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 I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber.

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Aleisha Mander
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MessageSujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber.   I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. - Page 2 Icon_minitimeMer 25 Mar - 0:03


Accepter sa féminité n’était pas chose facile pour Camber. En effet, même si d’apparence, elle n’avait rien à envier aux autres demoiselles tant elle savait se mettre en avant, au fond de son âme, elle avait toujours su rester maitresse de ses gestes et actions. De ce fait, la fébrilité que l’Américain provoquait en son cœur et son corps était intolérable pour son caractère indépendant. Son esprit semblait prendre conscience qu’elle devenait dépendante de cet homme et cela la terrifiait. Il faisait naitre tant de choses en elle, c’était si déroutant, tourmentant. Tout son être voulait se dégager de cette étreinte, de cette fournaise qui brulait dans ses entrailles, mais une force invisible la maintenait là, prisonnière des baisers et caresses de cet homme qui réveillait quelque chose d’étrange en elle. Elle ne pouvait pas mettre de mots sur ce qu’elle ressentait. Tout ceci était très confus et elle-même n’était nullement en mesure d’identifier très clairement la nature de tout ce chaos qui résidait en elle. Pourtant, inconsciemment, elle savait que tout ceci était dû aux sentiments qu’elle portait à cet homme, qu’elle avait fini par accepter, sans pour autant être en mesure de les comprendre. Si elle devait passer ce cap intime avec « lui », cet homme qui la rendait si « faible » sans qu’elle ait la force de fuir, désirant devenir sa proie malgré elle, elle avait besoin qu’il la guide. Il devait lui montrer le chemin qu’elle devait prendre pour être cette femme dont il était tombé amoureux.

Toute confiance l’avait quitté et c’était effrayant. Il la rendait si différente, aux antipodes de ce qu’elle avait toujours été avec lui. Il était évident que l’alcool qui coulait dans ses veines rendait toutes ces pensées floues et faisait ressortir des pulsions sexuelles qu’elle ignorait posséder pour cet homme… Du moins pas aussi intenses… Elle lui avait alors demandé de la guider, étant bien incapable de raisonner par elle-même. Son cœur battait si vivement dans sa poitrine qu’elle se trouvait totalement submergée par ces émotions qui la traversaient si vivement. Dans un geste doux et bienveillant, elle sentit une des menottes d’Elis se poser sur les traits de son visage, les caressant avec tendresse. Elle sentait son regard trembler légèrement face à celui que lui tendait cet homme. Les prunelles de l’Américain perçaient sa chair, la fixant d’un air assuré qui lui indiquait clairement qu’il avait compris sa demande. Cela n’avait de cesse d’accroitre son trouble. C’était si confus en elle. Sa chair frissonna au passage de ces phalanges contre sa nuque, son épaule, le long de son bras pour rejoindre sa menotte. Cette dernière n’avait pas bougé de place, comme paralysée par ce qu’il allait se passer, qu’elle ignorait tout en connaissant tous les mystères. Il n’était pas son premier, elle avait déjà connu l’ivresse d’une nuit de luxure, mais il serait le seul homme à pouvoir la toucher de la sorte.

Ce toucher délicat électrisait sa chair tandis que ces phalanges venaient s’entremêler aux siennes. Dans un geste lent, mais précis, elle sentit cette main conduire la sienne contre cette partie qu’elle n’osait point toucher. Elle effleura sous le joug de cet homme ce boxer qui retenait prisonnier, une partie résolument sensible de l’anatomie de cet homme. Ce contact la troubla malgré elle, se trouvant bien inconnu pour la jeune femme qui n’avait jamais expérimenté une telle chose avec un homme. Comme elle le lui avait demandé, il vint la guider en effectuant des caresses avec sa main contre cette forme bossue, révélant l’excitation avancée dans laquelle il se trouvait. Elle en avait le souffle coupé, son cœur palpitant fougueusement dans sa poitrine. Elle laissait la pulpe de ses phalanges découvrir la douceur et la chaleur du tissu au-dessus de cette intimité mystérieuse. Elle savait Elis réceptif à tout cela comme elle-même se trouvait fébrile sous l’ambition de ces doigts contre le tissu de son sous-vêtement. Il provoquait de véritables décharges en elle, rendant ses respirations plus fortes, plus difficiles. Elle se laissait conduire, sentant la main d’Elis plus pressante contre sa fierté, lui demandant de poursuivre ces bienfaits qu’elle semblait lui prodiguer.

