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 And if we together try something new? | PV Park Soyou

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MessageSujet: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:10


Les sorties, les soirées, les fêtes étaient un rituel auquel je ne dérogeais jamais. Bonne vivante, hyperactive, je n’étais résolument pas une de ses femmes, qui studieuses préféraient étudier plutôt que de sortir pour s’aérer la tête. De nature assez indépendante, j’avais souvent pour principe de me rendre à ses soirées seules mais, je devais bien reconnaitre que la présence de mon amie, Soyou n’était nullement déplaisante. Un petit bout de femme, tout comme moi, au fort caractère et qui savait ce qu’elle voulait, en dépit d’une fragilité que j’avais su lui découvrir au fil des rencontres où nos routes avaient bien voulues se croiser. Il n’y avait rien d’incroyable en soit puisque le destin avait voulu que nous soyons camarades de maison et de chambrée. Un fait qui n’avait pu que nous rapprocher et que notre passion commune pour le Quiddich n’avait pu que conforter. A tel point, que je me contentais de cette place de batteuse alors que j’avais toujours été très douée et imposante au poste de poursuiveur au sein de l’académie australienne. Pourtant la compétition ne m’avait jamais fais peur et j’étais toujours prête à découdre lorsque je désirais quelque chose. De l’inconscience la majeure partie du temps pour mes proches et surtout ma sœur, qui s’inquiétait souvent sur ce que j’allais devenir.

Contrairement à elle, je n’espérais pas rencontrer le prince charmant, ni m’établir en tant que simple épouse au sein d’une maisonnée. Mes ambitions étaient résolument toute autres et je ne voyais en amour qu’une chose utopique à laquelle je ne croyais pas. Je préférais la liberté qu’apportait le détachement tout en profitant de ma jeunesse. Une croqueuse d’hommes, c’était sans doute un terme qui convenait aisément pour me qualifier. J’aimais séduire, charmé les hommes que je trouvais charmant et attirant. Je ne m’en cachais jamais, ayant peut être une réputation qui pouvait faire friser les poils à certaines féministes, dont je faisais moi-même partie. Oui, je couchais avec des hommes, je ne les comptais plus tant un certain nombre d’entre eux avaient eu le luxe de rencontrer la luxure à mes côtés. J’étais devenue amie avec la plupart d’entre eux, plaisantant parfois de ces souvenirs et tout était parfait. Un cercle vertueux habituel auquel on se faisait, appréciant la tournure que prenait les choses, sauf lorsque cela ne marchait pas.

Cette soirée faisait partie de celles qui m’avaient le plus déplu depuis mon arrivée au sein de Sinseonghan Jolyu et il était évident que Soyou, tout comme moi se trouvaient fortement déçue par cette nuit, qui ne resterait sans doute pas dans les annales. Nous avions retrouvé les couloirs qui menaient à notre dortoir, faisant de notre mieux pour faire le moindre bruit même si le bruit de nos talons aiguilles ne pouvait que nous trahir. Ce qui nous amusait grandement, riant toutes deux, quelque peu alcoolisées. En effet, à défaut de draguer, nous avions du passer notre soirée à boire en se moquant des pauvres gars, qui tentaient en vain de s’approcher de nous. Nous en venant même à rire tellement ces scènes ne pourraient que nous amuser durant un temps. Nous venions d’entrer dans notre chambre, réveillant par la même occasion nous deux autres camarades de chambrée, qui surprise pestèrent contre nous, littéralement endormies. Ce qui ne pu qu’accroitre mon rire alors que ces dernières nous lançaient un regard noir, conscientes que notre soirée n’était pas finie.

Résignées, ces dernières vinrent seulement se lever en embarquant leurs oreilles pour se diriger vers la porte, déterminée à trouver un lieu plus clément pour dormir.

« Mais, non, restez !  Allez ! Vous êtes pire que des grands-mères ma parole, ça vous arrive de vous amusez, quand-même ? »

Elles m’ignorent, soufflant de dépit tant elles doivent trouver ma remarque désobligeante même si je ne fais que dire la vérité en soit. Dire que j’étais disposée à leur offrir un peu de ma meilleure bouteille.

« Tant pis pour vous ! » Finis-je par lâcher en haussant les épaules alors que la porte claquée déjà derrière nous, nous laissant seule.

Riant de nouveau, comme j’aimais tant le faire, c’est tout naturellement que je vins m’asseoir sur le bord de mon lit, retirant ses talons aiguilles qui soulignent pourtant l’élégance de ma démarche et de mes formes, soulagée de retrouver la terre ferme, profitant du bienfait que me procure le parquet frais de la chambre. ça n’a résolument pas de prix après ne telle soirée et je fini par rire de nouveau lorsque mon regard vert émeraude s’ancre à celui de son amie, si sombre et profond.

« Soyou… ça te dit un dernier petit verre ? Je boirais bien un verre de mon cran cru… en cadeau pour cette soirée décevante que nous venons de passer. Cette soirée était résolument pauvre en homme bien fait… A moins que nous devenions trop difficiles. »

Ma voix douce, amusée vint se terminer dans un nouveau rire fin alors que je lui offrais un clin d'oeil enjoleur en levant toute empressée vers ma valise pour en sortir notre précieux cadeau, attendant simplement la réaction de mon amie.

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Soyou Park
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:14

Well... Certaines nuits n'étaient pas juste ce qu'elles étaient prévues d'être à l'origine. Soyou n'était pas trop difficile en général, il suffisait d'un geste qu'elle aime bien, un beau visage ou un torse bien musclé, une odeur agréable et surtout un regard entreprenant et elle se laissait tenter. C'était son remède autant que sa drogue. Sa drogue alternative même. Être dans les bras te dans les draps de quelqu'un pour une nuit la rassurait, calmait ses angoisses. Elle aimait se sentir désirable et qu'on apprécie sa compagnie, ses gestes. C'était une des rares choses qui pouvait calmer ses crises d'angoisses. Cauchemars quand elle était petite fille, elle pensait s'en être débarrassée pour toujours à son entrée à Sinseonghan Jolyu. Tout était allé pour le mieux jusqu'à ce jour, tout à fait idiot, où elle avait voulu faire un cadeau à son père pour son anniversaire. Elle s'était glissée dans son bureau au ministère, usant de quelques sorts pour s'y rendre et s'était cachée dans la seconde pièce. Des voix, des rires, lui signalèrent que son père n'était pas entré seul et pas autorisée à entrée, elle s'était cachée dans le placard. Ainsi recroquevillée elle avait du attendre un temps qui lui sembla infiniment long la fin des relations entre son père et cette inconnue sur son bureau. Lui qui lui avait toujours demandé d'être et irréprochable...
Elle avait tout foutu en l'air après cela, sans se soucier de rien. Elle avait continué de travailler pour maintenir ses notes, pour elle, uniquement pour elle et sa mère, mais le soir elle s'était enrôlée dans un autre monde. Monde où elle avait découvert le plaisir de séduire et surtout, le réconfort que cela pouvait lui apporter d'être désirée le temps d'une nuit. Même si le lendemain elle se retrouvait confrontée au fait d'être seule et incapable de faire naturellement confiance à un homme. Cela ne l’empêchait pas d'espérer d'en trouver un bien, un jour, un à l'opposé de son père, fidèle et qui ne la jugerait pas qu'à ses notes ou son statut social.

C'est au cours d'une de ces soirées qu'elle s'était rapprochée d'Olivia, une jeune fille de son école, de sa maison mais aussi de son équipe de Quidditch. Soyou l'aurait qualifié d'un caractère plus fort que le sien, elle même n'était pas sûre de ce qu'elle était réellement. Elle savait paraitre sage, raisonnée et distante, mais comment aurait-elle pu être forte alors que des angoisses venaient certaines nuits lui couper le souffle ? Une part d'elle admirait Olivia qui semblait quasiment indestructible. Sortir en sa compagnie était agréable, sa présence rassurante également.
Ce soir, Soyou rentrait bredouille, pas d'homme ni jeune homme ni rien d’intéressant à se mettre sous la dent. Au moins, c'était aussi le cas d'Olivia et c'est alcoolisées et pouffant pour un rien qu'elle regagnèrent leur chambre, avec la discrétion d'un troupeau de buffle sans doute. Sans elle, Soyou serait sans doute allée se terrer dans son lit jusqu'à ce que les difficultés à respirer et l'angoissent ne viennent la rejoindre. En dernier recours elle aurait avalé un de ses pilules qu'elle qualifiait de magique, pour rester percher, retarder le moment où elle pleurerait d'angoisse. Mais peut-être pas ce soir.

Soyou ne comprit pas tout du dialogue entre Olivia et leur colocataire, occupée à abandonner ses chaussures à talons pour relâcher en liberté ses pieds. La porte claqua, ce qui accentua le fou rire de Soyou. Elle fila rejoindre Olivia, s'invitant d'elle même sur son lit. Plutôt que de s'y assoir, elle s'y allongeât sur le dos, laissant échapper un soupire de soulagement face au repos que cela offrait.
Tournant sa tête pour écouter son amie, Soyou sourit à son clin d’œil, hochant la tête à l'idée de l'ouverture d'une nouvelle bouteille. « Oh oui, sors nous de quoi remonter un petit peu le niveau de cette soirée ! » Se détendant, la jeune femme passa les mains dans ses cheveux pour masser doucement son cuir chevelu, savourant le confort du lit et la liberté de ses pieds nus.
Elle se tourna vers Olivia quand elle revient avec deux verres, le prenant en se redressant légèrement sur son coude, confortablement allongée de côté. « Oui le niveau des hommes de ce soir était... Ne m'en parle même pas, hors de question que je passe la nuit avec l'un d'entre eux. C'est leur perte, on vaut mieux que ça. Enfin... en attendant pour ce soir, j'aurais que mon lit. » Oui c'était surtout ça qui l'attristait dans l'histoire.
Mais honnêtement, ça aurait sans doute pu être pire. Soyou trinqua son verre contre celui de son amie. « Toi et moi, sans eux. On devrait trouver moyen d'utiliser ce temps à bon escient, qu'en dis tu ? » Elle lui sourit, pas sûre de ce qu'elle cherchait au juste, l'alcool berçant déjà doucement ses propos, l'euphorie la poussait à ne pas vouloir gâcher. La jeune sorcière bu une gorgée et soupira d'aise à nouveau. « Olivia ? C'est quoi la chose la plus folle que tu es faite jusque là ? » Question un peu soudaine, une idée venue comme un coup de vent, mais après tout, elle ne le lui avait jamais demandé.

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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:18

J’étais particulièrement connu pour transgresser les règles et ce depuis ma plus tendre enfance. Une habitude qui avait rendu fous mes parents, tant je me trouvais être un garçon manqué que rien n’arrêtait. Sans ce terrible accident, qui avait manqué de m’arracher la vie, sans aucun doute que j’aurai opté pour un tout autre chemin de vie, que celui qui était mien à ce jour. Comme par le passé, j’aimais particulièrement le risque, cette liberté que la transgression pouvait insuffler à mon être et à mon âme. Je prenais la vie comme elle venait sans me prendre la tête et cela m’avait plutôt bien servi jusqu’à ce jour, d’autant plus sur le plan des relations avec les autres. Je n’étais pas faite pour être en couple, l’idée même me rendait particulièrement mal à l’aise tant je ne désirais nullement me plier à des conventions usuelles. Je n’aimais pas ce terme, cette pensée de savoir que je pourrais réserver mon cœur, mon corps et mon âme à une seule personne. L’amour était une sorte de prison par laquelle je ne voulais nullement me faire attraper, fuyant alors toute personne qui pourrait potentiellement me donner envie de me laisser aller à leurs côtés. S’attacher à autrui de façon si intense au point d’oublier ses rêves pour le seul souhait de rester auprès de cette personne, m’insupportait au plus haut point, d’autant plus que je pouvais voir ô combien, cela avait arraché les ailes pourtant si déployées de ma sœur, qui se contentait seulement d’un petit emploi alors qu’elle aurait pu parcourir le monde pour devenir cette illustre chercheuse qu’elle avait toujours projetée de devenir. Quoi qu’il arrivait, je ne comptais pas me laisser duper par tout cela et quand bien même j’aimais résolument les corps bien battit, je ne comptais résolument pas devenir dépendante d’un d’entre eux.

Je ne pouvais donc qu’être particulièrement insatisfaite de me retrouver seule pour cette nuit tant j’aurai bien aimé me projeter dans la séduction d’un beau garçon afin de découvrir des sensations intéressantes et luxuriantes à ses côtés. Des plans qui se trouvaient contrecarrés puisqu’aucun homme n’était parvenu à attirer mon regard. On ne pouvait pas toujours être gagnant, je suppose…  L’alcool était alors le meilleur remède pour se changer les idées et tenter de se consoler au travers la chaleur que ce liquide malsain pouvait procurer et ce en compagnie de la plus belle de mes amies : Soyou. Une demoiselle qui était venue s’allonger à mes côtés, mettant en valeur les formes quelque peu parfaites de son corps de femme, que je ne pouvais que trouver ravissante. Soyou était résolument une femme attrayante et pulpeuse et je comprenais résolument les raisons qui faisaient qu’elle était si adulée et désirée par les hommes. Si j’avais été un homme sans aucun doute que j’aurai pu me plaire à la séduire pour passer une nuit à ses côtés, bien que l’idée ne me dérangeait nullement même en tant que femme. J’avais déjà expérimenté la sexualité entre deux femmes, y ayant trouvé un plaisir particulier, bien différent de celui qu’un homme pouvait me procurer. Avec les femmes, je pouvais faire ressortir mon côté dominant et je devais bien reconnaitre que j’avais particulièrement aimée cela. Cependant, Soyou n’avait jamais montré un intérêt particulier pour ce genre de chose et quand bien-même me serais-je bien offerte pour tenter d’atténuer quelque peu ses angoisses, que j’avais pu entrapercevoir ses nuits où elle quittait en douce notre chambre, je n’avais pas jamais fais le premier pas. Pourquoi ? Sans doute par respect et amitié envers elle et peur de perdre ce qui nous liait en quelque sorte en me montrant trop entreprenante ? Que sais-je encore. Je n’avais pas la tête à réfléchir à tout cela, j’avais surtout envie de boire, de me consoler de toute cette déception, frustration plutôt de revenir bredouille en cette sainte soirée. Je m’appliquais donc à sortir ma bouteille de ma malle, la montrant tel un trophée en ajoutant toute excitée.

« Je te le fais pas dire. Un rhum groseille de plus de 100 ans, tout droit sorti de la réserve d’un beau jeune homme, qui me l’avait donné comme cadeau avant que je ne lui fasse connaitre le vrai paradis terrestre. »

J’avais lâchée dans un rire doux et une voix quelque peu sensuelle en me relevant, ouvrant la bouteille d’un doigté de maitre pour remplir deux verres pour rejoindre Soyou. Je vins m’asseoir à ses côtés en lui tendant son verre que cette dernière prit obligeamment en me murmurant combien elle était déçue par la médiocrité des hommes qu’elles avaient rencontré ce soir. Elle se contenterait de son lit ce soir, ce qui vint me faire rire alors que je lui lançais dans un clin d’œil charmeur et naturel.

« Pas que ton lit, tu oublies ma chère Soyou, que cette bouteille de rhum va être notre réconfort et puis je suis là. »

Une boutade de ma part alors que je venais trinquer contre son verre pour porter ce verre à ses lèvres pour en boire le merveilleux breuvage. Délicieux comme je l’espérais et son effet se fit immédiat dans mes veines, déjà bien chargées en alcool. La remarque de Soyou vint renforcer mon sourire alors que je la fixais de mon regard malicieux, taquin en murmurant.

