que tu me donnes très chaud. » Il souffla cela dans un susurre à peine audible, le ton taquin alors qu’il venait sourire contre son oreille, conscient de la fébrilité dans laquelle il la mettait. Il vint rire doucement en voyant son expression quelque peu confuse alors qu’il s’éloignait délicatement d’elle. « Installe-toi, je vais te préparer ce que tu veux. Je reviens. »

Il ponctua ses mots dans un clin d’œil en la laissant pénétrer jusqu’au salon, rejoindre le canapé qu’il avait quitté. Il s’occupa pour sa part de lui préparer un cocktail alcoolisé, mais léger, persuadé qu’elle l’apprécierait. Il vint donc la rejoindre dans un sourire enjôleur et amusé alors qu’il prenait place à ses côtés. « C’est un cocktail avec de l’alcool, mais très doux. Il ne monte pas à la tête, rassure-toi. Je suis vraiment ravi de te voir, Lydia… et pour ta question, si c’était vraiment ce que tu voulais savoir en venant ici… Oui, le patient s’en est sorti. Tout va bien pour lui. Il a eu énormément de chance. » Il lui fit un clin d’œil alors qu’il l’invitait à gouter le cocktail alors qu’il venait boire une gorgée de sa bière, avant d’ajouter dans un ton doux et curieux. « Était-ce la seule chose dont tu voulais me parler ? » Il laissa son regard profond la détailler avec sérieux et intérêt, transperçant sa chair alors qu’il admirait ses traits. Elle était magnifique, sans doute une des plus belles femmes qu’il avait rencontrées et il était attiré par elle. Il la trouvait bien trop plaisante pour ne pas la désirer, tout simplement.

TENUE : 01.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeMer 1 Oct - 0:07

L'expression d'Alessandro s'était immédiatement modifié à sa vue. D'intrigué, il avait très rapidement affiché un beau sourire de ravissement. Le visage de Lydia aussi réagit à a vue mais pour une raison bien différente. Tout en parlant, elle avait lentement baissés ses yeux sur son torse nu... pour en fait se rendre compte que sa nouvelle connaissance ne portait pas de pantalon. Certes il avait un boxer mais tout de même ! IL en aurai fallu dix fois moins pour enflammer ses joues, là le résultat était assuré. IL ne s'attendait pas à la voir mais il en était ravi et honoré. Elle n'était pas sûre de voir où était l'honneur mais sa tenue la perturbait de trop pour en venir à discuter de ses choix de mots. Il débordait d'assurance, un air au visage... qu'elle ne voyait pas comment qualifier en dehors de "coquin". Le type de regard dont elle n'avait pas l'habitude d'être le centre d'attention, la cible et encore moins s'y précipiter malgré tout. Pourtant elle ne recula pas quand il l'invita à entrer, hésitant une seconde mais s'avança quand même, pousser par une raison qu'elle n'arrivait pas bien à s'expliquait. Elle avait peur, elle était aussi très intimidé, par Alessandro, son assurance et ce qu'il représentait pour elle, la maturité, le sexy, l'érotisme, tout ce qui lui était inconnu. Il était une porte d'entrée possible vers ce monde mais elle ignorait comment aborder ça, comme assumer aussi son ignorance.

L'homme lui proposa à boire en refermant la porte, elle hocha la tête : n'importe quoi lui irait. La jeune femme s'avançait vers le salon, pas très assurée, quand il la rattrapa, se glissant derrière elle pour venir lui murmurer qu'elle était magnifique ce soir. Sa tenue lui allait à merveille et il aurait menti s'il n'avait pas avoué qu'elle lui donnait très chaud. Comme une inondation dans ses pensées et son corps, Lydia réagit immédiatement à la remarque, rougissant plus encore. Elle essaya de dissimuler le tremblement dans ses mains, pure réaction émotionnel face aux chocs que provoquait en elle ses mots, sa voix suave, la proximité de son corps si peu vêtu... Un frisson la parcouru, ainsi qu'une étrange chaleur, complètement inconnue, mais qui lui permettait de faire un rapprochement entre ce qu'elle ressentait et ce qu'Alessandro venait de confesser. Il rit à son expression, la rendant soudainement plus confuse et elle lui jeta un petit regard désapprobateur, ne comprenant pas pourquoi i en venait à rire... Est-ce qu'il disait tout ça en sachant qu'il allait la perturber ? Était-elle un sujet d'amusement, de blague pour lui ? Elle n'en avait pas envie. Perturbée cette contrariété qui se mêlait à une étrange fébrilité, elle s'assit sur le canapé, posant au pied son sac et sa baguette, pour venir coincer ses mains entre ses genoux, timidement.
Elle profita du fait qu'il était un peu en retrait et occupé avec son cocktail pour essayer de redevenir maitresse d'elle-même. Presque peine perdue, la tenue de son "ami" la perturbait bien trop, même son rythme cardiaque restait affolé.

Le répit fut de courte durée et Alessandro revient, répondant à sa question concernant le patient, sans se prier de lui faire comprendre qu'il doutait clairement que ce soit la réelle raison de sa venue. Il lui avait servit un cocktail léger, alcoolisé mais qui ne devrait normalement pas lui monter à la tête. C'était rassurant, il n'essayait pas de la souler, ça donnait des indications sur le genre d'homme qu'il était. Pourtant ses clins d'oeil et ses sourires déréglaient les battements de son cœur. Il vit claire dans le comportement de Lydia, brisant immédiatement la glace pour en venir aux faits : il lui demanda si c'était la seule chose dont elle voulait lui parler. Lydia lui jeta un premier coup d’œil, oui il semblait exactement savoir pourquoi elle était là. Elle avait l’impression que son regard le criait, comme s'il avait gagné quelque chose de part le simple fait qu'elle était là avec une excuse nulle. La sorcière but une gorgée du cocktail pour gagner du temps.

Lydia attrapa délicatement une mèche de cheveux pour la remettre derrière son oreille, relevant timidement son visage vers Alessandro, l'observant deux secondes. Il était si beau, si masculin et si assuré, tellement différent d'elle... Elle craignait son jugement autant que de le décevoir ou n'être en réalité qu'une source d'amusement. Elle doutait profondément et baissa à nouveau les yeux vers son verre. « Et bien... Je... Tu es vraiment un bel homme et... » Lydia se mordait la lèvre, faisait tourner son verre entre ses doigts, agitée craignant le rejet, la moquerie ou n'importe qu'elle réaction qui la placerait dans la même situation qu'avec Roman : une femme non désirable, inlassablement. « et je me demandais, si... si tu me trouves bien ce soir et que tu veux bien.. et que mon fiancé ne te dérange pas, si... tu sais ? » Non elle n'osait pas le dire, ni même relever les yeux vers lui pour voir sa réaction. Elle n'avait pas cette prétention d'être désirable ou attirante, elle ne se ressentait pas le moindre pouvoir proche de cela. Elle demandait à Alessandro une faveur et craignait tant qu'il la lui refuse, son cœur se serrait douloureusement dans sa poitrine, bien plus stressé qu'il n'aurait dû l'être.
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeJeu 2 Oct - 22:04


Il ne s’était nullement attendu à la venue de la jeune femme. À vrai dire, c’était une surprise totale, mais qui le rendait satisfait. Après tout, la jeune femme avait toujours refusé ses avances, bien qu’innocentes. Il n’avait jamais cherché à la pousser réellement dans ses derniers retranchements. Il avait bien évidemment cerné un manque de confiance en elle, ce qui l’avait particulièrement intrigué. C’était étrange. Du moins à ses yeux. Comment une femme aussi ravissante, belle et séduisante pouvait-elle douter autant de ses charmes ? C’était si déstabilisant en soit. Cependant, cela le satisfaisait de l’avoir face à lui, attendri et à la fois amusé par sa réserve, sa timidité, son trouble. Il aimait la taquiner, il ne pouvait le nier. Cela faisait partie de son caractère. Il avait toujours eu ce petit mesquin, taquin, qui pouvait à la fois attendrir et exaspéré. Cela se faisait d’autant plus remarqué tant son caractère se trouvait particulièrement insolant et orgueilleux parfois. Il l’était, il ne pouvait le nier et il l’assumait totalement. Autant dire qu’Alessandro avait l’habitude de déstabiliser les gens et cela était résolument source d’amusement pour lui. Cependant, il n’y avait jamais nulle méchanceté dans ses taquineries, ni même ses actions. Il avait appris le respect et était un homme digne en dépit de l’image quelque peu dépravée qu’il pouvait donner de lui.

De ce fait, il savait que son assurance et son arrogance avaient son effet sur la demoiselle. Il pouvait voir les rougeurs teinter les joues si délicates de la Coréenne. De plus, les frissons qui semblaient parcourir sa peau la trahissaient. Il la troublait et cela lui plaisait, car cela signifiait qu’il la tentait, bien plus qu’elle ne voulait le faire paraitre. Son rire ne transmettait que le plaisir que cela lui procurait. Après tout, il n’avait jamais caché le fait qu’elle lui plaisait et elle le savait. Un rire qui avait été mal perçut par la jeune femme, ce qui lui déplaisait bien entendu, mais il aurait tout le temps de lui faire comprendre qu’il n’y avait nulle vile pensée de sa part. Il était un homme sincère et bien qu’il aime séduire, il ne mentait pas aux femmes qu’il courtisait. Notamment une demoiselle qui se trouvait établie et fiancée à un homme. Bien que le risque fût exaltant, il ne pouvait le nier non plus. Il s’était donc attelé à lui servir un petit cocktail faiblement alcoolisé. Son but n’était nullement de l’alcooliser, juste lui donner les moyens de se mettre à l’aise, bien qu’il ne pouvait nier être curieux. Il était évident qu’il y avait une raison autre que celle qu’elle avançait et sa franchise lui fit poser cette question de façon non équivoque. Sa voix se voulait douce bien que son regard la détaillait avec sérieux et intérêt.

Lydia vint lui jeter un coup d’œil furtif comme si elle prenait conscience qu’il avait vu clair dans son jeu. Pas totalement, à vrai dire. Il avait parfaitement conscience qu’il y avait une raison à sa présence, mais la nature de celle-ci lui échappait. Certes, il lui plaisait, il le savait, l’avait vu assez réagir et rougir sous son regard. Il en avait toujours ri avec elle, jouant la carte de la provocation plus qu’autre chose. Cependant ce soir, elle semblait prendre ses remarques bien plus à cœur et s’en méfier. Cela l’intriguait énormément. Il l’observait avec attention, son regard brillant. Il était plus qu’intéressé par ce qu’elle cachait, cela lui conférait un air si sérieux qui mettait en avant ses atouts féminins. Des formes résolument magnifiques qu’il identifiait clairement sous sa tenue. Elle s’était faite belle pour quelqu’un, dans l’ambition de plaire. C’était une évidence. Était-ce pour lui ? Est-ce que cela justifiait sa présence chez lui ? Il en avait envie. C’était flatteur et aucun homme digne de ce nom ne pourrait rester de marbre face à cela. À part s’il se trouvait amoureux d’une autre ou de l’autre bord. Ce qu’il était soit dit en passant, mais à la différence, c’est qu’il savait que cette attirance pour un autre n’avait pas de sens et qu’elle devait rester sagement là où elle se trouvait : c'est-à-dire au fond de son cœur. De plus, les courbes sensuelles et féminines l’attiraient cruellement et inconsciemment il aimait beaucoup la fragilité et la timidité de la Coréenne. D’autant plus d’éléments qui ne pouvaient que certifiait qu’il était sérieux avec elle. Elle lui plaisait vraiment.

La jeune femme releva timidement son visage de nouveau vers le sien pour l’observer avant de le détourner de nouveau. Elle avait du mal à trouver ses mots. Elle le complimenta sur sa beauté, le qualifiant de très bel homme. Elle se mordit la lèvre, confuse. Alessandro le percevait bien et ne la quittait pas du regard, la scruta avec attention et sérieux. Elle se demandait que s’il la trouvait bien ce soir et qu’il le voulait bien — enfin si le fait qu’elle soit fiancée ne le dérangeait pas —, s’il voulait ce qu’il savait. Elle était clairement en train de lui demander s’il avait envie d’elle. Il avait été clair à ce propos à de nombreuses reprises, mais il était évident qu’elle se trouvait toute gênée, anxieuse. Cette demande le troublait, l’enchantait vraiment. C’était en soit une victoire, mais il ne le voyait pas ainsi. Du moins à cet instant. Il avait la sensation qu’il y avait quelque chose de cassé derrière cette timidité. Une vraie crainte d’être rejetée. Ce qu’il ne comptait absolument pas faire. Il n’allait pas louper cette chance de la toucher et la découvrir comme il en avait envie. Il vint boire une gorgée de son verre avant de venir le déposer sur la table basse. Dans un geste lent et doux, il était venu faire de même avec le verre que tenait la jeune femme. Il la détaillait avec attention, faisant attention à la moindre réaction de rejet de la jeune femme. Il laissa ses phalanges frôler la chair de sa main alors qu’il venait s’asseoir près du bord sur canapé pour pouvoir se mettre plus ou moins à son niveau. De son autre main libre, il laissa celle-ci frôler le menton de la jeune femme pour l’intimer à relever son regard. Tous ses gestes se voulaient doux et précautionneux pour ne pas l’effrayer.

Alessandro vint murmurer son prénom dans un ton doux, mais sérieux. « Lydia… Je crois avoir été assez clair à ce propos. Tu me plais et j’ai envie de toi. » Il lui avouait spontanément son désir sans gêne, ni possibilité de nier cette évidence. « Tu sembles avoir du mal à le croire, mais c’est vraiment le cas. Toi aussi, tu en as envie, n’est-ce pas ? Je te plais. Je le sens… Du moins je le sais. » Son regard la transperçait avec sérieux et intensité, douceur. Il vint lui sourire doucement. « J’en suis flatté. Alors oui, j’ai envie de toi et si tu en as envie, quand tu te sentiras prête, je serai résolument enchanté de pouvoir te faire l’amour. » Ses derniers mots s’étaient faits dans un murmure alors qu’il s’était rapproché d’elle en glissant sa main sur sa joue pour rejoindre sa nuque, l’arrière de son crâne. « On peut y aller calmement et si jamais… je suis trop entreprenant, dis-le-moi. L’idéal est surtout que tu te sentes bien. Je ne veux te forcer à rien. Je prends volontiers ce que tu me donneras. » Il laissait son regard la détaillait avec attention. Il laissa son souffle se mêler au sien alors qu’il venait pencher la tête sur le côté. « Si tu en as envie, alors laisse-toi porter, aie confiance en moi. Je ne te veux que du bien. » Il ne mentait pas, ni ne jouait les parfaits princes charmants. Elle semblait trop timide et gênée pour tenir les rênes alors il le ferait à sa place, le temps qu’elle s’habitue à cela.

Dans un faible frôlement, il laissa ses commissures frôler celles de la Coréenne avec douceur et légèreté. Un frôlement qu’il vint réitérer en faisant attention aux réactions de la jeune femme. Il l’embrassait délicatement, mais avec sensualité, sa main glissant délicieusement dans sa chevelure. Son autre menotte quant à elle glissait de façon très lente et sensuelle sur le bras de la jeune femme, satisfait des légers frissons que ceux-ci initiaient dans la chair de la demoiselle. Il voulait juste qu’elle se sente bien et est envié de lui, comme lui avait envie d’elle.

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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 5 Oct - 19:13

Sous le regard d'Alessandro, Lydia se sentait différente ; elle se sentait plus jolie tant son désir et son intérêt pour elle était évident et assumés, affichés clairement sans le moindre doute, la moindre honte, comme une simple évidence. Elle pouvait comprendre qu'à travers ces yeux à lui, elle était peut-être belle. Il la regardai avec tant d'attention qu'elle se sentait espérer, espérer être forte et capable de faire ce qu'elle venait de demander, espérer avoir plus de valeur dans les yeux d'un autre que dans ceux de son fiancé ou à travers son propre regard. Remplit de sérieux, il la regardait, elle sentait son regard posé sur elle. Cherchait-il à la comprendre ? Elle-même avec un peu peur d'analyser ce qu'elle faisait. Alessandro était une tentation, de part son physique, son charisme, mais c'était plus que ça. Plus même que ses manières, son action d'aller vers elle pour la séduire, si cela avait était que cela, sûrement ne serait-elle pas encore vierge à ce jour.
Il y avait en lui quelque chose de rassurant, une forme de sérieux derrière toutes les approches séductrices, de sincérité dans ses sentiments. Et pourtant, rien en lui ne lui demander s'impliquer, de mettre son cœur en jeux. Elle pouvait le garder, cacher en sécurité, sans compte à rendre, fiancée et inaccessible, comme une armure. Roman mettait déjà assez son cœur à rude épreuve, assez pour qu'elle est peur de l'ouvrir à qui que ce soit. Alessandro ne semblait rien vouloir exiger de tout cela, le rendant absolument rassurent, tant son comportement que ses gestes. Quand à ses attentes, elle pouvait garder son cœur en sécurité, elle ne misait là que la dernière parcelle de son orgueil, de l'espoir qu'elle plaçait en sa féminité. Une féminité mise à mal par l'homme avec qui elle vivait, qui se refusait à la toucher, qui la laissait plonger jour après jours dans cette sensation de ne pas plaire, ce dégout progressif entre leur contact... c'était comme s'il prenait le soin de lui enfoncer lui même la tête sous l'eau parfois.

Avec Alessandro, elle prenait le paris. Elle plaçait ses derniers espoirs en lui, en l'attirance qu'il disait avoir pour elle, elle essayait de croire sa propre incapacité à ne pas le trouver bel homme et attractif.... Bien qu'elle n'était pas sûre du sens réel de ce mot, des effets qu'il impliquer. Quelle force devaient avoir ses sensations et son attirance pour correspondre à la situation qu'elle demandait ? Elle n'était pas sûre.  Elle connaissait sa décision et pouvait justifier de façon très sensée sa présence et... Son esprit, son cœur et son corps étaient confus, perdus. Doucement, Alessandro lui retira son verre pour le poser sur la table, s'asseyant sur le repose coude du canapé, la surplombant légèrement. Ses doigts caressèrent une de ses mains, doucement, sans aller plus loin. Elle laissa ses yeux sur cette scène, assez étrange, perturbante dans des mots qu'elle ne connaissait pas. Empli de douceur, d'un geste léger, l'autre main d'Alessandro vient relever son visage, son regard rencontrant le sien. La jeune femme ne pouvait pas se cacher ni masquer le trouble qu'il y avait en elle. Une crainte profonde de ne pas lui convenir, de ne pas lui plaire, qu'il ne découvre quoi que ce soit qui ne lui plairait finalement pas. Et pourtant il la troublait, physiquement, de par ses gestes, leur douceur et le sérieux qu'il avait. Il l'abordait avec précaution pour ne pas l'effrayer, elle le sentait bien, mais sa peur était-elle qu'elle n'avait pas vraiment de quoi essayer de le persuader n'avoir aucune crainte. Ça aurait été un mensonge bien au delà de ses capacités.

Il lui offrait son entière attention, comme s'il percevait son besoin d'être rassurer, qu'il avait pleinement prit conscience de son état de fragilité à part entière. Sans gêne, clamant l'évidence, il affirma qu'il avait envie d'elle, qu'elle lui plaisait, même si elle avait du mal à y croire. Elle en avait envie aussi n'est-ce pas ? Cette question était paralysante, Lydia l'observait, n'osant pas l'avouer, n'étant pas sûre que ce qu'elle ressentait était au niveau de ce qu'il qualifiait d'envie ou désir. Mais il le sentais, le savais qu'elle lui plaisait. Elle restait plongé dans son regard, buvant ses paroles. Qu'il l'affirme pour elle rendait les choses plus simple, plus facile. Il en était flatté et quand elle serait prête, il serait enchanté de pouvoir lui faire l'amour. Immédiatement, Lydia rougit à ses mots, décrochant son regard du sien. Si c'était bien ce qu'elle avait voulu dire, l'entendre dire cela à voix haute avait fait bondir son coeur ! Mais son mouvement de fuite se stoppa net au toucher de sa main qui glissait sur sa joue vers sa nuque. Terriblement immobile, elle ne savait que faire. Exemple même de patiente, l'homme continuait de parler, d'une voix posée, rassurante. Ils pouvaient y aller doucement, s'il été trop entreprenant, elle pouvait le lui dire. Il voulait qu'elle se sente bien, il prendrait ce qu'elle pouvait lui donner, sans la forcer. Le soucis était peut-être là, elle voulait donner mais ignorait ce dont elle était capable. Pourtant, elle hocha très légèrement la tête à ses mots, rassurée par son attention et ses mots. Timidement, elle cessa de baisser les yeux pour revenir lui jeter un coup d'œil, il n'avait eut de cesse de l'observer tout ce temps durant. Il s'approcha doucement, lui murmurant tout près de se laisser aller, de lui faire confiance. Les poings de Lydia se refermèrent sur ses genoux tandis qu'il approchait.
La brunette ne reculait pas et pourtant, tout son corps s'était crispé d'avance, de la même façon qu'elle se crispait à l'approche de Roman, attendant l'instant où elle se sentait tellement indésirable à ses yeux. Le souffle chaud d'Alessandro contre sa peau se rapprocha, il était si proche qu'il se mêlait au sien. Tendue dans l'attente, elle pensa à fermer les yeux alors qu'il se rapprochait, mais attendait en redoutant son contact.

