Le jeune bulsajo n’avait pu qu’être particulièrement ravi lorsque le directeur était venu signaler, à la fin de son cours d’étude des moldus, aux élèves de sa promotion que le cours d’étude des runes était annulé. Ki Suk avait beau être particulièrement passionné par son cursus, ce cours avait toujours eu le mérite de l’ennuyer tant ces enseignements lui paraissaient abstraits. Son unique souhait était de devenir dans quelques années un enseignant d’étude des moldus et remplacer sans doute un des ces professeurs dans cette école.   En tant que né moldu, la tâche était sans doute moins difficile que pour un sorcier sang-pur mais, le jeune homme restait particulièrement sérieux et réussissait chaque année à obtenir de très bons résultats dans l’ensemble des matières de son cursus pour s’assurer peut-être un poste dans cette école.  

Enfin, en cet instant le jeune homme ne se posait nullement ces questions. A peine avait-il été mis au courant, il avait pris ces affaires de cours et était parti en direction de son logement, transplannant une fois qu’il eut atteint la zone de transplannage, sans oublier de parler quelques minutes à ces camarades de classes et amis. Il ne mit que peu de temps avant d’arriver dans le logement qu’il partageait avec l’homme qui était devenu son mari il y avait quelques mois. Un fait qui ne pouvait que rendre particulièrement heureux le jeune homme qui ne se lassait jamais d’observer l’alliance placée entre ces doigts.  Son cœur d’homme amoureux ne pouvait qu’être particulièrement ravi tant l’amour qu’il portait pour son amant était puissant.  Il savait et était persuadé qu’il aimerait cet homme jusqu’à la fin de sa vie même lorsqu’ils atteindraient une centaine d’années, jamais ô grand jamais son cœur ne pourrait cesser de battre pour lui. Le jeune homme le savait et à chaque fois qu’il franchissait les portes de leur appartement, il ne pouvait que sentir cet amour s’approfondir, heureux  de retrouver leur cocon. Ainsi, d’humeur particulièrement joyeuse le jeune homme avait préparé un goûter pour lui et Yano, bien qu’il sache qu’il ne rentrerait pas avant plusieurs heures, celui-ci ayant cours.  Un goûter composé simplement d’un gâteau au chocolat fait maison et d’un jus d’oranges préparé avec amour. Des mets qu’il ne mangerait qu’en sa compagnie lorsque Yano rentrerait.

Ainsi, il avait profité de ce temps pour prendre une douche et se rafraichir après une journée sous leur douche luxueuse. Une fois celle-ci terminée, le jeune homme était tout simplement sorti de la douche seulement vêtu d’une serviette autour de ces hanches, montant à leur chambre conjugale. Il était parti alors vers leur armoire commune prendre un de ces boxers pour l’enfiler de suite après. Souhaitant emprunter une des chemises de son amant, il vint fouiller de son côté à la recherche d’une chemise. Il n’eut aucun mal à en trouver sachant que celui-ci ne portait habituellement que des chemises, au contraire de lui qui préférait de simples tee-shirt. Cependant au moment il prit une chemise entre ces doigts, il vit à sa portée comme un papier cadeau. Curieux par nature, le bulsajo vint prendre celui-ci dans ces mains et il ne put qu’être surpris de voir son nom écrit sur le paquet. Il s’agissait alors d’un cadeau que Yano avait prévu de lui offrir… Ki Suk réfléchit alors simplement, devait-il ouvrir ce cadeau ou le laisser jusqu’à que Yano lui offre ? Tant de questions pour le jeune homme qui vint simplement s’asseoir sur leur lit, le paquet dans ces mains.  Sa curiosité malsaine ne pouvait que lui donner envie d’ouvrir celui-ci, tant il ne pouvait qu’être ravi que Yano ait prévu de lui offrir un cadeau prochainement. Que devait-il faire ? Il ne savait pas… Il pouvait l’ouvrir et d’un coup de baguette le refermer comme si de rien était, n’est-ce pas ? Yano ne serait pas au courant et il feinterait simplement la surprise lorsqu’il lui offrirait.

Cette idée lui convenait résolument convenable et il ne mit que quelques secondes avant de céder à la tentation et d’ouvrir celui-ci. Le jeune homme ne put que dévorer des yeux la première page qu’il vit. Il voyait simplement une photo moldue de son amant ô combien magnifique qui ne le rendait qu’encore plus beau qu’il l’était déjà. Il pouvait y lire alors une petite phrase simple en rapport avec leur relation dans laquelle il lui avouait qu’il serait toujours avec lui. Des mots qui ravirent son pauvre cœur et le firent sourire comme un enfant émerveillé, résolument encore plus amoureux de cet homme. Ainsi, le jeune homme vint ouvrir avec précaution ce photobook et ne put qu’être ô combien enchanté de voir son Yano aussi sexy dans de telles photos. Son amant était résolument séduisant dans chacune de ces photos, le rendant bien fébrile à chacune des pages qu’il feuilletait. Il dévorait littéralement chacune de ces photos, trouvant son amant résolument magnifique dans chacune d’entre elles. Il ne put alors que se mordre simplement les lèvres, s’installant plus confortablement dans leur lit, s’allongeant pour feuilleter celui-ci, admirant et dévorant chacune de ces photos.  Il ne savait pas depuis combien de temps il était ainsi à dévorer ces photographies mais, il n’arrivait tout simplement pas à détacher son regard de ce photobook. Se demandant peu à peu comment le jeune homme avait-il eu le temps de réaliser ces photographies ô merveilleuses  de lui et surtout moldu. Il pouvait deviner le style de son père dans chacune de ces photos mais, comment avait-il pu réussi à en faire avec lui ? Ce photoshoot daterait-il de cet été où les deux avaient passé du temps ensemble ? Cela était fort probable.  Ces pensées s’échappèrent rapidement de son esprit alors qu’il regardait pour une énième fois ces photographies, les yeux brillants d’émotion tant ce cadeau lui paraissait merveilleux. Il ignorait  pour quelle occasion son Yano avait le souhait de lui offrir ce cadeau mais, le jeune homme était particulièrement ravi en ces instants. Yano se trouvait résolument l’homme le plus magnifique…

La journée qui venait de s’écoulait n’avait rien à envier aux précédentes. Cela faisait près de deux mois que les cours avaient repris sous les feux de la rampe du tournoi de sorciers. Les manches s’échelonnant sur plusieurs mois, tout le monde ne semblait avoir que ce mot à la bouche, quand bien même il n’y participait plus. Une blessure soudaine et inattendue l’avait contraint à abandonner la course peut de temps avant que son adversaire arrive lors de la première manche. Une blessure qui lui rendait impossible le maniement de sa baguette pour quelque temps. Quand bien même cette histoire faisait partie du passé désormais, il conservait néanmoins une légère cicatrice au creux de sa main droite mais, qui ne représentait plus un handicap en soit. Il avait donc participé assidument à ses cours, prenant bien en compte chacune des remarques de ses enseignants pour l’examen final afin de pouvoir les étudier dans les meilleures dispositions. Comme toujours, il fit preuve d’un zèle profond, ayant pour son cours de soins aux créatures magiques une passion débordante. Être en mesure d’approcher des créatures magiques jusqu’alors jamais rencontrer ne pouvait que lui plaire. Il fut donc quelque peu déçu lorsque son cours prit fin, clôturant sa journée de cours.

Une déception bien vaine comparée au plaisir qu’il ressentait de pouvoir retourner chez lui, y retrouver son mari pour l’embrasser. Il lui tardait déjà de rentrer, de sentir sa présence au sein de l’appartement pour le couvrir de cette affection infinie qu’il ressentait pour ce dernier. Juste le simple fait de le serrer tout contre lui, sentir son souffle apaisant et doux au creux de sa nuque, éveillait un bonheur total en son échine. Il mourrait d’impatience de retrouver cette chaleur, ce bien être, tant et si bien qu’il vint prendre rapidement congés auprès de ses camarades de groupe pour quitter les enclos, se dirigeant vers la sortie. Tout comme bon nombres de ses camarades, il vint rapidement sortir de l’enceinte de l’école avec son sac en bandoulière, transplanant sans perdre une seconde. C’est donc très rapidement qu’il vint retrouver le domicile familial de leur couple, entrant au sein de ce cocoon qu’il avait créé avec son doux amant. Une irrésistible odeur semblait perceptible de l’entrée, ouvrant son appétit tant il reconnu celle du chocolat bien chaud. Ki Suk avait-il fini plus tôt que prévu et en avait-il profité pour réaliser un gouter pour son amant ? Une idée qui ne pouvait que renforcer le sourire qui s’était déposé sur ses lèvres, cherchant du regard ce doux amant, qui semblait absent des pièces du bas. Il chercha donc à l’appeler à deux reprises en vain, se demandant bien où ce dernier pouvait bien se cacher. En effet, les affaires du jeune homme se trouvaient en bas, ce qui signifiait donc qu’il n’avait pas quitté l’appartement.

Il vint supposer que ce dernier se trouvait en haut, sans doute s’affairant à des tâches dont il ignorait l’identité. C’est donc tout naturellement qu’il vint donc enlever sa chemise qu’il vint poser sur le dos du canapé avant de monter à l’étage. Très doucement, il vint donc grimper les marches de l’escalier jusqu’au pas de la porte de leur chambre pour l’y trouver allongé. Une vue ô attrayante et captivante pour le passionné époux qu’il était tant ce dernier lui offrait une vision imprenable. Simplement vêtu d’un boxer qu’il avait déjà hâte de lui retirer, il pouvait admirer ses fesses joliment mise en valeur par ce simple tissu. Des formes sur lesquelles vint inexorablement se poser ses prunelles, laissant ses dents mordiller légèrement ses lèvres alors qu’il se laissait contempler son amant. Une tentation très irrésistible à ses yeux qui ne lâchaient ses reins si captivant. C’est donc dans un sourire résolument coquin et amusé qu’il vint donc s’inviter à son tour sur le lit, venant grimper sur ce dernier afin de couvrir son amant de son échine. Ce dernier plongé dans sa lecture, qu’il n’était pas encore en mesure d’identifier, ne sembla nullement réagir. C’est donc avec douceur et du haut de ses bras, qu’il vint délicatement se coller à lui, laissant ses reins se mouvoir contre son délicieux fessier alors qu’il venait embrasser le creux de cette nuque avec délice, murmurant faiblement.

« Eh bien quel spectacle ô attrayant ais-je droit ce soir mon amour ! A te voir ainsi allongé je pourrais avoir la sensation que tu m’invites à te dévorer de mes doigts… de mon corps. »

Sur ses mots, il ne pu que sourire tendrement amusé, sentant ses phalanges glisser sur ses cuisses pour remonter à ses reins, ses côtes, pour rejoindre son magnifique torse dont ses phalanges vinrent retrouver son buste. Un buste résolument attrayant qui lui donnait plus envie d’explorer tandis qu’il remonter ses lèvres à son oreille ajoutant avec la même taquinerie.

