" Why!? I so wanted to see you, do you know ? "
Jenkins Jane Hanna & Worthington Noah



Depuis les derniers évènements qu’il s’était produit dans la région, il fallait bien reconnaitre que beaucoup de choses avaient changés au sein de l’école. En l’espace de deux semaines, qui avaient semblées être une éternité pour une grande majeure partie des habitants de la région, chacun tentait de reprendre ses habitudes, sans y parvenir pour autant. Elle-même avait du reconnaitre que cet accident l’avait résolument troublée dans le sens où elle ne l’avait pas sentie arriver, du moins dans une certaine mesure. Elle avait apprise que des faits étranges se produisaient dans la contrée mais, un fait d’une telle envergure révélée d’une magie qu’elle n’était nullement en mesure d’identifiée. Malheureusement, elle n’avait pas fait partie de la terreur et l’engouement de certains à ce qu’il s’était passé, ayant passé cette journée là au sein de la bibliothèque à lire les bouquins qu’elle avait soigneusement regardée au sein de la réserve. C’est qu’en entendant les cris de certains élèves qui hurlaient que quelque chose d’horrible s’était produit qu’elle avait plus ou moins entraperçu le sérieux de la situation.

Une situation qui n’avait fait que s’assombrir, heure après heure. Des morts, des blessés, des moldus au courant de leur existence, tel était le lourd fardeau de cet évènement hors du commun. En l’espace d’une semaine, tout avait singulièrement changé. Wang Se Jong se trouvait réduit à n’être qu’un sous directeur sous la tutelle de Grayson Bartolomew, l’ancien ministre de la région avait été destitué et la région se retrouvait sous la tutelle des nations unis magiques. La vigilance était de rigueur et l’image même de l’école avait été modifiée du point de vue de l’organisation suite aux pertes tragiques de certains membres de l’équipe pédagogique. Cela faisait près de deux semaines désormais qu’ils se trouvaient sans cours de défense contre les forces du mal, leur professeur ayant perdu l’esprit à la suite d’un douloureux sort Doloris. Une nouvelle qui avait choqué bon nombre des élèves qui avaient encore du mal à se faire à cette idée.

C’est donc en se rendant dans sa salle commune en revenant de la bibliothèque que son regard fut attiré par un oiseau à l’allure si familière. Un elanion blanc, une espèce assez rare dans la région qui se trouvai perché sur la branche d’un arbre, la fixant tout autant qu’elle le regardait. Un rapace à l’allure si similaire à celui que possédait un être ô important à ses yeux. Une pensée qui ne pu que la troubler profondément tandis qu’elle s’était arrêtée de marcher en le détaillant profondément, le regard brillant tant cette idée, cette pensée qui lui frôlait l’esprit faisait battre intensément son cœur dans sa poitrine. Un fait qui vint faire émettre un son faible à l’animal qui semblait la conforter dans son idée, s’envolant immédiatement en direction des quartiers des professeurs. Une action qui ne put que la faire réagir farouchement alors qu’elle quittait ses amies sans rien dire, protestant avoir quelque chose à faire. Le cœur battant et le souffle court, elle vint suivre l’oiseau au sein des ruelles jusqu’à atteindre le bâtiment des professeurs où ce dernier ne vint nullement à s’engouffrer.

Elle ne vint pas le lâcher d’une seconde, entrant à son tour dans le couloir  où s’alignait les bureaux de tous les professeurs devant lesquels cet oiseau passait. C’est ainsi qu’elle le vit tourner à l’intérieur d’un d’entre eux, la figeant sur place tant elle était fébrile. Ce dernier venait de pénétrer dans le bureau du professeur de défense contre les forces du mal, matière de cet homme qui était le seul à pouvoir la troubler si intensément à la fois de bonheur et de frustration. C’est donc très lentement qu’elle  vint laisser ses jambes la guidait vers cette porte entrouverte, sentant son rythme cardiaque battre dans chaque parcelle de sa chair, résolument plus que troublée. Elle ne fut nullement capable de déterminer combien de temps, il lui fut nécessaire pour parcourir ces quelques mètres mais, c’est tremblantes que ses phalanges vinrent se poser sur le bois de la porte de la pièce qu’elle vint pousser, son regard s’échouant sur une silhouette ô masculine. Une figure qui ne purent que lui faire monter les larmes aux yeux, renforçant d’autant plus sa fébrilité alors qu’elle soufflait simplement dans une voix si coupée.

« No…Noah !? »

Sa voix s’était faite doucement interrogative, si faible qu’elle ne pu que se mordre fébrilement les lèvres tandis que le jeune homme se tournait enfin vers elle, lui permettant d’observer ses traits. Une vision si incroyable que son visage ne put que s’illuminait dans un sourire ô profond alors qu’elle venait simplement lui sauter dans les bras. Une action que son amant qui s’était fait tant absent semblait avoir prévu tandis qu’elle venait l’embrasser passionnément. Des lèvres qui ne purent qu’être satisfaites de retrouver celles de cet être tant attendu, désiré tant leur contact se trouvait si envoutant. Elle ne pensait nullement à rien à cet instant si ce n’est ce bonheur intense qu’elle éprouvait à le retrouver, ici, à Sinseonghan Jolyu où il avait tant tardé à la rejoindre. C’est donc tout naturellement que ses phalanges s’étaient glisser sur sa nuque pour approfondir ce baiser qu’elle ne désirait nullement interrompre, laissant alors ses lèvres si délicates, s’enivrer de l’ivresse de leurs comparses.

TENUE : 01.

Noah venait d’arriver en Corée dans la célèbre et prestigieuse école de Gysteol Hyeon qui avait connu bien des déboires ses derniers quinze jours. Déboirs qui avait laissé une place de professeur de défense contre les force du mal dans cette province se libérer. Le professeur profita de cette opportunité de ce rendre dans ce pays qui avait su attirer son attention. Le malheur des uns fait le bonheur des autres comme on dit. Il savait qu’il n’aurait aucun mal à se faire recruter à l’autre bout de la planète par le nouveau directeur qui le connaissait déjà, toutefois il avait du attendre qu’on lui trouve un remplaçant à l’université américaine, pour pouvoir laisser son poste, ce qui avait quelque peu retardé sa rentrée à Sinseonghan Jolyu. Les étudiants de Corée avaient passé quinze jour sans professeur et étant donné les circonstances ce n’était pas si alarmant. Ils étaient même chanceux de trouver un américain qui désirait tant rejoindre leur terre et leur donner des cours, même si ce déplacement n’était nullement exécuté par altruisme.

Il était arrivé cet après midi là dans l’école mais ne commença pas les cours directement évidement. Il devait être présenter au repas du soir aux jeunes de l’école, toutefois attendre jusque là pour revoir une jeune femme de sa connaissance lui semblait insoutenable. Certes, il avait passé quatre ans sans la voir, mais, elle lui avait terriblement manqué, comme si on lui avait coupé son bras droit. Il était plus qu’impatient de la revoir et depuis qu’il avait passé la porte de cet établissement où elle étudiait à présent depuis des mois. Il était pressé de la reprendre dans ses bras, de ressentir sa présence contre lui et à ses côtés, sa première élève et compagne qu’il avait choisit. Il n’avait put que patienter toutefois, la visite des locaux, s’installer dans son bureau et attendre sagement mais non sans un certain empressement la fin des cours de Jane. Il envoya Perséphone, son élanion blanc la chercher pour lui, lui réclamant de la ramener à lui, ici. L’intelligent rapace le laissa seul dans la pièce dont il laissa la porte entrouverte pour qu’il puisse revenir, ayant toute confiance en l’instinct de l’animal pour retrouver sa favorite. Il ne doutait pas un instant qu’elle comprendrait le message par la simple presence de cet oiseau en ces lieux. Le voyage se trouvait bien trop long entre la Corée et les Etats Unis, si bien qu’il n’avait jamais utilisé que des hiboux pour assurer ses correspondance avec elle. Enfin quand il lui écrivait, il aimait tout autant utiliser les miroirs magiques pour lui envoyer des messages. Il osait espérer qu’elle comprendrait ce que signifiait la présence de l’oiseau et qu’il la ramènerait avec lui, il savait aussi que Perséphone était comme lui, elle obtenait toujours ce qu’elle voulait, ou ce qu’on lui demandait. Il ne pouvait que compter voir la demoiselle pousser cette porte d’un moment à l’autre et il avait vraiment hâte.

Il tournait en rond dans la pièce, ayant rapidement mis ses affaires à leur place comme par magie, il finit par se poser devant la fenêtre pour observer le décor si éloigner de l’école qu’il venait de quitter. C’était quelque peu étrange pour l’américain au final d’avoir quitter avant-hier son bureau aux USA et de déjà s’installer dans ce lieu inconnu qui deviendrait si familier bientôt. Le battement d’aile de Perséphone qui vint rejoindre son épaule l’éveilla de ses pensées comme une alarme le rappelant à l’ordre. Il était d’ailleurs porteur d’une très bonne nouvelle comme il entendait des pas le suivre. Il se tourna pour revoir ce visage qui lui avait tant manqué. Il ne put masquer son sourire qui atteignait es oreilles tant il se trouvait ravi de la revoir. Elle prononça son nom, émue de le revoir, elle se jeta sur lui.

Sans attendre ni se plaindre tant il avait attendu cet instant, il la serra contre lui, la prit dans ses bras en laissant la jeune femme l’embrasser. Il répondit au baiser avec passion, trop heureux de retrouver son amante. Il ne sut que le poursuivre, ne désirant que retrouver ses lèvres, ce corps tout comme elle en semblait tout aussi avide. Il ferma sa porte d’un coup de baguette et utilisa ses mains pour redécouvrir les formes de son dos qu’il n’avait pas caresser depuis si longtemps.

« - Jane ! » prononca t’il entre deux baisers comme ses lèvres semblaient incapable de rester loin d’elle un instant de plus.

« j’ai mis du temps à venir ! tu m’as manqué. Mais tu peux dire bonjour à ton nouveau professeur.» Il lui annonca ceci comme une promesse de ne plus repartir aussi loin d’elle aussi longtemps, bien que techniquement, c’était l’inverse.

tenue : ici

Fébrile, elle ne pouvait que l’être de retrouver cet être tant aimé et désiré. Si en se levant ce matin on lui avait annoncé qu’elle allait être en mesure de le revoir, sans doute ne l’aurait-elle pas cru. Cela faisait près de quatre ans qu’ils ne s’étaient vus, s’échangeant à peine quelques hiboux ou messages au travers de miroirs magiques. Leurs vies avaient évolués dans des cercles bien différents à tels points qu’elle n’avait pu que se sentir plus seule que jamais, livrée à elle-même. Son cœur ne pouvait que devenir fou à son présence, glorieux de cette ivresse qu’elle ne pouvait contenir. Elle s’était tant languie de sa présence, désirant ardemment revoir ses traits qui s’étaient tant faits absents à ses prunelles qui fondaient inexorablement à leur contemplation. Son cœur battait tel un aliéné dans sa poitrine tandis que ses lèvres découvraient de nouveau la texture de ses délicieuses comparses qu’elles ne désiraient point abandonnés. Désormais retrouvées, elle ne pouvait que se sentir fondre à leur contact, chérissant leurs douceurs et chaleurs comme par le passé tant elles réchauffaient son corps, son cœur…Ses phalanges glissées dans la nuque de cet homme tant attendu, ces dernières appréciaient le contact de cette chair avec effusion, exigeant d’autant plus qu’elle ne le découvre de nouveau. Une ambition qui ne pouvait qu’être commune alors qu’elle sentait les bras de son amant la serrer contre lui, l’embrassant passionnément à son tour.

Qu’importe si ce dernier s’était trouvé en compagnie d’un autre professeur, d’un élève ou d’un simple étranger, son corps ne pouvait agir en fonction de la raison à cet instant. Seulement dicté par son cœur et son esprit qui s’était tant langui de lui, elle savourait ce bien être retrouvé au goût si additif sans penser à rien. Elle ne songeait nullement aux raisons qui faisaient qu’il se trouvait ici, dans ce bureau mais, indirectement sans même qu’il ne lui en fasse part, elle avait comprit. Il était là, de retour dans sa vie et cette idée ne pouvait que l’ébranler tant elle emplissait son cœur d’une chaleur sans nom. Elle savourait donc ce baiser avec bonheur, sentant sa chair se trouver si agitée contre celle de son ami qui venait parcourir son dos pour la redécouvrir ses formes de son dos qu’il n’avait pu toucher après tout de temps. Elle ne pu que se sentir légèrement mécontente de savoir ses lèvres se retirer des siennes mais le doux prénom qu’elles laissaient échappé ne pouvait qu’emplir son être d’une félicité incommensurable. Elle se contenta alors seulement de le dévorer du regard alors qu’il venait lui murmurer entre deux baisers qu’il avait mit du temps à venir mais, qu’elle lui avait manqué. En effet, elle pouvait désormais dire bonjour à son nouveau professeur.

Des paroles qui ne purent que l’affaiblir d’autant plus alors qu’elle le dévorait de son regard ô troublé, pétillant de cette ivresse qu’elle ne pouvait retenir. Le bonheur qu’elle ressentait à cet instant ne pouvait qu’être plus intense que jamais. Elle ne savait quoi dire, quoi répondre à ses mots qui lui promettaient tant de choses. C’est pour cette raison qu’elle se contenta simplement de venir l’embrasser de nouveau sans un mot, laissant son corps répondre à ses mots, se collant si fermement contre lui que le corps de son ami vint butter contre le bois de son bureau. Un fait qui ne pu que la faire sourire tout autant que lui alors qu’elle venait murmurer contre ses lèvres.

« Espèce de monstre... Tu savais comment j’allais réagir si tu apparaissais comme ça, sans rien dire. Tu attendais que cela, que je te saute dessus, avoue ? »

Ses paroles se firent faussement accusatrices alors qu’elle laissait ses doigts se glisser sur la veste de son cher professeur qu’elle redécouvrait également après tant de temps. Des phalanges qui contemplaient la forme qu’elle pouvait percevoir sous ce tissu avant de venir se choir sur cette cravate avec laquelle elle vint jouer. Son regard se faisait intense alors qu’elle venait tirer doucement sur cette dernière pour lui voler de nouveau un baiser, murmurant tout contre ses prisonnières.