« Je propose de profiter des bienfaits de cette bouteille jusqu’au bout… à moins bien entendu que tu n’ais une meilleure idée ? »

Mais la suite des paroles de mon amie me prirent de cours alors qu’elle me soupirait dans un ton doux quelle était la chose la plus folle que j’avais faite jusqu’à ce jour. Une question soudaine qui ne pu que me faire rire alors que je venais croiser mes jambes avec élégance en portant mon verre à mes lèvres. Je songeais à une réponse, me demandant ce qui pouvait être qualifiée de folie et la seule chose, qui me vint à cet instant fut ma première fois avec cette femme. C’est pour cette raison que je vins seulement boire une gorgée de mon verre avant de poser mon bras sur ma cuisse pour répondre simplement.

« La chose la plus folle que j’ai faite jusqu’à là ? Je dirai… coucher avec une femme. C’est particulier mais terriblement additif…  »

Je vins rire à ma réponse alors que je me mordais la lèvre, le regard pétillant de malice et de tendresse à l’égard de mon amie alors que je lui retournais la réponse dans un fin sourire.

« Et toi ? As-tu déjà essayé de le faire avec une femme ? Si non, quelle a été la chose la plus folle que tu ais faites. ça me rend curieuse… »

Des paroles susurrées dans un fin sourire alors que je ponctuais mes mots par un clin d’œil taquin, venant jouer avec une des mèches de cheveux de mon amie qui venait de glisser sur son visage, la détaillant avec intérêt et curiosité.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:18

Soyou éprouvait une sorte d'admiration, secrète et sans borne pour Olivia. Elle même s'appliquait à briser ce qui lui avait été appris, ce qu'on avait exigeait d'elle. Elle brisait son éducation tout en même temps qu'elle allait volontairement à l'encontre de ce qui était attendu d'elle depuis son plus jeune âge. Elle aurait dû être la parfaite fille de ministre aux notes irréprochables. Faire des études supérieurs en politique dans l'école la plus prestigieuse de Corée et sans aucun doute épouser un homme politique en vogue, un de ceux qu'on nomme intelligent, remarquable, un de ceux qui iraient loin. Au lieu de ça, elle avait appris qu'elle était sorcière et avait choisit une autre voie. Qui n'avait en soit rien à voir avec son comportement depuis plus d'un an, son habitude de changer d'homme comme bon lui semblait. Les hommes comme son père ne méritaient pas vraiment plus d'une nuit à moins d'être étonnamment... surprenants. Mais même ainsi, elle restait liée à son éducation, en prenant soin d'aller à son encontre elle en restait dépendant.
Olivia elle était différente. Infiniment libre, indépendante. Peut-être que c'était cela lui donnait un être si fort. Mais c'était surtout cela qui faisait que Soyou appréciait tant sa compagnie. Elle n'avait pas besoin d'excuse, elle ne faisait pas une fuite dans les draps de quelqu'un d'autre. Elle avait cette assurance, des sourires, des clins d’œils absolument envoutant. Oui, c'était sans doute le mot juste pour d'écrire Olivia, envoutante. Elle savait parfaitement faire son effet sur les hommes le soir. Et elle savait comment faire plaisir à Soyou, à lui affirmer que la bouteille de rhum et elle-même lui tiendrait compagnie.

Olivia laissa échapper un rire, un rire adorable aux oreilles de Soyou avant de croiser ses jambes sur le lit. Buvant son verre elle prit le temps de réfléchir à la réponse qu'elle allait donner. Chacun de ses gestes semblaient à la fois gracieux et naturel. Soyou n'en manquait rien, attentive. Allongée où elle était, elle ne se privait pas de regarde sa jolie colocataire et partenaire de début de folies nocturnes. Les mots que Soyou attendait avec curiosité finir par s'échapper de ses lèvres. La jolie brune, sûre de son effet, confessa avoir coucher avec une femme. Elle attira pleinement son attention en qualifiant cela de particulier mais d'addictif. Ce mot plaisait à Soyou, elle aimait jouer avec les addictions depuis quelques temps. Quand son amie mordilla sa lèvre, les yeux brillant et le regard singulier qu'elle lui adressa, elle ne put s’empêcher d'essayer d'imaginer comme Olivia devait être dans ce genre de situation. Avec un homme, mais surtout avec une femme. A ses regards et ses gestes, elle la dessinait très sensuelle dans son esprit, aux milieux des draps.

Dans un sourire, Soyou secoue la tête face à sa question. Non elle n'avait jamais été avec une femme au lit. Elle avait fait plein de types d'hommes, mais jamais de femme. « Non, je n'ai jamais fait ce genre de chose avec une femme, je ne suis pas sûre d'être vraiment leur genre. » C'était vrai, plus d'un homme l'avait facilement abordé, mais jamais aucune femme. Les hommes c'était assez simple, elle savait parfaitement comment les séduire et se sentait sur un terrain connu. L'idée d'essayer avec une femme ne lui avait jamais vraiment effleurée l'esprit. Elle pouvait appréciait un corps féminin, la sensualité qui s'en dégageait mais ça avait toujours était un univers lointain et inaccessible, interdit par principe. Simplement pas la cours dans laquelle elle jouait et elle était restée sagement à la place la plus facile. « La chose la plus folle que j'ai faite... » A son tour, elle prit le temps d'y réfléchir. La réponse lui vient assez rapidement mais elle hésita avant de la confesser. Cela était assez révélateur de certaines soirées qu'elle avait passée, bien sûre elle en avait eut bien plus souvent des normales mais... Le regard de Soyou glissa vers les doigts d'Olivia qui s'étaient mit à jouer doucement avec l'une de ses mèches. Elle sourit à cette vue. Après tout, quel mal y avait-il à confesser une telle chose ? Si il y avait bien une personne qui pouvait être curieuse à ce propos, c'était sûrement Olivia. Faisant confiance à son ami, la jeune femme pinça ses lèvres avant de répondre, à voix basse, pour s'assurer qu'elles deux seules n'entends ses mots. « Il y doit y en avoir une que je place avant les autres, la nuit où j'ai laissé un homme lier mes mains avec un foulard et me bâillonner les yeux. Ce n'était pas très serré, c'était assez plaisant. Je ne pensais pas que ça serait le cas, mais c'est devenu assez grisant quand il a serré ses doigts... juste ici. » En parlant, elle avait plongé son regard dans celui d'Olivia, tandis qu'une de ses mains était venue caresser la base de sa gorge, comme si le simple fait d'évoquer ces mots ravivait ce souvenir. Elle aimait sentir quelqu'un prendre le contrôle, dominer légèrement tant que ça ne dérivait pas trop. Cela se plaçait dans un contexte particulier, auprès d'une personne qui avait eut des gestes plutôt doux tout au long de la soirée mais qui avait lui avait confesser cette envie, la suppliant presque d'y céder. Elle aimait pouvoir donner ce contrôle à quelqu'un d'autre. Jamais elle n'aurait souhaité avoir ce genre de rapport sans son autorisation, sans qu'elle même n'y concède. Elle aimait s'offrir à ce doux jeux, le jour elle restait fière et s'appliquait à tout réussir, mais une fois la nuit tombée, inverser les rôles ne la dérangeait pas.

Laissant sa main contre sa poitrine, son verre abandonné à un simple sort informulé de lévitation, Soyou vient effleurer de son autre main le poignet d'Olivia, d'un geste timide, tout en cherchant à nouveau son regard. Elle savait la question qui lui brûlait les lèvres, mais avait peur d'aller trop loin. Elle doutait qu'Olivia ne se frustre trop facilement mais pourtant elle n'était pas sûre d'être entièrement prête à prendre ce risque. Mais les yeux d'Olivia posés sur elle l'y poussait, terriblement. N'y tenant plus, Soyou lui offrit un petit sourire un tantinet coquin. « A quel point c'est terriblement addictif, Olivia ? » Elle avait joué sur la prononciation de ce mot, addictif, il a avait pour elle quelque chose de mystérieux, presque mystique, sans doute interdit mais que plus intriguant encore.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:19

La nuit était loin d’être finie à mes yeux. Quand bien même cette dernière ne s’était nullement déroulée selon mes espérances, j’escomptais néanmoins me consoler en savourant le gout particulièrement relevé de rhum groseille de grand âge, que j’avais obtenu gratuitement auprès d’un de mes précédents amants. Un amant avec lequel j’avais passé une soirée particulièrement grisante et exaltante tant ce dernier s’était trouvé particulièrement sensuel et érotique avec moi. Un fait que je recherchais toujours dans mes relations que ce soit avec la gente féminine ou masculine. Je trouvais particulièrement exaltant de voir l’échine de mes amants et amantes se mouvoir toute en sensualité sous mon corps au travers de nos baisers et caresses. J’aimais l’érotisme que cette douce chaleur et effusion pouvait provoquer au sein de mes entrailles comme le fait de sentir ma chair s’endiabler, devenir plus sensible et empressée tout comme de me frustrer, d’approfondir cette sensation envoutante. C’était un véritable jeu euphorisant à mes yeux, une enivrante satisfaction de domination, de maitriser ce que je ressentais en tant que femme fatale. Je me soumettais que très rarement, sachant toujours dominer et commander les actions de mes amants comme je désirais qu’elle le soit. Ce soir se trouvait donc être un profond échec, même si je n’avais pu mettre en application mes compétences en séduction. L’alcool serait ma seule consolation de cette soirée et je comptais bien partager cette bouteille avec mon amie, qui se trouvait si obligeamment allongée sous mon regard.

Une femme à la beauté résolument envoutante et que je trouvais particulièrement sensuelle et à son avantage, ce soir. Sa question n’avait pu que réveiller une envie nullement anodine de ma part à son attention. Je lui avais parlé de mon expérience dans une voix suave, sans m’en rendre compte afin d’éveiller sa curiosité et de me mettre réellement dans cette atmosphère de confessions intimes. Je n’étais nullement en mesure d’identifier si je cherchais à la tenter indirectement tant mon esprit bien alcoolisé n’était pas en capacité de songer promptement. J’étais donc venue me mordre la lèvre délicatement tant le souvenir brulant de cette fois se trouvait encore cuisant dans mon échine. Une première fois que j’avais particulièrement apprécié et avait tant reprit la joie de revivre de nombreuses fois par la suite. J’étais donc particulièrement intriguée, intéressée par  la réponse que Soyou allait me faire à ma terrible confidence. Je ne pouvais m’empêcher de me demander si cette dernière avait connu la luxure sous les doigts et caresses d’une femme, si tout comme moi, elle avait déjà franchi les portes de ce plaisir interdit. Ce qui ne semblait malheureusement pas être le cas en vue de sa réponse. Elle vint me sourire doucement en secouant sa tête. Non, elle n’avait jamais fait ce genre de choses avec une femme car elle n’était pas sûre d’être leur genre. Une affirmation à laquelle je ne pouvais nullement adhérer puisque je me trouvais particulièrement charmée par ma compagne de soirée.

Une femme lesbienne ne pouvait que se sentir particulièrement charmée par l’érotisme et la sensualité qui se dégageait de ce regard et des gestes de ce corps si joliment dessinée. Je n’avais aucun doute à ce sujet mais, je ne fis aucune remarque à ce sujet, laissant mon amie poursuivre sur sa lancée tandis qu’elle répété ma question, y songeant sérieusement. Je pouvais sentir qu’elle hésitait. J’avais pour ma part laissait mes phalanges s’immiscer vers elle pour replacer une de ses mèches rebelle dans un geste tendre et amical, qui sembla attendri mon amie. Cette dernière vint ainsi lui offrir la narration d’une nuit particulièrement étrange qu’elle avait vécue. Une fois particulièrement envoutante, qui me donnait des pensées quelque peu cupides à mon tour tandis que j’imaginais Soyou, entièrement nue, les yeux bandés et soigneusement attachée au barreau d’un lit. Cela pouvait paraitre étrange mais, elle avait du être particulièrement attirante pour son amant, dans cette position d’abandon, de soumission à tout plaisir mesquin de la part de son partenaire. Mon regard resté ancré dans celui de mon amie, suivant avec attention le geste qu’elle me montrait pour situer l’emplacement où cet homme inconnu avait glissé ses doigts pour lui faire atteindre ce moment d’effusion lorsque l’esprit en manque d’oxygène, pouvait atteindre le plaisir à l’état extrême. Une soumission à laquelle, je n’étais nullement en mesure de me plier pour ma part, mon orgueil m’interdisant ce genre de « liberté », aimant bien trop l’extase que le sentiment de domination pouvait également engendrer.

Une confession à laquelle je restais muette alors que mon regard ne quittait point les doigts de mon amie qui avait laissé sa main libre contre sa poitrine. Cette position se trouvait particulièrement plaisante à mes yeux alors que je sentais les doigts de ma compagne venir effleurer mon poignet dans un geste timide tout en venant chercher mon regard. Un regard que je vins lui offrir, la regardant avec intensité et une certaine attirance que je ne pouvais nullement camoufler. Elle vint me soumettre une nouvelle question, me demandant dans quelle mesure le faire avec une femme pouvait être addictif. Une nouvelle demande qui ne pu que me faire sourire dans un fin rire alors que je venais trempée mes lèvres dans le liquide fort de mon verre avant de le poser sur le bord de ma table de chevet. Je viens reporter mon attention sur mon amie, venant délicatement glisser mes doigts qui avait glissé sa mèche derrière ses oreilles, se mouvoir délicatement contre son oreille, descendant le long de sa nuque pour y exercer un léger mouvement de va et vient dans une douce caresse. Je la regardais avec tendresse et amitié alors que je venais lui répondre en toute franchise et avec sensualité dans un murmure quelque peu chaud, du aux effets de l’alcool.

« Le fait de le faire avec une femme ? Tant de choses, ma douce Soyou. Déjà la sensualité que dégage le corps de son amante, la finesse et l’élégance de ses traits, la douceur du toucher de sa chair, l’érotisme qui s’en dégage lorsque ma bouche se glisse contre sa nuque, que mes phalanges se déplacent avec délicatesse contre sa peau pour éveiller ses doux frisons qui savent si bien rendre folle une femme, de connaitre le moindre de ses points érogènes et faire durer le plaisir… Les femmes savent faire durer ce plaisir de la chair, le faire grandir délicatement et tout en érotisme dans la moindre parcelle de notre chair, le taquiner également sans réellement l’atteindre. Les hommes n’ont pas cette patience, cette capacité à profiter jusqu’à l’effusion de cette luxuriante chaleur qui rend aveugle, fébrile la moindre parcelle de sa chair. Ce plaisir est juste terriblement envoutant lorsqu’on l’expérimente avec la bonne personne… Soyou… une véritable addiction même… »

J’avais soufflé son prénom dans un susurre brulant alors que ma main glissait contre sa clavicule, son épaule pour découvrir avec tendresse sa chair. Je ne pouvais cacher ce que ce contact provoqué en mon sein, mon esprit étant bien abstrait, perdu dans mes pensées pour penser correctement. J’avais ri délicatement à cette douce confession en venant lui voler un doux baiser sur sa joue pour murmurer contre son visage, non loin de ses lèvres.