Ce fut d'abord un touché très léger, tellement qu'elle se tendit plus encore, essayant de s'armer face à ce qui l'attendait. Ses lèvres immobile avait bien conscient de ce contact, doux, sans intrusion. Se rendant bien compte qu'il n'y avait rien là de terrible à redouter, les traits de son visage se détendit, quand bien même son corps restait droit et immobile. A nouveau ses lèvres frôlèrent les siennes et elle se concentra dessus, le cœur soudainement agité, comme si elle ne réalisait que maintenant ce qui arrivait. Les poils sur sa chaire s'hérissèrent doucement face à cette main qui caressait son bras. Elle n'avait pas de contrôle sur ce frisson qu'il créait contre son bras et qui n'avait rien de désagréable. Ses doigts qui avaient une emprise sur sa nuque, logés dans ses cheveux, avait aussi un effet bien étrange. Cela aurait pu être oppressant, comme lorsque Roman le faisait et qu'elle avait l'impression d'être en danger, privée de liberté. Il la guidait, caressant sa chevelure, lui montrant en douceur sa présence. Tant et si bien que Lydia décrispa sa mâchoire, osant inspirer son odeur, la gardant en mémoire. Avec une timidité infinie, elle émis à son tour à léger mouvement de lèvres, joignant un instant le mouvement d'Alessandro, tentant d'y réagir. Mais immédiatement, la peur de mal faire l'envie et elle se rétracta, rentrant son menton vers la poitrine, reculant à peine de quelques millimètres mais assez pour briser le contact. La voix tremblante, toujours sensible aux doigts d'Alessandro sur son bras, elle murmura « ... Je te fais confiance et... et c'est agréable, j'aime bien... » pourtant sa crainte était là, quelque chose ne devait bel et bien pas aller puisque son fiancé refusait d'aller plus loin. « Mais je suis comme ça, pas douée, tu le vois bien, je... » Elle hésitait à finir sa phrase, prit son courage à deux mains pour jeter un coup d'oeil à Alessandro « ... ne suis pas sûre de m'y prendre correctement... je ne veux pas te décevoir. » Ca plus grande crainte était sûrement là, si dure à avouer qu'elle parlait aussi bas que possible. Pourtant elle avait tellement pas envie de devoir partir, elle voulait encore sentir ses lèvres contre les siennes. Il arrivait à faire s'emballer son cœur si facilement qu'elle se sentait bien plus en vie en quelques secondes, un frôlement. « Est-ce égoïste de te demander de continuer quand même ? »
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeSam 11 Oct - 19:11


Il était évident que Lydia se trouvait résolument tendue. Son corps et son expression ne pouvaient nullement nier cette évidence. Alessandro en avait conscience, mais cela ne l’empêchait pas pour autant de venir vers elle. Il en avait envie et il savait qu’elle en avait envie, elle ne pouvait le nier. Ses expressions, ses rougeurs qui parsemaient ses joues lui indiquaient qu’il lui plaisait. Il fallait juste qu’elle se laisse aller, qu’elle se libère des chaines de sa raison et laisse son corps s’exprimer. Il sentait qu’il y avait quelque chose qui l’angoissait, lui faisait perdre ses moyens. Lui de son côté, il s’efforçait de la mettre en confiance. Il avait des gestes doux et prévenants avec elle. Il respectait ce qu’elle était, la gêne et la rigueur dans laquelle elle se trouvait. Il ne voulait pas la brusquer, il comptait y aller patiemment, calmement. Il lui avait donné la possibilité de le repousser, de lui faire signe si elle le trouvait entreprenant. Après tout, il désirait qu’elle se sente bien, qu’elle laisse ses angoisses s’enfuir loin de son esprit pour se laisser porter par le bien-être d’être touché par un homme. Elle avait tellement l’air de douter de ses charmes. Pourtant, n’importe quel homme de sa connaissance n’aurait pu le considérer comme une femme nullement désirable. Au contraire,  elle faisait partie des plus belles femmes qu’il lui avait été donné de rencontrer. Lydia, n’avait rien à envier à Silvia, la mère de sa fille. Sa beauté était pure et à la fois sensuelle, presque érotique parfois et il était évident qu’il ne voyait aucun inconvénient à en faire une de ses amantes.

Cette idée le séduisait résolument tandis qu’il laissait ses commissures frôler celles de la Coréenne avec douceur, légèreté. Un faible contact qui semblait rendre tendue la jeune femme, mais qu’il vint réitérer avec la même douceur. Il prenait soin d’y aller doucement. Ses doigts glissaient de façon nonchalante sur son avant-bras alors qu’il laissait ses lèvres frôler de nouveau leurs comparses. Des frôlements délicats, tout en sensualité. Il la sentait réceptif, moins sur sa réserve et il pouvait sentir sa chair se hérisser sous le faible contact de ses doigts. Elle se détendait à ses actions et il fallut quelques étreintes délicates pour qu’il la sente agir à son tour. Elle amorça un mouvement, sa mâchoire se décrispa pour venir l’embrasser. Un contact bref qu’elle vint rompre, reculant immédiatement en se repliant sur elle-même. Elle se fermait à lui telle une huitre en instaurant une légère frontière physique entre leurs deux chairs. Elle lui murmurait qu’elle lui faisait confiance et que ce baiser était agréable. Elle aimait bien. Elle était terriblement agitée, troublée, tandis qu’elle ajoutait qu’elle était comme ça, pas douée. Il le voyait bien. Non, il avait du mal à visualiser où elle souhaitait en venir. Elle manquait juste de confiance en elle et se trouvait bien trop rigide pour laisser ses sens et ses actions guidaient ses gestes. Sa raison et son manque de confiance en elle biaisaient l’image qu’elle avait de la femme en elle. Elle n’était pas sûre de s’y prendre correctement et ne désirait pas le décevoir. Cette pensée le touchait alors qu’il venait lui offrir un doux sourire. Elle lui demanda si c’était égoïste de lui demander de continuer quand même. Cette idée le fit sourire plus franchement alors qu’il venait murmurer tout près d’elle.

« Il n’y a rien de mal à être égoïste parfois. De plus, je le suis tout autant dans ce cas-là. » Il continuait de la regardait avec douceur et intérêt, laissant sa main glisser contre sa nuque alors qu’il l’invitait silencieusement à revenir contre ses lèvres, mêler leurs souffles l’un à l’autre. Il murmura son prénom en laissant son autre menotte caresser le bras de la Coréenne avec la même tendresse qu’auparavant. « Lydia… Ne te pose pas de questions. Laisse-toi aller, je suis sûr que je ne serai pas déçu. Tant que tu le veux également, tout ne peut que bien se passer. Je prendrai les rênes ce soir, tu n’as qu’à profiter, te calquer sur mes actions et y répondre si tu en as envie. Mais n’hésite pas à m’arrêter si ce n’est pas le cas. » Il laissait son pouce caresser la naissance de sa mâchoire alors qu’il laissait ses phalanges glisser sur sa peau délicate. Il avait murmuré cela dans un ton sensuel. Il laissa son souffle se mêler au sien. Il s’approcha de nouveau de ses lèvres avec lenteur, conduisant dans un geste doux ses lèvres aux siennes. Il vint les effleurer de nouveau, laissant les siennes caresser avec délicatesse celles si rosées de la jeune femme. Un simple frôlement qu’il vint réitérer de nouveau en laissant cette fois-ci ses lèvres s’imposer plus profondément sur celles de Lydia, les découvrant enfin. Leur douceur était exquise, plaisante et il se satisfaisait de leur saveur. Il l’embrassait donc délicatement dans de douces étreintes, laissant ses commissures cajoler ses comparses.

Son pouce glissait contre sa joue alors qu’il laissait doucement sa langue frôler la peau rosée de cette bouche, à la fois douce et coquine. Il ne faisait aucun mouvement inapproprié, se calquant sur les réactions de la jeune femme. Il se trouvait particulièrement attentif tel un amant prévenant et doux. Ce qu’il comptait bien entendu devenir, par vanité et ambition. Il fallait juste qu’elle se laisse aller, prenne confiance en et en son désir en tant que femme. Il s’agissait qu’une question de temps pour qu’il y parvienne. Il était de nature patiente et obtenait souvent ce qu’il désirait. Il pouvait sentir le souffle de Lydia devenir plus brûlant au contact de ses lèvres. Sa peau frissonnait délicieusement sous le contact de ses phalanges qui remontaient son bras. Elle était sous son charme. C’était une évidence et il l’était tout autant. Il murmurait son prénom entre chaque baiser pour la mettre dans une ambiance plus intime et sensuelle. Il désirait éveiller ses sens et il y parvenait délicatement, tout en finesse. Il mettait en pratique ses talents de don Juan et amant et faisait de son mieux pour la tenter, tout simplement.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 13 Oct - 0:06

C'était loin d'être une situation facile pour Lydia. Ni facile, ni familière, ni morale. La jeune femme était stressée, bien plus que lors d'un examen scolaire ou qu'au moment de tester un nouveau sort. C'était là une situation plus complexe que cela. Elle avait vingt-cinq ans et malgré le fait qu'elle soit fiancée, aucun homme jusque-là ne l'avait vraiment touché. Avant son fiancé, elle restait assez innocente, ayant ce merveilleux don, ou bien cette chance, d'être tombée uniquement sur des garçons qui comprenaient quand elle leur demandait d'attendre quand il en venait à frôler autre chose que son visage ou ses bras. Elle avait voulu attendre, d'être vraiment amoureuse pour pouvoir franchir cette étape. Jamais elle n'aurait pensé à l'époque que Roman lui refuserait cela. À présent, cette idée avait fui son esprit, tant et si bien qu'elle n'arrivait plus à concevoir d'éveiller du désir. Il était parvenu à l'acculé dans cette situation terrible où elle avait perdu toute confiance en elle. Assez pour qu'elle en vienne à faire ce pas en avant, avancer d'elle-même vers Alessandro. Auprès de lui, elle parvenait à espérer, espérer pouvoir être différente. C'était bien éloigné de l'éducation coréenne qu'elle avait reçue, mais c'était ce dont elle avait sûrement besoin.

Elle craignait terriblement que son comportement ne fasse fuir Alessandro, ne lui coupe toute envie. Et pourtant, elle restait trop impressionnée, trop peu assurée pour oser quoi que ce soit. Elle ne savait que faire, n'y connaissait rien en dehors de quelques films moldus vus. La jeune femme savait qu'elle devait peut-être aussi prévenir Alessandro de son ignorance... du fait qu'elle n'avait jamais rien fait de tel avec un homme. Mais il avait un regard si intense qu'elle n'osait. Elle savait que ce détail pouvait plaire à certains hommes tout comme en refroidir certains, surtout à son âge, cela pouvait paraitre étrange, elle avait entendu plus d'une blague à ce sujet. Cela était déjà en soit bien assez complexe, assez pour qu'elle chasse entièrement Roman de ses idées, qu'elle ne réfléchisse pas au fait qu'elle commettait là une tromperie sans détour, claire et préméditée. Lui-même était loin d'être exclusif, elle le savait bien. À cet instant, Alessandro lui répondit qu'il n'y avait aucun mal à être égoïste parfois. Lui-même l'était tout autant dans le cas présent. C'était une simple phrase et pourtant elle aida Lydia à se sentir rassurée, il ne la blâmait pas de chercher à être égoïste et sans le savoir il la délivrait un peu plus du poids de tromper son fiancé.

Elle releva ses yeux vers lui. Il restait penché vers elle, sans jamais la quitter des yeux, avec tant de douceur qu'elle ne pouvait que se sentir en confiance. Il n'y avait pas en lui ces airs masculins presque prédateurs qui avaient tendance à affoler la jeune femme, la paniquant sur ce qui était attendu d'elle et ce qu'il pouvait se passer dans la tête de l'autre. Non, il se comportait différemment, ses regards étaient flatteurs, mais il ne franchissait aucune limite paniquant pour elle. Pas même sa main contre sa nuque, qu'il l'intimait à s'approcher et revenir contre ses lèvres ne la braquait, malgré l'évident contrôle que cela pouvait lui offrir sur elle. Sans aucun doute il l'envoutait et avait déjà un certain pouvoir de séduction sur elle, déstabilisant, mais certain. Si proche à nouveau, bien plus que ne l'aurait dû l'être une connaissance et un autre que son fiancé, son souffle entrelacé au sien était pourtant agréable, chaud et tentateur.
Toujours plein d'attentions, il caressa son bras délicatement. Il murmura son prénom, lui dit que ne pas se poser de question. Elle n'avait qu'à se laisser aller et il était sûr qu'il ne serait pas déçu. Lydia ne savait justement pas ce que "se laisser" aller voulait dire pour elle, à quoi cela la mènerait. Correspondrait-elle à ce qu'il aimait ? Que devait-elle faire pour lui plaire ? Et... Pas de question, c'était ce qu'il venait de dire, elle devait arrêter ces pensées ainsi. Mais si elle ne le faisait pas, elle n'avait que trop bien conscience de sa main qui caressait son bras, créant de petits frissons tout du long de son dos. Conscience également de la quasi totale nudité d'Alessandro, en simple boxer. Si proche que c'était profondément déstabilisant pour elle.  
Tant qu'elle le voudrait également tout ne pouvait que bien se passer. Le regard plongé dans le sien, Lydia l'écoutait, buvant ses paroles. Faiblement, intimidée par sa prestance si masculine, elle hocha la tête quand il lui dit qu'il prendrait les reines ce soir, elle n'avait qu'à profiter, se calquer sur ses actions et y répondre si elle avait envie. Elle ne devait pas hésiter à lui dire d'arrêter si ce n'était pas le cas. Sincèrement, "calquer sur ses actions" tout comme la partie concernant les possibles choses qu'elle pouvait ne pas avoir envie la laissait septique, nécessitant trop d'imagination face à sa non-expérience, mais elle se garda bien de le dire.

Le cœur de Lydia s'affola à nouveau quand il s'approche pour venir reprendre ses lèvres, mais cette fois, elle les lui offrit plus volontiers. Il la rendait curieuse, éveillait en elle une douce envie de le sentir l'embrasser encore. Elle aimait qu'il en ait envie et à son tour, elle l'embrassa, timidement, ses mains bien sagement posées sur ses propres genoux.
Il était sensuel, sa main caressant sa joue, l'autre toujours contre son bras agréablement, tout en douceur. Elle n'osait les lui rendre, trop intimidée par son corps presque nu, mais sa respiration changeant au cours de ce baiser. Ses lèvres avaient un goût qui lui plaisait bien, un mélange de l'odeur de sa peau et un peu de la bière qu'il venait de boire. Elle fut surprise, une seconde tout juste, au contact de sa langue, qui rompait avec le rythme du baiser précédent. La jeune Coréenne lui ouvrit ses lèvres, instinctivement, des souvenirs lui revenant d'une autre époque, qui n'était pas si lointain que cela, mais qui lui semblait pourtant être une tout autre elle. Une époque où embrasser était un plaisir, un plaisir qu'elle redécouvrait à son contact. Soufflant contre lui, Lydia répondit à son baiser, plus présente que les fois précédentes. Elle aimait ses lèvres les siens, l'échange de leurs odeurs et de leurs souffles. Sa nuque se fondit un peu plus en arrière, le visage tendit vers lui, s'offrant inconsciemment bien plus que quelques minutes auparavant. Elle avait quitté sa position de protection, ce menton rentré vers elle même était désormais tendu vers Alessandro. Toute tremblante, incapable de masquer son émotivité, elle prenait plaisir à être embrassée ainsi. À son tour, s'y risquant timidement, elle laissa sa langue venir faire sa connaissance, rejoindre la sienne, poussée par des souvenirs et son instinct.

Comme personne ne l'avait jamais fait auparavant, Alessandro murmurait son prénom entre chaque baiser. C'était tout à fait troublant et avait bien un effet sur la jeune femme. Cet homme si séduisant s'intéressait à elle, ça semblait finalement bien réel. Elle le pouvait le sentir dans ses murmures si sensuels qu'il lui dédiait complètement. Elle frémissait sous ses baisers et les caresses contre ses bras et son visage, jusqu'à ce qu'un léger soupire s'échappe de ses lèvres, incontrôlé, tant l'embrasser était délicieux. Elle ignorait ce qu'elle pouvait avoir de plus, ce qu'elle pouvait désirer de plus tant elle était déjà fébrile face à ses baisers.
Un instant, il s'éloigna. Elle ne savait pas s'il lui donnait le temps de respirer ou si c'était le son qui venait de s'échapper de ses lèvres qui l'avait fait réagir, mais sous son regard, elle rougit à nouveau. Elle ne chercha pas vraiment à l'affronter, détournant immédiatement le regard, jusqu'à le poser sur le canapé, car la vue de son corps était toute aussi troublante que ses yeux sombres remplis de douceur et de sensualité. Était-ce cela d'être désirée ? Elle.. était presque sûre de bien aimer cela. Et souhaitait pouvoir en remercier Alessandro Elle craignait tant de ne pas savoir comment s'y prendre, savoir quoi faire. Elle se rendait bien compte qu'il était sûrement ridicule de sa part de tant craindre de le toucher et pourtant elle n'osait s'y résoudre. Peut-être était-il trop sexy pour elle ? Pas de question, elle ne devait pas se poser trop de questions.
Lentement, Lydia bougea ses doigts de genoux. Mais au lieu d'aller vers lui, elle fit un choix plus simple à son sens. Elle referma les doigts contre le bas de son léger haut blanc immaculé. « Veux-tu que je... le retire ? » Sa voix tremblait de timidité, tout comme son regard était chargé d'interrogation quand elle le leva vers lui. Elle voulait bien faire, elle... voulait participer, dans sa limite de champs d'action elle souhaitait profondément lui plaire. Lydia voulait montrer sa gratitude à son égard, réussir à maintenir son intérêt, l'assurer du fait qu'elle voulait vraiment bien tout ce qui arrivait à cet instant, malgré son comportement peu assuré. Elle avait peur que sa question soit déplacée, qu'il n'en ait pas envie ou bien que le fait de poser la question soit nul, déplaisant... Elle souhaitait juste lui plaire autant qu'il lui plaisait, lui faire plaisir en espérant qu'une telle proposition lui plaise bel et bien.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeSam 18 Oct - 13:21


Alessandro désirait mettre en confiance la jeune femme. Il avait conscience qu’elle n’était pas habituée à ce genre d’action. Il ne savait rien de son expérience dans le domaine, mais cela ne l’intéressait pas vraiment. Du moins, à cet instant. Qu’elle ne soit naturellement frigide ou qu’elle le soit devenue, il y avait quelque chose en elle qui appelait à ce qu’on la délivre. C’était une sensation étrange, inexplicable, mais il y était sensible. De plus, Lydia lui plaisait, elle avait quelque chose dans le regard, dans son comportement qui le tentait inexorablement. Il avait envie de passer la nuit avec elle, la couvrir de cette sensualité qu’il aimait tant partagée avec les femmes. Jamais aucune de ses amantes ne s’était plainte de leur nuit passée dans ses bras et il en tirait une fierté particulière. Il avait envie qu’elle le devienne et n’en avait nulle honte. Elle lui plaisait réellement et il se plaisait à la charmer, la rendre fébrile à sa présence. Il la sentait réceptive, moins tendue alors qu’il la couvrait de gestes et de paroles sensuelles. Il l’invitait insidieusement à rejoindre cette danse avec lui, se laisser porter à son contact et s’enivrait de cette merveilleuse ambiance qui s’installait entre leurs deux échines. Elle se tendait délicatement vers lui, venait même répondre à ses baisers. C’était plaisant et captivant.

L’Américain la laissait faire, se lancer dans le baiser qu’elle lui volait à son tour. Il savourant le contact timide de cette langue s’immiscer entre ses commissures à la rencontre de la sienne. Ses doigts n’avaient de cesse de caresser sa peau avec sensualité et légèreté. Il profita de ce baiser, l’invitant par un sourire à poursuivre son action douce et sensuelle. Il se retira de son étreinte pour reprendre son souffle. Ni trop près, ni trop loin, il la laissait reprendre de ses émotions. Le but n’était pas de l’acculer. Elle devait profiter de la moindre de ses actions et le désirait. Il avait tout le temps devant lui. Elle pouvait se laisser aller à son rythme, reculait lorsqu’il avancerait trop vite pour elle. Il restait particulièrement attentif à ses réactions et la contemplait avec attrait. Elle était belle et séduisante. Sa réserve et timidité était attrayante, lui donnait un air particulièrement fragile. Cela lui donnait envie de la protéger, la guidait également. Il la regardait naturellement, son regard ne cacha nullement l’attirance qu’il avait pour elle. Il la voyait bouger, activer ses doigts qui étaient restés tout le long de ces baisers sur ses cuisses. Elle les mouvait lentement pour le refermer contre le bas de son haut blanc. Il la regarda faire intriguée, mais intéressé. Sa question le surprit même s'il n’en montrait rien. La voix de la Coréenne était tremblante, hésitante. Elle lui demandait s’il voulait qu’elle retire son haut. Son regard l’interrogeait du sien. Par ses mots, elle lui faisait part de son désir de participer même si elle se trouvait trop timide encore pour venir à lui.

C’était terriblement adorable et le sourire d’Alessandro se fit d’autant plus charmer tant il la trouvait magnifique. Les rougeurs de la jeune femme donnaient un charme particulier au visage de la jeune femme. Il lui lançait un regard profond et pétillant, terriblement charmé par sa proposition. « Avec plaisir, mais n’est-ce pas mieux si j’y participe également ? » Susurra-t-il avec douceur alors qu’il venait se rapprocher de ses lèvres. « Je t’aurai bien proposé de faire de même, mais je crois que j’ai une forte avance dans le domaine. » Une petite pique taquine et douce alors qu’il venait rire doucement contre ses lèvres, le regard complice. Il laissa ses lèvres retrouver la peau rosée et gonflée de ces délicates commissures. Il savourait la chaleur de celle-ci tandis qu’il laissait ses doigts rejoindre le dos des mains de Lydia. Il les frôla avec douceur et intérêt, venant glisser sous celle-ci pour toucher du bout des doigts sa peau frêle et délicate. Elle était douce et chaude, terriblement plaisante sous le contact de ses phalanges qui la découvrait pour la première fois. Tout en murmurant son prénom entre deux baisers, il laissa de nouveau sa langue s’immiscer entre ses lèvres à la rencontre de la sienne. Il se mêla avec volupté à cette dernière pour tenter de la déraidir d’autant plus. Il avait bien remarqué le frison qui l’avait parcouru à son action comme son léger affolement.

Il s’efforçait donc de lui donner les moyens de se laisser aller. Elle répondait doucement à ses baisers, encore timide, mais déterminé à participer également à cette aventure. Cela le ravivait, le rassurait également. Elle en avait envie, tout autant qu’il ne pouvait être attiré par elle. Il laissait donc ses phalanges glissaient sensuellement sur sa peau nue qu’il découvrait. Celles-ci parcouraient ses hanches, ses côtes avec délicatesse, bienveillante. Elle était particulièrement attrayante et désirable. Il sentait sa peau frémir sous les frôlements de la sienne. Le souffle de Lydia s’accélérait tout comme le sien. Ils remontaient ensemble, tout en lenteur et douceur le tissu de ce haut. Il frôla même le soutien-gorge de la jeune femme dans son action pour lui retirait son haut. Il l’aida à le faire, rompant ces baisers pour le lui retirer totalement, la découvrir presque buste nu sous ses yeux. Il se mordit doucement les lèvres en laissant son regard la découvrir. Il ne pouvait cacher l’attirance et le désir qu’il était en train d’éprouver pour elle. Elle était magnifique et son regard le lui disait. Il lui souriait résolument charmé par sa beauté, ne rompant pas ce contact alors qu’il laissait ses phalanges glisser sur ses bras avec sensualité. Il exerçait de doux mouvements sur sa chair alors qu’il susurrait contre ses lèvres.

