Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014
 

 Carry me in your dreams

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeLun 22 Déc - 17:12

Carry me in your dreams
Olivia Brown ∞ James Douglas



Ce soir se révèle plus prometteur que je ne l’imaginais à mon arrivée. En effet, devenir la tutrice légale d’Andrew a amoindri ma désinvolture, quand bien même je demeure celle que j’ai toujours été. Seulement, ces derniers mois n’ont pas été faciles et j’ai privilégié mon neveu à ma personne, mettant de côté ma vie quelque peu décadente et sulfureuse pour m’occuper de ce petit bout de chou qu’une vieille dame garde à cet instant. Je sais que je ne devrai pas trainer, mais ce petit jeu de séduction avec cet homme me rappelle la femme que je suis réellement. Bonne conseillère cette vieille dame m’a conseillé de profiter de ma soirée et je compte bien le faire, d’autant plus en compagnie de cet homme. Après tout, oublier mes obligations en tant que mère, pour redevenir une femme à part entière ne peut que me faire du bien, d’autant plus que je sens que j’en ai besoin.

J’attends donc l’arrivée de James avec amusement, me demandant s’il me trouvera rapidement, ce qu’il me prouve quelques minutes plus tard. Son sourire m’indique qu’il est ravi que je lui offre l’opportunité de rompre de nouveau cette distance entre nous deux. C’est avec plaisir que je retrouve la texture de ses lèvres contre les miennes, cette délicieuse langue qui vient cueillir avec passion et douceur sa comparse. Je réponds naturellement à son baiser, appréciant cette délicate fougue qui commence à naitre dans nos échanges. Je le sens plus impatient et cela ne peut que me ravir, quand bien même je remarque aisément qu’il se restreint. Je sens que la suite de cette soirée sera plaisante et je ne doute pas de découvrir en cet homme, un amant tout aussi envoutant que je l’imagine.

Je souris donc à sa remarque entre deux baisers. Il me propose de choisir entre se rendre chez lui ou j’ai moi. Le choix est vite fait. Aucun de mes amants ne frôlera la porte de mon chez-moi sans que je ne l’autorise, ni même le désir. D’autant plus pour un amant d’une nuit. « Chez toi. J’ai bien envie de découvrir ta face cachée. » Une petite pique taquine que je ponctue en venant reprendre ses lèvres des miennes dans un baiser sensuel et légèrement taquin, furtif. Je sens que ma réponse l’inquiète. Sans doute est-il habitué à être celui qui se rend chez ses amantes. Cela ressemblerait bien à un Don Juan tel que lui. Après tout, on se ressemble et cela en est même amusant. Des don Juan jouant ensemble à un jeu dangereux. Le résultat risque d’être particulièrement amusant ! Je le laisse donc prendre les rênes pour qu’il nous dirige vers sa demeure. Il opte pour la marche, je suppose donc qu’il doit vivre dans le quartier.

Nullement gênée par cela, je le laisse prendre prisonnière ma main, pour marcher naturellement à ses côtés. On pourrait croire que nous sommes un petit couple d’amoureux. Je le vois dans le regard de certains passants qui ne peuvent s’empêcher de nous observer. Après tout, nous sommes tous les deux séduisants et je peux même entrevoir dans leurs regards, cette petite once de jalousie. Cela me fait sourire, tendrement amusé par cela alors que je sens les lèvres de James venir recouvrir les miennes dans de légers baisers. Cela est agréable, je dois bien reconnaitre. Son comportement est presque mignon, si je ne supposais pas qu’il fasse partie d’un machiavélique plan pour s’assurer que je ne lui tombe dans les bras. Après tout, n’est-ce pas notre ambition commune ?

Je participe donc au petit manège en parfaite demoiselle charmée, sans oublier pour autant que cette nuit de débauche n’aura pas de suite. Ce n’est pas mon genre et ce n’est pas non plus le genre de cet homme. A la rigueur, sans doute deviendrons-nous amis ? Qui sait, je ne maitrise pas les clés du destin et je préfère me concentrer sur l’instant présent que le futur. De toute façon, cela n’a pas grand intérêt à mes yeux. Profiter de l’instant présent me semble bien plus captivant. Je souris de façon charmeuse à cet homme, transperçant son regard émeraude de mes prunelles alors qu’on semble enfin arriver à bon port. Je le laisse me conduire à l’intérieur du bâtiment, le suivant le regard pétillant alors qu’il me permet d’entrer dans son antre, le sourire aux lèvres. Que demander de plus ? Rien, si ce n’est de passer à des choses plus sérieuses, mais j’aime bien faire durer les choses et je pénètre donc dans l’appartement de cet homme. Mes prunelles découvrent l’endroit avec intérêt. La décoration est étudiée, claire, mais impersonnelle. Cela me donne l’impression qu’il est du genre secret. Ce qui ne m’étonnerait pas en vue de ce que j’ai découvert sur lui au cours de la soirée. Sans doute n’est-il pas le genre d’homme à investir des lieux, à moins qu’il ne vienne chez lui que pour dormir. Cela correspondrait bien au personnage.