« Tu n’as jamais été tenté de goûter à ce doux péché avec une femme, ma chère Soyou ? »

J’avais murmuré cela avec sensualité et douceur, la regardant avec intensité et une pointe de désir que je ne pouvais nullement camoufler. Elle se trouvait si attrayante dans cette tenue, dans cette position pour que je ne puisse garder cette distance naturelle. Elle me plaisait et cela serait un mensonge si je niais que je n’avais pas déjà rêvé de ses courbes ou rêver à ces dernières lorsque le plaisir prenait part de son être. Ma main quant à elle venait délicatement glisser de nouveau contre sa nuque pour laisser mes phalanges frôler le contour de son visage dans un geste profondément doux…
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:21

Son regard était arrêté sur Olivia, attentive à chacun de ses mouvements ou regards. Elle avait captivé son attention, elle pouvait le dire à l’intensité de son regard. Soyou n'aurait osé le dire à voix haute mais l'air entre elles deux semblaient s'être raréfié et le regards qu'Olivia portait sur elle aurait presque pu être celui d'un homme. A n'en pas douter, elle prenait le temps d'imaginer et de visualiser cette délicieuse scène, le tissu autour de ses poignets et Soyou lui en donna le temps, nullement offensée de ce regard. Au contraire, c'était même plutôt plaisant d'imaginer Olivia perdue dans cette idée. Son regard et son expression... Soyou ressentait l'envie d'être la cible de cette attention. Ce n'est pas comme si elle avait cherché à calculer quoi que ce soit, mais la situation faisait monter en elle l'envie d'éveiller du désir chez Olivia... du désir à son égard. Les doigts qui jouaient avec ses cheveux auraient pu se perdre ailleurs sans que Soyou ne proteste à son toucher.

C'était un jeu de regard uniquement, leur deux souffles silencieux, légèrement tendus dans cette ambiance de non-dit. A sa question, Olivia eut un rire chaud et aggréable, dans un sourire adorable. Soyou ne détachait ses yeux d'elle, savourant la situation qui se créait. Si elle avait été avec un homme, elle n'aurait eut aucun doute de là vers où la situation et le moment les dirigeaient. Mais c'était une femme, une délicieuse femme, séduisante. Son amie également. Soyou n'était pas sûre de quelle différence cela faisait. Devait-il y en avoir une forcément ? Car son envie de séduire était aussi forte qu'auprès de ses conquêtes passées, seulement juste plus difficilement avouable.
La main d'Olivia quitta ses cheveux, s'approchant de sa joue et se glissant de son oreille jusque sa gorge, dans une caresse. Un touché léger mais qui captait tout les sens de la jeune femme. Doucement, à vois basse, elle vient lui murmurer quelques phrases pour répondre à sa question. Elle l'écouta parler, des sensations que cela pouvait éveiller. L'érotisme qu'elle ressentait était-il du à ce quelle disait ou la façon dont elle le disait ? Soyou senti un doux frisson remonter le long de son dos en l'entendant évoquer sa bouche contre une nuque, sa connaissance de chaque points érogènes. Ses doigts allaient et venaient contre sa gorge, doucement, mais absolument tentateurs. Olivia parlait de plaisir envoutant sans se rendre vraiment compte de combien elle hypnotisait entièrement son amie allongée sous le lit. Le murmure de son prénom, sensuellement, ne rendait pas la scène plus réelle. Comme dans un doux rêve, son ami caressa sa clavicule, descendant jusque son épaule. Touché agréable, légèrement troublant de par la sensualité qui s'en dégageait... Soyou n'avait pas envie que cette main s'arrête, ni qu'Olivia la reprenne. Elle n'aurait pas bien su dire pourquoi mais elle voulait trouver une raison, une excuse, n'importe quoi pour poursuivre dans cette voie. Mordillant sa lèvre doucement, elle se laissait à la disposition de son amie, sentant doucement monter l'envie de sentir ce dont elle parlait, de laisser Olivia la rendre fébrile et de découvrir comment Olivia était, comment elle pouvait frissonner ou gémir... Cette image de son amie, aussi mal et interdite soit-elle, était terriblement intrigante.

Olivia aurait pu reculer après lui avoir expliquer tout cela, la laisser seule avec les idées qui avaient germées dans son esprit. Mais au lieu de cela, elle s'approcha un peu plus, vient effleurer sa joue de ses lèvres. Cessant de respirer, Soyou était à l'affut du moindre mouvement de la belle brune. C'était délicieusement plaisant. Les frontières étaient flou, rien n'était dit mais l’excitation la gagnait. Poussant légèrement plus loin, Olivia lui demanda si elle avait déjà était tentée par ce doux péché. Chacun de ses mots en soit étaient une tentation. Sans doute Soyou avait déjà enviée le corps de certaines femmes mais jamais elle ne s'était visualisée avec l'une d'entre elle. Doucement, Soyou tourna la tête légèrement, pour observer Olivia. Son regard s'était fait plus envouteur, un regard habituellement réservé aux hommes. Avec Olivia, elle pouvait sans peine l'imaginer poursuivre, promener ses doigts contre sa peau. Elle pouvait s'imaginer sentir ses cheveux sombres contre sa peau, l'odeur de sa tendre chair et ses lèvres... Ses si jolies lèvres... Elle s'attarda sur ses dernières, les observants en sentant monter une douce envie un peu folle d'y gouter, entrouvrant ses lèvres face à cette envie.
La main d'Olivia caressa son visage et toujours sans un mot, Soyou se laissa faire. Un instant, elle ferma ses yeux, cherchant à prendre le temps de réfléchir. Elle aurait pu mettre tout cela sur le compte de l'alcool, mais ce n'était pas cela. C'était les gestes, les mots d'Olivia. C'était Olivia tout entière. Elle avait envie de ses murmures, de gouter à ses caresses, sentir sa peau contre la sienne. Est-ce qu'elle jouait simplement à la tenter ? Si c'était le cas, c'était pleinement réussit. Elle n'avait qu'une envie, lui dire oui, à tout ce qu'elle voudrait pourvut qu'elle passe la nuit en sa compagnie.

Soyou releva les yeux pour les plonger dans ceux d'Olivia. Son regards, intense, voulait gagner son attention tout entière et même bien plus que cela. Elle voulait l'attirer à elle, la pousser à la faire sienne pour la nuit et l'alcool n'avait rien à voir avec cela, ce n'était qu'une aide, pas une cause ou une escuse acceptable. Lentement, prenant le temps de mesurer l'impact de ses mots, la jolie coréenne lui répondit. « - Non. Jamais, Olivia. » Elle le regarda intensément encore quelques secondes avant de baisser ses yeux vers les lèvres si jolies et si attirantes de son amie. Non, jamais aucune femme ne l'avait attiré comme Olivia le faisait. Se décidant en un battement de cœur, la main de Soyou quitta le lit pour venir caresser doucement la nuque d'Olivia. Délicatement, d'une légère pression elle l'invita à réduire l'espace entre elles deux. Une dernière hésitation, Soyou passa sa langue contre sa lèvre, la mordillant un peu avant de se redresser. Plus près, assez pour pouvoir sentir le souffle d'Olivia. Sous elle, elle vient embrasser tendrement ses lèvres en fermant ses yeux. Presque timidement. Et pourtant elle ne s'arrêta pas là, elle vient mordiller la lèvre inférieur de son amie avant de la caresser lentement du bout de la langue. Puis elle reposa sa tête contre les draps, observa l'effet de ce qu'elle venait de tenter sur Olivia. Dans un sourire tentateur, elle confessa « - Jamais de la sorte... mais je pourrais aimer être avec toi cette nuit Olivia, si tu as envie de moi. »
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:22

Ce petit jeu envoutant était en train de gagner mes sens. Je le sentais, montait délicatement au creux de mes entrailles. Ce désir que Soyou provoquait en mon être était attrayant et captivant. Je me laissais doucement porter par lui, par le contenu déplacé de nos confessions. L’alcool aidait résolument, donnait une excuse également à toutes ses idées quelques peu malsaines qui s’immisçaient dans mon esprit. Mes doigts glissaient naturellement, tout en sensualité contre la chair de Soyou. Je ne pouvais les contrôler. Mes paroles fusaient d’entre mes lèvres. J’avouais ouvertement ce que le corps d’une femme pouvait me procurer comme sa sensation, sans aucune honte, ni gêne. J’étais obsédée par les courbes d’une belle femme, la magnificence avec laquelle le plaisir charnel pouvait le rendre envoutant et exaltant. Je pouvais comprendre pourquoi les hommes aiment tant serrer une femme profondément pour la rendre folle dans une douce luxure diabolique. J’aimais également sentir ce doux méandre du plaisir gagner en force mes sens, me libérer de mes chaines pour atteindre ce paroxysme si vivifiant. Je sentais cette douce chaleur regagner mon être, délicatement titillé par le contenu des mots que j’avais exprimé. Je pouvais me rappeler de la chaleur et des frisons qui avaient parcourus l’échine de mes précédentes amantes, l’envoutement que cela avait procuré à mes sens. Cela me donnait cruellement envie de faire partager cette expérience à mon amie même si je ne l’avouais pas. Sans l’avouer, je ne cachais nullement mon ambition et le regard de ma belle Soyou, ne désapprouvait nullement mes actions, mes paroles.

Elle était réceptive à mes gestes, sa chair frissonnante délicatement aux passages de mes phalanges au creux de sa chair. Je m’étais rapproché d’elle, venant réduire l’espace entre nos deux êtres. Je la tentais inexorablement et son regard me l’avouait par son intensité et sa profondeur. Mon regard ne perdait pas en expression. Mes prunelles émeraude l’observaient avec envie. Elle vint tourner son visage vers le mien, silencieuse. Elle me détaillait avec ce regard qui prouvait que j’avais acquis toute son attention, ses pensées. Sans doute était-elle en train de songer à ma posture lorsque je me laissais aller auprès d’une femme ? Qui sait !? Je pouvais sentir son regard sur mes lèvres qui esquissèrent un sourire amusé, un brin provocateur. Mes phalanges continuaient leurs caresses sur les traits du visage de ma tendre amie qui ferme ses paupières, un instant. J’aurai pu me saisir de ses lèvres à cet instant mais, je n’en fis rien, laissant doucement mes dents mordiller mes lèvres pour tenter d’amoindrir cette cupide ambition qui m’étreignait. L’alcool ne m’aidait pas à les chasser, à les rendre moins évidentes. Soyou fini par reporter son regard vers le mien. Elle plongea son regard doux et intense dans le mien. Le temps sembla s’arrêter, suspendu à ses lèvres qui se trouvaient magnifiquement mises en valeur par ce rouge à lèvre à la couleur si prononcé. Ces dernières finirent par bouger, s’exprimant pour lui adresser une répondre. Non, elle n’avait jamais été tentée. Ses paroles simples mais claires allaient à l’encontre de ce que son regard lancé à cet instant. Peut être était-ce vrai, peut être que j’étais la première à éveiller tant d’attirance en son être ? Si oui, cela ne pouvait que me glorifier. Je souris à cette pensée de façon plus charmeuse, remarquant combien mes pensées pouvaient correspondre à celles d’un homme.

Une pensée qui se fit immédiatement chassée de mon esprit lorsque vint se poser sur ma nuque, les délicates phalanges de mon amie. Sans un mot, elle m’invita silencieusement à me rapprocher d’autant plus d’elle. Je me laissais faire obligeamment, mon regard suspendu à ses lèvres et au regard de cette beauté. Elle semblait hésitée, lui conférant alors un air encore plus tentateur. Je restais sage, ambitieuse et curieuse de voir si elle allait résister ou céder à cette étrange sensation. Des lèvres qu’elle vint mordiller avant de se redresser. Je pouvais sentir son souffle court venir se mêler au mien. Elle finit par m’embrasser, me laissant la douce satisfaction de sentir ses lèvres se poser sur les miennes pour les caresser. Un baiser dans lequel mes prunelles vinrent se fermer délicatement pour profiter de ce doux contact alors que nos lèvres se découvraient pour la première fois. Un contact timide, léger dans lequel la délicate langue de mon amie vint caresser mes lèvres avant de les abandonner. Bien trop vite à mon gout mais de façon terriblement envoutante. Elle me tentait à son tour et la position qu’elle adopta ne pu que me conforter dans cette pensée. Ce sourire devait résolument en envouter plus d’un. Seulement, ce soir, il m’était réservé et je comptais bien en profiter, si elle le désirait tout autant. Ce qui sembla être le cas en vue de ses paroles. Un aveu qui ne pouvait que me satisfaire alors que je lui souriais délicatement, laissant la peau de mes phalanges glissait sur son visage de nouveau pour venir dessiner les formes de ses lèvres. Si j’avais envie d’elle ? La réponse n’était-elle pas évidente ? Je souriais simplement en venant rire délicatement. La position dans laquelle je me trouvais me laissait dominer la situation. Elle me laissait choisir. Deux choix s’offraient à moi : rester sage ou succomber. Autant dire que le choix fut rapidement fait.

« Quelle question, ma tendre Soyou. » J’avais laissé souffler ses mots alors que je venais me rapprocher d’elle en prenant appui sur ma main libre. J’avais de nouveau réduit l’espace entre nos deux lèvres pour laisser mon souffle s’évanouir contre sa bouche. « Je suis sure que je ne pourrais qu’aimer… avec toi. Tu es si belle, ma beauté… » Je souriais, le regard doux alors que je venais réduire enfin l’espace entre nos lèvres.

Je vins poser délicatement poser ma bouche contre la sienne, dans un doux contact, léger et doux. Mes prunelles vinrent se clore pour me laisser profiter de ce doux baiser que je lui offrais. De simples frôlements, semblables au baiser qu’elle était venue me voler. Je laissais ma langue taquinait délicatement les lèvres de mon amie. Des caresses légères qui se firent plus passionnées délicatement. De façon claire et déterminé, mes baisers se firent plus avides, plus pressent. Ma main libre glissait de nouveau sur le visage de Soyou, se mouvait contre sa chair délicatement pour se choir contre sa nuque. Je vins glisser mes doigts dans sa chevelure, caressant délicatement sa nuque tandis que mes lèvres venaient s’éloigner délicatement des siennes pour susurrer.

« Laisses-toi aller ma belle… Profites seulement des frisons que je peux te faire vivre, sans limite. Je veux que cela soit un beau souvenir pour toi, autant que moi. Laisses toi juste porter par ce que tu ressens. » Ma voix s’était faite tendre, douce et sensuelle. Je désirais seulement la mettre en conscience, m’efforcer de l’habituer à tout cela. Elle savait qu’elle pouvait me faire confiance. C’est pour cela que mes lèvres vinrent se mouvoir plus concrètement sur ses lèvres, venant les taquiner de façon plus franche afin de partager un véritable baiser, un de ceux qui éveillait délicatement les sens même si ce petit jeu qu’on avait initiait, rendait l’instant encore plus sensuel qu’il ne l’était déjà.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 17 Juil - 18:23

"mais je pourrais aimer être avec toi cette nuit Olivia, si tu as envie de moi." Elle ne savait pas comment elle avait pu oser dire une chose pareil. A es propres mots, son coeur s'était emballé, comprenant pleinement les mots qu'elle venait de libérer en même temps qu'elle les confessait. Elle jouait avec le feu, terriblement. Draguer le soir des inconnus était une chose, facile, simple et surtout sans grandes conséquences. Ici, ce soir, c'était différent. Il s'agissait d'Olivia. La belle Olivia, cette jeune femme magnifique et hypnotisante, avec qui elle se laissait entrainer parfois tard le soir et aussi la personne qu'elle avait le plus de fois fait céder à ses envies de folies nocturnes. Son amie, sa confidente, son alliée de la nuit. Soyou avait l'impression qu'elle lui renvoyait des signaux inviteurs jusque là, tentateurs même mais... Si elle s'était trompée, si elle avait vu faux ou si Olivia reculait. Elle s'était mouillée, avait sauté à l'eau tête la première sans réfléchir et se retrouvait là... Avoir joué avec ses lèvres aurait pu être considéré comme une provocation amusante sans cette confession, ce n'était plus le cas. Soyou était maintenant pendue aux lèvres d'Olivia, ses si jolies lèvres, penchée au dessus d'elle, tentatrice. Elle lui avait donné le plein contrôle de la situation, lui laissant à son tour le choix de se retirer du jeu. Délicieuse attente, espérance si attirante. Peut-être aurait-elle était capable de supplier dans un murmure pour qu'elle ne reparte pas et reste avec elle ce soir.