« Tu es résolument magnifique, Lydia… » Il laissait son regard la contemplait avec attention alors qu’il laissait ses lèvres caresser sa joue dans de doux baisers. Il laissa sa barbe frôler sa peau avec sensualité alors qu’il guidait ses baisers contre sa mâchoire avec sensualité en murmurant son prénom. Du bout de ses doigts, il guida les mains de Lydia à rejoindre la peau de ses bras, l’invitant silencieusement à le toucher si elle le souhaitait. Ses gestes se trouvaient doux, mais nullement directifs. Il laissa sa bouche rejoindre son oreille pour l’embrasser, y susurrait son prénom. Ses menottes quant à elles glissèrent contre la taille de Lydia pour découvrir cette peau nue et pourtant chaude sous lui. Il souriait contre son oreille qu’il mordilla délicieusement, mais en douceur. Il était curieux de voir ses réactions.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 9 Nov - 13:50

Poser cette question lui avait demandé beaucoup de courage. C'était ouvrir la porte à un refus, comme une certaine personne savait si bien le faire. Avec tant d'art et de maitrise de la manipulation que chaque refus n'avait aucun sens pour elle, la jeune femme ne pouvait le relier à rien en particulier, ne pouvant que supposer les raisons. C'était bordé de craintes et d'un fragile espoir qu'elle lui posait cette question quand bien même il pouvait refuser, elle espérait sincèrement qu'il ne le ferait rien... même si ce qu'elle venait de proposait était tout autant source d'inquiétude que le refus lui. Elle ne s'était jamais dévêtue de la sorte devant un homme, sans doute Alessandro s'en rendait compte.

Heureusement, l'homme faisait preuve de confiance pour deux : il ne semblait pas prendre pour insulte ses craintes, au contraire, il semblait même plutôt heureux qu'elle soit venue à lui pour cela malgré ce "défaut", ses angoisses qu'elle avait. Et si elle ne se sentait pas attirante, par expérience auprès de Roman, le regard d'Alessandro, si profond, pénétrant et intéressé avait ce qu'il fallait pour la rassurer, la soulager. Elle comprit avant qu'il ne parle qu'il n'allait pas refuser.
Son visage pétilla de malice et en une simple phrase, il aida un peu la jeune femme à dédramatiser son geste, lui faire perdre de cette espèce d'effort qu'elle faisait pour essayer de participer, le transformant par ce sourire complice en lui demandant si ça ne serait pas mieux s’il participait également ? Elle l'observa, hochant légèrement la tête. Il l'impressionnait aussi peu vêtu, la situation tout entière avait de quoi l'intimider. Mais il semblait tellement ravi qu'elle s'en sentait flattée et cette proposition qu'il l'aide à retirer avait... quelque chose qu'elle avait du mal à déterminer... quelque chose d'émoustillant ? Elle ne pouvait dire si c'était l'idée seule ou sa façon de la susurrer en s'approchant, mais elle était sûre de bien aimer cela.

Taquin, il continua de dédramatiser la situation, mettant le doigt sur une des raisons qui aidait Lydia à rester un peu plus timide : il lui aurait bien proposé de faire de même, mais il avait une forte avance dans le domaine. À son rire, Lydia sourire timidement, murmurant un timide « Oui... ». Oui il avait de l'avance et elle ne savait pas trop quoi faire tant il l'impressionnait. Il était tellement sexy qu'elle doutait de faire le poids, elle savait chacun de ses propres gestes si maladroits tandis qu'il savait parfaitement quoi faire. Et pourtant il lui souriait avec complicité, si près de ses lèvres, l'envoutant complètement. Elle ne savait ce qu'il fallait faire, mais elle sentait l'emprise qu'il avait sur elle, une attraction qui lui était inconnue et a laquelle elle souhaitait se remettre entièrement. C'est avec plaisir qu'elle l'embrassa à nouveau, se laissant portée par cette sensation doucement enivrante de le sentir désireux de sa personne. Elle y répondait, délicatement, mais avec une douce envie qui montait, se laissant lentement prendre à ce petit jeu tendre, aux exigences muettes de réponses, rendant chaque intention qu'Alessandro portait à ses lèvres, s'appliquant. Elle fut surprise de sentir les mains d'Alessandro venir rejoindre ses mains et les emprisonner doucement sous les siennes, avant que ses doigts ne viennent effleurer ses hanches sous son vêtement. Un peu inquiète, elle se raidit avant de répondre à nouveau au baiser d'Alessandro qui s'était fait plus langoureux. Elle était partagée entre son inquiétude et cette envie de fondre à son contact et de le laisser faire tout ce qu'il voudrait, par confiance en lui, sentant combien il était désireux de lui faire plaisir. L'attention qu'il lui portait la rassurait, passait au-delà de son inquiétude face à l'inconnue de la situation.

Sa peau se parcourut de légers frissons tandis qu'il faisait lentement remonter le vêtement le long de ses côtes. Elle pouvait sentir ses doigts, découvrant doucement cette sensation. Des caresses curieuses qui affolaient le cœur de Lydia autant que son corps et son esprit, elle coupa un instant sa respiration dans un petit instant de panique. Les yeux clos, elle pouvait sentir avec une précision étonnante chacun de ses gestes. Ils étaient doux et pourtant très déroutants, lui donnant l'impression qu'il faisait un peu plus chaud tandis que son souffle devenait plus difficile a contrôlé, dénué de régularité. Ses mains ne lâchaient pas les siennes et elle accompagnait passivement son mouvement pour remonter son haut, le laissant choisir le rythme qui lui convenait. Elle se sentit un peu plus vulnérable quand il passa au niveau de son soutien-gorge, finissant de retirer le vêtement en le passant par-dessus sa tête. Ses cheveux retombèrent sur ses épaules, laissant à Alessandro une vue sur son corps dont aucun homme n'avait disposé jusqu'à présent. Les mains masculines glissèrent contre ses bras. Elle l'observait, anormalement inquiète, craignant qu'arrive maintenant un rejet de sa part. Elle le cherchait dans son regard, sans parvenir à en détecter la trace. Il mordait sa lèvre tandis que ses yeux découvraient ce que le haut retiré venait de révéler. Au lieu du rejet qu'elle cherchait, son regard la fit rougie et elle pinça ses lèvres, ne sachant trop comment réagir face à l'envie qu'elle pouvait décelé dans son regard, très flattée de l'attirance qu'il semblait ressentir. Ses gestes débordaient de sensualité, de désir, une chose qu'elle-même ne savait pas comment exprimer malgré sa respiration  irrégulière. Elle était légèrement tremblante, frémissante au moindre de ses mouvements, sensible à ses regards.

Il l'observait toujours, comme si cette simple vue en elle-même lui apportait quelque chose. "Tu es résolument magnifique, Lydia...". Son cœur s'affola et elle plongea son regard dans le sien, évaluant son degré de sincérité, demandant à être persuadée. Elle ne put que l'être face à la contemplation et l'expression de son regard. Elle sourit timidement, de soulagement, mais la plus grande différence, le changement le plus important fut dans son regard. Elle se sentait heureuse de l'entendre dire cela, profondément soulagée et flattée. La jeune femme sourit alors qu'il venait embrasser sa joue, y déposant de doux baisers... C'était agréable, elle aimait ce qu'il faisait, sa douceur, l'attention qu'il lui offrait, le désir dans son regard et ses gestes bordés de patiences, qui visait à éveiller quelque chose en elle... Il lui faisait un si joli cadeau, peut-être n'en avait-il pas conscience, mais elle mesurait cela.

En parfait guide, il l'aidait, sans sembler juger son inaction. Il prit délicatement ses mains pour les poser sur ses bras. Elle appréciait son aide, cette façon de lui souffler, lui suggérer des petites choses, sans doute des petits rien, mais que son complexe l'empêcher de réaliser spontanément. Et pourtant, elle n'avait rien contre essayer de faire plus. Du bout des doigts, elle effleura cette peau chaude et douce, ferme, sans trop bouger sa main. Ce ne fut que lorsqu'elle en eut bien prit connaissance de cette petite zone qu'elle se risque à faire glisser sa main sur ce biceps, avec légèreté, pour découvrir ce bras musclé, sans s'éloigner de cet endroit où il avait placé ça main. Ca lui semblait plutôt sûr, sans risque de caresser ses bras, contrairement à d'autres parties de son corps bien plus intimidantes.

Contre toute attente, les lèvres d'Alessandro glissèrent vers le creux de son oreille. Cela la chatouilla, l'amenant à essayer de protéger son oreille pour y échapper. En sentant le petit mordillement, la Coréenne entrouvrit ses lèvres, surprise. Cela allait au-delà de ce chatouillement à présent, c'était différent, sensuel et plaisant...  Les mains d'Alessandro caressèrent ses hanches, créant une autre sensation, tout aussi inattendue contre ses reins et elle se tendit légèrement face à ce qu'il faisait, creusant ses reins inconsciemment, le visage penché et les yeux clos, découvrant ce qu'il faisait. Elle aimait cela, c'était inconnu et déstabilisant et pourtant si agréable, elle avait bien envie qu'il continue. Ses doigts s'étaient figés, refermés sur les bras de son ami tandis qu'elle ne pouvait contenir un frémissement. L'entendre murmurer son prénom ne fit que la troubler davantage. Lydia soupira, fébrile, se laissant entièrement faire sous ses étranges baisers contre son oreille, jamais elle n'aurait pu présumer que cela lui puisse être agréable de la sorte. « Alessandro... ? ... C'est.. Je... » Elle en perdait ses mots, tourmentée par ces gestes et les sensations inattendues qu'il éveillait en elle. Elle aurait voulu le prévenir qu'elle n'avait jamais fait cela, mais à cet instant, tout ce qu'elle parvenait à penser c'était combien elle aimait son parfum, ses lèvres dans le creux de son cou, ses caresses contre ses hanches. Oui elle lui faisait confiance, confuse et fébrile sous ses doigts, aussi timide qu'elle l'était, elle souhaitait suivre Alessandro dans n'importe quelle action qu'il voudrait. Dans un petit élan de concentration, cherchant toujours à combler son manque d'initiative, Lydia murmura, la respiration saccadée « ... Je ne sais pas ce que tu fais, mais... j'aime bien cela...» Il faisait monter cette chose en elle, qu'elle n'aurait plus qualifiée à présent de curiosité. Son impatience se transformait en désir, encore inconnu et contenu, mais bel et bien présent. Chacun des baisers et des caresses d'Alessandro le réveillait, il l'éveillait petit à petit.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeMer 12 Nov - 20:20


Elle était désirable, il ne pouvait le nier. La chair qu’il frôlait sous ses doigts et ses lèvres se trouvait douce et délicate. Le teint rosé de celle-ci rendait les rougeurs de la Coréenne d’autant plus envoutantes tandis qu’il prenait conscience qu’il éveillait son désir. Elle ne pouvait le camoufler, il le sentait s’immiscer dans l’échine de la jeune femme, sa peau se parsemant de frisons aux caresses sensuelles de ses mains. Une ambition qu’il désirait affermir dans l’être de la belle Lydia jusqu’à qu’elle soit enivrée, prisonnière de celle-ci. Il n’y avait rien de plus beau à ses yeux que le corps d’une femme au bord de l’extase, si quémandeuse et gourmande du contact de son partenaire. Lydia était encore aux prémisses. Elle était tel un bouton de fleur qui s’ouvrait peu à peu à la lumière du jour, qui laissait sa beauté et son odeur envouter celui qui avait le luxe de la voir éclore. Autant dire qu’Alessandro se satisfaisait de cette chance qu’il lui était donné. Il ne pouvait affirmer qu’il était le premier homme à toucher cette femme. Indirectement, il l’espérait, trouvant cela dommage qu’aucun homme n’est pu couvrir cette femme de toute son affection, sa passion, sa fougue de jeune amant. Pourtant la frigidité de la Coréenne, sa timidité tout comme la froideur de celui qui lui avait demandé sa main lui faisait clairement entrevoir la pureté de cette fleur qu’il tenait entre ses doigts. Sans doute que d’autres hommes, d’autres gentlemans se seraient gardés de la serrer, la frôler de la sorte, mais il ne faisait pas partie d’eux. Il avait envie d’elle. Son ambition n’était nullement désintéressée. Il était sous le charme de cette femme et désirait épanouir la fleur qui somnolait en elle, celle qui était capable de faire sourire celle-ci comme un ange.

Pour cela, il fallait que la femme en elle s’épanouisse, éclore à la lumière du jour, acceptant et affirmant sa féminité. C’est ce qu’il cherchait à réveiller, taquinant le lobe de cette oreille qu’il mordillait avec douceur et délicieusement. Il pouvait sentir les doigts de la Coréenne filer sur la chair de ses bras, remontant sur ses biceps. Les caresses de la jeune femme se trouvaient légères, timides, mais il les appréciait, ayant conscience qu’il la chamboulait plus que de raison. Il la sentit se tendre légèrement face à ses actions. Il laissa de nouveau ses lèvres glisser contre une partie du lobe de cette oreille, ses doigts glissant contre les hanches de cette femme qu’il rapprochait de lui. Il susurra de nouveau son prénom dans une voix suave. Il l’observait avec attention, cherchant à entrevoir s’il pouvait poursuivre ou s’il allait trop vite. Il ne voulait pas la brusquer. Le but de cette soirée n’était nullement celui-ci. Il s’agissait d’acclimater le corps de cette femme à recevoir les attentions cupides et sensuelles d’un homme avide et intéressé. Bien sûr, il fallait également qu’elle le désire. Il attendait donc patiemment son feu vert, qu’elle lui offre l’opportunité, le loisir de la découvrir d’autant plus de la sorte. Elle soupirait de façon fébrile, se laissait faire sous ses gestes. Elle susurra son prénom, perdait ses mots. C’était plaisant et envoutant. Il ne pouvait le nier, ne désirait nullement le faire. La respiration de Lydia se faisait forte, saccadée, frôlait la peau de son oreille. Elle ne savait pas ce qu’il lui faisait, mais elle aimait cela. Un aveu qui ne pouvait que le ravir, l’enchanter. Elle l’invitait insidieusement à poursuivre, à la couvrir de ses attentions. Pour l’instant, elle y était sensible, appréciaient ses taquineries et il était évident qu’il éveillait la femme qui somnolait en elle.

Il était difficile de résister à cela. Il n’en avait nulle envie, ni même l’intention. Il souriait donc de façon charmeuse contre son oreille. Il murmura son prénom, satisfait de la voir frémir par cette simple action. « Tu m’en vois ravi, ma chère Lydia… » Il avait ajouté cela en venant baiser la peau située en dessous de son oreille. Il laissait ses commissures brûlantes frôler de nouveau sa nuque. Son nez vint taquiner l’épiderme pâle, mais chaud de ce cou, s’enivrant de l’odeur si féminine de celui-ci. Il déposait des baisers papillon, continuant sa narration. « C’est le but de tout cela. Il faut que ça te plaise… et surtout que tu le désires. N’aie peur de rien, ce soir, Lydia… Laisse-toi aller et arrête-moi si je vais trop loin, car j’ai cruellement envie de te découvrir de cette manière. » Il appuyait chacun de ses mots. Sa voix se faisait douce et sensuelle. Il laissait son souffle chaud taquiner cette peau si délicate entre deux baisers. Lydia n’avait de cesse de frémir sous ses baisers qui s’étaient déplacés sur sa clavicule jusqu’à rejoindre la ligne descendante qui le mènerait à cette belle poitrine qui le tentait délicieusement. Ses doigts glissaient sur les flancs de ses hanches, venant frôler le creux de ses reins, la peau de son dos. Ses actions se faisaient lentes et douces, langoureuses et envoutantes. Il appréciait le trouble qu’il créait en elle, l’émoi dans lequel il la mettait. Il laissa ses lèvres et sa barbe caresser le creux de sa poitrine merveilleusement recouverte par ce tissu qui la mettait parfaitement en valeur. Son souffle brulant venait flatter cette chair, la frôler afin d’éveiller les sens de la belle Coréenne. « Si tu en as envie, ne résistes pas, Lydia… laisse la femme en toi, s’éveiller. Il n’y a rien de mal à cela, je te promets. » Il avait susurré cela contre le creux de sa poitrine.

Il se mordillait la lèvre, observant celle-ci bouger au même rythme que les respirations ébranlées de sa future ou du moins hypothétique amante. Il dévorait cette poitrine recouverte avec ambition. Il attendit quelques minutes avant de venir déposer doucement ses lèvres contre la courbe d’un de ses seins. Il frôla celle-ci un faible instant avant de suivre sa ligne tout autour du vêtement. Sa peau était chaude et bienveillante. Elle était attirable au possible et lui donnait cruellement envie de la baigner de ces lèvres. Ce qu’il fit délicatement alors que ses doigts glissaient contre les flancs de ses hanches, rejoignant sa taille pour venir se placer en dessous de la poitrine de sa belle. Il laissait ses phalanges se poser sur le tissu, exerçant de douces étreintes contre le tissu pour la caresser. Il désirait la rendre dingue et désireuse de ce contact, qu’elle l’invite doucement à lui retirer ce tissu pour la flatter directement de ses doigts, de ses lèvres. Les seins de Lydia semblaient s’affermir sous ses actions, ses pointes réagissant à ses actions et il avait résolument hâte de pouvoir les taquiner de sa bouche. Il savait que de simples caresses sur cette partie si sensible de l’anatomie d’une femme provoquaient de véritables élans de bien-être dans le cœur et le corps de celle qui recevait de telles cajoleries.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 16 Nov - 18:36

Perle de patience aux yeux de Lydia, Alessandro continuait ses caresses et ses baisers. La jeune femme n'avait aucune source de comparaison et prenait soin de ne pas trop réfléchir, d'éviter de penser à la tromperie qu'elle commettait envers son fiancé. Elle était poussée par quelque chose de plus fort que la morale, que sa propre morale, que son envie de maintenir son couple ou même que sa crainte des réactions de Roman. Elle était arrivée à un stade où elle ne parvenait plus à vivre correctement la situation, cette froideur au sein de ce couple. Cette main tendue par Alessandro, elle y avait réfléchi avant de l'accepter. Il l'avait maintenu malgré qu'il est apprit pour le fiancé, malgré le fait évident qu'elle n'était pas ce type de femme que Lydia définissait de sensuelle, assumée et spontanée... celles qu'on voyait dans les livres ou les films moldu, non elle n'était pas de celles-là. Et malgré tout, Alessandro ne reculait pas. Il continuait de dire son prénom avec cette voix suave, emprunte d'un désir qui la faisait frémir.

Ses mains contre ses hanches rendaient la zone de son bassin sensiblement délicate. Une timide démangeaison dans le bas ventre la surprit en le sentant faire ce mouvement, de minuscules papillons, timides, mais qui faisaient leur apparition. Une impatience fébrile qu'elle ignorait comment gérer, comment l'assumer, la bloquer, ou la laisser s'amplifier... Les lèvres tremblantes, elle laissa échapper un discret gémissement presque plaintif alors que les lèvres d'Alessandro embrassaient son cou. Ce souffle contre sa peau était sensuel, doux, elle avait envie que cette sensation perdure, continue de provoquer en elle de nombreux minuscules frissons. Il était ravi qu'elle aime ce qu'il lui faisait. L'embrassant, de baiser léger qui taquinait sa peau et ses sens, l'homme descendait le long de son coup, poursuivant. C'était le but de ses actions, il fallait que ça lui plaise et surtout, qu'elle le désire. Elle ne devait avoir peur de rien ce soir. Il murmura à nouveau son prénom. Laisse-toi aller et arrête-moi si je vais trop loin, car j'ai cruellement envie de te découvrir de cette manière. Une confession qui compressa le cœur de la jeune femme dans sa poitrine. Ses mots avaient sur elle un effet certain, au même titre que ses gestes, son souffle ou le regard qu'il posait sur elle. Lydia hocha sa tête, approuvant que cela lui plaisait. Elle était sensible, ouverte et réactive à chaque attention qu'il entreprenait à son égard. Jamais elle ne se serait attendu à ce que cette phrase, cette façon qu'il avait eut de murmure qu'il avait envie de la découvrir de cette manière eut sur elle un tel impact. Ses mains contre ses hanches poursuivaient ce mouvement langoureux et Lydia commençait à éprouver des difficultés à rester immobile. Si jusque là ne pas bouger la mettait à l'aise, la laissait en sécurité, les frémissements dans son corps commençaient vraiment à ne plus lui permettre cela. La jeune femme resserra un peu plus fermement de ses cuisses l'une contre l'autre, bougeant légèrement ses reins, les creusant sous les merveilleuses caresses d'Alessandro.

Les baisers du bel homme descendaient progressivement jusqu'à venir souligner la courbe de ses seins. Masquée par un soutien-gorge rose pâle et finement brodée, elle restait emprisonnée sous le tissu, il décorait comme protégeait encore un peu cette partie de sa féminité. Une partie de son corps intime où sentir la barbe frôler sa peau en douceur réveillait en elle un émoi étrange. Mordilla sa lèvre, Lydia baissa les yeux vers Alessandro pour le regarder. La vue de ses lèvres contre sa chair était sensuelle. Il semblait sincèrement apprécier cela, prenant plaisir à embrasser ces deux rondeurs emprisonnées, longer le vêtement, semblant vouloir croquer un fruit qu'il s'interdisait, par plaisir d'attendre, par envie d'éveiller plus de sensation en elle. Une vue si coquine qu'elle éprouva presque un remord à s'en sentir si satisfaite. Plus bas, son intimité fondait face aux intensions dont elle était la cible, s'humidifiant délicieusement, incontrôlée, source d'une douce nervosité impatience dans le creux de ses reins.

Avec impudence et pourtant bordé d'attention, Alessandro murmura à nouveau l'invitant à s'ouvrir un peu plus à ses câlineries. Qu'elle se laisse aller si elle en avait envie, qu'elle ne résiste pas. Elle pouvait laisser la femme en elle s'éveiller. Il n'y avait rien de mal à cela, il le promettait. Tremblante, Lydia l'écoutait. Ses gestes et ses mots emballaient ses sens et pourtant, sa raison avait envie de demander ce que cela voulait dire, ne pas résister. Elle n'était pas sûre de monter une quelconque forme de résistance, elle n'en avait du moins pas l'impression.
Ses yeux étaient plongés dans l'observation de sa poitrine, si bien qu'il n'aperçut pas cette interrogation que cette phrase créa dans le regard de Lydia. Lui donnait-elle l'impression de résister ? Comment devait-elle faire pour laisser la femme en elle se réveiller. Son cœur battait à ton rompre, mais elle paniquait à l'idée de bouger, craignant de le décevoir et simplement mal agir. Elle ne trouvait pas en elle ce qu'elle devait vouloir pour répondre à cette demande de ne pas résister, elle ne combattait aucune chose en elle. Simplement elle se satisfaisait de ce qu'il faisait, découvrant à chacun de ses gestes l'effet qu'ils pouvaient avoir, les sensations qu'ils éveillaient. Pour le reste, elle se sentait ignorante... Elle ne souhaitait pas troubler l'harmonie des gestes d'Alessandro, il faisait ça si bien, elle n'était que maladresse et incompétence face à lui.