« Tu m’as tant manqué, mon nouveau professeur…. Mais,… vais-je encore devoir jouer les élèves vilaines pour attirer votre attention ? Ou ais-je toujours le droit de vous nommer Noah ? J’ai toujours une nette préférence pour la seconde option. »

Des questions auxquelles elle n’attendait pas particulièrement de réponses, n’ayant que faire de ses dernières tant qu’au travers de ses gestes, il lui montrait qu’elle lui avait manqué tout autant qu’il lui avait manqué. C’est pour cette raison qu’elle laissa une de ses mains remonter à sa nuque pour venir caresser cette nuque de ses doigts alors qu’elle l’embrassait de nouveau, de façon bien douce et sensuelle qu’auparavant, laissant simplement son souffle chaud se choir sur ses lèvres alors qu’elle se collait à lui sensuellement pour juste sentir son corps se réchauffer, ayant tant besoin de ce contact qui se faisait cruellement désiré.

La présence de Jane dans cette école, n’était nullement étranger aux choix de rejoindre enfin cette partie du monde. C’est comme si elle avait pressentit quelque chose depuis bien longtemps ét il ne pouvait que lui donner raison à présent. L’opportunité et Jane, deux bonnes raisons de quitter son poste confortable dans les grands espaces américains pour l’air de la montagne coréenne, de cette région mythique et secrète mais qui pourrait être le berceau de leur projet. Tout ce qui l’intéressait pourtant à l’instant c’était ces lèvres qu’il venait embrassé avec passion et avidité, trop heureux de pouvoir retrouver sa complice de toujours, sa Jane. Il retrouvait avec joie leur gout sucré qui lui avait tant manqué pendant ses années si éloigné d’elle. Si il n’avait pu ne plus les lâcher et rattraper ainsi tous les baiser et les câlins qu’il n’avait pu lui donner durant quelques années, sans doute qu’i ne se serait pas gêner. Mais la vie et la condition humaine ne le permettait pas. Il venait donc s’emparer de ses lèvres, les rendant complètement prisonnière des siennes, ayant le bonheur de sentir la pression des siennes réclamant ce traitement avec appétit.

Il s’en amusa avant de venir lui expliquer la raison de sa présence en ses lieux, quand bien même, il se doutait qu’elle avait quelque peu comprit le message à présent. Ce lieu de retrouvailles n’était ni commun, ni dénué de sens. Il lui expliqua qu’il était son nouveau professeur, il n’avait pas besoin de préciser la matière tant celle-ci se trouvait évidente. Il eut le plaisir de retrouver les lèvres de la jeune fille une nouvelle fois. Dans son élan et enthousiasme, elle emporta Noah contre le bureau. Il rit doucement, décidément séduit par l’engouement de la jeune fille et ravi de la revoir également. Elle venait le traiter de monstre, comme il savait comment elle allait réagir si il apparaissait ainsi devant elle, il n’attendait que cela, qu’elle lui saute dessus devait il avouer. Une réaction qui le fit sourire d’autant plus. Il n’y avait nul besoin d’avouer un tel fait, c’était une simple évidence. Aussi il ne répondit pas, nul besoin de confirmer cette affirmation certaine sous les caresses des mains féminine qui vinrent jouer avec sa cravate. Lui se contentait de la regarder tout en s’appuyant contre son bureau pour la placer entre ses jambes et la retenir prisonnière contre lui sous son regard qui semblait sonder l’esprit de son amie qui l’attirait à elle pour l’embrasser à nouveau furtivement.

Elle vint avouer qu’il lui avait manqué et lui demanda si elle devrait jouer les élèves vilaines pour attirer son attention ou si elle pourrait toujours le nommer Noah, en expliquant qu’elle avait une nette préférence pour la seconde option. Noah n’eut pas le loisir de répondre comme elle revenait déjà l’embrasser, sa main glissant sur la nuque du jeune homme qui appréciait grandement ce contact. Il se laissa embrasser, partagea ce même baiser avec bonheur et désir.

Il caressa la taille de la jeune fille, l’enserrant contre lui pour venir embrasser l’oreille de la jeune femme et la mordiller avec douceur le lobe de celle-ci. Il souffla légèrement contre elle avant d’y murmurer non sans un certain air taquin.

« - Oh dommage, j’espérais pouvoir te mettre des retenues pour te punir moi-même lorsque tu te montrerais vilaine avec ton nouveau professeur. Mais si tu ne veux pas, tant pis pour moi. Je me contenterais d’une charmante élève qui m’appelleras Noah. Je ne sais pas trop comment ca doit se faire ici !»

Il rit doucement contre son oreille, ses paroles se trouvaient vraiment vile et coquine, comme son état d’esprit se trouvait ainsi à présent, ébouillanté par la présence de cette jeune femme qu’il avait tant désiré revoir. Il vint à nouveau embrasser son oreille, puis sa joue avant de récupérer ses lèvres une nouvelle fois.

Quand bien même s’était-elle injuriait de la façon dont le jeune homme avait gardé secret son arrivé, il n’en restait pas moins qu’elle se trouvait profondément heureuse à ce fait. Cela faisait deux ans révolus désormais qu’elle avait quitté le sol américain pour venir dans cette province coupée du monde. Une terre où la rancune des habitants était tenace vis-à-vis des moldus et qui semblait propice à devenir le centre d’une nouvelle ère dans l’histoire de la magie. Une intuition que le professeur n’avait pas réellement cru dans un premier temps, la laissant aller seule dans cette contrée pour en avoir le cœur net. Une décision qu’elle n’avait pu lui en vouloir, ayant conscience que la situation de son amant se trouvait tout aussi propice au sein de l’académie américaine, elle n’avait nullement voulu lui voir quitter une place si confortable où il pourrait approcher de nouvelles recrues. Quoi qu’il en soit, ces deux dernières années s’étaient trouvées particulièrement pénibles pour la jeune femme qui s’était tant languie de cet homme. Un homme fourbe qui s’amusait de la fébrilité dans laquelle il la mettait juste par son retour. Son regard taquin ne pouvait échapper à ses prunelles si pétillantes tant l’euphorie qui l’habitait se trouvait intense.

A cet instant, les paroles qu’ils prononçaient ne pouvaient n’être que futilité tant ses dernières ne pouvaient point être aussi profondes que leurs actions. Leurs prunelles n’avaient de cesse de détailler l’être tant manqué, rendant leurs échines dingues de ce contact retrouvé qu’ils découvraient de nouveau en compagnie l’un de l’autre. Au creux de ses cuisses, elle ne pouvait s’empêcher de le détailler avec cette vive émotion qui étreignait son cœur tant elle mourrait d’envie de l’embrasser de nouveau. Des lèvres qui affichaient un sourire si amusé et magnifique qu’elle ne pouvait s’empêcher de les observer avec émotion avant de venir les voler de nouveau sans laisser la possibilité à son amant de répliquer quoi que ce soit à sa petite pique taquine. Des prisonnières dont elle savoura la texture avec fébrilité, laissant ses lèvres se mouvoir contre ses dernières qui enflammaient sa chair tandis que ses phalanges glisser tendrement sur sa nuque, le tissu de sa veste. Un baiser qui semblait tout autant ravir Noah qui vint délicatement caresser sa taille pour l’enserrer tout contre lui. Une étreinte qui ne pouvait que la rendre d’autant plus faible alors qu’elle sentait ses délicieuses lèvres quitter les siennes pour se mouvoir contre son oreille pour la taquiner à son tour. Une action qui ne pu la rendre d’autant sensible alors qu’il venait doucement mordiller le lobe de son oreille, laissant son souffle effleurer légèrement sa chair.

Ses paroles ô taquines qui se faisaient faussement tristes lui soufflait qu’il était bien dommage, qu’il espérait justement pouvoir lui mettre des retenues pour la punir lui-même lorsqu’elle se montrerait vilaine avec son nouveau professeur. Cependant, si elle ne le voulait pas, tant pis pour lui, il se contenterait d’une charmante élève qui l’appellerait Noah car il ne savait pas trop comment ça devait se faire ici. Des mots qu’il vint finir dans un doux rire à la fois vil et coquin alors qu’elle sentait de nouveau sa bouche se mouvoir sur son oreille, sa joue pour récupérer ses lèvres une nouvelle fois dans un baiser auquel elle ne pu nullement résister. Une étreinte dans laquelle elle se laissa faire avec passion, laissant sa bouche se glisser sur celle de son amant qu’elle ne se lassait pas d’embrasser alors qu’elle continuait ses caresses sur sa nuque, son torse au travers de ce tissu cotonné. Un baiser qu’elle vint délicatement rompre dans la seule ambition de venir délicatement mordiller sa lèvres alors qu’elle murmurait en haussant un sourcil.

« L’un n’empêche pas l’autre. Je peux être une vilaine élève si tu veux en secret… et tu n’auras qu’à me punir comme tu le sens. Après tout, embrasser un professeur dans son bureau, se coller à lui pour le tenter et résolument préjudiciable, qu’en dis-tu ? »

A ses mots, elle se contenta simplement de se coller plus fermement contre lui, laissant sa poitrine se mouvoir contre son torse alors qu’elle quittait ses lèvres pour baigner sa mâchoire de baisers, descendre au creux de sa nuque qu’elle vint titiller à son tour, murmurant au creux de son oreille dans une voix à la fois sensuelle et taquine.

« Je suis donc une mauvais élève, non ? Devrais-je arrêter, M. Worthington ? »

A ses mots, elle ne pu que venir rire légèrement alors qu’elle laissait ses doigts retrouver le tissu de la veste de son modeste professeur pour se glisser à l’intérieur, découvrir de nouveau la texture de sa chair sous ses doigts. Était-elle en train de le tenter ? Assurément et elle savait que ce petit jeu amusait toujours autant son ami, qui en fin de compte escomptait que cela de sa part. C’est donc tout naturellement qu’elle vint sourire contre sa nuque qu’elle dévorait simplement de sa bouche, curieuse et désireuse de la rendre fébrile sous ses actions, comme toujours.

Il ne pouvait qu’être heureux de retrouver ses lèvres, ce corps qu’il aimait passionnément, qu’il avait toujours désiré ardemment. Il lui avait tant manqué de pouvoir sentir ce parfum fleuri et doux qui embaumait le cou de la jeune femme. Cette si chaleureuse odeur remontait tant de souvenir de leurs luxurieuse nuit d’amant et avec ceux-ci, intensifiait le désir de l’homme qui n’avait que trop attendu l’instant de ses retrouvailles. Il reprenait ainsi possession des oreilles, des joues et des lèvres de la demoiselle. Il la serrait contre lui tout en l’embrassant fougueusement, appréciant la caresse de ses doigts fins contre son cou et son torse rappelant sa sensibilité à l’éveil. Il ne regrettait nullement d’être venu retrouver la jeune fille. Il lui plaisait tant de pouvoir l’embrasser à nouveau, caresser ses si belles formes.
Elle mit fin au baiser pour se mordre les lèvres de façon très sensuelle en observant que l’un n’empechait pas l’autre. Elle pouvait tout à fait jouer les vilaines élèves en secret s’il voulait et il n’aurait qu’à la punir comme il le sentait. Après tout, embrasser un professeur dans son bureau, se coller ainsi à lui pour le tenter était bien préjudiciable. Il rit doucement de cette bien coquine proposition avant de la sentir se coller à lui, ayant le plaisir de sentir sa poitrine contre son torse tout en se laissant bercé par les baiser qu’elle offrait à sa mâchoire, sa nuque. C’est résolument taquine qu’elle vint lui murmurer qu’elle était donc une mauvaise élève. Devait elle arrêter, le questionna t’il. Son rire retentit, comme une agréable musique à ses oreilles. Comme elle le tentait à présent, elle était venu glisser ses doigts sous sa veste pour caresser sa chaire qui frissona sous le contact chaleureux des phalanges de la jeune fille.

Le nouveau professeur se laissa diriger par Jane sans la moindre complainte, appréciant et s’amusant de la oir si entreprenante et rai de le retrouver. Il aimait qu’elle vienne le tenter et le taquiner de la sorte, ils s’étaient toujours amuser ainsi, tout deux. Noah ne doutait nullement qu’elle avait autant que lui besoin de la retrouver ainsi et il participait avec joie à ce petit jeu, se sentant tout particulièrement fébrile face à elle et à ses actions, sa manière de dévorer sa nuque avec tant de curiosité et de désir

Noah laissa glisser ses mains sagement posées sur la taille de son élève descendre le long de son fesse, caressant leur forme rebondit et ferme, parfaite sous ses doigts avide de reconnaitre ses traits. Il respirait doucement, soufflant contre le visage de la jeune fille avec douceur, ses mains se balladant joyeusement sur sa belle rabpullus qui se trouvait entre ses bras. Il les dirigea vers les cuisses de la demoiselle, venant tâter cette douce peau ferme, ses muscles du haut des jambes, sentant sa chaire épouser la forme de sa main.

« - Tu es en effet très vilaine, Jane ! Ceci mérite amplement une punition digne de ce nom pour séduire son professeur tout nouvellement arrivé. »

Il revint embrassé les lèvres de la demoiselle, avec passion en forçant ses cuisses à se rapprocher encore un peu plus de lui. Ses mains, plus que coquine, se glissèrent impunément sous la robe brillante de la jeune femme pour caresser ses cuisses, mais aussi, le slip qui protégeait les fesses de la demoiselle. Il caressait sous la robe ce tissu soyeux qui protégeait de ferme fesse de cette femme si magnifique. C’est sans la moindre gène, mais tout empli de désir et de malignité, qu’il laissa une de ses mains glisser sous celle-ci. Malicieusement, deux de ses doigts vinrent frotter l’entrejambe de la jeune femme au dessus du tissu du sous vêtement. Tout alors qu’il l’embrassait, il laissa ses doigts éveillé les autres commisures de Jane, impatient d’émoustiller son élève, de la rendre faible tout comme elle le cherchait elle-même après tout. Ses lèvres et sa langue elle continuait de dévoré sa comparse avec appétit et avidité.