Je me retourne donc vers lui, le sourire narquois aux lèvres, le regard brillant. Je le fixe avec insistance, me mordillant la lèvre alors que je murmure. « Aurais-je droit à une visite de ta propriété ? Tu as le droit de définir les conditions de la visite, après tout tu es l’hôte et je ne suis que l’humble invitée. Étonne-moi, beau brun ! » Je réutilise le surnom que je lui ai donné, le trouvant plus sous entendeur et révélateur de la perche que je lui tends. Va-t-il s’en saisir ? Je me le demande bien. Je lui offre une occasion en or de me montrer quel homme sulfureux il est lorsqu’il se retrouve avec une femme prête à succomber à ses charmes. Je n’ai aucune raison de résister, je suis là, car j’ai tout autant envie que lui de partager sa couche pour un moment de luxure prometteur. Je me mordille la lèvre avec intérêt, laissant le petit bout de ma langue caresser la peau de ma bouche dans une action sensuelle et sexy. Je le tente et le nargue à quelques mètres de lui. Allez beau brun, montre-moi ce que ça fait d’être ton amante. Je te montrerai de quoi je suis capable. Je souris à cette pensée et lui offre un clin d’œil, mon sourire augmentant son éclat, tandis que patiente, j’attends sa réaction avec intérêt et amusement.

Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeVen 2 Jan - 17:54

Carry me in your dreams
Olivia Brown ∞ James Douglas

Je suis plus entreprenant qu’au départ, rien n’est joué d’avance, mais il faut croire que cette envie réciproque passait avant le reste et que nous nous sommes plus au-delà d’une simple décision. Elle était déjà prise, me concernant, elle ne fait que se confirmer et Olivia semble satisfaite de la tournure des évènements, chose qui m’indique clairement qu’elle aussi l’avait décidé par avance. Néanmoins, tout pouvait faire basculer la balance, du baiser maladroit à une caresse trop osée. D’un mot de travers ou d’un évènement soudain et inapproprié à la chaleur du moment. Il fallait donc profiter de l’instant et je ne m’en privais pas, la suivant lorsqu’elle met les voiles pour mieux la retrouver et partager un baiser aussi doux que plaisant. D’un accord silencieux, nous marchons, décidant du lieu qui mettra fin à nos doux supplices. Un baiser qu’elle m’offre et je suis agréablement surpris par son choix, venir chez moi pour découvrir un peu plus quel homme je suis.

Cette pensée m’éloigne légèrement, en y pensant, trouvera-t-elle de quoi se satisfaire dans cet appartement vidé de toute âme ? Je n’y passe pas le clair de mon temps si ce n’est pour corriger des copies, en tant que professeur. Rien qui ne puisse lui indiquer autre chose que la branche ne choisit, aucune photo ne traîne, pas même de moi. Cette maison est la preuve même qu’il me manque quelque chose de précieux, un lien auquel me rattacher et je ne l’ai pas encore trouvé. Cette maison vide, aussi paisible et accueillante soit-elle manque d’une présence dont je rêve assez souvent et de plusieurs autres desquelles je suis passé près sans jamais pouvoir les toucher. Cette absence ne dure qu’une demi-seconde, suffisamment pour que je me reprenne vite et ne fasse pas languir Olivia davantage.

Nous marchons ensemble, comme un couple aux yeux de tous, mais cherchons autre chose. Je n’ai nulle intention de flatter l’ego d’une femme pour la mettre dans mon lit, je la flatte parce qu’elle le mérite, parce que je pense sincèrement ce que je dis. Je ne fais pas de promesse, à quoi bon ? Qui ne connaît pas ce manège éternel du séducteur et ne sait pas à quelles fins il veut s’adonner ? Je ne prêche pas la bonne parole, j’assume ce que je suis et je me porte très bien ainsi, autant, sans doute, que ma compagne d’un soir, ou deux… nous verront bien.

