La St Valentin n’était résolument pas une journée comme les autres pour le couple qu’il formait avec lui. En effet, cela faisait trois ans que leurs lèvres s’étaient rencontrées pour la tout première fois dans un doux baiser qu’il était encore en mesure de se souvenir. Le contact de ses lèvres si merveilleuses, si désirées contre les siennes avaient provoquées un tel chaos au sein de son cœur qu’il ne pouvait qu’en sourire dès lors que cette pensée lui revenait. Il était fort à parier qu’il serait en mesure de se songer pour le reste de sa vie, tant ce moment de leur vie se trouvait précieux à ses yeux. Bien entendu, de nombreux souvenirs mémorables étaient venus marqués leur existence, leur vie mais, ce baiser avait été la naissance de tout leur amour. Il ne pouvait l’oublier, l’effacer de sa mémoire, comme il ne pourrait résolument jamais se détourner de Ki Suk. L’amour qu’il lui portait se trouvait fort et puissant, incommensurable et passionné.

Il ne pouvait donc que souffrir du léger froid qui résidait au sein de leur relation depuis le jour où il lui avait annoncé que dès début mars, il allait rentrer dans l’équipe de recherche d’un chercheur en créatures magiques. Quand bien même était-ce une chance inestimable de toucher du bout des doigts son rêve, il ne pouvait nullement rester insensible face à la tritesse et l’inquiétude que cette idée pouvait engendrer au sein de l’âme de son amant. Il avait tenté de le rassurer à ce sujet, lui avait même offert un miroir magique pour qu’ils puissent communiquer mais, cela ne semblait nullement suffire tant son ange se trouvait profondément irrité par l’idée de le voir partir. Ce qu’il pouvait comprendre, sachant éperdument qu’il aurait pu réagir de la même façon si leur situation avait été inversée. Il ne pouvait donc nullement lui en vouloir même s’il ne pouvait que s’en sentir quelque peu attristé.

En effet, Ki Suk n’avait de cesse de broyer du noir quelque fois lorsqu’ils se posaient sur le canapé l’un contre l’autre. En dépit des attentions qu’il lui portait, il pouvait pleinement entrevoir la mélancolie de son amant et même s’il s’efforçait de le câliner, ce dernier semblait résolument tendu. Il est donc évident qu’il ne pouvait que se sentir quelque peu mal à l’aise alors qu’il aurait du être sur son petit nuage. Il avait passé sa journée à voir de nombreux couples se former, des jeunes hommes ou femmes déclarer leurs flammes, en se demandant si Ki Suk serait en mesure de passer outre sa colère, sa tristesse pour profiter de cette soirée en sa compagnie. Il avait pour idée de lui offrir un merveilleux repas comme à ses habitudes mais étrangement l’entrain n’était pas le même. Il désirait qu’une chose en ce jour : qu’il lui pardonne de partir en ses temps noirs et qu’ils profitent simplement du temps qui leur était donné pour le faire avant son départ. Il avait donc erré dans les ruelles de l’école dans l’espoir de trouver son amant, en vain.

Finalement, un de leurs amis en commun lui avait indiqué qu’il avait vu ce dernier se diriger vers le bureau des préfets, quelques minutes auparavant. De ce fait, sans doute se trouvait-il encore en ces lieux. Une information que le jeune homme fut ravi d’apprendre alors qu’il prenait la direction des quartiers de professeurs, lieu stratégique où se trouvait leurs bureaux attitrés. En l’espace de quelques minutes, il arriva devant la porte du bureau, l’ouvrant pour pénétrer dans cette pièce qui en quelques mois était de nouveau devenue familière. Il l’avait longtemps habité lorsqu’il avait été préfet de sa maison avant qu’on ne le destitue de ses fonctions lorsqu’il avait manqué de tuer cet étudiant en septième année. Une pièce dans laquelle il trouva l’objet de ses recherches, sagement installé dans la pièce. C’est donc dans un fin sourire qu’il vint enlever sa veste alors qu’il venait murmurer son prénom.

« Je te cherchais justement, on a pas pu se voir de toute la journée. J’avais envie de te voir mon amour. » Lança-t-il dans un ton doux alors qu’il venait délicatement à lui pour lui voler un doux baiser.

Un baiser qui troublait son cœur comme toujours alors qu’il venait de nouveau l’embrasser, incapable de résister à l’appel de ses si délicates commissures. Une action qu’il dut interrompre lorsqu’il sentit un bruit de fermeture se faire connaitre alors qu’une voix familière s’élevait dans la pièce. L’esprit frappeur de l’école ricanait joyeusement, les fixant de son œil perçant pour leur expliquer les raisons de son acte. Il s’ennuyait cruellement en cette sainte journée et avait mis en place un petit jeu. Petit jeu auquel ils devaient se livrer s’ils souhaitaient quitter la pièce. Rien qu’à l’énonciation de la liste des thèmes qui leur proposait, Yano imaginait sans trop de mal le contenu de ses derniers. Il leur demanda de choisir et c’est tout naturellement qu’il opta pour la liste « envie de toi », après tout le contraire était impossible. C’est ainsi que Dae Mon vint quitter la pièce pour leur laisser lire la liste, ce qu’il fit en venant prendre place sur l’accoudoir du fauteuil sur lequel se trouvait son amant. Une liste qui leur promettait un doux instant de luxure qui ne pouvait nullement lui déplaire mais, avant cela, ils devaient parler. C’est pour cette raison qu’il vint délicatement glisser sa main dans les cheveux de son amant pour murmurer contre sa trempe.

« Bonne Saint-Valentin mon amour et surtout, Joyeux anniversaire. Je t’aime, mon Ki Suk. »

TENUE : 01.

Les mots qu’avaient prononcé Yano ce jour-là ne cessait ô grand jamais d’hanter l’esprit de Ki Suk. Savoir que son amant serait loin de lui auprès de créatures magiques, les unes les plus dangereuses que les autres n’étaient résolument pas plaisant. Ki Suk avait toujours eu une crainte envers les créatures magiques, sans aucun doute que le fait qu’il soit un né moldu et un homme pas très courageux influençait ces pensées. Seulement, il connaissait son amant et en tant que passionné de créatures magiques, il savait qu’il ne fréquenterait pas les créatures les moins dangereuses lors de ses expéditions avec ce chercheur. Un fait qui ne pouvait que l’inquiéter, tout en sachant que l’atmosphère du monde magique depuis les derniers incidents meurtriers n’était certainement pas au plus haut. Seulement, Yano ne le laissait nullement seul dans la mesure où sa meilleure amie emménagerait chez eux le temps de son absence. Un fait qui le ravissait certainement, n’ayant pas pu profiter de sa meilleure amie autant depuis longtemps, les deux ne vivant désormais plus dans l’école, n’ayant pas beaucoup d’horaires pour se voir. Néanmoins, la présence de sa meilleure amie ne remplacerait jamais celle de son amant. Ki Suk savait ô combien cette séparation risquait de le faire souffrir, même s’ils pourraient communiquer tous les deux et se voir au moyen des miroirs magiques qu’il lui avait offert ce jour-là C’était sans aucun doute cette séparation future qui l’emmenait ces dernières semaines à être morose, particulièrement alors que le jour de leur séparation se rapprochait à son plus grand désarroi.

Seulement, en ce jour de la Saint Valentin, le jeune homme savait qu’il ne devait pas penser à ce jour, mais seulement profiter de cette journée qui célébrait le jour des amoureux et le troisième anniversaire de leur relation. Une relation dans laquelle il se plaisait certainement, s’épanouissant au côté de cet homme qui le rendait si heureux et si fou amoureux. Le jeune homme souhaitait en ce jour oubliait ces angoisses et profiter de son amour, tel était son envie alors qu’il se trouvait sagement installé dans l’un des fauteuils du bureau des préfets. Il n’avait rien de particulier a y faire, mais au moins il pouvait profiter du calme, loin des déclarations des autres jeunes couples qui s’offrait du chocolat. Il comptait lui aussi fêter ce jour en compagnie de son amant, fêter dignement ce jour qui était la signification de leur amour.

Ainsi, lorsqu’il entendit la porte d’entrée s’ouvrir, il fut plus que ravi de voir apparaitre la silhouette si plaisante de son amant. En ce jour de là Saint Valentin, il n’avait pu que profiter de sa présence le matin avant qu’il ne s’en aille à l’école, ayant eu une rencontre avec l’un de ces enseignants à propos de sa future orientation spécialisé dans les études des moldus. Ki Suk ne put s’empêcher de trouver son mari particulièrement attirant, le dévorant du regard alors qu’il se rapprochait de lui et enlever sa veste. Le né moldu vint alors sourire tendrement, accueillant dans un doux baiser ces lèvres qui lui avait déjà manqué. Les mots de son amant ne purent que le faire sourire simplement, souhaitant alors lui répondre. Seulement, leurs actions durent s’arrêter lorsqu’un bruit de fermeture se fit entendre, leur faisant relever leurs visages.