Coquine, la jeune femme ne pouvait que l’être à cet instant tant son être se trouvait euphorique de retrouver cet être tant aimé. Elle se trouvait tant animé à cet instant par ce glorieux bonheur de pouvoir de nouveau sentir son odeur enivrer ses narines qu’elle ne pouvait nullement tolérer l’idée de se détacher de cette étreinte qui s’était tant fait désiré. Ces quatre dernières années avaient été longues et parfois douloureuses pour la jeune femme qui avait eu un mal fou à se faire à l’absence de cet être qui revenait enfin à ses côtés. Un homme qui avait du se languir tout autant de la revoir, de pouvoir la sentir tout contre lui comme il était en train de l’enlacer mais qui n’avait pu le faire jusqu’à ce jour. Même aujourd’hui, elle avait pleinement conscience qu’elle avait agit égoïstement en prenant la décision de venir étudier dans cette université mais, désormais, elle savait ô combien elle avait eu une bonne impression. En effet, quand bien même n’était-elle nullement en mesure d’identifier les responsables de l’accident qui s’était produit quelques jours auparavant, elle ne pouvait qu’être ravie de voir que son comparse de toujours avait décidé de venir à elle. Ce n’était pas une visite de quelques jours mais, une promesse de rester à ses côtés désormais, quand bien même devraient-ils comme toujours se cacher aux yeux de tous. Seulement, même cette songée ne pouvait atténuer son engouement de le retrouver. Elle ne pouvait donc que se laisser aller à ses pensées lubriques, désireuse plus que tout de retrouver les formes si attrayantes et aimantes de cet homme qui savait comment la rendre fou de son être. Un homme capable de lire dans ses pensées pour identifier ce qu’elle désirait plus que tout, d’autant plus dans ses instants ô coquins et sensuels.

Elle se livrait donc à un véritable jeu de séduction tant elle désirait qu’une chose à cet instant : le retrouver. Elle avait besoin de sentir ses lèvres, ses doigts, son souffle sous sa chair, voir, éprouver le bonheur de succomber à ses charmes, s’assurer qu’il la désirait toujours tout autant qu’elle avait envie de lui. Une réalité qu’elle ne pouvait nullement ignorer tant ce dernier se plaisait à la voir agir de la sorte, ravi de son petit jeu de mauvaise élève. Elle pouvait même le sentir faiblir face à ses actions, son souffle s’échouant contre son visage alors qu’elle poursuivait ses baisers sur sa nuque avec le même empressement. Une ambition réciproque qu’elle ne pu que savourer dès lors qu’elle sentit les phalanges de son amant glisser le long de ses fesses pour caresser leur forme rebondie et ferme, résolument parfait. Des mains qui semblaient désireuses de découvrir ses traits alors qu’elle continuait ses caresses sur son torse, son autre main s’invitant à son tour sous le tissu de cette veste, qui semblait de trop. Un bien être de le retrouver qui n’avait de cesse de s’affermir alors qu’elle sentait la chaleur de ses doigts quitter le tissu de sa robe pour s’apposer sur la chair du bas de ses cuisses. Une action qui ne pu que la rendre d’autant plus fébrile alors qu’elle se mordait délicatement les lèvres tant ses phalanges animaient un feu au sein de ses reins. Ces dernières vinrent délicatement s’inviter sous le tissu de sa robe pour remonter sensuellement sur le haut de ses cuisses, épousant leurs formes alors qu’il lui susurrait dans une voix ô suave qu’elle était en effet très vilaine, méritant amplement une punition digne de ce nom pour séduire son professeur tout nouvelle arrivé. Des paroles qui ne purent que la ravir alors qu’elle sentait de nouveau ses lèvres se faire voler passionnément par celle de son amant. Un baiser langoureux dans lequel elle se laissa totalement prendre, soupirant d’aise de son action qui consista à la rapprocher de lui, sentant ses cuisses prisonnières au creux de celle du jeune homme qui éveillait résolument ses sens. Sous ses cupides phalanges, sa chair s’enflammait inévitablement, frissonnante sous leur action alors qu’elle venait à son tour parcourir son buste, laissant ses phalanges se choir sur les boutons de sa chemise pour le lui retirer dans des actions expertes.

Animée par le désir de retrouver la chaleur de sa chair, il ne lui fallut que quelques minutes pour lui retirer ses encombrants tissus pour glisser ses phalanges au contact de sa peau. Une peau ferme et brulante qu’elle ne pouvait qu’être comblée de retrouver, sentant son corps réagir si favorablement. Elle commençait délicatement à avoir chaud, ce corps pressé contre le sien si bienfaisant pour sa chair, son être qui ne pouvait pas lui résister tant il savait y faire avec elle. Ses lèvres ne se lassaient résolument pas de celle de son amant auxquelles elles répondaient avec la même passion alors qu’elle se sentit légèrement gémir contre ses dernières. Un gémissement résolument incontrôlable qui exprimait ô pleinement l’effusion dans laquelle se trouvait son corps à ces doigts qui flattaient cette partie si sensible de son anatomie. Des phalanges qui éveillaient d’autant plus son désir tant leurs caresses se trouvaient coquines et appréciables comme s’il avait pu lire dans ses pensées en cet instant. C’est donc animée par ces caresses ô plaisantes, que ses doigts venaient s’échouer sur la chair brulante de son amant de façon passionnée, désorganisée tant elle se sentait délicatement faiblir face à lui. Un fait qui ne semblait que d’autant plus ravivé son amant qui poursuivait ses caresses sur cette intimité qui montrait résolument son plaisir à être de la sorte taquinée, l’obligeant à gémir contre ses lèvres qui n’avaient de cesse de dévorer leurs comparses.

Elle se laissait donc dévoré par ce bien être étourdissant dont elle était résolument prisonnière alors qu’elle glissait ses phalanges sur les abdominaux du jeune homme dans l’intention de retrouver sa ceinture, la desserrer, résolument impatiente de redécouvrir ce bien être d’être sienne. C’est donc dans une voix résolument essoufflée et rauque qu’elle vint simplement murmurer contre ses lèvres, le sourire aux lèvres, les yeux brillants :

« Punis-moi, Noah… Je suis une très vilaine élève mais, tu aimes cela, n’est-ce pas ? »

Ses derniers mots prononçaient dans une voix ô sensuelle, était une invitation à ce qu’il poursuive ses actions qui n’avaient qu’une seule ambition : la rendre folle.

Noah prenait beaucoup de plaisir à ses baisers qu’il échangeait avec la jeune femme, de sentir ses menottes féminines qui parcourait son torse avec douceur et un brin de malice coquine. Elle le dénuda de sa chemise avec assurance et expertise. Il ne pu que se laisser faire sous les main si impatiente de la jeune fille qui avait défait tout ses boutons en l’embrassant. Elle l’avait débarrassé de ce tissu bien encombrant qui l’empêchait de sentir la chaleur qui émanait de ses paumes avide des formes de ses abdominaux. Elle n’avait rien perdu de sa capacité à le combler par la douceur de ses mains sur son torse, par ses baisers si passionné qu’ils partageait autant avide l’un que l’autre. Lui redécouvrait sous ses phalange la fermeté des fesses de la demoiselle, les mouvements rusés s’invitant auprès de l’intimité de la jeune femme, désirant lui offrir ce plaisir dont il la savait demandeuse. Elle en avait tout autant envie que lui. Il l’entendait gémir légèrement contre ses lèvres qu’il n’avait de cesse de décorer. Le professeur ne pouvait que se réjouir de ses faibles plaintes de plaisir qui s’extirpait des lèvres de Jane sous ses mouvements qui n’avait pas d’autre objectif que celui –ci, les ébouillanter. Il s’en extasiait, trouvant ce plaisir vraiment magique à ses oreilles.

Il respirait fortement contre les mains de sa petite amie, recherchant le contact si agréable de celles-ci passionnément . Il aimait sentir celles-ci se mouvoir sur son torse et ses muscles, ca le rendait si faible face à elle, il avait envie d’elle. Noah l’embrassait avec passion, tout le désir qu’il éprouvait pour elle était intensifié par le manque qu’il avait ressenti dernièrement, si bien qu’il ne prenait énormément de plaisir à la retrouver ainsi avec impatience. Il ne pouvait d’ailleurs cacher cette certaine hâte qu’il avait de la prendre. Satisfait de leur relation telle qu’elle se trouvait à cet instant présent, il se délectait de chacune des attentions qu’elle avait à son égard et en redoublait lui-même pour elle tout en souriant contre ses lèvres.

Elle était pressée aussi, elle s’attaquait d’ors et déjà à sa ceinture pour la desserrer. Il sourit face à l’attitude entreprenante de la jeune femme qui le déshabillait tandis que lui s’affairait à faire grandir son désir sous cette robe pailletée qui mettait parfaitement ses formes en valeur. Il voulait la posséder et elle-même ne semblait pas contre l’idée de devenir sienne, une nouvelle fois, après tant d’année, elle lui appartenait toujours, et il se sentait soulager et heureux de le constater. Elle lui demanda de la punir en disant qu’elle était une très mauvaise élève. Seulement elle lui demanda aussi d’avouer qu’il aimait ça. Elle avait plus que raison, il adorait ça et aurait été très déçu du contraire ou de la voir résister. Quand bien même leur relation était si forte, après plusieurs années l’un sans l’autre, il s’était questionné et quelque peu inquiété de la réaction de sa disciple et complice de toujours à son retour, et surtout de son éloignement possible. Mais il la retrouvait, comme il l’avait laissé, encore plus belle, plus séduisante, plus femme encore.

Il sourit à cette invitation si coquine qu’avait exprimé la jeune femme, ravi de cette demande qu’elle avait donnée. Il vint déposer un léger baiser sur les lèvres de la demoiselle avant de dire.

« -Il suffit de le demander. Tes désirs sont des ordres tu le sais. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrait en effet. » Oui, il avait tout autant envie qu’elle de la punir, de la rendre sienne. Sa main restait contre la partie intime de sa chère pupille tandis que l’autre venait serrer la taille de la demoiselle. Sa bouche descendit couvrir son cou de baiser, le dévorant avec passion . S’appuyant un peu plus contre son bureau, et la serrant à lui, l’homme baisa le col de la jeune femme, offrant de doux bisous sur cette peau chaude. Il descendit vers la naissance de sa poitrine embrassant, dévorant le décolleté de la jeune fille qui était plus qu’attrayant, il sentait son cœur battre fort sous ses lèvres mais c’est avec douceur qu’il déposait ses lèvres juste au dessus de cette si magnifique poitrine qui était si attirante.

Elle se laissait dévorer par ce bien être étourdissante que son amant tant désiré lui procurait. Cela faisait près de quatre ans qu’elle n’avait pu gouter à cette enivrante chaleur dont il était le seul responsable dès lors qu’il la couvrait de ses attentions. Il avait toujours cette facilité déconcertante de la manipuler, de la manier de sorte à ce qu’elle se soumette à lui. Une aisance qu’il appréciait user sur elle et qui marchait résolument alors que son corps brulait de le retrouver. Le contact de ces douces phalanges contre le tissu de son sous-vêtement éveillait ses désirs de femmes. Habiles et résolument ambitieux, elle ne pouvait que succomber à leurs attaques sensuelles sur cette partie si sensible de son anatomie. Elle ne pouvait donc qu’être impatiente de retrouver la chaleur et la sensualité de ce corps si masculin qui s’offrait à sa vue. Ces yeux brillaient de ce plaisir qui l’étreignait peu à peu, enflammant son corps à la moindre seconde qui s’écoulait tant elle se consumait de désir pour lui. Elle ne pouvait alors que se laisser aller contre ses lèvres, ses phalanges découvrant ses muscles si fins et fermes sur lesquels elle avait toujours fantasmés. Ses mots susurrer contre ses lèvres n’étaient qu’une invitation de plus à poursuivre leurs actions qui devenaient de plus en plus lubriques. Elle savait qu’il avait qu’une seule ambition, la rendre folle et son regard intéressé et amusé ne pouvait que le trahir, souriant simplement ce qui le rendait encore plus sensuel à ses yeux.

Elle sentit donc ses lèvres se poser un instant sur ses comparses, un baiser bien trop léger pour pouvoir la contenter alors qu’il lui susurrait qu’il lui suffisait de le demander. Après tout ses désirs étaient des ordres et ce n’était pas lui qui allait s’en plaindre. Des paroles murmurées dans une voix ô masculine face à laquelle elle ne pouvait point résister, d’autant plus que ses phalanges coquines de cet homme ô doué continuaient de la malmener. Elle ne pu donc que se mordre délicatement la lèvre alors qu’elle sentait son autre main la serrer contre lui, le visage de ce dernier quittant le sien bien à son regret. Un regret qui fut de courte durée alors qu’elle sentait déjà les lèvres brulantes de son amant se poser sur sa mâchoire, le creux de sa nuque avec ambition et passion. Une zone résolument érogène de son corps que son amant ne connaissait que trop bien alors qu’il la couvrait d’attention. Des baisers et des caresses qui ne pouvaient qu’éveiller ses sens, son cœur battant promptement dans sa poitrine tant ce plaisir gagnait sa chair de façon intense. C’est donc dans un léger soupir de bien être qu’elle laissa son bien être s’exprimer, se mordant les lèvres délicatement alors que ses doigts se mouvaient sur la chair pas entièrement nue du torse de son professeur pour rejoindre sa nuque afin de la caresser tendrement. Ses phalanges ayant atteindre leur objectif, elle les laissa cajoler cette partie du corps de son amant alors qu’elle sentait ses lèvres descendre vers la naissance de sa poitrine. Une action qui ne pu qu’accroitre son bien être alors qu’elle sentait sa poitrine se soulevait violemment à ce plaisir qu’il provoquait en son échine. Sans doute devait-il appréciait sa fébrilité dont son être était victime après tant d’années passées loin de lui. Il ne pouvait en être autrement et cela ne pouvait que la rendre d’autant plus cupide, désireuse de fondre sous ses doigts, redécouvrir le plaisir grâce à lui.