Elle n'aurait pas à le faire pourtant. Olivia sourit, d'un de ses sourires dont elle avait le secret, accompagné d'un rire doux à ses oreilles. Une réaction simple mais qui témoignait de l'attrait qu'elle avait pour elle riant doucement de la question, soulignant son absurdité dans leur situation. Remplit de douceur, lui offrant toute son attention, Olivia caressa sa joue avant de venir jouer du bouts des doigts avec ses lèvres, les soulignant, s'offrant le temps de choisir. Elle rejeta sans violence cette question, la minimisant, comme si elle ne pouvait être autre chose qu'absurde. Comme si elle ne pouvait qu'avoir envie d'elle. Une attention, une remarque que Soyou trouvait particulièrement touchant, gratifiante. Olivia avait envie d'elle, comme une évidence. Elle ne pouvait qu'aimer être avec elle. Et Soyou ne pouvait résister à l'envie d'y goûter, d'approfondir ce contact, d'apprendre cette autre partie d'Olivia, celle qu'elle avait pu deviner aux nombres de ses amants et à leurs regards, mais encore jamais pu y accéder. Si belle, si sensuelle, si femme et tellement indépendante et pourtant ce soir elle était là, si proche, les lèvres la frôlant à chaque mots. Envoutée, Soyou se laisse appeler "ma beauté" avec plaisir, savourant ses mots et leur possessivité, entièrement disposée à aller dans ce sens.

Soyou ferma ses yeux quand les lèvres d'Olivia tueraient la distance qui les séparer, heureuse de la voir prendre cette initiative. Toujours enrobée de douceur, comme chacun de ses mouvements, se lèvres l'embrassèrent. La jeune femme y répondit, suivant sa lenteur, cette presque timide découverte, jeu tendre et sans empressement. Elle se laissa faire à la langue taquine d'Olivia, souriant à ce mouvement. Mais il n'y avait pas grand timidité chez Soyou, plus une patiente curiosité, une attirance jusque là inavouée. Sa main vient caresse celle de son amie qui était contre sa joue, du dos des phalanges, d'un mouvement léger, pour l'inviter à continuer, se laisser aller. Les lèvres contre les siennes se firent un peu plus pressentes, réveillant la soif de Soyou, répondant avec ferveur, embrassant ses lèvres chaudes et douces, sans s'en priver. Sa langue caressa la sienne, ravie de cette rencontre. La main de Soyou remonta pour venir caresser le creux du cou de sa compagne, découvrant du bout des doigts sa peau. Elle les laissa se perdre ainsi, quelques secondes durant contre le haut de sa gorge avant de venir prendre son visage dans le creux de sa main, l'invitant à prolonger ce baiser. Les doigts d'Olivia parcourait ses cheveux, sa nuque, réveillant de doux frissons contre son échine.

Sa chère amie ne doutait pas, aussi attirée qu'elle l'était elle même. Sensuellement, elle l'invita à se laisser aller, à profiter, sans aucune limite. Elle voulait en faire un beau souvenir. Soyou sourit doucement, l'observant, les yeux plongée dans les siens. Rien de tout cela ne serait sans doute difficile, elle se sentait en confiance si près d'elle, elle voulait partager avec elle ce qu'elle décrivait. Bien sûr elle n'avait jamais partagé un tel moment avec une femme mais si c'était avec Olivia ça ne pouvait que bien se passer. Soyou lui répondit, toujours souriante « - Je te fais confiance Olivia, je n'ai pas peur. » Ses lèvres embrassèrent son amie avec légèreté, ajoutant ensuite dans un sourire mignon et sensuel à la fois, dans un murmure, comme un secret pour elles deux « - On va être belles. » Non elle ne doutait pas des sensations qu'Olivia pouvait lui procurait et elle espérait pouvoir lui en transmettre elle aussi, la satisfaire, lui apporter ce dont elle avait envie sans la décevoir.
Le baiser sensuel qu'Olivia lui offrit était un cadeau, délicieux et sucré, réclament son attention. Se prêtant au jeu, Soyou taquina à son tour ses lèvres, la main contre sa nuque, joua à y glisser lentement ses doigts. Son autre main, elle vient la poser avec légèreté contre la hanche d'Olivia, remontant lentement, avec précision contre ses côtes, restant en dehors du vêtement, cherchant déjà à trouver les zones qui avaient ses faveurs, un point plus sensible, pouvant la faire doucement frissonner.
Soupirant doucement, à l'aise face à ses baisers et ses caresses, elle glissa la main dans ses cheveux pour en retirer la pince, l'abandonnant négligemment au milieu des draps, libérant ses cheveux pour plus de liberté. La jeune femme replia une de ses jambes, l'appuyant doucement contre la hanche d'Olivia. Une fois de plus, elle prit le temps de l'observer. Elle chercher ses marques, ne connaissant précisément les codes entre deux femmes. Elle savait les hommes pressé, souvent ravis de voir les vêtements libérer la peau, elle avait peur d'aller trop vite ou trop lentement avec Olivia. Ne sachant à quel moment elle devait se débarrasser de sa robe, si Olivia voudrait pouvoir le faire d'elle même ou non, elle tâtonnait, se fiant à un mélange de ses envies, son instinct et le regard de son amie.

Se redressant légèrement, Soyou approcha son visage de celui d'Olivia, ne cherchant pas ses lèvres cette fois ci. Elle vient baiser la peau de son cou, tantôt du bout des lèvres, parcourant sa chair, la sentant frissonner doucement, tantôt plus insistante, goûtant son goût et son odeur de sa langue. « - Tu sens bon, ton parfum est agréable Olivia... » Juste quelques mots murmurés tandis que ses doigts caressaient le dos et la nuque de la brune qui partageait le lit et cette nuit avec elle.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeSam 19 Juil - 18:08

Les lèvres de Soyou étaient succulentes, envoutantes. Je ne pouvais nier qu’elle m’attirait, m’obnubilait. Leur douceur était esquisse, merveilleuse. Elles m’enivraient, me rendaient cupide et à la fois tendre. Je devais la mettre en confiance, lui faire naitre ce désir délicatement dans les pores de son être. C’était un exercice lent et périlleux. Elle s’offrait à moi, à cet instant de luxure que je lui promettais. Je lui avais miroité du rêve, un doux songe dans lequel elle sentirait sa chair frémir, son âme s’envoler dans les méandres du plaisir. J’étais déterminée à tenir ma promesse. J’étais confiante. Ce n’était pas la première fois. J’avais l’habitude de dominer mes relations, agir en fonction de mes désirs tout en faisant frémir l’échine de mes partenaires. Il n’y avait aucune raison que cette fois avec Soyou ne change de mes précédentes. Cependant, je me sentais étrange. J’étais plus sensible à ses réactions, me préoccupant attentivement d’elle, désirant me montrer plus douce et sensuelle que jamais. Je la sentais réceptive à mes actions, à mes baisers. Elle me souriait, m’observant attentivement. Elle me faisait confiance. Elle n’avait pas peur. Le baiser léger et doux qu’elle vint m’offrir était agréable, mignon. Elle était adorable, attachante. Comment ne pas avoir envie d’elle ? Il était difficile d’avoir une réponse. Je ne cherchais pas à résister à cette ambition, bien aidée par les effets nébuleux de l’alcool qui coulait dans mon sang. Je souriais à sa remarque, murmurant : « Les plus belles, ma beauté. » Je n’en doutais pas. Elle serait magnifique au milieu de ses draps blancs, son corps nu s’embrasant face au plaisir que je lui procurerais. Cela éveillait quelque chose en moi. C’était envoutant. Cette image ne voulait pas quitter mon esprit. J’avais hâte d’arriver à cette étape et en même temps, je voulais prendre mon temps. Profiter de cet instant comme un cadeau, un présent unique.

J’étais venue voler sa bouche avec sensualité, savourant le goût sucré et alcoolisé de cette chair, qui avait gouté à tant d’alcool au cours de cette soirée. Ce goût était délicieux tout comme le contact de sa main contre ma nuque. Mes phalanges continuaient leurs caresses. Je la sentais sensible et intéressée. J’appréciais le touché de ses fines phalanges contre ma hanche, traçant la couture de ma robe avec légèreté, curiosité. Elle tâtonnait, hésitante et à la fois désireuse de m’offrir également ses bienfaits. Je souriais contre ses lèvres, les yeux clos, mes doigts libres ayant remonté à sa clavicule pour caresser cette délicate peau dénudée. Elle soupirait, résolument à l’aise face à mes baisers, mes caresses. Elle vint d’elle-même retirer la pince de ses cheveux, qui vinrent se répandre autour de son visage. Je l’observais avec attention, sentant l’une de ses jambes se replier contre ma hanche. Elle m’observait également. Je lui souriais tendrement, laissant ma main rejoindre sa mâchoire, la caresser délicatement. Je la sentais se redresser légèrement, approcher son visage du mien pour poser ses lèvres contre ma nuque. Un contact agréable et plaisant. J’étais sensible de la nuque, trouvant cet endroit tout particulièrement stratégique pour faire fondre ses partenaires. Ma chair frissonna, satisfaite de ce contact si agréable. Les baisers qu’elle déposait sur ma nuque éveillaient mes sens. Elle trouvait que je sentais bon. Elle aussi. Cette proximité me donnait envie de venir éveiller sa chair. Mon souffle chaud venait frôler son oreille, l’une de mes mains dégageant ses épaules de ses cheveux, sa nuque. Je laissais mes doigts glisser sur ses épaules, découvrant la peau brûlante de mon amie, venant rejoindre le tissu des manches de sa robe. « Le tien également, ma chère Soyou » J’avais soufflé cela au creux de son oreille, laissant mes lèvres l’embrasser, la mordiller délicatement, une de mes mains glissant contre l’autre côté de sa nuque pour la caresser, la maintenir. Mon autre avait délicatement rejoint la jambe braquée contre ma hanche, suivant les courbes de son bras qui était posé contre mon dos.

Mes lèvres vinrent naturellement se mouvoir contre sa nuque, l’embrassant délicatement, sensuellement. Je laissais l’arrête de mon nez taquinait sa peau, mes narines s’imprégnant de son odeur si délicate. Je la sentais sensible, ma main sur sa cuisse s’immisçant doucement sous le tissu de sa robe. Je laissais mes doigts frôler sa chair, remontant délicatement le tissu pour rejoindre le tissu de son sous-vêtement, sa hanche. Sa peau était douce, fébrile. Je la taquinais délicatement sans montait plus haut, découvrant cette chair chaude et plaisante. Elle était attirante sous mes doigts, ses formes m’attiraient et me donnaient délicatement chaud. Je laissais ma bouche retrouver sa clavicule, laissant mes lèvres humides et chaudes caresser sa chair pour rejoindre l’autre côté de son cou. Je sentais le rythme cardiaque de Soyou sous mes lèvres, ses soupirs comme de merveilleux sons à mes oreilles. « Tu es magnifique. » Un aveu que je lui murmurai au creux de l’oreille dans une voix sensuelle et le souffle chaud. Je pouvais entrevoir son visage, son regard brillant. Mes doigts vinrent glisser sur sa taille avant de rebrousser chemin dans des mouvements de vas et vient légers, délicat. Mes lèvres quant à elles vinrent de nouveau rejoindre son visage, sa mâchoire, sa joue avant de venir voler les siennes dans un doux baiser empli de sensualité pour lui transmettre cette ambition qui traversait délicatement ma chair, tout en espérant éveiller sa propre cupidité.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeMar 29 Juil - 1:20

Jamais jusque là Soyou n'avait vu le regard d'Olivia briller de la sorte. Ses yeux étaient assombris et la regardaient avec une intensité nouvelle. Est-ce que cela venait vraiment d'apparaitre ou bien était-ce enfouie et masqué jusque là ? Elle n'aurait sur le dire, mais ce soir elle pouvait le voir. Et elle ne désapprouvait pas ce regard, cet appétit que son amie avait à son égards. Ses caresses étaient délicieuses, délicates et sensuelles tout contre sa peau. Elle prenait son temps, visitant des lieux encore timide et réservée, comme si elle hésitait à franchir cette étape qui pouvait marquer un tournant dans leur amitié. Le cœur de Soyou battait la chamade, suspendue aux lèvres de la si jolie Olivia, espérant des gestes qu'elle n'avait pas imaginée partager avec elle.

Il y avait plus que du désir dans le regard de la jolie brune. Une tendresse, une grande douceur qui rendait la coréenne parfaitement confiance. Sous ce regard, elle se sentait plus unique que devant tout les hommes auprès de qui elle s'était déshabillée jusque là. Chaque geste, chaque souffle contre sa peau taquinait ses sens. Soyou s'offrait entièrement à Olivia, se laissant faire sous ses caresses, le toucher de ses lèvres dans son cou et sa main si douce qui soutenait son mouvement, entrecoupé de petits mordillement lui donnait juste envie de lui laisser tout contrôle sur elle, de se plier à la moindre de ses demandes.
Les doigts de la belle brune descendirent contre sa jambe, touchant sa peau nue, remontant le long de sa cuisse. Soyou se senti frissonner, un appel dans le bas de son ventre, souhaitant la voir continuer ce mouvement. Sa belle Olivia réagissait si bien dans le creux de la nuque qu'elle revient y déposer des baisers, tentée par l'envie de couvrir sa peau, résistant tant bien que mal à l'idée de chercher à la marquer de ses lèvres pour quelques jours elle se retient.
Délicieusement tendue d'espoir, elle stoppa un instant sa respiration tandis que la main de son amie remontait, effleurant le tissu de sa lingerie, toujours si joliment choisie à chaque fois qu'elle sortait. Une culotte sombre qui épousait ses formes à la perfection, douce et sensuelle, assortie à son soutiens-gorge et tout autant bien adaptée à la soirée qui se révélait devant elles deux. L'attente rendait ce moment délicieux, incertaine du futur mouvement qu'elle s’apprêtait à faire, cela suffisait à rendre Soyou fébrile d'attente... Sa main ne remonta pas plus, la laissant doucement sur sa fin, continuant ses caresses presque innocentes et pourtant tant tentatrices...