Camber n’osait pas soutenir son regard, mais observait ce visage particulièrement masculin et sexy appréciait ces caresses qu’elle lui fournissait sous son contrôle. Ce n’était nullement déplaisant, bien au contraire, mais si perturbant et nouveau pour elle. Elle finirait par s’y habituer, n’avait aucun doute à ce sujet, mais demeurait encore bien timide malgré les contacts de plus en plus ambitieux que sa paume prodiguait contre la virilité de son petit ami. Elle sentit les lèvres d’Elis s’emparer de nouveau des siennes dans un baiser sensuel. Il lui avouait qu’il trouvait cela merveilleux, considérant qu’elle avait des doigts de fée. Des paroles qui ne pouvaient que la désorienter d’autant plus alors qu’elle sentit la main de l’Américain abandonné sa comparse pour retrouver la texture de ses cuisses, de ses fesses. Ce geste la surprit, interrompant son geste quelques secondes. Elle le sentit légèrement soupirer de frustration contre ses lèvres et elle comprit qu’il désirait qu’elle poursuive. Ce qu’elle fit maladroitement, tâchant de garder la cadence et la pression identique à celle qu’elle avait sous son contact. La virilité d’Elis n’avait de cesse de gagner en vigueur, devenant très protubérante contre le tissu de ce sous-vêtement qui semblait de trop, tout comme le sien. Même si tout son esprit était obnubilé par cet homme, son corps se trouvait tout aussi fébrile que le sien. Elle-même étouffa un léger gémissement de frustration lorsque la menotte coquine d’Elis vint s’éloigner de son jardin secret pour lui retirer le dernier rempart.

Elle se retrouva nue face au regard pénétrant de l’Américain qui lui demanda de le déshabiller. Il désirait être tout à elle, s’offrir à elle tant il la trouvait belle. Des paroles qui la firent légèrement trembler d’autant plus face aux frôlements des mains d’Elis contre ses formes. Le souffle court, elle s’exécuta sans oser trop affronter le regard de cet homme qui semblait tant éveiller un torrent de chaleur dans ses entrailles. Chaque parcelle de sa peau était réceptive au contact de ces menottes qui n’avaient de cesse de l’effleurer, la découvrir avec douceur et avidité. Elle sentit une des menottes de l’Américain glisser contre l’une de ses aines pour venir rejoindre le cœur de sa féminité, pressant ses doigts contre cette partie qui ne semblaient pas avoir de secrets pour le jeune homme. Elle souffla de plaisir contre le visage d’Elis, son regard se relevant vers le sien. Elle avait chaud, sa peau cruellement brulante sous le contact fripon de ces phalanges au creux de sa féminité. Elle laissa l’une de ses menottes s’appuyait contre l’avant-bras de son amant alors qu’elle soufflait son prénom. Elle sentit ses joues rougirent de confusion. C’était si envoutant et perturbant… Elle se pinça les lèvres avant de venir l’embrasser à son tour. Elle laissa ses commissures recouvrir ses comparses dans un baiser doux et sensuel tandis que sa menotte libre venait retrouver la partie intime de son colocataire et petit ami. Elle sentit son cœur s’emballer d’autant plus fortement face à la fermeté de cette fierté, découvrant pleinement ô combien il se trouvait excité par elle, par ce qu’elle prodiguait, ce qu’il lui offrait. Elle recouvra donc ce soldat de sa paume en tentant de reproduire les actions précédentes. Elle avait tout simplement l’impression de devenir folle tant ses entrailles brulaient face à la fournaise qu’il provoquait en elle. Elle avait envie de lui.
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Cameron MacAllen
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MessageSujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber.   I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. - Page 2 Icon_minitimeJeu 16 Avr - 23:29

