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 Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi

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MessageSujet: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:29


Yuuki entamait bientôt son cinq mois de relations avec Yasushi, la demoiselle ne pouvait alors qu’en être fière. En effet, à chaque instant passé à ses côtés, celle-ci semblait s’épanouir et oublier ces peines de cœur du passé. Son histoire d’amour avec ce simple moldu avait quitté ces pensées, pour laisser place à une histoire qui lui paraissait bien meilleure au côté de son tendre et généreux petit ami. Bien entendu, en vu de leurs emploi du temps respectifs, ils ne pouvaient nullement se voir autant de fois qu’ils le voudraient. Ils se contentaient alors de se voir quelques minutes ensemble dans la journée et profitait pleinement de la compagnie de l’un ou de l’autre chez la demoiselle qui avait un appartement dans la ville moldue de Jinju.

Ce jour ne faisait nullement exception à cette règle alors que les deux jeunes sorciers venaient d’arriver dans l’appartement de la demoiselle. Celui-ci ne se trouvait nullement  très grand mais cela suffisait à la demoiselle qui avait eu l’habitude de vivre ici. Son logement n’était nullement inconnu pour le jeune homme qui était venu plusieurs fois au creux des bras de la demoiselle. Ces nuits ne pouvaient nullement être oubliable pour la demoiselle qui appréciait particulièrement être si proche de Yasushi et dormir au creux de ces bras. Elle aimait tant se réveiller un peu plus tôt que le jeune homme pour venir le dévorer du regard, caresser ces traits qu’elle trouvait magnifiques. Ainsi, elle n’avait pu qu’être heureuse de savoir qu’ils dormiraient ensemble en cette nuit extraordinaire avec cet être ô séduisant. Séduisant, elle trouvait absolument séduisant alors qu’elle le voyait pour la première fois si masculin. Sans prévenir, il était venu en ce jour habillé de vêtements différents, portant un simple jean et un haut qui ne laissait que peu d’imagination, lui laissant alors la possibilité d’observer son début de torse. Ainsi, sans s’en rendre compte, elle avait dû sans aucun doute dévorer du regard el jeune homme tant elle le trouvait sublime ainsi tout au long de leur rendez-vous. Sa coupe de cheveux habituelle avait laissé place à une coupe bien plus masculine qui lui allait à ravir, obligeant son pauvre cœur à battre plus rapidement.  Si le but de Yasushi était de rendre fou son cœur, il avait parfaitement réussi son objectif, rendant ô fébrile la demoiselle.  La demoiselle se sentait bien faible face au jeune homme.  Elle espérait silencieusement pouvoir le dévorer du regard sans ce haut, admirer ses muscles fins qu’elle avait déjà eu l’occasion de voir lors de ces nuits avec lui dans le lit de son appartement.  Le regard qui lui avait lancé le jeune homme tout au long du repas n’avait pas pu laisser de marbre, son cœur battant à tout rompre à chaque fois que leurs mains se frôlaient. Plus les jours avançaient, plus elle se sentait de moins en moins insensible au corps de son petit ami.

Ainsi, arrivée dans l’appartement la demoiselle, gardant la main de son petit ami dans la sienne, elle venait lui demander s’il voulait boire quelque chose. Celui-ci vint alors refuser, s’asseyant simplement sur son lit comme à leur habitude à chaque fin de rendez-vous. Souriant simplement, elle vint alors le rejoindre, s’asseyant sur ces genoux avec élégance. Posant alors sa tête contre la nuque, sa main sur le rein gauche de Yasushi, elle vint doucement murmurer : « Tu as été parfait Yasushi… vraiment.. » Elle se sentait si bien ainsi, tout contre le jeune homme. Fermant les yeux, elle vint doucement déposer un baiser contre sa nuque, souriant comme jamais.  La demoiselle vint alors ouvrir les yeux, se redresser alors qu’elle venait caresser les traits de son visage avec tendresse, elle le trouvait si magnifique ainsi. Elle le dévorait alors du regard, le trouvant particulièrement attirant en cette soirée. La demoiselle vint alors déposer de doux baisers sur le visage du jeune homme, souriant, en vue du fait que le jeune homme semblait tout à fait apprécier ces attentions ; s’amusant, elle vint alors embrasser ces douces lèvres qu’elle n’avait pas embrassées depuis trop longtemps à ces yeux. Souriant simplement, la demoiselle était venue alors prolonger ce baiser, le rendant langoureux alors qu’elle caressait la nuque de son petit ami. Elle aimait particulièrement le contact entre leurs deux corps, ne s’en lassant tout simplement pas. Venant terminer ce doux baiser, la demoiselle vint alors jeter un regard ô captivant vers sa personne, conquise par le jeune homme.  La demoiselle vint alors murmurer d’une voix éprise par le jeune homme : « Tu es vraiment beau mon Yasushi, tu le sais ? »

Sans aucun doute qu’en cet instant elle devait paraitre bien amoureuse et conquis aux yeux du jeune homme mais cela n’était nullement un problème pour la demoiselle. Après tout, elle était en train de fondre pour le jeune homme chaque jour un peu plus, comment n’aurait-elle pu ne pas succomber en ce jour alors que son petit ami alors qu’il se trouvait si magnifiquement beau en ce jour ? Peu importe ce que lui ordonnait sa raison, son cœur la guidait et l’emmenait seulement à être de plus en plus éprise de lui, guidée par une douce passion.  La demoiselle avait envie de s’offrir au jeune homme en cette nuit, pour la première fois depuis le début de leur relation. Tels étaient ces pensées alors qu’elle continuait de caresser les doux traits de son visage, lui lançant sans s’en rendre compte un regard empli de désir. A nouveau, elle vint embrasser les lèvres de son petit ami, sa main venant caresser à présent sa nuque ô si parfaite, tout comme son rein. Elle se sentait si bien ainsi, à lui donner tout l’amour qu’il méritait qu’elle ne pouvait tout simplement pas s’arrêter d’une quelconque manière. Yasushi se trouvait être l’homme parfait à ces yeux, même si comme tout le monde il disposait de défaut comme son manque de confiance en lui.   Mais cela ne pouvait que le rendre plus beau à ces yeux, le voyant évoluer et lui permettant de la rendre fière de tous les efforts qu’il faisait chaque jour.
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Yasushi Yamada
Yasushi Yamada
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Je ressemble à « : Lee Seung Hyun - Model HOTBOOM ». J'ai égaré : 203 parchemins. Ma bourse est remplie de : 867 et j'ai : 32
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:31

Heureux, il ne pouvait nier qu’il s’agissait d’un sentiment avec lequel il renouait jour après jour depuis cinq mois tant ce dernier n’avait de cesse de prendre de l’ampleur au sein de son être. Au contact de Yuuki, qui se trouvait être désormais sa petite amie, il semblait revivre tout simplement. Quand bien même sa maladie ne l’avait nullement quitté, elle semblait s’amoindrir au fur et à mesure de ses rencontres avec cette si délicieuse personne qui se trouvait l’élue de son cœur. Il avait longtemps hésité à en prendre conscience, ayant bien trop peur de se fourvoyer sur la réelle teneur de ses sentiments à son égard. Après tout, il connaissait le maux dont il était atteint et la tendance qu’il avait à se laisser aller à toute marque de tendresse faite à son égard. Seulement il avait comprit ce qu’il éprouvait à l’égard de cette demoiselle, qui n’avait de cesse de s’accaparer son cœur. Il semblait avoir oublié cette partie de son existence où son cœur s’était trouvé fortement meurtri par tant d’abandon. Sans doute avait-il du se montrer ingrat envers les personnes qui lui avaient donné leur affection, il songeait notamment à son cousin et son oncle, qui l’avait tant soutenu à la suite de cette tragédie qu’il avait du endurer. Les blessures étaient cependant toujours présentes, moins douloureuses sans aucun doute mais elles se trouvaient là et il lui suffisait simplement de recevoir une lettre de ses parents pour prendre pleinement conscience de tout cela. Il espérait pouvoir les sortir de cet enfer un jour, quand bien même avait-il énormément du mal à réussir son diplôme, lui manquant simplement de maitriser un sort pour y parvenir. Encore à ce jour, le sortilège du patronus se trouvait être le seul qu’il n’arrivait pas à lancer, n’ayant de cesse de tourmenter son cœur à chaque instant.

Seulement, il voulait croire qu’un jour, ce bien être si prenant qu’il ressentait auprès de sa petite amie saurait le guider sur la bonne voie. Yuuki, par la douceur de son âme, de ses sourires et de son être se trouvait être son unique espoir. Son cœur formulait ce doux espoir dans sa poitrine alors qu’il prenait conscience qu’à ses côtés, il évoluait, devenait enfin un homme qui pourrait définitivement convenir à cette si magnifique personne qu’elle se trouvait être. C’est pour cela, dans l’intention de la conquérir qu’il avait entreprit cette démarche qu’était de changer de coiffure. Il avait mis énormément de temps pour demander des conseils avisés à son cousin, qui s’était moqué gentiment de lui. Il est vrai, qu’en tant qu’héritier il avait toujours eu ce charisme qui attirait les autres à lui, il se savait plus ou moins charmant mais il avait émis le souhait d’être plus beau afin de plaire à celle qui faisait battre son cœur. Il avait doucement rougit face à son cousin, appréciant son étreinte alors qu’il lui promettait de l’aider, c’était lui-même qui lui avait conseillé cette coiffure. Une coiffure bien plus masculine et élégante que la précédente, qui lui donnait un air plus sur de lui, moins tourmenté.

Une nouvelle coupe qui avait résolument plut à sa délicate amoureuse car cette dernière n’avait eu de cesse de l’observer durant le repas auquel il l’avait invité. Cela faisait bien une semaine qu’ils n’avaient pu se voir, lui occupait par ses activités au sein de son association et ses cours, tout comme cette dernière, qui avait entreprit de reprendre ses études cette année. Seulement les cours étaient présentement terminés pour les vacances d’été, ce qui leur donnait enfin plus d’occasions de se rencontrer et ils avaient souhaités en profiter. C’est pour cette raison qu’il l’avait invité dans un restaurant simple et élégant où il avait déjà eu le plaisir d’y manger. Un repas qui s’était déroulé parfaitement tant il n’avait pu s’empêcher de dévorer Yuuki du regard, qui résolument élégante n’avait eu de cesse de l’envouter. La robe lui sillait parfaitement, mettant en valeur sa délicate poitrine et ses formes si attrayantes. Il mentirait s’il n’avouait pas que cette tenue qu’elle portait, avait fait ressortir ses désirs d’homme et d’amant. Comment pouvait-il rester de marbre face à cette délicieuse créature qui se trouvait être sa compagne. Les regards cupides des autres hommes ne lui étaient pas passé inaperçu, l’intimant à cet instant à venir lier ses doigts aux siens, les caressant avec tendresse et amour.

Sans doute que ce fait n’était nullement imperceptible aux yeux de sa délicieuse Yuuki, qui tout comme lui n’avait de cesse de lui lancer de doux sourire à chaque instant alors qu’ils avaient entreprit de rentrer chez elle. Un fait qui n’avait rien d’étrange, cela n’était résolument pas la première fois qu’il venait dans son domicile et dormait à ses côtés simplement. Quand bien même cela faisait cinq mois qu’ils avaient entrepris leur histoire, il n’avait jamais trouvé le courage de dépasser avec elle, cette limite qui ferait d’eux des amants. Il n’était pas particulièrement alarmé par ce fait, savourant simplement leur relation comme elle venait même s’il ne pouvait nier qu’il avait envie d’elle. Elle était si magnifique, ses traits se trouvaient si parfait que son cœur n’avait de cesse de tambouriner dans sa poitrine lorsque le matin, il s’éveillait à ses côtés. La voir ainsi dans cette tenue qui la rendait si ravissante ne l’aidait pas non plus alors qu’ils avaient pénétré dans son appartement. Comme à ses habitudes, il était venu s’asseoir sur le lit de la jeune femme, plus confortable que sur les chaises de la petite table qui se trouvaient à côté de ce dernier.

Le studio de cette dernière étant relativement petit, il semblait convenir aisément pour une personne ou pour un couple et il devait reconnaitre qu’il s’y sentait tout simplement bien, cet endroit respirant le doux parfum de son propriétaire. Il fut d’ailleurs ravi de la voir s’approcher de lui pour venir s’asseoir sur ses genoux pour glisser sa tête au creux de sa nuque. Une étreinte qui le fit délicatement sourire de bien être alors qu’il fermait délicatement ces paupières, l’une de ses mains venant se choir dans sa chevelure avec douceur. Les paroles de cette dernière vinrent faire battre son cœur plus promptement dans sa poitrine alors qu’elle lui murmurait qu’il avait été vraiment parfait. Des compliments qui lui allaient droit au cœur, sentant les lèvres de cette dernière se déposer sur sa nuque dans un sourire qui ne pouvait que l’enchantait grandement. Il appréciait plus que toute la tendresse de la dogsuli, s’abreuvant de cette dernière sans aucune honte alors qu’il la voyait caresser doucement les traits de son visage, le dévorant tout simplement du regard. Ce qu’il ne manqua nullement à son tour de faire alors qu’il fermait les paupières dans un doux sourire en la sentant baigner son visage de ses lèvres avant de se choir sur ses compères. Des compagnes qui apprécièrent ce doux contact avec leurs comparses, qui vinrent approfondir ce délicieux baiser qui eut le don de réveiller ses désirs endormis. La main tendre et résolument taquine de la dogsuli caressant le creux de sa nuque, il se laissait embrasser avec exaltation, venant choir ses doigts sur sa nuque pour la cajoler à son tour, souriant simplement avec tendresse des paroles qu’elles exprimaient enfin en rompant ce délicieux baiser. Elle lui demanda s’il savait qu’il était vraiment beau, le dévorant littéralement du regard alors qu’il se sentait rougir, murmurait faiblement.

« Je m’efforce de l’être pour toi… pour te plaire… tout comme tu me plains ainsi… »

Honnête, il ne pouvait nier qu’il avait fait en sorte de se faire beau pour la voir, bien plus que lors de leur derniers rendez-vous, tout comme le fait qu’elle lui plaisait, d’autant plus dans cette tenue. Sa voix s’était faite timide mais masculine, maitresse de ces aveux qu’il formulait alors qu’il la regardait à son tour avec fébrilité. Elle était si belle, ces lèvres lui donnaient cruellement envie comme cette chair qui se présentait à son regard. Il avait envie d’elle, sentait ce petit monstre prendre de l’ampleur dans son être alors que son désir s’approfondissait à chaque instant. Le regard qu’elle lui lançait ne venait nullement atténuer ce souhait, ayant la sensation qu’il se trouvait partagé alors qu’il recevait de nouveau un baiser. Il ferma donc ses paupières avec douceur, sa main renforçant son étreinte autour de sa nuque pour la câliner, son autre main, remontant le long de son bras pour le frôler alors que ce baiser se poursuivait. Son cœur battait promptement dans sa poitrine tandis que leurs lèvres n’avaient de cesse de se frôler, se mêler avec douceur dans de légers soupirs que provoquaient les caresses de l’autre.

Ce simple baiser, si doux et à la fois si passionné le rendit fébrile alors que ce dernier se rompait doucement, l’obligeant à poser son front contre le sien pour reprendre un peu de ses sens. Les yeux clos, il savourait ce doux instant avec satisfaction, s’enivrant de son souffle comme du parfum qu’elle émanait, ne faisant que quintupler son désir. C’est ainsi qu’il rouvrit délicatement ses paupières, laissant sa main caresser le bras de celle qu’il voulait pour amante, le remontant de haut en bas avec tendresse, son autre main venant caresser sa nuque pour remonter à son visage, la fixant avec amour.

« Tu es si parfaite, mon amour… » Murmura-t-il avec douceur alors qu’il venait embrasser tendrement sa joue, venant choir ses lèvres sur sa mâchoire, prononçant pour la première fois, ce sur nom qu’il n’avait point osé exprimer jusqu’à cet instant par timidité.

Sa main venant se choir de nouveau contre sa nuque, c’est avec délicatesse que ses lèvres vinrent se mouvoir sur la chair si délicieuse de son amante, la baisant avec tendresse, son autre main s’échouant doucement sur les reins de cette dernière pour les caresser avec un désir quelque peu timide.