Elle ne vint donc nullement retenir un léger gémissement lorsqu’elle sentit ses lèvres dévorer son décolleté tout juste au dessus de sa poitrine qui s’offrait à ses lèvres tant elle sentait ce bonheur s’intensifiait, devenir beaucoup moins discret. N’étant nullement disposé à rester totalement inactive, sa deuxième menotte vint s’immiscer au creux du bas de son amant qu’elle avait déboutonné auparavant. Sans doute qu’à cet instant, Noah avait pleinement conscience de l’action qu’elle était sur le point de réaliser alors qu’il la rendait folle rien que par ses baisers et caresses. C’est donc sans nulle gêne, seulement animée par le désir de lui rendre la pareille, qu’elle vint à son tour glisser ses phalanges sur la forme de son intimité résolument protégée par ce boxer qu’elle ne pouvait point admirer. Une intimité résolument titillée et toute aussi cupide que la sienne alors qu’elle découvrait de nouveau sa forme sous les caresses coquins du bout de ses doigts. Elle vint la découvrir ainsi durant de nombreux passages alors qu’elle sentait ses doigts s’imposer d’autant plus sur sa propre intimité, ses lèvres brulant sa peau. Sans doute que son corps réagissait plus que favorablement alors qu’elle venait enfin laisser ses doigts épouser la forme de sa virilité au travers du tissu, exerçant délicatement des mouvements de va et vient dont elle bénéficiait indirectement tant la proximité de leur bassin se trouvait proche. Elle sentait sa peau s’enflammer à toutes ses sensations qui traversaient son échine, à tel point qu’elle ne pouvait que se mordre délicatement les lèvres à chaque bouffée de chaleur qui l’étreignait, sentant alors ses phalanges imposer leurs présences sur sa nuque. Elle avait tant envie qu’il poursuive ce bien être qu’il lui offrait qu’elle murmura dans une voix ô sensuelle.

« Continue Noah… »

Elle désirait qu’il continue de la punir de la sorte, qu’il vienne à son tour lui retirer cette encombrante robe pour poursuivre ses attentions, baisers et caresses. Elle avait tant besoin qu’il la touche enfin de nouveau, qu’il lui fasse l’amour et devenir cette femme comblée à ses côtés. Après tout, cela faisait quatre longues années qu’elle attendait cela et il semblait résolument que cette ambition était plus que réciproque, à tel point qu’elle vint simplement glisser ses phalanges sous le tissu du sous-vêtement pour redécouvrir le brulant contact de cette aine contre ses doigts, qui ferme semblait plus que tout réceptive à ses actions, l’obligeant à soupirer de bien être alors qu’elle murmurait contre l’oreille de son amant.

« Je t’en prie… J’ai envie de toi… »

Des paroles presque imperceptibles alors qu’elle gémissait faiblement de nouveau, son corps plus sensible que jamais aux actions de son amant qui avait tout simplement éveiller sa chair.

Ce corps que Noah n’avait pu touché depuis quatre ans se trouvait toujours aussi beau, envoutant, si désirable à ses yeux. Il ne souhaitait que de la posséder à nouveau depuis qu’il avait rejoint cet école, depuis même bien plus longtemps il avait eu envie de la retrouvé de la manière la plus complète qui soit. Ce corps lui avait manqué et il constatait avec plaisir l’attrait et les sensations qu’il provoquait à la jeune fille qui gémissait sous ses baisers. Elle était si belle, troublée et chaleureuse. Elle semblait tout aussi impatiente que lui dans cet échange. Elle vint glisser sa main coquine sous sa ceinture et à ce contact ce fut lui qui ne put taire un très léger gémissement comme pris par surprise. Ce contact si plaisant de cette main sur son boxer ne pouvait que titiller son intimité, le rendant plus envieux à chacune des caresses savantes et expertes de sa chère Jane. Il retrouvait son amante, sa favorite, tous deux se connaissaient par cœur et savait parfaitement faire succomber l’autre. Elle n’avait nullement perdu sa capacité à faire battre son cœur et le bruler un peu plus à chaque fois. Il continuait de prendre soin d’elle tout en se sentant répondre très favorablement aux caresses de sa partenaire. Il sentait à travers le tissu de son boxer, la pression enivrante des doigts de la jeune femme. Il se sentait brulé, chamboulé par ce qu’elle lui faisait ressentir par ses gestes, par son corps serré contre le sien. Il se sentait si bien contre elle, savourant chacun des élans de bien être qui accompagnaient les gestes de la demoiselle. Il tentait de faire ressentir la même chose à la jeune femme, tentant avec brio de la rendre dingue. Un murmure très sensuel le lui avoua comme elle vint lui réclamer de continuer.

Il ne pouvait que répondre à cette requête avec plaisir, comme si il pouvait avoir envie de s’arreter là, il ne désirer que continuer, aller plus loin encore. Il avait à la fois hâte de la retrouver son corps, mais voulait profiter le plus longtemps possible de ses bras, faire durer le plaisir de l’avoir retrouvée. Mais il comprit son empressement lorsqu’elle franchit l protection de son sous vetement pour venir toucher son intimité déjà ferme de ses phalanges malines. Il se mordit les lèvres, retenant un gémissement par ce contact agréable, se sentant fébrile à ce contact plus que vivifiant, excitant pour l’homme qui reconquérait son amante. Elle vint le supplier, le prier car elle avait envie de lui, c’est cequ’il comprit entre des gémissement de la jeune fille et l’invitation ne pouvait être refusé pour le coup. Il portait lui-même cette terrible envie de la posséder à nouveau, de lui faire l’amour.

Il rompit le contact de es propre doigt contre la culotte de la jeune femme pour venir remonter la robe scintillante que le professeur n’avait souhaitait que lui enlever depuis uil se trouvait avec elle. Il la releva doucement, laissant ses doigts effleurer ses formes tout en suivant délicatement la ligne du vetement pour venir lui retirer entièrement. Il trouva alors sa compatriote dans une tenue quelque peu dénudée, seulement vétue de ses sous vetement, un soutien gorge sexy et sa petite culotte assortie. On ragard admira un instant la créature sous ses yeux, si belle.

« - Tu es devenue une femme sublime, Jane ! » avoua t’il en venant embrasser ses lèvre laissant ses mains parcourir son corps. Il lui semblait qu’elle avait prit encore un peu de forme en ses quatre ans, elle était devenue, une vraie femme, plus sexy et sensuelle que jamais, il ne pouvait que désirer lui faire l’amour ardemment, passionnément. Il glissa ses main le long de son corps, s’affaira comme un expert a ôter les dernier vêtement encombrant du corps de celle qu’il voulait plus que tout en cet instant. Quand elle fut complètement nue sous ses doigt, il la resserra contre lui pour venir murmurer dans un souffle chaud à son oreille.

« -Je te veux Jane, je te désire tout autant. »

Quand bien même s’efforçait-elle de rester discrète en essayant de retenir ses gémissements, ces derniers n’avaient de cesse de la prendre en traitre. Résolument fébrile, exaltée par les actions et baisers de son tout premier amant, qui se trouvait être l’être face auquel elle était le plus faible, elle ne pouvait que fondre à l’idée de lui appartenir de nouveau. Ce dernier avait un tel pouvoir sur son être, son corps, sa chair, qu’elle ne pouvait qu’espérer qu’il lui offre enfin le plaisir de retrouver fougueusement la chaleur de ses bras, de son corps au travers d’une étreinte qui ne saurait que ravivait le feu ardent de son cœur. Une passion d’une nature particulière qu’elle éprouvait qu’au creux de ses bras tant elle était éprise de cet homme qui s’était tant fait désiré. Un amant dont elle résolument follement amoureuse depuis des années et qui s’était tant fait désiré ses dernières années. A tel point qu’elle avait fini par succomber aux charmes de ce sexy hispanique avec qui elle avait partagé plus qu’une nuit à ses côtés. Quand bien même refusait-elle de l’admettre, ce dernier était parvenu à acquérir sa confiance et sa dévotion systématique, ne pouvait que la contraindre à se laisser aller à ses côtés. Une action dont elle n’était résolument pas fière mais qu’elle s’efforcerait de cacher, se promettant désormais de ne plus céder à la tentation de ce corps ô attrayant et enjôleur.

Désormais qu’il était de retour, qu’il était enfin revenu à elle avec l’ambition certaine de reprendre leur relation là où elle s’était arrêtée en dépit de leurs antécédents d’aujourd’hui. Elle se doutait bien qu’il avait du avoir des rapports avec d’autres femmes au cours des dernières années. Après tout, ils ne s’étaient jamais juré fidélité, ni d’être exclusif avec l’autre, elle ne pouvait donc pas lui en vouloir quand bien même l’idée lui déplaisait fortement, éprouvant même une féroce jalousie à ce sujet. Cela n’avait donc pas d’intérêt en fin de compte à ses yeux car tant qu’il se trouvait là, face à elle, sensible à ses baisers, à son corps, elle comprenait qu’elle avait toujours cette place dans son cœur. Après tout, elle était sa complice, son alter-égo, l’autre moitié de lui-même, aussi fusionnel que pouvait l’être le ying et le yang. Ils se complétaient, se comprenaient plus qu’aucune autre personne sur terre. Elle connaissait son passé tout autant qu’il connaissait le sien, leurs haines, leurs peines et ce contact charnel ne pouvait être que la consécration de leur amour d’un genre tout particulier, que peu de personnes pourraient sans doute comprendre.

Elle ne pouvait donc que se laisser aller aux caresses de cet homme tant désiré, impatiente de pouvoir retrouver la force et la douceur de ses bras, la tendresse et la fougue de ses lèvres sur son corps comme la passion de l’unification de leurs deux chairs. Ce désir se trouvait cuisant au creux de ses reins, résolument bien émoustillée par les actions coquines de son amant qui se faisait très frustrant. Il prenait un malin plaisir à la faire patienter, ébranler sa chair au travers de ses actions alors qu’elle le savait tout aussi impatient qu’elle. Son corps ne pouvait que le trahir au travers de cette aine si formée qu’elle sentait contre la chair de ses doigts. Une aine que son corps rêvait plus que tout retrouver, s’enivrant alors des légers gémissements qu’il ne pouvait nullement contenir à cause de ses caresses. Un fait qui ne pouvait que la rendre d’autant plus fébrile tant son cœur se nourrissait de cela, se glorifiant tant le bien être de son amant apportait une exaltation sans limite à ce dernier. Il battait tel un fou dans sa poitrine alors qu’elle le sentait enfin répondre à sa supplique.

Quand bien même ses lèvres ne purent camoufler ce léger gémissement de frustration qui s’extirpa d ses lèvres, elle ne pu qu’être ravie de sentir ses phalanges se mouvoir sur la chair de son corps. Comme toujours ce dernier vint relever doucement le tissu de sa robe pour en profiter pour la toucher sensuellement, effleurant ses formes tout en suivant délicatement la ligne de cette dernière. Résolument sensible à cela, elle ne pu que se laisser faire, sentant sa poitrine se relever difficilement alors qu’elle le sentait la retirer totalement, la laissant dévêtue face à lui, portant que cette belle lingerie qui mettait en valeur ses formes. Un spectacle qui sembla fort enchanté son amant qui vint l’admirer un instant du regard, subjugué par sa beauté. Des prunelles qu’elle ne pouvait qu’apprécier de sentir sur sa chair alors qu’il lui avouait qu’elle était devenue une femme sublime. Un compliment qui ne pu que la faire sourire tendrement à l’instant même où elle sentit les lèvres de son amant se poser de nouveau sur les siennes pour les embrasser avec douceur passion. Une embrassade à laquelle elle vint répondre délicatement en venant enfin le dévêtir réellement, l’obligeant à quitter le tissu de sa chemise et sa veste pour le sentir qu’en simple pantalon déboutonné, lui conférant alors une apparence très masculine qui lui allait parfaitement. Un baiser dans lequel il vint laisser ses phalanges découvrir ses formes, lui retirant habillement sa lingerie pour la laisser tout simplement nue contre son bien battit qui ne demandait qu’à la sentir contre lui. Ce qu’il ne manqua nullement de faire alors qu’il venait la resserrer contre lui pour murmurer au creux de son oreille qu’il la voulait, la désirant tout autant. Des paroles ô suaves qui ne purent que la rendre d’autant plus fébrile alors qu’elle soufflait à son tour au creux de l’oreille de son amant pour y susurrer sensuellement.

« Alors fais-moi l’amour… Je ne désire que cela, Noah ! Je veux fondre sous tes doigts ! »

Pour appuyer ses mots, elle vint simplement se coller plus intimement contre lui alors qu’elle laissait ses phalanges retrouver le torse de son amant, se choir sur ses reins pour rejoindre ses fesses. Une action dans laquelle elle vint faire glisser le pantalon ainsi que le boxer de son amant pour l’avoir à son tour nu sous ses yeux. Des prunelles qui ne pouvaient point le détailler dans cette position mais que sa chair savait brulant et impatient tant elle le sentait ferme et enflammé sous sa chair. C’est donc dans un sourire ô coquin qu’elle vint remonter ses phalanges, le long de son dos pour rejoindre sa nuque, la caresser alors qu’elle venait à son tour l’embrasser sensuellement, murmurant simplement.

« Fais-moi tienne… arrête de me taquiner… tu en meurs littéralement d’envie ! »

Il était évident qu’il désirait de tout son corps prendre sa compagne, si il se montrait très patient et lent dans ses gestes, son corps ne pouvait que trahir son appétit, son empressement. Il se trouvait déjà si empli e désir pour la jeune femme qui lui avait tant manqué, son corps battit la chamade et les caresses de la jeune femme ne l’aidait nullement à contenir son émoi qui le forçait à laissé échappé quelque gémissement sous ses gestes savants. Il l’avait déshabillée entièrement, savourant ce corps complètement nu qui se trouvait sous ses yeux ravis et dévorant. Il ne pouvait nullement se lasser de celui-ci tant il provoquait ce feu ardent qui brulait son fort intérieur et rendait sa peau tout aussi chaude. Il se trouvait envouté par ce corps qu’il désirait posséder plus que tout mais qu’il laissait frémir sous ses caresses ,sous son amour, comme si l’attente pour se retrouver ne l’avait pas tant affecter, quand bien même bouillait il de s’immiscer dans son intimité une nouvelle fois. Il ne pouvait tout à fait cacher son envie, et la jeune fille connaissait parfaitement ses intention sans avoir besoin d’une quelconque forme de légilimancie. C’était juste évident, elle ne ressemblait à aucune amante qu’il avait connu. Quand bien même avait il en quatre ans posséder quelques aventure sans lendemain, aucune ne pouvait parvenir à la cheville de celle qu’il venait de retrouver. Elle avait toujours été unique et singulière à ses yeux, sa favorite. Il n’estimait, ni n’aimait aucune autre personne qu’elle qu’il avait repère du haut de ses onze ans comme une complice idéal. Elle n’était pas que sa complice, elle avait bien des rôles dans sa vie. Le statut d’amante était l’un d’eux et elle n’avait pas son pareil pour attiser son désir après tout.