« Dis moi, mon amour, qu’est-ce qui t’inspire autant de passion pour que tu ne m’ais pas entendu renter  ? Je proteste… je réclame un baiser ô langoureux de mon époux. Après tout, tu vas devoir me dédommager pour cette infamie. »

C’est donc dans un sourire ô amusé, qu’il vint accroitre la pression de ses reins contre les siennes, mordillant son oreille avec sensualité alors qu’il relevait son regard pour observer le bouquin dans lequel ce dernier semblait avoir été accaparé. C’est dans un léger rire qu’il pu constater que son ami était tombé sur le photobook qu’il lui avait fait, dans l’unique but de lui plaire. Il était sur que les travaux du père de son amant sauraient gagner gain de cause aux yeux de son doux époux. C’est donc tout naturellement qu’il vint rire légèrement contre la naissance de sa croissance en susurrant simplement.

« Je vois qu’en plus mon époux a fouillé dans mes affaires, c’est très vilain de sa part… mais au lieu de fantasmer à mourir sur les photos coquines de son amant, il devrait s’en occuper s’il veut se faire pardonner. Après tout l’original est mieux que la copie, qu’en penses-tu ? »

TENUE : 01.

Le bulsajo se trouvait résolument ravi de découvrir ces merveilleuses photos de son mari, au fur et à mesure des minutes qui s’écoulaient, il ne se lassait pas de l’observer. Ce photoshoot avait le mérite de rendre encore plus magnifique son aimé, ce qui était assez difficile dans la mesure où Ki Suk trouvait son amant toujours beau et magnifique quoiqu’il porte. Ki Suk n’arrivait tout simplement pas à détacher son regard de celui son amant au fur et à mesure de ces pages. Sans doute même avait-il feuilleté les mêmes photos des dizaines de fois depuis qu’il avait ouvert ce photoshoot. Seulement, à chaque fois qu’il les voyait, il avait l’impression de trouver son amant toujours plus séduisant et attirable, emmenant son pauvre cœur à un rythme déraisonné dans sa poitrine.

Mais, bien plus que l’ensemble des photos, le jeune bulsajo sentait son cœur faiblir à une photographie en particulier. Dans celle-ci son amant ne portait qu’un simple pantalon d’un motif assez particulier et d’une chemise semi-ouverte qui laissait entrevoir le haut de son torse. Bien entendu, le fait qu’il sorte de l’eau et que cette chemise moulait parfaitement le haut de son corps n’y était nullement pour rien. Son corps et ces cheveux encore humides ne le rendaient qu’encore plus sublime. Autant dire que le jeune homme fantasmait littéralement sur cette photo, l’observant depuis de nombreuses minutes sans être capable une seule seconde de détacher son regard de cette photo, se mordant les lèvres en songeant à des pensées malsaines, nourrissant certains de ces fantasmes. Si seulement ils avaient chez eux une piscine pour le dévorer du regard… au pire des cas, par un heureux hasard Yano pouvait finir sous la douche encore habillé, la douche pouvait s’allumer toute seule et mouiller son corps et sa chemise ainsi. Il suffirait seulement de l’emmener sous la douche ; cela lui paraissait être une réelle alternative et qui ne pourrait que pimenter quelque peu une douche bien trop banale. Le jeune homme fut d’ailleurs bien trop concentré par ces pensées qu’il ne sentit nullement le lit s’affaisser au poids du corps de son amant.

Néanmoins, le bulsajo frissonna un instant au contact du corps de son amant contre sa chair, sentant ces reins se collaient à son fessier, appréciant ô combien ce baiser au creux de sa nuque, après avoir tant fantasmé sur ce corps. Le bulsajo ne put que sourire franchement aux mots de son amant dans lesquels il lui avouait qu’il avait un spectacle ô attrayant ce soir. A le voir ainsi, il l’invitait à le dévorer de ces doigts et de son corps. Le jeune homme n’était nullement contre cette idée à vrai dire, finir dévoré par le corps de Yano et ces lèvres étaient résolument un plaisir certain. Le doux contact de ces lèvres ne pouvait que le rendre heureux, tout comme ces phalanges qui glissaient sur ces cuisses pour remonter à ces reins, ces côtes et ce torse qui frissonnait à ce contact ô combien plaisant. Le jeune homme ne put que sourire à nouveau à ces lèvres contre son oreille. Celui-ci vint alors lui demander ce qu’il inspirait autant pour qu’il ne l’ait pas entendu rentrer. Le jeune homme protestait et réclamer un baiser langoureux de son époux, il se devait de dédommager pour cette infamie. Le bulsajo ne pouvait qu’acquiescer à cette idée, laissant un doux gémissement de s’échapper de ces lèvres à son mordillement. Il entendit alors le rire magnifique de son amant alors qu’il découvrait enfin la source de sa concentration. Le bulsajo laissa échapper un doux rire alors qu’il lui disait qu’il était vilain d’avoir fouillé dans ces affaires. A la place de fantasmer sur ces photos coquines, il devait plutôt s’occuper de lui s’il voulait se faire pardonner.

Il ne fallut que peu de secondes au jeune homme pour venir répondre au souhait de son tendre mari et venir le renverser tout simplement contre le matelas du lit, le dominant alors de tout son poids. Bien entendu, il fit très attention au photobook pour ne pas le froisser, ni l’abimer, cela serait un vrai sacrilège d’esquinter un tel cadeau de la part de son mari. Ces jambes vinrent entourer le corps de son amant et sans lui donner le temps de réagir, celui-ci l’embrassa dans un baiser ô langoureux, y mêlant toute la passion qu’exprimait son corps en cet instant. Après avoir tant fantasmé sur son amant, il devait nourrir ces envies secrètes et dévorer son amant et ce corps qui lui faisait tant d’effet. L’une de ces mains étaient venue se choir sur les reins de son amant, les caressant avec une envie certaine, immiscent ces mains sous le débardeur de son amant qu’il trouvait résolument de trop sur ce corps. Le bulsajo vint éloigner leurs lèvres lorsqu’il manqua de souffle, laissant son souffle chaud se choir sur la chair de son amant. Le bulsajo lui lança alors un regard intense et brûlant murmurant dans une voix ô combien sensuelle : « Mon mari pense-t-il que son amant l’a dédommagé ou demande-t-il plus de réparation ? Après tout, son mari a fantasmé de longues minutes sur son corps grâce à ce photobook qui n’aurait pas dû tomber entre ces mains. Cependant, son mari peut avouer aisément qu’il a fantasmé longuement sur lui et qu’il pense qu’il est résolument l’être le plus parfait, le plus magnifique, le plus séduisant, le plus désirable. Ces compliments conviennent-ils à son mari ? » Souriant à ces derniers mots, le bulsajo embrassa sa nuque tendrement, mordillant la chair qui lui était découverte grâce à ce débardeur qui lui saillait bien trop pour ne pas désirer cet homme ô magnifique.

Ces mains ne restèrent nullement inactives, venant remonter alors sur le devant des abdominaux de son amant, toujours en dessous de ce débardeur, le soulevant légèrement. Le jeune homme laissa échapper un doux sourire et remonte ces baisers sur la mâchoire de son amant, murmurant : « Il n’y a pas à dire… comme son mari l’a signalé, rien n’est plus beau et magnifique que la version originale… »

Résolument coquin, il était évident que le jeune homme n’avait pu résister à l’appel de cette chair si obligeamment offerte à ses yeux. Quel époux aurait-il fait si une telle vue ne lui avait pas inspiré tant de désir et d’appétence alors qu’il se trouvait en simple boxer qui mettait parfaitement ses fesses en valeur. Un fessier qui lui inspirait tant de pensées perverses qu’il n’était nullement en mesure de camoufler, ayant arrêté depuis bien des années de contenir ses désirs d’hommes. Ses reins tout contre ceux de son amant, il appréciait le contact de ce fessier contre son aine, qui satisfaite profitait pleinement de cette délicieuse chaleur qui enveloppait peu à peu sa chair. Il n’avait donc pas pu s’empêcher de lui susurrer des mots coquins dans l’ambition de le taquiner et d’obtenir son attention, quand bien même était-il intimé de l’avoir totalement. Il pouvait sentir la chair de son amant frissonner sous ses doigts, ses légères caresses et les lèvres de son époux n’avaient pu masquer le bonheur qui l’étreignait à ce contact charnel, à ce baiser. Il était tout fébrile et cela n’avait pu qu’éveiller sa curiosité, prenant ainsi connaissance que l’objet qui obnubilait son ange, se trouvait être le photobook qu’il avait réalisé pour lui. Il n’avait pu que rire tendrement à cette constatation, jouant à la perfection son rôle de mari délaissé qui grondait son amant de préférer des cliches glacés à son être qui réclamait à cet instant son attention.

Un rire qui vint frôler à son tour les lèvres de son ange, qui attendri vint profiter de son aide pour venir répondre à son souhait. C’est donc avec plaisir qu’il vint le laisser reprendre le contrôle sur leur étreinte, se dernier le renversant tout simplement sur le matelas pour le dominer de tout son poids. Il vint d’ailleurs imposer sa présence sur son corps, ses jambes entourant son corps pour venir l’embrasser enfin. Un baiser ô langoureux qu’il profita sans aucune gêne, laissant ses cupides lèvres se mêler avidement à celle de son coquin amant qui l’attirait cruellement dans cette tenue. Aucune retenue ne sembla avoir sa place dans cet échange alors qu’il sentait déjà la main coquine de son amant se choir sur ses reins avec appétit. La vision de ce livret de photos semblait avoir résolument éveillé les sens de son amant et il ne pouvait que se féliciter de cela, souriant tout contre ses lèvres qui ne le rendait nullement insensible. Il vint d’autant plus sourire en sentant cette dernière s’immiscer sous le tissu de son débardeur pour palper la chair de ses abdominaux tandis qu’il sentait déjà ses lèvres s’éloigner de lui, le souffle court.

Une vision ô enchanteresse qui ne pu que l’attirait d’autant plus tant le regard de son amant se trouvait cruellement intense et brulant. Il pouvait y lire la force de son désir de succomber à ses attraits et Yano ne pu que se féliciter d’autant plus d’être en mesure d’éveiller une telle cupidité au travers de simples photos. La voix de son amant se fit sensuelle tandis qu’il lui demandait s’il pensait qu’il l’avait assez dédommagé ou s’il désirait plus de réparation. Après tout, son mari avait fantasmé de longues minutes sur son corps grâce à ce photobook qui n’aurait pas dû tomber entre ses mains. Cependant, vint-il ajouté, que son mari pouvait avouer aisément qu’il avait fantasmé longuement sur lui et qu’il pensait résolument qu’il était l’être le plus parfait, magnifique, séduisant et désirable. Des compliments qui ne purent que le glorifier d’autant plus tandis qu’il le sentait venir embrasser sa nuque avec appétence, mordillant sa chair qui se trouvait à sa disposition. Des attentions qui ne purent que renforcer l’intensité de la chaleur qui s’initiait dans son corps depuis la vue qu’il avait eu de son amant à son entrée dans la pièce. Il se laissa donc faire obligeamment dans un sourire ô mesquin alors qu’il voyait son ange remonter à ses lèvres en murmurant qu’il n’y avait rien à dire que son mari avait raison : il n’y avait rien de plus beau que la version originale.