« Je pourrais passer des heures à te contempler, t’enlacer…t’embrasser de la sorte sans m’en lasser une seule seconde… tu me rends si heureux… si accompli ma délicieuse Yuuki, que je ne peux camoufler mes sentiments tant ils me font vivre à tes côtés… »

Sa voix se trouvait grave et douce à la fois alors qu’il se mordait les lèvres, remontant son regard sur son si délicat visage. Il l’observa avec fébrilité et amour alors qu’il murmurait faiblement contre ses prisonnières.

« Je t’aime tellement Yuuki… que j’ai envie également de faire de toi, une femme accomplie, fière de l’homme qui se trouve à ses côtés comme je ne rêve qu’une chose : que tu sois mienne pour toujours. »

Un aveu plus que sincère et précieux pour lui alors qu’il venait doucement l’embrasser à son tour, fermant délicatement ses paupières pour profiter pleinement des étreintes que leurs lèvres se livraient avec amour et désir. Plus les secondes s’écoulaient plus il la désirait, sentant son cœur lui intimait de prononcer les derniers mots qu’il lui cachait alors qu’il ajoutait faiblement dans un regard ô brillant, empli de fébrilité.

« Me donneras-tu ce droit de faire de toi, cette douce amante que je désires tant que tu deviennes à mes yeux… à mon cœur qui te désirent tellement ? »

TENUE : 01.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:31

Plus les jours avançaient, plus les sentiments que ressentaient Yuuki pour Yasushi se trouvaient forts. A chaque instant, le jeune homme lui paraissait plus attrayant qu’elle semblait lire en lui cet homme qu’elle avait toujours attendu qui ferait d’elle une vraie femme, qui la rendrait si heureuse, bien plus que n’importe quel homme sur cette terre. Yasushi ne se trouvait nullement aussi musclé que pouvait l’être son ancien petit ami mais cela ne l’importait peu, son ossature et ses muscles fins ne le rendaient que plus beau à ces yeux. Sa tendresse, son amour, il y avait tant de choses en lui qui la rendaient amoureuse et particulièrement attirée. Son doux sourire taquin, il lui suffisait seulement de le voir pour qu son cœur s’affole tant elle le trouvait beau ainsi, ne souhaitant qu’une chose : qu’ô grand jamais le jeune homme ne perde ce sourire qui le rendait si merveilleux et si magnifique à ces yeux. Elle s’était juré de ne jamais lire sur son visage la moindre once de tristesse, ainsi elle ne pouvait que souhaiter le rendre heureux, ne supportant pas de le voir malheureux, son cœur se brisant à chaque instant. Son cœur battait rapidement à chaque fois qu’elle avait l’occasion de le voir, et particulièrement en ce jour où elle l’avait vu si magnifique, bien plus que d’habitude.

Ainsi, elle n’avait pas pu s’empêcher de dévorer le jeune homme du regard depuis la première seconde où elle l’avait vu ainsi vêtu et coiffée, tout comme en cet instant où elle se trouvait si près de lui, posé sur ses jambes de manière délicate. Ses lèvres s’étaient dirigées sur les traits du jeune homme, jusqu’à atteindre ses délicieuses lèvres, ne se lassant pas de les embrasser avec un plaisir non dissimulé. Sa main venait caresser sa nuque pour approfondir le contact de leur chair, abandonnant celles-ci pour venir murmuré des mots ô véridiques en cet instant, elle le trouvait si beau ainsi. Les mots du jeune homme ne purent que l’électriser alors que le jeune homme lui murmurait qu’il s’efforçait de se montrer beau, qu’il s’efforcait de lui plaire tout comme elle lui plaisait ainsi vêtu. Des mots qui ne pouvaient que la ravir tant elle avait cherché dans les boutiques moldus une robe qui pourrait lui plaire, celle-ci préférant d’habitude porter des vêtements simples. Au niveau de sa coiffure, elle n’avait eu guère à perdre de temps, ayant pris soin d’apprendre un sort magique pour réaliser de belles boucles dans ses cheveux. La demoiselle ne put alors venir embrasser ces lèvres avec amour, passion tandis que les mains du jeune homme commençaient à caresser ses bras.

Le souffle tout aussi essoufflé que la demoiselle, le jeune homme était venu poser leur front, l’un contre l’autre, venant l’emmener à offrir à son petit ami un doux sourire. Fermant les yeux face à la tendresse du jeune homme, celle-ci ne pouvait pas s’empêcher de sourire tant elle se sentait bien, si près de lui. Elle vint lui lancer un regard ô conquis alors qu’il venait caresser son bras avec amour et tendresse, son autre main venait caresser sa nuque alors qu’il venait la fixer avec tant d’amour pour elle. Elle ne put que rougir alors que pour la première fois le jeune homme l’appelait mon amour, des mots qui ne pouvaient que la ravir alors qu’il murmurait qu’il la trouvait si parfaite. Elle ne put alors que sourire simplement, heureuse alors qu’il venait embrasser le traits de son visage, la faisant doucement frissonner. La main de Yasushi placé sur ses reins ne purent que la faire frissonner, la demoiselle souhaitant elle aussi approfondir le contact entre leurs deux chairs tant le désir semblait prendre place dans son corps. Elle ne pouvait que rougit sous son cœur ô masculin, tout comme ces mots dans lesquels il lui avouait qu’il pourrait passer des heures à la contempler, l’enlacer, l’embrasser de la sorte elle lui permettait d’être si heureux, si accompli. Il ne pouvait pas camoufler ces sentiments tant il lui permettait de vivre.

Elle ne pouvait qu’apprécier ces douces paroles, tout comme ce regard fébrile qu’il lui adressait tant il se sentait heureux à ses côtés. Elle le trouvait si magnifique en cet instant. Yasushi vint lui offrir à nouveau de merveilleuses paroles alors qu’il lui disait qu’il l’aimait tant, qu’il avait envie de faire d’elle une femme accomplie, fière de l’homme qui se trouvait à ces côtés, comme il que d’une chose, qu’elle soit sienne pour toujours. Des mots qui ne purent que faire raviver le feu de ses reins, réveillant à nouveau ce doux désir qu’elle avait de s’offrir à lui en cette nuit. Lui offrant un merveilleux sourire, elle vint alors répondre avec tout autant de passion que lui, remontant ces mains sur le dos finement musclé de son futur amant, caressant ces formes qui lui donnaient tant envie. Elle voulait s’offrir à lui en cette nuit, des pensées qui s’accentuaient dans son esprit alors qu’il venait lui demander s’il désirait le droit de faire d’elle, cette douce amant qu’il désirait qu’elle devienne à ces yeux, à son cœur qui le désirait tellement. Des mots qui ne pouvaient que la ravir alors qu’elle venait lui murmurait d’une voix éprise par ce désir, venant lui un doux baiser : « Yasushi… si tu savais ô combien ces mots m’enchantent, chacun de tes mots… je suis totalement conquise mon Yasushi… totalement… tu es si sublime… si parfait... »

Souriant comme une bienheureuse, elle vint alors l’embrasser à nouveau, caressant les traits de son visage, sa nuque et ses épaules si finement musclé. Coupant court à ce simple baiser, elle vint murmurer : « Ce que tu désires… je le désire tout autant mon… amour… je veux devenir cette femme que tu désires… je veux devenir ton amante en ce soir… pour toi qui se trouve si parfait et si désirable. »

A ces mots, elle vint doucement sourire, venant embrasser ses lèvres, caressant les reins du jeune homme avec tendresse alors qu’elle fermait les yeux, appréciant le doux contact de sa chair contre la sienne. Elle voulait lui transmettre toute cette passion qui prenait part de son être, ce désir qui prenait part dans son être. Entre deux baisers elle vint alors murmurer : « Je t’aime tant mon Yasushi… tellement…». Ces mains venaient s’égarer sur le corps finement musclé de son aimé, souriant dans ces baisers.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:32

Faible, il ne pouvait nier l’être face au regard si pénétrant de la jeune femme qui lui faisait face. Une merveilleuse femme, qui semblait faire revivre son pauvre cœur, qui longtemps endormi n’avait eu de cesse d’hiberner dans l’espoir de temps nouveaux. L’arrivée de cette dernière dans son existence avait été un agréable incident qu’il n’était nullement en mesure de regretter. Dès le premier jour, elle l’avait rendu fébrile, la douceur de sa voix, les traits si fins de son visage, son regard si expressif et tendre, ses lèvres si délicates et envoutantes. Il ne pouvait nier qu’elle l’avait attiré dès les premiers instants de leur rencontre, quand bien même avait-il préféré de ne pas en prendre conscience. Par peur de se brûler les ailes, de la blesser malgré elle, il s’était efforcé de rester prudent sur les sentiments quelque peu troublant qu’elle initiait en son être malade. Il se savait atteint d’un maux, qui le rendait cruellement cupide vis-à-vis des marques d’affections des personnes qui l’entouraient. De ce fait, son besoin cuisant de tendresse aurait pu ne pas le guider vers la bonne direction et par la même occasion anéantir cette amitié si précieuse, qui était née de cette rencontre. Des sentiments dont il ne doutait plus à présent et ce depuis ce doux jour de la St Valentin où cette dernière s’était déclarée à lui. Il ne pouvait nier qu’en si peu de temps des émotions profondes s’étaient immiscées en lui, fébriles face à cette incroyable tendresse qui se dégageait de cette dernière.

Même à l’heure actuelle, il recevait cette affection, aussi précieuse que pouvait l’être le soleil sur une fleur, elle le ramenait doucement à la vie. Au travers de ses baisers, ses caresses et attentions, il renouait peu à peu avec ce bonheur, savourant la moindre marque de tendresse avec une cupidité sans nom. Son cœur semblait en être la victime, qui appréciait le plus tout cela, battant promptement dès lors que son regard se posait sur elle, qu’elle venait à lui avec ce sourire qui le faisait fondre comme neige au soleil. Il se sentait si transporté par cette allégresse qu’il se laissait allé à ses côtés, souriant si simplement avec amour lorsqu’elle venait à lui. La sentir contre lui à cet instant était résolument un bien être qu’il savourait avec délice, appréciant le contact de sa chair contre la sienne, tout comme cette si délicieuse chaleur qui l’envahissait. Il se laissait alors consumer par cette dernière, répondant favorablement à toutes ses marques d’amour, lui transmettant à son tour tous ses si délicieuses émotions qu’elle provoquait en lui. Il appréciait profondément la texture de sa chair sous la pulpe de ses doigts, de ses lèvres, se sentait devenir de plus en plus cupide à ce sujet. Il avait envie d’elle, désirait la faire sienne pour lui exprimer enfin ouvertement tout cet amour qu’elle lui faisait vivre.

Il s’agissait d’une étape inéluctable qu’ils mettaient du temps à franchir, simplement pour profiter de cette « innocence » qui avait bercé toute leur relation. Il attendait juste un simple geste, un seul mot de sa part pour dépassait cette frontière qu’il y avait d’eux. Ils n’étaient plus innocents, tous deux avaient vécus des histoires qui ne les avaient pas laissés sans cicatrices mais, à ce jour, ils se guérissaient de ces dernières, aux côtés de l’être qu’ils aimaient désormais. Il désirait évoluer à ses côtés, devenir de nouveau un homme qui saurait s’assumer, être un homme qui saurait la protéger, faire d’elle une femme pleinement heureuse. Il avait conscience qu’il avait encore du chemin à parcourir pour devenir cet être mais il s’efforçait d’apprendre à l’être à ses côtés. C’est pour cette raison qu’il lui avait susurré ses mots avec douceur et fébrilité. Il pensait chaque mot qui s’était exprimés de ces lèvres dans des aveux plus que précieux et sincères. Il lui avait fait part de son désir pour elle avant de l’embrasser, savourant ce baiser si exquis, qui augmentait d’autant plus son souhait de la faire sienne, pour la couvrir de son amour. Un amour qui lui était tout acquis désormais alors qu’il la sentait répondre à sa déclaration par un doux baiser. Un baiser qu’il appréciait à sa juste valeur alors qu’il poursuivait ses caresses sur son bras, sa nuque, inondant son cœur d’une fébrilité sans nom.

Les paroles que la dogsuli vient lui offrir se trouvaient délicieuse, sa voix le fit frémir alors qu’elle lui murmurait que chaque mots qu’il prononçait l’enchantait, elle se trouvait si conquise par cet homme qu’il était. Elle lui avouait qu’elle le trouvait si sublime, si parfait. Son sourire était résolument envoutant alors qu’il se laissa embrasser de nouveau, savourant le contact de ses lèvres, de ses phalanges sur son visage, sa nuque et ses épaules. Des caresses délicieuses qu’il lui rendit avec plaisir, ses doigts effleurant avec délicatesse toute parcelle de chair qui se trouvait à leurs portées. Il se laissait doucement allée avec fébrilité, regrettant déjà ses lèvres qui venaient de les quitter brusquement pour prononcer des paroles toutes aussi envoutantes que pouvait l’être le comportement de la jeune femme à ses yeux. Elle lui avouait que ce qu’il désirait, elle le souhaitait tout autant que lui, le surnommant son amour. Un surnom qui le fit doucement sourire avec amour alors qu’elle lui murmurait qu’elle voulait être cette femme qu’il désire, être son amante ce soir. Des paroles qui le firent doucement frissonner alors qu’il sentait déjà cette dernière venir prendre possession de ses lèvres, ses doigts s’échouant contre ses reins avec tendresse pour les caresser. Envouté, il se laissa faire avec engouement, répondant à son baiser alors qu’il continuait ses douces caresses sur son bras avant de descendre le long de ses côtes, s’échouant un instant sur la naissance de sa hanche. Son autre main quant à elle, continuait ses taquineries sur sa nuque alors que leurs lèvres n’avaient de cesse de se découvrir de nouveau, passionnément.

Son cœur n’avait de cesse de tambouriner dans sa poitrine, le rendant ivre d’une chaleur sans nom alors qu’il continuait de l’embrasser, refusant de laisser fuir ses lèvres qu’il aimait plus que tout embrasser. Leurs contacts enivraient ses sens, rendait son souffle rauque, court par tant d’ivresse qu’elle provoquait au fond de son être. Les derniers mots prononcèrent, le fit délicieusement sourire alors qu’il murmurait un faible « moi aussi mon amour… », avant de l’embrasser de nouveau. Résolument envouté par cette ivresse qui prenait possession de son échine, ses phalanges vinrent délicatement se mouvoir sur ses reins, glissant sur le tissu de sa robe si parfaite afin de rejoindre la chair de ses cuisses. Une peau qu’il se trouva heureux de retrouver, remontant ses dernières sous le tissu léger et encombrant de cette robe. Un épiderme résolument doux et attrayant alors qu’il la sentait frissonner sous ses caresses, venant se coller contre plus intimement contre lui, le faisant délicatement soupirer à son tour. La chaleur qui l’envahissait était résolument étourdissante alors qu’il cessait ce baiser, le souffle court, l’observant avec intensité tandis que l’une de ses menottes caressait l’intérieur de sa cuisse. Il resta de longues secondes à la dévorer ainsi du regard, s’enivrant de ces frisons qui semblaient la posséder au moindre de ses mouvements sur sa cuisse dont ses phalanges venaient de ses choir sur l’angle de sa hanche. Il ne pouvait s’empêcher de sourire de ce fait, de cette fébrilité alors qu’il se mordait délicatement la lèvre inférieur, lui susurrant muettement qu’elle était magnifique à cet instant, ce regard aussi pétillant et lubrique que le sien.

C’est ainsi qu’il vint se basculait sur le côté, entrainant avec lui dans sa chute la demoiselle pour la laisser choir en douceur sur le tissu de son lit. Allongée sur ce lit, dans cette robe qui lui allait parfaitement, elle semblait être un ange, ses cheveux s’échouant autour de son visage, son sourire l’invitant à la rejoindre. Conquis et résolument amoureux, il s’exécutait avec grasse, la surplombant délicatement en venant se choir à ses côtés, venant délicatement embrasser sa nuque avec tendresse, tandis que sa main droite rejoignait la cuisse gauche ô délaissée de sa personne pour la cajoler de nouveau, son autre menotte s’échouant délicatement sur sa hanche pour remonter à son bras, venant caresser le creux de la main de son amante. Souriant fébrilement à ce fait, ses lèvres n’avaient de cesse d’embrasser avec amour sa nuque, remontant doucement à son oreille pour y susurrer.