Camber était splendide sous ses yeux, nue, entièrement. Elle était vraiment belle sous ces yeux, pure et merveilleuse, timide. Sa nudité enflammait son âme sous son regard. Camber était sexy, féminine et tout ce qu’il y avait de plus attrayant en ce bas monde aux yeux d’Elis qui dévorait la jeune femme les yeux flamboyant. Il n’avait aucun doute sur le désir qu’elle provoquait en lui. D’ailleurs celui-ci était quelque peu visible et évident. Il avait dirigé la main de sa petite amie pour qu’elle prenne conscience de l’effet qu’elle lui faisait, pour qu’elle ressente son excitation face à sa beauté mais aussi car la caresse de sa ma in était merveilleuse. Ça lui prodiguait un grand bien-être, un frisson qui embarquait son âme et son cœur. Elle semblait troublée face à ses réactions, du pouvoir qu’elle possédait sur son corps par le moindre frôlement de sa main contre son intimité. Il l’avait guidé mais relâcha son étreinte pour la laisser libre maitre de ses actions et de découvrir son corps, lui demandant seulement de le déshabiller pour qu’elle puisse elle aussi profiter de la vue de son amant, connaitre ses secrets couvert par son pantalon. Camber s’exécuta quoiqu’il la vive assez mal à l’aise face à lui. Il remarqua qu’elle ne savait ou poser son regard, n’osant ni trouver ses yeux, ni sa nudité. Il sourit tendrement à cette constatation comme il tentait de la rassurer en caressant doucement son dos d’une de ses mains.

Lui-même profitait de rencontrer cette féminité du bout de ses doigts, découvrant le splendide corps de la jeune femme qui était bien moins insensible qu’elle n’y paraissait. Sur le bout de ses phalanges, il pouvait sentir la chaleur de la demoiselle qui venait humidifier ses doigts. Il sentit le souffle brulant de la demoiselle parcourir son cou, il avait chaud lui aussi, le regard brulant de son feu intérieur. Il la voyait les joues rosies par le même désir. Elle l’embrassa avec douceur, gagnant le sourire et le cœur d’Elis qui se sentit particulièrement gâté par la jeune femme. Avait-elle conscience du bonheur, du bien-être qu’elle lui procurait. Il ne pouvait mentir à ce sujet, bien sûr mais elle l’honorait par le moindre de ses geste, envoutant entièrement le jeune sorcier. Elle revint de sa propre initiative enchanter l’âme et le corps du jeune Elis, elle vint prendre son intimité entre ses doigts féminins. Leur contact était chaud et enivrant, il déclenchait des feux de joie dans son corps comme si elle était venue allumer une bougie dans ses entrailles. Il gagnait en confiance et fierté, se sentant plus fort et puissant par les bienfaits que lui offrait Camber.

Il lui souriait, murmurait à son oreille qu’elle était belle, parfaite. Elle le bénissait de ses gestes et il venait le lui rendre. Il infiltra ses doigts en éclaireur dans le jardin secret de sa petite–amie pour venir stimuler le bonheur de la jeune femme. Il caressa l’entrée du jardin avant de s’enfoncer avec un peu plus d’assurance dans le méandre de ce jardin qui offrait tant de merveille. Son autre main se faisait bien plus sage, rassurant la demoiselle par de douce caresse sur son cou, son bras, ses hanches. Il continuait de l’embrasser avec ça tendresse, souriant contre ses lèvre du bonheur d’être si proche, si intime avec elle. Il en avait eu tant envie qu’il se sentait béni par cet instant, enchanté, honoré.

Apres des caresses de plus en plus profonde, sa main fini par abandonner sa victime pour venir se reposer sur la fesse de la jeune fille. D’une pression, il la dirigea vers la chambre, vers son lit pour l’y allonger. Il la trouvait splendide, sexy à souhait, surtout les joues rougies et l’air toujours un peu timide quoiqu’il n’avait aucun doute sur son désir. Au-dessus d’elle, la vue était sublime sur les paysages arrondis de ses courbes. Il souriait, il était ravi et la dévora une nouvelle fois du regard avant de venir embrasser ce magnifique cou, ce sublime col, cette délicieuse poitrine, le sein gauche sous lequel battait son cœur, puis le sein droit. Il mordilla doucement les pointes déjà un peu fière de la demoiselle, une de ses mains caressait sa cuisse, l’autre servait d’appui sur la couverture fraiche. Il descendit encore un peu ses lèvres vers son ventre, puis encore un peu. Sa main vint manier une de ses cuisses avec art pour les écarter, pour offrir une place à son visage qui s’immisça entre elles deux. Il déposa ses lèvres là, il l’embrassa là, juste au-dessus de son intimité avant de venir la rencontrer avec ses lèvres. Il voulait la rendre folle sans l’effrayer mais quelque chose lui disait qu’elle connaissait cette sensation.
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MessageSujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber.   I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. - Page 2 Icon_minitimeLun 20 Avr - 22:59