Des mots qui ne purent que le faire sourire de façon ô coquine, tandis qu’il venait glisser ses phalanges sur la chair de ses reins avec passion pour la caresser avec intérêt, murmurant faiblement contre ses lèvres :

« Tu crois ? Il ne faudrait pas qu’il en doute… »

Venant alors mordiller ses lèvres dans un regard ô taquin, c’est avec passion que ses lèvres vinrent de nouveau s’emparer des lèvres de son amant tandis qu’une de ses mains se mouvait sur son dos, rejoignant sa nuque. C’est donc dans un sourire ô amusée qu’il vint approfondir ce baiser, laissant ses doigts griffer légèrement sa nuque alors qu’il venait à son tour le renverser sur le lit pour l’embrasser avec plus de passion que jamais. Dévorant ainsi ses lèvres de la façon la plus sauvage qu’il soit, il ne lui laissa que peu de temps pour reprendre son souffle entre deux baisers tandis qu’il laissait sa main libre s’échouer sur les formes parfaites de son amant, dessinant ses pectoraux pour descendre sur son ventre, ses abdominaux dans des gestes précis et cupides pour venir s’échouer sur la naissance du boxer de son amant. D’humeur résolument coquin et taquin, il vint laisser sa main s’échouer sur ses reins, descendant sur sa cuisse tout en obligeant son amant à garder ses jambes autour de ses reins qu’il venait caresser au travers de ce baiser. Souriant de bonheur au frison qui semblait traverser l’échine de son époux, c’est dans un regard lubrique et déterminé qu’il vint laisser ses phalanges flatter l’intérieur de ses cuisses, qui furent rapidement rejointes par son autre menotte alors qu’il murmurait sensuellement :

« Peut être devrais-je montrer à mon époux tout l’étendue de mes talents de séducteur ? Après tout, je ne voudrais pas que des photographies sexys n’aient plus d’effet sur ton corps que ma chair brulante de désir pour toi... »

Il avait susurré ses mots dans un regard ô coquin tandis qu’il venait mordiller ses lèvres, balayant ses dernières de son souffle brulant avant de s’écarter de son corps pour venir mouvoir ses phalanges sur le tissu de son débardeur pour le retirer dans un geste ô sensuel et avide, empreint de l’appétence qu’il avait de le dévorer de sa chair. Un spectacle qui devait résolument plaire à son amant qui n’avait de cesse de le détailler alors qu’il venait délicatement déboutonner le bouton de son pantalon pour adopter une apparence plus masculine que jamais. Souriant résolument dominant, il vint délicatement glisser ses reins contre ceux de son amant, satisfait de l’entendre soupirer de bien être alors qu’il venait délicatement glisser ses doigts sur son postérieur. Des fesses ô désirables qu’il vint malaxer qui l’attrayait terriblement alors qu’il venait délicatement embrasser sa mâchoire avec appétit, laissant ses lèvres parcourir sa chair avec appétence tant il avait envie de lui. Un désir qui semblait résolument étreindre également l’être de son amant tant il sentait sa chair fondre sous ses attentions tandis qu’il laissait ses lèvres glisser sur la naissance de sa clavicule, ses pectoraux avec une seule intention : le rendre fou de son corps en ce début de soirée. Une intention plus qu’évidence qu’il ne pu s’empêcher de murmurer tout contre la forme naissance d’un de ses pectoraux tandis que ses phalanges m’immiscer sous le tissu du dernier vêtement de son ami :

« Peut être que mon époux désire que je lui montre plus profondément ô combien l’original est bien plus envoutant et passionnant que la copie ? Mm… dis moi… qu’en penses-tu ? »

Le bulsajo ne pouvait que désirer sincèrement être la victime des fantasmes de son amant, particulièrement en ce jour où il avait ô combien fantasmé sur son amant au travers de ces photographies qui le mettait ô combien en avant en portant des vêtements pourtant si simple à son plus grand désarroi. Quoique portait Yano, Ki Suk ne pouvait jamais cesser de le trouver ô combien désirable, magnifique et merveilleux, enfin toutes les qualités que l’on pouvait donner à son amant en soit lorsque l’on était particulièrement attiré et amoureux de celui-ci, ceux qui était définitivement le cas de Ki Suk. Affirmer le contraire aurait été bien difficile pour le jeune homme qui n’avait jamais cessé depuis ces premières années d’adolescent de fantasmer sur ce corps ô combien plaisant de son meilleur ami à l’époque. Autant dire qu’à présent le jeune homme ne pouvait résolument qu’être fou de lui, ce que Yano ne devait nullement ignorer alors que Ki Suk venait le surplomber de son corps, lui murmurant des mots ô combien enjôleurs avant de venir embrasser sa nuque avec appétence, mordillant cette chair qu’il désirait résolument. Il n’y avait pas à dire, sentir contre sa chair était résolument plus appréciable qu’observer ces photos sur papier glacé qui le rendait pourtant ô combien désirable et parfaitement séduisant.

Ces mots avaient certainement plu à son amant qui était venu murmurer au creux de ces lèvres qu’il ne devait pas en douter. Des mots ô combien plaisant pour le jeune homme qui répondit avec autant de passion que son amant à son baiser, appréciant ces caresses coquines et cette main contre sa nuque. Ces griffures ne le dérangèrent nullement, l’emmenant à laisser un doux soupir alors qu’il se retrouvait quelques instants plus tard allongé sur le dos, laissant ces mains caresser les reins de son amant avec autant d’appétence que précédemment. Ces lèvres lui avaient résolument manqué durant cette journée éloigné l’un de l’autre, se demandant résolument comment il ferait le jour où Yano serait à nouveau absent pendant plus d’une semaine tant le corps de son aimé se trouvait être une réelle addiction pour Ki Suk.  Les caresses de son amant ne le laissaient nullement de marbre sentant son corps s’échauffer à ces mains qui caressaient ces formes que son amant aimait tant c’est-à-dire ces pectoraux, ces abdominaux jusqu’à atteindre la naissance de son boxer. Un acte qui le fit frissonner  et tout particulièrement quand il sentait l’une de ces mains s’échouer sur ces reins, caressant sa cuisse avec une envie certaine envie, lui offrant un merveilleux sourire et une vision ô combien agréable et coquin de son amant qui avait le souhait de le rendre fou en ce jour.  Ces phalanges se promenèrent alors à l’intérieur de ces cuisses à son plus grand désarroi, se sentant devenir particulièrement fébrile à cette deuxième main qui s’était rajouté dans cette zone ô combien érogène. Les derniers mots de Yano ne lui permirent nullement d’être moins fébrile, lui donnant résolument envie de goûter au plaisir de la chair aux côtés de son amant. Le contraire aurait été étonnant de sa part alors qu’il entendait son amant murmurer s’il devait lui montrer l’étendu de ces talents de séducteur, il ne voulait certainement pas que ces photographies sexys aient plus d’effets sur son corps que sa chair brûlante de désir pour lui. Il était résolument impossible que cela soit le cas pour le jeune homme qui était résolument obnubilait par le corps qui se trouvait à ces côtés.

Le contraire aurait été bien difficile alors qu’il voyait son amant se déshabiller de manière ô combien sensuelle, enlevant ce débardeur qui cachait ces formes ô combien délicieuses. Détacher le bouton de son pantalon ne lui permit que de le voir encore plus beau, encore plus désirable à ces yeux, laissant apparaitre une vision ô combien masculine et plaisante de son amant. Il n’y avait pas à dire lorsque son amant reprenait une position de dominant, le bulsajo ne pouvait qu’être résolument fou de lui. L’aura que dégageait Yano en cet instant était résolument plaisante pour son amant qui ne cessait de le dévorer des yeux, savourant à présent ces douces caresses sur ces fesses qui ne demandaient qu’à être cajolé ainsi par ces phalanges désireuses. Si Yano voulait le persuader de lui offrir son corps en cette nuit, il y parvenait parfaitement en cet instant, le bulsajo ne cherchant nullement une fois à résister à son amant d’une quelconque manière. Ces pensées ne pouvaient qu’être confirmées alors que ces lèvres de son amant venaient s’égarer sur la naissance de sa clavicule et ces pectoraux. Ces phalanges vinrent alors s’immiscer dans son dernier vêtement, le faisant doucement soupirer alors qu’il entendait son amant au creux de ces pectoraux lui murmurait s’il désirait qu’il lui montre plus profondément ô combien l’original était plus envoutant que la copie.

Ki Suk vint alors répondre, sans laisser le temps à Yano de réagir, bien trop impatient, encore émoustillé par ces photos qu’il avait pu voir et ces agissements résolument coquins qui ne pouvaient pas s’empêcher : « Ton mari désire totalement et intensément que son époux lui montre ô combien il est plus envoutant et passionnant que ces photos sur papiers classés, qu’il lui montre ô combien l’original est bien plus intéressant qu’une pâle copie.    »

Ces mots avaient été prononcés dans un ton volontairement suave pour tenter plus fortement son amant de céder à la tentation bien que le contraire semblait tout simplement impossible en cet instant. Ces mots avaient sans aucun doute plu son amant qui était venu caresser ces fesses à l’intérieur de son boxer à son plus grand plaisir, l’emmenant à soupirer de bien-être. Au même instant, son amant commença à descendre ces baisers de ces pectoraux jusqu’à atteindre ces abdominaux, un fait ô appréciable pour le jeune bulsajo qui frissonnait à ce doux contact. Chacune des taquineries de son amant n’avait de cesse de lui plaire, l’emmenant à désirer cet être plus que raison. Ki Suk lui lança un regard résolument coquin et conquis, murmurant: « Mmm….  cet avant-goût me semble très prometteur…  »

Le jeune se laissa porter par les douces sensations qu’éprouvait son corps, soupirant à nouveau aux caresses de son amant sur ces fesses, chacun de ces baisers qu’il sentit remonter peu à peu jusqu’à sa poitrine, atteignant alors ces pectoraux et l’un de ces boutons de chair, un fait qui ne put que le ravir, échappant un doux soupir de bien-être.

En agissant de la sorte, il était bien sur évident que le jeune homme cherchait à rendre fou son amant qui se trouvait sous fébrile sous son corps, ses doigts, ses lèvres. Il était résolument envoutant de savoir que cette agitation était due à son action, à ses gestes, à ses paroles. Le regard ô pétillant, lubrique de son amant ne pouvait que l’intimer à poursuivre ses taquineries cupides qu’il n’était point en mesure d’arrêter. Il avait envie de lui et cette réalité ne pouvait que devenir plus profonde alors qu’il le sentait si réceptif à ses cajoleries. Une chair si brulante, si exaltée par son être qu’il ne pouvait que s’en sentir glorifié, désireux d’affermir cette sensation de bien être qui traversait l’échine de son doux époux. Un époux qui avait de longues minutes fantasmés sur lui en secret, observant ces clichés sur papier glacé ô sensuels mais, qui ne pouvaient pas l’être autant que lui, qui était tant en mesure de le faire soupirer d’aise avec quelques caresses. Il semblait cruellement impatient, désireux qu’il fasse de lui sa victime qu’il malmènerait par cupidité afin de la rendre fou de sa chair. Une impatience qui se trouvait si brillante au sein des prunelles si magnifiques de son amant qui émoustillé ne pouvait que lui murmurer dans une voix ô sensuelle que son mari désirait totalement et intensément que son âme sœur lui montre ô combien il était envoutant et passionnant que ces photos. Ce dernier vint même l’intimer à ce qu’il lui montre que l’original était bien plus intéressante qu’une pâle copie.

