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The Phoenix Song :: :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014 | | (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah | |
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Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Lun 15 Sep - 23:56 | |
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I want you, right now ! I miss you ! Noah Worthington & Jane Jenkins Malgré les rumeurs qui circulaient sur son compte, Jane avait préféré passer au-dessus de ceux-là. Quand bien même ne comprenait-elle pas les raisons pour lesquelles ce « The Raven » l’avait prise pour cible, cela n’avait nullement empêché son patron de l’inviter pour un repas en bonne et due forme. Loin d’être un rendez-vous, ce diner était un cadeau de remerciement de la part de ce dernier. En effet, elle l’avait sauvé d’une situation fort délicate en travaillant tout un week-end afin d’honorer un contrat qu’il avait passé avec un client très important. De ce fait, cela justifiait qu’il l’invite dans un restaurant aussi chic que le « Spade’s Heart ». Du moins, selon les dires de cet homme dont elle avait conscience que le regard sur elle n’était pas aussi innocent qu’il voulait le prétendre. Jane savait qu’elle l’avait charmé, son aura naturellement charismatique ayant déjà acquiert l’attention et l’affection de ce chercheur, qui représentait une source non négligeable pour le plan qu’elle miroitait avec Noah, son ami et complice de toujours. Un homme dont le lien qu’elle avait avec lui n’était pas passé inaperçu aux yeux de « The Raven » dont la rumeur laissait entrevoir qu’il allait creuser le sujet. Cela l’inquiétait, venant rendre son rire bien moins naturel et plus discret. Elle avait envie de le voir, la rencontre fortuite de la vieille l’avait particulièrement troublée, éveillée cette flamme qui somnolait dans son cœur et que seul Noah savait tant ravivait. L’alcool aidait également à faire que ses pensées se dirigent automatiquement vers cet homme. Cela était tellement facile. Il n’y avait pas besoin d’évènements particuliers pour que celui-ci n’occupe son esprit. Il hantait la moindre de ses pensées, de ses songes et quand bien même avaient-elle pu profiter d’un léger instant de tendresse avec lui, elle mourrait d’envie de le retrouver, le sentir contre lui, lui appartenir de nouveau. C’était une torture de le savoir en ville. Cela la frustrait, la rendait si fébrile. Il était là, en ville, si près et pourtant si loin d’elle. Elle laissa ses lèvres savouraient le gout prononcé de cet alcool fort qu’elle avait commandé, sans doute le quatrième ou le cinquième, elle ne cherchait plus à réfléchir. Elle avait seulement chaud, l’alcool s’immisçant dans ses veines pour venir réchauffer la moindre parcelle de son corps. Son patron, quant à lui, n’avait de cesse de lui raconter ses découvertes, ravies d’obtenir l’attention totale — du moins en apparence — de cette belle qu’elle était. La soirée avait bien été entamée et le repas avait été succulent. « Je penserai à être une employée exemplaire plus souvent, si j’ai la chance de diner à l’œil de cette façon. » Elle avait exprimé cela dans un sourire narquois et un clin d’œil espiègle, l’alcool venant la dérider et la rendre plus charmeuse encore. Cela eut le don de faire rire son patron qui vint à son tour lui offrir un clin d’œil complice en lui disant qu’elle était pleine de ressources. Il n’en avait en effet pas idée ô combien, Jane était surprenante. Elle se garda bien de le dire, gardant ce petit air mystérieux et c’est après deux, trois verres de plus et deux heures plus tard qu’ils sortirent du restaurant, un peu amoché. Jane notamment plus que lui. Elle avait beau tenir l’alcool, celui-ci se trouvait en abondance dans son corps, la rendant particulièrement joviale et excitée comme une puce. Son patron vint lui proposer de la raccompagner, conscient que laisser une femme si belle, un peu saoule en ville, n’était pas une bonne idée. « Je suis en état de transplanner, vous savez ! » Lui lança-t-elle avec humour alors qu’elle venait lui tapoter gentiment l’épaule. « Encore merci pour le repas. Passez une bonne soirée. » Elle vint lui sourire en appuyant ses paroles alors qu’elle venait s’éloigner de lui en souriant avant de venir transplanner pour lui faire comprendre qu’elle n’avait pas tort. Cependant dans sa précipitation, c’est sur le seuil de la maison de Noah qu’elle vint atterrir sans la moindre hésitation. L’esprit embrumé par les effets de l’alcool, elle se mordit les lèvres à cette constatation. Elle était partagée par l’envie de le retrouver, de passer le reste de la nuit avec lui et la raison. Une raison bien faible face à ce désir cuisant qui l’étreignait de le retrouver de nouveau. C’est donc sans réfléchir qu’elle laissa son poing frapper la porte de cette maison, avec force, sans aucune hésitation. Elle jubilait sur place, entre engouement et angoisse. Elle voulait le voir. Elle en mourrait d’envie. Elle voulait juste être avec lui. Ce qu’elle fit à l’instant où il vint ouvrir la porte. Sans la moindre hésitation, elle s’était dirigée vers lui pour l’embrasser avec fougue, ses hauts talents réduisant la différence de taille entre eux deux. Elle y met toute sa passion et toute la frustration qui avait hanté sa nuit précédente, envie de succomber de nouveau à ses lèvres et à cet homme. Dans son élan, elle avait pénétré par infraction dans cette maison qu’elle désirait occuper un jour, avec lui, l’espérant sans être en mesure d’en avoir une certitude. Elle avait refermé la porte derrière elle d’un coup de pied alors qu’elle venait dévorer les lèvres de Noah avec appétit et passion. Résolument coquine et désireuse, elle souriait contre ses lèvres en venant détacher les boutons de sa chemise, entrouverte sans doute pour se sentir plus à l’aide. Elle ne songeait à rien à cet instant, si ce n’est qu’elle voulait le sentir contre lui. Elle commettait une pure folie, mais n’en avait rien à faire. Son cœur et son corps avaient envie de lui, de son contact et c’est donc avec fougue qu’elle lui arracha sa chemise pour caresser ses bras, glissant sur sa clavicule pour rejoindre ses pectoraux. Sans arrêter son baiser, elle le guida à l’aveuglette dans la demeure de son amant, ne l’ayant jamais visité bien qu’elle savait où elle se situait. Elle se laissa guider par Noah dans celle-ci et celui-ci vint les conduire jusqu’au salon où il vint se choir sur le canapé, venant rompre ce baiser. Sans doute se trouvait-il surpris de la voir si entreprenante, si passionnée. Elle-même se surprenait, mais elle ne le laissa pas réagir, dire quoi que ce soit. Elle vint s’asseoir sensuellement au-dessus en l’embrassant, laissant ses lèvres capturer de nouveau celle de son amant avec fougue et sensualité, sa main caressant ses cheveux alors que son autre main caressait sa clavicule. Elle se collait à lui avec passion, désirant sentir son corps contre sa chair, si cruellement. Ce manque était accru à cause de l’alcool qui circulait dans ses veines, la rendant plus passionnée que jamais. Elle avait envie de lui et voulait qu’il la prenne comme il savait si bien le faire. TENUE : 01 |
| | | Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 40 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Mar 23 Sep - 23:49 | |
| Voir Jane le jour précédent dans la bibliothèque et de manière si surprenante avait enchanter le professeur auquel manquait la jeune fille. Pourtant il avait du retourné à ses occupation comme si de rien n’était, mettre entre parenthèses cette délicieuse entrevue dans la rangée de livres. Un intermède passionné et coloré dans la monotonie de ses jours qu’il passait seul à préparer la rentrée. Cette rencontre fortuite l’avait vraiment nourri, ravivant un doux feu chaleureux en son âme, qui le rendait plus ambitieux et heureux. Son contact lui avait fait poussé des elle et quand bien même avait il été très occupé par la reprise dans une nouvelle université, cette rencontre avait mis au jour le manque qu’il ressentait en son absence. Non qu’il se trouvait souffrant de l’avoir éloigné de lui, mais tout paraissait bien terne sans la jeune fille. Elle apportait des couleurs et hier du piment dans sa vie. Tout semblait plus fort quand elle était là, ses sensations et ses émotions démultiplier. Il était retourné à son quotidien de fin de vacances énergisé par cette amusante et coquine aventure, tout en regrettant sa nature éphémère. Son appartement semblait vide, il était habitué à vivre seul bien sûr, mais la présence de Jane lui plairait sans doute dans cet immense duplex qu’il habitait. Après tout, il l’avait acheté aussi pour ce jour