La température de la pièce était doucement montée, elles auraient sans doute pu se sentir tout aussi à l'aise sans leur robe respective, voir même plus encore. Le corps de Soyou réagissait tout entier aux caresses de sa compagne, elle lui faisait se sentir chaud, son cœur s'agitant, sa respiration avait perdu se régularité, s'arrêtant tantôt pour être attentive à ses gestes, reprenant de façon accélérée quand elle trouvait une parcelle de sa peau plus sensible. La sensation de ses lèvres contre sa chère, douce, de plus en plus humide l'incitait à vaciller au creux des draps, maintenant sa cuisse serrée contre sa hanche nécessitait de l'attention... Les mots doux qu'elle vient lui murmurer dans le creux de l'oreille lui firent moins d'effet en soit que le ton sur lequel elle le prononça et l'attention qui s'en suivait. Soyou mordilla sa lèvre dans un sourire, se cambrant légèrement sous le va et vient de la main contre sa hanche. Une envie de sentir Olivia plus près d'elle l'envahi. Tournant la tête, la jeune femme captura les lèvres qui parcouraient son visage, les embrassant avec soif, plus impatiente, plus passionnée qu’auparavant. Elle laissait de côté la retenue, plaçant sa main contre la joue de son amie, l'attirant vers elle. La jeune femme cambra un peu plus son dos, venant effleurer son bassin du sien, mouvement suggestif et à plusieurs reprises, tandis que ses lèvres continuait de réclamer son attention, sa présence. Ses doigts glissèrent sur sa gorge, la caressant délicatement, savourant sa douceur, la sensation de son pouls qui battait sous ses doigts. Reculant un peu, elle prit le temps de perdre ses doigts dans la chevelure de Olivia, sa si chère Olivia, y glissa ses doigts, appréciant leur souplesse et leur façon de glisser entre ses doigts, les yeux perdus sur le visage de son amie, la détaillant lentement. Si sensuelle, sur prunelles sombres ne la quittait pas non plus une seconde, ses lèvres encore entrouvertes, légèrement rougis de leur baisers étaient un appel constant.  De longues secondes elle l'observa, jouant avec ses cheveux, avant de reporter ses doigts contre son cou, les laissant courir derrière sa nuque, elle chercha la fermeture de la robe de sa compagne, la faisant glisser jusque mi-dos pour pouvoir caresser cette partie de peau inexplorée dans un sourire inviteur. De la pulpe de ses doigt, elle remonta le long de sa colonne vertébral, pour revenir effleurer sa nuque et redescendre dessiner les contours de son omoplate. Puis, volant un léger baiser sur les lèvres d'Olivia, elle prit sa main pour la guider, l'invitant doucement à faire glisser son propre vêtement, pour se débarrasser de sa robe verte si collante à sa peau. Sa tête reposa à nouveau dans les draps, un air éveillé et enjouée dans les yeux, savourant la vue d'Olivia au dessus d'elle.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeMar 12 Aoû - 15:50

Elle était magnifique, je ne pouvais que le reconnaitre. Ainsi longée sur ce lit, elle était un merveilleux présent que je savourais avec satisfaction. Je ne me pressais pas, appréciant l’effet que j’avais sur ma belle Soyou. Elle était désirable et fébrile sous mon regard, timide également. Cela m’attirait cruellement. Je l’initiais dans ce monde de luxure qu’elle méconnaissait, celui de deux femmes qui s’offraient un plaisir commun et palpitant. Sa peau était si douce, si chaude sous mes doigts. Je sentais Soyou réceptive à mes actions, d’autant plus gourmande et désireuse. J’éveillais en elle, un désir contre lequel elle se laissait aller simplement, sans gêne, ni timidité. Je pouvais sentir sa respiration forte, due aux battements effrénés de son cœur dans sa poitrine. Elle semblait envoutée par mes actions et son échine répondait à celle-ci de manières ô merveilleuse. Je savourais avec effusion et bonheur le contact de ses lèvres qui étaient venues se jeter contre les miennes avec soif et impatience. Un baiser que je ne pouvais que savourait, sa passion s’étant éveillée et semblait réclamer que je poursuive mes actions. Elle se collait à mon corps, si sensuelle et désireuse. Comment était-il seulement possible de résister à une femme aussi belle que mon amie ? Elle était si désirable et je ne cherchais nullement à résister à son impatience, laissant mes lèvres dévorer celles de ma future amante avec effusion.

Je sentais ses doigts glisser sur sa ma gorge pour se perdre dans mes cheveux. Le souffle court par un tel baiser, l’observant avec autant d’attention que je n’étais en train de le faire. Mes phalanges continuaient de glisser sur sa hanche dans de légers mouvements de va-et-vient. Je sentais les doigts de Soyou chercher la fermeture éclair de ma robe, la faisant délicatement glisser pour venir rejoindre mon dos, frôler la chair de mon dos. Un contact agréable que je ne pouvais que savourer alors qu’elle m’invitait à poursuivre. Je la laissais faire, la fixant avec intention, ma chair frissonnant délicatement sous la pulpe de ses doigts qui remontaient ma colonne vertébrale pour effleurer ma nuque, dessiner le contour de mon omoplate. C’était agréable. Soyou était si sensuelle que je ne pouvais que la contempler, mon corps légèrement en appui sur un bras. Je pouvais sentir la main de Soyou glisser sur ma main près de sa hanche, venant la guider pour m’inviter à la déshabiller simplement, dans un léger baiser qui ne pouvait que m’attirer. Elle était si belle. Ce que je vins effectuer, lui retirant tout en sensualité ce vêtement pour me retrouver face à son corps pratiquement dénudé, si magnifique.

Dans cette action, j’étais également venue me dévêtir de ma robe, laissant mon ensemble noir mettre en valeur mes courbes félines, qui semblaient plaire au regard de ma campagne. Une déesse qui s’étalait sous mes yeux, si désirable et envoutante. Je lui souriais avec douceur, laissant ma bouche se poser contre sa mâchoire pour y déposer des milliers de baisers papillon, fripons et sensuels. Une de mes mains était venue soigneusement se mouvoir de l’autre côté de sa nuque pour approfondir ce contact, laissant celle-ci glisser contre sa clavicule, rejoindre les courbes délicates de sa poitrine. Je laissais mes phalanges taquiner cette chair tout en sensualité dans de légers contacts, traçant la cambrure de ce sein, savourant les battements effrénés de son organe vital que je pouvais sentir sous mes caresses. Ces dernières vinrent s’immiscer sous le tissu de son soutien-gorge venant atteindre ce merveilleux téton qui semblait terriblement doux sous ma peau. Je laissais ma main caresser ce sein avec sensualité et douceur, venant faire glisser sa bretelle de son vêtement sur son épaule pour découvrir son sein plus pleinement.

Je venais délicatement le caresser, concentrant l’ensemble de mes cajoleries sur son bouton de chair pour le sentir s’affermir sous la pulpe de mes doigts. Elle respirait fortement, rendant mon appétit d’autant plus gourmand alors que ma bouche venait embrasser sensuellement le creux de son oreille, redescendant sur sa clavicule, le creux de sa poitrine. Elle se cambrait délicatement sous mes actions, permettant à mon autre main de faire glisser son autre bretelle pour me permettre d’accéder totalement à sa poitrine dénudée, bien que le sous-vêtement fût toujours présent, soigneusement attaché grâce à son attache. Pourtant, ses seins s’offraient à ma vue, à mes doigts, à mes lèvres. Mon souffle chaud, envouté et charmé par celle-ci venait frôler sa chair, la rendant d’autant plus sensible à mes actions. Elles se faisaient douces et sensuelles, attentives à ses réactions et à son rejet possibles. Je restais vigilante à cela, ne voulant nullement la pousser trop loin. Mon désir était de lui faire connaitre une nuit particulière, exceptionnelle également. Elle devait rester pour elle, une nuit merveilleuse dans laquelle elle aurait goûté à un autre genre de luxure. J’étais donc venue glisser ma bouche contre son sein nu pour l’embrasser, laissant mes lèvres taquiner le contour de son mamelon avant que ma langue ne vienne participer à l’éveil de ses sens.

Je la savais réceptive, ma main libre glissant sur ses côtes, dessinant les courbes de sa hanche pour frôler une de ses cuisses dans un furtif passage. Sa peau était si douce, si chaude sous la pulpe de mes doigts, de mes lèvres. Elle était incroyablement désirable. Je vins susurrer son prénom, mes lèvres venant retrouver le creux de sa poitrine pour suivre son thorax, sa nuque pour rejoindre sa bouche. Je lui souriais avec douceur, ma main libre venant rejoindre son bras, sa nuque pour la caresser. Je lui offrais un baiser torride, bien que sensuel et doux, ma main libre se dirigeant vers son dos pour lui défaire totalement son sous-vêtement pour le faire tomber totalement. Un exercice auquel je m’appliquais avec attention, me relevant sensuelle pour le lui retirer, laissant mes mains glisser sur ses hanches pour rejoindre sa poitrine qu’elles vinrent taquiner avec attention et sensualité. Mon regard ne se détachant pas une seconde de son corps qui s’offrait à ma portée. « Tu es magnifique, ma Soyou… » Je vins souffler ses mots au creux de son oreille avec sensualité, le cœur battant promptement dans ma poitrine. Elle m’attirait comme jamais.
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Soyou Park
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeMer 3 Sep - 23:08

Pardon pour cette attente impardonnable TT


Cette envie montait en elle, celle d'en savoir plus, de découvrir réellement Olivia, au-delà de ses baisers. Elle souhaitait ressentir ses caresses sur sa peau, se débarrasser de cette robe devenue superflue. Pouvait-elle rendre son amie folle, comme elle savait si bien le faire avec un homme ? Lui donner envie de retirer chaque centimètre de vêtements pour la mettre à nue, de la désirer avec impatience, de soupirer contre sa peau en essayant de garder le contrôle malgré le fait qu'elle la rendait folle ? Soyou en avait envie, terriblement, comme un pécher inavouable, un plan diabolique. Elle n'aimait pas dominer ou s'imposer généralement entre les draps et pourtant, elle aimait s'approprier ce mérite de faire monter un tel désir, de faire brûler intérieurement son partenaire jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.. Et ses plans pour Olivia n'étaient finalement pas si différents. Doucement, Soyou approcha ses lèvres du creux de l'oreille d'Olivia, venant lui murmurer lentement « Je veux te donner envie de moi Olivia, comme tu n'auras jamais eu envie de personne... » Une confession peut-être étrange, une pulsion égoïste à l'extrême qui trahissait son besoin d'attention, son envie d'être unique pour Olivia. Elle resserra doucement ses doigts dans la nuque de son amie ; elle ne se souciait pas de donner un sens à tout cela : la jeune femme se laisser guider par ses envies, oubliant la raison. Si elle avait écouté la raison, elle ne se trouverait actuellement pas allongée sous Olivia, le coeur battant, et la respiration incertaine...

Finalement pour l'heure, Soyou se sentait assez à l'aise. Elle connaissait les règles de ce jeu, de cette danse sensuelle. Elle savait partager ses regards qui s'assombrissaient, ses lèvres, tentées et qu'elle savait tentatrices... La jeune femme se cambra pour aider Olivia à la débarrasser de son vêtement, avec plaisir, curieux de l'expression qu'elle pourrait bien réveiller en elle. Un doux frisson la parcourut quand la robe glissa complètement, abandonnant son corps, mais ce n'était pas vraiment dû à la température de la pièce.
Soyou prit le temps d'observer Olivia qui se dévêtait, séparant son corps de cette robe noire pour révéler sa poitrine, emprisonnée dans une charmante lingerie, pleine et rebondie, délicieuse. Ses yeux descendirent sur son ventre, finement dessiné pour observer ce petit endroit encore inconnu et si intime. Elle était sublime, féline et tentatrice? Soyou n'avait aucun doute que tous les hommes devaient la désirer... Elle-même se sentait flattée de pouvoir partager ce moment avec une femme si belle et si assurée.

Soyou accueilli Olivia quand elle se rapprocha pour venir embrasser sa gorge, plaçant ses mains contre ses hanches, les caressants avec légèrement, un toucher doux, l'effleurant à peine, mais pourtant bien présent. Elle s'amusait de la sensibilité de la peau à cet endroit, caressant le creux de ses reins, remontant doucement contre ses côtes, assez pour la mettre à fleur de peau. La main de sa partenaire glissant sous son soutien-gorge, venant taquiner le centre de son sein, jouant avec cette chaire sensible jusqu'à ce qu'elle se durcisse. Soyou laissa échapper, un soupire, tant ce contact était délicieux. Elle la laissa vers glisser son soutien-gorge pour dévoiler entièrement sa poitrine, l'offrant à sa vue. Elle savait bien n'avoir aucune raison d'en avoir honte, ronde et bien généreuse pour son gabarit, plus d'un homme l'avait déjà complimenté à ce sujet. Mais le regard d'Olivia la complimentait lui aussi et elle redécouvrait cette satisfaction d'offrir une vue plaisant à son amante.
Ses lèvres contre sa poitrine étaient exquises, sa lèvre titillant à la perfection les espaces sensibles de son sein, éveillant des envies de plus en elle. De doux frissons parcouraient la jeune femme, parfaitement accordés aux caresses que lui offrait son amie. En douceur, Soyou fit glisser la bretelle d'Olivia sur son épaule pour dévoiler un peu plus de chair, la caressant, l'effleurant discrètement tandis que son amie avait le visage enfoui contre sa poitrine. Des caresses d'encouragement, mais aussi qui lui permettait de faire connaissance avec la peau de sa belle amante, sans rien, douce comme de la pèche, sans imperfection. Une peau qu'elle s'impatientait déjà d'embrasser à son tour, de pouvoir en sentir le parfum sous sa langue, le goût sur ses lèvres... Pour l'instant, les lèvres d'Olivia revenaient l'embrasser et Soyou lui rendit son baiser, empreint de sensualité, pressant ses lèvres contre les siennes, jouant de sa langue pour lui offrir de doux baiser. Chaque geste lent était contrôlé, comme un jeu aux règles imprécises pour Soyou. Elle se calquait sur Olivia, suivant son rythme, ses envies pour éveiller son plaisir.

Elle frissonnant quand Olivia l'appela "ma Soyou". Elle ne s'habituerait jamais à l'effet que ce terme pouvait avoir sur elle. Cela réveillait dans le fond de ses reins une envie de se donner, d'appartenir à Olivia dans l'instant. Plus rien n'importait que la faire la vouloir dans ses draps à ce moment précis. Dans un sourire, à quelques centimètres des lèvres de son amie, elle lui répondit, le souffle court « Pas autant que toi Olivia... Je veux être tienne ce soir, ici, dans tes draps... » Ses doigts caressèrent la joue de la belle brune avant de descendre doucement dessiner le contour de son décolleté. Elle y fait deux allés retour, savourant ce qu'elle pouvait deviner de la poitrine d'Olivia. Puis elle fit glisser la seconde bretelle d'Olivia contre sur son bras. Elle observa lentement la poitrine encore masquée, mystérieuse. Une tentation qu'elle voulait voir et sentir sous ses doigts, mais elle hésitait sur comment procédé. Elle mordilla sa lèvre avant de lever les yeux vers la jeune femme qui la surplombait. Ses mains virent se positionner sur les hanches de son amie, les caressant discrètement. « Je voudrais en voir plus Olivia... » Mi-supplique, mi-ordre, c'était un jeu délicieux. « Je veux te découvrir et être à toi. » Il n'y avait plus d'hésitation dans sa voix et elle se redressa légèrement, s'emparant des lèvres d'Olivia, comme pour terminer de la convaincre, un peu plus sauvage dans ce baiser.
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeDim 21 Sep - 13:53

Je la trouvais particulièrement attirante. Soyou l’avait toujours été. Il faut dire qu’elle disposait d’un corps de rêve, qui en faisait baver plus d’une et moi notamment. Être en mesure de réaliser ce doux fantasme qui m’attirait vers elle, se trouvait particulièrement attrayant et je me faisais un plaisir d’éveiller les sens de ma campagne. Elle semblait réceptive à mes actions, soupirant son bien-être alors que j’avais le luxe et la possibilité de goûter sa chair. Celle-ci se trouvait particulièrement plaisante et enivrante. Mes lèvres glissaient entre sa poitrine avec délicatesse et ambition. Je la sentais frissonner sous mes lèvres, captive de l’effusion que je provoquais en elle. C’était particulièrement enjôleur et excitant. Elle m’offrait une vue imprenable sur son corps en ébullition, sensible à ma chair, mon contact. Elle se laissait totalement aller à mes actions et je savourais avec bonheur, la moindre de ses réactions. Soyou quant à elle faisait glisser une de mes bretelles sur mon épaule pour dévoiler un peu plus de chair pour la caresser, l’effleurer discrètement. Une action adorable, qui semblait m’inviter à poursuivre, continuer de la rendre toute aussi fébrile. J’étais revenue à ses lèvres pour lui voler un doux baiser, sensuel, mais déterminé. Un baiser auquel elle me répondait avec le même attrait alors que je lui avouais le contenu de mes pensées. Je la trouvais magnifique. Je savais que cela la troublait, son regard m’observa avec intensité et émotion. Je lui souriais tendrement, mon regard brillant et tendre s’incrustant à ses prunelles.