Les lèvres d'Alessandro semblèrent céder à la tentation, revenant embrasser cette partie dévoilée de sa poitrine, délicieuse sensation qui extasiait la jeune femme, la faisant doucement frissonner sous ses lèvres humides, son souffle chaud. Ses caresses remontèrent le long de ses côtes, lui faisant prendre conscience de leur sensibilité quand son dos s'arqua harmonieusement vers lui, spontanément, rapprochant un peu plus son corps du sien. À travers le tissu, Alessandro titilla la pointe de ses seins, un touché velours où Lydia senti la peau de sa poitrine frémir, sensible aux petites vibrations qui créaient ses caresses autour de petit bouton rose enfoui. Les lèvres entrouvertes, sa respiration saccadée abritait de petits gémissements, à peine audibles. C'était si agréable que cela en devenait une gourmandise, dont elle l'aurait bien supplié de continuer, poursuivre un peu plus, mais elle n'osait pas le dire. Elle ne savait que s'offrit, le dos courbé sous ses baisers, emprisonnée entre ses deux mains sensuelles qui entourait son buste. Un emprisonnement délicieux, être sous l'emprise de cet homme, de sa virilité lui capturait toute son attention, toute sa volonté.

La Coréenne se laissait ainsi faire, troublée par ses gestes, sa prestance et ses attentions. Mais elle essayait de ne pas oublier ce qu'il lui avait dit, cherchant à comprendre ce qu'il attendait. Lentement, son esprit se désinhibait de cette crainte profonde de ne pas plaire, porté par le désir qu'il éprouvait. Assez pour se rappelait, dans un coin de son esprit, quelque chose qui remontait à plusieurs années déjà, que sa situation actuelle avait terni au point de lui en couper tout envie, mais qui pourtant... Oui qui avait été agréable à cette époque, quelque chose dont elle ne doutait à l'époque pas. Une chose dont elle avait soudainement envie, timidement, mais bel et bien envie. Elle hésita le temps d'une respiration. Et si cela ne plaisait pas à Alessandro, le coupait dans son élan ? Il était absorbé au creux de sa poitrine et elle aimait résolument ce qu'il faisait, mais... c'était la seule façon qu'elle voyait d'essayer de ne pas juste accepter ces caresses et ses baisers, d'essayer de faire ce qu'il l'invitait à faire, réclamait doucement à ses oreilles...
Elle mordilla sa lèvre pour essayer de retrouver un peu ses esprits et murmura d'une voix plus grave qu'à l'accoutumée « Alessandro ? » tout bas, timidement, juste assez pour qu'il en vienne à relever son visage vers elle. Lydia l'observa, plusieurs secondes, avant de se décider entièrement. Elle se pencha vers lui, venant embrasser ses lèvres, les frôler de sa langue pour les gouter sensuellement. Et puis elle vient rencontrer la sienne, doucement pour venir l'embrasser. Elle avait envie de lui, d'un baiser langoureux, profond. Cela, elle savait comment le demander, ses compétences maigres s'arrêtaient là, mais elle voulait les partager avec lui. Elle prenait ses lèvres, avec un peu plus d'assurance que leurs premiers baisers, savourant le goût de celui qu'elle voulait pour amant. Ses mains quittèrent ses genoux pour venir enlacer son visage. Elle espérait qu'il ne dirait pas non, que cela correspondait à ce qu'il voulait. C'était ainsi qu'elle embrassait ses petits amis de par le passé et elle n'était pas sûre qu'il le voudrait en vue de leur relation à eux. Mais elle tentait tout de même sa chance, l'embrassant langoureusement. Ses doigts glissèrent à la base de la nuque d'Alessandro, laissant timidement sa poitrine enveloppée de ce petit tissu venir tout près de son torse. Elle caressa sa nuque du bout des doigts, délicatement, comme pour faire connaissance avec cet homme qui la traitait si délicatement depuis de longues minutes, se sentant un peu plus en sécurité.

Et puis, tremblante face à cette initiative, elle vient poser sa main contre celle d'Alessandro. Avec beaucoup moins d'assurance, elle la guida, timidement, dans le creux de son dos, l'amena vers la fermeture qui maintenait son soutien-gorge attaché. Elle avait envie qu'il le retire et avait déjà retenu avec son haut précédemment qu'il aimait bien pouvoir le faire. Elle l'y invitait, sans mot, toute tremblante qu'il puisse la rejeter, chaque nouvelle opportunité l'amenant à s'interroger malgré elle. Lydia se sépara de ses lèvres, rompant le baiser. Elle les mordilla, retenant un peu la main d'Alessandro pour le prévenir. « Je n'ai... jamais fait ça avec un homme... Pas même ce que tu viens de faire... Personne ne m'a jamais vu nue. » Elle avait soufflé le dernier mot si bas qu'il s'était presque éteins avait d'avoir quitté ses lèvres. Elle voulait juste tenter vainement de lui expliquer pourquoi elle craignait tant sa réaction. Vainement, car son angoisse venait bien plus du froid avec son fiancé qu'autre chose. « Je veux que tu es envie de me découvrir comme tu en as envie. Et que tu le fasses comme tu en as envie. Je ne crois pas que tu iras trop loin, je te fais confiance pour ça. »
S'étant assurée qu'il le sache, sa main retrouva timidement l'épaule masculine. C'était peut-être ou sans doute innocent de partir du principe qu'il ne pouvait pas aller trop loin, mais pourtant elle avait bien moins de craintes face ce qu'il pouvait et allait faire que de craintes qu'il ne la rejette. Dans un petit sourire timide, elle lui murmura « Tu peux me découvrir de la manière que tu veux. » Elle ne cherchait pas à reculer, aussi impressionnant qu'il était aussi peu vêtu et si viril, elle était sous son charme et s'il poursuivait, continuait de la tenir contre lui elle s'en sentirait comblée. Il ne lui avait donné aucune raison de douté. Elle aimait chacun de ses gestes et s'il c'était de cette manière dont il parlait, il pouvait continuer.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 17 Nov - 19:27


Lydia possédait une poitrine particulièrement attrayante. Il faudrait être fou pour qu’un homme n’éprouve pas le désir d’y déposer ses lèvres. Après tout la poitrine d’une femme n’était-elle pas une des parties les plus sensibles de l’anatomie d’une femme ? Bien entendu, il existait une autre qui saurait résolument éveiller les sens de la belle Coréenne, mais celle-ci lui était formellement interdite à cet instant. Il ne désirait pas encore y parvenir, la titiller de ses doigts pour rendre cette merveilleuse femme captive et dépendante de ses actions. Il avait tout son temps pour éveiller ses sens et se plaisait à le faire, la mettre en confiance. Lydia était tel un bouton de fleur sur le point d’éclore. Il se devait donc de la manipuler avec douceur et sensualité tel le toucher du soleil sur les pétales immaculés de cette jeune rose. Il prenait plaisir à le faire, ayant une addiction toute particulière pour les préliminaires qui savaient tant échauffer la peau, le corps et l’âme. N’y avait-il rien de plus beau que de sentir ses entrailles s’endiabler, s’enflammer face à ce bien-être insaisissable et transcendant qu’était la luxure ? Alessandro ne trouvait rien de comparable à cela et l’avait expérimenté à de nombreuses occasions. Pourtant, il savait combien cette félicité se trouvait décuplée lorsqu’elle était atteinte auprès de l’élu de son cœur. Il avait touché cette plénitude profonde et totale qu’auprès d’une seule personne, celle qui se faisait manquer, celle qui hantait ses pensées. Sans doute que sa raison aurait dû le conduire à respecter cette belle rose blanche qu’il tenait sous ses lèvres et ses doigts, mais il n’en avait aucune envie. Elle lui plaisait. Lydia était d’une compagnie fort rafraichissante qui lui faisait oublier cette douleur qu’il éprouvait de savoir ses sentiments partagés, mais sans avenir. Elle représentait une oasis auquel il désirait s’arrêter pour s’abreuvoir et se ressourcer et avancer sur une autre voie.

Indirectement en l’aidant, il voulait s’aider lui-même et ne se posait pas d’autres questions, profitant de ce moment intime qui se présentait à eux. Il voulait juste qu’elle se sente bien, qu’elle se laisse aller à son contact. Il ne comptait nullement reculer, à moins qu’elle ne le désire. Elle pouvait donc se lâcher, laisser la femme en elle s’exprimer si elle le désirait. Il sentait que cette phrase innocemment prononcée faisait réagir la Coréenne. Son corps s’était légèrement tendu bien que momentanément, mais cela n’arrêta nullement l’appétit de ses lèvres qui se plaisaient à baigner son décolleté de baisers. Il savourait la chair ferme, douce et brûlante de cette poitrine. Elle s’affermissait sous les actions de ses lèvres, de ses doigts. Lydia frissonnait, le souffle court, laissant échapper des doux sons qui ne pouvaient que le tenter d’autant plus. Il finit par craquer par cette douce tentation, laissant ses commissures découvrir le tissu de ce soutien-gorge qui mettait si joliment en valeur cette poitrine. Il sentait les pointes de celle-ci transparaitre au travers du tissu, l’invitant silencieusement à venir les cueillir. Ce qu’il fit avec sensualité, laissant ses lèvres recouvrir celle-ci, sa langue caressant le tissu de ce vêtement pour l’humidifier, renforcer sa fermeté et l’émoi en la demoiselle. Il la sentait captivée, sensible. Les doux gémissements faibles, presque inaudibles l’attiraient particulièrement. Elle n’omettait aucune résistance à son plus grand plaisir tandis que son autre menotte venait faire de même sur son autre sein. Il laissant ses phalanges glisser autour de ce bouton de chair tendu et recouvert pour le troubler tout autant que son comparse. Elle s’offrait à lui, son dos se courbant pour venir à la rencontre de ses lèvres, quémandant ce toucher qui semblait éveiller tant d’émoi en elle.  

Il l’entendit murmurer son prénom dans une voix plus grave, emprunte du plaisir qu’il lui procurait. Cette action de la belle Coréenne vint le faire arrêter ses actions coquines pour relever son visage vers le sien. Il la détaillait avec attention, les prunelles sombres et brillantes de plaisir. Il se délectait de la voir si troublée, si avide. Son regard la trahissait alors qu’il la voyait se pencher au-dessus de lui pour l’embrasser, laisser sa langue frôler ses lèvres dans une sensualité assumée. Alessandro se laissa faire, souriant attendri à son action alors qu’il l’invitait à venir se mêler à sa comparse. Elle vint doucement à sa rencontre, venant mêler leur langue dans un baiser langoureux et profond. Il se laissait faire, savourant l’entreprise de la jeune femme, l’assurance qu’elle gagnait délicatement au travers de cette embrassade. Il sentit les doigts de la jeune femme rejoindre son visage pour l’enlacer, le caresser. C’était agréable, le toucher de ses fines phalanges flattait sa chair dans de délicieuses caresses. Il souriait contre ses commissures, ses phalanges caressant délicieusement sa poitrine qui venait délicieusement frôler son torse dans ce baiser. Elle était très sensuelle, désirable de cette façon alors qu’il sentait l’une des menottes de la jeune femme glisser sur son bras. Elle attrapa timidement sa main pour la guider dans le creux de son dos, l’invitant silencieusement à venir lui retirer. Ce qu’il se ferait un plaisir de faire, mais il sentit qu’elle avait quelque chose à lui dire et se fut le cas. Lydia vint rompre le baiser, se mordillant les lèvres alors qu’elle lui avouait le souffle court qu’elle n’avait jamais fait cela avec un homme, pas même ce qu’il venait de faire et encore qu’il l’est vu nu. Des révélations qui confirmaient son apriori, mais qui ne vint nullement décroitre l’attirance qu’il avait pour elle. Elle voulait qu’il ait envie de la découvrir comme il le désirait, qu’il fasse comme il en avait envie. Elle ne pensait pas qu’il irait trop loin, elle lui faisait confiance cela.
Ces paroles ne pouvaient que lui plaire tandis qu’elle relâchait sa main pour le laisser mettre de ses actions, sa main retrouvant timidement son épaule. Alessandro la regardait faire, les prunelles sombres et charmées. Son sourire timide était adorable et la suite de ses paroles le fut tout autant.

Elle lui donnait le champ libre, ne cherchant nullement à résister à ce qu’i lui ferait. C’était un très beau cadeau qu’il lui offrait même s’il ne se jugeait pas digne de le recevoir. Du moins, il ne comptait pas pour autant s’en dégager. Bien au contraire ! Il lui rendit donc son sourire, la remerciant par un regard alors qu’il venait glisser ses lèvres contre sa mâchoire en laissant son souffle frôler sa chair. « C’est un très beau cadeau que tu me fais… Je ne risque pas de bouder une telle offrande et je compte bel et bien rendre cette occasion merveilleuse tout autant pour toi, que pour moi. Tu es très belle et désirable. Un véritable bouton de rose qui ne demande qu’à éclore. Tu m’attires cruellement. » Des aveux murmurés au creux de cette oreille qu’il se plut à mordiller sensuellement, laissant son nez retrouver le creux de sa nuque pour la baigner de ses lèvres. Ses phalanges quant à elles s’affairèrent à défaire la fermeture de ce soutien-gorge, le faisant délicatement glisser sur ses épaules alors que cette merveilleuse poitrine s’offrait à lui. Une vue qu’il ne manqua pas d’observer en s’éloignant légèrement d’elle. Son regard la détaillait avec profondeur, ses phalanges glissant sensuellement et frivolement sur la peau nue de cette poitrine. Il laissa ceux-ci frôler ces bouts de chairs tendus dans de légers passages. Ceux-ci réagissaient favorablement à son action, accélérant la cadence du cœur de la Coréenne.

« Tu es vraiment magnifique. » Son fiancé était bien fou de n’avoir point consumé le plaisir charnel à ses côtés, n’avoir point cueilli cette merveilleuse fleur qu’il frôlait de ses doigts. Sur ses mots, il vint baiser son visage au creux de sa poitrine pour embrasser cette chair dépourvue de vêtement. Dans de douces étreintes qui le menèrent jusqu’à l’un de ses seins, le couvrant de ses lèvres. Sa peau était délicieuse. La fermeté de ce bouton de ce sein était une sucrerie particulièrement envoutante et il se plut à le caresser, le titiller de sa langue. Son autre sein n’avait rien à lui envié. Il était la proie de douces caresses entre deux de ses phalanges. Des actions qui rendaient sa victime particulièrement sensible tandis que sa main libre glissait sur la taille, la hanche de la jeune femme tout en sensualité. Il la laissa descendre jusqu’à la naissance de sa cuisse, caressant celle-ci pour venir flatter l’intérieur dans de légers passages, presque furtifs. Il tâtait délicatement le terrain du bout de ses doigts, captif aux réactions de la merveilleuse femme, qui s’offrait à son appétence.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeMer 26 Nov - 0:57

Il ne faisait aucun doute que Lydia appréciait l'homme en face d'elle. Non pas qu'elle le connaissait vraiment, elle ne l'avait vu que deux fois... peut-être que la première fois leur avait permis de se connaitre dans des conditions un peu plus différentes de l'accoutumé, les obligeants à se faire confiance et avoir besoin l'un de l'autre pour améliorer leur situation, mais... non c'était bien autre chose qui avait rendu la jeune femme moins farouche envers lui. Sans doute qu'il arrivait au bon moment, à cet instant où son couple la faisait douté et où son fiancé ne lui apportait pas les certitudes dont elle avait besoin. Mais c'était plus que cela. Il y avait chez lui quelque chose de plus, sous ses airs assurés il lui avait surtout paru être quelqu'un de sincère. Têtu et frimeur à première vue il lui évoquait autre chose, comme si en sa présence elle avait le droit d'être différente, plus sensible, de s'ouvrir sur ses craintes sans qu'il ne la juge. Il parvenait à un juste milieu, un équilibre précaire, la regardant avec fierté de l'effet qu'il avait sur elle et sans pour autant abandonner le respect à son égard. Oui c'était sans doute cela qui faisait la différence, elle se sentait en confiance et respectée, un droit à s'exprimer qui ne pouvait que l'attirer.

C'est pour cela qu'elle s'ouvrait ainsi à lui, confessant ce qui pour elle n'était pas évident à dire à voix haute, assumer que malgré le fait qu'elle travail, qu'elle soit fiancée, pas un homme ne l'avait touché. Elle ne savait pas très bien qui de lui et d'elle faisait un cadeau à l'autre. Sa culture, son éducation lui avait enseigné l'importance de son innocence et durant ses années de collège et lycée, elle s'était appliquée à la garder pour elle, souhaitant gagner le respect des hommes qu'elle fréquentait. Mais sur ce canapé, cette notion avait prit un nouveau sens. Les caresses d'Alessandro n'avaient rien d'insultant, bien que contraire à sa morale, à son engagement auprès de son fiancé. Elle aurait été prête à les envoyer promener si cela n'avait pas déjà été le cas. Ses douces caresses réveillaient son corps. Elle découvrait des zones, des sensibilités qu'elle n'aurait peut-être jamais soupçonnées. Haletant, elle avait envie de se tendre vers lui, sentir ses bras autour d'elle, pouvoir caresser un peu plus sa peau.
Il incarnait une partie de son subconscient jusque-là enfermé, emprisonné par tant que chose qui dans l'immédiat n'avaient plus la moindre importance. Elle fondait sous son regard sombre qui la détaillait, ses mains qui enlaçaient sa taille. Le sourire d'Alessandro la rassura un peu comme de le voir se rapprocher à nouveau. Ses lèvres virent effleurer sa mâchoire, glissant  sur son contour. Son souffle suffisait à la faire frissonner. Il lui susurra qu'elle lui faisait un très beau cadeau. Sans doute pas autant que celui que lui-même lui faisait à cet instant, pouvait-il deviner combien son coeur était sur le point d'explosé à se sentir désiré ? Combien son âme s'en sentait mieux, apaisée, accueillie ? Son corps lui était bouleversé, en terrain inconnu elle essayait de se préparer à ce magnifique instant qu'Alessandro lui offrait, de toute sa patience, de toute son attention, semblant en apprécier chaque seconde, hissant sa petite personne au centre de bienveillance. Lui fit savoir qu'il ne risquait pas de bouder une telle offrande. Elle sourit à ce mot, ça en devenait presque divin. Il comptait rendre cette occasion merveilleuse, autant pour elle que moi lui. La jeune femme hocha légèrement la tête à ces mots, buvant ses paroles. Il avait toute sa confiance, elle sentait combien il veillait à ses réactions et l'idée qu'il prenne aussi soin d'apprécier la rassurait, elle ne voulait pas trop en demander. Si elle ignorait comment donner du plaisir, si elle était censée l'y guider, elle souhaitait clairement qu'il puisse apprécier cet instant, cette occasion. Les mots suivants la firent rougir. Il la trouvait très belle, désirable. Elle était un véritable bouton de rose qui ne demandait qu'à éclore. Il confessa dans le creux de son oreille qu'elle l'attirait cruellement. Sans répit, elle sentit l'humidité de ses lèvres s'emparer du lobe de son oreille, lui arrachant un gémissement surpris et terriblement faible. Elle adorait cette attention, elle aurait sans doute pu devenir friande de son souffle si près de son cou et de petits mordillements qu'il y commentait.

Les doigts d'Alessandro glissèrent dans son dos pour dé clipper la lingerie qui renfermait encore sa poitrine et elle le laissa l'en débarrasser d'un geste si délicat. Sûrement qu'il avait déjà fait cela avec cent femmes, une veine penser pour essayer de se rassurer, elle ne pouvait pas être anormale au sein du nombre de ses conquêtes. Les yeux rivés sur cette partie de son anatomie qu'il venait de révéler, elle guetta sa réaction, mordant sa lèvre dans la crainte de tout changement chez cet ami un peu particulier.
Il prit son temps, reculant légèrement, le regard attisé d'une envie qu'il ne cherchait pas à taire qui fit rougir doucement Lydia. Comme s'il touchait à quelque chose de précieux, d'attendu, ses mains virent dans un touché velours gouter à cette chaire qu'il était le premier à pouvoir toucher.  Le bas ventre de Lydia la chatouilla curieusement, agité de petits frémissements, langage muet jusqu'alors inconnu pour elle, mais qui lui soufflait qu'elle aimait cela. C'était doucement grisant, délicieusement excitant d'être sous ce regard, de s'en remettre aux caresses attentionnées de ces mains masculines. Un frisson la trahit, parcourant son échine.

Charmant, l'homme murmura qu'elle était vraiment magnifique. Elle ne savait pas à quel point il mesurait ses propos à cet instant, mais il la rassurait, lui disait ce qu'elle avait besoin de savoir. Rien chez elle ne la repoussait, rien ne le faisait agir avec le rejet que lui imposait celui avec qui elle devait finir ses jours. A son tour, Lydia l'observa tandis que son visage venait rejoindre ses mains au creux de sa poitrine, comme si sa dernière l'appelait, guidant une soif de la gouter. Les lèvres entrouvertes, Lydia goutta à cette sensation, cette douce caresse humide contre le bouton rose de sa poitrine. Elle observa quelques secondes le visage d'Alessandro ainsi niché, partagé entre une étrange tendresse de le voir ainsi, les yeux clos et si sagement occupé et les frémissements plaisants que faisaient naitre sa langue. Un soupir s'échappa des lèvres de Lydia tandis qu'elle abandonnait l'idée d'observer, fermer les yeux pour mieux ressentir ce délassement délicieux qu'il lui offrait, ses doigts qui titillaient à l'unisson son sein, les caresses qu'il lui assenait.
Son esprit se perdait, lui offrant toute emprise sur elle. Sa main contre sa taille grisait ses sens. La tête légèrement penchée en arrière, elle essayait de contenir les gémissements qui naissaient dans le fond de sa gorge à chaque fois qu'Alessandro sollicitait une partie sensible de sa personne. Timidement sa main glissa contre l'épaule masculine, se rappelant un instant ce toucher sous ses doigts, découvrant la forme de ses épaules, ses muscles. Son autre main restait près de sa cuisse, inconsciemment accrochée sur coussin du canapé.