« Tu es magnifique… Ma Yuuki… si désirante ce soir… Tu rends fou mon cœur, mes doigts, ma chair… c’est si plaisant… si étourdissant… ce bonheur… je pourrais résolument plus m’en passer… tu me fais tant revivre à tes côtés… c’est comme si j’étais dans un rêve… »

Prenant une pause, il vint délicatement embrasser le creux de son oreille, s’enivrant de son parfum alors qu’il soupirait doucement de bien être, son cœur battant bien trop fort dans sa poitrine pour qu’il puisse réguler convenablement sa respiration.

Souriant doucement à ce fait comme à la fébrilité qui semblait habitée l’être de sa future amante, ses mains vinrent poursuivre leurs caresses, remontant cette robe pour se choir sur ses hanches, son autre main remontant faiblement au niveau de sa poitrine pour l’effleurer avec douceur. Ses lèvres quant à elles, vinrent se mouvoir sur sa nuque de nouveau, sa mâchoire alors qu’il murmurait faiblement dans une bien plus suave qu’auparavant.

« Tu es si belle mon amour, si parfaite sous mes doigts… Je suis tant envouté par toi, mon amour… Je veux faire de même avec toi… je suis tout à toi… »

Souriant quelque peu gêné par les paroles qu’il venait de proférer, il ne pu que rougir faiblement alors qu’il remontait son regard vers le sien. Il ne mentait point, elle le rendait peu à peu fou, son regard, son souffle, son cœur n’avait de cesse de le certifier sur la chose. Il l’aimait et la voir devenir sienne petit à petit, se trouvait un bonheur envoutant pour son être, qui s’enflammait délicatement à ses côtés.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:33

Pour Yuuki qui n’avait plus cru à l’amour depuis sa séparation avec son ancien petit ami, chacun des instants qu’elle vivait aux côtés de Yasushi, lui paraissait si agréable et vivifiant. Il lui suffisait seulement de l’observer sourire pour sentir son cœur s’accélérer si promptement tant son être se trouvait amouraché de lui. Si près de lui, assise sur ses genoux, la demoiselle sentait son cœur battre dans un rythme agréable alors qu’enfin, les deux jeunes sorciers allaient dépasser le stade de petits amis pour devenir des amants. Yuuki ne pouvait qu’en être heureuse tant elle se sentait prêt à s’offrir au jeune homme si aimant qu’il était. La demoiselle aimait la maladresse du jeune homme, comme sa douceur, son hésitation qui le rendait plus que séduisant. La demoiselle du haut de ces 24 ans n’en était pas à sa première relation d’amour de longue durée, de ce fait elle n’était nullement à sa première relation sexuelle, tout comme le jeune homme. Ainsi, elle ne pouvait que souhaiter partager ces doux moments de plaisir et de bonheur à ces côtés, tout comme elle était persuadé que ce jeune homme se trouvait être un doux amant, un amant qui ne pourrait que la rendre folle, tant déjà ces moindres caresses, ces moindres baisers la rendaient déjà si heureuse et fébrile. Ainsi, elle n’avait pu que répondre favorablement à la demande du jeune homme qui souhaitait tout comme elle franchir ce cap qui leur permettrait de devenir des amants. Ses lèvres étaient venues se poser contre ces lèvres, la faisant sourire alors que ses doigts venaient caresse chaque parcelle de peau qu’elle pouvait, caressant ses reins avec une envie non dissimulée. La demoiselle ne pouvait que sourire alors qu’elle sentait déjà les caresses de Yasushi sur sa peau, venant caresser ses hanches, la faisant soupirer alors qu’elle répondait avec tout autant de passion au baiser qu’il lui donnait.

Peu à peu, réagissant au doux nom de Yasushi qui l’appelait mon amour, elle ne put que frissonner alors même que ces mains venaient s’échouer sur ses reins avant se s’échouer sur ces fines cuisses, la faisant sourire. Elle ne put que retenir un doux gémissement alors que ses doigts venaient remonter sous sa robe, venant l’entrainer à venir coller son corps au sien, souriant dans ce merveilleux baiser. Un doux sourire ne pouvait pas quitter ces lèvres alors qu’elle se trouvait si heureuse de sentir ces doigts sur son corps, et tout particulièrement à l’intérieur de sa cuisse. La demoiselle ne pouvait alors que frissonner et sentir son désir s’accroitre au creux de ces reins au fur et à mesure des minutes, frissonnant au moindre mouvement sur sa cuisse. Dans son regard on pouvait certainement y lire une pointe de désir tant son cœur semblait réagit à la moindre caresse du jeune homme, un fait qui ne pouvait la rendre que plus désireuse de plus de contact. Le jeune homme se trouvait si séduisant ainsi en se mordant les lèvres, en lui offrant une vision sensuelle du jeune homme qui ne pouvait pas la laisser insensible d’une quelconque raison. Le même désir se liait dans leur regard, ainsi elle ne pouvait que souhaiter continuer ces contacts, son corps se trouvant déjà si sensible.

La demoiselle ne put alors que sourire alors qu’elle se sentait basculer sur le côté, se retrouvant sur le tissu de son lit, allongée, Yasushi la surplombant. Une vision ô enchanteresse qui ne pouvait que la faire sourire tant cette vision dominatrice du jeune homme le rendait ô séduisant à ces yeux. Yuuki ne put que laisser échapper un doux soupir de bien-être alors que le jeune homme rapprochait leur corps, venait se choir à ces côtés, embrassant sa nuque. La main droite du jeune sur sa cuisse venait la faire frissonner à nouveau, souriant au même moment que celui-ci caresser le creux de sa main. Yasushi se trouvait si sensuel qu’elle ne pouvait qu’être heureuse d’avoir cédé à son doux désir en cet instant, elle se sentait si bien ainsi cajolée par son doux amant. Fermant les yeux, elle se laissait guider par les sensations qui prenaient part en son être, le désir se faisant plus présent au creux de ses reins. La demoiselle ne put alors qu’apprécier les compliments de son amant : il lui murmurait qu’il la trouvait si magnifique, si désirable ce soir. Il rendait fou son cœur, ces doigts, sa chair. Tout était si plaisant et si étourdissant, il le faisant tant revivre à ces côtés, comme s’il se trouvait dans un rêve. Des mots qui ne pouvaient que l’étourdir alors qu’elle venait glisser ces doigts sur les épaules finement musclés du jeune homme, les caressant avec tendresse et sensualité alors que le jeune homme venait embrasser le creux de son oreille. Un contact qui la fit doucement frissonner tant se trouvait-il agréable pour elle.

Elle ne pouvait que lui offrir un merveilleux sourire en cet instant face à la fébrilité qui prenait part de son être. Le jeune homme était venu à nouveau caresser sa chair, remontant cette robe pour se choir sur ses hanches si sensible, tout comme cette main qui venait effleurer sa poitrine avec délicatesse. La demoiselle ne pouvait que le trouver sensuel et si désirable. Elle ne put que frissonner à nouveau à la voix si suave de son amant qu’il lui murmurait qu’elle se trouvait si belle, si parfaite sous des doigts. Il se trouvait tant envouté par lui, il souhaitait tant qu’elle se trouve envouté de lui, il lui appartenait. Des mots qui ne pouvaient que la faire rougir, la rendre heureuse alors qu’il lui promettait de la rendre si envouté par lui dans les prochaines minutes. Un fait qui ne pouvait qu’accentuer ce doux désir qui possédait son être alors qu’elle venait sourire, venant rapprocher leur visage à l’aide de sa main pour partager un doux et délicieux baiser. Elle se sentait si bien, ainsi, prêt à découvrir à nouveau le doux plaisir aux côtés de cet amant déjà si délicieux. Lâchant ces lèvres, la demoiselle vint alors murmurer d’une voix quelque peu éprise par le désir qui naissait en elle : « Je suis déjà si éprise par toi mon doux Yasushi… Tu es déjà si sensuel qu’il me parait impossible de ne pas te résister. Tu es si magnifique… ainsi, si imposant… vraiment magnifique. Je ne peux qu’être plus éprise de toi à chaque instant, mon tendre et magnifique Yasushi.» Souriant à ces mots, elle vint offrir à nouveau un baiser au jeune homme tandis que ces mains venaient s’égarer sur le dos du jeune homme, venant flatter ses reins.

Se laissant guider par son désir, la demoiselle vint déposer ses mains sous le haut du jeune homme pour caresser sa peau et sa chair si parfaite. Souriant, elle vint alors s’amuser à relever légèrement son haut, se mordant les lèvres alors que se découvrait peu à peu ses abdominaux finement musclés qu’elle avait déjà eu l’occasion de voir. Le jeune homme ne ressemblait nullement à un homme très musclé mais cela ne l’importait peu, elle le trouvait si séduisant ainsi. Le dévorant du regard, laissant à Yasushi alors une vision agréable, elle vint relever à nouveau son haut, ces doigts retraçant chacun des muscles sous ses yeux. Le bulsajo se trouvait si séduisant à cet instant. Ne tentant nullement de cacher ses désirs, elle vint remonter un peu plus le haut de son amant, celui-ci l’aidant à lui enlever devinant sous le regard désireux de la dogsuli ses envies. Ainsi, elle ne put que se mordre à nouveau les lèvres tant la vision que lui offrait le jeune homme lui semblait plaisante. Elle appréciait du regard chaque trait de son torse. Le jeune homme se trouvait si merveilleux et si magnifique. Se rendait-il compte à quel point se trouvait-il séduisant ? Elle laissa ces mains alors découvrir le torse qui lui était découvert alors qu’elle murmurait à nouveau : « Tu es si beau…». Ne tentant nullement de cacher ces envies, elle continua de caresser ce torse ô si parfait dénudé de tout vêtement alors qu’elle venait rapprocher son corps du sien, cueillant autour de ces lèvres leurs compères, lui offrant un merveilleux baiser, ces mains caressant alors cette peau enfin découverte. Peut-être était-elle trop entreprenante en cet instant, elle ne le savait pas. La seule chose qui l’importait était de transmettre au jeune homme chacune des sensations qui prenaient part de son corps tant elle se trouvait attirée par lui et sa sensualité naturelle.
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Yasushi Yamada
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Je ressemble à « : Lee Seung Hyun - Model HOTBOOM ». J'ai égaré : 203 parchemins. Ma bourse est remplie de : 867 et j'ai : 32
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:34

Le cœur battant délicatement au sein de sa poitrine, étreint d’une félicité palpable, il ne pouvait nier qu’il se laissait délicatement dévorer par cette dernière. Cela faisait tellement d’années qu’il recherchait cette émotion, que cette dernière ne cesse de fuir son échine, qu’il s’en abreuvait avec ravissement tel un astre solaire qui pouvait réchauffer son âme. Chaque caresse de ses doigts sur la chair si douce et voluptueuse de sa future amante, éveillait totalement ses sens, tant cette dernière semblait approuver ses gestes. D’un naturel doux et prévenant, il se laissait doucement aller à ses côtés, se savourant dans un premier temps de ses simples caresses et baisers au creux de sa nuque tandis que cette chaleur cupide s’installait au creux de ses reins. La sentir tout contre lui n’avait rien d’étrange, ils s’étaient retrouvés dans cette position de nombreuses fois mais jamais leurs caresses s’étaient faites si brulantes, si désireuses. Elles se trouvaient désormais bien loin cette innocence dont ils avaient fais preuve jusqu’à cet instant. Sans doute était-ce le moment idéal pour franchir cette étape ô complexe et complice de leur relation ? Qui sait. Il le pensait en tout cas au fond de lui-même alors, qu’il se trouvait d’autant plus amoureux de la personne de Yuuki. Elle lui redonnait goût à la foi, à reprendre confiance en lui. Le regard qu’elle lui lançait éternellement lui donnait l’impression de devenir un homme, celui qui saurait la protéger. Un homme qu’il désirait devenir même s’il était évident qu’elle se trouvait bien plus forte psychologiquement que lui. Elle pouvait comprendre ses blessures, même s’il n’avait encore point abordé avec elle, cette maladie qui l’habitait. Sans doute avait-elle réellement perçu son mal être, sa tristesse mais il était nullement facile de supposer sa maladie, celle qui l’avait conduit sur cette voie de désolation. Un chemin qu’il ne désirait plus poursuivre tant ce dernier l’avait dérouté plus que tout au monde. Il s’était perdu lui-même dans les chemins lugubres de cette dernière.

Yuuki en était la lumière, son guide pour s’en extirper et croyait sincèrement en elle. Quand bien même ne connaissait-il pas tous les détails de son passé, il savait qu’elle avait souffert d’un amour aussi profondément que lui et qu’elle était tombée amoureuse de lui, tout autant que lui. Ses yeux emplis de douceur ne pouvaient que le certifier dans son idée tandis qu’elle frissonnait sous ses caresses, lui lançant un sourire si attrayant qu’il aurait pu passer des heures à la contempler ainsi. Elle était si belle, si merveilleuse à ses yeux qu’il n’opposa aucune résistance alors qu’elle venait glisser sa main sur sa nuque pour l’intimer à rejoindre ses lèvres. Des lèvres qui l’envoutaient plus que de raisons alors qu’il retrouvait leur goût délicat dans un baiser si doux et délicieux qu’il ne pouvait que s’en exalter. La séparation ne se fit nullement sans désolation pour lui alors qu’elle lui avouait qu’elle était résolument sous son charme, elle le trouvait si sensuel qu’il lui paraissait bien impossible de lui résister. Des paroles qui le troublèrent résolument alors qu’elle le complimentait de nouveau, lui murmurant qu’il était magnifique quand il s’imposait au point qu’elle ne pouvait que désirait voir la chose se réitérer. C’était incroyable comme elle possédait les mots pour le troublait si intensément, le rendant heureux plus que tout alors qu’il se laissait doucement guidé par elle. Ses yeux brillant de fébrilité, il avait accueilli ses lèvres de nouveau avec satisfaction alors qu’il se laissait dominer par ces pensées lubriques, caressant de nouveau tendrement cette poitrine et cette hanche qui se trouvait à sa merci.

Il appréciait cette chair, désirant en découvrir plus alors qu’il sentait son cœur rater un léger battement dans sa poitrine, se gorgea d’un bien être total, au moment où il sentit à son tour les phalanges de la dogsuli se déposer sous son pull pou caresser sa chair. Ces dernières venaient de quitter son dos et ses reins pour explorer cette partie qu’il exposait qu’à de rares occasions, si ce n’est lorsqu’il se longeait à ses côtés. Il n’était point un homme musclé tel que pouvait l’être de son modèle de cousin. Il ne pouvait nier que Yano représentait l’image de l’homme qu’il avait toujours espéré devenir lorsqu’il était encore qu’un enfant. Ce dernier, derrière ses airs d’héritiers se trouvaient être un jeune homme à la tendresse inébranlable. Lorsqu’il aimait, il se donnait corps et âme à son art ou à la personne qu’il chérissait. Un fait qu’il pouvait voir à chaque instant tant ce dernier semblait totalement s’épanouir depuis qu’il s’était mis avec Ki Suk. Il désirait devenir un homme tel que lui, fort mais qui saurait se laisser aller auprès de ceux qu’il aime. Pourtant il l’avait été ce jeune homme et même si sa dépression avait effacé complètement les souvenirs de ce dernier, il se trouvait là, tout au fond de lui, il lui suffit plus qu’à croire en lui. C’est pour cette raison qu’il ne pu que la contempler, fébrile de la voir apprécier si savoureusement le fait de le toucher, découvrir ce torse qui s’exposait doucement à sa vision sous ses caresses. Des caresses qui le troublaient également, éveillaient son désir pour elle, l’intimant à la regarder faire comme s’il s’agissait d’un spectacle saisissant, chose qu’elles étaient. Elle était envoutante à cet instant alors qu’il se laissait faire, retirant son pull pour se retrouver torse nu devant elle. Un fait qui ne vint nullement atténuer son trouble alors qu’elle poursuivait ses caresses, ses lèvres lui murmurant qu’il était si beau à ses yeux. A ses mots ô tourmenteurs, il sentit sa poitrine se soulever sous la pulpe des phalanges de sa compagne alors qu’il recevait de nouveau ses lèvres contre les siennes dans des étreintes ô merveilleuses, son corps venant s’échouer contre sa chair, lui montrant ainsi qu’elle avait envie de plus de contact entre eux.