Relevant leurs yeux, ils eurent à affronter la silhouette de Dae Mon, l’esprit frappeur de l’école qui riait joyeusement, sans doute ravi d’avoir enfermé deux personnes dans cette pièce. Il leur expliqua alors qu’il avait mis en place un petit jeu aves des thèmes bien particuliers. Yano lui répondit alors simplement, faisant sourire son amant au nom de la liste. Une liste qui sembla le fit sourire, une réaction qui le laissait imaginer que ces actions étaient résolument coquines, sans doute bien moindre à ceux qu’ils avaient pu déjà faire en trois ans de relation. Portant à nouveau son regard sur son amant, le jeune homme vint seulement lui sourire, glisser sa main dans ces cheveux alors qu’il lui souhaitait une bonne saint valentin et un joyeux anniversaire, lui déclarant sa flamme à nouveau contre sa tempe.

Le pathfida ne put que sourire doucement à ses mots, venant effleurer de ces lèvres celle de son amant, baissant le visage de celui-ci à l’aide de l’une de ces mains. Il lui murmura alors dans un doux murmure, au creux de ces lèvres : « Bonne Saint Valentin mon amour… je suis si heureux que nous sommes déjà à nos trois ans… il n’y a pas plus merveilleux anniversaire à me yeux, bien que lorsqu’on fêtera nos cinquante ans de relations, cela me paraitra aussi merveilleux… » termina-t-il dans un doux baiser, souriant alors qu’il éloignait leurs visages un instant. Sa main vint se poser alors sur les traits du visage de son amant, l’emmenant à dévorer du regard le visage de son amant qu’il trouvait résolument magnifique et attirant.

Le jeune homme murmura dans une voix quelque peu gêné à son amant, souhaitant se faire pardonner de son comportement, sans doute trop égoïste. « Yano… je… voulais m’excuser… mes angoisses ont été trop fortes… je veux seulement profiter de toi… jusqu’à ce… jour et fêter ce jour... sans songer à tout cela.» Termina-t-il simplement ne souhaitant pas songer véritablement à ce jour qui les éloignerait pendant une durée bien trop longue à ces yeux.

Tenue de Kisuk

Il lui avait semblé tout naturel de venir lui murmurer ses mots car en dépit du froid qui régnait au sein de leur relation, cette journée ne pouvait nullement être sans signification. Cela faisait trois ans qu’ils s’étaient embrassés pour la première fois, leurs âmes se vouant l’un à l’autre depuis ce jour. Comment aurait-il pu en être autrement alors que son cœur battait si promptement dans sa poitrine de bonheur ? Il l’observait donc avec douceur et amour, savourant ce doux sourire qu’il lui tendait alors qu’il sentait les phalanges de son amant venir se choir sur sa nuque pour l’intimer de rejoindre ses lèvres. Des comparses qu’il ne se fit nullement prier pour y rapprocher les siennes tandis que son amant lui souhaitait également une bonne Saint Valentin, lui avouant qu’il était si heureux que cela soit leur troisième anniversaire. Il n’y avait pas plus merveilleux anniversaire à ses yeux tant et si bien que lorsqu’ils seraient à leur cinquantième anniversaire, cela ne pourrait que lui paraitre aussi magnifique.

Des paroles ô appréciables pour son cœur quelque peu inquiet qui ne pu que s’abreuver de ces mots, savourant le contact ô sublime de cette paire de lèvre contre les siennes. Un baiser bien trop court à ses yeux alors qu’il sentait les phalanges si douces de son amant se mouvoir sur les traits de son visage. Son regard ne pouvait que dévorer le visage de son amant, qui faisait de même. La suite de ses mots ne purent que le faire sourire délicatement alors qu’il s’excusait, que ses angoisses étaient bien trop forte mais, qu’il voulait profiter de lui jusqu’à ce jour et fêter cette soirée avec lui, sans songer à tout cela. Il vint donc glisser ses phalanges à son tour sur son visage avec douceur pour lui murmurer tendrement.

« Tu n’as pas à t’excuser. Je suis tout aussi angoisser que toi de te laisser seul ici, sans même pouvoir te voir mais… c’est mon rêve… j’ai besoin d’être sur le terrain… mais… je te fais la promesse de ne prendre aucun risque inconsidéré alors, ne t’inquiète pas. Puis, pour un chercheur, il n’est pas vraiment abimé, je suppose donc qu’il fait très attention à sa sécurité. »

Il avait osé une légère plaisanterie dans un doux sourire alors qu’il venait se levait en prenant l’une des mains de son amant dans la sienne pour l’obliger à se lever. Ainsi, debout l’un face à l’autre, c’est tout délicatement qu’il vint l’embrasser un instant, murmurant contre ses lèvres.

« Ne pensons pas à tout cela, mon amour. Profitons simplement de cette journée ainsi que de ce petit jeu que ce vil esprit frappeur nous propose de jouer. Je serai ravi de m’y soumettre d’autant plus qu’il est loin de me déplaire. Que penses-tu d’opter pour le scénario hot ? Après tout cette pièce est fermée et nul ne pourra l’ouvrir, non ? Je ne nie pas que l’idée de faire des bêtises dans cette pièce soit très attrayante. »

Il avait murmuré cela dans un doux regard, les yeux brillants de malice alors qu’il venait délicatement se placer derrière lui pour glisser ses lèvres contre sa nuque avec douceur. Une peau si délicate qui ne pouvait que l’attirait alors qu’il laissait ses lèvres se mouvoir sur cette dernière avec sensualité, la mordillant délicatement, conscient de la fébrilité dans laquelle son action allait plonger l’être de son amant. Des lèvres coquines qui n’avaient rien à envier à ses phalanges qui résolument avides venaient renforcer cette douce étreinte, ces dernières glissant sur ses cuisses avec sensualité pour accroitre l’exquise de bien être de son amant alors que ses doigts venaient frôler son intimité avec plaisir, un bref instant, savourant les frisons qui semblaient se dégager de l’échine de cet homme qui le rendait résolument fou. C’est donc tout naturellement qu’il vint soupirer au creux de son oreille dans un doux susurre.

« L’idée de faire ce genre de choses avec toi est toujours aussi envoutant… Tu es si parfait sous mes doigts, ma bouche, mon amour… »

Egoïste, le jeune homme avait eu l’impression de l’être ces derniers jours. Il devrait se réjouir que son amant pouvait enfin réaliser son rêve et non pas rester sur des angoisses qui n’avaient peut-être pas lieu d’être. Il devait comprendre Yano et le laisser partir, bien que cette idée ne lui plaise pas vraiment. Seulement, pour une fois il devait se taire, laisser son égoïsme de côté pour rendre heureux son amant qui rêvait de ces instants. N’était-il pas le premier à faire de son mieux pour réaliser son rêve d’être enseignant ? Ces pensées ne pouvaient qu’être cohérentes alors qu’il sentait les phalanges de son amant venir caresser son visage avec douceur. Yano lui murmura alors qu’il n’avait pas à s’excuser, qu’il se trouvait lui aussi angoissé de le laisser ici sans même pouvoir le voir. Il avait besoin d’être sur le terrain et il lui promettait de ne prendre aucun risque inconsidéré alors il ne devait pas s’inquiéter. Pour un chercheur, son tuteur de stage n’était pas vraiment abimé, il supposait donc qu’il faisait très attention à sa sécurité. Des mots qui devaient le rassurer, mais qu’il ne savait nullement comment prendre dans la mesure où Yano souhaitait en devenir un. Cela voudrait-il dire que Yano finirait par être très abimé avec le temps ?

Cette idée ne pouvait résolument pas lui plaire bien qu’il essaya de cacher cela, se laissant porter par Yano au milieu de la salle jusqu’à se retrouver l’un contre l’autre. Le jeune homme répondit avec plaisir au baiser de son amant, souriant à ces mots alors qu’il lui avouait qu’il était très intéressé d’opter pour le scénario hot, l’un de ces fantasmes pouvant être celui de faire des bêtises avec lui dans cette pièce. Des mots que le jeune homme ne put qu’apprécier, hochant la tête, lui offrant un sourire résolument coquin.  