Elle vint me sourire à son tour, à quelques centimètres de mes lèvres. Elle était terriblement envoutante et je ne cachais nullement l’attirance que j’avais pour elle. Le souffle court, elle m’avoua qu’elle n’était pas aussi magnifique que moi. Elle voulait être sienne ici, dans mes draps, pour ce soir. Des paroles ô envoutantes qui rendaient mon regard plus perçant, plus intéressé encore. Le contact de ses phalanges contre ma joue était agréable, plus encore lorsque je les sentis glisser doucement contre ma gorge pour atteindre le contour de mon décolleté. Je la regardais faire, observant l’expression de ses prunelles qui semblaient s’abreuvaient de la vue que mon décolleté lui offrait, bien qu’insatisfaites. Soyou se mordilla la lèvre, tentée, attirée par ma poitrine. Elle releva son regard vers le mien, ses mains se glissant sur mes hanches pour les caresser délicatement. Elle voulait en voir plus. Cet aveu était emprunt d’une demande et d’un ordre. Elle voulait me découvrir et être à elle. Il n’y avait plus d’hésitation dans sa voix et j’en étais plus que ravie. Cette détermination dans le regard lui conférer, un charme tout particulier. J’étais totalement à sa merci, curieuse et cupide à l’idée de découvrir cela. Je sentais mon cœur palpitant délicieusement dans ma poitrine alors que je me laissais surprendre par le baiser sauvage qu’elle me volait à cet instant. C’était terriblement captivant et c’est tout naturellement que j’étais venue répondre à son baiser. Je ne cachais nullement mon désir. Une de mes mains vint glisser contre un de ses seins pour en savourer la texture, le contact ferme et attiré sous mes doigts. Mes lèvres n’avaient de cesse de dévorer ses lèvres avec un appétit non dissimulé.

Mes caresses se trouvaient sensuelles et douces, juste réalisées pour accroitre l’effusion dans laquelle se trouvait Soyou. Je vins donc rompre ce baiser dans un sourire charmé et charmeur, la détaillant avec intensité et désir. « Tu peux… » Elle pouvait faire ce qu’elle voulait avec moi. Je ne la jugerai jamais et appréciais résolument la moindre de ses actions. Ma voix s’était prononcée dans un murmure alors que je venais glisser mes mains sur celles de ma belle pour les mouvoir contre mes côtes et rejoindre le tissu de mon soutien-gorge. Je l’invitais muettement à me retirer mon vêtement, cette dernière m’ayant plus ou moins incité à faire ainsi. « Tu peux faire tout ce que tu ma Soyou, laisse-toi aller à tes désirs. Je suis ravie d’apprendre que je te fais de l’effet, car… » Je laissais ma phrase en suspens alors que je venais murmurer contre son oreille. « J’ai très envie de te faire mienne. Tu m’excites. » Je souriais à cet aveu, ma lèvre embrassant et mordillant cette délicate chair. Son autre menotte quant à elle venait glissait sur sa hanche pour rejoindre le creux des cuisses de mon ami, caressant cette partie non loin de la partie intime de mon amie. J’avais envie d’intensifier son désir et je m’appliquais à le faire.

J’appréciais ses soupirs contre mon oreille alors que je glissais mon visage contre sa nuque pour l’embrasser, la suçotait délicatement pour accroitre sa température. Soyou s’appliquait à retirer mon soutien-gorge durant cet instant et c’est donc avec plaisir que je m’étais retirée d’elle pour me placer à califourchon autour d’elle. Je lui offrais ma poitrine ferme et tendue à sa vue, sans aucune honte. Celle-ci était impatiente de découvrir le contact des phalanges de mon amie. Mon regard quant à lui brillait de désir. Ma main qui avait guidé celle de Soyou contre mon soutien-gorge vint délicatement la guider sur ma poitrine, l’intimant avec douceur à venir découvrir la texture de mon sein, ravi de ce contact fort appréciable. Je vins me mordiller la lèvre, un sourire coquin, comme prise sur le fait. « Caresse-moi comme tu voudrais qu’on te caresse. C’est comme ça que je fais, laisse tes pulsions, tes désirs prendre le contrôle. Ce soir, il n’y a que nous deux et tout ceci restera secret, ma merveilleuse Soyou… » J’avais susurré cela contre ses lèvres alors que je venais l’embrasser, ma main abandonnant la sienne pour venir se poser contre sa cuisse et rejoindre le tissu cotonneux de la bordure de sa culotte, pour s'immiscer à l'intérieur, frôler sensuelle sa chair. Mon autre main quant à elle, s’était glissée entre ses deux cuisses pour frôler son fruit défendu, y frottant délicatement ses doigts pour taquiner celle-ci de façon légère et sensuelle. Je voulais la rendre folle et j’y parvenais, à mon plus grand bonheur. Je désirais qu’elle s’abandonne totalement à moi et se laisse totalement aller à ses pulsions, sans se poser de questions. J’étais déterminée à y parvenir et lui offrir un moment de luxure qui resterait à jamais marqué dans son esprit. J’avais envie d’elle.

N'ayant pas eu ton aval définitif, je suis partie du principe qu'on continuait ;) ! Désolée pour le retard, journées pas mal occupées depuis la rentrée
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeDim 19 Oct - 22:36

Ses mots plaisaient à Olivia, c'était une évidence. Peu à peu, l'image d'Olivia "amie" s'effaçait dans son esprit, cette notion cessant de la retenir. Elle voyait en elle une femme, charmeuse et sensuelle, dont elle avait toute l'attention. Une femme que Soyou voulait charmer, attirer. Elle allait la suivre dans ce monde encore inconnu, si différent des plaisirs charnels auxquels elle se livrait pourtant si souvent auprès de différents hommes.
Les choses se concrétisaient, doucement, mais sûrement. Soyou frissonna au contact des doigts d'Olivia contre sa poitrine, cette main qui englobait son sein, le découvrait, lui offrait un doux frisson contre son échine. La jeune coréenne se tendit vers elle, s'approchant, sans cesser de l'embrasser, mordillant délicatement la lèvre de sa complice. Soyou soupira, l'envie de la belle brune était terriblement contagieux. Son souffle plus saccadé, elle voulait réduire l'espace entre elles. Un désir réciproque en vue des caresses qu'elle recevait en retour, sensuelles, échauffant la peau de Soyou. Son coeur battait fort, parfait reflet de sa respiration bien plus rapide qu'à l'accoutumée.

Son regard se plongea dans celui d'Olivia, dans ses yeux magnifiquement verts, chargés de désirs et malice. Elle n'avait pas besoin d'entendre des mots pour savoir qu'à cet instant, son amie lui aurait tout autorisé. Pourtant elle lui donna son autorisation, elle pouvait faire ce qu'elle voulait, se laisser aller à ses désirs. Elle était ravie d'apprendre qu'elle lui faisait de l'effet... Son regard se détacha du sien tandis que ses lèvres s'approchaient de son cou à nouveau, venant trouver son oreille. Dans un chuchotement, elle lui avoue qu'elle voulait la faire sienne. Elle l'excitait. Un aveu qui était loin de laisser Soyou de marbre. Son bas ventre réagissait, la titillant d'impatience. Un frisson de désir la parcourut alors qu'Olivia entreprenait d'embrasser et mordiller la chair de son cou. Si sensible de cet endroit, Soyou gémit doucement de bien-être, laissa sa main venir se glisser dans la chevelure d'Oliva, se refermant sur sa nuque sans violence, mais avec insistance, la suppliant par ce geste de ne pas s'arrêter.
Un souhait que l'Américaine exauça au-delà de ses attentes : sa main glissa contre sa hanche pour venir se nicher dans le creux de sa cuisse, esquivant avec délice le coeur de son intimité. Elle était bien trop près pour que cela n'augmente pas encore un peu plus le désir de Soyou, le corps agréablement tendu dans l'attente de cette envie qui était si proche de devenir un besoin absolu pour elle.

La main de Soyou glissa dans le dos d'Olivia, déterminée à lui retirer ce qui emprisonnait sa poitrine. Elle voulait la voir, la découvrir à son tour. Ce fut un jeu d'enfant de le dé-crocheter, bien plus simple que sur elle-même. Olivia se mouvait, venant se placer à califourchon sur elle. Une vue qui fit sourire la jeune femme tant c'était satisfaisant de la voir ainsi la dominer. Délicatement, Soyou fit glisser la robe d'Olivia un peu plus jusque ses hanches, abandonnant le soutien-gorge un peu plus loin dans le lit. La main de son amante la guida vers sa poitrine, l'invitant à la visiter. Allongée au cœur des draps, elle frôla du bout des doigts ce sein rond, en appréciant la forme dans un toucher léger, le dessinant à plusieurs reprises avant de l'englober dans sa main avec plus de présence. Le sourire coquin de son ami ne fit que lui donner plus envie encore de la toucher. Elle lui intima de la caresser comme elle voudrait qu'on la caresse elle-même. De laisser ses pulsions et ses désirs prendre le contrôle. Il n'y avait qu'elles deux ce soir et tout resterait secret. C'était une liberté de folie absolue qui enivrait le corps de Soyou. Elle lui jeta un petit coup d'œil, lui sourit avant de se redresser légèrement, glissant sa main dans son dos pour la caresser. La jeune femme approcha son visage du haut de corps de sa partenaire, jusqu'à ce que ses lèvres atteignent son ventre. Elle y glissa un baiser, doux, délicat et coquin avant d'observer son amie qui la surplombait. Elle gémit de façon inattendue quand elle sentit la main indiscrète se glisser sous le tissu de sa culotte, venant investir son intimité à l'aide de caresses. Sa seconde main se joint à elle, taquinant son fruit défendu.

Le souffle saccadé, Soyou prit plusieurs secondes pour parvenir à réagir à nouveau tant ce contact avait capté son attention, son désir. Sensuellement, ses lèvres reprirent leur travail, remontant jusqu'à embrasser la poitrine un instant abandonnée. Du bout de sa langue, elle caressa sa peau si douce avant d'aller trouver le bout rose en centre. Elle le titilla, suçotant par moment, mordillant à jusqu'à ce qu'il se durcisse sous son touché. Elle l'abandonna pour remonter embrasser Olivia dans le creux de son cou, lui faisant subir à son tour ce doux supplice qu'elle avait subi un peu avant. Ses baisers étaient interrompus de petits murmures de petits geignements de plaisir, les doigts d'Olivia continuant leur travail. Le bas ventre de Soyou s'enflammait, elle pouvait sans peine devenir combien cette zone s'était humidifiée sous ses caresses.
Les doigts de Soyou vinrent caresser les cuisses d'Olivia, remontant en leur creux. Elle franchit à son tour la barrière de tissu pour venir chercher ce petit fruit si sensible. De l'index, elle commença son frottement, lentement, en douceur pour ne pas le brusquer. Puis elle se calqua sur le rythme de son amante, intensifier sa caresse. Ses lèvres virent embrasser les siennes, avec fougue. Sans reculer, elle murmura contre elle, le souffle court « Ne t'arrête pas Olivia... ».

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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeDim 16 Nov - 12:37


Ce soir, il n’y avait aucun tabou, aucun interdit. Pourquoi y’en aurait-il ? Nous étions toutes les deux enclines à nous laisser posséder par les flammes de cette luxure que nous aimions tant. Certes, j’avais une pratique que mon amie ne possédait pas, mais je désirais que cette expérience lui soit cruellement envoutante et qu’elle y prenne du plaisir. Je désirais qu’elle se délie des chaines de sa raison, de ses possibles angoisses sur le fait qu’elle pourrait ne pas me rendre toute aussi brulante que je m’évertuais à le faire avec elle. Je n’avais aucun doute sur le sujet et je l’invitais insidieusement à se laisser aller avec moi. Je sentais que mes paroles avaient un pouvoir enivrant sur elle. Je le percevais dans la lueur fébrile de ses prunelles, le rythme difficile et brûlant de sa respiration, tout comme dans la sensualité de ses gestes. Elle me regardait avant de me sourire, se redressant légèrement pour glisser sa main dans mon dos. Une peau nue qu’elle frôlait avec délicatesse alors qu’elle approchait son visage jusqu’à mon ventre. Son action était sensuelle et envoutante. Le contact de ses commissures sur mon ventre avait une saveur particulière qui rendait ma chair brûlante et impatiente. J’avais soif de ce toucher et je désirais éveiller son appétit, le mien par la même occasion. Je la savais sensible, réceptive à mes actions et cela me procurait un bien-être qui savait fortement s’accaparer mon esprit. Je venais donc glisser mes doigts sous le tissu de la culotte de mon amie pour frôler cette partie sensible de toute face. Je laissais mes phalanges investir ce lieu qui aurait dû m’être totalement inattendu, mais dont je remarquais la délicieuse humidité, qui me faisait bien comprendre que je ne la rendais pas insensible.

Une caresse à laquelle mes autres phalanges vinrent se mêler pour le plus grand plaisir de la Coréenne dont je pouvais sentir et entendre les gémissements frôler sa chair. Je la dominais légèrement, la regardant avec douceur, l’invitant à se laisser aller à son tour. Elle n’avait pas de rôle à jouer avec moi. Je la laissais libre de ses actions, de ses désirs. Elle avait tous les droits ce soir, même si inconsciemment je menais la danse pour la conduire dans cette expérience qu’elle découvrait à mes côtés. Elle finit par laisser ses lèvres retrouver ma chair, baignant mon ventre de leurs bienfaits pour les mener à ma poitrine. Des contacts délicieux qui éveillaient mon plaisir alors qu’elle laissait le bout de sa langue caresser la peau douce, mais ferme de mon sein. Cela rendait ma respiration particulièrement brûlante tant ces touchers étaient merveilleux. Elle fit prisonnière un de mes boutons de chair, le titillant, le suçotant par moment pour le rendre ferme et témoin du plaisir qu’elle me provoquait. Je me mordillais les lèvres, sensible, mes doigts continuant de frôler sensuellement cette partie si envoutante de son anatomie. Je sentais la moiteur de cette partie recouvrir délicatement mes phalanges qui n’avaient de cesse de venir taquiner ce bouton de chair intime. Je le sentais s’affermir sous mes doigts, régir le plaisir de mon amie, l’intensifiant au fil des secondes qui s’écoulaient. Elle n’avait de cesse de soupirer de plaisir et je pouvais sentir son appétence guider ses actions, son désir de lui communiquer le bien-être que je lui procurais.