Un message silencieux qui vint délicatement le faire soupirer entre deux baisers alors qu’il sentait ses mains remonter délicatement sur le tissu de sa robe, venant se choir contre la forme délicate de sa poitrine. Un simple passage dans un premier temps qui se réitéra de nouveau lorsqu’une de ses mains venaient se déposer sur la nuque de cette dernière pour renforcer ce baiser qui ne semblaient point perdre de son intensité. Ce bien être qui résidait au sein de son ventre était brulant et exaltant, le persuadant de se laisser aller à ses désirs alors qu’il caressait délicatement sa poitrine, son corps se collant à celui de l’élue de son cœur, qui ne pu que frissonner avec autant d’exaltation que lui-même. Soupirant fébrilement de ce fait entre deux baisers, il vint de nouveau délicatement l’embrasser en susurrant son prénom. Un murmure court et simple mais qui témoignait énormément des sentiments qui l’étreignaient de toute son âme au travers de ses caresses sur sa chair. Sa main initialement nichée contre sa nuque vint délicatement se glisser sur sa clavicule, se choir sous une des bretelles de la robe encombrante désormais qui le séparait de l’échine de sa petite amie. Il désirait la retirer, rencontrer enfin la pulpe de sa peau si délicate sous sa chair, son corps qui lui intimait ce doux contact. C’est donc avec douceur que son autre main vint se glisser sur ses côtes, venant se choir sur la glissière de cette magnifique robe pour la faire délicatement descendre, lui permettant de la dévêtir à son tour d’un vêtement.

Ses gestes se trouvaient doux et délicats tels de simples effleurements qui éveillaient les sens de la demoiselle qu’il avait la satisfaction de voir réagir positivement à ses attentions. Son autre menotte venant faire glisser une des bretelles de la robe de son amante, il vint délicatement la mouvoir sur son bras, ses doigts s’échouant de nouveau sur cette peau qui s’exposait à ses yeux, sentant ses formes plus intimement sous le tissu de son soutien-gorge, venant faire de même avec ce dernier. Sans doute devait-il donner la sensation d’être trop entreprenant mais il ne pouvait nier son désir qu’il avait de la voir s’offrir à son regard. Il avait durant de très longs mois détailler ses formes sur toutes ses coutures avec son regard d’homme, désormais il désirait les observer se soumettre à sa vue d’amant conquis par le corps de sa promisse. C’est donc avec non sans frustration que ses lèvres vinrent rompre ces délicats baisers qu’il lui donnait avec amour, laissant ses dernières se choir sur sa nuque. Le désir prenait peu à peu place au sein de son corps, laissant son souffle brulant et court se fendre sur sa nuque, murmurant des paroles ô fébriles qui exprimés cette douce extase qu’il éprouvait à son contact.

« Tu es magnifique mon amour… ta peau est si douce, si tremblante sous mes doigts, cela me rend délicatement fou… »

Soupirant doucement aux caresses de cette dernière sur son torse, ses reins, il vint délicatement baiser sa nuque avec embrasement, ses sens prenant délicatement le contrôle de son échine. Ses cupides phalanges quant à elles, s’affairaient désormais à découvrir la chair de la jeune femme, venant glisser à leur tour la deuxième partie de sa robe, de son soutien-gorge, lui offrant enfin la possibilité de découvrir sa poitrine désormais nue à sa vue. Un état de fait qui vint nullement le laisser de marbre alors qu’il cessait ses caresses et baisers pour contempler cette poitrine si parfaite et délicate à ses yeux. Observant d’un regard ô résolument comblé cette vision enchanteresse qu’elle lui offrait à cet instant, il ne pu que lui sourire avec fébrilité, se mordant à son tour ses lèvres alors qu’une de ses phalanges venait se risquer sur cette partie de son corps, qu’il n’avait pas encore eu l’occasion d’explorer. Un geste doux et délicat qu’il vint réitérer, murmurant ô combien elle se trouvait belle à ses yeux, alors qu’il se laissait aller à cette étreinte, renforçant sa présence en venant baiser la base de sa nuque, baignant cette partie de ses lèvres, venant délicatement se choir sur cette peau si sensible de l’anatomie de la demoiselle pour la couvrir de toute son attention. Sans doute se trouvait-il cupide à cet instant mais il ne pouvait plus résister à cette chair qui le faisait tant rêver. Ce bonheur ébranlait son être et il désirait juste une chose : couvrir le corps de la jeune femme de l’amour qu’elle provoquait en sa chair tout simplement.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:34

Magnifique, la demoiselle ne pouvait que trouver que le jeune homme ainsi alors qu’elle avait la chance de pouvoir admirer son torse finement musclé. Ces doigts étaient venues quelques instants découvrir le jeune homme de son pull, lui offrant une vue ô agréable qui ne pouvait que la ravir. Rares étaient les fois où la demoiselle avaient eu l’occasion de le voir ainsi, ainsi ces doigts n’avaient pu que se ravir de caresser ce corps ô plaisant à regarder et à caresser, hypnotisé par ces formes ô attrayantes. Lui souriant d’un air charmé, elle était venue le dévorer du regard, murmurant des mots enchanteurs pour sa personne, traduisant chacune des émotions qui la possédait. Ces lèvres étaient venues rejoindre celles de son petit ami dans un doux baiser, rapprochant leurs corps dans l’unique but de lui transmettre un message dans lequel elle lui avouait avoir envie de plus de contact, qu’elle désirait ne devenir plus qu’un être avec lui. Un message que le jeune homme avait pleinement compris alors qu’il venait remonter délicatement une partie de sa robe, ces doigts s’échouant alors doucement contre sa fine poitrine. En vue de sa corpulence fine, la demoiselle savait ô combien elle ne pourrait avoir une poitrine ô imposante mais cela ne l’importait peu, le jeune homme à ces côtés s’en satisfaisait pleinement en vue de sa réaction. Ces mains réitèrent à nouveau un passage, traduisant ces plus secrètes envies. Le baiser qu’ils échangeaient venait s’intensifier, bien plus langoureux et source de bien-être pour la demoiselle qui laissait échapper un doux soupir entre ces lèvres. Ces caresses s’intensifiant, son désir cuisant pour lui ne put que s’accentuer au contact de cette chair si délicieuse.

Fébrile et faible, elle ne pouvait que l’être aux côtés du jeune homme qui faisait battre son cœur si fort. Amoureuse, elle l’était littéralement de celui qu’elle considérait comme une personne inestimable et indispensable à sa vie à présent. La dogsuli ne souhaitait nullement un jour s’éloigner de lui d’une quelconque manière tant il avait pris une part ô importante de sa vie. Suivant alors ces désirs, la main de Yasushi était venue faire glisser sur sa clavicule l’une de ses bretelles, pour lui retirer. D’une manière ô particulièrement sensuelle à ces yeux le jeune homme venait l’embrasser alors qu’elle sentait peu à peu à ces mains la dévêtir, comme elle avait pu le faire quelques minutes auparavant. A chaque geste sur sa peau, elle faiblissait peu à peu, sentant sa peau s’échauffer et son corps se tendre, prêt à recevoir l’amour de cet être qui la désirait tant. La sensualité des gestes de son amant ne pouvaient la laisser de marbre tant il la poussait à envier ces mains sur son corps qui lui promettait tant de plaisir. Elle ne le trouvait nullement trop entreprenant dans ces gestes, il émanait de lui une telle sensualité dans chacun des gestes qui ne pouvaient que ravir la femme qu’elle était. Elle trouvait le jeune homme déjà si attentionné, si aimant. Ainsi, dans ces baisers tout aussi langoureux, la demoiselle ne cessait pas de rapprocher leurs corps, si envieuse de ressentir ce désir ô appréciable pour elle qui n’avait plus ressenti ces sensations depuis sa séparation avec son ex petit ami. Yuuki ne put que laisser échapper un doux soupir s’extirper de ces lèvres alors qu’elle sentait ces mains se rapprochaient de son soutien gorge, caressant sa poitrine. Son corps ne désirait plus qu’une chose en cet instant, celui de voir le jeune homme l’enlever pour qu’enfin sa poitrine puisse rencontrer sa chair. Ces pensées attisaient alors son désir pour sa personne, la faisant sourire doucement et lui offrir un regard déjà empli de désir.

Elle ne put que frissonner au souffle brûlant du jeune homme contre sa nuque, la faisant frissonner, la laissant gémir le doux nom de son amant. Les mots doux du jeune homme ne purent qu’accentuer son désir alors qu’il lui murmurait qu’elle se trouvait si magnifique, sa peau se trouvant si douce, si tremblante sous ces doigts qu’il ne pouvait qu’être fou d’elle. La demoiselle ne put que sourire doucement au jeune homme, se laissant envoûter par chacun des mots du jeune homme. Ces mains ne cessaient de caresser le torse du jeune homme, ces reins, chaque partie de ce corps qui lui était déjà dévoilé. Son baiser sur sa nuque la fit doucement frissonner alors qu’elle sentait ces mains enlever son soutien-gorge, lui offrant la possibilité alors d’observer sa poitrine nue, une poitrine qui n’attendait que recevoir l’amour de Yasushi. Souriant au jeune homme, elle était venue caresser tendrement son torse sous son regard brulant. Sa main venait se risquer sur cette partie de son corps jusqu’alors innocent dans l’ensemble des contacts de leurs chairs. Ces mains ne pouvaient qu’accentuer leur contact avec la chair du jeune homme alors qu’il effleurait sa poitrine, ces baisers se perdant sur sa nuque, la faisant doucement frissonner, gémir le doux nom de son amant. La demoiselle vint alors murmurer d’une voix déjà éprise par ce désir fou : « Mon doux Yasushi… tu es si sensuel… il m’est impossible de te résister, tu le sais ? Ne cesse ô grand jamais tes attentions… tu me rends déjà si folle…»

Ces mots semblèrent plaire à son petit ami qui déjà venait continuer ces baisers sur sa nuque, sans doute bien cupide lui aussi du contact de leur chair. La demoiselle ne pouvait que soupirer de bien-être à cet instant, se laissant porter par ces envies de femme, ces envies de n’appartenir qu’à cet homme la rendaient déjà si fébrile. Laissant échapper un doux gémissement s’échapper de ces lèvres alors que Yasushi effectuer de douces caresses sur sa poitrine, accentuant son désir. Ces mains étaient venues se diriger vers les reins du jeune homme, vers son torse ô envoutant pour la demoiselle qui se laisser porter par le plaisir. Fermant les yeux, fébrile, quémandant plus de contact entre leur chairs. Caressant les douces formes de son amant, la demoiselle ne cessait de trouver attrayant celui-ci, venant répondre à ces demandes silencieuses. Appréciant les caresses contre sa poitrine, elle vint laisser échapper quelques mots : « Ne cesses pas tes caresses Yasushi… oh non…»

Sans doute qu’elle se montrait bien fébrile, bien quémandeuse de contact entre leurs deux chairs mais le jeune bulsajo devait particulièrement s’en satisfaire, offrant une vue ô agréable au jeune homme, celle d’une femme comblée et désireuse de son amant. Le jeune homme vint alors répondre à son doux supplice alors qu’elle sentait ces lèvres se perdre plus bas que sa nuque, venant frôler le haut de sa poitrine, la faisant soupirer de bien-être. Il ne fallut que peu de temps, bien trop à ces yeux, avant qu’il ne revienne répondre à sa demande indirecte et de le voir déposer un doux baiser contre sa poitrine. Ces mains ne purent alors que serrer à nouveau contre le dos du jeune homme face à l’afflux de plaisir qui prenait part en son sein. Dans un doux soupir, elle vint prononcer le nom de son amant, laissant ces mains remonter sur sa nuque, savourant sa chair si douce au toucher ; relevant malgré elle sa poitrine qui ne demandait qu’à recevoir plus d’attention et d’amour de sa part. Yuuki trouvait le jeune homme véritablement sensuel en ce jour, ne regrettant alors nullement son choix de s’offrir au jeune homme de la manière la plus naturelle qu’il soit. Elle se sentait si bien, ainsi choyé par son amant, par cet amour qu’il avait l’honneur de lui transmettre, de lui donner en ce jour. Yasushi remarquant sans aucun doute la fébrilité de la jeune femme, celui continua son traitement alors qu’elle sentait l’une de des mains, sur ces reins, ces cuisses. Le jeune homme était particulièrement sensuel et elle ne pouvait qu’en être ravi. Les mains de la jeune femme caressaient la nuque de son amant alors qu’elle lui susurrait d’une manière douce d’arrêter son geste, la demoiselle vint alors profiter de cet instant pour venir embrasser les lèvres de son amant dans un baiser ô langoureux. Sa poitrine se soulevant pour rencontrer le torse de son amant, ces mains vinrent caresser les reins du jeune homme de manière sensuelle. Profitant de cet instant, la demoiselle vint renverser la situation, faisant allonger le jeune homme sur le lit.

Dans un sourire ô conquis par le jeune homme, la dogsuli vint embrasser avec sensualité la nuque du jeune homme, ne se lassant pas d’embrasser sa peau si douce. Venant sourire simplement contre sa chair, elle vint déposer à son tour des baisers sur le haut de son torse, venant caresser ces muscles fins. Peut-être était-elle trop entreprenante mais cela ne l’importait que peu en cet instant tant elle souhaitait transmettre sa passion au jeune homme. Rougissant malgré elle à ces pulsions, elle vint susurrer : « Tu es beau Yasushi… le plus beau à mes yeux»

Suivant alors ces mêmes pulsions, la demoiselle vint déposer ces baisers de simples baisers contre le haut de son torse, descendant peu à peu jusqu’à ces bouts de chair, les frôlant, embrassant ce torse finement musclé. Ces mains n’étaient nullement en reste alors qu’elle caressait ces abdominaux ô si bien formés. Ces baisers se faisaient plus insistants alors sur son torse, se sentant ô fébrile face à ce corps ô séduisant qui faisait battre son cœur à un rythme effréné. Chacun de ces baisers semblaient plaire au jeune homme qui laissait échapper quelques soupirs, l’incitant alors à continuer son traitement sur ce torse ô séduisant, embrassant cette peau découvert sous ces yeux.
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Yasushi Yamada
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:36

Inexorablement, il sentait son être se tendre faire elle. Animé, par cette douce passion qui prenait peu à peu place au sein de son être, il semblait redécouvrir la signification d’un mot qu’il avait cru oublier. Ce mot était encore une utopie à laquelle il n’osait prétendre tant celui-ci lui semblait si difficile à atteindre, et pourtant… il s’approchait de ce dernier, délicatement comme l’on découvre ou à nouveau un objet qui nous tient temps à cœur. La fébrilité dans laquelle cette pensée plongeait son être était profonde, étourdissante et surtout dévorante. En homme faible, il ne pouvait que se laisser aller à ses sens pour savourer cette émotion qu’était le bonheur. Un sentiment qui l’avait abandonné de longues années, inaccessible et tellement inespéré qu’il avait fini par se faire à l’idée que ce dernier soit hors de portée. Cependant, Yuuki lui apprenait à y prendre gout de nouveau, à s’y réhabituer pour être en mesure de vivre cette félicité qui n’aurait jamais du l’abandonner. Le moindre de ses mots, de ses gestes l’intimait sur cette idée alors qu’elle se laissait délicatement aller sous ses caresses, ses baisers. Il n’y avait pas plus belle volupté à ses yeux que de savoir son amante fébrile à ses gestes, ses embrassades. Chaque tremblement de plaisir qui tiraillait l’être de cette dernière allumait peu à peu un feu ardent au sein de ses reins. Il était si étourdissant de la voir ainsi, réclamant ses attentions au travers de ces légers soupirs et paroles ô élogieuses. Elle succombait à ses charmes, le trouvait résolument sensuel, ne pouvant espérer mieux que lui en cet instant. Des paroles qui exaltaient son cœur, ses sens alors qu’il prenait plaisir à la découvrir. Il appréciait la douceur de sa peau si délicate, le parfum ô subtil qui pouvait se dégager de cette dernière alors que son corps s’offrait peu à peu à sa vue. Elle était magnifique à ses yeux, ses formes l’envoutait résolument alors que ses phalanges flattaient ses dernières comme pour les marquer dans son esprit. Il la découvrait alors sans nulle gêne, s’abreuvant de ce bien être profond qui exhumait tout son être alors qu’il se sentait devenir plus cupide sous ses caresses tant elle l’envoutait.