ou il le partagerait avec la femme de sa vie, car sinon il aurait pu se contenter d’une chambre à la résidence universitaire. Il subissait son propre choix, sa propre raison. Jane et lui avaient encore patienté, mais comme il se trouvait sur un canapé face à terrasse et la vu sur la mer, une vue reposante et agréable sans doute. Il en profitait peu en vérité. C’était une soirée calme, c’était terriblement silencieux et calme pour le professeur qui passait une soirée assez banale, à lire un livre sur son canapé. De nature solitaire, c’est ainsi qu’il passait la plupart de ses journées et soirées. C’est pourquoi il fut étonné d’entendre frapper à sa porte, n’attendant personne chez lui. Il ouvrit la porte et eut à peine le temps d’apercevoir Jane qu’elle lui sautait dessus pour l’embrasser avec un élan et un enthousiasme qui, passé la surprise, se trouva réciproque. Il ne s’était pas attendu à la voir ce soir, bien sûr il lui avait dit la veille de passer quand elle le voulait chez lui, mais il ne s’attendait pas à ce qu’elle le fasse si vite. Toutefois, cela ne le dérangeait nullement, bien au contraire. Il l’accueillit contre ses lèvres avec bonheur, ses bras enlaçant Jane comme par réflexe comme ses lèvres venaient se nourrir de la saveur e leur comparse, profiter de cette douceur salée qu’elle lui offrait heureux de la voir, ne se préoccupant de rien d’autre que de profiter de ces lèvres, de ce corps qui venait de se jeter sur lui, s’offrir à lui. Un corps pour lequel il avait le plus grand intérêt. Il répondit à sa fougue, entendit la porte claquer sans s’en alerter, juste terriblement soumis au pouvoir de ses cette bouche qu’il aimait tant ravie de la voir ainsi, de la recevoir chez lui comme elle paraissait particulièrement intéressée. Pour preuve, elle vint détacher les boutons de sa chemise, sans la moindre salutation, sans le moindre mot, elle se jetait sur lui. Il était évident qu’elle avait envie de lui, c’était une agréable surprise, une sensation assez flatteuse et une perspective réjouissante que Noah ne chercha nullement à contrôler.Il la laissa avec joie arracher sa chemise, la trouvant résolument attirante dans cette passion et ce désir qui enflammaient ses yeux. Il s’y plongeait, son regard lui donnait des frissons, éveillant son appétit pour sa chair si pâle et délicieuse. Comme elle faisait ceci avec passion, le caressant son torse, il recula vers le canapé de son appartement en la guidant dans celui-ci pour se choir à cet endroit, rompant le baiser pour reprendre sa respiration quelque peu étonné, il murmura le prénom de sa partenaire avec une pointe de surprise, mais non moins conquise. Il ne put rien dire de plus comme elle revenait s’emparer de ses lèvres, il ne batailla pas et répondit avec entrain à cet assaut, sentant dans chacun des gestes de Jane la passion, l’empressement et le désir de la demoiselle en plus d’un envoûtant désir de le contrôler, de mener la danse, une place inhabituelle qui venait résolument troublé et enchanté le professeur. Il répondait avec fougue et bonheur à ses baisers, ses mains caressant ses côtes. Il ne s’intéressait plus de savoir ce qu’elle faisait ici, ce qu’elle voulait, elle venait d’éveiller son désir. Il sourit tendrement contre ses lèvres au gout alcoolisé, il sentait le vin dans son souffle. Il murmura. « — Si j’avais su ça, je t’aurais fait boire plus souvent. Tu es sexy ainsi. » Il passa ses mains dans son dos, les glissa vers ses fesses pour les caresser en capturant à nouveau ses lèvres, les embrasser à nouveau avec une grande passion qu’il possédait pour cette femme. Ses mains parcourant à nouveau son corps, la forme rebondie de ses merveilleuses fesses, si envoûtante et ferme sous ses doigts. Il les massait avec tendresse, retrouvant ses formes passionnantes, adorant le contact de son corps, de sa poitrine qu’elle appuyait contre son torse, la pression de son bassin contre le sien, le gout de ses commissures si délicates. Son esprit se perdait avec son odeur, son contact, son regard. Elle lui procurait tant de bien-être, tant de bonheur, elle agitait son cœur et cette manière d’agir ne le rendait que plus fébrile encore à sa personne. Elle était si désirable en cet instant, il avait envie d’elle, tout comme il désirait se faire diriger par elle, qu’elle devienne maitre du jeu, car ça la rendait irrésistiblement érotique. tenue : ici |
| | | Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Mer 24 Sep - 20:23 | |
| I want you, right now ! I miss you ! Noah Worthington & Jane Jenkins L’alcool enivrait ses sens, sa raison tant ses effets se faisaient puissants dans la moindre parcelle de son corps. Loin d’être saoule, elle avait conscience de ses actions, de la folie qu’elle était en train de commettre. Si elle avait été dans son état normal, quand bien même l’envie aurait elle été grande, elle n’aurait jamais franchi la porte de cette maison sous les traits avec lesquels elle l’avait fait aujourd’hui. Son cœur lui faisait commettre une pure folie et elle se trouvait bien trop en manque pour y résister. Elle avait envie de lui. Le contact de son corps, de sa peau nue contre la sienne, le frôlement de son souffle contre sa chair, tout ceci lui manquait cruellement. Elle voulait être avec lui, qu’importe les dangers, qu’importe ce que lui dictait sa bonne conscience. Elle ne laissait même pas le temps à Noah de la repousser, lui ordonner de partir sous peine de détruire leur plan, mettant à nue leur relation qui n’avait rien de platonique. Elle usait de ses charmes, de sa passion pour le charmer, le tenter, le rendre tout aussi brulant qu’elle ne l’était de sa chair. Elle y parvenait et s’en réjouissait. Elle savourait le contact de ses comparses, la fougue avec laquelle elles répondaient à ses attaques tandis qu’il la collait à lui, par réflexe. Leurs lèvres échangeaient de luxurieuses étreintes, se dévorant avec passion et fougue. Elle sentait son cœur battre violemment dans sa poitrine, enivrée par le parfum si délicieux qui se dégageait de cet homme. Cette odeur qui imprégnait son esprit la rendait dingue lorsque le soir, elle pensait à lui en laissant ses doigts caresser son corps. Sans doute était-elle trop dépendante de lui ? Elle le reconnaissait intérieurement. Elle s’était habituée durant quatre ans à ne plus le voir, à ne plus sentir ses doigts, son corps, pas même son regard sur elle. Cela avait été pénible, mais elle y était parvenue. Une habitude qu’elle ne pouvait pas regagner, pas alors qu’il vivait non loin de chez elle, pas alors qu’il la rendait si accro à lui. Elle était venue le surplomber, laissant son corps retrouver les formes si masculines et enivrantes de cet homme. Sa poitrine s’était collée au torse de son favori, ses cuisses prenant position à califourchon autour de celles de Noah alors qu’elle laissait son bassin retrouver le sien. Coquinement collé à lui, elle se sentait revivre, sentant tout son corps s’enflammer, heureux de le sentir ainsi contre elle. Il ne la retenait pas. Au contraire il se laissait tenter par elle, susurrant son prénom comme pour l’inviter à poursuivre. Comment pouvait-elle résister ? Elle le désirait tellement. Il la troublait tant. Elle aimait le contact de ses doigts sur son corps, savourant ses caresses sur ses cotes alors qu’elle caressait sa nuque dans des gestes dispersés et passionnés. Elle le sentait sensible à ses actions, cupide tout autant qu’elle. Il souriait contre ses lèvres, de ce regard tendre qui savait tant jouer avec son cœur. Elle regardait le souffle court, résolument troublé par cette ambition qui s’immisçait dans ses veines. Elle avait tant envie de lui. Cela la rendait dingue. Elle se mordilla la lèvre lorsqu’il lui susurra que s’il avait su, il l’aurait fait boire plus souvent. Une remarque qui ne put que la faire sourire malgré elle, alors qu’il lui avouait qu’il la trouvait sexy ainsi. Des paroles qui ne pouvaient que l’envouter alors qu’elle se laissait embrasser, sentant les mains de Noah se perdre sur son dos pour les glisser vers ses fesses pour la coller plus fermement contre lui. Il les massait avec tendresse, il était résolument charmé, attiré par son corps qu’elle désirait lui donner en offrande. C’était si envoutant. Ce contact, ces phalanges, ces lèvres contre les siennes. Elle succombait littéralement à ses pulsions, ses désirs. Elle laissa, ses fines phalanges glissaient, contre sa nuque pour rejoindre sa clavicule. Elle savourait le contact de sa peau, la trouvant si douce, si désirable. Elle sentait son cœur battre follement dans sa poitrine alors qu’elle venait désolidariser ses lèvres de celles de son amant pour venir les poser contre sa mâchoire, la dévorant avec