Son ambition grondait délicieusement dans ses entrailles. Malgré la nouveauté de ce geste, sa gêne, elle essayait de lui prodiguer les mêmes délices qu’il appliquait à son être. Elle le sentait réceptif, ce soldat venant gagner en confiance tout contre la paume de sa main. Elle n’avait de cesse de se tendre avec fierté, devenant plus présente sous le toucher de ces doigts. Une caresse étrange, qu’elle réalisée avec timidité, malgré le bien-être d’Elis. Il semblait ravi, sa respiration se faisait plus difficile, troublée par le plaisir qu’elle devait lui offrir, tout comme lui-même bénissait son corps. Ses joues s’embrasaient face à la situation incongrue qu’elle vivait avec cet homme. C’était si déroutant l’effet qu’il avait sur sa chair, son corps. Elle tremblait de plaisir sous le toucher de ses doigts qui s’immisçait insidieusement en elle pour intensifier l’état dépravé de son être. Selon le sang mêlé, elle était belle, parfaite, des compliments qui rendaient ses joues plus vives de ces rougeurs qui n’avaient de cesse de parsemer son visage. Son cœur cognait dans sa poitrine avec force tant il la bouleversait. Les phalanges d’Elis n’avaient de cesse de caresser l’entrée de son jardin intime avant de s’enfoncer, le parcourir pour frôler ces points érogènes. Il y parvenait totalement. Cela lui faisait perdre la tête, toute contenance. Elle était faible par ce toucher, tâchait de se concentrer sur ses actions pour oublier ô combien elle était sous le charme de cet homme, la crainte qu’elle éprouvait à ce fait. L’autre menotte du sang mêlé frôlait sa nuque, ses bras, ses hanches avec une douceur infinie. Les lèvres de l’Américain s’emparaient des siennes avec sensualité et tendresse. Elle pouvait voir au travers de son regard qu’il était heureux, empli d’un bonheur certain. Il rayonnait tel un dieu, son sourire se trouvait si attrayant. Tout ceci la troublait horriblement.

Elle sentait son cœur et son corps défaillir à ces frôlements de plus en plus avides, pénétrants. Elle avait de plus en plus de difficulté à réguler sa respiration, ses gémissements qui s’extirpaient de ses lèvres avec force. Elle crut faiblir à l’instant où elle sentit ses doigts s’éloigner de son jardin secret. Le souffle court, bouleversé par toutes ses sensations qui l’étreignaient, elle l’observa, se trouvant bien incapable de lui résister. Elle se laissa guider vers la chambre d’Elis, découvrant par la même occasion cet antre qu’elle n’avait jamais explorer. Il vint l’allonger sur le lit pour la surplomber. La fraicheur des draps eut peu d’effets sur la fournaise qui résidait dans ses entrailles. Elle frissonnait sous la profondeur du regard de son petit ami, de son sourire. Il savourait ses courbes féminines tout comme il lui offrait une vue admirable sur ses atouts masculins. Contrairement à cette fois où elle avait manqué d’être touchée contre son gré, elle se sentait légèrement plus en sécurité. Elle ne voyait pas en son regard, ses touchers, une quelconque attaque malgré qu’elle se sentait encore bien gênée. Son corps frémir aux caresses de ses lèvres contre sa nuque, son col, sa poitrine. Elle sentait sa poitrine se soulever avec force, ses menottes venant serrer doucement le tissu du drap pour contrôler ses soupirs de bien être qui s’extirper de ses lèvres. Son corps s’embrasait d’un feu incommensurable, entêtant. Elle devait reconnaitre qu’elle appréciait tout cela, que son corps réclamait ces bénédictions, ambitieux de découvrir des sensations encore plus exfoliantes.