Ses doigts s'y crispèrent dans sa cuisse sentie une caresse s'immiscer, venant tester cette zone vierge de caresse encore. Le coeur de Lydia s'affola, frissonnant de plus belle sous les doigts du beau brun. Elle retiens son souffle, ses yeux clos, se concentrant sur ce nouveau geste, sans chercher à le repousser. Ses jambes perdaient pourtant en stabilité, fébrile elle ne se sentait plus capable de se lever. Elle avait juste envie qu'il continue, encore. Tendue dans l'attente de la suite des caresses, elle ne réfléchissait plus, incapable de poser des questions. Elle avait chaud et creusait son dos pour épouser les lèvres contre sa poitrine, venant à leur rencontre.
La jeune femme abandonna sa nuque contre l’appuie-tête du canapé quand elle le rencontra.  Dépourvue de la moindre volonté de lui résister, elle glissa doucement vers lui, sa jambe s'appuya furtivement contre la sienne. Les frissons contre sa cuisse titillaient son désir, emballaient ses sens dangereusement.
La chevelure désordonnée, plus sauvage, elle se laissait enivrée par cette main curieuse qui prenait ses marques. Elle l'accueillait sans protester, d'un ravissement presque inavouable de le sentir envahir peu à peu son corps.

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeMer 26 Nov - 21:00


Alessandro était sous le charme de cette femme qui se trouvait sous les yeux. Une femme pure aux formes résolument attrayantes, mais qu’aucun homme n’avait pu en gouter la saveur. C’était une véritable perte à ses yeux et il devait bien reconnaitre que le fiancé de cette merveilleuse fleur, ne savait pas ce qu’il ratait. Il ne s’en plaignait point, ayant l’honneur et le plaisir de l’éveiller à la lumière du jour pour qu’elle montre sa magnificence, une fois son éveil terminé. Il la découvrait donc avec parcimonie et douceur dans des caresses et des baisers qui semblaient éveiller un embrasement euphorisant dans ses entrailles. Il l’entendait gémir faiblement, ces bruits érotiques sagement enfuis au creux de sa gorge, mais qu’elle ne parvenait pas à retenir. Il souriait, ravi de la sentir si sensible au contact de ses lèvres contre son sein. Il dévorait cette partie avec plaisir, savourant le gout salé et la fermeté de ce bouton de chair. Il l’invitait silencieusement à le tourmenter de la sorte, se tendant d’autant sous ses lèvres, avides d’être cajolées. Son autre sein n’était pas sans reste, terriblement sensible à ses doigts qui frôler de façon taquine ce petit bouton éveillé. Il lapa délicatement ce bouton dans un mouvement circulaire, la sentant délicieusement exprimer un bruit. Merveilleux ! Cela l’excitait. Il ne pouvait en être autrement. Elle lui donnait envie de poursuivre, il était résolument enchanté de la savoir si soumise à ses actions. Elle lui avait donné le feu vert, lui faisant entièrement confiance. Il lui avait promis de la guider, de se montrer doux et bienveillant avec elle. Il comptait bien respecter sa promesse et s’appliquait à la mettre en pratique pour lui offrir une première fois merveilleuse. Cela n’avait rien de frustrant, bien au contraire ! Il allait être l’homme qui allait lui montrer le plaisir que d’être une aimante. Il n’avait aucun doute sur ses talents d’amant, ces précédentes conquêtes et petites amies ne pouvant rien redire sur la question. Sans doute était-il un peu présomptueux de songer de la sorte, mais il voulait croire que cette nuit ouvrirait de nouvelles portes à cette belle fleur, qui avait besoin qu’on ne l’aide à montrer sa splendeur.

Il continuait donc son exploration, laissant sa menotte libre découvrir la partie du bas du corps de cette femme. Il frôla l’une de ses cuisses avec délicatesse. Il sentait la main de Lydia se glisser timidement sur son épaule. Un toucher doux et délicat qui lui indiquait qu’elle se laissait aller petit à petit. Cela ne le dérangeait nullement. La vue qu’elle lui offrait été suffisant pour lui donner envie de poursuivre, de la bénir de ces bienfaits envoutants. Il y était néanmoins sensible, réceptif à l’effort qu’elle faisait, en agissant de la sorte. Il la savait réceptive à son action. Elle avait retenu son souffle en frémissant. C’était une réaction positive. Elle se trouvait envoutée et il le percevait, la jeune Coréenne creusant son dos pour épouser ses lèvres contre sa poitrine. Elle se laissait totalement aller, se laissant tomber contre le dossier du canapé. C’était résolument plaisant et il laissa sa main libre poursuivre sa découverte, venant flatter délicatement le creux de cette cuisse, qui s’ouvrit délicatement à son passage. Il souriait contre ce bouton ferme, sa main venant approfondir le contact au sein de ses cuisses, non loin de sa féminité. Il ne l’effleura pas, même s’il en mourait d’envie, comptait bien l’explorer à son tour. Toute femme digne de ce nom méritait une telle bienveillance de la part d’un homme. Du moins, c’est ce qu’il pensait et lorsqu’il prenait son temps, lorsqu’il désirait satisfaire son amante tout autant que lui, il offrait ce que peu d’hommes faisaient à son gout. Il laissa donc ses lèvres glisser au creux de sa poitrine, remontant le long de la ligne de ses seins pour rejoindre sa clavicule, sa nuque. Une peau qu’il baignait de baiser, venant délicatement mordiller le creux de son oreille. « Tu es magnifique… » Susurra-t-il alors qu’il laissait sa main glisser entre ses seins pour rejoindre son ventre, contourner sa hanche pour se diriger au côté opposé de sa comparse. Il lui offrait un sourire doux et admiratif. « Glisse tes bras autour de ma nuque… » Un ordre murmuré dans une voix suave alors qu’il venait lui embrasser le creux de la nuque de façon plus passionnée.

Il la sentit obtempérer, déposant ses fins bras autour de sa nuque, le corps tremblant, sensible à son échine. Ses mains quant à elles, glissèrent délicatement entre ses cuisses pour les écarter, les porter pour glisser autour de son corps. « Fais-moi confiance… » Murmura-t-il contre son oreille alors qu’il la soulever, se levant par la même occasion. Par mécanisme, elle vint se coller à son torse, lui offrant le plaisir de sentir sa poitrine nue frôler sa peau. C’était un contact fort appréciable pour l’italien, qui vint sourire contre son oreille. Dans un pas lent et assuré, il la mena doucement jusqu’à sa chambre où il vint allumer la lumière, lui laissant la possibilité d’admirer cette dernière, mais pas trop non longtemps non plus. Il souriait contre sa nuque, murmurant : « Je pense que ça sera mieux ici… » Il le pensait sincèrement alors qu’il venait doucement relâcher la pression autour des cuisses de la Coréenne pour qu’elle puisse se tenir debout, face à lui, non loin du lit. Il lui souriait tendrement, complice, alors qu’il venait se décaler pour admirer ce buste très attrayant. Ses mains caressaient ses hanches, non loin de la bordure de ce short qu’il mourrait d’envie de lui retirer. Ce qu’il fit dans un geste lent et doux, laissant ses phalanges glisser autour de la ceinture, la desserrer en emportant avec eux, le bouton qui retenait le tout, comme la fermeture éclair. Il laissa ses mains lui retirer le bas, glissant sur le flan de ses cuisses pour la laisser en simple sous-vêtement. Lydia se retrouva donc en petite culotte très saillante qui semblait quelque peu porter les traces de ses caresses précédentes. Cela ne le déplaisait nullement, bien au contraire. Il me mordilla la lèvre, souriant tendrement contre ses comparses. « Je crois que nous sommes à égalité, mais je dois bien reconnaitre que mon intérêt se porte pour ce que cache ce dernier rempart. » Il avait ri doucement contre ses lèvres dans un ton tendre alors qu’il laissait l’une de ses mains s’inviter sur le tissu en question.

Une caresse frivole qui semblait raviver le feu en cette femme. Son regard tremblait sous ses prunelles. Il laissa son autre main quant à elle, glisser derrière sa nuque pour revenir l’embrasser tendrement, dévorer ses commissures en l’invitant à s’asseoir sur le rebord de son lit. Une action qui le fit interrompre son baiser alors qu’il la voyait si troublée, légèrement perdue. Il la trouvait mignonne et à la fois si charmante. Il lui souriait, tentant de la rassurer en caressant les traits de son visage. Il vint naturellement s’agenouille face à elle, laissant sa main glisser sur sa nuque, sa clavicule, rejoindre le creux de sa poitrine. Son autre menotte quant à elle, vint se glisser entre ces cuisses pour lui demander délicatement de les entrouvrir pour pouvoir se rapprocher d’elle, poursuivre ses baisers. Elle s’exécuta doucement, le souffle chaud, la peau frémissante. Il pouvait sentir son cœur battre fougueusement dans sa poitrine lorsqu’il laissa ses lèvres retrouver le creux de sa poitrine. Il baigna cette partie avec tendresse pour la remettre dans le bain, glissant délicatement contre son ventre qu’il dévora avec le même appétit que sa poitrine précédemment. Sa main libre quant à elle vint se poser contre la hanche de la Coréenne, sur le drap avant de rejoindre la cuisse de la jeune femme, frôlant volontairement et de façon frustrante, cette féminité intacte, prête à être cueillir. Il comptait bien la cueillir avec ses lèvres et son corps par la suite, comme elle lui avait demandé, mais avant cela, il désirait lui faire connaitre ce plaisir mêlé à cette frustration, celle qui rendait les femmes libres tout autant que les hommes dans ces instants de plénitude terrestre que seule la luxure pouvait apporter à l’âme et à l’esprit.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 14 Déc - 19:59

Sous les caresses et les baisers d'Alessandro, Lydia découvrait des sensations qu'elle n'avait pas imaginé jusque-là. C'était presque frustrant de sentir et de comprendre combien ces délicieuses et brûlantes sensations dans son cœur lui avaient été fermées jusque-là. Une douce et inconnue euphorie, pétillante la gagnait doucement, lui faisant oublier certaines choses pourtant simples comme la retenue. Face à Alessandro, elle n'avait qu'une envie, le laisser poursuivre, pire encore, l'encourager à continuer ces milles et une caresses, si douces, qu'il lui offrait. Il semblait le faire avec gourmandise, recevant presque comme un honneur de pouvoir être le premier à s'aventurer si loin contre sa peau... Et Lydia n'aurait à ce moment pu dire qu'elle regrettait. Peut-être qu'elle avait perdu du temps, de nombreuses années à rester dans l'ignorance de cette délicieuse sensation qui brûlait de plus en plus fort dans son bas ventre... Ou peut-être Alessandro était une perle rare et elle avait une chance inouïe en le rencontrant, en partageant ce moment. Mais ce qui était sûr, c'est qu'à chacun de ses baisers, il enterrait plus profondément toute culpabilité.

Cette excitation qu'il créait en elle était plus forte, plus attrayante que toute autre promesse un jour faite. Haletante sous ses doigts qui la caressait, la jeune femme s'en remettait totalement à la volonté d'Alessandro. Sous l'emprise de cet homme si sexy, elle ressentait le bien-être qu'il lui apportait. Son corps brûlait doucement et cette chaleur qu'elle ressentait n'avait rien à voir avec la température ambiante de la pièce. Elle voulait le laisser conquérir chaque parcelle de son corps qu'il désirerait, de la façon dont il le voudrait, innocemment inconsciente de jusqu'où un homme pourrait allait, elle s'offrait tout entière à sa soif, découvrant au passage la sienne. A la différence près qu'elle ignorait comme assouvir les envies, comme satisfaire les frissons qui la parcouraient sous ses caresses. Elle ne pouvait que le laisser continuer cette douce torture, mordant sa lèvre pour essayer de contenir les petits gémissements d'acquiescements qui venaient s'échouer au bord de ses lèvres tremblantes.

Alessandro semblait s'en délecter. À chaque fois qu'elle perdait un peu plus le contrôle, ses mains revenaient l'effleurer un peu plus, cherchant et trouvant à la perfection chaque faiblesse de son corps. Il dénichait sans peine les petites zones sensibles et venait en prendre possession, de ses mains, de ses lèvres, de sa langue, sans répit. Frissonnante, elle n'était plus en état de réaliser sa tenue ou le lieu où ils se trouvaient. Tout ce dont elle avait conscience, c'était les gestes d'Alessandro.
Une caresse impudente vint se loger dans le creux de sa cuisse, dans un petit mouvement qu'elle suivit instinctivement. Son pouls s'accéléra, d'une pointe d'angoisse mêlée à de la curiosité... Ce fut cette dernière qui l'emporta, la jeune coréenne lui écarta légèrement ses jambes pour permettre à cette intrusion de poursuivre son chemin. Elle aimait les frissons qui parcourrait son bassin et plus bas encore, au cœur de sa féminité, à ce simple touché contre sa cuisse, à la simple pensée qu'il puisse continuer, son esprit vacillait...

Coquin, l'homme se rapprocha de cette cachette sensible, sans l'atteindre, lui refusant cette curiosité éveillée malgré sa peur de cette étape inconnue et si importante à ses yeux... Ses lèvres glissèrent contre sa peau, remontant vers son oreille. La voix suave, il lui murmura qu'elle était magnifique. Le cœur de Lydia palpita plus fort à ces mots. Elle chercha son regard, plongeant ses yeux dans les siens, tant troublée par le désir qu'il réveillait en elle et par ses mots si doux qu'il lui murmurait. Il semblait si sincère, paradoxalement si fort et virile et pourtant si doux... cela la déconcertait. Devait-elle le remercier de dire cela ? Elle entrouvrit ses lèvres, mais sa gorge était trop nouée et son sourire lui fit perdre le fils de cette idée. Juste avant de plonger son visage dans son cou à nouveau, l'italien lui ordonna de glisser ses bras autour de sa nuque. Le souffle court sous les lèvres qui goutait passionnément sa peau, obéir à cela lui demanda un effort de concentration plus dense qu'il n'aurait dû l'être. Elle pu aussi constater combien ses doigts tremblaient tandis qu'elle logeait ses poignets dans la nuque masculine.
Les mains d'Alessandro glissèrent sur ses cuisses pour les ouvrir, les glissant autour de son corps. Lydia ne recula pas, malgré l'élan de panique qui l'envie brusquement. Accélérait-il les choses... de suite ? Peu rassurée, la jeune femme resserra un peu plus ses mains sur son épaule, plus pour se rassurer que pour se tenir fermement. Mais il lui murmura de lui faire confiance et presque simultanément, il entreprit de se releva, serra fermement ses jambes et sa taille contre lui. Il l'amenait ailleurs. Ce sens mis sur cette action la rassura, malgré le fait que ça n'était sans doute que remis à un peu plus tard et qu'ils avançaient irrémédiablement vers cet instant... À moins qu'elle ne dise stop. S'arrêterait-il ? Elle le pensait en tout cas... mais elle ne désirait pas l'arrêter dans ses actions, malgré cette peur qui l'avait envahie, elle la savait due à son ignorance, au fait qu'elle doutait d'elle et à la nouveauté de cette situation. Cette crainte n'était pas fondée, pas raisonnée... Et si elle raisonnait bien, elle voulait le voir continuer, l'emprise qu'il avait sur son corps et sur ses sens était délicieusement grisante.

Blottie contre ce corps musclé qui la portait, elle entra dans une nouvelle pièce. La chambre d'Alessandro, déduit-elle naturellement. Il marchait lentement et semblait la porter sans peine. Ainsi contre lui, elle pouvait sentir son ses doigts sa musculature et la douce chaleur de sa peau. Elle en sentait aussi le parfum, si attrayant qu'elle aurait presque pu venir déposer ses lèvres contre sa peau...
La lumière allumée, il lui laissa le temps de jeter un coup d'œil autour, avançant un peu plus dans la pièce. Simple et agréable, sans artifice non nécessaire, la chambre lui sembla accueillante. Le lit retient un peu plus son attention, il paraissait confortable, agréable, comme une petite invitation à venir s'y blottir. L'homme presque nu contre elle parvient sans la moindre difficulté à capter son attention à nouveau, sourire aux lèvres, il murmura qu'ils seraient sans doute mieux ici. Retrouvant le sol sous ses pieds, un peu dans un état second tant sa peau était sensible à chacun des gestes de son partenaire, Lydia hocha doucement sa tête. Sans doute qu'un lit était plus approprié qu'un canapé... plus rassurant aussi. C'était idiot, mais cela contribuer à la tranquilliser, il l'invitait un peu plus loin chez lui, il faisait attention au lieu, à son confort... Une idée dont elle fut vite distraite en réalisant qu'Alessandro s'était légèrement écarté d'elle, le regard rivé sur sa poitrine, l'appréciant d'un sourire gourmand et tendre, si complice que ses joues s'enflammèrent malgré elle. Elle aimait cette façon qu'il avait de la regarder. Un peu gênée, elle aurait voulu masquer sa poitrine, mais ne voulait l'en priver, il semblait apprécier de pouvoir la voir. Lydia enroula un de ses doigts dans une de ses mèches de cheveux qui dévalait ses épaules pour encadrer sensuellement son visage et sa poitrine. Nerveusement, elle l'entortilla d'un petit mouvement inconscient.

Debout face à lui, si peu vêtue, elle était à la merci de ses regards et ses caresses. Elle se sentait infiniment vulnérable et pourtant elle n'osait fuir tant sa façon d'être envers elle avait quelque chose de gratifiant. Elle se sentait précieuse, désirable. Et il semblait sincère ce qui le rendait plus sexy. Ses doigts courraient contre ses hanches, observant avec intérêt son bas ventre, le caressant  avec une lenteur mesurée qui éveillait ses sens. De quelques petits gestes précis, il délassa ce qui retenait son short léger, rare vêtement qui lui restait encore. L'homme accompagne le vêtement, le faisant glisser sur ses cuisses sans manquer d'effleurer sa peau. Après un coup d'oeil appréciateur, il revient vers elle alors qu'elle n'avait de cesse d'observer ses réactions, les unes après les autres, découvrant le plaisir qu'il éprouver à faire ces gestes qu'il avait pourtant peut-être déjà faits cent fois. Contre ses lèvres, il sourit avant de murmurer sur un ton tendre qu'ils étaient à égalité maintenant, mais il reconnaissait que son intérêt portait pour ce qui se cachait sous ce dernier rempart. Elle aurait parié qu'il avait dit cela en connaissance de cause, sachant parfaitement combien cette remarque la ferait rougir. Ça ne la surprenait pas, mais ainsi dit, avoué avec des mots, elle ignorait comment réagir autrement. La jeune femme mordit sa lèvre sans oser baisser les yeux vers le sol, évitant de poser son regard directement trop près du bassin masculin et de sa masculinité encore masquée... Encore un sujet qui avait de quoi faire augmenter son pouls et la faire paniquer. Elle préférait observer ses épaules, plus larges que les siennes, contre lesquelles il devait être bien agréable de se blottir.

Un soupire tremblant s'échappa de ses lèvres dans les doigts d'Alessandro se glissèrent avec défiance contre sa féminité, la touchant à travers le tissu. Elle était surprise de ce toucher, de l'effet que cela avait sur elle, combien cette délicate taquinerie qu'il réalisait du bout des doigts la rendait immédiatement à nouveau fébrile, ivre de ce contact. Ses lèvres tremblèrent et sa main revient contre lui, cherchant à se rapprocher, sentir sa chaleur contre elle. Lydia en avait aussi besoin pour rester sur pied, comme si cette fonction simple de rester debout se retrouvait mise à mal.
Les lèvres d'Alessandro revirent s'emparer des siennes, profondément, ajoutant à l'émoi de Lydia une dose supplémentaire. Le bras enroulé autour de son cou, elle l'embrassait en retour, sous le charme, brûlant de désir. Elle avait si soif de ses baisers, de cette caresse entre ses jambes qu'elle gémit contre ses lèvres. Doucement, il la fit reculer pour rejoigne le lit, un lit qu'elle avait oublié. Debout face à elle, il caressant tendrement sa joue avant de venir s'agenouiller face à elle. Sa main dans sa nuque glissa, l'assurant doucement de sa présence. L'homme continuer de geste simple et doux, rassurant à ses yeux.

Elle lui ouvrit ses jambes quand sa main le lui demanda, tremblante, perdue entre les sensations et cette situation qui la dépassait, sur laquelle elle n'avait aucun contrôle et aucune connaissance. Les hanches d'Alessandro glissèrent entre ses cuisses tremblèrent, s'approchant pour embrasser à nouveau sa poitrine. Elle soupira sous l'emprise de ses lèvres, la tête au creux des draps où elle pouvait s'enfoncer tout son soul. Sa main s'y accrocha, fermant ses doigts sur ce tissu pour mieux essayer de mieux contenir ces réactions. Alessandro continuait, caressant ses cuisses, frôlant sa féminité, titillant avec impudence ces petites zones. Elle n'avait pas le moindre doute sur le fait qu'il savait ce qu'il éveillait en elle à chaque caresse, elle pouvait apercevoir ce sourire votre son buste, son appétence semblait allait de pair avec une certaine satisfaction à la voir ainsi. Face à cette délicieuse torture, le corps de Lydia ondulait sous lui, cherchant à échapper à cette frustration tout autant qu'elle voulait la combler sans savoir comment.... « Alessandro ? » Un murmure échappé de ses lèvres qu'elle mordit aussitôt, c'était une question irréfléchie, presque une supplication face à cette envie qu'il plaçait en elle avec délice. Frémissante de la tête aux pieds, la jeune femme glissa timidement ses doigts contre la nuque masculine, pourvu qu'il ne s'arrête pas.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeJeu 18 Déc - 19:39


Alessandro avait parfaitement conscience de l’émotion et la fébrilité que ses actions provoquées sur l’échine de la Coréenne. La demoiselle ne pouvait le camoufler, son regard, ses souffles et gémissements la trahissait totalement. Il ne pouvait donc que se féliciter de la rendre ainsi si soumise et à la fois libre des chaines de sa raison. Elle lui semblait particulièrement envoutée, sa peau désireuse de découvrir d’autant plus les sensations merveilleuses qu’il lui avait promises. Il prenait son temps, mais il comptait bien remplir ses engagements. Après tout, elle lui offrait un cadeau merveilleux : sa première fois. Il se devait de la choyer, lui faire voir et comprendre comment une femme devait être aimée et serrée par un homme. Une douceur et une passion qu’elle semblait méconnaitre aux bras de cet homme qui ne l’avaient jamais serré de la sorte, préférant batifoler auprès d’autres femmes, comme il avait pu le voir faire lors du bal de Wincap. Il ne méritait pas de profiter des charmes de cette femme. Il était donc ravi d’être l’heureux élu pour lui faire découvrir les méandres de ce doux paradis terrestre.