Des paroles ô éhontées qui n’avaient pu que le faire sourire tandis qu’il glissait ses lèvres contre la naissance de ses pectoraux, ses phalanges venant caresser plus intimement cette chair de ce fessier qui l’attirait tant. Si cela ne tenait qu’à lui, sans doute qu’il lui retirerait ce morceau de tissu sur le champ mais, il n’en avait pas fini avec lui. En effet, il désirait s’amuser avec ce sous vêtement qui l’avait contraint à flancher face à ses désirs cupides. Il souhaitait profiter de la vue ô envoutante qu’il lui permettait d’avoir. Comment rester de marbre face à ses fesses si fermes et bien formées, comme cette délicate aine qu’il sentait délicatement prendre peu à peu forme grâce à ses cajoleries ? Impossible. Tant et si bien, qu’il ne vint nullement entreprendre à le retirer, se contentant simplement de caresser ses fesses ô délicates tandis que ses lèvres glissait sur le haut des abdominaux de son amant, s’y attardant un instant dessus. Il ne pouvait qu’être satisfait par les soupirs ô brulants de son amant qui se laissait porter par les douces sensations qu’il lui apporter. Il ne pu que sourire à ce fait tandis qu’il entendait la voix si envoutante de son amant lui avouer que cet avant-goût lui paraissait très prometteur.

Des paroles qui ne purent que le ravir d’autant plus tandis qu’il laissait ses lèvres remonter à ses pectoraux pour venir délicatement prendre un de ses boutons de chair pour le taquiner, le sentant délicatement soupirer tandis que ce dernier semblait s’affermir sous sa bouche, résolument tout émoustillé. Un fait qui ne pu que le faire sourire d’autant plus tandis qu’il venait délicatement glisser ses phalanges entre ses fesses pour les taquiner d’autant plus, laissant alors son souffle brulant s’échouer sur la peau ô fébrile de son amant qui n’avait de cesse de frissonner de bien être. C’est donc d’humeur résolument coquin qu’il vint abandonner ce bouton de chair pour faire de même à son comparse de façon beaucoup moins timide, plus passionnée avant de le fuir à son tour, ses lèvres ô brulantes venant regagner ses pectoraux pour rejoindre ses abdominaux en acquérant une position plus pratique de le faire. C’est donc sans nulle frustration que ses reins vinrent s’éloigner de ceux de son amant pour pouvoir continuer ses agissements. Des baisers qui se firent plus brulant tandis qu’ils s’échouaient au creux de ses abdominaux pour rejoindre ses reins, ne descendant pas plus bas que ce magnifique boxer blanc, qui ne pouvait camoufler le bien être qu’il offrait à son possesseur. Son aine prenait peu à peu forme sous son torse qui venait la taquiner au travers de ses baisers ô coquins. Un fait qui ne pu que le rendre d’autant plus coquin tandis venait glisser ses lèvres sur les hanches de son amant, lui intimant par cette action à adopter une position résolument inédite où ses phalanges vinrent s’extirper de son boxer pour regagner les cuisses de son amant alors qu’il murmurait sournoisement.

« Ce boxer est résolument attrayant, tu sais mon amour ? Tes fesses si douces et délicates sont tellement mises en valeur par ce tissu si moulant… Il est une véritable tentation à lui même… à laquelle je n’arrive point à résister. »

Des mots qu’il avait susurrés très lentement alors que ses lèvres venaient se glisser sur les fesses de son amant protégées par ce tissu cotonné. Des lèvres avides qui n’avaient de cesse de parcourir sa chair, se mouvant au creux de l’objet de son fantasme avec appétit, curieux et à la fois impatient de découvrir la chaleur de cette peau si envoutante. Un tissu qu’il vint prendre entre ses dents pour venir le faire claquer délicatement sur ce beau fessier, souriant d’entendre son amant soupirer d’autant plus fort, désormais sur le ventre. Ses phalanges quant à elles palpaient la peau dénudée de ses cuisses, se glissant entre elles afin d’accroitre ce bien être qui l’habitait, frôlant avec taquinerie cette partie si sensible et réactive de son anatomie. Un fait qui ne pu que rendre son amant d’autant plus faible à ses actions tandis qu’une de ses mains venaient délicatement se placer contre cette délicieuse aine qu’il vint palper au travers du tissu, ses lèvres quittant son fessier pour rejoindre le creux de son dos, remontant le long de sa colonne vertébrale pour s’échouer sur son omoplate, sa nuque. Des actions qui vinrent délicatement faire gémir son amant alors qu’il commençait délicatement à le caresser de ses doigts, ses reins venant se coller aux siens qui ne pouvaient cacher sa propre ambition. Un contact ô plaisant qui ne pu que le faire délicatement souffler au creux de son oreille, susurrant au creux de cette dernière.

« Que dis-tu de la suite, n’est-elle pas au dessus de tes espérances mon amant ? »

A peine eut-il prononcé ses paroles qu’il sentit les reins de son amant venir se coller plus fermement à son bassin, résolument bien taquiné par ses doigts qui le caressaient et n’avaient de cesse de caresser l’intérieur de sa cuisse. Une action qui ne pu que le faire délicatement soupirer contre cette délicate chair, tout aussi impatient de pouvoir redécouvrir ses reins qu’il aimait tant malmené lorsqu’il le dominait et qui parvenaient tant à le rendre fou tout simplement.

Ki Suk se savait depuis longtemps particulièrement fragile et fébrile face au merveilleux amant qu’il avait. Le jeune homme avait toujours une capacité certaine à faiblir dès lors que Yano se trouvait à ces côtés. Ce jour ne faisait nullement exception et particulièrement alors que Yano au travers de ces gestes n’avait que l’ambition de le rendre plus fébrile, encore plus fou de cet être qui l’avait séduit et conquis. Yano semblait convaincu par le fait d’être plus intéressant, plus envoutant que cette pâle, un fait que le jeune homme ne pouvait nullement douter tant Ki Suk se trouvait déjà bien plus fébrile que devant ces photos.

Comment le contraire aurait-il pu été possible alors qu’il sentait les lèvres de son amant remonter au niveau de ces boutons de chair pour le taquiner, se raffermissant à ce contact ô combien délicieux. Ces doigts résolument taquins s’amusaient à se glisser entre ces fesses pour le taquiner, ravivant une flamme de désir en son être, celle de voir son amant devenir un être ô combien dominateur. Celui-ci s’amusait certainement de la situation, le taquinant dans de baisers rempli de passion, embrassant sa chair et ces pectoraux, délaissant alors ce bouton de chair. Un baiser qui se perdit progressivement sur ces abdominaux pour rejoindre ces reins, ne descendant pas lus bas que son boxer. Ki Suk ne chercha nullement à résister son amant, laissant échapper volontairement ces gémissements de ces lèvres pour attiser le désir dans l’être de son amant. Son aine si bien loti dans ce boxer prenait de plus en plus forme, envouté par cet amant qui avait le mérite de le rendre si fébrile en si peu de temps. Ki Suk n’était en soit qu’une pauvre victime de cet amant qui avait capturé son cœur et son corps depuis de nombreuses années. Obéissant à son amant, le bulsajo vint alors une nouvelle position, frissonnant alors qu’il sentait ces phalanges s’extirpaient de son boxer pour regagner ces fesses.

Yano vint alors lui murmurer très lentement aux creux de ces fesses que ce boxer était résolument attrayant, ces fesses si douces et délicates étant particulièrement mise en valeur pat ce tissu moulant. Il était une véritable tentation à lui-même à laquelle il n’arrivait point à résister. Des mots ô combien enjôleurs qui n’avait cesse d’accentuer son désir pour la personne de Yano… Yano était si sensuel en cet instant, comment était-il censé pouvoir lui résister ? Le jeune né moldu l’ignorait, ne pouvant pas s’empêcher de soupirer au contact de ces lèvres coquines qui glissaient sur ces fesses. Ces lèvres qui accompagnaient de ces dents vinrent faire claquer délicatement ce boxer sur ces fesses, une action ô combien sensuelle qui vint le laisser gémir le doux nom de son amant. Il n’y avait pas à dire, son amant savait exactement comment le rendre totalement fou. Ces mains étaient venues alors se glisser entre ces cuisses pour frôler cette partie si sensible de son être ; soupirant encore à ce geste ô combien appréciable pour l’homme qu’il était.

Son amant souhaitant résolument le rendre particulièrement fébrile vint quitter ces fesses pour rejoindre le creux de son dos, remontant sur le creux de son dos, sa colonne vertébrale, son omoplate et sa nuque. Des actions ô combien appréciables pour le jeune homme qui laissait échapper un doux soupir de bien-être au contact de ces reins qui vinrent se coller au sien, sentant au creux de ces reins l’aine de son amant si formé. Son amant vint alors prononcer au creux de son oreille dans une voix ô combien si la suite lui convenait, n’était-elle pas au dessus de ces espérances ? Des mots ô combien vaniteux mais, tellement véritable de son point de vue d’amant. Ki Suk en réaction vint alors simplement coller plus fermement contre son bassin, fébrile en raison de ces doigts qui taquinait toujours l’intérieur de ces cuisses. Ki Suk n’était qu’une pauvre victime de cet amour tant il se trouvait résolument faible face à lui, son amant étant résolument le seul à pouvoir l’emmener à être si fébrile. Voir Yano si dominateur était résolument ô combien envoutant pour le jeune homme qui n’avait jamais cesse d’être toujours plus amoureux de cet homme. Le bulsajo résolument enchanté par celui-ci vint seulement murmurer dans une voix résolument suave et enchanté : « La suite répond aux exigences de ton mari… ton mari est toujours fébrile face à toi et cela semble être le cas en ce jour… Tu as le don de toujours savoir exactement comment le rendre fou. Un fait que ton mari ne peut qu’apprécier. Tu réussis à conquérir ton mari quoiqu’il advienne… vil manipulateur. » Il termina ces mots dans un doux sourire, laissant leurs reins se coller à ceux de son amant à nouveau dans un geste ô combien sensuel.


Son amant bien loin d’être insensible, vint continuer avec l’aide de sa main à caresser l’intérieur de sa cuisse, l’emmenant à frissonner à nouveau, sans doute bien heureux de voir Ki Suk si réceptif à ces action. Un fait non nouveau pour le jeune homme qui ne cessait ô grand jamais d’être fébrile. Yano pesant plus que lui, il lui était alors bien difficile de pouvoir renverser la situation, son amant se plaisant sans doute à le dominer en ce jour, le jeune homme ne put que venir continuer de murmurer pour attiser son désir : « Mais, ton mari veut bien que tu sois plus entreprenant… tu sais ô combien celui-ci aime te voir dominateur n’est-ce pas ? Et puis, il ne faudrait pas le décevoir… il faut que la suite soit à la hauteur pour qu’il soit encore plus fébrile et accro à lui. N’est-il pas intéressant de rendre son mari encore plus dépendant ? » Terminant ces mots, le bulsajo vint seulement prendre sa main l’une des mains de son amant qu’il avait à sa portée, pour l’emmener contre ces abdominaux, remontant doucement cette main jusqu’à la naissance sur ces pectoraux dans un geste langoureux. Des gestes qui devaient sans aucun amuser son amant, l’emmenant à frissonner doucement alors qu’il redescendait cette main jusqu’à atteindre ses abdominaux, à la limité de ce boxer. Une situation ô combien agréable le faisant murmurer alors : « Ton mari… est très impatient, tu le sais ? » Termina-t-il dans un doux sourire guidant alors la main de son amant sur son aine encore protégé par ce boxer.