Ses gémissements le rendait fou, ivre alors qu’il l’observait désormais sa poitrine, nue de tout vêtement. Une poitrine fine mais parfaite en vue de la taille de la jeune femme. Cette dernière se trouvait fort attrayante à ses yeux alors qu’il la contemplait avec nervosité et désir. Il désirait la découvrir sous la pulpe de ses phalanges tout comme la jeune femme explorer son torse n’ayant de cesse d’approfondir son désir. Une convoitise à laquelle il était venu céder, laissant ses douces phalanges rencontrer la chair si délicate et troublée de son amante pour en connaitre le contact. Un simple contact qui vint la faire frissonner, gémir son doux prénom. Quel son merveilleux à ses yeux alors qu’il baisait d’autant plus sa nuque de ses lèvres, l’écoutant comme un bienheureux lui exprimer qu’elle ne pouvait pas lui résister et qu’elle ne désirait ô grand jamais qu’il n’arrête ses attentions, se sentant déjà si folle contre son échine. Des paroles qui exaltaient ses sens alors qu’il poursuivait ses baisers sur sa nuque avec plus de passion, laissant ses doigts cajoler cette poitrine si merveilleuse qu’ils prenaient plaisir à taquiner. Il était si exquis de la sentir frémir sous ses gestes, sa poitrine réclamant ce doux contact qui n’avait de cesse de s’affermir tant elle se glorifier de bénéficier de tant d’égards. Un fait, qui n’avait de cesse de l’enchanter alors qu’il se faisait délicatement dévorer par le désir, soupirant sous les caresses taquines de son amante qui le suppliait de ne point s’arrêter. Une demande à laquelle il se fit un plaisir de s’exécuter, souriant tendrement contre sa chair alors qu’il mouvait ses baisers sur le haut de sa poitrine, venant l’embrasser au creux de cette dernière.

Un simple contact qui vint la faire frémir d’effusion, laissant ses délicats ongles imprégner la chair de son dos alors qu’elle remontait ses mains à sa nuque, lui insufflant muettement de poursuivre ce délicieux manège. Un petit jeu auquel il se plut de réitérer avec satisfaction, glissant une de ses mains sur le tissu de sa robe pour la retirer en profitant par la même occasion pour flatter ses reins ses cuisses alors qu’il venait perdre ses lèvres contre un bouton de chair de son amant. A ce doux contact, il la sentit savourer ce dernier, lui murmurant de s’arrêter un instant. En bon amant, il s’exécuta venant recevoir ce baiser avec délice qu’elle lui tendit. Des lèvres qui lui avaient manqué et dont il savoura leurs présence, sentait la poitrine de cette dernière se coller à sa chair. Un contact qui le fit délicatement gémir alors qu’il se sentait bruler d’un feu incandescent. Il avait envie d’elle, d’autant plus désormais qu’elle se trouvait pratiquement nue devant lui. Ce sous-vêtement représentait la dernière frontière qu’il pouvait y avoir entre son corps et le sien, du moins si on omettait le fait qu’il était encore vêtu, simplement torse-nue. C’est ainsi qu’en amant docile, il se laissa choir sur le tissu du lit à son tour, la laissant le dominer alors qu’elle relâchait ses lèvres à regret. Dieu, qu’elle était belle ainsi, si magnifique et attirante qu’il ne pu s’empêcher de se mordre délicatement la lèvre tant le désir s’intensifier dans ses reins. Ses menottes quant à elles vinrent se mouvoir sur ses reins alors qu’il fermait les yeux pour profiter du contact de ces phalanges et lèvres qui se perdaient sur sa chair. Des caresses qui le firent doucement bomber de la poitrine alors que ces coquines embrassades venaient se choir sur son buste. A son tour malmenait, il laissa sa voix susurrait son doux prénoms dans des soupirs enchantés alors qu’il se laissait dominer à son tour. Un état de fait qui était résolument plaisant, enchanteur, alors qu’il laissait cette chaleur l’envahir, sentant les phalanges de la demoiselle se choir sur ses fins abdos, se mouvant sur la bordure de sa ceinture.

En vue de leur position, il était évident que la jeune femme ne pouvait nullement ignorer ô combien elle l’envoutait. Son intimité bien sagement nichée au creux de sa prison de tissu n’avait de cesse de réclamer un peu d’attention, se formant de façon bien concrète. Un fait qui n’avait pu nullement passé inaperçu au corps de son amante dont le bassin se trouvait contre le sien. Le moindre de ses mouvements, le troublait d’autant plus alors qu’il se laissait consumer. Un contact coquin et à la fois merveilleux alors qu’il susurrait son prénom, ouvrant ses paupières pour la regarder faire, ses propres doigts caressant ses reins également. Leurs regards mutuels se trouvaient exaltés par ce moment qu’ils vivaient en compagnie de l’autre alors qu’il sentait déboutonner sa ceinture, son pantalon pour le libérer d’un nouveau vêtement. Un exercice dans lequel elle vint effleurer son intimité impatiente, résolument lubrique alors qu’il soupirait plus fortement son émoi. Ce simple contact avait le don de le rendre fou, ne pouvant résolument point le camoufler tandis qu’elle réitérait son geste de nouveau, lui lançant un regard ravi. Un regard auquel il répondit dans un sourire alors qu’il venait glisser l’une de ses mains contre sa nuque pour l’intimer à l’embrasser. Un baiser dans lequel il lui transmit tout le bien être qu’elle apportait à son être alors qu’il venait glisser son autre main sur sa poitrine pour la cajoler avec douceur et émoi. Des caresses qui s’intensifièrent lorsqu’il sentit les phalanges de son amante se choir sur son membre le massant à son tour. Ce simple contact vint le faire gémir contre ses lèvres qu’il relâcha pour se mordre la lèvre, sentant cette chaleur le possédait entièrement alors qu’il lui susurrait qu’il avait envie d’elle. Ses caresses sur son membre l’exaltaient et le tourmentaient alors qu’il l’embrassait de nouveau, l’obligeant à gémir à son tour tandis que sa main libre se nicher sur ses reins pour l’intimer à retrouver son bassin. Un contact qui le rendit ivre de désir, tout comme sa compagne qui venait se coller à son corps, lui laissant le champ libre pour guider son bassin sur le sien dans de légers mouvements de va-et-vient. Des actions, source de plaisir pour eux deux alors qu’il la sentait frissonner sous ses délicates caresses qu’il se plaisait à lui offrir au travers de cet échange ô agréable. Des rencontres légères mais constante alors qu’il sentait les doigts de la demoiselle l’exaltait tout autant que les siens.

Se sentant alors devenir fou, c’est nullement sans appétit mais douceur qu’il vint glisser ses phalange sous le tissu de son boxer pour frôler ces fesses dans de douces caresses avant de se choir à son tour sur son intimité. Un geste qui vint la faire délicieusement gémir alors qu’il savourait l’effet que ses précédentes caresses et baisers avaient pu provoquer en son être. La voir si fébrile, si excité par son corps était résolument un bonheur, venant à son tour la taquiner tendrement sous son sous-vêtement qui était en contact indirect avec son membre. Il la sentit alors se cambrait légèrement à ce doux contact, le faisant délicatement gémir alors qu’il murmurait à bout de souffle tout contre ses lèvres.

« J’ai envie de toi, mon amour… je veux continuer à te faire du bien, te rendre encore plus magnifique que tu ne l’es actuellement… Tu es si désirable en cet instant que mon corps, tout mon être te désire. Je t’en prie, Yuuki… ma douce Yuuki, laisse moi te faire l’amour… je n’en peux plus… »

Son regard s’était fait pénétrant alors qu’il était en train de la supplier de lui donner cet honneur de la faire sienne. Il en mourrait cruellement d’envie et ses gestes, ses paroles n’avaient de cesse de lui avouer avec la plus grande passion qui soit.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:37

Yasushi se trouvait absolument parfait, incroyablement séduisant et attirant en cet instant, la jeune demoiselle ne pouvait pas s’empêcher de le penser alors qu’elle avait la chance de le voir sous cet aspect. Pour rien au monde elle ne laisserait une autre personne le voir tant cet aspect de sa personnalité lui plaisait véritablement, ne la rendait que plus fébrile et désireuse de contact avec sa chair. En tant qu’amante, elle n’avait pu que se plaire en ces instants de bonheur, heureuse de découvrir enfin le plaisir de la chair du jeune homme, même s’ils n’étaient qu’aux préliminaires d’un bonheur qu’elle imaginait ô puissant. Comment aurait-il pu en être autrement alors qu’elle se trouvait entre les bras de son tendre amour ? Peu importe, elle savait qu’elle ne pourrait qu’être heureuse à ces côtés tant elle le trouvait ô combien sensuel en ce jour. Souhaitant venir répondre à ces plus grands désirs la demoiselle avait laissé apparaitre une image quelque peu dominatrice d’elle-même, ce qu’elle était au fond d’elle voulant rendre fou son amant, lire en ces yeux plus intensément cette envie de s’unir. Yuuki n’avait jamais être inactive dans une quelconque relation et en ce jour, elle souhaitait bien le prouver à son tendre amant qui ne pourrait que s’en languir. Elle lui avait offert sans doute une magnifique vue de sa poitrine nue, de son corps avant de venir embrasser et cajoler cette chair qui lui donnait tant envie, appréciant ô grandement ces mains qui étaient venues caresser ces reins. Ces lèvres embrassaient le haut de son torse avec une envie non dissimulée, appréciant la douceur de sa peau au creux de ces lèvres, malmenant cette peau ô délicieuse. Les doux susurres de son amant ne pouvait que lui plaire, ravivant cette flamme de luxure déjà bien ardente en son sein. Ces doigts étaient venus caresser ces fins abdos avec désir, les trouvant particulièrement ferme au creux de ces doigts, frôlant coquinement sa ceinture. Son pantalon ne cachait nullement l’état de son entrejambe qui semblait déjà prendre forme au creux de son boxer, à son plus grand plaisir. La demoiselle ne pouvait que souhaiter voire celle-ci tant le désir se trouvait fort en cet instant, elle souhaitait tant s’offrir au jeune homme en ce jour. Leur position leur emmenait alors à faire rencontrer leur bassin, un moment quelque peu agréable pour chacun des deux. Le regard que lui lançait le jeune homme se trouvait si appréciable, si désirable, l’emmenant à ne pouvoir que désirer encore plus l’acte de chair.

Venant répondre à ces propres désirs, souhaitant satisfaire son amant, elle était venue déboutonner sa ceinture, son pantalon pour le libérer de ces vêtements qui la dérangeait tant. Elle avait frôlé alors son intimité de manière impatiente, démontrant son désir pour lui, ravie de voir que son entrecuisse prenait forme, satisfait du traitement, réitérant le geste de manière coquine. Souriant alors au jeune homme, elle vint avec plaisir embrasser ces lèvres dans un merveilleux baiser, soupirant de bien-être alors qu’elle sentait sa main cajoler sur sa poitrine, un geste qui s’intensifia alors qu’elle aussi venait caresser son membre au travers du tissu de son boxer. Satisfaite, la demoiselle était ravie alors qu’elle entendait murmurer qu’il la désirait. Des mots qui l’emmenèrent à intensifier ces caresses sur son membre au travers du tissu de son sous-vêtement, embrassant toujours ces lèvres qui se trouvaient si agréable. Le jeune homme l’intima alors à rapprocher leur rein, la rendait ô ravi alors qu’ils effectuaient presque des mouvements de va-et-vient, comme pour attiser son désir du fait qu’ils allaient s’unir pour la première fois depuis le début de leur relation. Un fait qui ne pouvait que la ravir.

La demoiselle aurait pu presque rougir de bonheur, de désir alors qu’elle sentait enfin les mains de son amant venir glisser son sous-vêtement, caressant ces fesses avec une envie certaine. Elle ne pouvait que frissonner alors qu’il rencontrait à nouveau son intimité, une intimité qui s’était humidifié en raison de l’ensemble de ces caresses qui ne pouvaient que faire naitre en elle un désir pour sa personne. Comme pour attiser ce désir, il était venu caresser cette part de son corps, l’emmenant à se mordre les lèvres tant elle sentait son corps s’échauffait peu à peu, soupirant. Les mots du jeune homme ne pouvaient qu’attiser son désir alors qu’il lui avouait qu’il avait envie d’elle, qu’il voulait continuer à lui faire du bien, la rendre encore plus magnifique qu’il ne l’était actuellement. La jeune femme se trouvait si désirable que son corps, que tout son être la désirait. Il la suppliait alors, sa douce Yuuki de lui laisser faire l’amour, il n’en pouvait tout simplement plus. A la fin de ces mots, le regard du jeune homme s’était trouvé si pénétrant qu’elle n’avait pu rougir malgré elle, souhaitant tant lui permettre d’atteindre cette envie. Dans un merveilleux sourire et dans un regard empli de désir elle vint murmurer alors, sa voix éprise par le plaisir de ces doigts contre son intimité : « Je… je t’aime… je t’aime tant mon Yasushi. Tous ces minutes écoulées depuis notre arrivée ont été si parfaites… que je ne peux qu’avoir une seule envie, celle d’enfin s’unir pour devenir tous les deux des amants… qui s’aiment du plus profond de leur cœur. Je le souhaite réellement mon Yasushi…. Alors je ne peux te demander qu’une chose… celle de me faire l’amour en ce jour. Tu me sembles déjà si merveilleux, si désirable que je ne pourrais nullement ne pas te le demander à toi qui me désire tant mon doux amant. » Continuant sur ces mots, elle vint accueillir ces lèvres dans un baiser ô langoureux.

Souriant, elle vint alors cesser ces douces caresses pour venir descendre le dernier vêtement de son amant, l’entendant gémir, son entrejambe enfin libre de cette prison. Venant cajoler son intimité, la jeune femme d’une manière sensuelle vint se saisir de son entrejambe pour la caresser dans de mouvements, comme pour attiser son désir alors qu’elle était ravie de le voir déjà si ferme entre ces doigts. Savoir que notre amant nous désirait était bien la meilleure des informations pour une amante. Elle continua ainsi ce doux mouvement de va-et-vient ravi de voir qu’il semblait prendre forme de plus en plus, gémissant malgré elle alors qu’elle sentait les mains du jeune homme venir lui retirer à son tour son boxer. Les deux jeunes sorciers se retrouvaient alors nus, faisant rencontrer leurs intimités simplement par des frôlements, faisant gémir la demoiselle qui ne souhaitait que s’unir au jeune homme. Souriant au jeune homme, elle vint alors murmurer d’une voix éprise par ce plaisir : « Mon tendre Yasushi… je te veux…. Maintenant… je veux que tu me fasses l’amour mon tendre amant… » Dans un sourire, la demoiselle vint alors s’allonger, entrainant avec elle son Yasushi qui la dominait à présent, lui offrant la possibilité d’enfin lui faire l’amour comme l’était son souhait.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:37

Ce bien être qu’il éprouvait auprès de la jeune femme qui se trouvait sous son regard n’avait point d’égal. Même si il tentait de le comparer à celui qu’il avait pu ressentir à côté de celle qui avait été sa première petite amie, son premier chagrin d’amour, ce dernier lui semblait bien terne comparé à cette effusion qu’il vivait avec cette femme. Une femme ô incroyable, sublime et terriblement attachante à ses yeux tant elle avait cette faculté de l’envouter jour après jour. Il ne lui avait fallut que quelques mois pour se lier à elle, en tomber amoureux. Quand bien même avait-il craint ce sentiment de l’étreindre, ayant peur de mal interpréter ce qu’il éprouvait à son égard, il ne pouvait plus que reconnaitre qu’elle s’était accaparé son cœur. Un cœur qui ne se sentait que complet à ses côtés, à son contact, se vivifiant de chaque baiser, caresse, parole que cette dernière pouvait lui offrir. Il l’aimait tant désormais qu’il ne pouvait que craindre l’instant où cette dernière l’abandonnait. Quand bien même s’efforçait-il de ne point songer à cette pensée, sa maladie ne pouvait l’en déroger pour autant. Sa maladie était un piège dans lequel il était tombé durant de très longues années sans être en mesure d’espérer y trouver une issue de secours. Plongé dans la noirceur de son cœur et son âme, il s’était fait dévoré par les ténèbres sans pouvoir faire quoique ce soit pour lutter. L’apparition de la jeune sang-pur dans son existence se trouvait être une véritable délivrance pour son âme, qui la considérait comme la seule lueur d’espoir qu’il pouvait espérer. Elle était celle qui l’incitait à reprendre confiance, celle qui lui permettait de redevenir cet homme qu’il avait cessé d’être à la suite de cette tragédie. Un homme qu’il avait cru être perdu à jamais, s’enivrant désormais plus que du bonheur que cette demoiselle pouvait lui apporter.