Il le lui avoua dans son oreille, ce désir qui le dévorait avec douceur et sensualité. Il la serrait contre lui, redécouvrant sous ses doigt la chaleur de sa peau nue. Elle vint lui répondre, susurrant à son oreille, réclamant qu’il lui fasse l’amour, comme elle ne désirait que cela. Elle voulait fondre sous ses doigts. Ses mots ne purent que le rendre fébrile et plus heureux encore. Il se trouvait satisfait de ses mots, n’espérant pas mieux que d’entendre ce désir qui habitait l’être de sa pupille. Il sentait les doigt de fée de la jeune femme émoustillé sa peau de ses caresses. Elle le défit de son pantalon et de son boxer de ses gestes experts. Se trouvant complètement nu, brûlant, serré contre la chair et le corps de sa bien-aimée, il se laissa embrasser, il y répondait avec tendresse et passion. Elle lui demanda de la faire sienne, d’arrêter de la taquiner. Elle savait qu’il en mourrait d’envie.

Sans doute que sa nature d’homme ne pouvait que révéler cet envie, comme il se trahissait inéluctablement. Il sourit doucement, riant comme pris sur le fait quand bien même ce ne pouvait faire aucun doute. Il embrassa la demoiselle, ses mains se balladant sur son dos en prenant la route sinueuse vers ses cuisses. Il parcourait ses formes si sensuelles de ses doigts pour rejoindre les jambes de la demoiselle. En les caressant doucement, il s’agrippa à elles pour les écarter et la porter . Il le souleva pour qu’elle se trouve à sa hauteur, quand bien même elle ne touchait plus le sol, il sentait ses jambes l’entourer. Il se retourna en la portant pour l’asseoir sur son bureau tout en restant prisonnier des jambes de la jeune fille. Répondant à sa demande, à son envie plus qu’évidente, il la fit sienne. Entrant en elle avec douceur, s’infiltrant dans son intimité, un gémissement de bien être s’échappa de ses lèvres, comme il avait désiré cette communion avec cette jeune femme qui rendait son cœur et son corps fou. Dans de doux mouvements de bassin, il commença une série de va et vient, ses mains caressaient le bas du dos de la jeune fille. Ses lèvres s’affairait à satisfaire leur comparse. Retrouver ce corps était magique et il sentait son fort intérieur exploser de joie et de désir à chacun de ses mouvement, de ses battement de cœur tant il se trouvait si bien avec elle. Ce ne ressemblait pas au simple plaisir de prendre une femme, il possédait Jane, et son corps s’en réjouissait.

A cet instant, elle ne cherchait nullement à lutter contre ses sombres desseins tant l’homme qui se trouvait sous son regard, s’était fait cruellement désiré. Sa présence en ses lieux se trouvait tant irréelle à ses yeux qu’elle n’était pas encore pleinement en mesure de comprendre la véracité de cette situation ô incroyable à ses yeux. Il avait fini par la rejoindre et cette idée ne pouvait qu’animer de façon ô prononcée ses désirs en tant que femme désireuse de retrouver son amant. Un amant qui s’était trouvé son premier et l’unique jusqu’à il y a quelque mois. Même si elle ne l’avait jamais avoué, elle ne pouvait qu’avoir conscience que cette affection qu’elle lui portait était un amour puissant. Le dire ouvertement n’avait aucune importance tant ils se comprenaient sans dire mot, par un simple regard, un simple sourire, une délicate étreinte. Elle se laissait donc allé à ce désir profond qui l’étreignait de nouveau à ses côtés. Elle souhaitait qu’il la fasse sienne de nouveau, qu’il lui procure ce bien être qu’il était le seul à pouvoir lui apporter comme elle était la seule à pouvoir lui faire vivre. Elle était sa pupille, son amante, sa compagne pour ne pas dire la femme de sa vie, tout comme lui occupait tous ses rôles à ses yeux, quand bien même un autre homme était parvenu à l’atteindre bien malgré elle sans même en prendre conscience.

Elle n’avait donc pu que l’intimer à cesser ses taquineries ô frustrantes qu’il lui administrait en se montrant si peu entreprenant. Elle mourrait tout autant d’envie que lui de retrouver la chaleur de son aine au creux de ses reins, sentir son corps la posséder pleinement comme il l’avait toujours fais depuis leur première fois. Le regard brillant, elle se trouva fébrile face à ce sourire et rire qui vint s’échapper des lèvres de son compagnon alors qu’il l’embrassait de nouveau. Un rire qui ne pouvait que lui plaire tandis qu’elle se laissait aller à ce baiser, y répondant avec le même empressement. Elle se sentit légèrement soupirer au mouvement de ses phalanges sur son dos qui prirent la route sinueuse de ses cuisses tout en profiter pour parcourir ses formes. Des phalanges dont la chaleur enivrait ses sens alors qu’elle venait glisser ses doigts sur la clavicule de cet homme avec ambition. Elle sentit la chair des mains de son amant rejoindre ses jambes pour les caresser en douceur, les agrippant pour les écarter et ainsi la porter à lui. Une action qui ne pu que la rendre d’autant plus faible face à sa soif de le découvrir de nouveau tandis qu’elle sentait l’aine si vigoureuse de son amant effleurer son intimité à un instant alors qu’il la soulevait tout simplement du sol. C’est donc en amante obligeante qu’elle vint donc l’entourer de ses jambes, savourant ce contact ô malicieux que leur position conférait dans un sourire ô attendri alors qu’il venait la poser sur le bureau en douceur.

Une action qui ne vint nullement interrompre son emprise alors qu’elle laissait ses lèvres être dévorées par celle de son délicieux amant, à l’instant même où elle sentait cet homme merveilleux répondre à ses attentes en la faisant sienne. Un fait qui ne pu que la rendre plus agitée alors qu’elle sentait ses lèvres exprimées le bien être qui résidait au creux de ses reins tout simplement, désireuse de sentir cette aine si brulante la rendre folle comme toujours. Un bien être réciproque qui ne pu que la rendre d’autant plus frissonnante alors qu’elle sentait ses sens en éveil plus que jamais. Une communion qui ne pu que l’enflammer d’autant plus alors qu’elle laissait ses doigts retrouver la courbe de ses pectoraux, s’y attardant au moment même où elle sentait cet être initier un mouvement de reins. Une action qui ne pu que lui administrer d’autant plus de frisons alors qu’elle sentait les doigts si coquins de son amant caresser le bas de son dos en poursuivant ses attaques ô enjôleuse pour son corps. C’est donc en amante conquise qu’elle se laissait faire sous ses actions, sentant son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine alors qu’elle gémissait simplement contre ses lèvres qui n’avaient de cesse de venir la tourmenter. Elle se sentait si bien en cet instant, si femme qu’elle profitait pleinement de ces retrouvailles, laissant ses doigts se mouvoir sur ce buste qu’elle découvrait de nouveau alors qu’elle sentait son corps brûler d’un feu sans nom. Les mouvements va et vient de Noah n’avait de cesse de la titiller, la rendant si faible alors qu’elle venait coller sa poitrine à celle de son bourreau, désireuse de le rendre fou en l’obligeant à vivre ce feu incandescent qui la tiraillait.

Elle se laissa alors totalement aller à ce bien être qui la possédait contre cet être envoutant qui n’avait de cesse d’affermir sa fébrilité, son appétence, sa passion en faisant d’elle sa favorite. Un plaisir résolument intense qui la rendait folle alors qu’elle sentait ses reins devenir plus fougueux en elle, la rendant si sensible, émoustillée qu’elle ne pouvait que soupirer son prénom en l’intimant de poursuivre. Ses doigts quant à eux venaient glisser sur ses abdos, rejoignant la courbe sinueuse de son dos pour venir s’y choir, griffant légèrement cette peau si brulante lorsqu’elle sentait un courant de bien être l’étreindre violemment. Elle n’avait nul besoin d’accroitre le désir de son amant par des paroles coquines, son corps suffisant pour l’intensifier tant il se trouvait réceptif et désireux de son contact, de ses caresses. C’est donc dans un regard ô brillant qu’elle vint glisser ses doigts sur le fessier de son amant pour venir le caresser un instant pour l’intimer à poursuivre ses actions de façon beaucoup plus passionnée comme une invitation ouverte de lui faire atteindre ce plaisir, ce septième ciel qu’elle aimait tant découvrir à ses côtés. Des caresses de sa part qui semblèrent plaire à son amant qui ne vint nullement hésiter à se montrer plus passionné dans ce nouveau mouvement qu’il initia. Une fougue qu’elle ne pouvait qu’appréciait alors qu’elle continuait ses caresses, plus brulante de désir que jamais.

Noah avait eut vraiment hâte de retrouver ce corps nu qui le rendait fou, et en cet instant présent qu'il était à nouveau réuni avec elle, il y trouvait un bonheur sans nom. Il redécouvrait ce corps, la chaleur de sa peau, son odeur si envoutante qu'il faisait enfin sien à nouveau. Il la récupérait enfin, elle qui était sa pupille, sa compagne. Sa douce amante se donnait entièrement à lui, il la possédait à nouveau et y prenait grand plaisir, son corps se trouvant incroyablement sensible à ce corps nu qui se serrait au sien et accompagnait le mouvement de ses reins avec douceur et envie. Il se sentait enflammé par ce désir si intense qui se puisait dans chacun des baisers et de ses caresses, qui brulait chaque parti de son corps enivré par l'amour qu'il partageait avec celle qu'il avait élue. Sensible au plaisir qui s’immisçait dans chacun de ses pores , exacerbé par les va et viens de son bas ventre qui retrouvait le contact exquis du corps de Jane, le jeune homme se trouvait euphorique de cet amour qu'il voulait merveilleux avec ses retrouvailles.

Chacun de ses mouvements ne faisait qu'intensifier son plaisir, son bonheur de se trouver tout contre Jane dans cette si belle et profonde intimité qu'ils n'avaient pu partagé depuis quatre ans. Il n'escomptait rien d'autre que d'adorer ce joyaux qu'il avait la chance de pouvoir posséder. Son but n'était nulle autre que de la couvrir de bonheur, de la rendre fébrile, sensible et ivre de ce plaisir qu'elle méritait de connaitre à nouveau dans ses bras. Le cœur de la demoiselle battant énergiquement contre sa poitrine, son souffle haletant bercé par les mouvement de son bassin qui accompagnait Noah dans son exercice était tout simplement magique pour l'homme. Il se laissait atteindre par ce qu'elle émanait y trouvant autant de plaisir que dans l'acte qui provoquait la joie de leur communion.

Il accélérait doucement la cadence, savourant les mots susurrées de sa bien aimée Jane, qui répétait son prénom à ses oreilles comme elle l'intimait de poursuivre ses bon soin, chose qu'il ne prenait que grand plaisir à accomplir, obéissant à ses désirs de façon si naturelle et innée. Il se laissait prendre par cette amour,par ses mains coquine et féminine qui venait se baladait vers ses fesses dans ce contact si réjouissant. Il le lui rendait de la façon la plus masculine qui soit. Lui même sentait son aine devenir de plus en plus brulante et tendue par le mouvement de son corps. Ses gemissements se faisaient plus pressent et intense, complétement souis à ses mouvement et à ce désir qui le rendait fou de bonheur.

L'euphorie le gagnait en partageant des douceur avec la merveillleuse Jane, ses lèvres se désolidarisant de celle de sa pupille que pour pousser des souffles rauques. Sa main retenait la jeune femme contre lui, sur son dos et sur son cuir chevelu avec passion et amour. Il se sentait absolument heureux, sur le bord de la rupture, du grand saut vers l'extase qu'il avait tant connu avec cette jeune femme des années auparavant et qu'il avait eu si hâte de retrouver en ce jour. Il ressentait l'impatience de son corps de se liberer dans ce corps merveilleux qu'il possedait avec ardeur. Noah se detacha des lèvre pour regarder sa tendre protégée pour observer avec intensité et fébrilité le regard de Jane tout aussi fébrile que le sien, perdu dans le plaisir. C'est dans un murmure essoufflé dans l'amour qu'il dit à son oreille.

"- On y va ensemble, je suis sur le point de ..."

Il n'avait pas à préciser plus ses mots. il savait qu'il pouvait y aller avec elle, il ne lui laisserait d'ailleurs pas le choix de la manière dont cela se déroulerait. Il venait lui livrer le septième ciel, se l'offrir à lui même avec cette demoiselle qui était si douée pour l'y conduire. Il la savait prête et désireuse de ce sommet qu'ils allaient atteindre ensemble, une félicité qui les entreindrait avec force en cette étreinte charnelle et intense.

Cela faisait bien longtemps que la jeune femme espérait retrouver cette plénitude résolument envoutante qu’elle éprouvait à chaque fois que cet homme l’étreignait de la sorte. La passion de ses instants, l’irrationalité de ses actions uniquement commandées par leurs sens en éveil, rendaient ces moments plus merveilleux que jamais. Elle aimait résolument être sa pupille, l’amante auprès de laquelle il ne retenait ni plainte, ni gémissement, se laissant alors pleinement aller à ses sensations si profondes qu’il initiait dans l’échine de l’autre. Il se trouvait être le premier homme à lui avoir ouvert les portes de ce paradis terrestre, cet instant ô envoutant dans lequel elle ne contrôlait plus ses sens, son corps, son cœur comme si elle quittait tout simplement la terre ferme pour rejoindre un monde irréel mais, qui lui offrait l’opportunité de se sentir plus femme que jamais. Une extase qu’il était encore à ce jour l’unique être à pouvoir lui procurer en dépit de sa dernière conquête : Joaquin. Le plaisir qu’elle ressentait avec cet homme n’avait rien à voir avec celui qu’elle éprouvait en étant l’amante de Noah, la profondeur de leurs sentiments étant résolument l’essence de cette merveilleuse extase.