appétit et impatience. Le feu qui grondait en elle était si profond, si violent. Il l’enivrait, même si l’alcool participait activement à la rendre si sensible. Elle laissait son souffle fort frôler sa peau, ses commissures déposant des milliers de baisers sur sa peau, venant la mordiller délicatement alors qu’elle venait se mouvoir sensuellement contre lui. Elle avait envie de lui, de le rendre tout aussi brulant qu’elle ne pouvait l’être à cause de lui. Elle laissa sa bouche retrouver le lobe de son oreille, la mordillant délicieusement. Elle vint murmurer son prénom dans une voix suave. « J’ai envie de toi. Me caresser ne me suffit plus, Noah. Je n’arrête pas de penser à toi tous les soirs. Je veux te sentir… que tu me possèdes entièrement comme tu sais bien le faire. » Elle soupira sensuellement contre son oreille, laissant sa bouche mordiller son oreille, consciente que ces mots sauraient l’exciter. Elle pouvait sentir sa respiration s’intensifier alors qu’elle ajoutait. « Je veux te rendre fou… que tu n’en puisses plus tant tu voudras me posséder. Tu te souviens de la Saint-Valentin ? » Elle laissa une de ses mains retrouver sa ceinture pour la desserrer délicatement pour frôler sa partie intime au travers du tissu, non loin de son bassin. Elle soupira délicieusement dans son oreille alors qu’elle venait exercer un léger mouvement de ma main sur son intimité. Savourant le soupir de bien-être qui s’extirpait des lèvres de son amant, elle abandonnant son oreille pour dévorer sa clavicule, glissant contre ses pectoraux. Le regard brillant, elle se mordillait la lèvre avec sensualité. Elle laissait ses lèvres parsemer la peau de Noah avec délice de ses commissures. En appui sur le dossier du canapé, elle s’était légèrement éloignée de cet homme pour le dévorer de ses lèvres, savourant le contact salé et parfumé de cette peau si désirable. Elle laissa ses lèvres glisser sur un de ses boutons de chair, alors que son autre menotte s’immiscer sous son pantalon pour frôler cette intimité au travers de son boxer. Elle se trouvait satisfaite. Elle semblait s’activer sous ses actions et cela la ravivait. C’était si plaisant, exaltant de savoir Noah à sa merci, terriblement désireux également. Elle arrêta son action pour le regarder entièrement en se mordillant la lèvre. « Tu es terriblement érotique, Noah. Tu me rends brulante rien que par cette vision que tu me montres. » Pour lui prouver cela, elle laissa une de ses mains glisser sur l’une de son amant pour la mener sous sa robe et rejoindre sa partie intime, se mordillant la lèvre alors qu’elle murmurait contre ses lèvres « Tu sens comme je suis excitée ? Je meurs d’envie que tu me caresses ici et que tu me rendes dingue avec ta bouche. » C’était la première fois qu’elle s’exprimait de la sorte avec lui. Elle s’en sentait gênée, ses joues se teintèrent de rougeurs tant son cœur palpitait dans sa poitrine. C’était une torture ses semaines de séparation. Elle n’en devenait que plus gourmande, presque indécente, mais il était si désirable. Que pouvait-elle y faire ? Elle s’impatienter de lui. Elle le voulait en elle. |
| | | Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 40 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Mar 30 Sep - 17:17 | |
| Il était évident qu’elle avait un peu bu, que sa raison n’était plus tout à fait celle qui la dirigeait sinon elle n’aurait jamais pris le risque de transplanter devant chez lui à la vue de tous. Elle avait pris un risque énorme pour leur relation et pourtant le professeur n’eut nullement la possibilité de lui en faire la remarque, il s’était laissé embarqué dans le mouvement, par ce baiser, ce désir dont faisait preuve la jeune fille. Elle s’était attachée à lui, lui faisant oublier, ou plutôt délaisser cet outrage. Il appréciait réellement son enthousiasme à venir l’embrasser, cette action entreprenante. Il se sentait réellement attiré par la jeune fille, séduit par cet empressement à lui plaire, à rendre son corps fou du sien, le manque et la passion qui se lisait dans ses yeux. Elle était résolument envoûtante ainsi et il se laissait complètement ensorcelé par ses actions, acceptant délibérément cette chaleureuse entrée en matière sans se plaindre. Il aimait résolument la découvrir ainsi il aimait qu’elle veuille de lui, qu’elle se montre ainsi coquine et amoureuse. Il désirait cette femme avec ferveur et se plaisait à la voir prendre le dessus comme elle ne le faisait jamais. Ça lui donnait un air dominateur, un air incroyablement sensuel et charmeur qui emprisonnait Noah. Il ne pouvait pas faire grand-chose à part succomber malgré la surprise. Avec les années, la demoiselle devait bien savoir combien il était dépendant de son corps, combien le désir qu’il éprouvait pour elle était puissant et l place qu’elle avait dans sa vie. Il ne pouvait la refuser à l’instant. Il s’enchanta d’être seul, il aurait été terriblement dangereux qu’il ait du monde chez lui en cet instant. Mais il vivait seul et c’était bénéfique. Il pouvait profiter d’une Jane coquine, et il ne se gêna pas.
Il la savait tout aussi fébrile et envoûtée que lui, elle venait caresser sa clavicule, il sentait ses doigts chauds sur sa peau. Ses lèvres semblèrent quitter trop vite les siennes en cet instant pour le professeur pourtant il ne put que souffler avec plaisir contre elle quand ses lèvres moites vinrent glisser sur sa mâchoire avec bonheur. Il la sentait gourmande, ça le rendait tout aussi impatient que la jeune femme. Il sentait ses mains répondre à l’appétit de la demoiselle en la caressant avec plus d’insistance. C’était si agréable de la sentir si désireuse. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle lui avoue si crûment à son oreille qu’elle vint titiller. Elle lui murmura qu’elle avait envie de lui, qu’il la possède entièrement, car elle pensait toujours à lui et ça ne lui suffisait plus. Des aveux coquins qui savait parfaitement éveiller le désir de l’homme, l’image coquine de Jane se caressant en pensant à lui se marqua dans son esprit, il l’imaginait parfaitement et s’en délectait, tout comme de cette requête si franche pour qu’il la prenne. Il en mourrait d’envie lui aussi. Se caresser et être en elle était bien éloignée et il ne savait atteindre cette même félicité sans elle, elle était si indispensable à cette communion jouissante.
Elle poursuivit en expliquant qu’elle voulait le rendre fou, qu’il n’en puisse plus tant il voudrait la posséder. Se souvenait-il de la Saint Valentin. Le cœur de Noah battait déjà follement, ce souvenir était envoutant, ce petit jeu que leur avait imposé le fantôme, la perfection de son corps, de leur union dans sa salle de classe, sur le bureau du professeur. Le souvenir était résolument excitant, elle s’était alors trouvée si érotique, comme en cet instant ou elle cherchait résolument à éveiller le désir masculin de Noah en faisant parvenir à son esprit des images d’elle résolument coquines qui éveillerait son désir tout autant ses mordillements sur son oreille ou la caresse de ses doigts. Il sentit la jeune femme desserrer sa ceinture avec impatience et empressement comme elle semblait résolument l’être. Noah appréciait sa passion, d’ailleurs sans doute pouvait elle sentir qu’elle ne le laissait pas du tout indifférent, que toutes ses actions, ses paroles avaient déjà eu leur effet sur sa virilité et que chaque frôlement de sa main au travers du tissu sur celle-ci l’électrisait encore un peu plus. Il se sentait déjà bien à l’étroit dans ce pantalon, elle n’arrangea nullement la fébrilité de Noah en venant caresser cette bosse qui se formait avec intérêt. Il soupirait d’aise à ses côtés, gémissant doucement de bien être à ces douces caresses qu’elle lui administrait et de ses doux baisers moites qui glissait sur sa clavicule et son torse. Il frissonnait, prisonnier de ce bien-être qu’elle faisait naître en lui. Il se sentait si bien, elle était si désirable.
Il se laissait bercer dans la douceur et la chaleur qu’elle faisait naître en lui, brûlant sous ses attentions si séductrices. Il la laissait dévoré sa peau, penchant la tête en arrière contre le dossier dans un élan de bien-être comme elle glissait sa main sou son pantalon. Comme elle était envoûtante et séduisante, délicieuse. Sa virilité se dressait fièrement sous les caresses de la jeune femme, régissant plus que favorablement à sa présence, répondant entièrement à la volonté de sa compagne. C’est donc un peu à regret qu’il la sentit cesser son action pour lui dire qu’elle le trouvait érotique et qu’il la rendait brûlante, que dire d’elle alors. Elle avait ce même effet sur son corps à se montrer semblable à Vénus. Belle et érotique, divine.