Arrivés à l’appartement, je me fais une joie lorsque le tintement familier de mon verrou s’ouvre, j’aurais pu sans peine le faire à l’aide de ma baguette, mais j’ai pour usage de faire croire à tous que je suis un né-moldu et c’est une habitude que j’ai prise sans trop de mal, une habitude qui sert remarquablement à ma couverture, même si je n’ai plus besoin de m’en cacher, je reste tout de même prudent, peut-être trop. Je souris, la laissant entrer en premier et fermant la porte, la tirant vers moi tandis qu’elle découvre dans la pénombre le salon qui donne sur sa droite à une cuisine ouverte. J’allume les lumières, ne laissant la luminosité qu’à moitié pour ne pas nous aveugler et contribuer à une ambiance appréciable et chaleureuse, juste ce qu’il faut pour ne pas refroidir cette tension délicieuse entre nous. Elle se tourne et me demande délicieusement de lui faire la visite en imposant mes règles. Je ne peux qu’acquiescer et lui sourire en la guidant, récupérant sa main tandis que je murmure à son oreille, la faisant passer devant moi pour mieux poser mes lèvres au creux de son cou.

« Le salon et la cuisine sont un seul et même espace ouvert et convivial »

Je l’entraîne, ma main sur sa hanche pour la faire tourner sur elle-même et la guider au travers de ma demeure. Il y a des couleurs assez neutres pour la plupart des pièces qui me permettent de ne pas sombrer, car contrastées par quelques touches d’espoir. Les escaliers nous mènent à un couloir où nous trouvons sans mal la chambre reliée à la salle de bain. Des stores sont installés le long du mur, le même que celui du salon – cuisine qui donne sur un balcon et sur tout le quartier.

« Mon appartement n’est pas très grand, juste assez pour s’y sentir bien et j’espère que cette courte visite ne t’a pas déçu, le meilleur reste encore à venir »

Je parle bien évidemment de la chambre dans laquelle nous entrons en même temps que je lui dérobe un baiser, puis deux, lui laissant ensuite admirer l’ensemble de la pièce au creux de mes bras. Ce confort que je n’autorise généralement pas à mes conquêtes est double, cette tendresse à laquelle elles ont droit autant que le luxe de connaître l’adresse et d’avoir un visuel de mon domicile. C’est une exception très rare pour une femme d’exception. Nous jouons avec les nerfs l’un de l’autre, mais de nous deux, c’est elle qui me met à sa merci, sans la moindre pitié et cela me rend plus fou encore d’attendre cette nuit. Je ne serais bientôt plus à même à me contrôler si gentiment. Si je suis sage et raisonnable, une partie de moi me dit de vivre comme je l’entends et de mettre aux oubliettes quelques-uns de mes principes. Je ne lui sauterais pas dessus, même si ce n’est pas l’envie qui manque, mais je ne lui laisserais pas le temps de m’échapper. J’esquisse un sourire, laissant mes doigts s’aventurer le long de sa colonne, pour mieux caresser cette peau normalement sensible, plongeant mes yeux dans les siens dans un doux baiser qui devient plus entreprenant. Sa jolie robe blanche  contraste si bien avec le noir de mes vêtements qu’il m’est difficile de la lui ôter si prestement. Je prends tout le temps qu’il m’est donné pour le faire, caressant sa peau à mesure que la fermeture descend doucement entre mes doigts et sent bientôt le lien de son soutien-gorge auquel je m’attaquerais plus tard.


Maison de James:
Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeSam 31 Jan - 17:50

Carry me in your dreams
Olivia Brown ∞ James Douglas



Passer la soirée avec un bel homme, cela faisait bien des mois que j’avais arrêté. Pourtant cela avait été mon lot quotidien durant de nombreuses années. Loin d’être une fille facile, j’étais connue pour être une femme qui savait ce qu’elle voulait. Passer mes nuits dans les draps de satin des hommes que je choisissais en faisait partie. De nature franche et directe, je n’étais pas du genre à tourner autour du pot et venait m’acquérir de ce que je voulais sans plus de cérémonie. Une façon de vivre qui pouvait surprendre, être désapprouvée, mais qui était la mienne. Nul être n’avait le droit de me dicter ma façon d’être et de vivre. Les seuls à avoir eu ce droit avaient quitté mon existence dans des circonstances plus ou moins dramatiques. Cela ne me laissait nullement insensible. Prétendre le contraire aurait été un effroyable mensonge, mais que pouvais-je faire contre cela ? Le passé ne pouvait être modifié et la réalité, le présent était tel qu’il était. J’étais seule au monde, sans famille si ce n’était ce petit bout de chou qui se trouvait sagement endormi dans les bras de cette brave femme qui m’avait convaincu à profiter de cette soirée pour m’aérer la tête, m’éloigner de ses responsabilités que j’avais depuis plus d’un an.