Il agissait de façon douce et ambitieuse contre sa chair, ses lèvres dévorant sa poitrine, ses seins avec sensualité, l’une de ses menottes caressait sa cuisse. Elle le laissait faire, se trouvant bien incapable de résister à de tels touchers. Elle avait juste la sensation que son cœur allait lâcher tant il était fou dans sa poitrine. Elle couvrit sa bouche de sa main lorsqu’elle sentit les lèvres de cet homme descendre au creux de sa féminité. Un toucher qui l’électrisa de toute part. Elle sentit sa colonne vertébrale être traverser par un frison intense. Elle se mordit la lèvre, sentant sa gorge exprimer un gémissement de plaisir. Le contact de ces commissures contre les lèvres intimes de sa féminité était exquis, déroutant. Elle sentait Elis particulièrement sensible à ses réactions. Il venait taquiner cette partie de ses lèvres, l’embrassant dans de doux baisers pour l’habituer à sa présence. Un toucher qu’elle avait expérimenté de nombreuses fois avec des femmes. Elle sentait ses reins s’endiabler au toucher de cette barbe contre ses commissures intimes, de cette langue qui venait gouter son bouton de chair. Ses phalanges vinrent enserrer le tissu du drap avec force alors que ses cuisses venaient s’ouvrir d’elles-mêmes, son corps charmait par ses exquis frisons de plaisir qui venait titiller son plaisir. Elle avait de plus en plus de difficulté à réguler sa respiration. Elle n’avait de cesse d’inspirer profondément pour tenter de calmer ses frétillements qui chamboulaient son ventre. Elle sentait ses prunelles s’embrumaient face au plaisir qu’il lui procurait. Ses gémissements se firent de plus en plus fort tandis qu’elle sentait les ambitions et bienfaits d’Elis s’intensifier au cœur de sa féminité. Il la dévorait entièrement, laissant ses doigts participer à la découverte de ce jardin secret.

Elle souffla de plaisir, son cœur au bord des lèvres, ses reins se soulevant avec force terriblement chamboulés par ses baisers et taquineries. Il la rendait dingue et cela n’avait de cesse d’accroitre au fil des secondes qui s’écoulaient. Les rougeurs qui parsemaient ses joues n’avaient de cesse de devenirs plus forts. Elle succombait face à cette chaleur qui lui faisait tourner sa tête. Ses lèvres finirent par gémir le prénom de son petit ami comme une supplique, un appel à arrêter ou à poursuivre. Elle ne savait pas elle-même. Ces picotements étaient bien trop violents pour que sa raison puisse concrètement songer à ce qu’il se déroulait. Elle se perdait dans les méandres de ce plaisir qu’elle découvrait de nouveau grâce à cet homme. Pourtant, elle se sentait toujours gênée, mais sa crainte semblait s’être affaiblie en comparaison à cette ambition qui grondait de plus en plus furieusement dans ses reins. C’était si déroutant.
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MessageSujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber.   I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. - Page 2 Icon_minitimeSam 2 Mai - 17:36

La jeune fille était si belle et semblait si fragile que c’est avec délicatesse qu’il vint dévorer son corps. Il voulait lui faire connaitre la passion amoureuse, cette passion qui embrasait son corps d’un feu incandescent. Il caressait sa jolie peau et embrassait son intimité, souhaitant la rendre folle. Le jeune homme sous ses yeux la perfection de sa petite amie. Elle était magnifique, et il sentait une grande chaleur s’emparer de son corps. Il aimait la voir réagir, la sentir frissonner contre son corps. La jeune femme avait couvert sa bouche de sa main comme pour couvrir des gémissements qui semblaient incongrus mais qui était délicieux aux oreilles d’Elis. Il sentait cette délicieuse voix s’offrir à lui. Il la taquinait avec envie mais d’abord sans s’imposer, respectant la timidité de la jeune fille, désirant la mettre en confiance. Il ne tarda pas à se montrer plus insistant, plus gourmand, l’appétit pour ce corps grandissant. Il aimait la délicatesse de ce corps, chacun de ses gestes et de ses frissons.