Yano vint alors réaliser sa première action, se plaçant derrière lui pour glisser ces lèvres contre sa nuque avec tendresse. Tout son être ne put que se ravir du contact de ces lèvres contre sa chair, plus particulièrement alors qu’il venait mordiller sa nuque.  Ces doigts résolument taquins se retrouvaient sur ses cuisses avec sensualité, avec une avidité qui ne pouvait résolument que lui plaire. Ceux-ci résolument taquin venaient alors frôler son aine qui ne resta insensible à ce geste, appréciant et sachant ô combien celle-ci était sensible aux attouchements de son amant. Les différents frissons qui prenaient part de son être en était bien la preuve, s’intensifiant alors qu’il entendait son amant lui murmurait que l’idée de faire ce genre de choses avec lui était toujours envoûtant, le trouvant si parfait sous ses doigts, sous sa bouche. Une vérité réciproque qu’il ne put qu’approuver alors qu’il venait se retourner et répondre à son amant d’une voix sensuelle : « Si je peux t’avouer bien une chose mon amant… c’est que je ne me lasse jamais de ces moments à tes côtés, devenant chaque jour un peu plus dépendant à ce corps et à l’esprit pervers de mon mari. Si tu me trouves parfait, sache que j’aime tout chez toi… tu es résolument parfait à mes yeux… et j’ai toujours moi-même fantasmé de le faire dans une pièce de l’école… tu crois que c’est toi qui m’a perverti ? »

Souriant à ces mots, le jeune homme vint laisser son amant lui enlever son pull et son tee-shirt, se retrouvant très rapidement torse nu sous l’œil résolument appréciateur de son amant.  Son amant, suivant les ordres alors sans rechigner de cette liste, il mordit son oreille avec amusement.  Ki Suk appréciant ces mains qui caressaient ces fesses avec sensualité, collant leurs corps, obligeant ainsi leurs bassins à se rencontrer.  Le jeune pathfida vint alors susurrer dans une voix ô avide : « T’ais-je déjà dit que j’aime sentir tes mains sur cette partie que tu sembles aimer particulièrement ? »

En toute sincérité, il ne pouvait nullement réfuter l’idée que de faire ce genre de choses avec lui au sein de cette pièce ne représentait pas un fantasme en soit. En effet, il en avait rêvé de nombreuses fois lorsqu’ils s’étaient retrouvés dans cette pièce lors d’une réunion avec leur camarade. Une idée résolument loquasse, qu’il n’avait pu garder que pour lui jusqu’à ce jour alors qu’il venait délicatement embrasser et caresser son amant du bout de ses doigts et ses lèvres, conscient du désir qu’il éveillait doucement au sein de l’échine de son amant. Un amant qu’il savait particulièrement sensible à ses attentions alors qu’il le sentait avec sensualité frémir sous ses actions, qui semblaient allumer peu à peu un feu au sein de son cœur. Il ne pu donc qu’être particulièrement ravi des paroles de ce dernier qui vint lui avouer qu’il ne se lassait jamais de ces moments à ses côtés, devenant un peu plus chaque jour dépendant à son corps et à l’esprit pervers de sa personne. Des mots qui le firent délicatement sourire alors qu’il poursuivait ses actions sur sa chair, son amant ajoutait qu’il le trouvait parfait tant il aimait tout chez lui. Il lui avoua également qu’il avait toujours lui-même fantasmé sur le fait de le faire dans ce bureau avec lui, se demandant s’il ne l’avait pas perverti. Des mots qui le firent rire délicatement alors qu’il le voyait se tourner vers lui, venant murmurer contre ses lèvres.

« Tu l’étais déjà…. bien avant que nous soyons ensemble. Ce baiser sauvage et langoureux que tu m’as fais découvrir dès le premier jour, si fougueux, si désireux… Je ne pourrais jamais l’oublier tant il avait éveillé mes sens et mon cœur. Nous avons juste contribué à la perversité de l’autre mais, je ne pense pas que nous nous en plaignons, je me trompe ? »

Il avait murmuré cela dans un ton résolument coquin alors qu’il venait glisser ses doigts sous le tissu de ce haut pour lui retirer d’une traite. Une action bien impatiente qui venait néanmoins répondre à l’action qu’il devait réaliser. Il ne pu s’empêcher de dévorer ce torse ô attirable de son amant, laissant ses doigts descendre sur ses muscles pour rejoindre ses fesses alors que ses lèvres venaient se poser sur l’une de ses oreille, la mordillant avec plaisir. Un geste qui sembla plaire à son amant alors qu’il venait coller son bassin au sien grâce à une légère pression, ce dernier lui avouant s’il lui avait déjà dis qu’il aimait sentir ses mains sur ses fesses, partie qu’il semblait particulièrement aimer. Un fait qu’il avait particulièrement conscience alors qu’il venait murmurer au creux de son oreille dans une voix ô sensuelle.

« Tu n’as pas  besoin de l’avouer, ton corps parle pour toi… ton corps n’a d’yeux que pour moi… tout comme le mien ne peut bruler de la sorte que grâce à tes bienfaits… ce que tu dois savoir aisément. »

Des paroles qui ne purent que faire plaisir à son amant qui vint se coller à lui alors qu’il venait voler ses lèvres dans un baiser passionné, le rendant plus fougueux alors qu’il laissait ses phalanges glisser sous la texture de son pull. Un contact ô agréable qu’il ne pu qu’apprécier alors qu’il sentait les doigts de son amant caresser la peau ferme de ses abdominaux avec ambition, désir. Un engouement résolument passionné et impatient car il le sentit soulever son pull avec empressement en rompant ce baiser. Un baiser bien trop court à ses yeux alors qu’il sentait les lèvres de son amant se poser sur sa nuque, lui avouant ô combien il avait envie de lui. Des paroles dictaient par ce petit jeu mais qui reflétait aisément leur réalité alors qu’il venait embrasser sa nuque à ton tour, reprenant délicatement le dessus tout simplement.

Ainsi, il vint laisser ses lèvres se mouvoir sur sa clavicule, ses pectoraux avant de rejoindre un de ses boutons de chair avec délectation, l’embrassant, le dévorant de ses lèvres jusqu’à le sentir s’éveiller sous ses attaques friponnes. Une action qui sembla résolument augmenter la chaleur du corps de son amant qu’il sentit réagir favorablement alors que ses phalanges poursuivaient leurs taquineries sur ses fesses avec engouement. C’est donc dans un sourire ô éhonté et coquin qu’il vint délicatement libérer son prisonnier pour venir s’attaquer à son compère murmurant doucement dans une voix ô sensuelle.

« En effet, ton corps ne peut pas me mentir… tu meurs d’envie que je te dévore… comme toujours et tu n’as pas idée ô combien cela m’attirer mon amour… »

Le planning de la journée s’annonçait résolument plaisant pour le jeune homme qu’il était, pervers et désireux d’avoir contre sa chair le corps de son amant à tout instant. Ki Suk ne pourrait que remercier cet être perfide, savourant le contact de leurs chairs, venant lui demander dans un air résolument taquin s’il ne l’avait pas perverti progressivement.  Des mots qui avaient fait rire son amant, qu’il lui murmurait contre ses lèvres qu’il l’était déjà, bien avant qu’il ne soit ensemble. Le baiser sauvage qu’il lui avait fait découvrir dès le premier jour avait éveillé ses sens, n’ayant nullement oublié celui-ci. Il lui avoua alors qu’ils avaient simplement contribué à la perversité de l’autre, mais il doutait sur le fait qu’ils s’en plaignaient.  Yano ne pouvait nullement se tromper à ce propos tant Ki Suk était résolument tombé amoureux de cet être pervers qui le rendait résolument fou. Le jeune coréen ne pouvait résolument pas se plaindre au contact de ses doigts coquins qui lui enlevaient son haut.

Yano suivait alors avec plaisir les indications de ce petit jeu, laissant ses doigts glisser sur ces muscles jusqu’à atteindre ses fesses, savourant les lèvres coquines de son amant qui mordillait sa chair.  Ki Suk n’avait pu alors que laisser échapper dans un doux sourire s’il lui avait déjà dit qu’il aimait sentir ces mains contre ces fesses.  Yano, non sans réaction s’amusa alors à lui répondre dans une voix sensuelle qu’il n’avait nullement besoin de lui avouer tant son corps parlait pour lui, celui-ci ne voyant que lui. Des mots résolument prétentieux, mais qui étaient résolument vrai, ce fait étant réciproque pour Yano qui ne brûlait de la sorte qu’en sa présence, un fait qu’il devait savoir. Des mots qui ne pouvaient résolument que plaire à Ki Suk, savourant ces mots et l’emmenant à embrasser de manière résolument passionnée et fougueuse. Pendant ce temps ces mains s’étaient glissé sous le tissu de son pull pour caresser la peau ferme de ses abdominaux. Des abdominaux qu’il put rapidement découvrir sous ses yeux, lui ayant enlevé son pull à son plus grand plaisir.  Ces baisers se perdirent alors sur sa nuque, lui avouant qu’il avait envie de lui, des mots dictés qui révélaient ses propres pensées.