Elle ne pouvait donc qu’être désireuse de la retrouver, de goûter de nouveau à cet abandon si incontrôlable de son esprit, de sa chair lorsqu’il la faisait résolument sienne. Cette communion de leurs deux chairs s’assimilaient plus à une fusion de leurs âmes tant elle était intimée qu’il se trouvait son âme sœur car il l’avait choisi parmi toutes les autres. Elle ne pouvait donc que s’en sentir glorifier, se sentant si cruellement femme lorsqu’elle le savait si fébrile, si désireux tout contre elle, au sein de ses entrailles dans cet échange si sensuel et charnel. Elle ne réfléchissait plus à rien d’autre qu’à atteindre ce paradis à ses côtés, agissant de façon sensuelle que dans l’ambition certaine de le rendre encore plus fou d’elle et les rapprocher un peu plus rapidement de cet abandon.

Une appétence résolument partagé par son professeur qui n’avait de cesse d’augmenter la cadence, résolument tout aussi enflammé et désireux que l’était son échine, son âme de se trouvait ainsi mêlé à la sienne. Cette enivrante effusion n’avait de cesse d’ébouillanter sa circulation sanguine tant son cœur battait à tue tête dans sa poitrine alors qu’elle le sentait si présomptueux et impatient au creux de ses reins. Une hâte qu’elle éprouvait également, son corps réclamant ce salut ô bienfaisant qu’il était le seul à lui permettre de vivre tant il approuvait les gémissements pressants et intenses de son amant qui n’avaient de cesse de frôler ses oreilles à chaque mouvement envoutant.

Tout comme lui, elle se laissait gagner par cette euphorie qui n’avait de cesse de croitre au sein de son échine alors qu’elle frissonnait sous les actions douces et coquines de son amant qui la dévorait avec passion et amour. Elle se trouvait emplie d’un bonheur sans nom, le cœur gonflé à bloc alors que leurs lèvres n’avaient de cesse de se dévorer, se délaissant simplement pour pousser des souffles rauques, emplis de cette passion dont ils étaient envoutés, sans être en mesure de s’en dégager tant elle se trouvait merveilleuse. Elle laissait donc ses phalanges caresser la moindre parcelle de son amant avec fébrilité alors qu’elle sentait ce bien être s’intensifier, secondes après secondes, de façon bien incontrôlable.

Elle ne pu donc que contempler Noah de la façon la plus passionnée et fébrile qu’il soit, le dévorant ainsi du regard alors qu’il faisait de même. Sans dire un mot, leurs prunelles se détaillaient avec enchantement, leurs souffles essoufflés se mêlant l’un à l’autre alors qu’il venait lui murmurer qu’il désirait qu’ils se laissent aller ensemble, lui avouant qu’il était sur le point d’atteindre ce paradis qu’ils recherchaient tous les deux. Une réalité qu’elle ne pouvait nullement nier être sienne également tant cette étreinte charnelle et intense de leurs deux échines la rendait folle. En amante conquise et tout aussi désireuse de découvrir ce septième ciel à ses côtés, c’est dans un doux et brulant gémissement qu’elle sentit de nouveau son amant réaliser un mouvement de reins en son sein alors qu’elle l’observait avec fébrilité et intérêt.

Ses phalanges glissant sur son buste pour retrouver son omoplate, sa nuque qu’elle venait caresser avec effusion, sentant son corps s’échauffer plus que jamais, réceptive aux actions de son amant dont elle appréciait la passion ainsi que sa chaleur. C’est donc en amante conquise, qu’elle se laissa aller à ce contact ô envoutant, sentant son être s’échauffer, devenir plus brulant que jamais alors que son souffle se faisait d’autant plus difficile. Résolument prisonnière de ce bien être qu’il l’étreignait, il ne lui fallut que quelques minutes de plus pour atteindre véritablement cet envoutant instant de félicité intense. Ses lèvres murmurant le nom de l’amant qui lui offrait une telle extase alors qu’il en était de même pour son amant, qui à son tour vint s’abandonner contre son corps, intensifiant d’autant plus le plaisir monstre qui l’habitait à cet instant. C’est donc dans un baiser passionné qu’elle vint de nouveau emprisonner celle de son amant, les dévorant avec force et douceur pour profiter de cet instant merveilleux tandis qu’elle venait se coller tout contre lui par la force de ses bras qui s’était enroulé autour de la nuque de son amant dont elle appréciait la présence jusqu’à la dernière minutes.

Un bien être profond et intensif qui ne pu que la laisser fébrile et ô combien amoureuse de cette homme dont elle ne doutait nullement des sentiments qui l’étreignait. C’est donc en douceur que ses lèvres vinrent relâcher leurs prisonnières pour reprendre leurs souffles alors qu’elle glissait l’une de ses mains sur la joue de son amant pour admirer son expression si merveilleuse, si comblée par le plaisir qu’elle lui avait apporté par la communion de leurs deux êtres. Elle le détailla longuement en silence, laissant ses phalanges se mouvoir sur son visage alors qu’elle lui souriait simplement, comblée et heureuse de le retrouver.

« C’était parfait… Comme toujours, Noah… » Murmura-t-elle avec douceur alors qu’elle ajoutait. « Ça m’a terriblement manqué… Tu m’as terriblement manqué… Je mourrais d’envie de te retrouver… »

Elle avait envie de lui dire ses trois mots magiques mais elle ne le fit point. Avait-il réellement besoin de les entendre pour le savoir ? Ou peut être était-ce elle qui désirait les entendre s’extirper des lèvres de son amant ? Quoi qu’il en soit, elle profitait de cet instant pleinement, détaillant le visage de son compagnon avec fébrilité et douceur, heureuse.

En quatre ans, l’homme avait rencontré bien des amantes, des femmes plus ou moins digne de son attention et de son intérêt, des demoiselles qui bien souvent n’étaient venues que combler le manque de la jeune fille qu’il avait élue depuis une éternité semblait il. Ils ne s’étaient jamais interdits de posséder des amants, des conquêtes même lorsqu’ils se trouvaient dans le même établissement, tout d’abord car elle était trop jeune quand il l’avait rencontré. Par la suite, quand il avait commencé à posséder son corps en plus de son esprit, elle accaparait sa vie mais si il s’était promis une fidélité incassable, il n’en avait pas la même exigence en ce qui concernait la luxure, ne pouvant retenir l’autre entre leur chaine. Son amour pour la jeune fille était plus profond que cela, plus ancré en lui que le simple désir, quand bien même était-elle complètement désirable. En cet instant de retrouvaille il n’avait pu qu’une nouvelle fois succombé à ce corps sublime qu’il convoitait et possédait si précieusement. C’était sans doute ce qu’i y avait de plus beau dans leur relation, même après quatre ans rien n’avait changé, il semblait qu’ils s’étaient quitté hier. Pour être tout à fait juste quelque chose avait changé, Jane était devenu encore plus belle, plus femme.

Il s’extasiait et se trouvait si heureux en possédant le corps de la jeune femme qu’il n’avait pas tenu depuis plusieurs années, il retrouvait le bonheur qu’il ne pouvait atteindre qu’avec elle, plus puissamment encore que dans ses souvenirs le plus luxurieux. D’où pouvait provenir ce bien être si saisissant, de leur retrouvaille, de la magnifique femme qu’était devenue Jane en son absence, de la maturité et de l’expérience qu’elle avait gagné sans lui et qui la rendait si ambitieuse ? Il ne pouvait que s’enchanter de l’amour qu’ils partageaient. Il lui faisait l’amour et se sentait si proche d’atteindre l’apogée, il l’avait prévenu de cette éventualité, de ce besoin de se libérer en elle, si elle était prete, si il pouvait atteindre ce plaisir ensemble, le sommet de cet amour était à porté de doigt. Elle ne pouvait qu’approuver, il voulait tant la combler après n’avoir pu lui faire l’amour de cette manière pendant bien trop longtemps. Il désirait lui rappeler la couleur de leur amour, il voyait dans ses yeux son plaisir et aurait souhaité lui en procurer plus encore. La faire mourir de plaisir, d’amour pour lui en cette nuit de retrouvaille.

Il murmura le prénom de sa douce comme il se délivrait tout contre le corps de sa belle pour lui offrir cette extase tant attendu et apprécié par les deux jeunes gens. Il senti une vague de plaisir parfait traverser son corps comme électriser par le bien être si intense qui s’était emparé de son corps en s’abandonnant avec son amante favorite, celle de toujours. Elle vint l’embrasser à nouveau, et il s’en trouva comblé. Il répondit avec fougue au baiser exalté qu’elle lui offrait, agissant avec passion, son être et son sang ayant perdu toute conscience par la jouissance de leur acte. Le cœur rempli de bien être, il ne put que partager celui-ci avec sa partenaire, la serrant dans ses bras avec tendresse, l’embrassant fougueusement.

Elle lui murmura que c’était parfait, comme toujours. Elle lui avoua que ca lui avait manqué, qu’il lui avait terriblement manqué et qu’elle mourrait d’envie de le retrouver. Il sourit doucement face à ses aveux qui était plutôt rare dans la bouche de sa pupille, il avouait rarement leur attachement l’un à l’autre même de manière aussi douce. Sa main se posa sur la joue de son amante pour la caresser avec douceur, il la fixait particulièrement sensible à ce qu’elle venait de lui avouer. Le professeur se désolidarisa de la jeune femme et déposa un baiser sur son front comme pour marquer son affection pour la demoiselle. Il lui murmura avec une certaine retenue et discrétion.

« - Tu m’as manqué aussi Jane. Pouvoir te serrer dans mes bras m’as manqué aussi je rêvais de ces retrouvailles. » Il y avait bien plus que leur mots, leur amour s’était révélé par leur acte, mais ses mots tendre était plutôt rare. Les mots des autres couples n’avaient jamais franchi leur lèvres, il se le prouvait pourtant encore, après quatre ans, dans le désir de leur retrouvaille qui ne les avaient apparemment jamais quitté. C’était un soulagement pour l’homme qui n’avait pas douté de la fille qu’il avait choisit mais n’avait pu que craindre les bouleversements du cœur d’une femme, même si celle-ci était son élue, unique parmi les femmes.

« - Je suis heureux, après tout ce temps, je craignais un peu que tu m’aie échappé, que tu ne me reviennes pas. Mais je ne pouvais rester loin de toi plus encore. Nous avons suffisamment été séparés.»

Il laissa ses doigts parcourir ses traits avec tendresse en la fixant avec une forme de fierté et d’affection. Il sourit à la jeune fille avant d’affirmer.

« - Tu es devenue une femme magnifique. Si digne de confiance ! Le jour ou tu as croisé ma route, quand je t’ai choisie était résolument une grande chance pour moi. »

Sans doute qu’elle devenait sentimentale à cet instant mais, il ne pouvait en être autrement tant elle se trouvait heureuse de se trouver de nouveau en sa compagnie. La présence de cet homme en ses lieux, à cet instant ne pouvait que la combler de satisfaction tant son cœur tambourinait dans sa poitrine, euphorique. Elle était emplie de ce bonheur que seul cet homme était en mesure de procurer à son échine, savourant ce moment de bien être qu’elle avait tant attendue avec impatience depuis le jour où elle avait quitté les Etats-Unis pour venir étudier au sein de cet école. Un choix qu’elle avait pris par elle-même et qui l’avait contraint à l’exil dans une certaine mesure car elle avait tout abandonné… même l’homme auquel elle tenait plus que quiconque. Cette décision résolument surprenante était tout d’abord due à une sensation, une impression qu’elle trouverait dans cette région, un lieu propice pour l’élaboration et la concrétisation de leur plan mutuel mais, également pour des raisons beaucoup moins plaisantes. En effet, des rumeurs étaient en train de se répandre à leur sujet dans l’université américaine, ce qui l’avait d’autant plus conduite à quitter les couloirs de cet établissement afin de ne pas mettre son amant et complice dans une situation forte délicate.

Elle était donc ravie de le revoir, d’avoir pu découvrir de nouveau cette luxure merveilleuse à ses côtés alors qu’elle se trouvait collée contre sa chair. Le cœur battant promptement dans sa poitrine, elle savourait cette plénitude qui l’habitait, observant son doux amant de la façon la plus émerveillée que soit. Un épanouissement résolument réciproque tant son amant avait le regard empli de joie, un sourire doux suspendu aux lèvres, exprimant pleinement l’affection qu’il lui porter. Elle ne pu donc que sourire de sentir sa main se poser sur sa joue pour la caresser tendrement alors qu’il le fixait avec douceur. Elle le sentit se désolidariser de sa chair pour venir déposer un baiser sur son front en toute douceur comme pour ne point rompre le contact entre leurs deux échines pour murmurer tout contre elle qu’elle lui avait également manqué. Pouvoir la serrer dans ses bras de cette façon s’était fait cruellement désirer comme lui aussi avait rêvé de ces retrouvailles avec elle. Il était heureux car après tout ce temps il craignait un peu qu’elle lui avait échappée, qu’elle ne le lui revienne pas. Des paroles qui ne pouvaient que la troubler, tant elle se sentait quelque peu déçue par ses dernières, elle n’ayant jamais doutée de lui et de l’affection qu’elle lui portait.

Cependant, il lui avouait qu’il ne pouvait pas rester plus longtemps loin d’elle, qu’ils avaient été suffisamment séparés. Des paroles ô délicieuses à ses oreilles tant au travers de ces mots, elle comprenait ô combien cette séparation s’était faite en dépit de leurs divers échanges durant toutes ses années. Elle ne pu que le regarder avec d’autant plus de tendresse tandis qu’elle sentait les phalanges de cet homme se mouvoir sur ses traits avec amour dans une forme de fierté et d’affection. Ce dernier vint alors lui murmurer qu’elle était devenue une femme magnifique, si digne de confiance. Des paroles ô élogieuses à ses yeux alors qu’elle le regardait avec amour, le cœur battant dans sa poitrine tandis qu’il lui susurrait que le jour où il avait croisé sa route, quand il l’avait choisie s’était résolument trouver être une grande chance pour lui. Des mots qui ne purent que la rendre d’autant plus fébrile tant elle s’était toujours considérée comme étant une personne élue par cet homme, s’en sentant si glorifiée qu’elle avait toujours fait de son mieux pour être à la hauteur de son estime.