Il n’avait aucun doute sur ses capacités. Sans être présomptueux, il savait satisfaire les femmes, ayant un profond respect pour ces demoiselles aux formes ravissantes. Il aimait les rendre folles sous ses doigts, ses lèvres, son corps. En tant qu’amant, il en tirait une profonde fierté et comptait résolument combler celle qui lui offrait sa confiance en ce jour. Il la traitait donc avec douceur et égard. Il cherchait à éveiller ses sens avec dextérité, y arrivant sans trop de mal. Il ferait en sorte qu’elle n’oublie pas cette soirée, les frisons que la luxure, la passion pouvaient engendrer dans le corps d’un être humain. Elle semblait le découvrir, y trouvant un bien-être certain. Elle se laissait totalement faire, participant à son excitation en lui offrant ces sons érotiques qui ne pouvaient qu’être exaltants. Il ne pouvait nier son envie. Sa fierté masculine était légèrement tendue contre le tissu de son boxer. Inconsciemment, il lui tardait de se plonger dans ce corps pour la serrer de la façon la plus charnelle qu’il soit. Il était néanmoins patient, désireux de faire perdurer cette soirée pour marquer au fer rouge, les sens de cette femme, si sensuelle.

Il laissait sa main glisser contre sa cuisse avec légèreté. Ses phalanges se montraient coquines, effleurant de façon malicieuse et très légère cette partie sensible et éveillée de cette femme. Il pouvait sentir l’humidité de ce tissu dans ses passages intempestifs. Cela le glorifiait d’une certaine fierté, ses lèvres dévorant ce ventre plat qui s’offrait à lui. Il la sentait planer, son esprit s’évadant petit à petit dans les méandres de ce plaisir qu’elle découvrait. Il pouvait sentir le drap se dérober sous son appui, celle-ci l’agrippant pour tenter de garder l’esprit clair, en vain. Cela était plaisant et envoutant. Il laissa ses lèvres glisser autour de son nombril, venant rejoindre la bordure du vêtement. Il embrassa celle-ci, suivant le contour du tissu alors qu’il laissait ses doigts glisser au creux de ces cuisses pour frôler cette partie si tentatrice. Il sentait le corps de Lydia ondulant sous ses actions, recherchant un contact plus franc qu’il lui refusait. Il voulait l’entendre gémir son abandon, lui donnait le feu vert pour poursuivre ses taquines. Elle finit par lui offrir dans un murmure qui aurait pu glorifier n’importe quel homme. Quelle perte pour cet idiot. Il ne savait pas ce qu’il perdait de ne pas posséder sa fiancée. Il y gouterait à sa place. Cela ne le dérangeait pas.

Il souriait à cette pensée, ses lèvres marquant son amusement alors qu’il laissait ses doigts glisser sur la naissance de ses cuisses pour retrouver le vêtement, s’immiscer en dessous pour soulever son bassin, faire glisser ce dernier rempart. Tout en douceur, il le lui retira pour offrir à ses yeux le cœur de sa féminité nue. Il se mordit les lèvres en s’éloignant de lui dans son action. La fleur de sa féminité était belle, rosée et terriblement gorgée de ce plaisir qu’il lui avait offert jusqu’alors. Une véritable œuvre d’art, d’autant plus lorsqu’on y ajoutait l’attitude si gênée et brulante de cette femme. Elle était magnifique, à la fois touchante et érotique. Il lui offrit un sourire franc, doux et confiant. Ses phalanges reprirent le contour de ces cuisses alors qu’il venait plonger son visage au cœur même de sa féminité. Il huma son odeur, observant cette démonstration honnête de ce fruit défendu. Il ne demandait qu’à être cueilli de ses lèvres. Son bouton semblait gorgé d’ambition et il ne se priva pas pour y déposer ses lèvres dans un baiser humide pour le découvrir, le savourer pour la première fois.

Une action qui sembla rendre folle son amante tant celle-ci se cambra délicieusement sous ses lèvres. Cela le glorifiait, l’excitait cruellement alors qu’il venait reprendre ce bouton de ses lèvres, le taquiner de sa langue. Il s’appliquait à dévorer ce fruit défendu avec douceur, tel Adam croquant la pomme du jardin d’Éden. Il savourait les frisons de bien-êtres qui traversaient son amante, s’appliquant avec dextérité pour la rendre folle, dépendante et ambitieuse de ressentir des sensations encore plus fortes. Il savait les femmes particulièrement sensibles à ce type de caresses, qui bien placé, éveillait une ambition profonde dans le corps de la gente féminine. Il laissait donc ses lèvres embrasser cette partie sensible, ses doigts caressant ses cuisses avec sensualité pour accroitre l’humidité et l’excitation de son amante. Il l’entendait gémir de plus en plus fortement et cela ne pouvait que lui donner encore plus envie de la rendre folle. Il laissa donc une de ses menottes s’inviter à la danse de ses lèvres, venir frôler ces lèvres intimes qui sauraient allumer un feu sans précédent dans l’échine de la belle. Il laissa ses doigts s’immiscer au sein de ses caresses intimes, permettant à ces derniers d’accroitre l’émoi dans lequel se trouvait plonger la Coréenne.

Il souriait ravi, charmé par les sons et actions érotiques et ambitieuses de la jeune femme. La fleur de sa féminité n’attendait plus qu’à être cueilli, évoluer en une somptueuse rose, dont les charmes, seraient ravageurs. Il savait que ses actions éveillaient la femme fatale en elle. Une femme qui ne pourrait pas s’empêcher de réclamer ce qu’elle désire, assumant parfaitement cette partie en elle, qui voulait être dévorée et connaitre les méandres de ce paradis terrestre dans son plus simple appareil.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeVen 26 Déc - 2:11


Dans cette chambre masculine et inconnue, Lydia vivait ses premiers instants, découvrant l'étendue de sa féminité et de plaisir que pouvaient apporter les attentions d'un homme en compagnie d'Alessandro. Un choix qu'elle avait fait en se laissant porter par la confiance et l'admiration qu'elle éprouvait pour cet homme assuré et séduisant. Elle avait non seulement pas réussit à résister à ses avances, mais y avait céder, volontairement, venant mordre le fruit défendu d'elle-même, s'invitant chez lui.
Sans rien y connaitre, elle avait vu en lui la promesse de pouvoir plaisir, d'éprouver du désir tout autant que d'être désirable, mais jamais elle ne se serait réellement attendue aux instants qu'elle vivait. Allongée au cœur du lit, fébrile et brûlante, elle était sous l'emprise de ses caresses. Maître dans l'art de plaire aux femmes, il devait en avoir caressé bien plus d'une pour savoir aussi instinctivement comme lui offrir les gestes qui lui permettait de se délecter de sa présence.

Incapable de résister, elle se laissait glisser dans cette débauche, immorale au possible face à sa promesse d'être fidèle à son fiancé. Mais cette promesse ne faisait nullement le poids face à tout ce qu'Alessandro lui offrait. Elle trouvait ce soir auprès de lui ce dont Roman la privait malgré ses demandes, au point de la faire douter, perdre toute confiance en elle. Les yeux d'Alessandro, brûlant de fierté quand il la regardait, comme s'il avait sous ses doigts un magnifique présent lui donnait l'impression qu'à sa façon il pouvait veiller sur quelque chose de précieux au fond d'elle-même. Bercée par ce sentiment si agréable qui montait en elle, elle se sentait comme ivre, inapte à réfléchir à la moindre question simplicité. Elle ne savait qu'une seule chose, qu'elle voulait continuer de se laisser cajoler, rester à la merci des mains d'Alessandro, subir chacune de ses instances avec pour toute protestation des gémissements de plaisirs.

Malgré la facilité de cet homme à trouver chaque petit geste qui la ferait gémir agréablement, elle se sentait précieuse, en tant que personne, loin d'un vulgaire objet comme certain autres hommes auraient pu la faire se sentir. Attentif et aimant, il faisait attention à chacun de ses frémissements, avançant sans brûler d'étape, ayant à coeur son consentement autant que son bien-être pour la laisser atteindre ce doux plaisir voluptueux qui la traversait, sans rien demander en échange. Il prenait la situation en main, la guidant, lui apprenant d'abord cette luxure qu'il pouvait lui offrir et qu'elle ignorait.

La tête enfouie au creux des draps, elle se laissait porter par les caresses sensuelles prodiguées, sans prendre conscience que le désir de son compagnon commençait à gonfler sous son unique vêtement. Innocente, cela ne lui venait même pas à l'esprit, penser au fait qu'elle était entièrement nue sous le regard d'Alessandro était déjà en soit bien assez déroutant... ou du moins qu'elle le serait bientôt entièrement, elle le savait. Il la touchait avec des gestes simples, des caresses légères qui venaient caresser sa peau de soie et qui pourtant résonnaient dans son corps tout entier, la parcourant de sensation de bien-être, de frissons de désirs qui éveillait son appétit sans en connaitre vraiment le goût. Il la faisait espérer sans qu'elle ne sache ce pour quoi son cœur battait d'espoir et de plaisir.
Ses baisers parcourraient son ventre, la rendant brûlante, faisant pétiller une chose inconnue dans son bas ventre. Elle ne pouvait que se tendre vers lui, ondulant sous ses caresses et ses baisers pour laisser son corps venir à leur rencontre sans même y penser, poussée par cette ivresse, dictée par l'envie de sentir plus encore la douceur érotique que ses lèvres masculines lui offraient.

Alessandro glissa contre ses hanches, descendant à la bordure de sa petite culotte, y accordant grande attention. Ses baisers en tracèrent les contours, une vue et des baisers qui ne maquèrent pas de parcourir Lydia de frisson. C'était une zone si sensible et voir cet homme, si... masculin, sexy, attentionné déposer ainsi ses baisers, alors que ses doigts caressaient ses cuisses, cela faisait naître en elle une étrange satisfaction face à l'érotisme de cette scène... Il était tellement séduisant, il pouvait avoir toutes les filles à ses pieds et pourtant, il prenait son temps pour elle. Cela la rendait terriblement impatiente, enivrée par ce plaisir qui la submergeait.

Elle comprit en sentant ses doigts contre son bassin qu'il s'apprêtait à retirer le dernier vêtement qu'elle portait. Son cœur s'emballa un instant, de stress, d'angoisse. Pudiquement aussi, ce n'était pas pour rien que cela était appelé un jardin secret.... un jardin que personne n'avait jamais visité, mais qu'elle soignait avec attention depuis des moins, obtenant des conseils et des soins auprès d'une esthéticienne dans l'espoir de ne pas décevoir son fiancé s'il changeait d'avis. Mais aujourd'hui c'était l'avis d'Alessandro qui l'inquiétait, lui qu'elle espérait ne pas décevoir, qu'elle regarda avec crainte, retenant sa respiration, craignant que tout ne soit brisé à cet instant... trop, trop peu, elle ignorait ses goûts, attentes, habitudes, peu importe comment cela s'appelait... Terriblement inquiète, peu à l'aise de cette nudité, elle l'observait, les joues rosées ce désir qu'il lui faisait traversait. Son corps restait brûlant, demandeur malgré son inquiétude, nécessiteux de ses caresses en dépit de sa gêne.
Le regard d'Alessandro avait de quoi la faire rougir, il se tenait légèrement éloigné, observant ce qu'il venait de révéler, le voir mordre sa lèvre le rendait très sensuel. Elle avait l'impression que son cœur s'était arrêté de battre, suspendu à sa réaction. Il dû le percevoir, car il lui offrit un beau sourire, sincère, rassurant, dépourvu de crainte. Elle essayant de le lui rendre, mais douta d'être parvenu à y replacer ç la moindre confiance.

Elle ne savait pas ce qu'il allait faire ensuite. Son coeur se remit à battre, s'affolant à toute vitesse en le voyant approcher son visage de ses cuisses, hésitant presque à l'interrompre, prise de panique. Mais l'effet de ses lèvres contre sa féminité se fit ressentir immédiatement, lui faisant abandonner sa crainte, curieuse de cette nouvelle sensation. Cette chaude humidité venait l'embrasser, délicieusement, et elle mordit sa lèvre sous ce plaisir voluptueux qui la parcourut. Toutes pensées s'étaient évaporées sous l'emprise de cette vague qui venait la faire frémir, titillant son bas ventre de façon plus impatience que tout ce qu'il avait fait jusqu'à présent. C'était bon, délicieusement bon, peu importe combien ce geste l'avait surpris, elle n'avait plus qu'une seule envie, le laisser continuer, il pouvait faire ce geste étrange, cela la rendait terriblement folle. Enfoncée dans les draps qui n'étaient pas les siens, se mordre la lèvre ne lui suffit pas pour rester silencieuse, un gémissement de ravissement s'échappa de ses lèvres. Ses mains qui parcouraient le creux de ses cuisses ne l'aidaient en rien à se contenir, effaçant le monde autour d'eux.

Ce qui faisait était si agréable, paradoxalement elle découvrait son propre corps sous sa langue et les caresses d'Alessandro. Sa passion s'emballait, perdant tout lien avec la raison, ivre de cette luxure qu'Alessandro lui offrait, augmentant avec délice, et dans un doux jeu les émotions qui traversaient Lydia. Elle tremblait déjà quand ses doigts rejoignirent sa bouche, venant doucement entrer en elle. Les lèvres entrouvertes, elle soupira plus fort, gémissant à ce toucher. À cours de patience, incapable de rester immobile, la jambe de Lydia se releva, venant de fermer contre les côtes d'Alessandro, sans timidité à peine consciente de ce geste. Elle fit pression doucement, s'appuyant ainsi sur lui, modifiant légèrement sa position. Son bassin, friand de ce sort, pouvait se tendre plus facilement vers l'homme qui lui procurait ce bien-être... Ce plaisir qui s'immisçait en elle, sans qu'elle puisse le contrôler ou même l'anticiper ou l'attendre était terrible. Elle était instrument entre les doigts d'Alessandro, qui pouvait allumer à volonté chaque parcelle de son corps.

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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeSam 27 Déc - 18:55


Il avait bien pressenti l'angoisse de la belle Coréenne lorsqu'il avait initié ce geste résolument cocasse et coquin auprès de celle-ci. Il était évident qu'elle était encore bien innocente dans cet art, mais curieuse, elle se laissait délicieusement tenté par ce qu'il lui proposait. En homme respectueux et sensuel, il veillait à son bien-être, cherchant à identifier le moindre signe de refus de la jeune femme. Il ne voulait nullement aller trop loin, trop vite avec elle. La braquer serait un échec d'autant plus qu'il ne cherchait que son plaisir, qu'elle découvre en sa compagnie, cette félicité et plénitude intense que la luxure pouvait apporter à l'âme d'une personne. C'est pour cela qu'il se montrait doux, tendre dans ses caresses, baisers, laissant simplement ses lèvres effleurer les méandres du fruit défendu de la déesse allongée dans ses draps. Il prenait un plaisir malsain à effleurer ces parties sensibles de l'anatomie de la jeune femme, avoir ce doux pouvoir sur l'échine de la jeune pucelle qui succombait à ses charmes.

Al n'avait rien à lui envier. Il se trouvait résolument envouté par la sensualité et le goût aigre doux de la peau de Lydia, qu'il trouvait succulente. Il ne se gênait donc pas pour s'abreuver de son odeur, de sa saveur, cherchant par tous les moyens à obtenir les faveurs de la belle rose qui venait s'éclore à son contact. Un spectacle qu'il savourait avec une grande fierté et un intérêt particulier. Elle se trouvait si fébrile, si sensible à ses lèvres, le contact de ses phalanges au creux de ses cuisses. L'inquiétude des premières secondes semblait s'être évaporée comme neige au soleil. Elle succombait insidieusement aux méandres de ce plaisir intime et coquin qu'il lui offrait, s'enfonçant dans les draps telle une somptueuse créature. C'était exaltant. Il ne pouvait le nier, savourait le moindre des frissons, des gémissements de ravissement qui s'échappaient des lèvres de la Coréenne de plus en plus intensément. Cela ne pouvait que le glorifier, lui donnait encore plus envie d'accroitre l'émoi envoutant dans lequel elle se trouvait.

C'est donc tout naturellement qu'une de ses mains s'était dirigée au coeur même de la féminité de cette fleur pour venir renforcer l'excitation dans lequel il plongeait la jeune femme par ses actions. Il la sentit réceptive, soufflant d'autant plus son émotion dans cette sensuelle voix qui pourrait en faire fantasmer plus d'un. Un son mélodieux qui vint le faire sourire d'autant plus contre ce bouton de chair intime de la belle Coréenne qu'il prenait tant plaisir à malmener de ses lèvres, de sa cupide langue. Tout ceci semblait rendre gourmande la jeune femme, la sortant de cet état de léthargie due à son inexpérience. Elle releva sa jambe pour venir se fermer contre ses côtés pour faire pression doucement. Elle s'appuyait sur elle, modifiant légèrement sa position pour permettre la communion de sa bouche et de ses phalanges, un meilleur angle pour poursuivre ses actions. Il pouvait sentir ce bassin se soulever, venir réclamer les bienfaits qu'il lui procurait. Cela conférait à la jeune femme un érotisme dont il devenait lui-même friand. Il n'avait aucun doute. Lydia serait résolument une déesse lorsqu'elle accepterait, assumerait cet aspect de sa féminité. Indirectement, il ne refuserait nullement de l'aider dans cette action, y prendrait même un plaisir succulent.

Il accéléra donc la cadence de ses caresses intimes de ses doigts, jouant avec dextérité avec le jardin secret de sa belle pour y trouver les points régisseurs du plaisir féminin. Il finit par le trouver, pressant ses doigts avec douceur, mais ambitieux contre celui-ci. Il la sentit gémir plus fermement, d'une ambition incontrôlable, d'autant plus face aux bienfaits que prodiguait toujours sa langue donc ce petit bouton de fleur si ferme et ouvert à ses caresses. Il la sentait doucement perdre pied et cela ne pouvait que l'envouter, lui donnait envie de pousser la jeune femme vers cette plénitude terrestre, sans pour autant la conduire. Il avait un autre chemin en tête, lié à son propre besoin de découvrir les portes de cette ivresse merveilleuse avec sa compagne d'aventure. N'était-ce pas mieux de découvrir la magnificence de la luxure en étant mêlé à l'être de son partenaire ? Il en était convaincu et souhaitait la persuader que ce qu'il lui offrait à cet instant, n'était rien en comparaison de ce qu'elle vivrait lorsqu'il viendrait la posséder, lui offrir le bien être profond d'être la proie, la victime de la sensualité et le désir d'un homme qui savait traiter une femme comme il se le devait. C'est dans cette ambition qu'il vint mordiller légèrement ce bouton de fleur en le taquinant de sa langue tout en appuyant sur ce point sensible du bout de ses doigts.

Il la sentit se cabrer et cela ne put que le satisfaire d'autant plus. Il voulait qu'elle se laisse aller, qu'elle lui exprime ce désir de connaitre des sensations d'autant plus fortes. Il voulait juste un mot, un geste qui puisse lui faire comprendre qu'elle désirait qu'il continue, qu'il vienne la faire sienne. Il s'occuperait de tout pour lui faire connaitre ce bien-être qu'il lui avait tant promis. C'était un homme de parole, après tout.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeJeu 1 Jan - 22:29

Perdue dans les draps, à la merci du traitement d'Alessandro, Lydia se perdait. Elle ne se serait sans doute jamais reconnu, loin de s'imaginait un jour ainsi dans cette situation. Les joues rosées, ses prunelles grandes ouvertes, elle mordait sans cesse sa lèvre, rougie par les baisers d'Alessandro. Elle soupirait, impuissante face à cette torture qu'il lui offrait avidement.
La jeune femme essayait de ne pas réfléchir de trop, de ne pas se demander ce que lui en pensait de la voir agir ainsi, se comporter de façon si peu décente, incapable de retenir ses soupirs et ses gémissements. Est-ce qu'il aimait la voir ainsi ? Etait-ce agréable ? Plus ou moins que les autres femmes qu'il avait déjà touchés ? Combien ? Des flashs de questions qui allaient dans son esprit quand elle essayait de reprendre le contrôle sur ses émotions et son comportement. Des idées qui ne lui plaisaient pas, qu'elle préférait finalement fuir, oublier, qu'elle essayait de chasser.

Elle n'avait aucune emprise sur la réalité dans laquelle elle s'était embarquée. Elle pouvait sentir Alessandro contre elle, ses côtes brûlantes contre sa cuisse. Des frissons l'agitaient, incontrôlables. Son souffle taquinait son intimité, ses doigts la visitaient, précis, terriblement agile. Elle le laissait avoir ce contrôle sur sa personne, la visitant, la découvrant en même temps qu'elle même. Elle compris ce qu'il cherchait quand il le trouva, ce petit point invisible, insoupçonné jusque là dont elle ignorait tout. Elle gémit plus fort, agrippant les draps, goûtant à l'excitation qu'il faisait naître en elle.
Particulièrement sensible à l'humidité de la langue de l'homme sur son bouton rosé, jouant sans cesse, la rendant que plus sensible, elle restait les lèvres entrouvertes sous cette caresse qui saurait la faire fantasmer même après qu'il est fini, sans nul doute.

Il accéléra le mouvement de ses doigts, venant de plus en plus vite, cela lui fit un effet des plus étranges. Plus sensible encore, elle leva le coeur de ses hanches vers lui, laissant échapper malgré elle une discrète exclamation de surprise. Ce geste était une torture plus grande, source d'impatience, une soif pourtant pas entièrement satisfaite malgré que l'homme continuer son mouvement d'aller et venir, encore, continuant de la taquiner de sa langue. Le souffle court, le corps de Lydia était transporté par l'ivresse de cette inlassable caresse contre son intimité, ce mouvement en elle se lus en plus présent.
Un regard vers le bas lui donnait cette vue sur les épaules masculines entre ses jambes, maître qui avait prit possession de son corps et qui faisait d'elle une simple poupée, seulement capable de soupirer n se délectant de ce contact charnel exquis. Une impatience emballait ses sens, jusqu'à devenir un besoin, un besoin qu'elle ne comprenait pas bien, qu'elle essayait de satisfaire en approchant ses hanches, se cambrant vers lui, essayant de rejoindre les caresses d'Alessandro pour accéder une attente sans nom, une recherche brûlante poussée par un désir de moins en moins patient.

La jeune femme mordit sa lèvre un peu plus fort, avant d'essayer de capter l'attention d'Alessandro. « Alessandro ? Je... je crois que... ». Retrouver ses esprits, trouver ses mots étaient difficiles, l'ivresse des attentions qu'il lui portait était de plus en plus intense. « Je ne suis pas sûre... Je crois que... j'ai besoin de.... » Elle rougit, resserrant un peu ses cuisses de timidité sous son regard qui était venue chercher le sien. Il avait brûlait d'en entendre plus, se délectait de son interruption, elle le réalisait, ne pouvait qu'en rougir. Dans un murmure, elle termina sa phrase « J'ai envie que tu ailles plus loin... je crois... s'il te plais Alessandro. ». Une supplication sensuelle, enfouie dans ses draps, ses doigts se réfugiant dans les draps et dans les mèches de ses cheveux longs...