En réaction, son amant vint à son plus grand plaisir laisser ses lèvres se mouvoir sur sa clavicule, ses pectoraux avant de rejoindre un de ses boutons de chairs, les embrassant et les dévorant. Le jeune pathfida ne put que frissonner à ce contact, laisser ces mains se glisser sur la nuque de son amant, soupirant son doux nom alors que celui-ci semblait s’en amuser.  Yano semblait ne pas se lasser d’embrasser cette chair, emmenant ces lèvres à rejoindre son autre bout de chair, ravivant un désir certain dans le corps de Ki Suk qui appréciait ces lèvres. Les douces caresses sur ces fesses ne pouvaient qu’accentuaient ce fait alors que progressivement la température de son corps s’échauffait. Son amant lui murmurait alors qu’en effet son corps ne pouvait nullement lui mentir, celui-ci mourant d’envie qu’il le dévore, cette attirance ne pouvant résolument que lui plaire. Un fait qui était résolument vrai, Ki Suk étant ô combien sensible à chaque baiser sur son torse, son aine prenant progressivement forme dans ce boxer. Pour venir taquiner son amant, Ki Suk ne put que laisser échapper le nom de son amant dans de doux soupirs, n’ayant que pour but d’échauffer son amant.  

Un amant qui semblait apprécier son comportement, laissant ses lèvres se perdre sur ses abdominaux, laissant ces mains se rapprocher de la fermeture de son jean pour lui abaisser, laissant son pantalon alors glisser sur le sol, se retrouvant alors quasi nu devant cet homme qui semblait résolument se plaire dans cette position, appréciant la vue de son corps.  La suite de l’action ne pouvait que ravir Ki Suk, sentant une main coquine se faufiler sous son sous-vêtement pour venir le caresser et cajoler cette aine. Un contact qui ne put que le rendre ô combien fébrile tandis qu’il voyait son amant revenir sur sa nuque pour l’embrasser et la mordre. Un comportement résolument envoutant pour le jeune homme qui vint laisser ces mains descendre sur le corps de son amant, laissant ces mains se perdre sur ces fesses pour les caresser avec une envie certaine.  Son amant semblait s’en amuser à nouveau, laissant ces lèvres cueillir les siennes dans un doux baiser, au même instant où il venait effectuer des mouvements de va-et-vient contre son aine avec délice.  Ki Suk ne put que laisser échapper alors un doux gémissement au milieu de ce baiser envoûtant, sentant son aine prendre forme progressivement. Le baiser qu’ils échangeaient était résolument plaisant, en plus de toutes ses actions qui emmenaient son corps à se réchauffer. Les mains du pathfida venaient caresser les fesses de son amant, remontant jusqu’à son dos.

Néanmoins, à son plus grand déplaisir alors qu’il se sentait ô combien fébrile, son amant cessa ces caresses. L’emmenant à laisser échapper un soupir de mécontentement. Ainsi, comme par vengeance, bien qu’il suive les indications du papier, il vint défaire avec lenteur le pantalon de son amant pour le lui faire tomber et le laisser choir sur le sol, tout comme tout le reste de ses affaires hormis ce boxer. Dans un doux sourire, le jeune homme se contenta alors de venir mordiller la nuque de son amant, embrasser cette chair, l’une de ces mains venant s’échouer sur son torse, frôlant ces bouts de chairs jusqu’à atteindre ces abdominaux. Des abdominaux qu’il caressa pendant une dizaine de secondes avant de venir caresser légèrement son boxer, juste assez pour le titiller avant de lui abaisser directement lui permettant d’avoir une envie ô combien magnifique de cet homme. Souriant, il vint alors se saisir de cette aine quelques instants, souhaitant frustrer son amant quelques secondes. Il murmura alors dans une voix ô sensuelle : « Tu es résolument l’homme le plus sexy…. ». Il sourit à ces mots alors qu’il continuait de mordiller sa nuque, sa main venant alors prendre plus franchement cette aine.

Sans doute devait-il paraitre bien présomptueux de prononcer de telles paroles mais, il était profondément convaincu de la véracité de ces dernières. En effet, il ne pouvait qu’être exalté de le savoir si réceptif à ses actions, sa chair s’enflammant à la moindre occasion qu’elle avait de se trouver tout contre la sienne. Une fébrilité que son corps éprouvait avec la même intensité tant il lui semblait bien impossible de résister à ses pulsions lorsqu’il se trouvait face à cet homme au corps si magnifique. Il pourrait passer des heures à le contempler, laissé son regard se mouvoir avec lenteur sur la moindre forme de ses muscles. Cet exercice ne pourrait que l’attirer, échauffer sa chair tant il se savait sensible et envouté par ce corps qui se trouvait face à lui.

Il prenait donc plaisir à dévorer cette peau de ses lèvres, de la marquer de la moiteur de sa bouche qui semblait provoquer un ras de marrée de bien être dans l’échine de son amant. Ce dernier n’hésitait nullement à exprimer cette félicité, quitte à l’intensifier plus qu’il ne le devrait. Il voyait bien qu’il cherchait à l’exciter et ce petit jeu marchait à merveille. Il sentait le contact de ses phalanges s’affermir sur ce fessier qui le rendait particulièrement fou tant il le trouvait sublime ainsi. Il prenait tant plaisir à le dévorer du regard dès lorsque son amant se promenait à ses côtés en boxer ou en pantalon moulant. Une partie de son corps qui savait tant le rendre fou alors qu’il laissait ses mains remonter à sa ceinture pour la défaire et le déroger de cet encombrant vêtement qui lui obstruait la vue sur cette partie si sensuelle et érotique de son amant.

Un pantalon qui vint s’échouer simplement au sol alors qu’il venait délicatement déposer l’une de ses mains sur cette partie ô  sensible. Une action qui vint rendre son amant fébrile alors qu’il s’immisçait au sein de ce dernier rempart pour rencontrer le contact ô brulant de sa chair. Une aine qu’il vint délicatement découvrir du dernier vêtement de son ami, venant la prendre au creux de ses mains et qui conférait à son amant une vision décadente de sa chair. Une fébrilité qui ne pouvait que l’attirait alors qu’il succombait à son désir de venir embrasser sa nuque avec délice, la mordillant même tant il voulait accroitre cet effet. Ce qui ne manqua nullement de se produire alors qu’il le sentait s’affermir au creux de sa main, soupirant son prénom dans un doux soupir.

Un soupir résolument plaisant qui ne pouvait que le rendre plus avide alors qu’il sentait les phalanges de son amant se perdre sur ses fesses dans l’ambition de les caresser avec envie. Une ambition commune qui ne pouvait que l’amusait alors qu’il venait récupérer ses lèvres dans un doux baiser dans lequel son amant vint gémir tout contre lui. Cupide, il n’avait pu résister à la douce tentation de lui offrir ce début de caresse charnelle tant la chair de son amant se trouvait brulante tout contre le sien. La situation était plaisante à ses yeux mais il éprouvait également le désir qu’il le caresse et lui retire ses vêtements. Ainsi, il ne pu s’empêcher d’arrêter ses caresses pour le frustrer, lui donner envie de lui rendre la pareille comme le dictait l’action de ce vil esprit frappeur.

Ce qu’il ne manqua nullement de faire à l’instant même où il stoppa ses actions en venant glisser ses doigts sur sa ceinture pour la lui retirer, lui enlever lentement ce pantalon qui semblait résolument frustrant de le voir porter. Il se retrouva rapidement en simple boxer, face au regard enchanté de son amant qui vint dans un doux sourire lui mordiller la nuque tandis que ses phalanges se mouvaient délicatement sur sa chair. Des caresses ô plaisantes qui ne pouvaient qu’éveiller sa chair alors qu’il sentait ses dernières se glisser sur ses pectoraux, venant taquiner ces boutons de chairs qui se trouvaient résolument ravis de cette attention ô coquine. II ne pu d’ailleurs retenir ce léger soupir de s’extirper de ses lèvres tandis qu’il sentait les doigts de son amant se glisser sur son boxer pour le titiller d’autant plus. C’est avec plaisir qu’il sentit son amant lui retirer  son boxer, une libération qui ne pouvait que lui donner la sensation d’être léger tout en offrant une vue résolument érotique à son amant.

Un partenaire qui semblait résolument déterminé à le frustrer quelque peu alors qu’il déposait juste ses doigts sur son aine pour lui murmurer dans une voix ô sensuelle qu’il le trouvait résolument l’homme le plus sexy. Un compliment qui ne pu que le faire sourire alors qu’il soupirait son bien être de sentir ces délicates phalanges se glisser sur son aine, qui s’affermissait délicatement. Une caresse charnelle qu’il vint initiait également sur celle de son amant avec lenteur comme lui-même le faisait sur son aine, qui se trouvait résolument ferme contre ses doigts. Il profitait de ces frisons qui traversaient son échine et le rendait résolument réceptif à son amant, qui se trouvait dans le même état que le sien.