Dans une action tout aussi coquine et hypnotisant, sa déesse vint prendre sa main pour la porter entre ses jambes, le dos de sa main sentit sa culotte humide, preuve de l’excitation de la jeune femme qui semblait l’attendre avec impatience. Elle lui demanda s’il sentait comme elle était excitée, c’était difficile d’y échapper et envoutant. Elle mourrait d’envie de se faire caresser et de devenir dingue sous l’action de sa bouche. Elle rougit gênée d’avouer ainsi le désir qui l’étreignait puisement. Noah la trouvait particulièrement désirable et érotique ainsi. C’est donc tout naturellement que sa main qu’elle avait placée là vint frotter la culotte trempée de ses doigts avec envie et gourmandise. Il se mordit les lèvres, désirant vraiment cette demoiselle et savourant ce contact qui éveillait son ambition. Ce contact était si érotique, sensuel de la savoir si faible et prête déjà à l’accueillir en son corps. Son intimité était toute aussi chaude et empresser que sa partenaire et ça embrasait le désir de Noah sensible au désir de Jane tant il semblait aussi aigu que le sien. Sa main s’immisça sous la petite culotte pour y découvrir la chaude moiteur qui y régnait et caresser l’entrée du jardin intime de Jane avec envie, titillant cette entrée de ses doigts en glissant si facilement dessus en cette zone naturellement lubrifiée, il venait l’échauffer de ses doigts. Il savourait de sa main, de ses doigts masculins le contact ambitieux et envoutant en cette zone. Son autre main avant rejoint la poitrine de la demoiselle, la caressant avec intérêt et désir. Elle était magnifique et le cœur de Noah battait promptement face au corps tentateur de la jeune femme.
Il désirait comme elle répondre à sa demande, il n’avait nul besoin de se faire prier aussi, quand il sentit que le contact de ses doigts ne lui suffisait plus, qu’il désirait gouter plus encore à ce corps délicieux, il retira ses doigts du sous-vêtement, conscient de frustrer la demoiselle, mais ce n’était que pour instant. Il lécha sensuellement ses doigts couverts de la moiteur de la jeune femme avant de passer ses deux bras autour d’elle. Il la serra à lui en venant l’embrasser avec passion, retrouvant joyeuses ses lèvres sucrées. Il la porta sans quitter ses lèvres pour l’allonger sur ce canapé, se retrouver au-dessus d’elle pour venir obéir à ce qu’elle avait demandé plus tôt. La surplombant enfin, il ne se montra pas pus dominateur, aimant se faire diriger par la jeune femme, la voir dominatrice la rendait si sexy. Il glissa vers le bas de son corps, ses mains glissant le long de son corps. Ses mains rejoignirent ses cuisses pour ôter sa petite culotte en dévoilant à son regard l’intimité féminine. D’une caresse sur ses cuisses, celles-ci s’écartèrent. Noah se pencha entre elles pour venir embrasser cet objet de désir. Sa bouche se posa contre cette délicieuse féminité, cette partie si élégante, bien que trempée. Sa langue ne tarda pas à venir s’inviter au bal, taquinant la porte d’entrée au paradis, goûtant avec plaisir à celle-ci, si délicieuse. Noah avait rarement offert de telle gâterie à la demoiselle et pourtant il savourait de l’entendre gémir sous les coups de sa langue qui gourmande goûtait cette partie si délicieuse de l’anatomie féminine.
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| I want you, right now ! I miss you ! Noah Worthington & Jane Jenkins Ce désir l’obnubilait totalement, lui faisait perdre toute raison. L’absence de cet homme se faisait manquer. Elle avait besoin de le sentir contre elle, à elle. En dépit de toutes les rumeurs qui circulaient sur eux, de cette contenance qu’elle devait avoir face à lui, l’alcool déliait les chaines de sa raison. Elle voulait être avec lui, être à lui. Ce n’était pas qu’un appétit sexuel qu’elle avait pour lui. En se jetant sur lui, de la sorte, comme une femme cupide et cruellement en manque, c’était son cœur qui réclamait qu’il la touche. Il lui manquait si cruellement et leur dernière entrevue par hasard n’avait pu que la troubler d’autant plus. Elle n’en pouvait plus d’être si loin de lui. Cela faisait sept ans qu’elle n’était plus qu’une simple cadette, une simple amie pour cet homme. Elle était son amante, la seule avec laquelle il passait ses nuits — si on omettait bien entendu leurs quatre années de séparation, imposée pour la sécurité de leur lien, de leur plan. Pourtant, elle ne parvenait plus à résister à l’appel de son cœur, ce besoin irrationnel qu’elle avait de le sentir contre sa chair. Elle s’enivrait de ses contacts luxuriants et envoutants. Son cœur battait si fortement dans sa poitrine en harmonie avec celui de cet homme. Cela l’enchantait, la rendait incroyablement heureuse tant elle sentait Noah sensible à ses paroles, à ses gestes. Le regard qu’il lui tendait était pénétrant, passionné et terriblement hypnotisé. Elle aimait sentir celui-ci sur son corps encore entièrement vêtu en comparaison de celui de son ancien professeur. Un homme qui n’avait jamais été un professeur comme les autres. Il était tellement plus que cela à ses yeux. Elle était complètement folle de lui, tout son être et son âme lui appartenaient. Il le savait, même si elle ne lui avait jamais dit, même si ces mots si puissants n’avaient jamais quitté leurs lèvres. Il était évident qu’ils s’aimaient passionnément, mais éviter de l’affronter, le rendre concret pour des raisons obscures et sans doute liées à leurs angoisses personnelles était plus facile, plus convenable sans doute. Le contact charnel, l’appétit que pouvait avoir l’échine de l’un pour l’autre étaient devenus leur façon de se témoigner toute cette fougue qui les étreignait mutuellement. C’était la manière la plus naturelle et sincère qu’il y avait et tous les deux s’en contentaient avec satisfaction. Seulement ces instants se faisaient rares désormais et elle sentait un manque d’autant plus cuisant que les journées défilaient, la tenait éloignées de cet homme. Elle avait beau satisfaire son besoin de le sentir en elle en se caressant, rêvant à tous ces moments de luxure qu’ils avaient partagés, cela ne venait en aucun cas la combler. Elle avait besoin de lui, de son corps, de ses doigts, de sa bouche. Sa passion exacerbée par les effets de l’alcool la rendait particulièrement franche et passionnée. Son corps réagissait cruellement au bien-être qu’elle procurait à son amant. Son intimité formée sous le contact de ses doigts au travers du vêtement lui donnait cruellement envie. Elle avait envie de la sentir s’affermir plus profondément pour la sentir enfin la posséder, liait leur corps en une seule âme. Elle en mourrait cruellement de désir, mais ce qu’elle désirait plus que tout à cet instant, c’était le contact de ses doigts contre son fruit défendu, terriblement charmé et envouté par le plaisir qu’elle lui procurait. Il ne se fit pas prier pour accéder à sa requête, frôler cette partie sensible de son anatomie de ses phalanges. Elle le sentait ambitieux et gourmand, remarquant avec quel intérêt il l’observait en se mordillant la lèvre. Elle soupira son plaisir dans un faible gémissement, laissant sa main caresser l’ambition de son amant en harmonie avec son action. Elle vint se mordiller la lèvre avec satisfaction, sentant son souffle devenir plus fort, plus rauque. Elle sentait une chaleur envahir son corps, bien plus étourdissante que les effets de l’alcool. Celle-ci embrasait ses sens et la moindre parcelle de sa chair, la rendant si gourmande et soumise à cet homme. Son intimité trahissait le désir qui la possédait. Jamais elle ne s’était sentie aussi sensible et gourmande avant qu’il ne vienne la toucher, l’exciter. Pourtant, en cet instant, elle était brûlante, cruellement impatiente de recevoir ses caresses. Cela la rendait folle. Elle vint gémir en appui sur le canapé, près du visage de Noah qui pouvait admirer le trouble qu’il initiait en elle. Elle sentit le contact brûlant et cupide de ses phalanges s’immiscer sous sa culotte pour y découvrir la chaude moiteur qui régnait à l’entrée de son jardin intime. Un frôlement intime qui la rendait folle, la fit soupirer le prénom de son amant alors qu’elle sentait cette ambition s’accroitre dans son corps. Il était si doué pour la rendre ainsi. C’était à chaque fois, envoutant l’aisance avec laquelle il la rendait sensible, si brûlante de désir. C’était comme si ses délicieuses phalanges étaient des allumettes qui mettaient le feu au sein de cette verdure luxuriante qui semblait n’attendre que cela. Celle-ci savourait ces caresses coquines et luxuriantes alors qu’elle sentait sa chair être victime de frissons ô endiablant grâce à cette main taquine qui glissait sur sa poitrine. Une menotte qui vint la dévêtir de son vêtement pour pouvoir profiter de ses courbes, de la fermeté que ses actions engendraient sur cette partie si révélatrice du plaisir d’une femme. C’était délicieux et son cœur semblait imploser dans sa poitrine tant elle sentait cette ambition accroitre, devenir étourdissante. Sa menotte continuait ses actions sur son intimité pour le libérer de son vêtement, mais elle n’eut pas le plaisir de la parcourir plus en détail, tant le retrait de ces cupides tortionnaires la frustrer. Elle laissa son corps s’exprimer, esquissant un mouvement en avant pour l’intimer à poursuivre. Le souffle court, elle dut néanmoins se faire une raison. Ses tortionnaires avaient quitté ses cuisses