Inconsciemment, je me sentais coupable d’être là au sein de cet appartement pour partager ma couche avec un homme que je venais de rencontrer. Pourtant, je ne pouvais faire machine arrière, ne le désirais nullement. J’avais besoin de retrouver cette « Olivia » que j’avais été par le passé et qui semblait s’être perdue en cours de route. Je profitais donc de cette soirée telle qu’elle s’offrait à moi, savourant la complicité que j’avais avec ce beau brun. J’avais trouvé un adversaire intéressant, faisant ressortir la femme fatale en moi, bien loin de cette femme que j’avais été durant près d’un an. Je jouais donc avec plaisir à ce jeu de séduction qu’il y avait entre nous deux, à la fois patiente et non de connaitre les frisons d’être l’amante d’un tel séducteur. Je n’avais peu de doute sur ses capacités, je savais ses baisers délicieux et particulièrement frivoles. Il avait tout pour me promettre de passer une bonne soirée avant que les douze coups de minuit ne sonnent et me transforme de nouveau en cette mère de substitution. Je laisse donc cet homme prendre ma main dans la sienne pour qu’il me présente son lieu de vie. Il me fait passer devant lui, pour déposer ses lèvres au creux de mon cou en me donnant quelques éléments sur sa pièce principale.  

Je le laisse faire, me laissant guider dans les lieux sans émettre la moindre objection, profitant des contacts entre nos deux pores jusqu’à la chambre du bellâtre. Il me vole deux baisers à la dérobait pour me laisser profiter de la pièce. Elle est très agréable, mais ce qui m’intéresse se trouve à présent dans mon dos, sagement collé à mon corps. C’est une étrange sensation que cette étreinte laisse à mon esprit, mais je ne m’en dégage pas pour autant, n’ayant nulle envie de faire machine arrière. Je sens ses doigts s’aventurer le long de ma colonne vertébrale, y caresser cette peau qu’il sait sensible. Je ne puis nier que cela fait frissonner mon échine délicatement tandis que je viens de nouveau lui faire face. Nos lèvres se retrouvent de nouveau dans un baiser moins timide, plus entreprenant. Je me laisse aller, laissant un doux sourire s’afficher sur mes lèvres tandis que je sens ses doigts venir glisser ses doigts sur la fermeture de ma robe, la faisant délicatement glisser. Son action lente et sensuelle n’est pas déplaisante. Bien au contraire… Je laisse donc mes doigts rejoindre les pans de sa chemise sombre pour sentir le contact de son torse sous le tissu de la chemise. Ce contact semble plaire à mon amant, le sentant se rapprocher doucement de moi tout en poursuivant son baiser. Un baiser auquel je réponds avec envie, ma langue venant à la rencontre de sa comparse dont j’approfondis le baiser en venant glisser ma main dans sa nuque. Je n’ai nulle envie de tourner autour du pot, désormais que nos intentions mutuelles sont claires.

C’est donc tout naturellement que mes doigts s’appliquent à retirer les boutons de cette chemise avec lenteur, mais attention en venant nous diriger vers le lit qui se trouve non loin de nous. Je demeure silencieuse alors que je le pousse doucement à s’asseoir sur le lit après avoir défait cette chemise m’offrant la vue de ce beau corps. Mon impression était bien la bonne et je souris en venant me défaire de ses lèvres dans cette action. Debout face à lui, je laisse mon regard coquin et malicieux détailler cet homme qui me rend mon sourire. Tout en sensualité, je laisse les manches nues de ma robe glisser de mes bras et entraine l’ensemble du tissu à mes pieds. Venant quitter mes talons, je me dirige à moitié vêtue vers lui pour me mettre à califourchon au-dessus de lui en susurrant contre ses lèvres. « La vue te convient-elle, beau brun ? » Encore ce surnom que j’utilise souvent pour identifier mes amants d’une nuit. L’appeler par son prénom rendrait cette soirée trop intime et elle n’a pas à l’être. Après tout, cette nuit n’a que vertu de satisfaire nos pulsions primaires, naturelles, d’homme et de femme, rien de plus et je compte bien en profiter. C’est donc avec plaisir que je viens me saisir de nouveau des commissures de mon amant dans un baiser sensuel et passionné en laissant mes doigts repousser les pans de cette chemise débraillée pour découvrir et caresser les muscles fins et plaisants de cet homme en soufflant entre deux baisers. « Tu es pas mal dans ton genre… » Sourire aux lèvres, je viens rire doucement en laissant mes phalanges retrouver les pectoraux de cet homme avec sensualité avant de glisser sur ses côtes, hanches, n’hésitant pas à coller mon bassin au sien pour éveiller les sens de cet homme. Après tout, je suis loin d’être une fille sage et cela ne semble nullement déplaire à ce bel homme. Du moins à première vue.

Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeMer 4 Fév - 0:03

Carry me in your dreams
Olivia Brown ∞ James Douglas



Avoir une si jolie femme à la maison m’aurait comblé si ce n’était pas le temps d’une courte nuit. Peu importe le temps que nous passerons, cela me semblera toujours très court, car le lendemain arrivera vite et nous savons de quoi il sera fait. Ce n’est pas elle qui remet tout en cause sur la finalité de notre idylle, ni même  elle qui provoque cette pensée sur ma vie. C’est cet appartement, cette solitude constante que je ressens à chaque fois que je mets les pieds quelque part et qui me pousse à toujours chercher une compagnie agréable. Cela ne pourra pas durer, viendra un jour ou je ne pourrais plus faire semblant et mon nom sera révélé, épié, jugé. Je n’ai que faire du jugement des autres, sauf s’il porte atteinte à mes objectifs, notamment celui de me poser enfin et de fonder une famille. Je ne rêve pas de grand-chose… c’est tout à fait modeste même et pourtant je ne peux l’obtenir, à croire que le sort à décider de condamner cette famille, ou alors, particulièrement les hommes ? J’ai ouïe dire que tout se passait au mieux pour ma cadette, en espérant que ce soit-elle… et que ce soit réellement le cas. Je le souhaite de tout mon être.

La belle inconnue dont le nom est Olivia m’arrache des sourires qu’elle seule, pour l’instant, peut dérober. Elle a cette chance d’être ici ce soir, ce qu’aucune autre ne peut prétendre avoir fait. Elle sera celle qui m’aura largué et j’en souris d’avance, curieux de connaître mon propre ressenti que je ne mesure pas encore. Je n’en ai pas l’habitude, je n’imagine pas, même avec toute la volonté du monde. Me retrouver seul n’est pas un cauchemar, je sais d’ailleurs qu’il me sera possible de la retrouver si nécessaire, mais je trouve l’idée étrange. D’une certaine façon, aucun de nous ne se fait de fausses idées, cela me mène à penser qu’aucun de nous ne tiendra rigueur à l’autre si nous venons à nous rencontrer une nouvelle fois. Et je suis sûre qu’il y aura cette possibilité de nous revoir sans forcément avoir en tête que ce soit dans le même contexte. Pour le commun des mortels, ce serait absurde, mais nous ne sommes pas le commun des mortels et ces idées préconçues glissent totalement, elles ne m’atteignent pas, et elles ne l’atteindront pas non plus, je pense.

J’offre une visite du modeste appartement de professeur que je possède, aussi peu personnel soit-il. Un peu comme si je portais ce métier comme un rôle et qu’il me collait tellement que mon domicile en était imprégné. Néanmoins, je pense être un professeur plus dynamique que ce que je ressens ici… Je n’ai jamais eu cette chance de rendre un lieu vivant autre que par ma présence et celle-là même ne suffit pas, il est évident qu’un manque s’est formé il y a bien longtemps, mais que je n’arrive pas à le combler décemment.  Je chasse ces idées de mon esprit en restant dans son dos pour garder un contact qui lui plaît tout autant et me donne ce droit de défaire sa robe doucement, tandis que nous échangeons un baiser. Cela ne dure pas, elle prend rapidement le dessus et me fait asseoir sur le lit, admirant le spectacle de ce corps parfait dévoilé enfin que je peux dévorer des yeux sans la moindre honte. Je ne me prive pas et j’ai même droit à un supplément lorsqu’elle s’approche, m’ôtant ma chemise dans un baiser que je lui rends, tout aussi langoureux. Sa voix douce et taquine m’indique qu’elle profite bien de son séjour et de sa position. Je ne lui dis pas non, je suis assez joueur et j’aime particulièrement les surprises, surtout aussi bonnes.