Un état qui n’avait de cesse de cloitre alors qu’il sentait les lèvres cupides de son amant se choir sur la naissance de sa clavicule, baigner de sa bouche la moindre parcelle de sa chair, ce qui n’avait de cesse d’intensifier son propre bien être. Il se mordait les lèvres dans des soupirs ô brulants alors qu’il poursuivait ses actions, sentant résolument la température de son corps s’élevait au point de lui faire perdre toute notion de rationalité. Il se laissait faire à ce doux contact, soupirant sa frustration lorsqu’il le sentit stopper ses actions pour poursuivre son action coquine, l’obligeant à faire de même. C’est donc tout naturellement que ses mains orphelines vinrent se poser au creux de la nuque de son amant, caressant délicatement ses cheveux tandis que cet homme éveillait cruellement sa chair. Il soupirait son prénom ô merveilleux.

C’est donc dans un soupir plus fort qu’il sentit les lèvres de son amant se poser tout contre son aine, son souffle brulant venant effleuré cette dernière qui se trouvait particulièrement titiller par toute cette chaleur qui s’accumulait au creux de ses entrailles. Il ne pu que gémir faiblement en se mordant les lèvres lorsque la langue ô coquine de son amant vinrent effleurer son aine pour la titiller, la rendre beaucoup plus ferme et désireuse de cette offrande qu’il allait lui offrir. Ainsi, positionné, il avait une vue magnifique sur cette vision ô décadente et résolument paradisiaque pour ne pas dire fantasque sur le corps de son amant. Il l’observait donc avec émerveillement, euphorie et douceur, alors que ses doigts glisser sur la mâchoire de son amant qui le détaillait de son regard brulant, amusé par ce début de taquinerie qu’il lui offrait.

Ce même petit air coquin qu’il avait eu lorsqu’il lui avait offert ce plaisir personnel si obligeamment au sein de cette plage durant leur été. Il ne pouvait que sentir son aine réagir favorablement à ce souvenir alors qu’il sentait cette bouche baiser son aine délicatement. Un plaisir qu’il avait envie de goûter de nouveau avec effusion. C’est pour cela qu’il vint murmuré dans une voix ô sensuelle.

« Tu es érotique mon amour… si sexy… rends-moi fou comme tu l’as si bien fais cet été sur la plage… Tu étais résolument parfait… j’ai envie de savourer ce bien être intense que seules tes lèvres, ta langue, ta bouche sont en mesure de provoquer en ma chair. »

Il sourit à ses mots en venant se mordre la lèvre tant il sentait son corps s’échauffer à ce doux souvenir qui prenait peu à peu forme sous son regard. Il le dévorait du regard, impatient de le voir agir en conséquence et le rendre fou comme il le savait si bien le faire.

Au travers des nombreux baisers et caresses qu’il offrait à son amant, Ki Suk n’avait qu’un seul souhait : celui de rendre totalement fou son amant. Un fait, sans se vanter, qui arrivait très souvent dans la mesure où cela était tout autant réciproque. Ki Suk était résolument attiré par cet être et il suffisait que son amant porte une seule chemise entrouverte pour qu’il désire approfondir le contact de leurs chairs, le dévorer de ses lèvres, de ses doigts et de son corps.  Des pensées résolument orientées vers la luxure en homme faible qu’il était face à cet homme, qui l’était tout autant que lui. Un fait qui ne pouvait que se vérifier en cet instant où ces mains résolument coquines se dirigeaient sur les formes ô délicieuses de son amant et particulièrement dans cette zone ô combien sensible de tout être. Ces doigts venaient caresser son aine avec lenteur, n’ayant le souhait que de rendre fou cet homme résolument attirable. N’ayant que pour objet de le rendre fou, le jeune homme aimait tant lire dans le regard de son amant cette fébrilité qui ne le rendait qu’encore plus séduisant. Souhaitant continuer ses actions résolument coquines, il vint abandonner la nuque de son amant pour venir embrasser sa chair jusqu’à atteindre ces abdominaux et enfin son aine. Son amant semblait résolument impatient sentant déjà ses mains se perdre au creux de sa nuque, caressant ses cheveux, soupirant le nom de son amant.

Les lèvres de Ki Suk vinrent se poser sur l’aine de son amant, son souffle brulant venant s’échouer contre celle-ci qui déjà se trouvait formé contre ces lèvres.  Souhaitant taquiner son amant, le pathfida vint titiller de sa langue cette aine qui ne demandait qu’à être aimé.  Il s’amusait certainement à venir le rendre fou, tout en lui lançant un regard ô combien brûlant alors qu’il sentait les doigts de son amant se glisser sur sa mâchoire. Ki Suk avait bien l’intention de rendre fou cet homme et le regard qu’il lui lançait n’avait que cette ambition. Ces lèvres vinrent se poser quelques instants sur cette aine, s’amusant à le taquiner dans de délicieux baisers.  Des attentions qui semblèrent plaire à son amant qui lui murmurait  dans une voix ô combien sensuelle qu’il était érotique et particulièrement sexy. Il lui demandait d’à nouveau de le rendre fou comme il l’avait si bien fait à la plage de Busan. Le jeune homme avait été résolument parfait et il avait envie de savourer à nouveau ce bien-être que seules ses lèvres, sa langue et sa bouche étaient en mesure de provoquer en sa chair.  Des mots résolument plaisant pour le jeune homme qui ne pouvait qu’être fier d’être la seule personne à pouvoir engendrer de telles sensations dans le corps de son amant.  Sans doute même que ses mots n’étaient au fond là que pour attiser sa passion, faire naitre en lui une envie certaine de réaliser son souhait, bien qu’il ne fallait certainement pas le forcer pour qu’il le fasse.

Ainsi, le jeune coréen sourit doucement sous un regard quelque peu coquin avant de venir embrasser son aine furtivement, dans plusieurs baisers sans vraiment la prendre en ses lèvres. Il continua son action pendant de nombreuses minutes, s’amusant à taquiner son amant juste pour l’entendre soupirer. Un fait qu’il réussit aisément alors qu’il posait enfin ses lèvres sur l’extrémité de l’aine de son amant, l’embrassant, laissant sa langue s’échouer sur celle-ci dans un doux manège, résolument frustrant pour son amant. Ses mains, loin d’être inactives en ces instants vinrent se poser sur les cuisses de son amant, les caressant avec intérêt alors que ses mains venaient se placer sur le fessier ô tentateur de son amant.  Celles-ci vinrent les malaxer avec une envie résolument forte, souhaitant rendre totalement fou son amant alors qu’il prenait enfin cette aine véritablement entre ses lèvres dans un mouvement langoureux. Un mouvement résolument bref désirant l’entendre gémir à nouveau, alors qu’il reprenait entre ces lèvres celle-ci un peu plus longtemps à chaque fois.  Yano avait demandé à ce qu’il le rende fou, Ki Suk comptait bien répondre à ses exigences.

Dans un geste résolument coquin le pathfida continua d’embrasser plus langoureusement cette aine, mêlant cette langue à ses caresses buccales alors que plusieurs de ses phalanges venaient frôler l’intimité de son amant, comme pour l’attiser et lui rappeler ce qu’il lui avait prodigué lors de cette journée au bord de la plage. Seulement, en cet instant, il ne se contentait que de cela, souhaitant entendre des mots résolument coquins s’échouer des lèvres de son amant. Ainsi, il ne faisait que frôler cette intimité alors que ses lèvres avec plus de conviction l’aine de son amant, dans des gestes résolument langoureux. Des actions qu’il continua de longues minutes jusqu’à le sentir tout contre lui fébrile, sentant cette ainé résolument enchanté de son traitement. Ces doigts résolument coquins pour leur part se promenaient sur sa chair avec amusement, l’une de ses mains griffant légèrement ces fesses alors son autre main titiller son intimité, laissant un de ses doigts s’imiscait légèrement dans celle-ci. Ki Suk avait sans aucun doute un peu dévié des consignes, mais il doutait sur le fait que Yano s’en plaigne vraiment.

Il était évident que leur position actuelle ne pouvait qu’éveiller de doux souvenirs en l’échine de Yano, qui se sentait particulièrement brulant. Sa chair semblait être victime d’un feu incandescent tant ce dernier s’embrasait sous le regard ô coquin et pervers de son amant qui se soumettait de cette manière si désirable. Une position de domination, qui n’en était pas une à ses yeux tant il voyait cet acte comme une soumission envers son bel et merveilleux amant. Un fait qu’il appréciait résolument tant son être se trouvait particulièrement exalté de le voir ainsi, si déterminé, pervers au travers des actions taquines qu’il réalisait. Il n’y avait rien de plus glorieux à ses yeux que cette fébrilité cupide qu’il pouvait entrevoir dans les prunelles si délectables de cet homme à l’apparence si douce. Des pensées ô perverses qui ne pouvaient que lui donner envie de rire, gêné et à la fois fier de ces dernières tant elles se trouvaient communes à leurs deux personnes.