C’est donc en douceur qu’elle vint lui sourire avec émerveillement, le regard brillant de cette lueur qui ne pouvait qu’animer ses yeux si expressif, tant et si bien qu’elle l’embrassa tendrement alors qu’elle laissait son corps se coller au sien, refusant de trop s’en éloigner. Un baiser doux et sensuel dans lequel elle laissa ses lèvres glisser sur celles de son amant avant de s’en éloigner un instant murmurant doucement.

« Ses paroles me font droit au cœur, Noah ! Je ne peux que me sentir glorieuse d’apprendre que tu me considère toujours autant et précieuse à tes yeux, que je t’aie tant manqué… Je suis si heureuse de pouvoir te voir de nouveau, te savoir ici, près de moi… J’en avais tant envie depuis que j’ai quitté les Etats-Unis. »

Venant alors glisser ses phalanges dans le creux de ses cheveux, c’est avec douceur qu’elle laissait ses phalanges caresser sa chevelure alors qu’elle venait embrasser le bout de son nez de ses lèvres, ajoutant simplement.

« Et si tu me disais tout, Noah… Dis-moi tout ce qu’il t’est arrivé depuis la dernière fois que nous nous sommes vus, tes projets également pour notre plan ? J’ai tellement envie de t’entendre me dire tout ce que tu projettes dorénavant. La vie s’est tant trouvée inintéressante à part les derniers évènements qui ont frappé la région... »

Elle vint donc simplement continuer ses caresses sur son visage, sa nuque sans pour autant se sentir gênée de se trouver encore nue tout contre lui. Elle appréciait tant ce contact qu’elle ne voulait nullement s’en dégager, venant délicatement l’embrasser de nouveau dans un bref baiser, désireuse d’attendre ses aventures et ses desseins à propos de l’avenir, tout simplement.

Fier et heureux, profondément euphorique, c'est tout ce qu'il pouvait ressentir à l'égard de sa partenaire. Il éprouvait une grande satisfaction face à la jeune femme qu'elle était devenue, capable de prendre des décisions justes, de fuir quand il le fallait sans que jamais sa fidélité à son égard ne faillissent.Elle avait su le quitter au bon moment même, quand leur relation et leur lien se trouvait en danger, quand des suspicions flottaient sur leur duo. Elle était partie pendant quatre ans, lui laissant le champs libre aux Etats Unis et observant les mouvements en Corée du Sud. Elle avait toujours su agir pour leur bien. Elle était si rare et précieuse que Noah ne pouvait que se réjouir de l'avoir trouvé et choisi. Il ne s'était nullement trompé, il était évident qu'il s'était s'agit bien plus d'un coup de cœur que d'un choix réfléchi et raisonné toutefois, elle ne lui avait absolument jamais fit regretter celui-ci. Elle se trouvait juste parfaite comme complice, comme partenaire. Et elle était toujours là avec lui, ils étaient enfin réuni, dans cette école à l'autre bout du monde mais ensemble à nouveau. Elle lui avait manqué durant toutes ces années où il n'avait pu la voir, lui parler. Il lui avait avoué à mi mot la souffrance de se trouver éloigner d'elle toute ces années.

Elle vin lui sourire avec la même douceur qu'il lui adressait un instant auparavant, le regard émerveillé, brillant avant de venir l'embrasser tendrement tout en se serrant contre lui. Le professeur se laissa faire sans résister nullement au baiser de son élève avec une douceur incomparable. Il répondait avec passion à la tendre embrassade de sa partenaire avant que celle ci ne lui murmure que les paroles qu'il avait prononcer lui allait droit au coeur. Elle se sentait glorieuse d'apprendre qu'il la considérait toujours autant, d'être si précieuse à ses yeux et de lui avoir tant manqué. Elle était heureuse de pouvoir le voir de nouveau, si près d'elle. Elle en avait envie depuis qu'elle avait quitté les Etats Unis. Conquis par ces paroles qu'elle lui offrait en cet instant, il sourit avec tendresse et fierté aux paroles prononcés par sa muse, sa main parcourant encore avec tendresse les traits de son visage. Il sentait les doigts de la jeune femme caressé sa chevelure et ses lèvres se déposer sur son nez. Il sourit doucement face à sa tendresse qui le touchait tout particulièrement, elle était adorable. Il restait près de la jeune femme, se trouvant bien, tout simplement nu contre elle, retrouvant son calme et la paisible sensation de douceur à ses cotés.

Elle lui demanda de tout lui dire, tout ce qui lui était arrivé depuis la dernière fois qu'ils s'étaient vus et ses projets pour leur plan. Elle avait tellement envie d'entendre tout ce qu'il projetait dorénavant, la vie s'était trouvée assez inintéressante ici en dehors des derniers événements qui avaient frappé la région. Il sourit légèrement face à l'impatience et la requête de Jane, tout en restant collé contre elle et en l'embrassant avec douceur quand elle même venait déposée ses lèvres sur les siennes. Il ne se lassait nullement du contact sucré et charmant des lèvres de sa partenaire et complice de toujours. Lorsque ses lèvres quittèrent leur comparse avec quelque regret, son regard s'ancra dans les pupille de la jeune fille et son sourire s'effaça quelque peu avant qu'il ne se lance dans son récit.

« Vraiment, tu n'as pu trouver d'information intéressante ici, pourtant, tu pressentais quelque chose non? C'est bien pour cela que tu es venue ici. En ce qui me concerne, ton départ m'a été très utile... tu m'as sauvé. J'ai été mis sous surveillance pendant deux mois à cause des rumeurs par un membre du ministère américain, ce fut très enrichissant. Il a évidemment rien trouver à me reprocher,un professeur bien sous tout rapport et digne de confiance mais pour ma part, j'ai appris beaucoup à travers lui, et il me reste un précieux informateur sur place. Le ministère est ravi de s'être éloigner du nouveau directeur, comme Grayson partait, la place du directeur en Amérique s'est trouvé libre et ils y ont mis quelqu'un de tout à fait incompétent pour le remplacer. Mais je pense qu'il est trop tôt pour s'installer là bas, et puis mon objectif est ailleurs en ce moment.il est là ou la situation est la plus sensible. Le directeur, le ministère américain et international sont très heureux de nous voir arrivé là. C'est par ici qu'il y a du mouvement. »

Il vint embrasser la jeune fille avec douceur avant de venir murmurer à son oreille la teneur de son plan pour l'avenir.

« - Il y a dans l'école de nombreux jeunes que j'aimerais qu'on rassemble, qu'on lie à notre cause. Nous créerons un groupe avec eux, un club? J'ai besoin de jeune motivé et capable de nous suivre. Tu dois les connaitre mieux que moi, mais je pense que le vivier est large ici. Je souhaitais que tu recrute pour moi, à nouveau. Je ne peux encore trop attiré l'attention sur moi, je viens tout juste d'arriver dans l'école »

Il sourit doucement, conscient des risques qu'il lui demandait de prendre. Il embrassa à nouveau les lèvres de la jeune femme avec douceur dans un geste bienveillant.

Après tant d’années passées loin l’un de l’autre, la jeune femme ne pouvait qu’apprécier le contact ô délicieux des lèvres de son amant contre les siens. Ces baisers ô tendres s’étaient fais cruellement désirer qu’elle ne pouvait que se satisfaire de sa présence à ses côtés. Elle profitait donc de cet instant volé, consciente que ces derniers seraient résolument rares en dépit de leurs bons souhaits. Ils avaient déjà manqué d’être découvert par le passé dans un pays où la proximité entre élèves et professeurs n’étaient pas trop regardé, qu’allait-il en être dans un pays où ce genre de rapprochement était vu d’un si mauvais œil ? Elle n’osait à peine l’imaginer et en ses temps de crises, il était évident que l’arrivée de Noah allait être sévèrement surveillée. Cette situation ne pouvait que lui déplaire dans une certaine mesure même si elle connaissait la parade pour pouvoir le retrouver, discuter de ses choses secrètes qui pourraient les faire tomber en tant que partenaires et amants.

De ce fait, le temps qu’elle passait dans cette pièce seule, avec Noah, pourrait paraitre suspicieux si quelqu’un l’avait entré dans la pièce et vu leurs positions actuelles, il était indéniable de comprendre la teneur de leur relation. Cette pensée ne pu donc que jeter un voile sur le bien être qu’elle ressentait à ses côtés tandis que le jeune homme venait répondre à sa requête. Le ton de sa voix avait légèrement changé, devenant plus neutre. Il lui demanda si vraiment elle n’avait pu trouver d’informations intéressantes ici alors qu’elle pressentait quelque chose d’étrange et qui se trouvait être la raison majeure de sa présence en Corée. En effet, elle avait bien sentie que cette région était hostile au moldu mais malheureusement, elle l’était également envers les étrangers et rentrer dans le cercle fermé de cette partie cachée de la population était très difficile. Même deux ans après son arrivée, elle commençait que très légèrement à se faire connaitre dans le monde des fervents de la magie noire.

« En effet, seulement mon intégration au sein de l’école et de la région n’a pas été si aisée que je l’imaginais. » Murmura-t-elle faiblement en signe de réponse tandis qu’elle poursuivait : « La région comme je le supposais est très hostile et fermée sur elle-même. Il est très difficile de se faire connaitre et de parvenir à prendre contact avec les mages noirs. J’ai réussi à me rapprocher légèrement d’un sous les traits d’une coréenne mais, même sous cette forme, il reste très méfiant. »

Elle n’avait rien d’autre de particulièrement palpitant, à lui communiquer à cet instant qui ne pouvaient nullement attendre. C’est donc dans un silence intéressé qu’elle laissa le jeune homme poursuivre, ce dernier lui révélant que son départ lui avait été très utile car elle l’avais sauvé. En effet, il avait été mis sous surveillance pendant deux mois à cause des rumeurs colporter par un membre du ministère américain. Cette période avait été très enrichissante quand bien même n’avaient-il évidemment rien trouvé à lui reprocher, si ce n’est un professeur bien sous tous les rapports et digne de confiance. Il avait donc beaucoup appris à travers lui et il lui restait un précieux informateur sur place. Une information qui ne pu que la satisfaire, souriant ravie alors qu’il ajoutait que le ministère était ravi de s’être éloigné du nouveau directeur et comme ce dernier était parti, ils y ont mis une personne tout à fait incompétente pour le remplacer. Cependant, il était trop tôt pour s’installer au Etats-Unis et son objectif actuel était ailleurs, au sein de cette région où la situation était la plus sensible. En effet, le directeur, le ministère américain et international étaient très heureux de les voir arriver ici car c’était dans cette région qu’il y avait le plus de mouvement.

Des informations ô précieuses qu’elle assimilait doucement alors qu’elle sentait ses lèvres venir se poser un instant sur les siennes dans un bref baiser. Une bouche qui vint se glisser contre son oreille pour murmurer à demi mots qu’il y avait de nombreux jeunes dans cette école qu’il aimerait qu’ils rassemble, qu’ils lient à leur cause. Ils devaient créer un groupe avec eux, un genre de club. Pour cela, il avait besoin de jeunes motivés et capable de les suivre, qu’elle devait mieux connaitre que lui mais, il supposait que le vivier était large à Gisteol Hyeon, ce qui n’était nullement faux. Il souhaitait donc qu’elle recrute pour lui, à nouveau car il ne pouvait pas encore trop attirer l’attention sur lui puisqu’il venait d’arriver. Une requête qui n’en était point une à ses yeux tant il était évident que cette tâche lui revenait, après tout, elle utilisait son don depuis des années pour remplir cette fonction. Elle se laissa donc embrasser de nouveau, ce dernier souriant de façon bienveillante à son intention. Sans doute, prenait-il conscience des risques qu’il lui demandait de prendre mais, cela ne la dérangeait pas. C’est pour cette raison qu’elle vint l’embrasser à son tour faiblement pour murmurer.

« En effet, cette école grouille de jeunes personnes susceptibles de devenir de bons éléments. Je connais le nom de certains d’entre eux, leurs convictions et les forces qu’ils pourraient aborder mais, j’ai préféré rester discrète depuis mon arrivée. Ils me connaissent sous une certaine Young Soo, une élève introvertie, calme en apparence. Je peux commencer par chercher par là et ouvrir mes recherches à des personnalités plus larges. »

Elle vint donc lui sourire doucement en venant caresser les traits de son visage pour lui murmurer qu’elle ferait mieux d’aller se rhabiller au cas où quelqu’un l’aurait vu ou rentrerait dans la pièce. Dans un dernier baiser, elle vint donc s’éloigner de lui pour rejoindre l’amas de ses fringues, enfilant délicatement ses sous-vêtements sous le regard de son amant qui semblait profiter de la vue et percer son corps de son œil de lynx. Un fait qui ne pu que la faire sourire délicatement alors qu’elle ajoutait simplement.

« Je connais d’ailleurs personnellement, une personne résolument apte à nous rejoindre. Il s’appelle Joaquin et est arrivé le même jour que moi. C’est quelqu’un de très intelligent et manipulateur qui tout comme toi use énormément de son charisme pour arriver à ses fins. Grâce à ces capacités, je suis parvenue à devenir la propriétaire de la clé de la réserve interdite, où j’ai pu y trouver de véritables petits joyeux en son sein. »

Une phrase qui ne put que soulever un autre souvenir plus cocasse dans son esprit, l’obligeant à être traverser par un léger sentiment de gêne alors qu’elle fuyait le regard de son amant en attrapant sa robe qu’elle entreprit de revêtir, consciente qu’il ne manquerait nullement d’user de ses dons de légismancie si elle maintenait le contact visuel avec ce dernier. Après tout, il ne pouvait être dupe envers le malaise qui l’habitait à cet instant tant il la connaissait par cœur. Son aventure secrète avec ce bel espagnol n’allait résolument pas rester éternellement inconnue aux yeux avertie de cet homme. Même si elle n’avait aucune raison de se sentir gênée de la sorte, elle ne pouvait s’en empêcher, le considérant après tout comme sa véritable âme sœur tout en ayant conscience qu’elle ressentait quelque chose également pour cet autre homme, même si elle ne souhaitait nullement l’avouer.