Il était évident qu’il ne pouvait qu’être satisfait de sentir son amant si désireux sous son corps, ses doigts, ses lèvres. En tant qu’amant, qu’époux résolument épris, il voyait en leurs ébats que l’éveil fusionnel de leurs êtres, de leurs âmes, de leurs chairs. C’était au travers de ses actions taquines, coquines quoiqu’un brin perverses, qu’il s’éveillait en tant qu’homme comblé et amoureux. Ces petits jeux coquins n’étaient qu’une des pièces maitresses de leur bonheur qui se fondait sur leur amour et leur attirance mutuelle. Ils étaient fous l’un de l’autre et leur amour les guidait souvent à se laisser aller à leurs plus sombre desseins ensemble. Depuis qu’ils étaient ensemble, ils avaient réalisés bon nombre de leurs fantasmes, à tel point que les nouveaux ne pouvaient que se révéler d’autant plus pervers, presque inavouables envers autrui tant ces derniers pourraient leur faire rougir. Pourtant, ils n’étaient que le reflet de leur débordante appétence pour l’âme de l’autre et ils ne pouvaient qu’en savourer ses fruits. C’est pour cette raison qu’il se livrait corps et âme à ces préliminaires sensuels qui n’avaient que seule ambition d’éveiller la chair de son amant. Ce dernier avait passé tant de temps à dévorer du regard ces photos sur papier glacé qu’il désirait lui faire connaitre cette appétence jusqu’au bout en lui faisant atteindre le paradis terrestre.

Il s’appliquait donc à le couvrir de ses attentions, embrassant, caressant la moindre parcelle de sa chair qui lui était donné d’atteindre. Il aimait tant le couvrir ainsi, de sentir sa chair s’épanouir au contact de la sienne, être spectateur et responsable de ces frisons de bien être qui parcourraient la peau de son amant. Il s’agissait d’un tel ravissement pour son être qu’il ne pouvait accepter de les interrompre désormais qu’il avait le loisir de profiter de ce bien être cupide. Vêtu de son jean qui faisait rempart à ce que leurs deux bassins se collent l’un à l’autre, il commençait délicatement à le trouver de trop, désireux plus que tout de savourer ces contacts coquins avec son amant. Sans doute que son excitation commençait délicatement à se faire sentir malgré le tissu tant il semblait que son aine appréciait le bien être qu’il apportait à son amant. C’était résolument envoutant de voir à quel point il pouvait se sentir ébranlé par le simple plaisir personnel de son amant. Sans doute ressentirait cette même excitation si ce dernier venait à se caresser devant ses yeux, lui narrant tout ce qu’il imaginait qu’il lui fasse. Une pensée résolument perverse mais tellement vraie qu’il ne pouvait nullement regretter alors qu’il le dominait de tout son long, cupide de le voir succomber à ses charmes.

Il ne pu donc qu’être ravi de le sentir frissonner d’autant plus à ses caresses et baisers alors qu’il répondait enfin à sa question indécente. En effet, la suite répondait parfaitement aux exigences de son époux, qui était toujours fébrile face à lui comme à ce jour. Des mots qui ne purent que le faire sourire délicatement alors qu’il poursuivait ses baisers sur sa nuque, charmé dans le ton ô suave et enchanté de son amant qui lui avouait qu’il avait le don de savoir toujours comment le rendre fou, ce qu’il appréciait résolument. Il parvenait ainsi à le conquérir quoi qu’il advienne. Il le traita de vil manipulateur alors qu’il sentait ses reins se coller au sien dans un geste ô combien sensuel qui le faisait regretter d’avoir encore son pantalon. Il ne pu donc que se mordre délicatement la lèvre tant le bien être qui l’habitait s’intensifiait à ces paroles ô coquines, ses phalanges continuant de taquiner l’intérieur de ses cuisses. Ki Suk se trouvait si fébrile sous ses actions qu’il ne pouvait que s’enflammer de la sorte, satisfait de l’entendre proférer de si coquines invitations. Les mêmes qu’il avait pu proférer sur cette plage où son amant lui avait fait connaitre le plaisir que par ses lèvres. Une journée qu’il ne pouvait nullement oublié tant celle-ci s’était trouvée précieuse dans son esprit comme toutes les autres.

Il fut donc satisfait d’entendre son amant poursuivre sur cette lancée, lui signifiant que son mari désirait bien qu’il soit plus entreprenant car il savait bien qu’il aimait bien le voir dominateur. De plus, il ne faudrait pas le décevoir, que la suite soit à la hauteur pour qu’il soit encore plus fébrile et accro à lui. Des paroles qui ne purent que le faire délicatement rire alors qu’il venait baiser le creux de sa nuque avec passion, laissant ses lèvres cupides parcourir sa peau avec ambition alors que son amant lui demandait s’il n’était pas intéressant de rendre son mari encore plus dépendant. Des paroles ô perverses qui ne purent que le satisfaire alors qu’il sentait la main de son amour prendre une des siennes pour l’intimer à rejoindre la peau de ses abdominaux, désireux de sentir ses doigts sur son corps. Une action qui ne pu que l’enchanter d’autant plus alors qu’il le laissait faire, ses doigts remontant alors sur le buste, les pectoraux de son amant dans un geste langoureux. Un geste qui ne pouvait que rendre d’autant fébrile alors qu’il voyait ses phalanges guidées par celles de son amant redescendre de nouveau vers le bas de son corps. Il se trouvait donc hypnotisée par les gestes coquins de son amant qui lui avouait qu’il était très impatient, un fait qu’il ne pouvait nullement nier alors qu’il guidait ses doigts sur son aine pour appuyer ses propos. Une intimité résolument bien fermée sous le tissu de son boxer qui ne semblait réclamée que ses attentions.

Il vint donc obligeamment répondre à la requête de son amant qui venait de libérer sa main, lui redonnant la maitrise de ses actions qui répondaient à ses désirs. Il laissa alors le bout de ses phalanges parcourir de façon taquine cette aine bien éveillée qui l’attirait cruellement, d’autant plus chaque jour. Il sentait son amant réceptif à cet action, contenant ses gémissements de bien être, quand bien même pouvait-il savourer le contact de ses reins venir se coller au sien intimement. Un contact qui ne pouvait que le rendre d’autant plus brulant alors qu’il commençait délicatement à le caresser réellement tout en laissant son souffle baigner l’oreille de son amant.

« Je le vois… Ton corps ne peut pas me mentir… Je sais exactement ce que tu désires que je fasse… comme enlever cet encombrant jean pour laisser nos bassins se mouvoir l’un contre l’autre… sentir mon aine ô formée et cupide contre tes reins, tout comme sentir mon souffle brulant parcourir tes oreilles dans des gémissements ô cocasses. Je me trompe ? »

Il avait susurré ses mots dans une voix ô sensuelle et ténébreuse alors qu’il venait enfin caresser cette aine au travers du tissu, gémissant à son tour d’entendre ce bruit sourd coquin s’extirper des lèvres de son amant. Il aimait cette fermeté sous ses doigts, se sentant résolument à l’étroit au sein de ses vêtements qu’il vint baisser juste pour répondre à ses propres desseins. L’abaissant simplement jusqu’au creux de ses cuisses, il ne pu que gémir de nouveau de sentir le bassin de son amant se coller au sien alors qu’il venait mordiller sa nuque avec effusion. Ainsi, collé l’un à l’autre, il sentait son aine s’affermir au creux de ses fesses contre lesquelles cette dernière s’était déposée au travers du tissu. Les mouvements de ses doigts sur l’aine de son amant semblèrent débuter un mouvement de va-et-vient entre leurs deux bassins alors qu’il brulait de désir contre lui. C’est donc tout naturellement qu’il vint glisser ses doigts à l’intérieur du boxer de son amant pour le caresser véritablement, lui retirant ce dernier totalement pour pouvoir le toucher pleinement alors que son autre venait caresser l’intérieur de sa cuisse. Une action qui semblait rendre fou son amant qui vint geindre de nouveau alors qu’il venait embrasser son omoplate avec fougue, rejoignant le creux de son dos, murmurant de façon ô sensuelle.

« Et si mon époux me disait ce qu’il veut que je lui fasse ? J’avoue avoir très envie d’entendre sa merveilleuse et sensuelle voix me décrire ses desseins ô pervers… ça m’excite ! » Vint-il avouer au creux de son oreille qu’il vint mordiller au moment même où il vint presser son bassin contre le sien dans un nouveau mouvement de va-et-vient de son corps et de ses doigts.

Pervers, le jeune bulsajo savait bien qu’il était à cet instant où il laissait ces pensées perverses diriger son corps.  Il n’y avait bien que la présence de son amant qu’il pouvait le rendre ainsi et tout particulièrement avoir été si émoustillé avec des photos ô séduisantes de son amant, sans oublier son comportement résolument enjôleur qui ne pouvait que l’emmener à être si fébrile face à lui.  Ainsi, Ki Suk ne cherchait nullement à avoir ne serait-ce qu’une once de retenue dans ces gestes, n’ayant qu’une seule envie : celle de rendre son amant aussi fébrile que lui-même en cet instant. C’était d’ailleurs ce qui l’avait emmené à être si pervers, à prendre dans sa main celle de son amant pour l’emmener à caresser de manière ô combien sensuelle la peau de ces abdominaux, remontant progressivement jusqu’à son bustes et ces pectoraux. Des caresses ô combien plaisantes pour Kisuk qui ne lassait jamais de ces doigts sur ces formes, savourant leur contact à chaque instant.  Résolument taquin, le bulsajo avait alors guidé ces phalanges vers le bas de son corps, jusqu’à la limite de son boxer. Il avait alors murmuré d’une manière particulièrement coquine qu’il était très impatient, un fait ô combien vrai alors qu’il  posait ces doigts sur son aine. Ainsi, Yano pouvait sentir au creux de ces doigts à tel point le jeune homme se trouvait excité contre sa chair après si peu de minutes de taquineries verbales et physiques de sa part.

Le jeune homme une fois cette main lâchée n’eut nullement longtemps à attendre avant de voir son amant réagir et reprendre le relai. Yano vint laisser le bout de ces doigts parcourir sa chair au travers de son boxer, ravivant le désir qui prenait part de son corps, contenant ces gémissements, se mordant les lèvres tant il lui semblait brulait de désir. Ainsi, le jeune homme vint simplement coller contre sa chair ces reins, appréciant ce contact divin qui ne laissait ô grand jamais de marbre. Au même instant Yano venait le caresser à nouveau, l’emmenant à soupirer de bien-être alors qu’il sentait le souffle si chaud de son amant contre son oreille. Celui-ci vint lui susurrer qu’il voyait qu’il était bien impatient, son corps ne pouvant pas lui mentir. Il savait exactement ce qu’il désirait qu’il lui fasse, comme enlever ce jean pour laisser leurs bassins se mouvoir l’un contre l’autre, sentir son aine ô formée et cupide contre ces reins tout comme sentir son souffle brûlant parcourir ces oreilles dans de doux gémissements. Des mots ô combien véridiques qui ne pouvaient que raviver la flamme du désir, l’emmenant à se sentir continuellement si fébrile face à lui.