pour rejoindre les commissures de son amant qui la dévorait du regard. Sans la quitter un instant du regard, Noah vint lécher sensuelles ses doigts couverts de sa moiteur. Ses prunelles bleu océan se faisaient cruellement pénétrantes, brillantes d’une ambition qui la rendait sans voix, brûlante de désir. Elle sentait son cœur battre fortement dans sa poitrine, hypnotisée par ce regard alors qu’il venait passer ses bras autour de ses hanches pour la serrer contre lui. Il l’embrassa avec passion, laissant leurs commissures se retrouver après quelques minutes de séparation. Totalement sous le charme de son amant, elle se laissa porter par cet homme, s’allongeant sur le canapé pour lui permettre de la surplomber. Le souffle court, elle le vit s’éloigner de ses lèvres pour glisser son visage et ses mains sur le bas de son corps. Elle pouvait sentir ses menottes frôlaient ses formes au travers du tissu pour finalement rejoindre ses cuisses, lui ôter sa petite culotte. Une simple caresse avait suffi pour l’intimer à entrouvrir ses cuisses pour l’aider dans sa manœuvre. Elle se trouvait si impatiente de savourer le contact de ces lèvres contre son fruit défendu. Une caresse intime qu’il lui offrait que rarement, mais qui était tellement source d’exaltation en elle. Elle sentit son souffle frôler son intimité avant de sentir le contact chaud de ses commissures contre son fruit défendu. Elle soupira fortement, le cœur fou, endiablé dans sa poitrine. Elle se mordillait la lèvre, fébrile, sentant la langue gourmande et coquine de son amant la rendre folle avec tant de facilité. Elle sentait ses entrailles s’enflammer comme jamais. C’était si étourdissant, si fabuleux. Lui seul avait un tel impact sur son corps, son désir. Elle laissa une de ses mains se perdre dans la chevelure courte de son amant pour la caresser, lui transmettre le plaisir dingue qu’il lui offrait. Son autre menotte quant à elle, s’accrochait au tissu du canapé comme pour tenter de rester maitresse de ses sens. Cette opération fut vaine tant elle sentait les commissures de son amant avide de la rendre folle, devenant plus passionné au moindre son qu’elle émettait. Il semblait prendre un plaisir monstre à la rendre folle et y parvenait totalement. Elle gémissait son prénom dans des souffles courts et saccadés. Les caresses buccales et charnelles sur ses cuisses l’électrisaient totalement, la rendant ivre d’un plaisir profond que seul lui pouvait lui procurait. Sa poigne dans ses cheveux vint s’affermir cruellement alors qu’elle sentait son dos se cambrer délicieusement à un baiser bien trop troublant. Il était si doué, connaissait son corps par cœur, ses points sensibles. Elle soupira son prénom dans une plainte profonde pour lui communiquer son bien-être, son ambition. Elle ne voulait pas qu’il lui fasse atteindre ce septième ciel et le supplia de s’arrêter dans une voix ô combien fébrile. Le souffle chaud, le regard troublé, elle se mordit les lèvres en l’observant. Les prunelles de Noah se trouvaient intenses et passionnées. Il la dévorait du regard tout autant qu’elle pouvait le faire alors qu’elle l’intimait à rejoindre ses lèvres. Elle l’embrassa langoureusement, savourant le contact de ces commissures qui savaient si bien satisfaire ses désirs. Elle laissa ses mains glisser sur les reins de Noah pour glisser son pantalon et son boxer sur ses cuisses pour le dévêtir entièrement, flattant ses cuisses de ses doigts. Il l’aida dans cet exercice, satisfait de la voir si entreprenante, quand bien même le dominait-elle à cet instant. Ce qui ne dura que quelques minutes de plus avant qu’elle ne vienne de nouveau prendre le contrôle. Sans arrêter son baiser, si ce n’est pour reprendre son souffle, elle était venue se relever pour leur faire échanger leurs places. Résolument réceptif à sa demande muette, Noah s’exécuter en laissant ses mains caresser l’arrière de sa cuisse. Le surplombant à son tour, elle vint sourire contre ses lèvres alors qu’elle laissait son bassin se coller au sien, laissant leurs intimités se frôler délicieusement. Elle vint gémir contre ses lèvres, elle était sensible à ce contact qui l’électrisait, lui donnait cruellement envie de lui. Pourtant, elle voulait sentir cette intimité contre cette partie encore quelques minutes. C’est donc tout naturellement qu’elle avait laissé une de ses mains glisser jusqu’à ses cuisses pour caresser celle-ci et venir la frotter contre son jardin secret. Elle soupira de nouveau, son corps frissonnant de plaisir à ce contact cocasse alors qu’elle venait opérer de merveilleux mouvement de bassin. Fière comme une déesse, elle vint se redresser telle une femme fatale pour ouvrir à son amant une vue qui saurait résolument le rendre fou. D’un mouvement de tête, elle laissa sa chevelure dense se choir derrière sa nuque alors qu’elle opérait des oscillations contre sa victime, si heureuse de la sentir ferme et gonflée de désir. Elle sentait ce feu ardent l’enivrait et le regard résolument hypnotisé et érotique de son amant, venait renforcer le plaisir qui s’immiscer et grondait dans ses veines. |
| | | Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 40 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Jeu 9 Oct - 16:29 | |
| Elle était si belle même dans cette intimité si humide et gourmande, sa peau brillante, ce léger duvet noir qui coiffait la porte interdite et obligeamment désirée par le professeur de Défense contre les forces du mal. Il n’avait aucune barrière pour se protéger de cette envie de rendre folle son ancienne étudiante. L’homme ne pouvait étouffer cette pulsion tant tout en elle enflammait ses entrailles. Sans la moindre honte, il venait dévorer dans son appétit de monstre sa proie délicate et féminine, le fruit du pêché si délicieux et savoureux que cachait sa robe, sa culotte. Au diable la bienséance, l’interdit, les couvertures qui ne pouvaient cacher l’état de fébrilité et de demande de la jeune femme sous ses yeux. Sans le moindre remord il voulait y répondre, satisfaire ce désir féminin qu’il vint titiller de sa langue outrepassant toutes les barrières qu’il lui avait ôtées. Il mangeait cette pomme du jardin d’éden, se félicitant du plaisir évident qu’i procurait à sa victime. Elle glissa sa main dans ses cheveux, s’y agrippant avec force en lui prouvant son état de bien-être que le jeune homme renforçait du bout de ses commissures. La pression de ses doigts contre son cuir chevelu partageait le plaisir de la jeune femme, sa fragilité et son ouverture à la folie luxuriante de leur passion auquel il savait qu’elle ne pouvait résister. Elle s’enfuyait vers les étoiles chaleureuses, brulantes, éclatantes, annonçant cette joie dans ses gémissements et ses sons si enchanteurs que laissait échappés sa bouche à ce contact cocasse. Noah s’en sentait fort et merveilleux, sa fébrilité, sa félicité parcourant de frisson le corps du professeur ravi de faire ce petit effet sur son amante. Elle le rendait plus gourmand , pus avide de ses réactions de bien-être, sensuel et irrésistible. Il la trouvait érotique en succombant à ses avances coquines, à ses lèvres et sa langue qui s’amusait cruelle et passionné en suçant le centre du bonheur. Ses soupirs savaient parfaitement partager son exquise montée vers le paradis et il souriait de satisfaction de la sentir si ambitieuse et heureuse sous son action qui la rendait de plus en plus brulante.
Elle le supplia d’arrêter, quoiqu’il comprit bien que ce n’était pas son vrai désir, mais il releva la tête vers elle délaissant son activité pour lui sourire séduit. Il l’observait avec passion, intensité, observant ce visage rougi, chaud et brulant de désir, ce regard dévorant qui se posait sur lui, le fixait avec autant d’envie qui pouvait se transmettre au sein de ses propres iris. Silencieusement, elle le ramena à lui pour l’embrasser, profiter de lui et l’embrasser avec passion. Un baiser que l’amant accepta avec grand plaisir, ses lèvres venant posséder leurs homologues comme elles s’étaient acquis celles interdites. Il sentit ses caresses sur ses cuisses et le frôlement du tissu qu’on enlevait de ses jambes, l’air sur sa partie intime qui désignait fièrement la femme comme l’objet de son désir. Il l’aida a s’abandonner de son pantalon et son boxer, venant s’en démunir entièrement pour se trouver nu comme un ver contre son corps et ses lèvres dans une langoureuse communion.
D’un muet commun accord, par la perception d’un mouvement de Jane, le professeur comprit son désir de se retourner, de venir une nouvelle fois le surplomber, le dominer. Coquin et aimant résolument la voir si entreprenante c’est sans la moindre opposition, la moindre résistance qu’ils se retournèrent sur le canapé pour se découvrir plaisamment sous le regard de la jeune femme et gagner au passage une vue sur la splendide poitrine de sa partenaire qui ferait rêver bien des hommes, mais dot il était bienheureusement le seul à profiter. Il soupira d’aise contre les lèvres souriantes de Jane comme elle collait son bassin au sien en venant frôler sous la moiteur de son intimité celle de l’homme. Le frottement de cette peau le fit se mordre les lèvres, déclenchant main frissonnement et frémissement de bien-être, une sensation chaleureuse, brulante s’installant dans son bas ventre. Ce contact était si fabuleux apte à rendre dingue et néanmoins frustrant comme il restait si superficiel.