Ses mains glissaient contre mes cuisses remontant en leur creux pour franchir à leur tour ma fine culotte noire, cherchant le contact de ce fruit que je cueillais avec aisance. Du bout de son index, elle commença ses caresses, lentement, en douceur. Elle se trouvait prévenante et je trouvais cela adorable, envoutant également. Je me mordillais la lèvre, le souffle chaud, ébranlé et troublé par ce contact qui éveillait d’autant plus mon plaisir. J’étais envoutée par le contact de ces doigts contre mon intimité, tout comme l’aisance avec laquelle celle de son amie était sensible à mes caresses. Soyou vint m’embrasser, ses lèvres s’embarrant des miennes avec fougue. Un baiser auquel je répondais avec la même impatience, le même empressement. Ma langue était venir cueillir la sienne dans cet échange, une de mes menottes s’était extirpé de la moiteur de mon amante pour laisser mes doigts humides caresser le creux de sa cuisse. Dans ce baiser, j’étais venue la faire glisser au creux des draps de nouveau, entendant avec ravissement sa demande emplie de cette effusion que je créais en elle. Elle était si belle, si désirable. Je ne parvenais point à me contenir, amoindrir les battements fous de mon cœur. Je désirais l’aimer comme aucune autre femme ne pourrait le faire, la couvrir de ce bien-être doux et enivrant que seules deux femmes pouvaient partager ensemble. Je souriais donc contre ses commissures, ma main libre remontait sa cuisse pour se glisser sous la bordure de son vêtement. Mon autre menotte vint rejoindre l’autre côté, abandonnant lâchement ma douce Soyou, qui ne vint nullement cacher son insatisfaction. Ce n’était qu’une question de minutes, rien de plus. Je venais faire glisser le tissu sous mes doigts, soulevant le bassin de mon amie pour lui retirer le dernier rempart de ses vêtements.

Je voulais la sentir nue sous mon corps, mes actions, mais surtout mes lèvres. Je ne pouvais retenir cette envie de m’étreindre. Je désirais la rendre folle de cette caresse intime, qui savait résolument exalter les sens d’une femme plus que n’importe quel homme. Peu d’hommes y pensaient pour satisfaire leur compagne, préférant ce contact intense que seule la communion de leurs deux intimités pouvait procurer. Dans le cas présent, je pouvais lui offrir cette caresse, ce moment d’envoutement pour la rendre dingue, dépendante et cruellement avide d’atteindre les méandres de son propre plaisir. Je venais donc quitter ses lèvres dans un doux gémissement, tout aussi sensible qu’elle ne pouvait l’être à mes actions. Je l’observais avec douceur, envoutement, laissant mes commissures glisser sur sa mâchoire, rejoindre sa nuque, son oreille. Je laissais mes doigts retrouver la moiteur de son intimité, mon autre main caressant l’intérieur de ses cuisses. Elle était brûlante et terriblement sensible, fébrile. Elle était telle une fleur prête à être cueillir et je m’impatientais de le faire. « Tu es magnifique, ma Soyou… » Ma voix était un murmure à peine audible tant mon souffle se trouvait brûlant. Je laissais ma bouche caresser son oreille un instant avant de rejoindre sa nuque, sa clavicule, la ligne de sa poitrine, son ventre. Je déposais de milliers baisers papillon sur sa chair, sentant la poitrine de mon amant se relever avec force, électrisée par ce contact. Cela m’émoustiller, Soyou ne pouvait l’ignorer même si mon action l’obligea à arrêter ses actions. Cela me rendait frustrer, laissant un gémissement de mécontentement franchir mes lèvres même si mon attention était toute décernée à ce ventre que je baisais, taquinais de ma langue.

Elle ne pouvait nier mes ambitions, je les rendais très claires en descendant au cœur de sa féminité pour cueillir de mes lèvres, la chair rougie et humide de ce fruit défendu. Il était prêt à être cueilli et je ne me fis pas plus prier pour venir y déposer mes lèvres. Un simple contact pour le gouter, en savourer sa texture avant de venir m’y plonger de nouveau. Ma langue vint frôler cette partie, la titillant avec sensualité alors que ma menotte continuait de frôler ses lèvres intimes, s’immisçant au creux de ses dernières pour accroitre son excitation, la folie qui régnait au creux de ses reins. La savoir si sensible m’émoustillait, me rendait gourmande et avide d’accroitre cette chaleur qui la gagnait et j’agissais en conséquence, désirant lui faire connaitre un plaisir délectable, qui resterait profondément dans sa mémoire. Je n’en doutais pas qu’il le soit pour moi.

Désolée pour le délai éé. Pas mal de boulot et comme c'est un style de rp, un peu nouveau pour moi, j'ai un peu de mal, mais j'espère qu'il sera à la hauteur de tes attentes. J'ai pris plaisir à l'écrire
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Soyou Park
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 25 Déc - 22:04

Allongée dans les draps, le corps brûlant, Soyou se laissait aller aux caresses de son amie. Magnifique et envoutante, la jeune femme qui la surplombait était à l'écoute de ses envies, cherchant à découvrir les moindres recoins sensibles de son corps. C'était un peu plus simple de trouver quels gestes aborder... comme l'avait si bien dit Olivia, elle pouvait caresser la belle brune comme elle aurait eut envie qu'on la touche ou qu'on l'embrasse.
Chaque de leur geste avait quelque chose de tendre, de particulièrement complice... et cette complicité était tout à fait nouvelle pour la Coréenne. Elle admettait n'avoir jamais fréquenté réellement quelqu'un, ses relations physiques étaient dénuées de sentiments, seulement basés sur de l'attirance, un jeu de séduction ou son besoin de compagnie pour lutter contre l'angoisse d'être seule. Mais ce soir, c'était différent... Olivia aurait dû être en dehors de toute possibilité, c’était une de ses plus chères amies, une amitié si précieuse que c'était sans doute dangereux de gouter ainsi sa peau ce soir... Mais Olivia l'envoutait. Ses prunelles brunes la regardait et la couvait, lui criait combien elle la trouver sexy tout en lui assurant avec complicité combien elle tenait à elle ; il n'y avait pas besoin de mots pour comprendre cela.

Son amie appréciait ses caresses et ses baisers, Soyou s'enhardissait doucement. Elle était fière de pouvoir lui plaire, de mêler sa respiration à la sienne en soupirant... Est-ce que ces soupirs de bien-être éveillaient de doux picotements dans le jardin secret d'Olivia ? Elle l'espérait. La main d'Olivia se fit plus coquine, plus entreprenante, glissant enfin sous le tissu de son sous-vêtement, venant découvrir ce secret humide. Soyou se mordit la lèvre en sentant la danse des caresses commencer, tendant son bassin pour l'encourager, gémissant doucement sous ce touché. Elle se laissa porter par cette sensation quelques secondes, savourant passivement cette caresse, ce jeu que lui imposait sa partenaire pour faire monter le plaisir dans le creux de ses reins.
De plus en plus sensible, la Coréenne embrassa la poitrine de son amie, saisissant son bouton rose entre ses lèvres, le taquinant avec soin et application du bout de la langue, s'assurant de le sentir de durcir sous ses actions. Frémissante de plaisir, elle laissa sa main glisser contre le haut d'Olivia, caressant sa silhouette, ses côtes, descendant vers sa hanche pour couvrir de caresses le bas de son dos. Sensuellement, elle palpa la forme ronde et sensuelle de ses fesses, la parcourant sa chaire d'une légère caresse, éveillant de petits frissons le long de l'échine de sa belle amie. Elle y referma sa main, palpant sous ses doigts la fermeté de son corps, tandis que son autre main s'apparait de son sein, titillant le téton sans cesser d'embrasser sa peau, gourmande de lui prodiguer du plaisir, de la contenter, comme elle même le faisait du bout de ses doigts.

Sa raison de perdait sous les faveurs d'Olivia. Elle l'a cajolait si bien, partageant cette sensualité et ce désir qui montait en elle, rendait sa féminité si sensible que chaque caresse contre son bouton secret éveillait des soupirs de désirs dans le fond de sa gorge.
Abandonnant le bas de reins de la jeune femme, Soyou glissa à nouveau sa main sous le tissu de la culotte d'Olivia, venant lui offrir cette caresse, ce délicieux jeu contre son intimité, l'effleurant, la frôlant avec patience.
Les autres doigts de Soyou glissèrent vers la jambe d'Olivia, la parcourant, goutant du bout de la pulpe cette peau si douce et dépourvue de défaut. Dieu que sa colocataire était l'incarnation de la femme sensuelle. Elle n'en revenait toujours pas de ce qui se passait entre elles à cet instant. Cette femme si indépendante et admirable était là, à la couvrir de caresse, la faire gémir au milieu de ses draps, lui apportant à la fois frustration et une terrible satisfaction...

L'embrassant, Soyou remonta sa jambe contre la cuisse d'Oliva, la caressant tout en s'approchant d'elle face à cette situation, essayant de capter plus de ses caresses, de réclamer ce qu'il lui manquait, ce que les actions de cette main contre sa féminité ouvraient en elle comme appétit...Impudiquement, Soyou était ravie de sentir Olivia la ramener contre les draps, la dominer, diriger ses actions, un jeu dont elle restait friande. Un instant, Olivia arrêta sa divine caresse et Soyou laissa échapper un gémissement plaintif, refusant de voir ce moment s'arrêter. Elle leva son bassin pour accompagner le mouvement de son amie, la laissant la débarrasser de ce dernier vêtement.

Entièrement dépendante d'elle à cet instant, elle l'aurait supplié de reprendre et poursuive si elle avait songé à s'éloigner d'elle. Elle mordilla sa lèvre de satisfaction alors que les doigts d'Olivia rejoignaient à nouveau son jardin secret. La voix grave, Olivia murmura qu'elle était magnifique. Soyou rouvrir ses yeux clos inconsciemment pour regarder Olivia, si sauvage, si belle les joues rosées d'excitation... Une vue dont elle profita jusqu'à ce qu'elle vienne enfouir son visage dans sa nuque, la couvrant de baisers, descendant avec délice vers son ventre, éveillant de doux papillons d'impatience dans son ventre.
Appuyée contre les draps, Soyou ne pouvait que se tendre vers cette bouche, avec ravissement. Le souffle saccadé, elle gémit sous ses baisers qui baignait son ventre, sublime torture qui rendait sa chair sensible. Cela ne faisait que la rendre plus impatience, espérant qu'elle continuerait de descendre encore et encore pour atteindre le point fatidique, le coeur de sa sensibilité.

Généreusement, Oliva poursuivit, s'y rendant sous le regard presque suppliant de Soyou, satisfaite de la voir si impatiente, si désireuse de cette faveur. La langue vient gouter cette partie si sensible de son être, caressant, traçant de délicieux petits cercles qui émoustillait Soyou au plus haut point. Elle haletait de désir déjà quand les doigts de son amie se frayèrent un chemin au coeur de son humidité, entrant en pour commencer de douces caresses tout à fait nouvelles. Son plaisir redoubla de plus belle, entièrement soumise à ces caresses, ivre face à ces vagues d'envie qui montait en elle, la faisant frémir. Brûlant d'envie, Soyou pressait ses reins vers elle, se tendant vers ce plaisir charnel qu'elle lui offrait. Elle ouvrit un peu plus ses cuisses, invitant Olivia à s'installer confortablement. Pinçant ses lèvres, gémissante, Soyou laissa glissa ses orteils dans le creux de la cuisse de sa compagne, usant ce qu'il lui restait de concentration pour offrir à son amie cette caresse dans cette partie sensible de l'être féminin. Avide des sensations qu'Olivia éveillait en elle, Soyou se laissait aller contre les draps, à la merci de sa langue et de ses doigts. « ... Continue Olivia, s'il te plaît... » une simple supplication tant ces caresses faisaient montrer en elle un plaisir, de plus en plus fort. Sensuellement, Soyou glissa sa main dans les cheveux d'Olivia, y refermant ses doigts. Elle pouvait sentir les tremblements qui la déstabilisaient, la rendant vulnérable corps et âme sous ses baisers et ses caresses.



Désolée de l'attente ma jolie Olivia, je suis méga à la bourre TT J'ai pris plaisir à lire et à l'écrire aussi And if we together try something new? | PV Park Soyou 2111992222 Joyeux Noel à toi And if we together try something new? | PV Park Soyou 1346012581
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeJeu 25 Déc - 23:44


Ce n'était pas la première fois que je passais la nuit dans les draps d'une femme. Ma première expérience remontait à mes dix-sept ans lors qu’après une nuit bien arrosée, j'avais succombé aux charmes d'une de mes amies. Cette nuit était restée inoubliable dans mon esprit. J'avais connu le plaisir charnel dans sa perfection la plus envoutante. Une félicité que je ne retrouvais qu'auprès de mes amantes, ne l'ayant jamais connu dans les bras d'un homme. Sans doute parce que j'aimais maitriser les choses, être dominatrice dans cette rencontre charnelle avec les autres, négligeant parfois mon propre plaisir pour m'assurer que ma compagne ou mon compagnon éprouve une plénitude si profonde qu'il ne pourrait m'oublier. C'est sans doute ce que j'aimais le plus dans cet acte si intime, marqué ma présence au fer rouge dans l'esprit, la chair et le coeur de mes partenaires. Cela me procurait un plaisir sans nom tant je trouvais envoutant l'émoi que je pouvais procurer en eux par mes baisers, mes caresses, sa sensualité. Je les rendais fous et ce soir, je comptais bien rendre folle ma merveilleuse Soyou. Je serai sa plus belle, sensuelle et envoutante amante, celle qui lui aura prodigué la douceur, la sensualité et le plaisir qu'aucun homme ne pourrait lui procurait. Du moins, un de ceux qu'elle avait connus jusqu'à ce jour.

Je laissais donc mes commissures retrouver la moiteur de son jardin secret, s'abreuver de son eau qui avait un gout particulièrement envoutant pour mes sens. Je m'appliquais à ma tâche, laissant ses lèvres, ma langue participer à cet échange luxuriant qui semblait rendre folle ma tendre amie. Je la sentais se tendre sous mes lèvres, mes doigts experts qui cherchaient en elle, ce point sensible qui saurait lui faire perdre pied. Je le sentais totalement soumise, quémandant mes attentions en dandinant son bassin vers moi, mes lèvres, mes doigts. Les sons qui s'échappaient de ses lèvres m'envoutaient, m'excitaient comme jamais. Occupée à ma tâche, je laissais ma menotte libre glisser au creux même de ma féminité, effleurer mon intimité avec la même sensualité que je dévorais la sienne. Je ne pouvais nier mon excitation, cela me rendait dingue de l'entendre gémir de cette manière, mais mon ambition demeurait la même. J'allais la rendre dingue de ma bouche, mes doigts et je ne la délaissais en aucune façon, pas même pour mon propre plaisir. Mes caresses intimes rendaient mon appétit que d'autant plus profond, sensible au contact des orteils de mon amie au creux de ma cuisse.