 Elle réagissait bien à ses avances, écartant ses jambes sans qu’il ne soit à l’entrainer, délicatement pour lui faciliter la tâche. Avec tout autre il aurait murmuré des paroles un peu cochonnes à ce point, mais il craignait bien trop de la braquer et puis sa bouche était occupée à autre chose de bien plus coquin. Ça le rendait particulièrement ambitieux et il s’enchantait d’offrir cette gâterie et de ce qui s’en suivrait. Il dévorait cette intimité, appuyait sa présence avec plus en plus de force, mais ses mains caressait toujours avec douceur ce corps féminin donnant autant de tendresse que sa langue attaquait le jardin secret de la demoiselle. Il remarqua avec satisfaction qu’elle n’arrivait plus à contenir ses gémissements de retentir dans la chambre. Il savait que son action faisait l’effet escompté comme elle se cambrait légèrement comme pour profiter un peu plus de ses bienfaits et Elis ne s’en priva pas. Il goutait cette chaire si précieuse, découvrant avec intérêt toutes les saveurs qu’elle lui offrait. Il sentait son cœur battre comme un fou dans sa poitrine par ce jeu qu’il entreprenait, par les portes qui semblaient s’ouvrir. Il entendit son prénom sortir comme une supplique, une douce supplique de sa petite amie qui semblait l’inviter dans des méandres bien plus extasiant encore. C’est ce qu’entendit le jeune homme en tout cas, sans doute car son corps le désirait trop fortement. Sa fierté témoignait de toute l’affection qu’elle portait à Camber, de cette envie inaltérable de la posséder. Il sentait son ventre gronder d’ambition, frissonner de désir pour cette jeune femme.


Elis remonta son visage le long de son intimité pour rejoindre le ventre et le nombril de la jeune femme, déposant sur son parcours de doux et délicat baisers. Sa peau était douce sous ses lèvres, il en ressentait de doux frissons. Son corps était complètement conquis par cette femme et la toucher l’électrisait et endiablait son âme d’un feu puissant et incandescent. Il semblait qu’il ne pourrait se taire, s’affaiblir tant cette demoiselle se trouvait, aussi embrumé et rougi soit elle, terriblement attirante. Il remonta son corps, désirant rejoindre ses lèvres, rejoindre ses joues brulante pour les couvrir de caresses et de douceurs qu’elle méritait de recevoir. Mais il se devait de ne pas se précipiter, il ne pouvait délaisser cet abdomen, cette jolie et ronde poitrine, ce col charmant, ce cou que les vampires rêveraient de croquer. Il déposa ses lèvres sur le plus petit centimètre de peau qu’elle lui présentait, émoustillant son corps de sa présence. Elle était si belle et désirable en cet instant, le jeune homme en perdait définitivement la tête. Il se trouvait complétement aliéné à cette jeune femme, à ce sublime corps. Il rejoignit ses lèvres, ses joue, les couvrit à leur tour de sa passion en venant la couvrir de son corps comme une chaude et brulante couverture mais légère, il s’appuyait sur ses bras pour ne pas s’écraser de tout son poids sur elle. Mais il se trouvait si proche, il pouvait voir le moindre grain de peau et le trouver sublime. Ses reins se collèrent à la jeune demoiselle, un contact affriolant, une vague de désir par ce moindre geste, il se sentit si fébrile, si faible et si envieux. Il la désirait et ne put contenir l’envie de poursuivre cette folie. Il se frotta légèrement contre elle, laissant son intimité s’honorer de la présence de la jeune femme, danser contre son corps avec langueur. Il savourait ces caresses qui venaient bruler son cœur. Il gémissait lui aussi contre l’oreille de la jeune femme, exprimant son désir sans honte et peu de retenue pour partager les merveilleuses sensations qu’elle lui faisait vivre. Elle avait un immense pouvoir sur lui et chacun de ses regards semblaient le rendre qu’un peu plus dépendant et quémandeur du grand saut. Il avait tant envie d’elle, de s’unir à elle de la manière la plus intime qui soit entre un homme et une femme.


« -J’ai envie de toi, Camber ! » murmura-d’il à son oreille, très doucement, le regard plein d’espoir. « Envie de t’appartenir !»



Il sourit doucement et revint prendre ses lèvres en otage avant de lui sourire doucement. Il caressa son corps, ses cuisses, en se faisant doux et rassurant, lent. Il fouilla la table de chevet ou se trouvait les indispensables protections. Il prit la main de sa petite amie entre les siennes pour rejoindre son soldat qui était prêt à partir à la guerre, sans les armes et effrayé par la conquête et l’aventure et mit entre les doigts féminins le petit film magique. Il était complétement fou d’elle, il la désirait tant et malgré ses doigts inexperts, il ne lui fallut pas longtemps pour être prêt pour l’invasion. Etait-elle prête aussi ? Tout se devait d’aller bien, d’être parfait, car c’était leur premier fois ensemble. Il voulait la conquérir. Il le fit en entrant doucement dans le corps de la jeune femme, avançant avec prudence et délicatesse dans ce jardin inexploré. C’était merveilleux, un feu d’artifice de bien être, de chaleur et de bonheur.
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