Noah avait envie d’elle, de se sentir en elle, s’affoler dans l’étroite porte de Jane pour partager le plaisir le plus exquis des relations intimes, partagé ce plaisir avec elle et se sentir complet ensemble. Le contact de cette main, de cette intimité ne suffisait nullement pour le satisfaire même si ses entrailles s’en enflammaient, ses gémissements, ses yeux réclamaient une suite qui saurait merveilleuse pour eux deux, il savait qu’elle le désirait tout autant que lui, mais il semblait qu’elle s’amuser à le laisser languir. Elle se redressa au-dessus de lui, se présentant à genou au-dessus de Noah allongé et soumis pour venir une nouvelle fois se frotter avec appétit contre l’intimité gourmande et séduite du professeur. Les mains de Noah glissèrent sur la peau nue de la jeune femme pour venir caresser sa poitrine, les bras tendus vers le haut, vers ces seins attirants et pointus. Sa virilité était tout aussi fière que ses boutons de chair durs sous ses doigts. Il s’enivrait du contact, du regard de son bourreau si pervers et coquin qui s’amusait à le rendre fou d’impatience, à frustré ce désir de la posséder. Il en avait tant envie, profitait pourtant pleinement de ce supplice si merveilleux, de cette liesse qui gagnait chacun de ses membres, s’infiltrait dans ses veines avec ce désir.
Il se laissa faire, la laissant maitre de leur union, son regard la suppliait de poursuivre, il en avait tant envie, se sentir en elle ne pouvait qu’être l’apogée de cette union, de cette intimité qu’il possédait. Il désirait la rendre folle, sensible et heureuse comme elle le méritait, comme elle semblait en avoir l’idée depuis qu’elle avait passé sa porte. L’entendre crier de félicité, atteindre ce paradis qu’il ne pouvait connaitre qu’auprès d’elle tant chaque sensation était multipliée par l’odeur, la caresse, la voix de Jane. Plus qu’aucune autre, elle savait emplir son cœur, son corps de désir et d’enchantement. Elle seule avait ce pouvoir et elle le prouvait encore ce soir seulement.
« — Laisse-moi entrer en toi Jane, viens me posséder ! Je ne puis plus… » murmura t’il doucement, terriblement désireux de connaitre les entrailles brulantes de son amoureuse. Ses mains glissèrent en de douces caresses sur son corps, quittant la poitrine endurcie vers ses côtes, sa taille, son dos puis vers ses fesses pour leur offrir une assisse sur ses mains, accompagnant leur mouvement conte sa propre virilité avec douceur. Il succombait entièrement, mais comptait pourtant la laisser maitre de leur union, il rêvait de la voir le chevaucher, dresser comme une fière amazone, elle était sexy et désirable, il désirait qu’elle vienne prendre son intimité dans sa main et exercer son pouvoir dessus.
« — Prend moi, Jane ! que mon corps t’appartienne pour une fois . N’est-ce pas ce que tu rêves de faire, ton dessein depuis que tu es entrée ! Je le veux aussi, je veux t voir me dominer, je le veux aussi, je veux t voir me dominer, tu dois être si belle et érotique ainsi. »
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| | | Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Jeu 9 Oct - 20:46 | |
| Noah était si exquis. C’était résolument paradisiaque de le sentir ainsi, si ferme et à sa merci. Jane en ressentait une profonde fierté, le trouvant si désirable et envoutant. Elle pouvait sentir son cœur battre vivement dans sa poitrine. Elle n’avait aucun contrôle sur son organe vital, celui implosant littéralement dans sa cage thoracique. Elle sentait ses sens en ébullition, son rythme cardiaque insufflant ce bien-être viscéral dans la moindre parcelle de sa chair. Elle se trouvait si gourmande, si désireuse de le rendre fou. Ses sens se trouvaient biaiser par les effets embaumeurs de l’alcool qui circulaient dans ses veines. C’était la première fois qu’elle agissait de la sorte avec Noah. Elle aimait tant être dominée par cet homme, le sentir cupide de la faire sienne, qu’elle n’avait eu que peu d’occasions de devenir la maitresse de leur union. À vrai dire, cela ne s’était jamais produit. Du moins, jamais totalement. Elle avait toujours flanché à la dernière minute en le suppliant de lui faire atteindre le paradis luxuriant à ses côtés. Il faut dire qu’elle aimait tant l’expérimenter avec lui. Il savait tant rendre son corps fou et avait un tel pouvoir sur son cœur, même si elle refusait de reconnaitre l’évidence.
Le rythme endiablé de son cœur la trahissait, tout comme l’émoi qui se dépeignait dans ses prunelles face à la vue érotique que lui offrait son ancien professeur. Il était tellement érotique, son regard la fixant avec intensité et ambition, se mordillant la lèvre face aux frissons de plaisir qu’elle lui offrait. Elle n’avait de cesse d’osciller du bassin, laissant cette intimité gorgée d’excitation se frotter contre son jardin intime. Elle sentait la peau brûlante de son amant frôler sa verdure humide, celle qu’il avait baignée de sa rosée, de ces lèvres si gourmandes qu’elle pouvait entre ses sens trembler d’ébullition. Elle soupirait de bien-être, ses entrailles s’embrasant cruellement de ce contact cocasse et pervers avec l’échine de son amant. Elle le savait tout aussi impatient et hypnotisé par cet échange luxuriant. Elle vint émettre un gémissement au contact des phalanges du professeur contre sa poitrine nue. Ces délicates tortionnaires flattaient la peau de sa poitrine, jouant avec les boutons qui régissaient l’émoi d’une femme. Il les frôlait avec envie et ambition, les taquinant avec sensualité alors qu’elle se mordillait les lèvres. Elle avait cruellement chaud, son bassin poursuivant ses provocations sur le sien. Son cœur battait cruellement sous les doigts coquins de son amant. Il ne pouvait ignorer le trouble qui la possédait. Sans doute se trouvait-il commun tant elle sentait cette intimité masculine devenir plus ferme et vigoureuse. Elle semblait se gonfler de désir sous le contact de ses doigts, de son jardin secret qui n’avait de cesse de la taquiner de sa chaleur, de sa moiteur. Elle pouvait voir son amant s’enivrer de son contact, de ces coquineries qu’elle lui offrait telle une femme fatale. Cela l’excitait, tout autant que sa soumission exaltait ses sens.
Elle avait cruellement chaud, son souffle se faisant court et saccadée, exprimant que de faibles gémissements tant elle se trouvait merveilleusement bien contre lui. C’était si délicieux qu’elle profitait du moindre frisson exquis qui la traversait tandis qu’il l’invitait à poursuivre de la sorte. Il lui murmura de le laisser entrer en elle. Il voulait qu’elle vienne le posséder tant il n’en pouvait plus de cette frustration. Des paroles ô envoutantes qui la firent gémir de frustration alors qu’elle sentait la chair brûlante des menottes de son amant glisser en de douces caresses. Il laissait ses menottes flatter ses formes avant de rejoindre ses fesses pour l’intimer inconsciemment à poursuivre ses caresses sur sa virilité si impatiente. Cette chaleur était si envoutante, si grisante. Jane y succombait totalement, sentant ses entrailles réclamer la présence de cet homme qui lui manquait trop pour atteindre ce paradis terrestre. La suite des paroles de son amant préféré ne vint nullement amoindrir son appétence. Au contraire, cela la rendait cruellement gourmande, excitée tant elle était sous le charme de ses mots si coquins. Il lui ordonnait de le prendre, que son corps lui appartienne pour une fois. Il lui demandait si ce n’était ce qu’elle rêvait de faire depuis qu’elle était arrivée. Il en avait tout autant envie. Il voulait la voir le dominer tant elle devait être si belle et érotique ainsi. Des paroles ô flatteuses qui ne pouvaient que la charmer alors qu’elle le regardait avec attention et intensité. Elle se mordillait la lèvre, laissant le contact de ses doigts se renforcer contre l’intimité de son amant.