Le professeur avait trouvé peu rassurant qu’elle décrive ses années ici comme inintéressante non seulement car cela signifiait qu’elle avait peut être obtenu peu d’information et ce ne l’arrangeait pas mais, elle était douée et il savait qu’il pouvait avoir confiance en elle. Elle lui confirma comme il lui demandait ce qui avait était si difficile entre elle et ses camarades coréens, curieux des difficultés qu’il serait à même de rencontrer lui aussi au sein de l’établissement. Elle expliqua qu’en effet son intégration au sein de l’école et de la région n’avait pas été aussi simple qu’elle ne l’imaginais. La province était bien hostile et fermée sur elle-même comme elle le supposait. Si bien qu’il était très difficile de se faire connaitre et de parvenir à prendre contact avec les mages noirs. Elle avait toutefois réussi à se rapprocher de l’un d’être eux légèrement sous les traits d’une coréenne, mais même ainsi, il restait très méfiant. La tache s’était avérée difficile pour la jeune fille et lui qui arrivait devrait sans doute faire face au même porte. Il lui avait donc fait part des évolutions de son coté qui se trouvait bien plus encourageante que les paroles de la jeune femme. Il avait continué en lui expliquant sa mission en douceur, c’était surtout elle qui prenait les risques, et même avec son don de métamorphomage, il avait conscience de la dureté des taches qu’il réclamait d’elle. Pourtant, elle ne s’en plaignait jamais et l’accompagnait, le soutenait sans faillir. Elle lui était si fidèle et dévouée en un sens. Il lui demanda donc une nouvelle fois de recruter pour lui, certains que ce pays regorgeait de personne qui croyaient à la même chose que lui et qui pourraient lui être utiles et loyaux.

Elle confirma son impression, cette certitude en disant que l’école grouillait de jeune gens susceptible de devenir de bons éléments. Elle connaissait le nom de certain d’entre eux, leur conviction et les forces qu’il pourrait apporter. Toutefois elle avait préféré discrète depuis son arrivée. Ils la connaissaient sous l’identité d’une certaine Young Soo, une élève introvertie, calme en apparence. Elle pourrait commencer à rechercher par là et ouvrir ses recherches à des personnalités plus larges. Il sourit doucement à la jeune fille en approuvant d’un signe de tête son intention, conscient qu’il devrait y aller en douceur et qu’il leur faudrait un peu de patience mais après tout, ils étaient déjà conscients de cette nécessité. Elle lui offrit un dernier baiser en expliquant qu’il ferait mieux de se rhabiller, qu’on ne pouvait les trouver ainsi, ce serait mal. Sans doute si dès son premier jour il se faisait découvrir ayant une relation avec une élève, ca le mettrait dans une situation très embarrassante. Elle s’écarta de lui pour retourner se rhabiller, chose que l’homme ne manqua pas de regarder avec grand intérêt tout en voyant la demoiselle rougir sous son regard.

Elle poursuivit en expliquant qu’elle connaissait personnellement une personne résolument apte à les rejoindre. Il s’appelait Joaquin et était arrivé le même jour qu’elle. C’était quelqu’un de très intelligent et manipulateur qui tout comme Noah lui-même usait de son charisme pour arriver à ses fins. Grâce à ses capacités, elle était parvenue à devenir propriétaire des clés de la resserve interdite ou elle avait pu trouver de véritable petit joyaux. La légère gêne de la demoiselle n’échappa pas à l’œil aguerri du professeur qui comprit immédiatement qu’il y avait anguille sous roche, ce qui fut amplement confirmer par son attitude fuyant le contact visuel qui lui était nécessaire pour atteindre ses pensées. Pourtant il la connaissait suffisamment pour conclure de son simple comportement, sans même avoir à utiliser la légilimancie. Il était certain que ce garçon n’avait pas fait que lui ramener une clé, ce devait être un ami proche de la jeune femme, un amant sans doute. Son regard sur la jeune fille se fit plus inquisiteur, plus profond comme si il pouvait lire à travers elle, son visage s’était quelque peu figé dans son expression bien qu’il n’aurait pu empêcher la jeune fille de faire ses aventures durant 4 ans. Si son idée était correcte, il ne voulait pas avoir d’image qui pouvais paser à cet instant dans la mémoire de sa compagne.

« - Joaquin… tu as l’air de beaucoup l’apprécier, il me semble. C’est ton amant ? » demanda t’il avec curiosité en se trouvant très légèrement jaloux de cette idée, son expression devait toutefois la trahir légèrement. Il en prit conscience et sourit doucement à Jane en récupérant lui-même ses vêtements pour les remettre. Il décida de la taquiner à ce sujet.
« - Tant que je reste ton précieux et unique professeur de défense contre les force du mal qui peut détourner son élève du droit chemin. Mais interdit de m’oublier pour les bras de cet… espagnol ?»

Elle n’était résolument pas très à l’aise à l’idée de parler de Joaquin à Noah. Après tout, elle entretenait une relation résolument complexe avec le jeune homme depuis qu’elle avait accepté de coucher avec lui lorsqu’il lui avait permis de mettre la main sur cette clé ô désirée. Elle mentirait si elle n’avouait pas que ce soir là, elle avait répondu à ses propres desseins en se laissant aller avec lui alors qu’elle avait tâché de le manipuler jusqu’alors. Sans doute que cet hispanique avait trop de charisme, trop de similitudes avec Noah pour qu’elle reste indifférente à sa personne. Elle appréciait tant sa présence, son brin de folie, son arrogance, ce sourire ô taquin qu’il avait pour coutume de lui adresser, sa beauté également était un facteur qui ne pouvait que l’attirer. Cela serait un mensonge de nier la véritable sensualité, magnificence de cet homme qui savait assurer attirer l’attention sur lui. Le charisme qu’il détenait était d’une nature bien différente de celle de l’homme qui se trouvait à ses côtés actuellement mais, qui semblait résolument être en mesure d’accaparer son attention. Une fébrilité certaine contre laquelle elle ne pouvait point lutter en dépit de l’apparition de celui qu’elle désirait tant retrouver.

Le simple fait de se tenir dans la même pièce que lui, humer le même air exaltait ses sens et la rendait si heureuse. Il était indéniable qu’elle était follement amoureuse de Noah, appréciant tant les facettes qu’il lui offrait l’opportunité de découvrir à ses côtés. Elle avait été choisi par cet homme et ce dernier n’avait pas manqué de lui rappeler, lui assurant la fierté qu’il éprouvait à ce sujet. Ils étaient promis à faire de grands choses ensemble et pour rien au monde, elle ne désirait perdre cette place légitime qu’était devenue la sienne d’être sa compagne du moins dans une certaine mesure. En effet, ils n’avaient jamais posé un terme particulier à leur relation, mêlant tout un échantillon d’émotions et de sentiments tout à fait contradictoire : amicaux, familiaux et amoureux. Ce chaos dans leur relation n’avait pu qu’être particulièrement frustrant à cette époque où ils avaient commencés à s’embrasser, entretenir une relation si ambigüe. Ce dernier avait continué à avoir des amantes, le voyant en plus de sa personne. Cette situation l’avait particulièrement meurtrie à cette période où elle avait assisté impuissante à ce manège ô déplaisant pour son cœur.

Elle en avait été morte de jalousie, manquant nullement l’occasion de se venger de ces femmes en toute discrétion en leur faisant boire des potions de sa fabrication. Certaines étaient tombés malade, avaient perdues des cheveux tandis que d’autres avaient vues leur peau s’enlaidir. Elle avait tenté d’évacuer cette frustration durant un temps avant de prendre en main la situation. Elle avait donc fait en sorte de s’accaparer l’attention de cet homme rapidement, faisant tout pour se montrer attirante et féminine, coquine même avec lui en prenant les devants. Elle avait arrêté d’attendre qu’il vienne à elle, qu’il lui offre l’opportunité de le faire afin de s’accaparer toute son attention. Un exercice dans lequel elle avait rapidement excellé, satisfaite de savoir que ce dernier avait cessé de voir d’autres femmes, se consacrant qu’à elle. Un bonheur qui avait malheureusement été de courte durée, les évènements fâcheux tels que ses rumeurs, les obligeant à se montrer plus distant, plus froid l’un envers l’autre. Finalement, elle avait fini par partie, sachant éperdument que ce dernier reprendrait sa vie d’auparavant avec ces femmes sans signification pour lui. Des femmes sans noms, sans visages pour elle mais, qui ne quittait point son esprit, hantant et animant cette jalousie muette qu’elle conservait dans son cœur.

Elle, de son côté lui avait été fidèle durant ces quatre dernières années. Elle s’était plongé éperdument dans sa mission, oubliant son aspect de femme qui semblait qu’être réveillé en compagnie de Joaquin. Le regard que ce dernier lui portait depuis le jour de leur rencontre ne pouvait que la flatter, l’obliger à prendre conscience qu’elle n’attirait pas que Noah ou tous ces hommes qu’elle regardait à peine. L’humour de cet homme lui avait tiré un rire franc, le premier après ceux que Noah provoquait si naturellement en sa personne. Elle s’était laissée amadouée, avait amadoué cet homme tout aussi indomptable qu’elle. Elle avait fini par céder à ses avances, une fois, consciente de l’alchimie qui se trouvait entre leurs deux échines. Une nuit qu’elle ne pouvait pas oublier en dépit de ce qu’elle s’intimait de faire, consciente de ce bien être en tant que femme que les actions de l’hispanique avaient fait revivre à sa chair. Une plénitude telle qu’elle avait fini par lui céder de nouveau en dépit de ses bonnes résolutions, se sentant dans une certaine mesure coupable d’avoir trahi Noah, sans pourtant l’avoir réellement fait.

Elle ne pouvait donc que se sentir mal à l’aise d’aborder le sujet de cet homme quand bien même ne souhaitait-elle nullement lui cacher l’existence de cet homme qui pouvait se trouver très utile à ses yeux. Elle ne manqua pas de le flatter d’ailleurs, louant ces résultats à Noah tout en poursuivant de se rhabiller. Elle avait fuit le regard de son amant de toujours plus par pudeur et gêne que par crainte qu’il ne le prenne mal. Après tout, il avait bien couché avec d’autres loin d’elle. Cette pensée ne pouvait que la rendre particulièrement mal à l’aise, haïssant ces femmes. Elle pouvait sentir son regard inquisiteur et perçant sur sa chair, sachant d’or et déjà qu’il avait comprit les liens qui régissaient sa relation avec ce fameux espagnol. Il ne manqua pas de souffler son nom à nouveau, lui indiquant qu’elle avait l’air de beaucoup l’apprécié, lui demandant de but en blanc s’il était son amant. Une question si soudaine qu’elle ne pu que l’observer surprise, légèrement décontenancée par cette dernière alors qu’elle pouvait apercevoir une expression très fermée sur le visage de son amant. Une expression qu’elle-même aurait pu avoir si elle s’était trouvée face à l’une de ses amantes. Une expression figée qui vint s’étirer dans un sourire doux à son attention alors qu’il venait à son tour récupérer ses vêtements pour les remettre. Il vint la taquiner à ce propos l’informant que cela ne le dérangeait pas s’il restait son précieux et unique professeur de DCFM qui pouvait la détourner du droit chemin. Il lui était formellement interdit de l’oublier dans les bras de cet espagnol.

Quand bien même ses paroles se voulaient désinvoltes, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir particulièrement mal à l’aise alors qu’elle se tournait pour remettre son blazer, recoiffant délicatement ses cheveux, légèrement troublée. Sans doute aurait-elle du rire de cela pour ne pas rendre la situation plus stressante mais, elle n’en fut pas capable, se contentant simplement de sourire alors qu’elle voyait Noah revêtir sa chemise. Elle laissa donc ses pas rejoindre ceux de son professeur pour venir délicatement boutonner les boutons à sa place, laissant ses phalanges frôler la chair de son torse alors qu’elle le recouvrait du tissu qu’elle avait tant pris plaisir à lui retirer des minutes auparavant. Elle appréciait résolument la texture, les traits de sa chair alors qu’elle lui souriait avec douceur en murmurant :

« N’aie aucune crainte à ce sujet, tu es et restera mon professeur préféré. C’est difficile de trouver des professeurs aussi coquins et charmants comme toi. Ça ne court pas les rues. »

Elle avait préféré plaisanter à son tour en venant le rhabiller tendrement, lui attachant cette cravate autour de son col pour pouvoir jouer avec elle. Ce qu’elle ne manqua nullement de faire avec élégance en venant lui voler un doux baiser avec sensualité, laissant ses lèvres caresser délicatement celle de cet homme avant de souffler contre elle.

« En parlant de Joaquin, tu ne manqueras sans doute pas de le voir et ainsi juger s’il est apte ou non à nous rejoindre. Nous sommes dans la même classe et il suit également ton cours. A toi de voir s’il est bon ou non. »

Elle n’avait ni affirmée, ni niée la relation qu’il supposait être la sienne avec cet homme. Un hispanique qu’il ne manquerait surement pas de rencontrer rapidement, les étudiants étrangers étant particulièrement rares dans l’école. C’est donc dans un fin sourire qu’elle vint lui revêtir de son blazer pour le rendre aussi impeccable que lorsqu’elle était entrée dans la pièce. Une image qui ne pu que la faire sourire d’autant plus alors qu’elle venait l’embrasser une dernière fois, en murmurant dans un ton quelque peu taquin :

« Je ferai mieux de partir, je suis là depuis bien trop longtemps pour une élève qui vient saluer son ancien professeur. A plus tard et sois sage, je compte sur toi. »

Des paroles qui la firent sourire délicatement alors qu’elle s’éloignait de lui pour rejoindre la porte que Noah venait de débloquer, l’ouvrant pour retourner auprès de ses amies, la place qui était sienne dans une certaine mesure.