Il pouvait l’entrevoir au sein de ces prunelles qui le détaillaient avec cupidité, résolument gourmand et désireux de le voir fondre sous ses doigts, ses lèvres, sa bouche. Une ambition qui se trouvait également sienne tant il s’était plu à lui remémorer cette délicieuse luxure qu’ils avaient vécue ensemble sur le sable chaud de cette plage à Busan. Un moment intime dont il se souvenait du moindre des détails et qui semblait réveillé les mêmes émotions en son amant dont le regard se faisait plus pénétrant encore en venant embrasser son aine furtivement dans un sourire. Un contact ô plaisant qui le fit se mordiller délicatement la lèvre alors qu’il laissait glisser sa main de nouveau dans la nuque de son amant pour rejoindre cette masse de cuir chevelu pour y mouvoir sa main. Des baisers furtifs qui éveillaient cette partie si sensible de son anatomie, en l’obligeant à laisser de doux soupirs s’extirper de ses lèvres tant ce bien être se trouvait plaisant. Un bien être profond qui ne pu que s’accroitre dès l’instant où il sentit ses lèvres se poser sur son extrémité, laissant cette langue perfide et coquine titiller ce morceau de chair qui s’offrait à sa partie. Une action qui fit qu’intensifier la température élevée de sa peau alors que Ki Suk exerçait un doux ménage avec sa bouche, ses mains s’égarant sur ses cuisses pour rejoindre ses fesses, les caressant avec intérêt et ambition. Des actions ô coquines et exfoliantes alors qu’il sentait enfin les lèvres de son amant prendre entre les siennes, son aine si désireuse.

Un contact ô merveilleux mais si bref qu’il ne pu que se mordre la lèvre dans un doux gémissement, laissant son regard brillant se poser sur son amant, lui intimant de poursuivre tant il se trouvait exalté par ce petit manège ô frustrant. Une taquinerie qu’il vint réitérer le prenant plus profondément, langoureusement entre ses lèvres pour lui apporter ce bien être ô aguichant qui prenait possession de son aine. Il laissait ses doigts glisser entre les mèches des cheveux de son amant, s’y agripant délicatement dès lorsqu’il sentait la langue taquine de son amant titiller son membre si impatient. Il profitait de ses frisons ô envoutants, laissant son souffle chaud s’extirper de ses lèvres, susurrant le doux prénom de cet être perfide qui le rendait fou. Il laissa sa voix ô sensuelle s’exprimer librement tandis qu’il sentait son cœur battre promptement dans sa poitrine alors qu’il susurrait dans des gémissements ô rauque qu’il lui faisait un bien fou. Ce que son amant ne pouvait ne nullement ignorer tant son aine se trouvait ferme et gonflée contre la chair de sa bouche qui le dévorait avec tant d’intérêt. Ces phalanges n’étaient pas sans reste dans l’ascension de son plaisir personnel alors qu’il sentait son amant augmenter la cadence de ses mouvements sur son corps. Il sentait la luxure prendre possession de la moindre parcelle de son corps alors qu’il murmurait éternellement son bien être pour rendre tout aussi fébrile son amant qu’il pouvait sentir légèrement gémir au travers de ses actions. Ce dernier se trouvait tout aussi excité de le voir dans cet état de dépravation alors qu’il sentait cet instant de paradis terrestre s’approcher à grand pas.

Ce qui vint rapidement arriver alors qu’il sentait les actions de son amant plus fougueuses, torrides, laissant sa chair pantoise et résolument tremblante, impatiente d’atteindre ce moment à l’instant même où ce dernier l’abandonna à son triste sort. Une frustration résolument déchirante qui le fit gémir de mécontentement alors qu’il sentait son amant le menait à lui, l’obligeant à s’agenouiller face à lui. Son regard ô brillant le dévorait de cette lueur de frustration et d’incompréhension alors qu’il sentait ses merveilleuses lèvres se poser de façon torride sur les siennes dans un baiser ô déstabilisant et excitant. Un baiser fougueux qui ne vint nullement atténuer son désir, son ambition de succomber à ce plaisir charnel alors qu’il venait répondre à ce baiser avec la même ambition, laissant sa main rapprocher leurs corps pour sentir sa peau brulante contre la sienne. A cet instant, il ne songeait plus à ses actions, il voulait le sentir brulant contre lui, s’assurer que sa frustration se trouvait tout aussi violente que la sienne. Il dévorait donc ses lèvres avec cupidité et avarice, ses doigts griffant sa nuque tandis que son autre menotte venait glisser sur ses fesses, caressant sa peau si brulante et envoutante. Un baiser auquel son amant répondait avec le même entrain, l’obligeant alors à venir se choir contre le sol frais de cette pièce qui ne pouvait nullement amoindrir la température de son corps. Sa chair brulante et désireuse d’être de nouveau la proie de son amant tout simplement.

Les instant de luxure que le jeune homme vivait en cet instant ave cet homme si séduisant lui paraissaient particulièrement appréciable. Son cœur comme son esprit était en quelque sorte drogué du contact de la chair de son amant qu’il ne pouvait que trouver résolument plaisante. S’il y avait bien une chose dont le jeune homme était sûre, c’était qu’ô grand jamais il ne se lasserait de son amant. Tout particulièrement alors qu’il se sentait lui-même brûler intérieurement de désir alors qu’il embrassait sa chair ô combien appétissante, l’embrassant avec attention et plaisir. Rendre fou son amant, le jeune homme ne souhaitait que cela alors qu’il embrassait à présent son aine, dans un doux sourire.  Les gémissements de son amant se trouvaient résolument plaisants, ravivant sa propre passion et l’intérêt pour sa personne qui se trouvait déjà grand.  Les doigts coquins de son amant sur sa chevelure ne pouvaient résolument que lui plaire, ravivant l’intensité de ses baisers.  Ces doigts s’amusaient pour leur part à venir se poser sur les cuisses de son amant, caressant ses fesses avec une envie non dissimulée quant à leurs prochaines actions. Son corps ne pouvait que vouloir découvrir ces doux moments à ses côtés.  Ainsi, le jeune s’était amusé en quelque sorte à rendre fou encore plus cet homme. Jusqu’à lui faire presque atteindre le plaisir suprême, éloignant ses lèvres de cette aine qui était si excité en ses instants.  La vue que lui offrait son amant se trouvait particulièrement appréciable, lui donnant résolument l’envie de dévorer cet amant.  Les gémissements de frustration de son amant étaient résolument plaisants, ravivant sa propre envie qui se trouvait déjà bien proéminente.

Ki Suk vint alors emmener son amant à s’agenouiller à ses côtés, lui offrant un sourire coquin avant de l’embrasser de manière langoureuse.  Un baiser qui se voulait torride, n’ayant qu’une seule ambition : celle de rendre fou cet être.  Ces mains venaient se
perdre au même instant sur le corps de son amant, sur cette chair si sensible. Son corps ne s’en trouvait pas mieux, alors qu’il sentait les mains de son amant caresser ses fesses, le faisant délicatement frissonner, tout comme ses griffures qu’il ressentait contre sa nuque. Son amant se trouvait tout aussi impatient que lui, il ne pouvait que le confirmer alors  qu’il embrassait avec une passion démesurée les lèvres de son amant. Il ne lui fallut alors que quelques instants de plus avant qu’il ne vienne l’allonger sur le sol, l’embrassant avec plus de ferveur, délaissant ces lèvres pour embrasser sa nuque avec fougue. Ces mains n’en étaient pas pour autant moins  désireuses, caressant ses pectoraux avec une envie certaine. Il était si appréciable de sentir la fermeté de ses muscles qui ne cessaient ô grand jamais de le rendre fou, l’emmener à fantasmer sur cet homme au moindre regard.