Elle l'observa remonter vers elle, terriblement virile, près à la conquérir, la posséder d'une autre façon. Véritable amalgame de sentiments et de pensées pour la jeune coréenne. Elle était sous son charme, immensément flattée de l'attention qu'il lui apportait. Cet homme dégageait tant d'érotisme, l'image même du mot masculin à cet instant aux yeux de la jeune femme. Sa peau brûlante dégageait un parfum qui envoûtait ses sens, ses lèves rougit de ses caresses offertes étaient tout simplement attirante... et pourtant en dépit de tout cela, elle tremblait, craignant un peu ce qu'elle venait de demander...

Quand son visage vient la surplomber, son corps presque nu dominant le sien, elle prit conscience qu'elle n'avait toujours pas découvert sa virilité. Elle s'en inquiétait... Mais moins qu'une autre question qui devait s'échapper de ses lèvres. « Est-ce que ça... fait mal ? » Elle tordit un peu sa bouche, malgré son innocence elle avait déjà entendue une amie lui assurer qu'une première fois était toujours douloureuse. Les lèvres tremblantes, elle posait la question à Alessandro, sans compter reculer, voulant juste savoir à quoi s'entendre. Ce qu'il lui avait offert jusqu'à présent avait était un véritable délice, même si la suite pouvait être douloureux, elle voulait continuer. Pour faire plaisir à Alessandro... et par curiosité. Instinctivement, elle sentait que le creux de ses hanches espéraient la venue d'Alesandro. Elle osa relever les yeux vers lui après les avoir baissés quelques secondes face à cette question. Elle préféra préciser « Peu importe, hein ? Je veux savoir comment c'est de... te sentir en moi. » Timidement, elle remonta sa jambe contre celle d'Alessandro, laissant sa peau caresser la sienne délicatement, l'appelant à poursuivre ses caresses et plus encore. Elle était sûre de le vouloir.


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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 4 Jan - 15:37


Il était particulièrement attrayant pour tout homme de voler la fleur de l'innocence d'une jeune femme. Cela ne pouvait que provoquer un sentiment puissant au sein de la poitrine d'un homme, une fierté non équivoque qu'Alessandro avait toujours savourée avec une profonde plénitude. Il trouvait cela merveilleux, s'en sentait toujours profondément honoré lorsque l'opportunité se présentait à ses yeux. Il ne pouvait donc que s'appliquer à la tâche, faire en sorte que cet instant unique, reste marquer dans l'esprit de la demoiselle qui partageait son lit. Il ne savait pas ce qu'il allait advenir de cette relation qu'il avait avec la Coréenne. Alessandro était habitué aux passages, aux relations qui duraient que quelques jours, pourtant cette fois-ci, il y avait quelque chose dans la psychologie, le caractère de la jeune femme qui l'attirait particulièrement. Il la trouvait amusante, rafraichissante. Il était tellement aisé de la taquiner, lui faire perdre contenance, cela était particulièrement intéressant à observer. Même à cet instant, la réserve qu'elle mettait dans ses gestes, dans sa lutte pour camoufler son plaisir, lui donnait d'autant plus envie de la taquiner plus intimement, de lui faire connaitre un sentiment si profond qu'elle ne pourrait plus se contenir, se montrerait telle qu'elle était : une fleur en pleine éclosion !

Un spectacle somptueux qui se présentait délicatement à ses yeux. Il pouvait sentir le bassin de sa belle arquer du bassin, venir à la rencontre de ses doigts, de ses lèvres dans des actions ô sensuelles. Il la trouvait magnifique et s'appliquait à sa tâche avec beaucoup de dévotion et douceur. Elle se trouvait de plus en plus impatiente et il n'attendait plus qu'une réaction de sa part qui lui réclame de poursuivre sur la lancée que prenait leur relation. Il se soumettait au désir de la jeune femme, ne voulait nullement la brusquer sur cette voie étourdissante qui saurait marqué sa chair à jamais. Il n'y avait nulle vanité dans ses paroles, mais Alessandro savait ô combien cette découverte pour la première fois avec un être pouvait envouter ses sens à jamais. Lui-même se souvenait de sa première fois, y attachait un souvenir pénétrant qui le faisait sourire lorsque sa route l'amenait à croiser la route de celle qui avait partagé cette nuit à ses côtés. C'était toujours agréable de pouvoir se souvenir de façon positive les doux moments qu'on avait pu passer avec quelqu'un. Il espérait qu'il en soit de même pour Lydia, son but n'étant que de lui offrir ce bien-être pénétrant qu'une nuit de luxure pouvait provoqué au sein des entrailles d'un être. Elle finit par atteindre ce point de non-retour, elle souffla son prénom, lui murmura qu'elle pensait qu'elle avait besoin de le voir aller plus loin. Elle était hésitante dans ses paroles, sa voix chaude, saccadée par ce plaisir envoutant qui devait lui faire perdre la tête. Al la fixait avec douceur et une pointe d'amusement dans le regard. Elle était vraiment mignonne, sexy avec cette expression, ses rougeurs teintant son teint naturellement pâle.

Elle lui suppliait de le faire, sachant particulièrement flatter l'égo de l'italien qui ne se fit pas plus prier pour venir la surplomber sur le lit. Elle était si belle, le regard qu'elle lui portait était pénétrant, intéressé et sensible. Elle était indéniablement sous son charme, son corps tremblant sous le contact à peine visible de leurs deux êtres. Alessandro en appui sur ses bras, était en équilibre au-dessus d'elle et admirer l'état de fébrilité dans lequel elle se trouvait grâce à ses actions. Elle lui souffla dans un murmure, une question légitime qui le fit sourire attendrit. « Toujours un peu lors d'une première fois, mais il suffit que tu me fasses confiance et te décontracte comme tu es parvenue à le faire jusqu'alors. » Il laissa une de ses mains se perdre tendrement sur sa joue alors qu'elle relevait le regard vers lui. Cela lui importait peu, elle voulait savoir comment c'était de le sentir en elle. Al souriait tendrement à ses mots alors qu'elle venait remonter sa jambe contre la sienne, la frôlant dans de doux mouvements. « Fais-moi confiance, alors, je te traiterai bien... N'aie aucune crainte et si tu as mal, n'hésite pas à me le dire. » Il ponctua ses mots par un doux baiser alors qu'il caressait sa nuque avec douceur avant de se relever doucement. C'est à regret qu'il vint s'éloigner de la jeune femme pour venir retirer son boxer, le faire glisser sur ses cuisses avant de retrouver le sol. Sa fierté quant à elle se trouvait particulièrement révélatrice de l'ardeur dont elle était possédée. Tendue, terriblement fière, elle se présentait au regard troublé et timide de son amante.

Cela le fit sourire tendrement alors qu'il venait se pencher au-dessus d'elle pour récupérer un préservatif dont il ouvrit le sachet avec délicatesse avant de venir orner son intimité. En temps normal, il aimait particulièrement demander à ses amantes de le recouvrir de cet objet, rendant l'intimité et la complicité plus grande, mais Lydia semblait bien trop anxieuse, encore trop intimidée pour qu'il ne le fasse. De ce fait, il se présenta sagement prêt à l'ascension de ce corps si délicieusement longé sous ses yeux. Le regard doux, mais brillant de luxure, il vint se mouvoir de nouveau au-dessus d'elle, laissant ses lèvres de nouveau recueillir celle de son amante pour y susurrer. « Es-tu prête, Lydia ? » Sa voix s'était faite suave alors que ses doigts glissaient sur ses côtes, retrouvant la courbe sinueuse des hanches de sa belle. Il laissa ses menottes se mouvoir avec sensualité contre ses aines, le creux de ses cuisses qui vinrent de nouveau s'ouvrir pour lui permettre de retrouver le cœur de sa féminité. Le sourire doux, tout en venant poursuivre ses baisers contre sa mâchoire, sa nuque, le creux de son oreille, il se plaça au creux de ses cuisses, présentant sa virilité au cœur de ce fruit défendu. Dans une action douce et lente, il s’immisça au creux de ses entrailles, savourant le contact étroit de ce corps qui connaissait ce toucher pour la première fois. De nature tendre, il laissait ses phalanges caresser le creux de ses muscles qui s'étaient refermés autour de ses hanches dans un mouvement brusque, surprise par cette intrusion étrange.

Il l'observait avec attention, ses lèvres baignant ce visage qui malgré une certaine appréhension, douleur, découvrait de merveilleux frissons. Il pouvait sentir son souffle court baigner sa peau, sa poitrine se coller à son torse avec force lorsqu'elle tentait de reprendre sa respiration. « Tu es magnifique, Lydia... » Souffla-t-il contre son oreille comme un aveu alors qu'il s'était immiscé totalement, sentant ses entrailles s'embraser délicieusement. « Tu me rends terriblement gourmand... » Il mourrait d'envie de se mouvoir au creux de ses reins, mais patientait, attendant le feu vert de la Coréenne, qui semblait doucement s'habituer à sa présence. Pour l'instant, il embrassait la peau de sa nuque, visage dans de milliers de baisers papillon, tandis que ses doigts caressaient la chair à leur portée. Il cherchait par tous les moyens à lui faire connaitre le plaisir d'être caressée et possédée par un homme.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeDim 18 Jan - 23:42

Elle rougissait de ses propres propos, de l'état dans lequel elle était. Aucun doute que cela n'avait plus rien de décent, pas plus que sa tenue que ce qu'elle avait laissé Alessandro lui faire ou ce qu'elle venait de lui demander. Il ne devait plus y avoir de retour en arrière possible, même si elle lui demandait de s'arrêter maintenant et quand bien même il le faisait, elle ne pensait pas pouvoir oublier facilement cet émoi en elle. Une envie terrible, insatisfaite était née au fond d'elle, au cœur de ses entrailles. Arrêter tout maintenant aurait sans doute était d'une frustration trop grande qu'elle n'avait aucune envie d'expérimenter. Mais Lydia n'en restait pas moins inquiète.

La vie commune avec son fiancé n'avait fait que mystifier un peu plus à ses yeux les relations hommes femmes, des mois avec lui sans apercevoir la moindre parcelle de son intimité ne l'avait pas aidé à se sentir plus en confiance face l'idée de voir un homme dans son plus simple appareil. C'était devenu un dilemme autant qu'un complexe et un mystère. Cette interrogation face à ce qui allait suivre ne quittait pas son esprit même si, en levant les yeux vers l'homme qui la surplombait, elle n'arrivait plus à ordonner ses pensées correctement. Elle n'avait pas peur de lui, en tant que personne, son regard était doux, brillant devant cette situation qui lui plaisait sans aucun doute, mais en aucun cas effrayant. Tout comme chacun de ses gestes à son encontre étaient tendres. Ses doigts caressaient son visage alors qu'il prenait le temps de l'observer. Il lui sourit. Oui, ça faisait toujours un peu mal la première fois. Elle s'en doutait, mais l'entendre le dire de sa bouche avec quelque chose de rassurant, il ne lui mentait pas, pas plus qu'il ne voulait l'inquiéter. Il lui conseilla de lui faire confiance et de se décontracter, comme elle l'avait fait jusqu'à présent.

Lydia n'était pas sûre d'avoir été décontractée depuis qu'elle était venue dans son appartement, mais si ce qui précédait n'avait pas paru trop stressé à Alessandro, c'était déjà ça. Elle le croyait quand il disait qu'elle pouvait lui faire confiance, qu'il la traiterait bien. Elle loin de se sentir mal traiter en effet, bien au contraire. La main d'Alessandro caressait tendrement sa joue, son regard mêlé de douceur et d'intérêt la faisait se sentir belle et attirante. Il couvrait son égo blessé d'un voile tendre et sensuel, à chaque baiser, à chaque sourire, tel un baume magique qu'elle n'aurait peut-être trouvé nul par ailleurs. Si hocha timidement sa tête quand il lui demanda de le lui dire si elle avait mal.
Il s'avança et elle rejoignit ses lèvres avec plaisir, ravi de cette action qui servait si bien à la rassurer. Sa main glissa de sa joue pour caresser sa nuque un instant, un dernier contact avant qu'il ne recule pour se redresser.

Le cœur de la jeune femme palpita, son rythme cardiaque s'affola en même temps qu'elle tandis qu'elle réalisait pleinement ce qu'il s'apprêtait à faire. Sans y penser, les yeux malgré tout rivés sur lui, elle glissa la main dans ses cheveux, attrapant une mèche qu'elle rapprocha de son visage, portant ses doigts contre ses lèvres, vague mouvement pour protéger un peu un de ses seins et masquer une petite partie de son visage. Elle ne savait pas à quoi s'attendre devant cette partie de l'anatomie masculine. Elle ne pouvait que constater le changement qui était apparu sous le tissu du boxer, un changement de taille dont elle détourna vite les yeux.
Son regard revient pourtant vers lui quand l'homme fit glisser le vêtement au sol. Elle lui accorda un premier petit regard fébrile, s'empressant de remonter vers le visage d'Alessandro tant cette vue lui était étrange, l'impressionnait tout bonnement. Elle se sentait dépassée, réalisant pleinement son ignorance et ce dans quoi elle s'était embarquée. Elle se sentait plus en sécurité avant, quad il était plus près. À présent debout au pied du lit, l'homme semblait plus grand, plus impressionnant et c'était sans parler de... ce qui était caché au préalable sous le tissu et qui était maintenant visible, une virilité forte et tendue, si fière qu'elle en venait à la craindre.

Même si elle ne l'aurait pas cru possible, son cœur s'affola un peu plus quand Alesandro s'approcha à nouveau, se penchant au-dessus d'elle pour récupérer un objet un peu plus loin. Elle se sentait son corps s'agitait de petit tremblement nerveux qu'elle tenta de dissimuler en continuant d'enrouler ses doigts autant de ses cheveux. Sagement, elle évita de suivre le mouvement de la main d'Alessandro qui redescendait pour mettre ce qu'elle avait deviné être une protection.
Pourtant, peu importe combien elle se sentait à nouveau soudainement intimidée maintenant qu'elle réalisait ce qu'était la masculinité d'Alessandro et combien il était "vraiment homme"... oui malgré cela, elle fut captivée par lui à nouveau quand son visage revient l'embrasser. Elle se sentait intimidée autant qu'elle avait envie de ses baisers. Elle plongea dans ses yeux tandis qu'il lui demandait si elle était prête, d'une voix terriblement sensuelle. Il était à son écoute, attendait encore, indéfiniment et toujours son accord. Elle pouvait lire dans ses yeux un désir qu'elle lui enviait, cette assurance de savoir ce qu'il voulait à cet instant, une envie qui était claire comme de l'eau de roche. En dépit de cette peur de l'inconnu, de l'impression de force qui se dégageait de la vue qu'elle avait eut, si intimidante, elle ne voulait pas reculait. Au-delà de la raison et de son esprit qui chercher une protection, elle avait une envie, une attente plus grande, un désir profond de continuer sur cette voie qu'il éclairait patiemment pour elle. Aussi  embarrassée qu'elle était, elle voulait par-dessus tout continuer de gouter à l'intimité que lui offrait son amant.

Fidèle à elle-même, la jeune femme hocha la tête pour répondre silencieusement à sa question. Elle n'osait détacher son regard du sien. Les doigts d'Alessandro glissèrent contre ses hanches, taquinant sa peau. Cela n'avait de cesse de réveiller cette étrange sensation qu'elle avait dans le creux des reins, comme un petit picotement titillant son intimité qui la rendait nécessiteuse... À la caresse dans le creux de sa cuisse, Lydia se décontracta un peu pour le laisser venir plus près, s'installer entre ses jambes.
La main tremblante, elle vint effleurer l'épaule d'Alessandro. C'était encore un interdit pour elle et pourtant elle se l'autorisait, timidement. Les yeux clos, elle était fébrile face aux baisers de l'homme qui parcourait sa joue et le creux de son cou, son souffle la faisait frémir.

Et puis finalement, elle le sentit. Un contact doux et ferme à l'orée de sa féminité, d'abord sage avant de venir en elle. Imposant malgré sa douceur, elle ne pouvait ignorer sa présence. Alesandro s'immisçait en elle, usant de petit mouvement pour se frayer un chemin là où aucun autre n'était jamais venu. Le souffle court, les yeux clos, Lydia  rapprocha son visage de celui d'Alessandro, étouffant un gémissement de surprise du mieux qu'elle put. Progressivement il s'avança au cœur de sa féminité.
Ce n'est qu'en sentant la caresse de son amant contre sa cuisse qu'elle réalisa l'avoir fermé contre lui. Elle souffla doucement tandis qu'il venait se fixer, entièrement en elle, lui donnant quelques instants pour s'adapter. C'était étrange, une sensation confuse, paradoxalement elle sentait une certaine douleur dans le creux de son bas ventre et pourtant.... une partie d'elle était intéressée par ce contact nouveau, cette sensation d'avoir en elle une part d'Alessandro. Elle en avait le souffle court. Le cœur battant, elle sentait monter en elle une délicieuse satisfaction. Son corps réagissait à cette présence masculine. Lydia rouvrir les yeux pour rencontrer à nouveau le regard d'Alessandro. Malgré cette petite douleur sourde, elle le regarda à demi émerveillée de cette nouvelle expérience, éloignée de ce qu'elle avait pu imaginer. Elle savourait cette présence chaude en elle, enivrante qui la rapprochait de lui plus qu'elle ne l'aurait crue. Naturellement elle lui sourit. Peu importe qu'elle ai mal, ce ravissement à le sentir primait. Et face à son regarde elle ne pouvait que se sentir un peu plus femme au milieu de ses draps.

Dans le creux de son oreille, Alessandro vient lui murmurer qu'elle était magnifique. Elle le rendant terriblement gourmand. Les lèvres tremblantes d'émotion, Lydia frémit contre lui à cette confession. Il savait comment la cajoler, reprenant ses baisers, parcourant sa peau sans en avoir jamais eu de trop. Elle s'offrait sous ses caresses, ses délices qu'il lui concédait, réveillant à chaque fois un peu plus d'avidité au fond de ses reins. Sans y réfléchir, se laissant porter par la confiance qu'elle avait pour lui, elle enroula timidement ses bras autour de sa nuque. Friande de sa présence, elle se risqua à caressa du bout des doigts son épaule, savoura le contact de sa peau ardent contre la sienne. Elle avait envie de le sentir un peu plus en elle, de goutait à nouveau à ce mouvement qu'elle pu percevoir un instant auparavant. Lydia caressa la nuque d'Alessandro et vient déposer un léger baiser contre son épaule, goutant à sa chaire brulante, enivrée par cette pluie de baisers et sa présence en elle.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeVen 23 Jan - 22:09


Lydia n'était résolument pas la première femme dont il venait voler la fleur de l'innocence. Sans être un expert dans cet exercice, il avait eu de multiples occasions de venir cueillir ces roses si délicates. Lydia était sans doute l'une des plus belles. Elle était d'une beauté exquise qui rendait cette aventure particulière grisante. Elle avait quelque chose qui le charmait, lui plaisait réellement. Il se sentait bien au creux de sa féminité, curieux et gourmand. Il avait cruellement envie de lui faire connaitre les méandres de ce plaisir qu'elle méconnaissait. Il prenait cela comme un honneur qu'il prendrait soin à réaliser pour lui montrait ô combien, une femme pouvait gagner en érotisme et assurance dans les bras d'un bon amant. Un amant bien loin de l'image de cet homme peu avenant qui la traitait avec si peu d'égard et qui possédait un pouvoir psychologique sur la Coréenne. Inconsciemment, c'était ce côté qui l'avait attiré à lui, lui avait donné envie de creuser pour en savoir plus. La vérité était inquiétante. Comment une femme si belle au corps si fin et joliment dessiné pouvait tant méconnaitre son pouvoir de séduction. Il comptait éveiller cette rose, la faire resplendir de mil feu pour lui faire découvrir cette satisfaction d'être l'objet de désir d'un homme.

Il la couvrait donc de baisers, parsemant sa nuque, son visage de milliers de baisers en caressant le creux de ses cuisses. Il essayait de la rassurer, d'amoindrir cette douleur indispensable à la première union. Il la flattait par ses mots, la mettait en confiance pour tenter qu'elle se décontracte et profite de cette rencontre tout comme il était en train de le faire. Le sourire qu'elle lui tendit lui fit comprendre que c'était le cas. C'était une petite victoire en soi et il appréciait la vue et le regard qu'elle lui offrait. De nature timide, réservée, l'échine de la Coréenne sembla prendre vie à son plus grand plaisir. Il vint donc satisfait de la voir agir de la sorte, mêler ses bras autour de sa nuque. Il savoura la légèreté de ses caresses et actions. Elle le touchait indéniablement par son inexpérience, sachant parfaitement éveiller sa bienveillance. Il la laissait donc agir contre sa chair, caresser son épaule contre laquelle elle vint déposer ses lèvres. C'était des actions douces et délicates qui ne pouvaient que l'attirer. Elle se sentait bien, elle le lui communiquait au travers de ces gestes pourtant bien timides. Il y était sensible bien évidemment. Il laissa ses lèvres embrasser le creux de la nuque de la jeune femme, plongeant son visage au creux de celle-ci alors que ses doigts remonter ses aines en rejoignant sa hanche. Il laissa ces cupides comparses suivre la courbe de ses côtes, venir rejoindre les formes rondes et délicates de sa poitrine. Il la frôlait avec sensualité, savourant les frisons qui parsemaient la peau si blanche de cette rose immaculée.

Du moins, en apparence puisqu'il l'avait déjà cueilli, savourant l'étroitesse de sa féminité, l'émoi dans lequel cette rose se trouvait. Elle était prête à éclore et il dut reconnaitre que son ambition était celle-ci. D'un mouvement de hanche, il amorça un mouvement de retrait lent et langoureux, pour l'acclimater à ce contact, éveiller sa chair. Sa fierté explora ce lieu inexploré, presque interdit avec sensualité, savourant le léger soupir qui s'extirpait des lèvres de la demoiselle. Du bout de ses doigts, il venait effleurer les boutons fermes et éveillés de cette poitrine. Il prenait plaisir à la taquiner, les toucher, trouvant leurs textures agréables sous son toucher. Il faut dire que ces caresses semblaient intensifier le feu au sein de ses entrailles qu'il explorer dans des gestes très lents. Ses lèvres n'avaient de casse d'embrasser cette peau blanche près de la mâchoire de la jeune femme, remontant au creux de son oreille pour la mordiller. Il désirait éveiller de nouveau son émoi, lui faire oublier cette inévitable douleur et il s'appliquait. Il laissa son souffle chaud frôler son oreille, laissant sa gorge exprimer un léger gémissement. Il devait reconnaitre qu'il avait cruellement faim. Les préliminaires avaient provoqué une véritable fournaise dans ses entrailles et il devait reconnaitre que ces caresses étroites savaient particulièrement éveiller et satisfaire son valeureux guerrier. Debout et fier, il commença à onduler plus profondément du bassin dans des mouvements un peu moins légers, plus conquérants. Il remarqua aisément que cette action de sa part troubla la jeune femme qui était venue souffler plus fermement contre son épaule.