Comme pour venir répondre à ces mots résolument coquins, son amant vint descendre son pantalon jusqu’au creux de ces cuisses. Ki Suk n’attendit guère longtemps avant de réagir et de coller ces reins se coller à ceux de son amant, appréciant ô grandement ce nouveau  contact, ne pouvant qu’attiser son désir pour sa personne, tout particulièrement alors que son amant mordillait sa nuque avec ferveur. Le bulsajo se sentait particulièrement bien en cet instant, se sentant brûler de l’intérieur et sentant son aine bien cupide du contact des doigts de son amant qui effectuaient des caresses cupides.  Yano vint effectuer un mouvement de rein entre leurs bassins qui ne put que le faire gémir, n’ayant pas beaucoup à imaginer pour se rappeler des sensations de bien-être à chaque fois que Yano dominait leurs relations. Yano se trouvait résolument irrésistible et sensuel à chacun de leurs ébats, la domination ne le rendait qu’ô combien plus séduisant.  Ki Suk vint sourire doucement, soupirant de bien-être alors qu’il sentait les doigts de son amant venir se glisser à l’intérieur de son boxer pour caresser véritablement son aine. Un fait qui ne put que le ravir alors qu’il sentait son amant faire descendre son boxer au même instant, laissant celle-ci libre et encore plus sensible aux taquineries de son amant. Un amant qui ne mit guère longtemps avant de venir effectuer un mouvement de va-et-vient contre son aine, caressant l’intérieur de ces cuisses avec avidité.

Yano se rendait-il compte à quel point Ki Suk était fébrile ? Le jeune homme ne le savait nullement mais, les gémissements qui s’extirpaient de ces lèvres étaient là pour prouver le contraire.  Celui-ci vint à nouveau embrasser son omoplate avec fougue susurrant au creux de son oreille de lui dire ce qu’il voulait qu’il lui fasse, avouant avoir très envie d’entendre sa merveilleuse et sensuelle voix pour qu’il lui décrive ces souhaits pervers, cela l’excitait résolument. Des mots qui ne pouvaient qu’attiser son désir alors que déjà ces mains et son bassin exerçait une pression certaine sur son amant. Ki Suk ne mit nullement guère longtemps avant de répondre à son amant, souhaitant  tant le voir sensuel et dominateur, la gêne n’existait plus entre les deux « Ce que je souhaiterais… cela me parait tellement évident mon amour… je souhaite seulement que tu me fasses découvrir à quel point tu es sensuel lorsque tu me domines… je veux seulement que tu me fasses l’amour et me montre à quel point mon mari est le plus merveilleux des amants. Ton mari veut aussi sentir ton corps nu contre le sien… il trouve que ce boxer est vraiment très gênant. Ne trouves-tu pas ? Il n’y a sans doute rien de plus dérangeant… sentir tes formes est résolument plaisant.  »

Le jeune homme vint sourire doucement à ces mots, venant coller plus fermement son corps contre celui de son amant, soupirant alors qu’il sentait son amant venir effectuer de nouvelles caresses sur son aine, ne retenant volontairement aucun gémissement pour attiser le désir de son amant. Le bulsajo n’avait de toute manière aucune raison de contenir son désir pour sa personne, le contraire aurait été bien dommage pour son amant qui semblait se plaire à ces mots.  Un amant qui mordilla sa nuque un instant, soupirant alors qu’il le sentait se reculer un instant pour enlever ce maudit boxer et de permettre à leurs deux corps de se rencontrer véritablement à son plus grand plaisir. Le bulsajo ne put s’empêcher de murmurer alors à ce contact d’une voix résolument coquine à son amant : « Je confirme… cela est bien plus plaisant…» Sourit-il doucement alors qu’il soupirait doucement, sentant son amant reposer sa main sur son aine effectuer une caresse, l’emmenant à soupirer et fermer les yeux, profitant de chacun de ces instants.

Sans doute devait-il paraitre résolument pervers en agissant de la sorte et il en convenait lui-même mais, il se trouvait particulièrement difficile de résister à une telle tentation : celle de voir son amant se soumettre de façon si passionné à ses taquineries. Son amant se trouvait si sensible à ses actions, ses paroles qu’il ne pouvait qu’être d’autant plus sensuel et pervers, désireux d’accroitre l’excitation dans laquelle se trouvait son époux. Ce dernier semblait si soumis, si enchanté par ce qu’il lui procurait qu’il ne pouvait que lui-même être dévoré par cette passion dévorante qui n’avait de cesse de croitre au creux de ses reins. Quand bien même poursuivait-il ses préliminaires de façon ô déterminée, résistant à ses plus sombre desseins, il ne pouvait qu’avouer qu’il avait cruellement envie de passer à l’étape suivante : celle de laisser ses reins dévorer ceux de son amant mais, le chemin était encore long avant d’y parvenir. Il s’efforçait donc de résister à sa fougue, cette chaleur incommensurable qui l’habitait alors qu’il mourrait d’envie que Ki Suk poursuive ce petit jeu coquin en lui avouant ce qu’il désirait qu’il lui fasse tant il le sentait ferme contre la pulpe de ses phalanges, sa respiration forte l’informant ô combien l’échine de son amant se trouvait particulièrement fébrile à cet instant.

Il ne pu donc qu’être satisfait d’entendre la voix ô sensuelle et suave de son amant lui avouait que ce qu’il désirait lui semblait évident tant il désirait seulement qu’il lui fasse découvrir à quel point il était sensuel lorsqu’il le dominait. Des paroles ô enchanteresses alors qu’il se sentait d’autant plus impatient, réceptif aux mots si fripons de son époux qui lui susurrait qu’il voulait qu’il lui fasse l’amour et lui montre ô combien son mari était le plus merveilleux des amants. D’ailleurs, il désirait également sentir le corps nu de son amant contre le sien, trouvant son boxer réellement très gênant. Il lui demanda son avis, affirmant qu’il n’y avait sans doute rien de plus dérangeant, sentir ses formes contre les siennes se trouvant si plaisante. Des mots qui ne pouvaient que l’enchanter alors qu’il sentait son amant se coller plus fermement à lui, soupirant de bien être tout comme lui. La chaleur qui habitait sa chair n’avait de cesse de croitre tant il trouvait leur petit jeu ô envoutant et plaisant, si malsain dans une certaine mesure. Il ne pu donc que sourire de sentir son amant gémir à ses caresses sur son aine tandis que leurs bassins n’avaient de cesse de se mouvoir l’un contre lui, sa propre aine si enthousiasmée par ces caresses qu’ils lui permettaient de ressentir. Des cajoleries si plaisantes qu’il ne pu s’empêcher de venir mordiller le creux de la nuque de son amant dans un léger gémissement afin de retirer son dernier vêtement, sa chair étant bien trop impatiente de retrouver la chair si parfaite et brulante de cet amant, qui mourrait d’envie de succomber à ses actions. C’est donc dans un soupir de bien être ô profond qu’il sentit enfin son aine si tendue de plaisir se mouvoir simplement car la chair des fesses de son amant si naturellement.

Une action qui ne pu que le faire soupirer d’autant plus alors qu’il se collait à lui, laissant sa main retrouver la peau de l’aine de son amant qui venait de lui confirmer qu’il était bien plus plaisant de le savoir nu contre lui. Un bien être résolument partagé alors qu’il profitait de nouveau de cette plénitude d’être contre lui, encore plus désireux de le posséder entièrement alors qu’il poursuivait ses caresses, sentant son aine savourait ses mouvements de bassins qu’ils initiaient l’un et l’autre. Des actions cruellement coquines qui ne pouvaient que l’enflammait alors qu’il laissait ses lèvres dévoraient le creux de la nuque de son amant avec fougue, résolument envouté par ce bien être qui les transcendait.

Une plénitude si profonde qu’il laissait son souffle brulant s’évanouir sur la chair rougie de son amant alors qu’il sentait son aine si chaleureusement lotie au creux de ses fesses, qui n’avaient de cesse de la cajoler. C’est donc tout naturellement qu’il vint glisser ses lèvres au creux de l’oreille de son amant pour y susurrer des mots coquins alors qu’il venait prendre entre ses doigts, le bois de sa baguette dont il usa pour récupérer le lubrifiant qui se trouvait dans la table de chevet. Un bien précieux qui vint se poser à côté d’eux alors qu’il venait déjà s’en saisir pour l’ouvrir, y glissant deux de ses phalanges pour venir les glisser entre les fesses musclées de son amant dont il avait du s’éloigner sans une légère pointe de frustration. Une action dans laquelle il se contenta simplement de le préparer avec passion, lassant ses lèvres embrasser la nuque de son amant, son omoplate alors que sa main libre poursuivait ses caresses sur cette intimité si bien tendue entre ses doigts.

C’est donc avec douceur et passion qu’il vint sagement le préparer du bout de ses phalanges expertes, désireuses de découvrir cette antre ô plaisante dans laquelle désirait se rendre son aine bien jalouse de ces dernières. Ainsi, il vint donc le préparer avec ambition et satisfaction, cherchant à lui rendre la suite plus plaisante tandis qu’il poursuivait de son autre main ses caresses sur son intimité, souriant exalté de le sentir si fébrile et désireux entre ses doigts. Une excitation qui n’avait de cesse de croitre alors qu’il l’entendait gémir délicatement, désireux plus que jamais qu’il poursuive ses taquineries ô coquines. Lorsqu’il le sentit enfin prêt, c’est tout naturellement qu’il vint retirer ses phalanges de sa prochaine victime pour y glisser délicatement son aine contre cette dernière ses lèvres se mouvant contre sa mâchoire avec douceur et émoi.

« J’ai terriblement envie de toi mon amour… Tu es si parfait sous mes doigts, contre mon aine…mon corps se consume rien qu’à l’idée de te posséder de nouveau… Je n’arrive pas à résister à cette si délicieuse tentation… Tu me rends fou de désir… » Susurra-t-il tout doucement au creux de son oreille dans une voix ô suave tandis qu’il laissait enfin son aine se mouvoir contre ses fesses.

C’est donc dans un gémissement ô profond et naturel qu’il vint simplement s’immiscer en lui, le posséder avec douceur et effusion, le souffle court tant cette pénétration le faisait planer tant son désir de le posséder se trouver monstre à tel point qu’il n’avait de cesse de susurrer son prénom dans une voix ô chaude alors qu’il se maintenait au dessus de son amant à l’aide de ses mains déposées autour de son torse, ses reins pressés contre ceux de son amant tandis qu’il initiait simplement un mouvement de bassin pour débuter une série d’actions qui ne pourraient résolument que les rendre fous l’un et l’autre.