Ses hanches ondulent sensiblement, me poussant à articuler les mêmes mouvements par la même occasion de sorte à faciliter l’échange. Nos langues se mêlent, ses mains jouent avec d’autres parties qu’il est en temps normal dangereux de rencontrer. Elle me provoque et j’adore ça. Je la laisse volontiers faire, m’amusant avec ce soutien gorge qui me barre la vue sur sa poitrine. Pose mes mains sur les bretelles pour les lui faire glisser lentement avant de les poser sur ses hanches, l’encourageant. Je dérive doucement sur son fessier, ma langue s’affairant à déposer quelques baisers tendres sur son cou, sa nuque, son épaule, partisan d’une douceur dont nous avons sûrement besoin tous les deux, plus que la sauvagerie d’une étreinte endiablée. Quoi que... Je délaisse d’une main sa hanche pour venir la poser dans son dos, m’amusant avec cette agrafe encombrante que je ne tarde pas à défaire. Je n’ai plus qu’à savourer l’instant. Mes yeux se posent sur les quelques parcelles supplémentaires mises à nues. Je m’étonne de la perfection de ses courbes, les savoures du regard avant de venir quérir un nouveau baiser, ma main la plus proche éloignant les quelques mèches qui m’empêchent de savourer sa peau contre la mienne et de caresser sa joue. Je me délecte de cette sensation, de l’excitation qui grimpe et ne se déchaîne pas totalement, tandis que la frustration, elle, est à son comble et apporte sa touche épicée au jeu de séduction mis en place. J’hésite à me laisser cajoler ainsi, à profiter de cette vue ou à mon tour à prendre les commandes, les deux idées me tentent et je n’ai jamais su départager laquelle me plairait le plus, n’y ayant été que très peu confronté, pour ne pas dire qu’une seule sait très bien manier les commandes. Je décide néanmoins de faire durer le suspense et le plaisir en profitant de l’étreinte et de la chaleur de nos souffles mêlés. Le jeu prend une tournure beaucoup plus douce bien que tout autant taquine qu’au départ. Je ne résiste jamais bien longtemps aux exceptions comme elle, j’aime à penser que je fais bien, en espérant ne pas être sur le mauvais chemin. Ma main sur sa hanche dévie sur ses côtes et finalement je caresse de mon pouce les pourtours d’une sphère parfaite et douce, me délectant de chaque soupir ou inspiration plus profonde à mesure que mes mains s’approchent de zones érogènes sans lui donner ce qu’elle veut.
Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Fév - 18:13


Il est temps de passer aux choses sérieuses et je ne me fais pas prier. Je n’ai jamais été de nature timide et j’ai une addiction toute particulière pour le pouvoir que mes charmes procurent sur les hommes. James n’en fait pas exception pour mon plus grand plaisir alors que je prends les rênes de cette rencontre charnelle entre nos deux corps. Il profite de la vue, savourant mes formes qui viennent se mouvoir avec sensualité sur les siennes. Je le sens sensible, tout autant que je le puisse être en cet instant. Ma poitrine vient frôler son torse au travers de ce baiser que nous échangeons avec sensualité et ambition. Mes phalanges caressent ce corps finement sculpté, appétissant qui me donne envie d’en découvrir plus. Je le provoque, adorant particulièrement l’effet que mes actions peuvent engendrer dans l’échine de mes amants. Mes hanches ondulent sensuellement contre son basin, suivant le rythme langoureux de ce baiser que nous savourons avec le même attrait. Je le sens sourire contre mes lèvres, ses doigts glissant dans mon dos, jouant avec mon soutien-gorge sans pour autant le défaire. Il désire profiter de la lenteur de nos actions, cette sensualité qui prend peu à peu place entre nous deux. Ce n’est pas déplaisant, bien au contraire. J’aime faire monter la chaleur doucement, très délicatement au point qu’elle devienne frustrante, importante au point de perdre toute notion. C’est ce que j’aime dans les préliminaires, l’acte charnel, cette perpétuelle tentation, frustration qui prend feu dans ses entrailles, grondantes, dévastant tout sur son passage, mais dont l’apothéose n’a point de non, si ce n’est de devenir une dangereuse addiction, enivrante et possessive.

Je semble avoir trouvé un amant qui semble suivre la même addiction, ses doigts glissant sensuellement sur mes épaules, venant faire mouvoir tout en délicatesse les bretelles sur mes bras pour frôler par inadvertance les formes galbées de mes seins. Il délaisse mes lèvres pour mouvoir les siennes contre ma nuque, laissant sa langue s’affairer à taquiner ma chair. Un contact fort appréciable qui me fit sourire, pencher la tête délicatement sur le côté pour profiter de ces bienfaits. Il semble très doué pour éveiller mes sens, sa sensualité et sa douceur sachant parfaitement titiller les braises de ce délicat feu qui prend forme dans mon ventre. Ses commissures embrasent ma peau de leur contact fripon avec envie. Ses doigts caressent mes hanches avec douceur et ambition, une de menottes remontant le long de ma colonne vertébrale pour venir retirer cette agrafe qui le prive d’une vue merveilleuse sur ma fine et ronde poitrine. Je souris, venant glisser les manches de sa chemise sur ses bras pour faire de même avec son vêtement. Je m’éloigne quelques secondes, lui offrant l’opportunité de découvrir cette partie qu’il semblait impatient de découvrir. Il semble savourer la vision et revient capturer mes lèvres dans un baiser savoureux. Je sens sa main dégager quelques mèches de mes cheveux pour venir caresser ma joue, mes mains s’affairant quant à elles à caresser ce torse aux formes particulièrement plaisantes. Il se laisse manier à mes désirs, laissant ce plaisir s’immiscer insidieusement dans son être. Il relâche mes lèvres un instant, laissant nous souffles s’entremêler. Je souris, le regard brillant de malice tout en sentant une des menottes de cet homme dévier sur mes côtes, caressant du bout de son pouce les pourtours de ma poitrine sans pour autant la flatter véritablement. Il cherche à éveiller mes sens, qu’ils s’impatientent de son toucher, de sa chaleur. Je dois bien reconnaitre que cette tentative est plaisante, quand bien même suis-je moins timide que lui.