Ses doigts toujours en place sur cette poitrine, ils l'honoraient de leurs caresses, savourant le chaos existentiel qu'ils percevaient sous leurs passages, leurs cajoleries. Son coeur tambourinait tel un fou dans sa poitrine, cela le réjouissait et animait son ambition. Tandis que ses reins prenaient l'habitude de sa présence, il se laissa aller petit à petit pour lui prouver sa bonne foi. Très naturellement son bassin vint finalement trouver une cadence plus langoureuse et ambitieuse. Il souffla son prénom contre son oreille, pour tenter de lui partager le feu qui grondait en lui. Il la possédait entièrement et venait l'honorer telle une merveille, une déesse. Il n'avait de cesse de caresser sa poitrine, jouait avec aisance avec les points régisseurs du plaisir de sa belle. Il finit par frôler le point sensible de la féminité de la belle et il se décala pour admirer l'érotisme de son visage. Lydia était magnifique. Son expression résolument envoutante dans l'acte charnel et il venait se relever doucement en appui sur une de ses mains pour l'admirer, améliorer l'angle de rencontre entre leurs deux bassins. Ceux-ci se firent plus intenses et profonds, créateurs de véritable picotement au creux de ses reins qui le rendait d'autant plus gourmand. Alessandro l'observait dans ses draps, admirer la magnificence de ses traits pris par le plaisir de la chair.

Il se mordillait la lèvre en laissant échapper de doux soupirs en venant rejoindre le creux de la poitrine de son amante pour la dévorer des lèvres tandis que sa main libre, cupide et coquine venait redescendre l'une de ses aines pour rejoindre le creux de cette féminité assailli pour participer à son émoi. En effet, elle s'immisça au creux de cette féminité, non loin de sa fierté pour caresser ses commissures intimes. Il laissa ses doigts taquiner ce bouton avec sensualité et ambition. Il la savait sensible à ce point et il en fut convaincu lorsqu'il la sentit gémir plus fortement. Elle était incroyablement fébrile et il l'était tout autant alors qu'il le possédait de plus en plus passionnément et avec fougue. « Tu es magnifique... » Souffla-t-il contre l'un de ses seins qu'il mordilla avec passion, savourant la chaleur de sa peau qui lui laissait clairement entrevoir le feu qui se consumait inexorablement dans ses reins. Il la sentait prête à rejoindre les portes de ce paradis et cela le glorifiait cruellement tant il avait envie de l'amener à ce point de non-retour. Il désirait faire d'elle : une femme.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 9 Fév - 0:26

Lydia brûlait sous le corps d'Alessandro. Elle pouvait sentir la chaleur de sa peau, tout aussi chaude que la sienne, et l'odeur sensuelle qui en émanait. Il l'entourait de sa présence, ses lèvres courant contre sa mâchoire et son cou, caressant sa peau de ses lèvres et de sa langue. Elle savourait chacun de ses baisers, son souffle irrégulier était pourtant presque en rythme avec celui de l'homme. Son esprit et son cœur s'enflammaient, laissant loin derrière toute raison. La présence d'Alessandro en elle devenait un peu moins étrange, elle s'y habituait doucement se décontractant un peu alors qu'il entamait un doux va-et-vient.

Peut-être était-ce cette ivresse qu'elle ressentait qui la déboussolait et lui faisait voir ce qui n'était pas, mais elle sentait intimement proche d'Alessandro, plus que de par sa présence en elle, c'était quelque chose de plus fort et différent. Il dégageait une aura chaleureuse et protectrice, sans promesse, mais pourtant sincère et présente. Il était près d'elle, entièrement, comme si chacune de ses pensées était en harmonie avec ce qui se passait entre eux. La jeune femme se détendait, se laissait bercer par sa douceur et ses attentions, ses baisers qui parcouraient son cou, ses doigts qui venaient caresser sa poitrine, titiller ce petit mont déjà si sensible, éveillant de doux frissons contre sa peau. Le souffle de Lydia vibrait contre la peau d'Alessandro alors se mouvait, lentement, en elle. Les lèvres entrouvertes, elle se laisser aller, s'offrait à ces baisers si délicieux, se laissait choyée. Elle se laissait porter par ce mouvement en elle, enivrant, savourant sa lenteur, sa présence, cette sensibilité dont elle découvrait la magnificence.
Ce mouvement lascif la ravissait. Instinctivement, Lydia laissa ses hanches suivirent ce mouvement langoureux, timidement, le rejoignant pour le sentir un peu plus profondément en elle. Elle tremblait d'émotion, fiévreuse sous ce corps si érotique qui la surplombait.

Les baisers d'Alessandro se firent de plus en plus intenses alors qu'il venait frôler le creux de son oreille. Le petit gémissement qui s'échappa de ses lèvres fit frémir Lydia, comme une confession d'un trouble qu'elle aurait pu éveiller en lui... Elle était peut-être émue, troublée et enivrée à cet instant, mais il l'était également, il ne mettait pas seulement en pratique ses talents, il partageait avec elle cette fièvre, cette envie qui lui faisait perdre tout contact avec la réalité. Elle fut surprise de se sentir grisée en entendant ce doux son contre son oreille, comme une victoire elle ressentie une petite pointe de fierté à sentir cet homme si grand et si séduisant, si différent d'elle, expérimenté et qui devait avoir connu de nombreuses femmes, gémir ainsi, en elle... pour elle...

Le cœur fou, elle le sentit amplifier ses mouvements, changeant le rythme de ses reins, optant progressivement pour une autre danse. C'était différent. Agréable aussi. Avec satisfaction, elle le sentir venir en elle, plus inquisiteur, plus envahissant et gémit, savourant cette fabuleuse sensation, le corps palpitant, sensibilisé par les caresses incessantes d'Alessandro. Brulante, elle perdait le fils, s'approchait de lui. Elle voulait suivre son rythme, l'inviter à poursuivre, le laisser venir tout entier, qu'il puisse continuer de la ravir comme il le faisait. Elle avait de plus en plus de mal à respirer silencieusement, le souffle saccadé, de silencieux soupirs s'échappaient de ses lèvres.
Cela le rendait plus sensuel qu'auparavant encore, entre deux frissons de désirs, elle profita de la vue qu'elle avait de lui ainsi, si masculin, si... la surprise s'afficha sur le visage de Lydia quand il toucha en elle quelque chose de bien différent, un point dans le creux de son ventre infiniment plus sensible, tant qu'elle ne pu retenir un gémissement en s'enfonçant au creux des draps. Un instant, elle se demandant comment il pouvait faire cela, par quel pouvoir il pouvait la troubler de la sort, créer ce point à la sensation si déroutante et la parcourir ainsi de plaisir... Il continua, cupide, avide de ce savoir qu'il avait, elle l'aperçut se reculer, s'éloigner un peu d'elle pour mieux l'observer. Un vague instant, elle eut conscience de cet état d'abandon dans lequel elle e laissait aller. Lydia essaya de porter ses doigts à ses lèvres, de se contenir, mais un nouvel allé d'Alessandro mit en échec tout effort, un nouveau gémissement de plaisir s'échappa de ses lèvres.

Perdue face à ce désir enivrant, ne sachant comment gérer le plaisir qu'elle ressentait et bien incapable de réfléchir, elle tendait ses hanches vers lui, empressée de retrouver son contact, sa présence, de le rependre en elle.
La main d'Alessandro glissa près de son bas ventre pour venir titiller et taquiner à nouveau ce bouton de plaisir si sensible au creux de ses jambes, soupirant son prénom dans le creux de son oreille. Lydia gémit de plus belle, une supplication pour qu'il poursuive, qu'il en finisse tant elle allait explosée. C'était une impulsion, un désir brûlant de le sentir encore, encore un peu plus en elle. Il souffla contre sa peau qu'elle était magnifique, elle lui répondit dans un soupire en soufflant son prénom, à peine consciente.
Et puis cela vient, sans qu'elle ne s'y attendant, alors qu'elle rejoignait le mouvement d'Alessandro, une vague la parcouru, bouillante de plaisir, la faisant trembler, lui arrachant un gémissement sans retenu qu'elle étouffant contre l'épaule de l'homme, tremblante. Elle se tendit vers lui, passionnément, transpercée par cette jouissance qui emporta un instant sa conscience.

Lydia retomba contre les draps, abandonnée de cette vague, le corps brûlant et le cœur battant à un rythme effréné. Ses reins rejoignirent encore ceux d'Al, l'accompagnant encore dans ce mouvement qui restait délicieux même une fois cette vague passée. Son partenaire ne tarda pas à l'imiter, soupirant en se raidissant quelques instants en elle, le visage contre sa joue, avant de venir reposer son torse contre sa poitrine.
Tremblante, Lydia caressa du bout du doigt l'épaule de cet homme contre elle, habitée par un sentiment de relaxation qu'elle n'avait jamais senti avant. Elle se sentait, bien, tout bonnement bien. Elle appréciait le poids de d'Alessandro contre elle,, sentir sa présence encore un instant avant de devoir revenir à quelque chose de plus terre à terre, plus réel... Elle n'avait pas envie de s'évanouir hors de ce rêve, cet instant qui semblait irréel. Son regard croisa celui d'Alessandro. Les lèvres tremblantes, elle murmura la voix roque « Merci.. ». Un mot sans doute étrange à cet instant, mais qu'elle ressentait au plus profond d'elle même, un sentiment de gratitude qu'elle n'arrivait pas à contenir.
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 9 Fév - 18:59


Alessandro s’exécutait à sa tâche avec une douceur et une passion sincère et digne. Il faisait d’elle une femme, lui permettant de ressentir ses émotions si intenses et étourdissantes, si pénétrantes et addictives. Il transformait ce bouton de rose en une merveilleuse plante qui ne demandait qu’à exprimer sa magnificence, sa saveur, son érotisme. Il la trouvait belle, magnifique dans ses draps, le corps et l’âme emplie de cette excitation qu’il venait si admirablement faire croitre en elle. Elle lui était entièrement soumise, sa chair venant réclamer ses caresses et actions. Il profitait de ces contacts, la couvrait de mil attentions pour lui offrir ce précieux souvenir qu’il lui avait promis. Il en avait envie. C’était une évidence ! La Coréenne était une magnifique fleur qu’on avait envie de croquer telle une abeille pour savourer son goût unique. Il se donnait pleinement à cet échange, oscillant de plus fermement du bassin pour accroitre la tourmente de son amante, lui faire ressentir à trois cent pour cent, les frisons que tout ceci pouvait lui prodiguer.

Il était sur la bonne voie, n’avait nul besoin de le lui demander, l’admirant pleinement de ses prunelles avides et intenses. Il s’était retiré brièvement d’elle pour l’admirer si somptueuse, une véritable déesse de la luxure, à la fois si érotique et timide. Après cette nuit, cette jeune rose n’aurait plus peur de brillant, du moins, moins qu’auparavant. Il s’appliquait à lui donner les moyens de se sentir femme, divine. Il laissait ses lèvres, ses mains lui prodiguer toutes ses caresses intimes et brûlantes, ses reins venant réclamer leurs dus tout en se montrant particulièrement habiles pour que ce plaisir soit partagé. C’était délicieux, sa peau délicate et brûlante, si disposée à être sa victime. Elle se tendait inexorablement sous ses coups de reins, perdant la tête, son esprit enveloppé dans ces nuages qui l’amenaient tout droit vers le paradis terrestre. Elle finit par l’atteindre, sans crier garde, de façon si naturelle. Le corps de la belle sembla être pris victime d’une vague fulgurante, intense et brulante. Elle se cambra de plaisir contre son torse, étouffant son plaisir contre son épaule à laquelle elle s’était rattachée.

Un spectacle dont il ne perdit pas une miette, permettant à son valeureux soldat de poursuivre sa bataille avec dignité, fier et glorieux d’être parvenue à la gagner. Pourtant, il était sur le point de flancher, de rendre les armes avec la même force que le corps de Lydia. Cela ne tarda pas de se produire alors qu’il venait remonter ses lèvres contre sa nuque, sentant ce spasme vivifiant traverser toute sa chair, du bas de sa colonne vertébrale vers le haut, le faisant gémir de façon roque contre son oreille. Il profita de ce frison, savourant le bien être qui exploser dans ses entrailles apportant ce sentiment d’abandon à tout son être. Tout contre sa joue, il laissa son corps se reposer contre le sien, épousant ses formes après une telle bataille. Il savourait tout autant que la jeune femme cet instant de plénitude, contre la silhouette de cette princesse fiancée, délaissée par son fiancé. La situation le fit sourire malgré lui, la trouvant amusante, se rendant compte qu’il s’impliquait dans une histoire complexe, mais ne le regrettait pas. Bien au contraire, Lydia était intrigante et provoquait en lui, une irrésistible envie de la taquiner, la faire découvrir à elle. Il appréciait ses tremblements contre lui, la douceur de ce doigt contre son épaule.

Il la sentait relaxée, terriblement bien, sa respiration se faisant de plus en plus calme. Elle reprenait doucement ses esprits tout comme lui. Elle le remercia dans une voix roque et tremblante, mais qui le fit sourire en venant délicatement embrasser sa mâchoire. « Ce fut un plaisir pour moi… » Son sourire se voulait taquin et doux à la fois. Il vint tendrement en laissant sa menotte remonter sa cuisse, son autre menotte recouvrir l’un de ses seins. « Tu es belle, Lydia... Une magnifique fleur qui vient d’éclore… Une femme encore timide, mais je ne doute pas qu’elle deviendra une déesse envoutante et maitresse de son destin… » Il avait susurré cela en laissa sa menotte remonter son buste, sa clavicule, venant dégager son visage avant de venir se retirer d’elle, lentement et retirer cette protection qu’il vint nouer et jeter dans une poubelle non loin. Il n’était pas éloigné d’elle, juste assez pour recouvrir son corps nu et encore brûlant de son drap, venant embrasser ses lèvres furtivement en soufflant. « Je reviens. Je pense qu’une petite collation ne sera pas de refus après toutes ses émotions, n’est-ce pas ? » Il vint rire de nouveau tendrement en se levant, venant remettre son boxer pour respecter la timidité de son amante et revint quelques minutes plus tard avec un plateau comportant quelques fruits et de l’eau. Il le déposa sur le coin du lit avant de reprendre place à ses côtés, celle-ci s’était assise à son arrivée, cachant ce corps qui lui avait appartenu quelques minutes auparavant. Il vint sourire naturellement, laissant ses lèvres mordiller son oreille en soufflant tendrement :

« Tu sembles avoir du mal de te remettre de tes émotions, ça te rend particulièrement mignonne et sexy à la fois. » Il cherchait à la stabiliser de nouveau et il ne manqua pas de faire mouche. Cela lui plaisait énormément alors qu’il venait s’éloigner d’elle pour prendre des grains de raisin vert, pour lui en tendre également tout en les dévorant. Cela creusait son appétit.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  Icon_minitimeLun 9 Fév - 23:50

Ce simple son pour le remercier était sorti tout seul, sans retenu aucune de sa part. C'était étrange d'être reconnaissante pour cela, elle en avait bien conscience que c'était sans doute bizarre de dire merci après avoir... partagé un moment ainsi. Pourtant elle s'en sentait vraiment reconnaissante et elle n'avait pas d'autre mot pour le dire à Alessandro. Il ne pouvait sans doute pas mesurer quelle différence cela faisait pour elle, ce qu'il venait de lui apporter. C'était sûrement simple et naturel pour lui, peut-être même insignifiant, mais elle espérait que non. Pour elle cela signifiait beaucoup et ça n'était pas vraiment lier à l'idée de première fois. Il brisait une crainte intérieur qui la hantait depuis des mois, qui en était venue à la ronger si fort qu'elle avait du mal à sourire. Il y avait ce froid qui avait envahi son corps depuis tant de temps qu'il en était venu à paralyser son sourire, son esprit, ternir sa vision des choses.
Alessandro avait chasser cela. Peut être pas indéfiniment ou à tout les niveaux, mais il avait ouvert une porte, lui avait fait réaliser au moins une chose. Elle ne ressentait pas "rien" quand un homme la touchait. Elle n'avait pas rien ressentie avec lui dans son lit. Loin de là. La jeune femme en était bouleversée, troublée de ce qu'elle avait sentie et perdue face à ce qu'elle pensait être confronté à ce qu'elle venait de vivre. Il y avait un gouffre entre ces deux perceptions et l'homme à côté d'elle lui avait montré qu'elle n'était pas là où elle devait être. Ca ne réglait pas tout, non, mais c'était une différence énorme.  

Et elle ne regretta pas d'avoir oser murmurer ce remerciement les lèvres d'Alessandro virent effleurer sa mâchoire, l'embrassant en douceur. Elle tremblait encore, sensible à ce geste qui semblait si spontané chez lui. Un geste auquel elle pourrait bien s'habituer...
La main de l'homme remonta contre son corps, caressant sa cuisse tandis qu'une autre venait englober son sein. Ces gestes étaient doux, différents d'avant, plus tendre, plus simple, des caresses qu'elle appréciait même si cela la faisait doucement rougir. Elle le laissait faire, appréciant cette continuité de contact. Elle était un peu embarrassée de leur proximité, timidement intimidée et pourtant la savourait. Elle n'osait pas le toucher vraiment, sa curiosité et son envie ne franchissait pas timidité. Mais elle ne fuyait pas sa présence, l'appréciant sincèrement. Alessandro était plus à l'aise qu'elle. Il lui susurrer qu'elle était belle, comme une fleur qui venait d'éclore. Il le voyait encore timide mais il ne doutait pas qu'elle deviendrait une déesse envoutante et maitresse de son destin. Des mots inattendus qui firent ouvrir en grand les yeux de la jeune femme, secouant sa tête en signe de dénie face à ces termes employés. La vision qu'il avait d'elle avait de quoi la faire rougir, elle un jour, une déesse ? Sans doute pas non, elle avait déjà des doutes sur le fait que terme belle soit cesser lui correspondre.

Pudique, Lydia remonta le draps vers son visage, tant pour éviter de se montrer et cacher ses joues qui rougissaient encore que pour éviter de trop regarder le corps d'Alessandro, nu, qui s'extrayait du lit. Elle restait partageait, indéfiniment, entre sa curiosité et sa gène, ne lui jeta qu'un rapide coup d'œil, une fois dos à elle. Il s'approcha à nouveau pour l'embrasser légèrement et lui fit savoir qu'il revenait. Il proposait une petite collation et prise de cour, Lydia hocha la tête en suivant le sens de sa question sans même vraiment y réfléchir.
La jeune coréenne détourna à nouveau les yeux quand il sorti du lit pour le laisser enfiler un vêtement -un seul d'ailleurs, se retrouvant dans la même tenue qu'il était au dépars- et revint avec quelques fruits et de l'eau sur un plateau. Elle s'était assise, le drap cachant sa poitrine, ne révélant plus que ces épaules nues, elle était plongée dans ses pensées. Étrangement décontractée, elle laissai ses pensées aller, réfléchissant à ce que Alessandro avait pu dire, ce qu'il avait fait, les différences et les changements que cela apportaient. Elle essayait doucement d'ordonner ses pensées sans admettre qu'elle était tout compte fait un peu perdue.

Lydia sourit doucement quand Alessandro s'approcha pour venir mordiller son oreille à nouveau, friande de cette attention, penchant sa tête doucement sous le souffle qui vient la chatouiller. Il la taquina gentiment en lui disant qu'elle semblait avoir du mal à se remettre de ses émotions. D'après lui, cela la rendait mignonne et sexy. Des mots qui la firent piquer un fard sans peine et elle le suspectait de savoir qu'elle le ferait vu le sourire que cela lui apporta. Elle l'observa attraper le raisin et lui en tendre. Absente, elle glissa un grain de raisin frais et juteux entre ses lèvres, observant en coin l'appétit d'Alessandro, ses mains, ses bras... chacun de ses gestes lui semblaient plus sensuels. Il était... à la fois différent de ce qu'elle aurait pu penser et pourtant... elle savait aussi que c'était aussi cela qu'elle avait espéré trouver chez lui. Il était juste... plus encore que ce qu'elle avait espéré. Pas seulement plus séduisant, plus douée et plus intéressé, non. Il était aussi plus tendre, plus attentif, plus... profond ? Elle ne savait pas bien comment l'expliquer, mais il était peu être plus sérieux et fiable encore qu'elle ne l'avait pressenti. Il était plus qu'une porte ouverte sur sa conscience et plus qu'un moment charnel intense et sensuel, il  semblait être désireux de voir ce qu'elle était incapable d'imaginer en elle.

Timidement, Lydia tendis la main vers la grappe de raison pour en attraper un grain et le tendre vers les lèvres d'Alessandro, dans un sourire qui cherchait un encouragement. Peut-être qu'il représentait un grain d'espoir pour elle. Elle ne savait pas bien. Elle s'avança sans desserrer le drap de sa poitrine pour venir l'embrasser légèrement au coin des lèvres. Elle n'était toujours pas sûre de pouvoir être à la hauteur de ce que lui voyait en elle, aujourd'hui ou même un jour. Mais c'était un baume sur certaines de ses plaies de penser qu'il penser cela. « Pardon d'être timide.. je.. j'ai beaucoup aimé...  » elle n'avait pas besoin de préciser quoi, elle était sûre qu'il le savait.
Elle lui jeta un coup d'oeil, observant ses traits, en appréciant la beauté sans mot dire. Et soudainement elle se figea. Réalisant brusquement l'heure qu'il devait être. Et là où elle aurait dû être. Dans un murmure terrorisée par cette réalité qui la rattrapait, Lydia mordit sa lèvre. «  Je dois rentrer. Si je ne suis pas à la maison quand il rentre, il va me tuer ! » C'était presque pas du sens figurer. Elle n'arrivait même pas à imaginer sa colère s'il remarquait son absence. il balançait dégage les assiettes pour les plats qui ne lui convenait pas et hurlait comme un fou quand elle arrivait tard du travail... Elle voulu glisser ses jambes hors du lit pour filer mais s'arrêta dans son élan. Elle était nue et ses vêtements... loin. Lydia rabattis le drap vers le bas de ses hanches relevés par son mouvement soudain. Perdue et paniquée, elle jeta un coup d'oeil à Alessandro. « ... Mes vêtements, ils sont... je.. peux défaire le drap pour aller les chercher ? » C'était ridicule, elle s'en rendait bien compte qu'il venait de passer de longues minutes contre elle sans rien entre leur deux corps, mais elle n'arrivait pas à sortir du lit et marcher sans vêtement au travers de la pièce... encore moins jusqu'au salon.
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