Depuis de nombreux mois les deux jeunes hommes avait cessé d’avoir ne serait-ce qu’une seule retenue dans leur relation, dans chaque mot qu’il prononçait à l’encontre, dans la mesure où il se retrouvait tous les deux seuls.  Bien que les regards intéressés qu’il adressait à Yano lorsqu’ils étaient dans des lieux publics n’avaient guère de retenue. Ki Suk ne cessait ô grand jamais de fantasmer et de désirer cet être qui lui semblait être ô combien parfait et désirable. Il aimait résolument le contact entre leurs corps et le jeune homme ne pouvait que le laisser l’exprimer au travers de ses paroles tout particulièrement alors qu’il sentait enfin le corps nu de son amant contre le sien, un corps qui lui avait déjà manqué alors qu’il s’était quitté le matin pour aller chacun de leur côté à leur activité. Son corps réagissait si aisément à celui de son amant, frémissant de bien-être contre cette main qui venait à nouveau effectuer de légères caresses contre son aine. Leurs bassins venaient alors se rencontrer dans de langoureux mouvements, l’emmenant à laisser échapper des gémissements au même instant ou les lèvres de son amant dévoraient le creux de sa nuque, laissant sans doute des marque sur son corps. Son corps ne semblait pas s’en plaindre, la chaleur de son corps se faisant de plus en plus forte. Cette aine si bien lotie contre ces fesses accentuait cette sensation de chaleur, comme les mots résolument coquins qu’il lui susurrait contre son  oreille, des mots qui traduisaient le désir que portait Yano en sa personne en cet instant.

Yano ne semblait plus être capable d’attendre plus longtemps, remarquant alors que d’un coup de baguette le jeune homme avait amené le lubrifiant à leur portée. Ki Suk n’eut guère à patienter avant de sentir les doigts de son amant caresser ces fesses un instant, jusqu’à atteindre son intimité qui n’attendait qu’à recevoir les doigts experts de son amant. Des doigts lubrifiées qui venaient le préparer à recevoir l’aine de son amant si excité qu’il eut le loisir de sentir contre ces fesses. Des doigts qui vinrent le pénétrer au même instant où ses lèvres s’échouaient sur sa nuque avec plus de ferveur, embrasser son omoplate avec une passion certaine. Les caresses que lui offraient son amant à nouveau ne le laissait pas de répits, son aine appréciant ô combien cette main qui effectuait de légères caresses contre son aine. Une aine qui prenait résolument plus de forme à chaque seconde, son corps se relaxant progressivement et s’habituant à cette intrusion qui n’était résolument dérangeante, sachant ô combien son corps apprécierait d’avoir en son sein l’aine de son amant, tout comme ces doigts qui toucheraient sa prostate.  De ce fait, la douleur qui prenait part de son être ne fut que provisoire, celle-ci disparaissant pour laisser place à un bien-être certain, l’emmenant à gémir le nom de son amant. Une action que son amant risquait d’apprécier alors qu’il le sentait le taquiner, frôler cette partie de son corps qui lui faisait ressentir cette douce folie qu’il cherchait à connaitre à nouveau aux côtés de cet amant.

Ainsi, Ki Suk ne put que laisser un doux gémissement de mécontentement s’échapper de ces lèvres lorsqu’il sentir ces doigts quitter son intimité, celle-ci appréciant bien trop le contact de ces doigts contre sa prostate.  Néanmoins, le contact de cette aine qui se rapprochait de son être ne pouvait que le rendre ô combien fébrile, sachant que le plaisir qu’il avait ressenti ne pouvait que se décupler dans quelques minutes lorsqu’il viendrait le posséder. Les mots de son amant ne lui permirent de calmer son ardeur, sa passion tant Yano venait lui susurrait qu’il avait terriblement envie de lui, le trouvant résolument parfait sous ces doigts, contre son aine. Son corps se consumant à l’idée de le posséder à nouveau, n’arrivant pas à cette délicieuse tentation, le rendant fou de désir. Des mots qui rendaient le bulsajo ô combien fébrile, l’emmenant à nouveau à gémir alors qu’il sentait enfin son amant le posséder. Une sensation résolument envoutante, se sentant si fébrile face à cet homme et si complet de sentir son amant en lui.

Tout comme son amant, il ne cessait pas de prononcer son nom dans une léthargie certaine tant il savait que cela rendait fou son amant qui appréciait résolument entendre ses gémissements. Son amant bien impatient vint alors effectuer un mouvement de bassin pour débuter une série d’actions qui ne pouvaient que les rendre fous l’un comme l’autre. Malgré une légère douleur en son être, le jeune homme chercha résolument à faire rencontrer leurs chairs plus intensément, se mordant les lèvres, sensible à chacune des actions de son amant, ces mains qui caressaient son torse, tout comme cette aine qui était à l’origine de ces douces sensations.  Ki Suk, bien trop impatient, fit abstraction de ces douleurs et résolument coquin, vint lui-même rapprocher leurs reins pour ressentir plus rapidement cette aine en son sein et toucher enfin ce bien-être profond qu’il n’avait pas ressenti depuis bien trop longtemps à son goût.  Les sensations de douleurs disparurent progressivement pour laisser à la luxure son droit, le faisant doucement gémir le prénom de son amant dans de courtes paroles « Yano…  c’est si… plaisant… ».

Il fut bien incapable de prononcer d’autres paroles, à la fin de ces mots son amant touchant après plusieurs pénétrations sa prostate ô combien sensible. Il se mordit les lèvres, laissant l’une de ces mains se diriger vers la couverture pour la saisir, serrant entre ces doigts celle-ci tant il lui semblait perdre le sens de la réalité.  Yano se trouvait un amant si passionné qu’il lui était tout simplement de résister d’une quelconque façon. Ainsi, Ki Suk, continua simplement à venir chercher de lui-même cette aine, effectuant un mouvement de rein pour ressentir celle-ci plus profondément en lui, contre sa prostate qui aimait tant malmener par son amant. Lui qui aimait résolument dominer leurs relations se trouvait toujours aussi faible lorsque leur rôles s’inversait, lorsqu’il voyait son amant si dominateur le trouvant si sensuel et si charismatique. Une pensée qu’il n’hésita nullement à partager à son amant dans une voix éprise par ce bien-être : « Yano…tu es si… sensuel …si merveilleux… » Il termina ces mots dans un gémissement, sentant alors Yano venir le posséder à nouveau, touchant alors cette prostate qui était l’une de ses sources de son bien-être. Son amant semblait apprécier ces mots, il ne pouvait nullement en douter alors qu’il sentait ces lèvres à nouveau attaquer sa nuque dans de nombreux baisers, son amant mordillant sa chair.  L’une des mains de son amant caressait son torse avec envie, l’emmenant alors à frissonner à nouveau, ne sachant nullement comment penser sereinement alors que tout son être respirait le goût pour la luxure, son corps se trouvant si brûlant en cet instant.

Fou, sans doute l’était-il de cet homme qui semblait résolument un objet d’admiration sans limite. Nulle personne ne pouvait imaginer le temps qu’il passait à admirer les traits si parfaits de son amant depuis de nombreuses années. D’abord en secret, sans même prendre conscience de la signification de cet agissement de sa part, s’était mêlé un désir qui n’avait eu de cesse de croitre au fil des années pour devenir celui qu’il était à ce jour. Il désirait Ki Suk plus que n’importe qui en ce bas monde, l’aimant et le chérissant au point qu’il lui semblait bien impossible de vivre sans lui. Cette éventualité même ne pouvait que le rendre aliéné tant son cœur, son âme ne pourrait se résigner à une tel perte. Cet amour qu’il avait développé pour lui se trouvait si puissant, si sincère qu’il était la source de leur relation, de leur complicité, de leur aliénation commune. S’il se trouvait si profondément amoureux de lui, son mari l’était tout autant que lui, leur alliance secrète en étant la preuve la plus flagrante.

Il est donc évident qu’il n’avait pu résister à la vue si tentatrice de cet homme, qui s’était trouvé sagement allongé sur son lit à son arrivé. Simplement vêtu de ce boxer ô moulant qui révélait la perfection de ce fessier ô envoutant, il n’avait pu que l’observer avec ambition, intérêt et passion. Il avait eu envie de le caresser, de l’embrasser, le dévorer de ses reins comme s’il ne pouvait pas en être autrement. Une ambition résolument lubrique, cupide qui semblait tant ravir la chair de son amant, qui tout aussi exalté par son corps au travers de quelques clichés, s’étaient tout simplement allé à ses baisers, ses caresses et taquineries. Ils avaient poursuivis ce petit jeu sensuel comme à leur habitude, résolument désireux et exaltés par la chair de l’être tant aimé. Ils étaient arrivés à cet instant que tout deux attendaient ce fatidique instant où ils formeraient qu’un de nouveau pour atteindre ce paradis terrestre qu’ils aimaient tant parcourir en compagnie de l’autre. Ils avaient fais durer cet euphorique désir, savourant les frisons qui pouvaient en découler qui nourrissaient ce doux enivrement qui les rendaient si fébriles.

Tout contre ses reins, prêts à les dévorer, son aine ne pouvait que se sentir exaltée, ravie de pouvoir rencontrer de nouveau ces reins qui la faisaient tant rêver. S’immisçant au sein de ces derniers, il savourait la plénitude que seuls eux pouvaient lui procurer, nourrissant cette frénésie qui n’avait de cesse de croitre au creux de son âme, son cœur, son corps. En équilibre sur ses bras tandis que ses reins se fondaient dans ceux de son âme sœur, il laissait ce bien être l’envahir, lui dévorer les entrailles avec une félicité sans précédent. C’était si enivrant de voir ô combien le corps de son amant pouvait provoquer un flux de bonheur si puisant juste parce qu’il s’agissait de lui. Un bien être commun qui s’exprimer au travers de leurs lèvres qui ne pouvaient contenir cette fébrilité de leurs chairs alors qu’il initiait une série de mouvement de bassins. Son aine incroyablement bien lotit au creux de ce merveilleux fessier, n’avait de cesse de profiter de cette extase qu’il pouvait lui procurait, sentant même le bassin de son amant venir à la rencontre  de ses reins.

Pour venir accroitre ce bien être, il avait fini par rejoindre le corps de son amant, se posant au dessus de lui alors qu’il poursuivait ses coups de reins délicatement mais sans moins d’appétit. De ses mains libres, il vint le caresser du bout de ses phalanges, s’attardant sur son torse et son aine qui ne semblait nullement perdre de sa vigueur. Résolument heureux de plonger le corps de son amant dans un tel état, il ne pu que se sentir exalter de sentir ses reins venir d’eux même se mouvoir contre ses reins sans même qu’il n’ait à les initier. Un fait qui ne pouvait que le taraudait encore plus de désirs alors qu’il venait observer cette scène résolument merveilleuse qui se déroulait sous ses yeux. Sans doute que son comportement se trouvait quelque peu pervers mais, il ne pouvait que se sentir résolument heureux de voir ce bassin rejoindre le sien dans des gémissements si profonds, si euphoriques à écouter, se berçant même de ce dernier tant cette voix était érotique. Les mots qui s’en échappèrent ne pouvaient que le rendre encore plus cupide alors que son amant lui avouait qu’il était cruellement sensuel, merveilleux dans un gémissement qui ne pouvait nullement camoufler le plaisir monstre qui l’habitait.