Je souris contre ses lèvres, venant dévier celles-ci contre sa mâchoire, sa nuque dans des étreintes humides et gourmandes, presque frivoles. Je laisse celle-ci rejoindre son oreille pour la mordiller, éveiller son désir de ce petit contact cocasse et coquin. Je le sens réceptif et cela me plait d’autant plus, tandis que mes menottes glissent sur sa chute de reins contre laquelle mon bassin est appuyé et ondule au travers de mes actions. Son souffle me semble plus chaud, plus perturbé et cela me plait. Je continue donc d’embrasser et mordiller cette peau non loin de son oreille, laissant mon propre souffle effleurer l’objet de mes attentions. Je sais que cela a toujours un petit effet sur la gent masculine. Je m’affaire à défaire la boucle de se ceinture avant de le faire tomber sur le lit, poussant de la paume de ma main contre ses abdominaux. Il se laisse faire en digne et gentil amant. Je le domine de toute ma féminité en lui souriant, venant m’affairer à défaire le bouton et la fermeture éclair de son pantalon en soufflant. « Il me semble que je suis encore désavantagé face à toi… » Je me mordille la lèvre dans un sourire taquin et ajoute dans une voix coquine : « Quand bien même es-tu sexy dans cette position, que penses-tu de retirer tout cela ? » Je ne lui laisse pas vraiment le choix, mes mains s’affairant déjà à faire glisser son pantalon jusqu’au milieu de ses cuisses, le laissant faire le reste pour se sentir plus à son aise. Dans un sourire approbateur, je laisse de nouveau mon bassin se mouvoir sur le sien en attrapant ses lèvres. Je le sens délicieusement réceptif à son action, son corps chaud venant flatter sa peau au travers de ces contacts fripons, mais délicieux. Je m’amuse avec son désir, laissant mes reins opérer de sensuelles oscillations contre les siens pour éveiller son désir masculin, qui semble avoir de plus en plus de mal à demeurer discret. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeJeu 12 Fév - 18:58

Carry me in your dreams
Olivia Brown ∞ James Douglas



Revenir en haut Aller en bas

avatar
Invité
Invité
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Fév - 22:28


Nous sommes à égalité, habillée d’un vêtement qui protège nos deux corps d’une rencontre plus intime. Une frontière délicieuse qui permet à nos deux êtres de se languir, de se nourrir de cette chaleur qui vient doucement croitre au cœur de nos entrailles. Nos caresses sont friponnes, frustrantes, envoutantes. L’ambiance feutrée de la pièce devient peu à peu différente, emprunte de la sensualité et de l’érotisme de nos actions. Je me plais à le frustrer, faire de même avec moi en oscillant sensuellement du bassin. C’est ce que j’aime tellement dans les préliminaires, cette tension sexuelle qu’il peut exister entre deux êtres tentés l’un par l’autre. Je le sens récupérer mes lèvres, se relevant légèrement de sorte de me tenir entre ses bras pour me faire basculer sur le matelas. Je souris contre ses lèvres, amusée de le voir prendre les commandes. Que me réserve-t-il ? Je laisse mes doigts glisser contre son torse, venant frôler le haut de ce dernier avec sensualité, sentant les lèvres gourmandes de James dériver lentement sur ma mâchoire, mon cou, ma clavicule dans des touchers chauds et humides. Je savoure leurs contacts sur ma peau, souriant de leurs espiègleries, cherchant délibérément à me frustrer. Elles s’aventurent sur ma poitrine, parcourent cette chair délicate avant de s’attarder plus longuement pour la combler de leurs présences. Je me mordille la lèvre, sentant mon corps particulièrement réceptif à cette action, tout comme à cette douce et habile menotte qui vient prodiguer de ses caresses les mêmes attentions avec lesquelles il dévore ma chair. Je sens ma poitrine se soulever délicieusement captive de ses traitements, savourant ce doux flux de plaisir venir alimenter le crépitement qui prend feu au creux de mes entrailles.  