Elle ne pouvait résister à l’appel de son amant. Il était si brûlant, si magnifique sous son corps. Le regard qu’il lui tendait était pétillant de cette luxure qu’il mourrait d’envie de vivre grâce à elle, à l’oscillation de leurs deux bassins lorsqu’ils se rencontreraient véritablement. Elle en avait toute envie, sentant son cœur rater un battement lorsque d’un mouvement de main, elle laissa l’extrémité de la vérité de son amant frôler son bouton de chair intime. Elle inspira profondément en se mordillant la lèvre, gémissant le prénom de cet homme, qui rendait sa peau si fébrile. Elle laissa sa main glisser sur ses abdominaux pour rejoindre ses pectoraux dans de caresses ô sensuelles et plaisantes. Son autre menotte quant à elle, continuait ses taquineries alors qu’elle le fixait avec intensité. Elle lui souriait résolument fébrile et charmée, désireuse de le sentir en elle. Elle soupirait son prénom dans une voix de plus en plus suave alors qu’elle venait décoller son bassin du sien, sans une pointe de frustration extrême. Son regard se faisait coquin et joueur alors qu’elle venait l’embrasser, l’obligeant à adopter une position assît alors qu’elle reprenait place sur lui. Dans une position semi-assise, elle laissa ses mains libres glisser sur ses pectoraux avant de se nouer autour de sa nuque dans un sourire résolument cocasse. Elle laissait l’intimité de cet homme frôler son jardin intime, le taquinant avec ambition pour savourer les soupirs de cet homme, la lueur de son regard cupide et désireux. Elle susurra son prénom contre ses lèvres en ajoutant. « Cela fait des semaines que je rêve que tu me prennes… que tu me fasses geindre, atteindre cette apothéose avec toi. J’ai beau fantasmer sur toi, me bercer de ton odeur, du contact de tes doigts sur ma chair… ce n’est pas la même chose. C’est tellement envoutant quand c’est toi. J’aime quand tu me prends, mais ce soir, je ferai en sorte que tu meures d’envie que je te prenne plus souvent. »
Elle vint rire délicieusement contre ses lèvres alors qu’elle venait enfin mêler leurs deux bassins l’un à l’autre. Le souffle court, elle vint gémir le nom de son amant dans une voix faible et suave. Ses prunelles brillaient d’émotion face à l’émoi dans lequel se trouvait son corps. Sa poitrine ferme collée aux pectoraux de son amant n’avait de cesse de frôler sa peau au rythme de ses respirations endiablées. Elle l’observait avec émotion, la gorge nouée tant elle avait chaud et appréciait ce contact avec son amant. Elle sentait l’intimité de Noah s’infiltrer dans les méandres de ses entrailles, lui faisant connaitre un frisson de bien-être alors qu’elle se mordillait la lèvre. Elle savourait cette pénétration, se sentant si maitresse contre cet homme qu’elle dominait. Elle n’osa pas bouger, le fixant le regard coquin et envouté. Il était si beau, si désirable, si ferme et vigoureux dans ses entrailles. D’humeur taquine, elle était venue lui mordiller la lèvre avant de glisser ses lèvres sur sa joue, sa mâchoire, les parsemant de baisers fripons alors qu’elle laissait ses reins opérer un mouvement de bassin de façon très lente et langoureuse. Elle vint gémir de nouveau en soufflant son prénom, laissa sa bouche mordiller son oreille, lui susurrer des cochonneries au creux dans une voix suave et coquine. Elle détaillait avec attention le moindre frison que sa présence provoquait en elle, le feu qui grondait en elle et qui s’impatienter. Elle jouait avec les mots en continuant d’opérer des mouvements de bassins lents avant d’accélérer la cadence dans des gémissements profonds. Elle alternait entre les deux avec finesse. Elle adorait ce contact, sa présence, l’émoi qu’il provoquait en elle. Elle en devenait cruellement dépendante et désirait profiter de ce contact jusqu’à atteindre avec lui les portes de ce paradis terrestre, bien qu’elle comptait résolument profiter de tout cela. Le frustrer pour mieux le satisfaire, n’était-ce pas plus fabuleux ?
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| | | Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 40 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Mar 14 Oct - 18:40 | |
| Il avait terriblement envie d’elle, il ne pouvait le cacher, nu comme un rat, son désir était exposé aux yeux de Jane qui se faisait un malin plaisir à la titiller, à l’embraser de folie. Alors ses paroles n’avaient pas hésité à franchir ses lèvres pour assumer ce désir terrible de la voir le dominer, de la voir glisser sur lui et dévorer sa partie intime de ses basses lèvres. Il n’en avait nulle honte et n’ignorait nullement la réciprocité de cette envie. Elle avait l’air si bouillant, si érotiquement luxueux son corps se frottant au sien, ses seins s’élevant, se balançant en suivant le mouvement de ses hanches de façon hypnotisant. Elle était parfaite et envoutante et Noah se laissait entièrement emporté par la folie qu’elle engendrait, désirant partager avec elle la plus grande proximité. Il sentait que cette soumission, cette frustration ne le délivreraient que plus merveilleusement quand elle viendrait l’immiscer en elle. Il se devait de patienter, il le faisait avec dévotion, sentaient ses caresses intimes de plus en plus ambitieuses et humides. En attendant il assistait à un merveilleux spectacle, une Jane entièrement embellie par son érotisme, sa sensualité, son envie dévorante et dominatrice, il percevait entre ses propres gémissements et respiration, le regard de son amante qui s’embrassait de passion, d’une folle flamme, et son visage exprimer le bien-être, le désir, ça la rendait si belle, si sensible. Elle dirigeait son intimité pour réguler son plaisir, pour atteindre ses points sensibles et s‘offrir le plus de frissons, retenant prisonnier l’ambition de Noah. Aucune plainte de sa part, elle était splendide et ensorcelante, une sorcière en peine luxure. La voir si fébrile, si coquine, si entreprenante augmentait le plaisir de l’amour, le frisson de son corps, la folie de son âme qui tremblait pour cette demoiselle qui soufflait son prénom en un gémissement séduisant. Elle le répéta, encore et encore à ses oreilles, comme l’envie la dévorait, lui haletait, prêt à être en elle, supportant cette sentence avec empressement qu’on mette fin à son supplice et de se sentir en elle. Pourtant, elle semblait s’amuser de son désir, s’envolant déjà par des frottements bien placer, le faisant frissonner pas des caresses, des gémissements cocasses.
Elle l’invita à l’embrasser et l’homme se releva pour atteindre ses lèvres qu’elle venait passionnément gouter. Il répondit avec autant d’ardeur comme elle passait ses bras autour de son cou en échangeant un baiser sensuel. Il glissa ses bras autour de son corps pour la maintenir contre lui. Il gémissait doucement contre ses lèvres, poussant des sons un peu rauques comme son bassin s’actionnait encore contre son intimité déjà tant réveillée et tendue. Il la fixait, avide de la découvrir plus, et elle dit qu’elle rêvait depuis des semaines qu’il a prenne, qu’il la fasse geindre et atteindre ‘apothéose avec lui. Elle fantasmait sur lui, se berçait de son odeur, du contact de se doigts que sa chaire, ce n’était pas la même chose. C’était si envoutant quand c’était lui, Noah. Elle aimait quand il la prenait, mais ce soir, elle ferait en sorte qu’il meurt d’envie qu’elle le prenne plus souvent. Il rit doucement avec elle, appréciant tant ses paroles, l’imaginant parfaitement fantasmer sur lui, comme il pouvait le faire sur elle, aussi avide de la prendre que de se soumettre au désir de la demoiselle.
Puis dans un gémissement qu’il ne put retenir, il la senti l’emprisonner doucement dans son corps, accueillant dans sa bouche étroite, brulante et moite son intimité déjà si sensible aux caresses. Chaque centimètre de cette peau tendu et fier faisait exploser des feux d’artifice au niveau de son bas ventre, une chaleur si bienfaitrice s’infiltrant dans ses veines. Elle était collée à lui, et il pouvait ressentir parfaitement chacun de ses mouvements pour l’immiscé en elle. C’était résolument endiablant, un enfer brulait dans son corps, fou de luxure , ça ressemblait au plus beau paradis. Il désirait tant se sentir en elle que par réflexe son bassin vint accompagner les mouvements de la demoiselle, mais sans en initie, en se laissant entièrement dirigé, seulement pour l’envahir de plaisir. Elle lui mordillait doucement les lèvres et il la sentait particulièrement taquine, profitait de cette position dominante pour le frustrer de lenteur, même si c’était délicieux de se sentir en elle. De l’entendre gémir, de l’entendre prononcer des mots coquins à son oreille, la mordiller, cette femme était si envoutante, elle embrasait le désir de Noah qui s’incendiait et se gonflait avec ambition. Elle se jouait de lui, accélérant puis ralentissant, frustrant son âme virile qui désirait autant prolongé ce partage qu’exploser de joie en son sein. Ce contact était terriblement luxuriant et le corps de Noah réagissait intensément à ses caresses intimes, à ses douces paroles qui étreignaient son âme. La voix de Jane, au bord de l’extase, faible par l’amour était merveilleuse, tremblante de ce désir endiablant qui les habitait tous deux. Chaque seconde, chaque minute semblaient si somptueuses, si longues comme des milliers de frémissements enflammaient son âme avec passion. C’était merveilleux, et il e pouvait le cacher, il observait son amante avec une lueur résolument conquise sur elle, tout en se laissant à sa merci, ses mains caressant ses fesses, se glissant entre elles d’un doigt pour appuyer sur un second point sensible de la demoiselle pour, s’il était possible, augmente un peu son plaisir, son désir et la rendre entièrement dingue, comme il l’était. Il voulait qu’elle n’ait plus en tête que de le faire lâcher, de la rendre dingue. Il voulait qu’elle devienne impatiente pour lui imposer un rythme endiablé , une danse violente et rapide entre leurs deux corps pour partager la plus grande intimité. Il se sentait approcher de ce point, il voulait sentir sa virilité s’enflammer comme un phœnix en fin de vie, extirper son dernier souffle, mais jusque-là il subirait la volonté de cette femme, avec impatience. C’était si envoutant, si magnifique, cette jeune femme prenait tant, s’imposait à lui dans son rythme et elle semblait en prendre une si puissante jouissance. Tout autant qu’il l’éprouvait, qu’il brulait, que la frustration qui s’installait peu à peu se révélerait une puissante félicité, bientôt. Bientôt, qu’il avait hâte pourtant il voulait un peu plus rester en Jane, encore un peu ce contact sublime avec son amante, juste un peu!