En cet instant, il redécouvrait les sens du mot « désir » à ses côtés, s’enivrant de toutes ses sensations merveilleuses qu’elle lui faisait vivre, se laissant peu à peu dévoré par cette cupide luxure, qui faisait de lui un homme bien moins timide qu’en temps normal. Il se révélait à ses yeux, tel qu’il l’avait toujours été, reprenant l’échine de ce jeune homme doux, sensuel et passionné qui somnolait en lui, au point qu’il ne désirait plus qu’une chose : lui appartenir. Il souhaitant tant lui apporter cette félicité, dont elle l’enivrait chaque seconde qu’elle passait à ses côtés, être en mesure de devenir cet amant qui saurait la combler plus qu’aucun être. Des pensées ô louables et sincères qu’il n’avait pu que lui faire part, ne pouvant plus résister à l’appel de ses traits, de ce corps qu’elle offrait sous ses yeux. Les formes de son corps et trouvaient si merveilleuses, si délicates sous ses doigts, sous ses lèvres. Les regards qu’elle lui lançait se trouvaient si profonds, si animés par cette cupidité qui la rendait d’autant plus magnifique à ses yeux, succombant, brulant sous ses caresses comme il se plaisait à la titiller à son tour. Il ne pouvait qu’être d’autant plus agité de la savoir si réceptive et désirable à ses caresses, sentant son intimité devenir plus fébrile sous les caresses taquines de ses doigts. Il ne pouvait qu’en être d’autant plus exalté, sentant sa poitrine se gorger de bien être de la savoir si fébrile, savourant la moindre de ses réactions à ses gestes lubriques. Des gestes qui n’avaient qu’un seul objectif : la rendre folle et d’autant plus désirable au point qu’elle ne consente à faire de lui : son amant. Il ne pouvait nier ô combien il la désirait, son corps le trahissait au travers de son souffle brulant, ses soupirs enflammés comme de cette intimité qui n’avait de cesse de s’affermir sous les cajoles de cette femme, qui n’avait de cesse d’exalter ses sens. La voir rougir ainsi face à ses paroles si franches et démonstratrices du souhait qui le tourmentait de la sorte, était un véritable bonheur à observer tant elle se trouvait magnifique.

Le regard qu’elle lui offrit, si empli de désir ne faisait qu’accroitre ses charmes alors qu’elle lui murmurait dans une voix ô fébrile et désirable à souhait qu’elle l’aimait. Les minutes qui s’étaient écoulées depuis leur arrivée étaient si parfaites qu’elle ne pouvait qu’avoir une envie : s’unir à lui afin qu’ils deviennent des amants. Elle le souhaitait réellement alors elle ne pouvait que lui demander de lui faire l’amour en ce jour. Il lui semblait si merveilleux, si désirable à cet instant qu’elle ne pouvait résister plus longtemps. Des paroles ô plaisantes aux oreilles du jeune homme qui ne pu qu’être ravi du baiser qu’elle vint lui voler, gémissant face à ce feu ardent qui n’avait de cesse de s’intensifier dans son corps. Un feu qui ne semblait point perdre d’éclat, s’enflammant de plus belle alors qu’il la sentait arrêter ses caresses, gémissant farouchement alors qu’elle lui retirait son boxer pour le caresser de nouveau, plus vivement. Des caresses qui le rendaient fou, gémissant ce bien être monstre que ses phalanges provoquaient en lui, venant faire de même sur le corps de son amante dont son membre n’avait de cesse de s’humidifier sous ses caresses. N’y tenant plus, désirant la sentir nue devant ses yeux, il vint enfin lui retirer son boxer à son tour, laissant enfin leur intimité se frôler un instant dans un délicat mouvement de hanche, qui le rendit d’autant plus cupide. Cette partie chaude et humide, éveillée par son corps le tourmentait de plus belle, gémissant son émoi alors que, les paroles de sa future amante lui susurrait dans une voix ô sensuelle, aurait pu faire damner n’importe quel homme.

Il avait envie d’elle, bien trop pour être en mesure de résister plus longtemps alors qu’elle l’obligeait à changer de position, la surplombant de nouveau. Voir son amante s’offrir à votre corps était une vision ô enchanteresse pour tout homme alors qu’il la détaillait avec attention, se mordant les lèvres tant le désir de l’étreindre se trouvait fort. C’est dans un doux sourire quoiqu’un peu timide qu’il vint agripper son pantalon afin d’en sortir son portefeuille, y prenant la préservatif qu’il conservait toujours sur lui par prudence. Sous le regard impatient et désireux de sa compagne, il vint délicatement l’extirper de sa protection pour l’enfiler dans un doux soupir, son membre se trouvant bien trop impatient de découvrir l’échine de cette femme qui s’offrait à lui. Bien incapable d’attendre plus longtemps c’est avec douceur et sensualité qu’il vint remonter à la hauteur du visage de la dogsuli pour l’embrasser. Ses lèvres rencontrant tendrement celles de son amante, l’une de ses mains vint se glisser sur la poitrine de cette dernière, s’échouant au creux de ces cuisses pour les écarter en douceur, les glissant autour de ses propres reins, s’immisçant enfin en elle. Une pénétration lente et sensuelle, son corps venant se coller à elle alors qu’il l’embrassait passionnément son autre main se glissant dans sa chevelure pour approfondir ce baiser qui le rendait fou. Un contact qui ne pouvait que l’exaltait d’autant plus, se sentant gémir contre ses lèvres alors que son membre savourait cette luxure qu’il lui offrait. Un bien être profond et vital, duquel il ne se sentait plus en mesure de s’en détacher tant il se trouvait appréciable. Savourant alors cette pénétration à son maximum, il mit un certain temps pour se retirer doucement, commençant lentement des mouvements de va et vient au creux de ses reins, savourant la chaleur et la moiteur de cette chair si envoutante.

Il se sentait cruellement bien lotit dans ses reins qu’il ne pu que geindre son plaisir, le souffle court alors qu’il venait libérer ses lèvres pour venir lui mordiller la nuque, réitérant un mouvement en son sein dans le seul but de la voir plus fébrile que jamais. Un fait qui ne manqua nullement de se produire alors qu’il l’entendait doucement gémir à ses pénétrations et mordillement, ne faisant qu’accroitre son excitation, se collant fermement à elle. Peau contre peau, reins contre reins, il la possédait tout simplement, laissant son être se fendre en elle, la découvrir, la cajoler, ne pouvant que s’enflammer du moindre contact avec sa chair. A travers ces caresses, ces soupirs et gémissements, il s’éveillait enfin, digne amant désirable qui ne pouvait avoir qu’une obsession : satisfaire son amante. C’est ainsi que l’une de ses menottes vint caresser le creux de la cuisse de la jeune femme, la possédant plus vivement alors que sa comparse, se mouvait sur sa poitrine, la cajolant dans des gestes toujours plus cupides, ses lèvres mordillant son oreille pour y murmurer le prénom de son amante, des mots sensuels dans une voix bien profonde et rauque, devenant alors un tout autre homme. Le jeune homme actuel ne ressemblait plus en rien au timide et réservé Yasushi qu’il était. A cet instant, il n’était plus en mesure de songer, de rougir de quoique ce soit, son être, son cœur étant bien trop cupide et atteint d’une seule pensée : lui faire atteindre le bonheur charnel à ses côtés.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:38

Croire en l’amour n’était nullement un fait nouveau pour la demoiselle, bien que sa dernière expérience amoureuse l’ait influencé au cours de sa vie jusqu’à rencontrer ce jeune homme qu’était Yasushi. A présent qu’elle l’avait rencontré, elle ne pouvait nullement le regretter, tout particulièrement alors qu’elle se trouvait amoureuse de lui, prêt à s’offrir à lui en ce jour après plusieurs mois de relations. Chacun des moments passés avec lui avait paru magnifique tant Yasushi paraissait prendre progressivement plus confiance en lui, rayonnant et ayant toujours un sourire sur ces lèvres. Yasushi se trouvait heureux, bien plus qu’heureux qu’auparavant et la demoiselle ne pouvait que s’en féliciter chaque jour. L’homme qu’il était refaisait apparition à ces côtés, bien moins timide, bien plus sûr de lui, devenant cet homme que toute femme aimerait du plus profond de son cœur. La demoiselle se trouvait bien amoureuse du jeune homme et en tombait chaque jour un peu plus amoureuse. Ce jour sans aucun doute ne lui donnerait que des raisons d’être plus amoureuse tant l’homme qu’elle avait à ces côtés se trouvaient si charmant et plaisant en tant qu’amant. Celui-ci n’avait pas un seul instant fait de faux pas depuis le début de leur relation et n’était sans aucun doute pas prêt à en faire en vue de ces qualités d’amant à ce jour. Ainsi, la demoiselle n’avait pu qu’être relativement coquine, murmurant des mots remplis de désir pour sa personne et se saisissant de son intimité à présent nu, pour lui offrir des caresses agréables, pour lui transmettre le désir qui prenait place en son sein. Yasushi n’avait pu alors que céder lui enlevant son boxer simplement, ne pouvant pas s’empêcher de gémir sous ces caresses, son intimité s’humidifiant à chaque instant alors qu’elle se sentait si désireuse du contact de leurs chairs.
.
Impatiente, la demoiselle n’avait pu qu’alors inverser leurs positions pour lui montrer qu’elle était prête à s’offrir définitivement à lui. La vision du corps ô dominant de son amant se trouvait tout autant enchanteresse, sentant son corps bien faible face au désir. Le laissant alors dominer leurs échanges, la demoiselle le regardant dans un doux sourire alors se saisir de son pantalon pour y retirer un préservatif. La demoiselle ne put alors que lui lancer un regard intéressé alors qu’il venait l’enfiler, appréciant alors le doux baiser que le jeune homme vint lui offrir comme signe du début de leur ébat. La demoiselle laissa échapper un doux gémissement alors qu’elle sentait sa main venir s’échouer sur sa poitrine jusqu’à atteindre le creux de ces cuisses pour les écarter, faisant glisser ces jambes autour de ces reins, s’immiscent enfin elle. Un geste qui ne put que la faire gémir simplement, bien heureuse d’enfin goûter ce plaisir de la chair à ces côtés, bien que son corps n’était plus habitué à ce contact depuis de nombreux mois. La jeune femme ne pouvait que se sentir agréablement bien en cet instant, bien qu’une petite douleur fût présente, dans les creux des bras de son amant. Profitant pleinement du baiser, la jeune femme se laissait aller, aimant résolument le contact entre leurs chairs, tout comme ces mains qui se perdait dans sa longue chevelure.

Lorsque son amant vint se retirer de son corps, la demoiselle ne put que laisser échapper un doux gémissement, venant répondre avec autant de passion à ces baisers, frémissant d’avance alors que le jeune homme vint la posséder à nouveau. Les yeux fermés, la demoiselle se laissait emporter par ce bien-être, malgré le peu de douleurs qu’elle ressentait. Il ne faillit guère longtemps avant que la douleur ne disparaisse, tant son corps était prêt à le recevoir tant le désir se faisait suffisamment puissant dans son corps. Bien loti entre ces bras, la demoiselle semblait revivre, redevenir cette femme qu’elle n’avait plus été depuis plusieurs années. Yasushi se trouvait si plaisant, si désirable qu’il lui était impossible de résister au charme du jeune homme en ces instants. Le jeune homme vint alors séparer leurs lèvres, laissant échapper un doux gémissement qui ne put la laisser de marbre alors qu’il venait mordiller sa nuque, comme pour l’affaiblir plus effectuant à nouveau un mouvement en son sein. La demoiselle ne songeait plus à rien en cet instant si ce n’était le bien-être qu’elle ressentait grâce au mouvement de son bien aimé en son sein, faisant transcender son corps et son cœur de bien-être.

Il n’y avait plus de toute en cet instant, Yasushi se trouvait un fabuleux amant, outrepassant sa timidité pour devenir un autre homme, bien plus sûr de lui, encore plus charismatique qu’il ne l’était déjà. Un fait qui ne pouvait la ravir, la faisant gémir contre lui, ne souhaitant qu’atteindre l’apogée du bien-être en ces reins. Les mains du jeune homme, tout comme son comportement ne pouvait qu’accentuer ce fait alors qu’elle se sentait perdre dans lieu emplie de luxure et de bien-être. Comme pour accentuer le contact entre leurs chairs, le jeune homme vint caresser le creux de sa cuisse, la possédant plus vivement alors que sa deuxième main, se mouvait sur sa poitrine, la laissant pantoise, la faisant gémir le doux nom de son amant, se sentant devenir folle alors qu’il venait mordre son oreille, murmurant des mots ô cupides et sensuels. La voix de son amant se trouvait si sensuelle, si belle, si envoutante qu’elle ne pouvait plus résister à cette homme une seule fois devenant totalement conquise par lui. Se rendait-il compte un seul instant de son effet sur son corps ? sans aucun doute que oui alors qu’elle avait l’impression d’être particulièrement folle grâce à son amant.

La jeune femme ne pouvait que frissonner doucement, à nouveau, laissant ces mains venir s’égarer sur le corps envoutant de son amant, sur son dos finement musclé, comme ces reins venant frôler ces fesses, comme pour le faire renforcer ces mouvements, pour plus de ferveur. Elle ne sut nullement à quel moment elle sentit que le jeune homme toucha une partie de son être qui vint la faire sentir un désir encore plus puissant, touchant une zone bien hétérogène qui vint la faire gémir et prononcer le doux nom de son amant. Peut-être avait-elle griffé son doux amant sans le vouloir, elle l’ignorait, seul son esprit et son corps était centré sur le bien-être qu’elle vivait en cet instant. Elle ne put que venir d’elle-même faire venir rencontrer leurs reins plus profondément, gémissant à ce contact d’une voix plus profonde, elle vint serrer entre ces doigts le dos du jeune homme bien trop heureuse. Le jeune homme se trouvait si parfait en cet instant qu’elle ne pouvait en être follement amoureuse alors qu’il venait plus profondément en elle, touchant ce point sensible en son être qui vint la faire gémir à nouveau. La jeune femme entre deux gémissements prononça d’une voix prise par le plaisir : « Yasushi… c’est si…parfait »

Elle fut bien incapable de prononcer d’autres mots en raison du bien-être qui possédait ses reins. Son être semblait être en feu au contact de son amant. Fermant les yeux, elle se laissait aller au doux plaisir aux côtés de son amant, appréciant ô combien le pécher de la luxure à ces côtés. Sans doute était-elle devenue une poupée gémissante qui n’attendait qu’une seule chose qu’on lui donne l’occasion d’enfin atteindre ce bien-être. Elle ne savait plus depuis combien de temps ils étaient ainsi mais elle se sentait faiblir progressivement tant le traitement que lui effectuait son amant se trouvait appréciable. Sans doute que son amant l’avait remarqué en vue des réactions de son corps, celui-ci accueillant son membre plus aisément, celui-ci lui permettant de redécouvrir tant de si belle sensations à ces côtés. Dans un doux murmure elle prononça : « Tu …es… merveilleux… si … merveilleux…mon... Yasushi … je deviens… folle. ». Son cœur comme son corps ne pouvaient nullement trahir ces paroles tant tout son être était captivé par celui de Yasushi, de ce merveilleux homme qui lui permettait de ressentir tant d’agréable sensations.
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Yasushi Yamada
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:39

Dépasser cette douce frontière qu’il subsistait au sein de leur relation n’avait eu de cesse de le tourmenter au cours des dernières semaines. Son âme, bien trop éprise de la jeune femme qui se trouvait sous son être, il l’avait désirait intimement comme un homme ne pouvait désirer qu’une femme. Découvrir sa délicate chair sous ses doigts, la sentir frissonner sous ses caresses et baisers étaient des désirs qui n’avaient eu de cesse de le tourmenter. Il la désirait si fortement, si profondément qu’il était évident qu’il ne pouvait que se sentir enchanté de pouvoir être en mesure de la chérir. Une passion naturelle et sincère de sa part, qui s’éveillait aux côtés de cette charmante demoiselle qui lui apprenait si aisément à renaitre de ces centres, tel un phœnix. S’il se sentait si accompli à cet instant, en cette soirée, c’était bel et bien à cette fantastique amante qu’il le devait. Elle était celle qui avait su le réconcilier avec l’amour, qu’il lui avait permis de renouer avec la confiance envers autrui, ces sentiments qu’il avait trop longtemps oublié, son cœur meurtri d’avoir tant été trahis.