Elle me suppliait de continuer dans une voix si suave et emprunte du plaisir profond que je lui offrais. Je ne comptais pas l'abandonner à cet instant quand bien même cela m'offrirait une vue résolument imprenable sur le corps dénué de toute raison de ma tendre amie. Je la trouvais somptueuse, mon coeur battant fougueusement dans ma poitrine. Elle éveillait tant de gourmandise en moi, c'était si exaltant. L'effet pénétrant de l'alcool qui coulait dans mes veines ne pouvait pas être étranger à cela et devait accroitre la sensibilité de mes sens, de mon désir à cet instant. Je venais geindre à mon tour, une de mes phalanges jouant particulièrement habile autour de mon bouton de chair si sensible, si ferme de mon propre jardin secret. Je pouvais sentir les phalanges de la Coréenne se perdre dans ma chevelure, s'agrippant à elle avec sensualité et force. Je la sentais au bord de l'orgasme et cette pensée me glorifiait sans pareille. Je laissais ma langue réaliser de doux cercles autour de ce bouton si sensible à mon appétit, il était si rosé, si quémandeur de mes actions. Mes phalanges n'avaient de cesse de lui procurer de douces et merveilleuses caresses, cherchant à atteindre ce point de non-retour. Je le cherchais avec sensualité et finit par le trouver, sentant le corps de ma merveilleuse Soyou être secouée par un frison électrisant qui traversa la moindre parcelle de sa chair. Sa poigne se fit plus intense dans mes cheveux tandis qu'elle soulevait son bassin, savourant cette exaltation que son corps découvrait de nouveau.

Le râle qu'elle exprima me fit geindre à mon tour alors que je venais me relever pour l'admirer, le regard brillant de fébrilité et d'excitation pour cette femme. Mes phalanges n'avaient pas quitté sa féminité, continuant leurs caresses habiles pour qu'elle puisse savourer ce plaisir jusqu'au bout. Je me mordillais la lèvre, le souffle tout aussi chaud et court que mon ami. Son regard, son expression étaient terriblement envoutants. Je ne pouvais pas lui résister et venait partager avec elle un baiser sensuel et passionné. Mes commissures retrouvèrent les siennes, les capturant avec le même appétit que précédemment alors que je laissais mes courbes se coller aux siennes, ma poitrine ferme et tendue frôlant celle de ma compagne. « Tu es si somptueuse, ma chère Soyou ! » Soufflais-je contre ses lèvres entre deux baisers alors qu'une des cuisses de mon amie s'immiscer entre les miennes pour venir se bloquer contre mon jardin intime, le frôlant, m'électrisant par la même occasion. Je me mordillais la lèvre à cette caresse, étant bien trop excitée pour pouvoir me satisfaire que de son seul plaisir, quand bien même avait-il exacerbé le mien. Je ne dis mot, observant seulement ma compagne en venant l'embrasser tendrement. Je la laissais libre de ces actions, de ce qu'elle voulait. Je ne voulais nullement l'influencer dans sa démarche, mais je ne pouvais nier que j'avais envie qu'elle me caresse à son tour et me fasse connaitre ce plaisir grâce à son toucher intime et presque énoncent lorsqu'on savait tout ce qu'il était possible de faire lorsque deux femmes se mêlaient dans des draps de satin.

J'espérais sincèrement que Soyou garderait un bon souvenir de cette nuit, de l'émoi qu'elle avait éprouvé et je tachais de me montrer plus douce et attentionnée que jamais. J'aimais particulièrement le toucher de sa peau, sa chaleur, la saveur de ses lèvres, de sa langue contre les miennes. Je comptais passer le reste de la nuit à l'embrasser, profiter de ses formes nues contre les miennes. Ce soir, ce corps sublime m'appartenait et je comptais bien m'accaparer toute son attention, plus que je ne le faisais déjà.
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Soyou Park
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeMar 24 Fév - 0:06

Ses doigts s'emmêlaient dans les cheveux de sa somptueuse Olivia, le transmettant le moindre de ses frissons, chaque soubresaut que son corps subissait sous ses caresses. Soyou laissait ses sens s'enivrer sous les actions de la belle brune, s'offrant à la merci de son amie, lui donnant la satisfaction de la dominer ainsi, d'être maître de son besoin, de ses envies. A cet instant, elle était la seule à pouvoir la guider aux portes de se plaisir et c'était avec un abandon total qu'elle lui ouvrait les secrets de son corps pour être sien en cette belle nuit.

Sensuellement, Soyou laissait son bassin danser, appeler Olivia, venir réclamer la prolongation de chaque caresse. La Coréenne était avide de ce contact chaud et humide contre son intimité et ne cessait de gémir, consciente de l'excitation que cela faisait naître en Olivia. Son avis de la mener au bout de son plaisir ne pouvait que redoubler à chaque fois et Soyou se complaisait dans ce doux jeu, connaissant ce rôle par coeur, sachant comment obtenir ce qui la mènerait au septième ciel. Son amie s'y appliquait tant, démontrait son talent certain tandis que ses doigts et sa langue poursuivaient sans relâche. Soyou se tendit vers elle, sentant son plaisir s'intensifier
Le gémissement d'Olivia entre ses cuisses ne fit que la poussait un peu plus dans les méandres de ce plaisir, s'y laissant guider par les doigts divins de la femme qui l'accompagnait. Soyou mordilla sa lèvre en sentant qu'elle s'approchait d'un point sensible, espérant qu'elle s'y rende. Les doigts d'Olivia le trouvèrent et les sens de la jeune femme s'emballèrent, cambrant ses reins dans un frisson de plaisir qui parcourut tout son corps, lui faisait échapper un petit cri de plaisir. Elle retomba dans les draps alors que son amie continuait ses caresses, douces et plaisantes, si tendre après cette vague de plaisir qui l'avait submergé. Elle s'était redressée, l'observant sensuellement, satisfaite de la vision qui s'offrait à elle. Soyou lui sourit en la voyant se mordre la lèvre, le regard troublé de ce qu'elle venait de ressentir. Elle se sentait bien, comblée et laissait sa respiration agitée combler le silence.

Son sourire suffit à attirer à nouveau Olivia près d'elle, et elle l'accueillit, ravie d'embrasser ses lèvres teintées de son propre goût. Elle laissa la passion envahir ses lèvres, partageant cela avec 'Livia , accueillant avec délice son corps brûlant contre le sien. Soyou laissa ses doigts courir dans le creux du dos de son amie, savourant sa peau douce et humide de cette chaleur qu'elles partageaient. Elle l'embrassa en souriant quand Olivia lui dit qu'elle était somptueuse. Elle souriait, rayonnante de bonheur, confortablement sous le poids léger de la sorcière envoutante.

Se laissant porter par leur instant de débouche, Soyou l'embrassa, venant doucement glisser sa jambe entre les cuisses d'Olivia pour venir faire remonter sa cuisse contre l'intimité d'Olivia, lui imposant une légère pression. Elle envahissait à son tour son espace intime, sans cesser de l'embrasser, venant la frôler par pression plus ou moins forte, venant prendre la température du corps d'Olivia comme elle aurait pu le faire auprès d'un homme. Elle se sentait bien et été heureuse, bien assez pour pouvoir rendre en peu de bonheur à Olivia, pleine de gratitude. Son amie se mordilla la lèvre, sensible. Le feu en elle n'était pas éteint, il ne demandait qu'à pouvoir exploser à son tour. Soyou l'observa, décelant dans son regard son envie, son attente sensuelle, cette demande qu'elle ne formulait pas.

Soyou sourit doucement. Elle n'avait jamais fait l'amour à une femme, mais plus d'un homme le lui avait fait et elle pouvait garder en mémoire quelques délices plus intenses que d'autres. Elle avait envie d'en faire profiter Olivia, de la gâter comme elle-même venait de le faire. Elle glissa sa main contre sa hanche pour faire glisser Olivia dans les draps, roulant au-dessus d'elle. Soyou se pencha près de son oreille et lui murmura « Maintenant 'livia, laisse-moi... faire ce dont tu as envie... » Elle embrassa sensuellement son cou, laissant ses doigts caresser sa poitrine, titiller son sein et savourer la douceur de son ventre. Son amie était déjà prête et impatiente, Soyou ne la ferait pas attendre trop longtemps.
A son tour, Soyou glissa ses lèvres , descendant le long du corps d'Olivia, docilement, soucieuse de venir la satisfaire a son tour. Elle vient trouver du bout des lèvres la partie rosée d'Olivia, venant gouter à son jardin secret timidement. Ses doigts caressaient ses cuisses, ses hanches tandis que sa langue entreprenait de cajoler ce bouton de chair sensible, si désireux de son attention. De la pointe de la langue, elle effleura l'humidité de la brunette, la sentait gémir à ce contact, réceptif. Les mains de Soyou glissèrent contre ses hanches, les entourant un instant, montant caresser sa poitrine alors qu'elle jouait avec insistance contre ce bouton, lui imposant la présence de sa langue sans crainte.

Puis accordant ses mouvements, Soyou ralenti le rythme de sa langue alors que ses mains glissaient à nouveau, venant épouser les formes rondes des fesses d'Olivia dans un toucher velours. Une de ses mains glissa, venant rejoindre le jardin secret d'Olivia, pour prendre la place de sa langue contre son bouton, y traçant de petits ronds doux et doucement grisants. La jeune femme jeta un coup d'oeil à son amie, elle se laissait porter, doucement, par ces petits plaisirs agréables et gourmands. Mais Soyou avait une autre idée en tête. Elle voulait la rendre fiévreuse, tremblante sous ses doigts. Quittant sa compagne du regard, Soyou vient embrasser son intimité avant de venir doucement laisser ses lèvres épouser les siennes. D'un geste érotique, elle glissa sa langue en cœur de son intimité, entrant en elle pour lui faire savourer ce contact humide en son coeur. Elle ressortit presque immédiatement, pour y venir à nouveau, entamant un va-et-vient jouissif pour son ami, laissant sa langue de et son doigt imposer un rythme en elle, la sentant vibrer sous elle. Ses gémissements l'encourageaient à poursuivre, autant que les doigts qui venaient caresser sa chevelure. Elle finit par intensif son geste, jouant un peu plus fort contre ce bouton sensible alors qu'elle cherchait du bout de la langue le point plus sensible d'Olivia. Elle le trouva et le taquina de plusieurs aller et retour jusqu'à ce qu'à son tour, les hanches d'Olivia se tendent dans une recherche de satisfaction qu'elle se plus à lui offrir.

Sensuellement, Soyou remonta au dernier soupire d'Olivia, embrassant son ventre et vient s'y lotir, restant entre ses jambes. Elle embrassa sa peau avant de croiser les mains sous la poitrine de son amie et poser son menton dessus. Elle l'observa, lui souriant, toujours un peu ivre de sa présence et de ses gestes tout autant que des effets de ses boissons du soir.


1134 mots
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MessageSujet: Re: And if we together try something new? | PV Park Soyou   And if we together try something new? | PV Park Soyou Icon_minitimeMar 24 Fév - 13:22


Soyou  n’était pas ma première amante. Elle ne serait sans doute pas la dernière. Cependant, je me félicitais d’avoir été la première femme à l’avoir caressé de la sorte. Je voyais bien qu’elle avait atteint le paradis terrestre à mes côtés. Je m’en félicitais grandement, quand bien même ma peau se trouvait toujours en feu. J’avais envie d’elle, de son toucher, de ses baisers. J’avais besoin qu’elle m’honore également de sa douceur, de sa passion pour me pousser dans les méandres de ce plaisir pour lequel j’avais une addiction toute particulière. Je comptais l’atteindre à mon tour, mais surtout profiter du reste de la soirée en compagnie de ma délicieuse Soyou. Elle me souriait doucement, sa main glissant sur ma hanche pour m’inviter à m’allonger à mon tour sur les draps. Une invitation contre laquelle je ne vins nullement refuser, laissant mes courbes retrouver la douceur de ces draps frais, qui n’avaient aucun effet sur la température de mon corps. Bien autre contraire, la prestance de Soyou, l’érotisme qui se dégageait d’elle venaient accroitre cet embrassement que je ressentais en mon être. Elle était si envoutante, si belle. Elle se pencha près de mon oreille, me soufflant de la laisser faire, de faire ce dont elle avait envie. Je ne comptais pas l’en empêcher, bien au contraire. Il aurait été insensé de le faire. Je lui souris donc avec douceur, sentant les lèvres de mon amie se poser sensuellement contre mon cou, ses doigts flattant ma poitrine. Des touchers délicats et envoutants qui savent parfaitement réveiller mes sens, mon désir.

Je souris avec plaisir, mes lèvres exprimant cet insidieux plaisir qui prend sein en mes reins. Je la sens descendre vers le bas de mon corps, ses fins cheveux venant frôler ma peau, ses lèvres parsemant mon corps de baisers. Difficile de résister à tout cela et je sens mon cœur s’accélérer, devenir plus fou dans ma poitrine. Mon corps s’impatiente de cette caresse, la savoure lorsque ses lèvres pulpeuses et féminines viennent se poser sur mon jardin secret. J’inspire profondément, le bien-être s’immisçant dans mes veines. C’est délicieux et je laisse mon souffle chaud exprimer ce plaisir qui se repend en moi. Je me mordille la lèvre, sentant les lèvres délicieuses de mon amie tout comme cette langue taquiner les parties de mon intimité si brûlante. Des contacts envoutants qui rendent mon excitation d’autant plus profonde, que j’ai plus de mal à réguler mon plaisir. Soyou semble prend un certain plaisir à me taquiner, à insister contre mon bouton intime en m’imposant la présence délicieuse de cette langue. Elle me caresse avec sensualité, venant alterner ses actions, sachant parfaitement comment me mener vers cette voie de libération. Je me sens bien et je ne cache pas ce plaisir monstre qui prend part en mon âme. J’aime particulièrement la douceur des femmes, cette façon qu’elles ont de faire monter le plaisir pour savourait pleinement ses instants de luxures profondes. Je sens ce bien-être s’accroitre cupidement en moi, au contact de cette langue au cœur même de ma féminité. C’est merveilleux et je sens mon bassin se soulever, électrisé par cette brûlure somptueuse que cela provoque en moi.

Ma voix s’exprime sans aucune honte, mes cuisses s’ouvrant plus intimement pour savourer ce contact érotique et cruellement gourmand. Je la sens plus conquérante et cette pensée m’excite cruellement. J’aime beaucoup cette idée, sentant mon amante et amie intensifier ses mouvements de frustration terriblement sensuels. Je souffle son prénom, l’invitant à poursuivre, une de mes mains libres venant caresser ses cheveux. Je sens ce feu croitre en mon cœur, si brulant, si dévastateur que je sens mon bassin se lâcher, mon corps atteignant ce point de non-retour. Je sens cette jouissance me parcourir, s’immiscer dans la moindre de mes veines. Mes haches se tendent, savourent ce plaisir qu’elle vient de me procurer. Je sens ces effluves se mêler aux effets de l’alcool, rendant cet instant particulièrement grisant. Je reprends mon souffle, un sourire éclatant et charmeur figé sur les lèvres. Je fixe mon amie qui est venue poser sa tête sur ses bras, au-dessus de ma poitrine. Elle semble tout aussi satisfaite que je puisse l’être. Je savoure cet instant, ma main venant caresser la nuque de mon amie, alors que je ris tendrement. « C’était parfait. Tu es parfaite, ma Soyou… » Mes doigts caressent sa nuque, venant frôler ses lèvres humides par cette boisson qu’elle vient déguster. Cela lui confère une attitude particulièrement sexy et mon espièglerie ne peut s’empêcher de lui susurrer. « J’espère que tu garderas un bon souvenir de ce que nous venons de faire… j’ai particulièrement adoré pour ma part. Tu es tellement sexy, ma tendre Soyou… » Je viens caresser ses lèvres rougies par toutes nos actions avec sensualité, pour venir poser mon index sur elles, ajoutant. « Ça sera notre petit secret à tous les deux… que je ne me plaindrais pas de réitérer, si l’envie est réciproque. » Je mordille ma lèvre en souriant, riant tendrement alors que je glisse mon autre main dans ses cheveux. Cette nuit est parfaite et je viens de réaliser un de mes fantasmes…
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