Désireux d’accroitre le bien être au sein du corps de son amant, ses lèvres vinrent alors se poser au creux de sa nuque pour embrasser sa nuque avec passion, la mordillant avec délectation tandis que ses doigts poursuivaient leurs excursions sur sa peau si délicate pour accroitre la chaleur au sein de l’échine de son amant qui semblait respirer le goût pour la luxure. C’est donc tout naturellement qu’il vint cesser ses caresses pour se mettre de nouveau en appui sur ses bras afin d’effectuer un mouvement ô profond dans ses reins, gémissant son bien être au creux de son oreille alors qu’il venait d’une de ses mains soulever les reins de son amant pour permettre un angle de pénétration plus profond. Un nouvel angle qu’il lui permit résolument de sentir ses reins venir se mouvoir contre les siens avec ambition tandis qu’il venait lui avouer son bien être, lui susurrant ô combien il le trouvait particulièrement érotique ainsi, se sentant si bien au creux de ses reins.

Un contact qu’il vint rompre tandis qu’il s’extirper de ses reins afin de se mettre à genou, lui intimant de le suivre pour se mettre dans la même position alors qu’il venait de nouveau le posséder délicatement, laissant ses mains se glisser sur son torse, ses reins, ses cuisses. Ses lèvres quant à elles vinrent se glisser sur son omoplate pour rejoindre sa nuque, sa mâchoire alors qu’à l’aide de ses mains, il vint intimer son amant à effectuer un mouvement de reins sur son aine, laissant son gémissement s’échouer sur cette peau ô délicate. Une action qui vint débuter une série de mouvements de bassins qui n’avaient de cesse de devenir plus profond, plus fougueux alors qu’il gémissait le nom de son amant, obligeant le visage de son amant de se tourner vers lui du bout de ses phalanges pour l’embrasser fougueusement.

Le son érotique qui s’extirpait du mouvement de leurs reins ne pouvait qu’accroitre son appétence alors qu’il n’avait de cesse de l’étreinte, sentant son aine si cruellement cupide et ambitieuse, exaltée d’être en mesure de le dévorer de la sorte. Un bien être qui semblait commun alors qu’il sentait le bassin de son amant venir de lui-même agir sur son aine, le rendant si euphorique. Ses phalanges n’avait de cesse de caresser sa cuisses, ses fesses pour s’échouer sur l’aine de son amant pour le troubler encore plus, s’assurer de l’émoi dans lequel ses actions le mettaient. Il sentait l’extase montait peu à peu, s’installant au creux de son ventre à tel point qu’il ne contrôlait plus ses mouvements qui se firent bien plus fougueux et profonds, endiablés et désireux de frôler ce moment de bonheur profond qu’ils aimaient tant découvrir l’un avec l’autre.

Une extase qu’il désirait connaitre avec lui afin de profiter de ce dernier avec délice comme toujours. C’est pour cette raison et également dans l’optique d’entendre son amant geindre d’une manière fort délicieuse, qu’il vint s’extirper brutalement de son amant pour venir lui mordiller la nuque, résolument envouté par ce son ô merveilleux qui vint frapper son oreille tandis qu’il venait faire de même au creux de son oreille.

« Je suis sur le point d’atteindre ce bout de paradis terrestre, mon amour… Tu sais ce dont je rêve à cet instant ? C’est que tu viennes sur mon aine, que tu la dévores de tes merveilleux reins jusqu’à atteindre ce doux instant. Me donneras-tu cette merveilleux opportunité d’admirer ton corps me réclamer entièrement en lui, comme tu me l’as si bien montré ces derniers instants. Je meurs d’envie de goûter ce bonheur dans tes reins, en toi… » Vint-il avouer très faiblement au creux de son oreille alors qu’il glissait ses mains sur ses cuisses, remontant le long de ses reins pour rejoindre ses pectoraux qu’il vient caresser avec satisfaction.

C’était à Ki Suk de choisir ce qu’il désirait pour atteindre cette apothéose, leur faire de nouveau goûter à cette félicité si profonde qui n’avait de cesse de les rendre plus cupide l’un de l’autre tant et si bien qu’ils en devenaient accro l’un autant que l’autre.

Ki Suk était bien incapable de résister à son amant d’une quelconque manière, peu importe les situations, peu importe les moments. Son corps ne cessait ô grand jamais de venir réclamer son amant pour venir répondre sa grande cupidité, celle de goûter au plaisir de la chair à ces côtés autant qu’il le pouvait. Un fait qui ne pouvait résolument que plaire à son amant qui s’extasiait devant son comportement résolument pervers, laissant son corps et sa cupidité guidait son corps vers cette aine qui l’emmenait à nouveau à connaitre une très grande extase. Il n’y avait résolument rien à redire, perdre son rôle de dominant était résolument plaisant aux côtés de cet amant. Son amant semblait d’ailleurs profiter de cette occasion pour le rendre toujours plus fou, venant embrasser sa nuque avec passion, la mordillant. Ses doigts résolument coquins caressaient sa peau si délicate, caressant ces abdominaux, son torse, un contact qui ne pouvait résolument que lui plaire, augmentant la chaleur qui prenait part dans son être.  Un contact qui se termina trop rapidement à ces yeux alors qu’il sentait son amant changer quelque peu de position pour venir le pénétrer de manière plus profonde, gémissant son bien-être au creux de son oreille alors qu’avec l’un de ces mains, il avait soulevé légèrement son amant pour réaliser une pénétration plus profonde. Des pénétrations qui lui permettaient alors de ressentir des sensations de bien-être plus intensément, savourant résolument les mots de son amant qu’il lui avait qu’il le trouvait particulièrement érotique, se sentant si bien au creux de ses reins.

Lorsque son amant vint arrêter ces mouvements et s’extirper de ses reins, le jeune homme ne put s’empêcher nullement de laisser échapper un gémissement de mécontentement, son corps réclamant résolument cet être en son sein.  Un manque qui ne perdura guère longtemps, son amant se mettant à genoux derrière lui, lui intimant alors de se mettre lui aussi dans cette position pour venir le posséder délicatement. Ces mains se glissaient sur son torse, ses reins et ses cuisses à son plus grand plaisant, frissonnant à ce contact source d’un bien-être profond.  Yano n’eut nullement à lui intimer longtemps de venir sur son aine, Ki Suk le fit de lui-même, soupirant son bien-être alors que celle-ci ne cessait de rencontrer sa prostate, l’emmenant à savourer chacun de leurs mouvements et gémir le doux nom de son amant. Les gémissements de son amant en cet instant ne pouvait que le ravir, sentant leurs corps appréciaient ces instants de luxure et de folie.  L’une de ces mains vint alors l’intimer à tourner légèrement son visage pour accueillir leurs lèvres dans un baiser ô combien plaisant, fougueux dans lesquels ils laissaient leur amour et leur passion s’exprimer.

La folie avait résolument pris part de leurs êtres, leurs mouvement se retrouvant à chaque instant plus fébrile, plus endiablé et désireux à nouveau de connaitre cette luxure jusqu’au paroxysme, sentant son corps devenir de plus en plus fébrile, réclamant en son sein cette aine.  Son amant ne lui permettait nullement de calmer cette envie, celui-ci s’amusant à caresser ses cuisses, ses fesses pour s’échouer sur son aine si bien formé, si enchanté de recevoir tant d’attention de la part de cet amant qui le rendait résolument fou. Leurs mouvements s’accentuait, l’emmenant à gémir plus fortement le nom de son amant, si ravi de ressentit l’ensemble de ces sensations,  en étant devenu si dépendant au fur et à mesure des années.

Ki Suk ne put alors qu’exprimer son mécontentement dans un râle alors que son amant s’arrêtait subitement après lui avoir permis d’avoir des mouvements de reins si profonds et si fougueux. Celui-ci semblait d’ailleurs s’en amuser, mordiller sa nuque alors qu’il lui murmurait des mots résolument coquins. Il lui murmura alors qu’il était sur le point d’atteindre ce bout de paradis terrestre. Il lui demanda alors de venir réaliser son souhait, soit de venir sur son aine pour le dévorer de ses merveilleux reins jusqu’à atteindre l’extase. Il lui demanda alors qu’il lui donnerait l’opportunité d’admirer son corps venir le réclamer entièrement, comme il lui avait si bien montré ces dernières minutes. Il mourrait d’envie de goûter à ce bonheur dans ses reins, en son seine.  A la suite de ces mots, la chaleur  de son corps ne put qu’augmenter résolument alors qu’il sentait au même instant ces mains s’égaraient sur ces cuisses, remontant le long de ses reins pour rejoindre ces pectoraux qu’il venait caresser avec envie. Des mots et des paroles qui ne pouvaient que le rendre faible, faisant naitre en lui une envie certaine de rendre aussi fou cet homme.

Ainsi, sans laisser le moindre choix à son amant, il vint se retourner subitement, laissant à son amant alors une vue ô combien agréable sur son corps nu et résolument tentateur.  Il ne lui laissa nullement le choix l’embrassant de manière coquine, mordillant ces lèvres avant de laisser leurs lèvres se rencontraient de manière ô combien sensuelle. Approfondissant leurs échanges au même instant où il intimait son amant à s’allonger sur ce lit, laissant ces mains se perdre sur les pectoraux de son amant, descendant sur ces abdominaux jusqu’à atteindre cette aine qu’il s’amusa à taquiner quelques instants. Il ne laissa d’ailleurs à Yano que peu de secondes de répits avant de prendre celle-ci dans sa main, se relever quelque peu et prendre une position qui lui permettait alors d’accueillir en son sein l’aine de son amant. Ayant quitté les lèvres de son amant alors, il laissait à son amant une vue imprenable sur son corps, ce torse qui lui plaisait, tout comme son visage qui exprimait un plaisir certain alors que l’aine de son amant pénétrer enfin sa chair après tant de minutes éloignées loin l’un de l’autre. Sans laisser à Yano le temps de s’habituer à ce doux contact, il vint effectuer à nouveau une pénétration profonde, l’aine de son amant rencontrant alors sa prostate. Ki Suk laissa échapper alors un doux gémissement de bien-être à ce contact, ne pouvant nullement s’empêcher de venir effectuer à nouveau ces mouvements de reins, ces mains se plaçant sur ces abdominaux pour se relever plus aisément.

Cette position ne rendait que son corps qu’encore plus fébrile,  son visage exprimant le bien-être qui le possédait en cet instant. Les yeux fermés, lui offrant une vision ô combien radieuse à son amant.  Il ne sut exactement combien de temps, ni combien de fois il exécuta ces mouvements, mais il sentit son corps se rapprochait de cet instant où son corps ressentirait ô combien de sensations agréables en quelques instants. Il ne pouvait s’empêcher de laisser échapper de doux gémissements de bien-être, à chaque fois que cette aine rencontrait sa prostate.  Il ne lui fallut alors que quelques minutes de plus pour atteindre cette extase qu’il vint exprimer dans un doux râle, sentant son amant rendre les armes au même instant.  Il lui fallut quelques minutes avant de se détacher de cette aine, venant s’allonger alors tout contre son amant, l’embrassant dans un baiser résolument tendre. Il mit fin à ce baiser alors qu’il murmurait contre les lèvres de son amant : « Mon mari juge-t-il que son mari a en fait assez pour se faire pardonner ou réclame-t-il encore quelque chose ? » Il termina ces mots dans un doux sourire, ces lèvres volant un doux baiser à son amant. Celui-ci ne fut nullement déçu du regard quelque peu coquin de son amant, signifiant sans doute qu’il ne serait pas en désaccord pour continuer.

FIN