Elle lui redonnait foi en l’avenir et ce soir, elle lui donnait la possibilité de redevenir cet homme accompli qu’il avait été un jour, avec une autre mais de façon bien plus intense. Il brulait de désir pour elle, sa chair devenant si brulante qu’il avait la sensation qu’un feu incandescent se consumait en son sein. Lui faire l’amour, lui permettre de connaitre ce paradis terrestre à ses côtés obnubilait la moindre de ses pensées, le rendant cupide et ivre d’une fébrilité sans nom. Il avait tant rêvé secrètement de cet instant, de ce doux moment où il lierait son corps au sien où il découvrirait son échine pour la toute première fois qu’il ne parvenait plus à se résigner. Il n’avait nulle raison de le faire, sa compagne désirant tout autant que lui de partager cet instant avec lui tant il la rendait folle. Un désir qui se lisait dans son regard, à travers son corps qui tout émoustillé, lui intimait de poursuivre et de la conduire sur cette voie ô envoutante qu’était la luxure. Un péché pour lequel il se laissait tout simplement allé, venant répondre à l’appel muet de son amante qui en échangeant leur position, lui avait intimé de poursuivre.

Comment aurait-il pu simplement songer à résister à une telle offre ? Quel homme aurait été en mesure de dire non à une femme aussi merveilleuse que l’était Yuuki à ses yeux ? Il se sentait bien trop incapable d’y résister à cet instant et n’avait pu que répondre savoureusement à cette proposition, revêtant cette protection pour pouvoir consommer sans aucune crainte ce plaisir mutuel qu’ils s’octroyaient ensemble. Un bien-être puisant qui l’avait laissé quelque peu interdit lorsqu’il avait prit place au sein de son corps, découvrant un univers bien mystérieux et envoutant dont il se sentait irrésistiblement attiré. Ce bonheur de la posséder se trouvait si puisant qu’il n’avait pu que geindre son émoi au creux de ses lèvres, les quittant pour se choir sur sa nuque, l’embrassant avec passion tandis qu’il commençait délicatement à la pénétrer dans de légers mouvements de bassins qui le rendaient ivre. Son appétence n’avait de cesse de s’accroitre seconde après seconde, tandis qu’il la sentait si réceptive à ses caresses, à ses baisers, à ses soupirs.

Etait-ce cela le vrai bonheur terrestre, celui qu’on pouvait éprouver qu’en étant en contact avec l’être chéri ? Il semblait être le cas et en homme cupide qu’il était, il ne désirait ô grand jamais s’en déroger, poursuivant ses mouvements de bassins pour accentuer le bien être de son amante comme le sien. Son intimité se trouvait cruellement bien lotit au sein de ses reins qui n’avaient de cesse de prouver le bien être qu’ils éprouvaient à son intrusion, devenant bien plus accueillant et fébrile pour faciliter ses mouvements, l’obligeant parfois à se montrer plus fougueux que des minutes auparavant. Le feu qui l’étreignait n’avait de cesse de s’intensifier, son souffle devenant bien plus court alors que ses phalanges caresser les cuisses, la poitrine de son amante dans des gestes ô brulants afin d’accentuer son bien être. Un bien être total qui semblait habiter cette délicieuse femme qui n’avait de cesse de caresser son dos, ses reins, ses fesses dans des cajoleries ô passionnés et ardente, l’intimant à lui faire d’autant plus de bien. Cette sensation était terriblement envoutante, tout son être semblait devenir fou contre son échine, soupirant d’aise tant l’effusion qui le transcendait se trouvait profond. Quel amant pouvait rester insensible à ces gémissements si profonds, ses susurres si sensuels ? Il en était résolument incapable, ses lèvres baignant sa nuque dans des baisers plus passionnés alors qu’il n’avait de cesse de mouvoir ses reins contre les siens, le rendant tout simplement ivre de désir pour elle, tout comme elle semblait l’être envers sa personne.

Il était incapable de se contrôler, ses reins se mouvant éperdument contre le bassin de son amante dans des actions lentes et profondes, parfois plus rapide. Il avait tant rêvée de la voir ainsi, qu’il ne pu s’empêcher de l’observer avec émoi et tendresse, voyant son être devenir qu’une simple poupée entre ses doigts, son corps qui la dévorait entièrement, se satisfaisant d’être l’homme qui serait en mesure de la rendre plus envoutante que jamais. C’est donc avec tendresse que ses phalanges vinrent de nouveau s’échouer dans ses cheveux, se nichant contre sa nuque alors qu’il l’embrassait de nouveau tendrement sans pour autant être en mesure de camoufler la fougue que les mouvements de leurs reins initiaient dans son être. Il la dévora alors avec tendresse et passion, ses lèvres collées contre les siennes, gémissant son émoi dès lors qu’elles se séparaient pour se retrouver de nouveau, se mêlant avec exquisité sans pour autant résister à l’appel dévorant de ses congénères. Perdu dans son plaisir, il n’avait plus aucune notion de temps, son être étant simplement envouté par la personne de son amante ainsi que son bien-être. Il voulait la rendre folle, la voir s’épanouir en tant que femme sous ses doigts, plus belle que jamais. Il l’aimait, c’était une certitude qu’il ne pouvait plus nier, ses doigts libre caressant sa cuisse alors qu’il se sentait augmenter la cadence de ses coups de reins tant le désir s’intensifiait, grondait à l’intérieur de ses reins, ce paradis qu’il recherchait tant.

Un paradis proche et pourtant si lointain, mais qui se rapprochait, effaçant toute raison sur son passage alors qu’il se sentait bien plus fébrile, prêt à connaitre cet instant ô fabuleux comme son amante qui frissonnait profondément, se cambrant sous son corps lorsqu’il s’immisçait plus vivement en elle. L’excitation arrivant rapidement à son paroxysme, c’est avec douceur que ses phalanges vinrent prendre celle de son amante au creux des siennes, les mêlant afin de les disposer autour du visage de la jeune femme, l’entourant alors qu’il susurrait tout tendrement.

« C’est parfait… tu es parfaite mon amour… je… tu me rends fou… ah… »

Sa voix se perdant dans un gémissement ô profond, il ne pu que venir la pénétrer plus intimement, sentant son être se transcendait peu à peu tout autant que pouvait faire l’être de son amante. Le plaisir était là plus proche que jamais alors que ses mouvements se faisaient désormais terriblement lent et langoureux, profonds, se délectant de la voir si fébrile, si excitée sous son regard. Il la dévorait du regard, ses prunelles ne quittant inexorablement pas celle de son amante, qui se consumait sous son regard. Rapidement et sans crier garde, cette excitation vint enfin atteindre son paroxysme l’intimant à gémir violement comme son amante dans un dernier mouvement de bassin ô profond, ses reins poursuivant leur supplice sans pouvoir s’arrêter, goûtant à ce merveilleux paradis qui s’offrait si simplement à lui comme à sa douce amante. Un plaisir profond et puissant qui le laissa résolument pantois, incapable de dire quoique ce soit si ce n’est d’embrasser son amante avec douceur tout en susurrant son prénom comme si l’évoquer ne faisait qu’approfondir cette extase qu’il éprouvait.

C’était la première fois qu’il se sentait si vivant, fébrile et résolument envouté par l’être de son amante. Le cœur au bord des lèvres, il vint délicatement se mordre la lèvre alors qu’il relâchait une de ses mains pour caresser son visage, la regardant avec une incroyable tendresse, susurrant contre ses lèvres.

« Tu es parfaite mon amour… ma délicieuse Yuuki… Je me sens si bien grâce à toi… si accompli… c’est comme si je me retrouvais enfin… que je renouais avec l’homme que j’étais… »

Venant l’embrasser du bout des lèvres, l’émotion qu’il éprouvait à cet instant se trouvait si profonde, qu’il ne pu retenir une de ses larmes de se fendre sur sa joue, l’humidifiant alors qu’il baignait ses lèvres de légers papillons, poursuivant.

« Tu me rends fou… tu le sais ? Terriblement fou amoureux de toi…. Donne-moi cette opportunité de devenir un vrai homme à tes côtés… T’es mon miracle, mon merveilleux et précieux miracle. Je refuse de te laisser à un autre homme… Tu es mienne désormais. »

Sa voix s’était faite plus prononcée et profonde, démontrant ô combien il se trouvait sérieux en prononçant ses paroles. Il ne mentait pas, il refusait de la laisser à un autre homme. Elle lui appartenait et il ne se sentait nullement gêné de l’énoncer aussi ouvertement, si égoïstement car il n’accepterait pas d’autre issue. Elle était sienne désormais et il comptait pas la laisser partir tout simplement.
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:40

Atteindre le paradis de la luxure au côté de son amant, rien n’aurait pu être plus merveilleux pour la jeune dogsuli que cela. Pour la première fois, elle ré-goutait à ce plaisir après tant de mois et ne pouvait qu’en être ravi tant les sensations qu’elle ressentait en son sein se trouvait agréable et puissante. Elle ne devenait qu’une personne cupide à ces côtés en femme désireuse de contact entre leurs deux chairs, appréciant chaque seconde à ces côtés. Son corps ne pouvait qu’être sensible à chacun des pénétrations du jeune homme tant son amant se trouvait résolument bon. Chaque pénétration l’emmenait peu à peu à connaitre un feu ô ardent en son être qui ne demandait qu’à connaitre le plaisir charnel à ces côtés et particulièrement cet instant où elle serait résolument folle de lui, bien qu’elle l’était déjà. Les caresses du jeune homme sur son corps la faisaient doucement frissonner, tout particulièrement celles sur sa poitrine et ces cuisses Des gémissements s’extirpaient de ces lèvres de manière régulières, exprimant son bien-être et son désir de ressentir plus intensément ses actions en son sein pour enfin connaitre le paroxysme à ces côtés. Ne souhaitant nullement être d’une quelconque manière inactive ou passive, la jeune femme caressait son dos, ces reins et ces fesses avec une envie non dissimulée qui devait ravir sans aucun doute son amant.

Chaque caresse était la traduction de son être qui ne demandait qu’à recevoir plus d’amour de sa part, plus d’envie, voulant ressentir jusqu’au maximum ces sensations. Yasushi venait répondre à chacune de ces demandes indirectes en embrassant sa nuque dans de multiples baisers tout aussi passionnés. Ces mouvements de reins se faisaient de plus en plus rapidement ne pouvant que lui plaire alors qu’il venait abandonner sa nuque qu’il vint embrasser ces lèvres dans un baiser, appréciant le contact de ces mains dans sa chevelure. Le baiser qu’ils partageaient était particulièrement agréable pour la demoiselle qui ne cessait de laisser échapper de doux gémissements contre ces lèvres. La dogsuli ne s’était pas senti si aimé depuis tant d’années par un homme qu’elle ne pouvait que se réjouir de ce qu’elle vivait au côté de cet homme qu’elle aimait du plus profond de son cœur. S’offrir à lui était sans doute l’un de ces plus beaux instants de vie, un évènement qu’elle serait prêt à faire de nombreuses fois tant elle se sentait redevenir grâce à son amant cette femme qu’elle avait été auparavant à la différence qu’elle se sentait bien plus heureuse à ses côtés qu’avec son premier petit ami. La demoiselle se sentait prêt de franchir avec lui une nouvelle étape, faire avancer leur histoire dans l’espoir que leur futur soit lié pour toujours.

La demoiselle mourrait d’envie aux côtés de cet amant, désireuse d’avoir toujours contact avec cette personne qui la rendait folle avec chacun de ces coups de reins qui prenait possession de son être. Se sentant perdre l’esprit progressivement au contact de cet amant, la demoiselle ne pouvait que soupirer son nom, appréciant ces phalanges qui venaient prendre les siennes et le disposer autour du visage de la jeune femme. La voix du jeune homme la séduisait chaque fois un peu plus alors qu’il lui indiquait que tout était parfait, qu’elle se trouvait parfait, le rendant fou. Des mots qui ne pouvaient que lui plaire tant ceux-ci se trouvaient réciproques. La demoiselle était folle de cet être, de cet amant qui avait le mérite de la rendre si dépendante et si amoureuse.

Le plaisir se faisait si fort en cet instant qu’elle se croyait mourir à chaque mouvement de rein qui la possédait peu à peu. Le jeune homme avait quitté ces lèvres et lui lançait un regard ô pénétrant au fur et à mesure de ses mouvements de va-et-vient, ne pouvant que le rendre incroyablement beau et attirant. Les yeux de Yasushi brillant de désir et de luxure ne pouvaient l’emmener qu’à frissonner tant son regard se trouvait hypnotisant pour la faible femme qu’elle était. Sans crier garde, le jeune homme vint atteindre le paroxysme dans un dernier mouvement de va-et-vient, gémissant subitement alors que ces reins continuaient leur rythme quelques instants encore. Il ne fallut rien de plus à son amante avant de sentir son corps faillir, lui faisant connaitre ce paroxysme à ces côtés, la laissant pantoise tant son corps avait apprécié ces sensations. Le souffle coupé, la demoiselle était bien incapable d’agir autrement que de venir répondre à ces baisers avec tendresse, se sentant être la femme la plus comblée de ce monde par cet homme. Yasushi se trouvait résolument être un amant parfait à ces yeux, aimant tant entendre son prénom de manière si douce la rendait ô combien fébrile. La vision de cet homme conquis par cette personne ne pouvait que la rendre heureuse, lui offrant un magnifique sourire enchantée et totalement conquise. Elle aimait tant voir le jeune homme si heureux, si conquis par sa personne. Elle ne laisserait aucune femme se rapprochait de lui, elle en était persuadé.