Ces lèvres descendirent progressivement jusqu’à atteindre le haut de ses abdominaux, les embrassant avec lenteur et avidité, mordillant légèrement la peau découverte. Le jeune homme s’amusait certainement à l’embrasser ainsi, frôlant ses bouts de chairs jusqu’à les embrasser pendant une dizaine de secondes. Le pathfida ne pouvaient pas s’empêcher de lui-même soupirer contre sa chair, l’emmenant à murmurer alors que ces lèvres descendaient sur ses abdominaux : « Yano… tu es bien le seul sur cette terre à me rendre si fou, si désireux de ta chair. J’ai tant envie de toi en cet instant… tu es si parfait, si magnifique dans cette position.». Le jeune homme termina ses mots dans un doux sourire, embrassant ses abdominaux avec délice. L’une de ses mains vint prendre alors contre la sienne celle de son amant, l’emmenant jusqu’à l’apposer sur son intimité. Ce simple contact eu le mérite de le faire gémir, son corps se satisfaisant de cette action après avoir passé tant de temps sans aucune caresse de son amant. Ki Suk se trouvait résolument accro à Yano, il ne pouvait certainement pas le nier alors qu’il soupirait de bien-être, son amant s’amusant à la taquiner alors qu’il continuait d’embrasser ses abdominaux.

Ki Suk vint sourire doucement contre la chair de son amant, murmurant dans une voix suave : « Yano… caresse-moi, embrasse-moi…  fais-moi ressentir cette douce luxure au creux de tes lèvres. J’ai tant envie de reconnaitre ce péché à tes côtés. L’homme cupide que je suis en a terriblement envie…  »  Le jeune homme termina ces mots embrassant la peau de son amant avec plus de ferveur et d’envie. Son amant en cet instant vint effectuer un doux mouvement de va et vient sur son aine qui ne put que le faire doucement gémir, si ravi d’être choyé par son amant alors que son corps ne cherchait qu’à atteindre cette luxure.

Ce petit jeu coquin initié par cet esprit frappeur était particulièrement frustrant à ses yeux tant il sentait son corps être pris d’un feu sans nom. Il se trouvait particulièrement insatisfait de la fin que cette action lui avait réservée. Être abandonné par ces lèvres ô pulpeuses et merveilleuses de son amant, qui avait tant pris soin d’éveiller ses sens, à l’instant même où il avait senti ce plaisir terrestre s’inviter en sa chair, était une douleur insupportable, que son cœur, son corps et son esprit ne pouvait pardonner, le rendant littéralement fou tant il sentait son âme bruler face à cet homme. Ses lèvres qu’il était venu violer des siennes, l’aidaient à amoindrir cette soif insatiable qui l’étreignait tant il se trouvait cupidement lésé par ce que son amant venait de lui faire connaitre. Il se laissait totalement embraser par ce feu incandescent, ses doigts parcourant la chair si parfaite et désirable de son amant pour s’efforcer de le tenter, de le rendre tout aussi brulant de ce feu qui l’habitait.

Ce qui était résolument le cas tant ce dernier se trouvait tout aussi impatient contre ses lèvres, l’obligeant à s’allonger sur le sol froid et pourtant nullement déplaisant de cette pièce. Il se laissait totalement dominer par cet homme, son cœur battant si violemment dans sa poitrine tant il fondait sous la chaleur de ce baiser, sa peau frémissant sous les caresses de son amant, qui résolument déterminé à le rendre fou, le couvrait de mille et une caresse. Un émoi qu’il ne pouvait nullement contenir, sa voix murmurant le doux nom de son amant lorsque cette bouche si merveilleuse vint se fendre sur sa nuque, l’embrassant de mil et un baisers papillons, qui ne pouvaient rendre sa peau qu’encore plus sensible. Il se laissait faire le souffle court, son corps bien trop habité par cette luxure étouffante qui n’avait de cesse de le rendre avide et impatient. Ces baisers et caresses sur sa chair étaient à la fois une plénitude et un enfer. Ils étaient étourdissants et à la fois brulants tant son échine n’avait qu’une ambition : celle de fondre sous les doigts experts de cet homme qui le rendait si désireux. Les mots qui s’extirpaient de cette bouche si luxuriante se trouvaient tout aussi merveilleux que ces caresses. Il aimait les aveux qui s’en extirpaient quand bien même avait-il conscience de la fébrilité dans laquelle il plongeait l’âme de son amant tant ce dernier fondait toujours à la vision de son corps nu.

Il se laissait donc faire, savourant tout ceci avec effusion alors que sa menotte venait se glisser sur l’aine de son amant, ce dernier la guidant vers elle pour qu’il puisse le caresser à son tour. Une action à laquelle il ne refusait nullement de se soumettre tant il se trouvait satisfait de la fermeté de cette dernière. Elle se trouvait particulièrement tendue, exaltée et les sons qu’elle intimait son amant à exprimer étaient plus qu’envoutant. Il sourit à la demande de son amant qui lui demandait de lui offrir cette même luxure que ce dernier lui avait procurée quelques minutes auparavant. Une supplique face à laquelle il ne pouvait nullement résister, venant effectuer un mouvement de va et vient sur cette partie si tendue durant quelques minutes. Des caresses qu’il se plaisait à lui prodiguer avec tendresse et ambition jusqu’à l’intimer à rejoindre son visage.

Une action qui laissait pleinement entrevoir sa cupidité, celle d’accéder à la demande de son amant alors qu’il venait embrasser l’extrémité de cette aine avec tendresse, la taquinant du bout de ses lèvres, sa langue dans le seul but d’intensifier son excitation, le rendre fou. Il appréciait ses gémissements s’extraire des lèvres de son amant, qui venait à son tour taquiner des siennes, sa partie si fébrile et incline à ressentir de nouveau les bienfaits de ces dernières sur elle. Une idée qui le rendait ivre de désir alors qu’il poursuivait ses taquineries sur celle de son amant, laissant juste ses lèvres parcourir cette aine dans des baisers papillons, ses phalanges renforçant leurs étreintes autour des cuisses de son amant et l’obliger à subir ce contact euphorisant.

Des taquineries qui semblaient résolument rendre fou son amant, qui ne pouvaient camoufler son plaisir alors qu’il venait dévorer son aine de ses lèvres, la couvrant de toute sa chaleur et ambition pour lui procurer ce bien être étourdissant. Un plaisir dont il était lui-même  victime alors que son amant faisait de même, rendant sa respiration résolument saccadée et brulante tant il se sentait  bruler face à tant de satisfaction. C’est donc tout naturellement qu’il sentait ses phalanges caresser la chair des cuisses de son amant pour le rendre aliéné, griffant même délicatement son échine pour augmenter le plaisir que sa bouche pouvait lui procurer. Il s’amusa à le taquiner, relâchant cette peau désirable pour la titiller de sa langue, du bout de ses lèvres en prononçant son prénom, se jouant de lui en murmurant des mots coquins. Il aimait le savoir si ferme, tendu grâce à ses bienfaits, si fébrile, si prêt de l’effusion profonde.

Ce qui semblait se projeter à l’horizon pour son plus grand plaisir car il se sentait lui-même au bord de l’explosion. Il soupira son prénom, lui avouant ô combien il le trouvait sexy dans cette position et l’envie qui le taraudait de le faire atteindre cet extase qui lui avait tant empêché de vivre. Une frustration, qu’il comptait résolument lui faire vivre dans les minutes à venir pour se venger et le rendre tout aussi cupide qu’il ne l’était. C’est pour cette raison qu’il vint de nouveau prendre son aine entre ses lèvres, laissant sa langue le parcourir, lui procurer ce bien être cocasse pour découvrir de nouveau ce plaisir charnel à l’état pur tout simplement.

Atteindre le plaisir extrême dans cette salle était résolument quelque chose d’extraordinaire pour le jeune homme. Savoir que celui-ci se trouvait si proche d’eux ne pouvait que raviver la passion qui possédait son être déjà si émoustillé par tant d’attentions, de caresses et de murmures sensuels. Le coréen dévorait de ses lèvres la chair qui était à sa disposition, se plaisant dans ces gestes emplis de sensualités dans l’unique souhait de rendre fou cet amant.   Ainsi, il n’avait pu que céder à la douce tentation et prendre la main de son amant dans la sienne pour l’apposer contre son aine si impatiente de recevoir l’attention de cet amant. Les gémissements qui s’étaient échappé de ses lèvres à ce moment-là n’étaient là que pour exprimer les bienfaits qu’exerçait son amant. Ki Suk ne put qu’alors exprimer ses plus secrets desseins, celui de pouvoir lui offrir cette même luxure qu’il lui avait procurée quelques minutes auparavant.   Les mouvements de va-et-vient sur son aine ne purent que le faire gémir tant son aine se trouvait ô combien fébrile et sensible au contact de la chair de son amant.