Je laisse mes doigts glisser sur ses hanches, ses côtes, suivant les courbes fines, mais voluptueuses de ses muscles joliment sculptés, juste assez pour ne pas être déplaisant à toucher. Il mordille délicieusement ma poitrine, sachant parfaitement réveiller et titiller le désir d’une femme. C’est délicieux et je mordille la lèvre avec délectation, mes phalanges s’appuyant plus fermement contre la peau de cette chute de reins que je sens sous leurs pulpes. Aucun son n’échappe de mes lèvres si ce n’est un souffle de plus en plus brulant, trouble manifeste du feu qui prend peu à peu forme dans mes entrailles. Je sens ses lèvres glisser en dessous de sa précédente victime, stoppant un instant ses baisers pour m’observer. Je lui souris, le regard coquin, brillant d’amusement et mêlé à cette pointe d’enchantement qui envahit mes sens. Je sens la paume de sa main glisser sur mes hanches, jouant avec le dernier rempart qui protège ma féminité de ses attaques coquines. Il joue avec mon corps, mettant en œuvre des techniques bien frustrantes, mais délicieuses que je savoure avec plaisir. C’est exquis et je sens une de ses mains me redresser doucement pour adopter une position semi-assise en face de lui. Je le fixe de mon regard coquin, venant caresser sa nuque au passage, laissant mes doigts glisser sur sa clavicule tandis que je sens une de ses menottes s’immiscer volontairement sous mon dernier vêtement, frôlant une de mes aines avec sensualité. Je souris contre ses lèvres à ses paroles, riant doucement. « Je pense que tu prends une légère avance, mais ce n’est pas pour me déplaire. » Petit sourire en coin que je viens clore dans un baiser en sentant mes cuisses se détendre malgré moi, sensible à ces phalanges qui viennent frôler cette partie si sensible de mon intimité.

Je savoure ce doux frison qui parcoure mon échine, les caresses sensuelles et addictives de ces doigts taquins et gourmands. Je souris contre ses lèvres, me mordillant la lèvre inférieure alors que laisse mes phalanges rejoindre la cuisse de cet homme, frôlant sa chair du bout de mes doigts. Je caresse celle-ci avec sensualité, le regard coquin même si je sens cet embrasement s’accroitre sous les actions de cet homme. C’est particulièrement exquis et mon corps apprécie son traitement, l’invite au travers des respirations difficiles et chaudes que je prends. Ce serait mentir de dire que mon corps n’y est pas sensible… Bien au contraire. En appui sur l’un de mes bras, ma menotte libre rejointe le boxer de cet homme remonte jusqu’à la ceinture du vêtement en frôlant à son tour son aine. Je souris, sentant la bosse délicatement formée brièvement sous ma paume. Je souris amusée, le regard coquin pour remonter sur la chute de ses reins, jouer à mon tour avec son dernier vêtement. « Il serait dommage que je sois la seule à en profiter, ne penses-tu pas ? » Ma voix se veut suave, mon souffle chaud frôle ses lèvres alors que je sens ma respiration s’accélérer. Mon corps semble prendre délicieusement feu sous ses caresses et je me fais un plaisir de venir lui prodiguer les mêmes attentions. Je laisse mes doigts glisser sous le tissu, frôler cette peau sensible en la recouvrant de ma paume. Elle semble bien apprécier mon action, ce combattant se dressant fièrement pour mener cette bataille en ma compagnie. Ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Je laisse donc mes lèvres s’emparer des siennes avec sensualité, taquinerie. Je mordille ses lèvres de mon regard joueur, laisse mon espiègle langue frôler ses prisonnières avant de l’embrasser véritablement dans un langoureux baiser. Je laisse mes courbes féminines épouser ses formes, me mouvant contre ce torse pour éveiller l’appétit de cet homme. Je ne cherche pas à retourner la situation, cette position me convenant particulièrement pour savourer les frisons et observer ce corps particulièrement séduisant. Ma main ne tarde pas plus longtemps pour accompagner les actions de mon futur amant. J’ai pour ambition de le rendre ambitieux et brûlant, lui faire perdre ses moyens et indirectement, je suis certaine que cette ambition est commune. Maintenant la question qui se pose, lequel de nous deux va flancher le premier en venant amorcer la suite… et ce en commençant par le défeuillage total de son partenaire.

Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé
profil +
Carry me in your dreams - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Carry me in your dreams   Carry me in your dreams - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Carry me in your dreams

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014-