Les mots prononcés par le jeune homme ne purent la rendre qu’heureuse. Comme aurait-il pu en être autrement alors qu’il lui susurrait qu’il la trouvait parfaite, la nommant sa délicieuse Yuuki, se sentant si bien grâce à lui, si accompli, comme s’il retrouvait enfin l’homme qu’il était avant. Des mots qui la rendait fière, heureuse de réussir à rendre si heureux l’homme qu’elle aimait du plus profond de son cœur. La larme qui s’échouait sur ces joues ne purent que la rendre plus fébrile alors que d’elle-même elle venait avec sa main effacer cette larme, l’essuyer alors qu’elle rougissait sous ce regard. Yasushi continua ces propos en lui avouant qu’elle le rendait fou, terriblement fou amoureux elle. Lui demandant de lui donner cette opportunité de devenir un véritable homme à ces côtés. Elle se trouvait son miracle, son merveilleux et précieux miracle si bien qu’il refusait de la laissait à un autre homme, celle-ci se trouvant sienne. Des mots qui ne pouvaient que la rendre heureuse et comblée, tant elle n’avait jamais eu l’intention de le quitter ne serait-ce qu’une fois. Yasushi se trouvait bien le seul être à pouvoir la rendre si heureuse. Voir Yasushi si sûr de lui, si imposant ne pouvait que lui plaire tant il se trouvait empli d’un charisme qu’il lui était inconnu. Lorsqu’il redevenait cet homme charismatique, cet homme si sûr de lui, elle avait l’impression de fondre complètement. Souriant, elle vint alors prononcer d’une voix éprise par le jeune homme et ô conquise : « Mon Yasushi… tout est si merveilleux… chacun de tes mots… tout ce que nous venons de vivre l’un et l’autre. Je suis si heureuse de te permettre de redevenir l’homme que tu étais avant. Mon seul souhait est de te rendre heureux à mes côtés, ton bonheur me rendant toujours plus heureuse. Je suis tienne et jamais aucun homme, ni personne ne pourra me détourner de toi. Tu es l’unique personne dans ce monde que j’aime et que je pourrais aimer autant… je t’aime tant on Yasushi. Je ne veux pas te partager avec une quelconque personne… »

terminant ces mots dans un sourire, elle l’embrassa tendrement quelques instants celui-ci avant de relâcher ces lèvres, lui lançant un regard ô pénétrant, caressant les traits de son visage avant de lui susurrer d’une voix douce : « Peut-être est-ce trop rapide pour certains, mais pas pour moi qui ne désire que cela … alors je voulais te demander si… à la rentrée prochaine ou bien dès que tu en as la possibilité si tu voudrais venir vivre ici ? L’appartement est assez grand pour deux… et il y a la place pour nos deux chats aussi… cela saurait mon unique souhait. Te voir chaque matin en me réveillant serait absolument merveilleux, comme le fait de te voir chaque soir, à chaque instant dans cet appartement … rien ne me rendrait plus heureuse… mon Yasushi. » Terminant ces mots dans un merveilleux sourire, la demoiselle caressa tendrement le visage de son amant, ne se lassant tout simplement de cette vision ô enchanteresse de son amant. D’une voix tout aussi amoureuse, elle prononça : « Je t’aime si fort mon Yasushi... si tu savais. Vivre à tes côtés chaque jour serait tout simplement merveilleux… te voir sourire, te voir si heureux… il n’y a rien de meilleur sur cette terre mon Yasushi…»
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Yasushi Yamada
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MessageSujet: Re: Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi   Son tus ojos lo que me hace ser feliz, son tus ojos lo que quiero para mi | PV Yamada Yasushi Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:41

Le cœur au bord des lèvres, le souffle court, Yasushi semblait s’éveiller d’un merveilleux rêve qu’il n’était pas prêt d’oublier. Tout lui semblait si somptueux à cet instant qu’il ne pouvait que se sentir cruellement chanceux de vivre une telle sensation de bien être. Il se trouvait heureux, cruellement satisfait d’être devenu de nouveau un homme grâce à la douceur de cette femme étendue sous son être, qui lui avait donné cette chance. Son regard n’avait de cesse de la détailler avec admiration tant elle lui semblait parfaite et inestimable. Ces paroles aussi cupides et égoïstes puisaient-elles être se trouvait cruellement sincères. Il refusait catégoriquement de la laisser à un autre homme tant elle se trouvait sienne désormais. Qui aurait-pu pensé qu’une simple rencontre fortuite dans une ruelle moldu lui permettrait de connaitre ce bonheur fulgurant qu’il vivait à ses côtés. Il était fou d’elle, son cœur semblait ivre tant cet amour se trouvait cuisant et précieux. Son regard n’avait de cesse de briller de cette félicité étincelante qui ne semblait point le quitter. Elle se trouvait être son miracle, son inestimable merveille qu’il désirait garder auprès de lui, à jamais. Ces sentiments à son égard dépassaient résolument tous ceux qu’il avait pu ressenti jusqu’à ce jour. Il l’aimait à la folie et ce qu’il venait de se produire ne faisait qu’approfondir son inclinaison à son sujet. Il se sentait comblé et aimé, profitant des dernières traces de cette effusion qui l’avait traversé quelques minutes auparavant, suspendu au dessus de cette femme qui lui semblait incroyablement désirable. Cette dernière venait délicatement essuyer cette larme qu’il n’avait pu contenir, l’effaçant délicatement du bout de ses phalanges. Cette dernière lui avoua que tout ce qu’il lui disait se trouvait si merveilleux tout comme ce qu’ils venaient de vivre l’un et l’autre. Elle se trouvait si heureuse de lui permettre de redevenir l’homme qu’il était auparavant. Son unique souhait était qu’il le soit également à ses côtés, ne pouvant que l’exalter d’autant plus. Elle se trouvait sienne et aucun autre homme, ni personne ne pourrait le détourner de lui. Des paroles ô délicieuses qu’il dévorait avec attention, sentant son être se gorger d’une fierté sans nom alors qu’elle lui murmurait qu’il était l’unique personne dans ce monde qu’elle aimait et ne pourrait autant, elle était folle de lui, ne désirant nullement le partager avec une quelconque personne.

Des paroles qui ne pouvaient que le rendre d’autant plus fébrile et satisfait, savourant avec bonheur ce baiser que la dogsuli venait lui voler avec tendresse. Ces lèvres qui le rendaient si cupides et heureux se trouvaient si plaisantes contre les siennes, qu’il ne pouvait que sourire de bonheur, savourant ce bienêtre qui l’étreignait. Il se laissa donc cajoler par le regard et les caresses de la jeune femme sur son visage tandis qu’il venait faire de même sur le sien. Ses doigts retrouvant la chair si délicieuse de son amante, il savourait ce délicat contact alors qu’il n’avait toujours point quitté son sein, résolument désireux de profiter de cette chaleur tout en sachant qu’il devrait s’en dégager d’ici peu. Résolument amoureux et comblé, il l’écouta attentivement poursuivre sur sa lancée alors qu’elle lui susurrait dans une voix douce que sans doute allait-elle trop vite en besogne pour certains mais, pas pour elle car elle désirait lui demander quelque chose. En effet, elle souhaitait savoir s’il voudrait bien vivre ici avec elle à la rentrée prochaine ou dès qu’il en aurait la possibilité. L’appartement étant assez grand pour eux deux, il y en aurait tout autant pour leurs deux compagnon. C’était à vrai dire son unique souhait tant elle désirait le voir chaque matin à son réveil. Cette idée lui semblait absolument merveilleuse tandis que rien ne pourrait la rendre plus comblée que cela. Des paroles ô merveilleuses qui ne purent que le toucher profondément tandis qu’il lui souriait adorablement, incapable de prononcer le moindre mot tant il se semblait agité par cette tendre déclaration. La suite de ses paroles si tendres ne put qu’accentuer cet état de fait alors qu’il observait avec une incroyable douceur, murmurant simplement.

« Avec plaisir. »

Il avait prononcé cette phrase dans un souffle court tant la joie qui l’habitait se trouvait intense. Il n’avait pu ajouter autre chose, si ce n’est de venir délicatement l’embrasser avec douceur, réitérant sa réponse dans une voix plus joyeuse et affectueuse. Ses phalanges se mêlant dans sa délicate chevelure, il vint délicatement les poser sur sa nuque, souriant tel un ange en la dévorant tendrement du regard.

« J’en serai plus que ravi… Vraiment. Je ne pourrais espérer mieux qu’une telle proposition. Je suis résolument touché par cette dernière, si touché par tes paroles, Ma Yuuki. Tu es merveilleuse, si parfaite, mon amour… »

Ses lèvres venant se déposer sur ses lèvres, son sourire ne quittait nullement son visage, caressant la chair de ce dernier de ses phalanges afin de profiter de cette effusion qui l’étreignait profondément. Son cœur n’avait de cesse de battre promptement dans sa poitrine alors qu’il venait relâcher doucement ses lèvres, venant nicher son visage dans sa nuque, humant son parfum si délicat. il se sentait si accompli, si heureux qu’il avait l’impression que son cœur pouvait lâcher prise, résolument envouté par la personne de son amante. Elle le rendait ivre d’un bonheur sans nom et il ne pouvait que céder face à cette extase qu’il éprouvait contre son être. Il n’avait nullement envie de quitter son corps, sa chair, qui se trouvait sous son échine. Ses lèvres n’avaient de cesse de baiser la nuque de son amante en prononçant délicatement son prénom dans une voix ô émerveillé. Il était enchanté, cruellement exalté et chanceux en ce jour qu’il ne pouvait s’empêcher de sourire comme un enfant à qui on vient de donner le plus beau cadeau du monde. A tel point qu’il vint délicatement murmure.

« Je le désire tout autant que toi… Je veux vivre avec toi, pouvoir t’admirer tous les matins et profiter de ta présence tous les soirs. Cette idée est si merveilleuse, je ne pourrai qu’être un homme comblé et heureux comme je le suis actuellement. Je t’aime… mon cœur est fou de toi, totalement fou de ta personne… Je t’aime. »

Sans doute devait-il semblé trop fébrile à cet instant, trop insistant mais il ne pouvait aller contre ses sentiments, il avait besoin de lui en faire part, qu’elle prenne conscience ô combien ses mots le transportait dans un bonheur sans nom. Il l’aimait et cette certitude était inébranlable.
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Proposer à Yasushi de vivre avec elle n’avait été nullement une décision pris à la légère, ni sans réelle réflexion. La demoiselle, en digne amoureuse qu’elle était, se sentait toujours comblé en la présence du bulsajo, sentant son cœur battre si rapidement et si intensément à ces côtés. La demoiselle était résolument amoureuse, aimant tant le voir sourire et le contact entre leurs chairs. A chaque fois que le jeune homme venait la prendre dans ces bras dans un quelconque lieu, la demoiselle se sentait particulièrement bien, protégé par son tendre amoureux. Elle avait appris à connaitre chacune des qualités et des défauts du jeune homme, le tout formant un être résolument charmant qui la rendait chaque jour un peu plus amoureuse. Cette journée avait été un enchainement d’évènement parfait, ils avaient eu un merveilleux rendez-vous dans un cadre romantique, découverts pour la première fois le pécher de la luxure et à présent elle lui proposait de venir vivre avec elle. N’y avait-il pas une journée plus merveilleuse que celle-ci ? Sans doute que non aux yeux de la demoiselle qui souhaitait s’établir avec le jeune homme. Elle se sentait pleinement amoureuse de cet homme, souhaitant tant profiter de lui, de sa présence à chaque fois qu’elle rentrerait de l’école de magie, comme du ministère de la magie. Pouvoir observer son visage chaque matin était résolument son plus grand souhait, appréciant le jeune homme au plus haut point.

Ce fut alors avec joie qu’elle le vit sourire adorablement à la fin de ces mots, voyant ces yeux briller d’un bonheur sans nom. L’émotion était si forte que les seuls mots qu’il vint prononcer furent une réponse positive, avec plaisir il acceptait de venir vivre avec elle. Des mots qui ne pouvaient que la faire sourire, venant apprécier le doux baiser que lui offrait son tendre amant. Elle se sentait ravi et pleinement heureuse à cet instant, ayant enfin la certitude qu’un de ces rêves se réaliserait, celui de vivre avec son amant dans son petit logement. La demoiselle ne put qu’apprécier le contact de ces phalanges dans sa chevelure jusqu’à atteindre sa nuque. Souriante et ravie, elle ne quittait pas du regard ces yeux lumineux. Le jeune homme lui avoua alors qu’il serait ravi de vivre avec elle. Il ne pouvait nullement espérer mieux qu’une telle proposition étant résolument touchée par cette dernière. Il la complimenta à nouveau, la trouvant si merveilleuse, si parfaite. Des mots qui venaient la rendre ô combien heureuse alors qu’elle répondait avec délice au baiser. Ces mains ne semblaient pas en reste, venant caresser la nuque de son amant avec tendresse. La jeune femme ne put que sourire, venant caresser à nouveau cette nuque alors qu’il avait niché sa tête contre sa nuque. Le souffle de son tendre amant l’emmenait à frissonner, caressant, appréciant ô grandement ces baisers sur sa nuque, la faisant vibrer de bonheur à chacun de ces baisers. Elle sentait si bien contre lui, appréciant ô grandement chacun de ces baisers, chacune de ces paroles. Voir si heureux le jeune homme ne pouvait que raviver son pauvre cœur amoureux qui n’avait que pour souhait de voir le jeune homme ravi et heureux, émerveillé.

Le jeune homme vint alors la rendre plus heureuse encore, au moyen de ces propos dans lesquels il lui avouait qu’il désirait autant qu’elle vivre avec elle. Il voulait vivre avec elle, pouvoir l’admirer tous les matins et profiter de sa présence tous les soirs. Cette idée lui paraissait résolument merveilleuse, lui permettant d’être un homme résolument comblé et heureux comme il l’était actuellement. Son cœur était fou de lui, fou de sa personne, il l’aimait. Des mots qui ne pouvaient que la rendre ô combien heureuse, lui offrant un merveilleux sourire, ces yeux émus de tant d’émotions alors qu’elle venait accueillir dans un nouveau baiser ces lèvres. Son cœur battait à tout rompre, se sentant si heureuse de pouvoir dans un futur proche vivre tous les jours avec son amant, profiter de sa chaleur et de sa tendresse, re-goutant à une vie de couple. Avoir à ces côté son merveilleux amant tous les jours se trouvait si magnifique. Les yeux brillants de bonheur, la jeune femme vint éloigner leurs lèvres dans un merveilleux sourire, murmurant d’une voix résolument conquise « Oh mon Yasushi… je suis si heureuse… vivre avec toi ces instants ô pourtant simple me parait si merveilleux… me réveiller dans tes bras chaque matin me semble être résolument un instant proche du paradis. Je veux vivre à tes côtés et te voir sourire à chaque instant… il n’y a rien de mieux qui pourrait me rendre plus heureuse. Savoir que cela est possible ne peut que me rendre résolument heureuse, pressée de voir ce moment arrivé. » Terminant ces mots dans un sourire, elle vint cueillir à nouveau les lèvres de son amant dans un tendre baiser. Ces mains venaient alors caresser à nouveau sa nuque, caressant son le haut de son dos nu, venant caresser chaque parcelle de peau avec tendresse. Rien ne pouvait la rendre plus heureuse que ces instants de bonheur à ces côtés. Yasushi était résolument l’homme parfait à ces yeux, celui qui la rendait heureuse à chaque instant. Séparant leurs lèvres, elle vint laisser sa main venir caresser les traits de visage de son amant, le dévorant du regard dans un merveilleux sourire, embrassant ces joues à plusieurs reprises.

Dans une voix tout aussi enchantée elle murmura : « Je suis résolument amoureuse de toi mon Yasushi… mon tendre amour qui me rend toujours aussi heureuse. Vivre avec toi chaque jour me semble résolument parfait…je t’aime tant... » Souriant à ces mots, elle vint ré-embrasser ces lèvres avec tendresse, savourant chaque instant à ces côtés comme le fait qu’il n’est toujours pas cherché à se détacher de son corps qui appréciait le fait d’être encore possédé par son être. S’offrir à lui était résolument la plus belle des choses. A présent, il lui suffisait seulement d’attendre alors ce jour où il viendrait franchir les portes de son logement avec ces bagages et son chat, un jour qu’elle attendait avec impatience. Il ne quitterait alors plus jamais ce lieu ou du moins pas sans elle, tant que cet appartement leur convenait pour une vie à deux. Plus rien ne pouvait gâcher leur amour tant leur amour se trouvait véritable. Bien entendu il y avait toujours ce secret qu’elle comptait lui avouer bientôt mais elle espérait sincèrement que le jeune homme n’en tienne pas vraiment rigueur, leur amour était véritable et elle ne cherchait nullement à le manipuler. Souriants alors, les deux jeunes sorciers vinrent s’aimer simplement, continuer de rêver de ce jour où ils pourraient enfin cohabiter ensemble dans ce petit logement.

FIN
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