Il n’attendit guère longtemps avant de venir s’allonger sur son amant, laissant alors chacune de leurs aine rencontrer leurs compares. Un fait résolument plaisant et excitant pour les deux amants qui se laissèrent très rapidement aller. Ki Suk se sentait particulièrement fébrile en cet instant, soupirant son bien-être sans aucune gêne au même instant où ses lèvres taquinaient l’aine de son amant. Cette position se trouvait résolument plaisante pour le jeune homme,  la chaleur de son corps s’accentuant, celui-ci réagissant positivement à chacune de ses actions. Son corps frissonnait à chaque instant, tout comme au contact de ses phalanges qui renforçaient leurs étreintes autour de ses cuisses.  Ki Suk était résolument en train de fondre, son aine si bien loti contre les lèvres de son amant qui le rendait incroyablement fou et dépendant. Comme si ses baisers ne suffisaient pas, son amant griffa ses cuisses avec une ambition certaine la chair de ses cuisses.  Le coréen n’en restait pas pour autant inactif, dévorant de ces lèvres cette aine si désirable, laissant ses propres doigts venir caresser ses fesses avec une ambition  certaine, les griffant à son tour avec amusement, frôlant son intimité de ses doigts, une intimité qu’il aimait tant taquiner à chaque occasion, désireux de faire connaitre le bonheur le plus intense à son amant.   Yano ne semblait que le rendre fou, le taquinant, relâchant son aine pour la dévorer de ses lèvres, la relâchant quelques instants plus tard. Chacun des mots que son amant prononçait n’avait qu’un souhait, le rendre toujours plus ferme, si tendu pour enfin lui permettre d’atteindre ce doux paradis.

Chacun des baisers qu’apposait son amant en cet instant le rendait désireux, dévorant avec plus de conviction l’aine de son amant. Son amant lui avoua à nouveau ô combien il le trouvait sexy dans cette position, ayant l’envie de lui faire atteindre l’extase qui lui avait tant empêché de vivre.  Son amant paraissait particulièrement revanchard, n’ayant le souhait au final que de le frustrer et de lui permettre d’atteindre ce fabuleux paradis, après de nombreuses minutes de taquineries.  Sa langue vint s’échouer sur son aine à nouveau, l’emmenant à gémir doucement alors que lui-même embrassait l’aine de Yano, dans un sourire, prenant entre ces lèvres véritablement son aine. Le doux gémissement de son amant ne put que lui plaire résolument alors qu’il laissait l’un de ses doigts pénétrer dans le rectum de son amant, ayant le souhait de rencontrer le plus rapidement sa prostate pour le taquiner le plus possible. Si son amant voulait le taquiner, lui aussi le ferait sans aucune hésitation. Ainsi, il vint garder cette aine de nombreuses secondes, l’embrassant dans un lent et langoureux mouvement de va-et-vient jusqu’à s’en séparer. Au même instant, il vint pénétrer plus intimement son amant, laissant une autre de ses phalanges accompagner son traitement, n’ayant que le souhait de pénétrer sa chair dans un doux manège.

Il reprit à nouveau l’aine de son amant entre ses lèvres alors même qu’il sentait sa propre aine s’échauffer, son amant le taquinant de plus en plus. Ki Suk avait résolument chaud en cet instant, se sentant ô combien fébrile et si proche de cette extase. Yano se trouvait un si talentueux amant pour que le contraire se produise. Le pathfida en avait bien conscience, soupirant à chacune des taquineries de son amant, gémissant alors qu’il éloignait à nouveau ses lèvres de son aine.  Ses doigts frôlant alors la prostate de son amant, il ne put s’empêcher de sourire alors qu’il prenait véritablement entre ces lèvres l’aine de son amant. Il ne souhaitait désormais plus la quitter, l’embrassant et la dévorant dans de langoureux mouvement de va-et-vient, sentant sa propre aine si sensible et si fébrile, s’approchant résolument de cet instant où il rendrait les armes auprès de son mari. Son autre main ne pouvait pas s’empêcher de griffer quelque peu les cuisses de son amant en cet instant, espérant lui faire partager tant de sensation euphorisantes.

La luxure était résolument un péché auquel il prenait toujours un plaisir monstre de succomber d’autant plus lors qu’il se trouvait en compagnie de cet être si parfait, qu’était son tendre mari. Ki Suk se trouvait être sa plus grand faiblesse et ce depuis le jour de leur rencontre. Un être qui était en mesure d’éveiller, rendre folle sa chair comme personne n’avait pu le faire auparavant. Auprès de cet homme, il se déliait de toute raison, de toute pensée censée pour profiter de cette magnifique passion et effusion que son échine, son âme pouvait provoquer au sein de sa chair. Un abandon si intense, si profond qu’il ne pouvait nullement plus s’en passer, étant devenu si dépendant de cet être et de cet amour qu’il provoquait en son être. L’idée de s’éloigner de lui pour des semaines était déjà une épreuve à ses yeux mais, il savait qu’il devrait de nouveau s’y soumettre. Son rêve de devenir chercheur ne pourrait nullement lui permettre de rester toujours auprès de cet homme, qui pourtant suffisait à son bonheur depuis trois ans désormais. Trois merveilleuses années qu’il avait passé auprès de lui, ponctués de joie et de tristesse, d’épreuves aussi mais dont ils étaient toujours sortis encore plus forts, plus lier que jamais. Cela faisait un an désormais qu’il avait prit la décision d’officialiser leur relation en lui remettant cette alliance dont il pouvait sentir le délicat métal se fendre sur sa chair au travers de ces caresses taquines et perverses dont il faisait l’objet.

Des actions qu’il lui rendait avec la même ambition, la même dévotion tant il se sentait pleinement heureux, excité comme jamais. Son cœur, fou, tambourinait dans sa poitrine, si euphorique, si empli de ce plaisir et de ce bonheur de vivre de telles sensations à ses côtés. Malgré la perversion de ces gestes, baisers et caresses, ces derniers étaient empreints de cet amour et dévotion qu’il avait pour cet homme afin de lui faire connaitre de nouveau cette extase qu’ils appréciaient tant lorsqu’ils étaient ensemble. Il s’appliquait donc à sa tâche, ses lèvres venant dévorer cette partie si sensible, si quémandeuse de ses actions alors qu’un feu ardent le rendait ivre de désir. Une ambition sans cesse vivifiée par les actions toutes aussi coquines et perverses de son amant qui n’avait de cesse de le taquiner, le pousser d’autant plus sur la route sinueuse de ce paradis terrestre qu’il lui avait si cruellement refusé quelques minutes auparavant. Pourtant ce dernier se trouvait tout aussi déterminé à l’y mener, se montrant d’autant plus passionné, cupide dans ses baisers et actions en venant taquiner cette partie sensible de son être. Il sentait cette délicieuse phalange s’immiscer au sein de son être pour venir taquiner, cette partie si folle de ces actions en temps normal et qui savait si bien les transmettre à l’ensemble de sa chair. Ce qui ne manqua nullement de se produire quelques instants plus tard alors qu’il sentait une seconde phalange venir s’ajouter à sa comparse, frôlant cette partie si sensible à tout ceci. Un fait qui ne pu que l’intimer à gémir profondément, sentant son souffle devenir d’autant plus essoufflé, brulant que jamais alors qu’il venait griffer délicatement les cuisses de son amant.

Résolument déterminé à transmettre ce même plaisir intense à son amant, Yano vint se montrer plus précis, déterminé et frustrant des actions en alternant des actions langoureuses et passionnés et des actions bien plus lentes et fougueuses. Ce qui semblait résolument plaire au corps de son amant qu’il sentait si fébrile, tremblant contre sa chair tout comme son être pouvait l’être sous ses actions. Il sentait ce doux paroxysme arriver et c’est bien malgré lui qu’il sentit son être se laisser aller entre les lèvres de son amant, l’obligeant à rugir profondément de bien être tant cette plénitude se fit intense et profonde. Un bien être mutuel alors qu’il sentit son amant faire de même, sentant son corps être pris d’un spasme intensif qui lui permit de redécouvrir le gout particulier de cette effusion qu’il venait de vivre. Un met délicat qu’il prit soin d’avaler avec tendresse et dévotion avant de s’éloigner de cette partie pourtant si tentatrice pour reprendre une position plus confortable en face de son amant. Son visage se trouvait souriant, de cette expression luxuriante et accomplie d’un amant résolument charmé et enchanté par ce manège euphorisant qu’ils venaient de vivre. C’est tout naturellement que ses lèvres vinrent se glisser contre celle de son amant pour dévorer de nouveau ses lèvres, redécouvrir ce contact si plaisant entre leurs deux commissures qui se retrouvèrent avec joie alors qu’il murmurait contre ses lèvres :

« C’était parfait mon amour… Comme toujours. Joyeux Saint-Valentin ! Je compte bien profiter de cette soirée à tes côtés et te rendre encore plus accro à moi ! Je t'aime... »

Un petit rire vint traverser ses lèvres alors qu’il laissait ses phalanges glisser délicatement sur les traits du visage de son amant pour le caresser, le contempler de ces prunelles résolument amoureuses et passionnées. Il était heureux et tout son corps transmettait cet amour au travers de ces actions tout simplement.