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| | | Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah Mer 15 Oct - 0:23 | |
| Dieu que cet homme lui avait manqué. Chaque parcelle de sa chair réagissait avec effusion contre l’échine de Noah. Ce contact était envoutant, pénétrant et merveilleux. Elle aimait tant être contre lui, sentir leurs souffles avides et cupides s’entremêler dans cette luxure ô exfoliante qui la rendait ivre d’un bonheur incommensurable. Elle se trouvait cruellement fébrile, ses sens exacerbés, émoustillés par toutes les caresses qu’ils eussent partagé jusqu’à cet instant. Même maintenant, elle s’appliquait à le frustrer, à profiter de cet instant merveilleux qui se faisait tant désiré, lorsque seule la nuit, elle rêvait à cet homme au sein de ses draps. Elle avait beau fantasmer, se laissait envahir par les souvenirs de leurs précédentes nuits, le plaisir qu’elle prenait se trouvait bien faible comparé à celui qui l’étreignait à cet instant. Ses sens résolument quintuplaient par les effets de l’alcool qui imbibait sa chair, elle sentait son corps être parcouru par des frissons de plaisir profond. Son corps s’embrasait à ces frôlements entre leurs deux âmes. Elle lui était entièrement soumise et pourtant elle s’appliquait à le dominer, contrôler cet échange auquel elle avait tant songé depuis des semaines. Cet avant-gout dans les toilettes du bar, la vieille, n’avait pu que la rendre d’autant plus gourmande, cupide de le retrouver de la sorte. Noah semblait se satisfaire du rythme qu’elle imposait. Son regard brillant d’une lueur envoutante qui la poussait d’autant plus dans le vice. Il la dévorait du regard, se laissant entièrement ensorceler par le charme qu’elle s’appliquait à dégager pour le séduire, le rendre fou. Leurs souffles s’entremêlaient, laissant leurs gémissements et plaintes de plaisirs s’exprimer ouvertement alors qu’elle savourait l’émotion du frôlement entre leurs deux bassins. Elle le sentait tout aussi endiablé, enivré qu’elle. Elle pouvait sentir ses phalanges contre ses hanches, frôlant ses fesses alors qu’elle l’immiscer plus fermement en elle. C’était merveilleux, elle succombait totalement à cet homme, son visage exprimant cette effusion qu’elle ressentait de le savoir en elle. Elle n’avait de cesse de lui avouait, laissant ses paroles cochonnes et coquines s’échouer contre ses lèvres, sa mâchoire, sa nuque, son oreille. Elle le sentait entièrement à sa merci et cela la rendait ivre de bonheur, désirant tant accroitre cette appétence pour qu’il vive et découvre avec elle les portes de ce paradis terrestre. Pourtant, pour y parvenir, ils devaient braver les flammes de l’enfer, laissant leurs deux âmes se mêlaient et s’embraser avec abandon. Elle sentait son cœur battre promptement dans sa poitrine. Il était prêt à imploser tant les sensations qui la traversaient se trouvaient bouleversantes. Elle sentait Noah tout aussi sensible, cruellement ferme et masculin entre ses lèvres intimes. Son jardin secret était en feu, terriblement gourmand tant cette chaleur avait un gout particulièrement additif. Elle se montrait aussi féline que jamais, laissant ses prunelles émeraude dévorer du regard, l’expression particulièrement ensorcelée, magnifique et érotique de son amant. Elle gémissait d’autant plus fort alors que les mains masculines de son amant glissaient sur ses fesses, laissant le bout de ses phalanges appuyer sur un second point sensible de son anatomie. Il essayait de la rendre folle, lui intimant muettement qu’il désirât qu’elle accélère la cadence. Elle pouvait le sentir, son intimité frémissante en son sein qui réclamait une présence plus accrue de son bassin. Elle souriait, résolument dominatrice et féline. Elle se mordillait les lèvres, laissant ses menottes glisser sur son épaule alors qu’elle amorçait un mouvement plus soutenu. Elle lui susurra des paroles cochonnes, lui avouant ô combien elle avait chaud à cause de lui. Il ne pouvait en douter, il devait bien sentir ses cuisses trembler doucement contre ses hanches. Elle fondait littéralement sous le regard qu’il lui tendait. Elle le sentait si impatient, si gourmand et pourtant si discipliné. « Dommage que tu ne sois plus mon professeur. J’aurai été parfaite dans le rôle de la vilaine élève qui tente son professeur. Quoiqu’on a déjà pu réaliser ce fantasme ensemble. Tu ne crois pas ? » Elle avait susurré dans un fin rire alors qu’elle glissait de nouveau ses bras autour de sa nuque en l’embrassant. Elle laissa ses lèvres glissait délicieusement sur les siennes dans de douces étreintes. Elle lui mordillait la lèvre, laissant sa langue caresser celle-ci. Elle continuait de le frustrer, laissant son bassin exercer des mouvements très lents et langoureux sur son intimité. C’était délicieux, envoutant et pourtant si frustrant. Elle voulait sentir ce bas ventre l’explorer vivement, embrasant fougueusement ses entrailles pour la conduire sur la voie de ce paradis terrestre. Elle souffla son prénom, sa voix rauque et sensuelle alors qu’elle venait l’embrasser langoureusement, passionnément. Elle laissa sa poitrine ferme se coller à son buste pour électriser sa chair, le rendre d’autant plus gourmand. Une de ses mains s’était immiscée dans ses cheveux pour les caresser, se donnant corps et âme à ce baiser. Elle amorça donc un mouvement de bassin plus vif et fougueux. Une oscillation qui les fit gémir tous les deux alors qu’elle sentait les doigts de Noah agripper sa chair. Elle souriait glorieuse contre ses lèvres alors qu’elle conservait le contrôle, accélérant la cadence pour lui imposer un rythme endiablé. Elle laissait ses reins aller à la rencontre de ceux de son amant, les entrainant dans une danse violente et rapide entre leurs deux chairs. Leurs corps n’avaient de cesse de s’enflammer. Elle pouvait sentir la pointe de ses seins glissaient fougueusement contre le torse de son amant. Assise au-dessus de lui, elle le recouvrait de tout son long, l’emprisonnant de sa chair comme une araignée se jetant sur sa proie. Elle comptait le dévorer, être également sa victime, terriblement envoutée par cet érotisme qu’il dégageait et cette exaltation qu’elle ne vivait qu’avec lui. Le mouvement de leurs bassins se fit de plus en plus vif, endiablé et cruellement gourmand. Elle sentait sa peau s’embraser comme jamais. Le feu qui la dévorait se trouvait si intense et cupide qu’elle n’avait de cesse de gémir de façon plus profonde à chaque claquement entre leurs deux chairs. Elle laissait ses phalanges se fermer fermement contre la chevelure de son amant, gémissant son prénom avec force. C’était si bon, si merveilleux, si envoutant. Elle fondait littéralement comme neige au soleil. Son cœur implosait dans sa poitrine et elle haletait le prénom de son amant adoré, merveilleux. Elle sentait les portes du paradis s’ouvrir à elle, à eux pour les bénir de cette félicité enchanteresse qu’elle découvrait si profondément grâce à lui. Il ne fallut que quelques minutes de plus et d’échanges luxuriants pour qu’elle se sente flancher, l’entrainant avec elle tant ce plaisir se trouvait intense. Elle poussa un râle en harmonie avec cet homme qu’elle n’avait de cesse d’embrasser, en susurrant son prénom. Elle savourait ce moment d’abandon avec bonheur, son cœur battant tel un fou dans sa poitrine. Encore étroitement collé à lui, elle pouvait sentit le torse de Noah se soulever avec la même force que le sien. Elle le contemplait avec émotion, le regard brillant. Elle se trouvait comblée et elle ne se garda pas de le dire, susurrant contre ses lèvres. « C’était magique… » Elle se mordillait la lèvre alors qu’elle venait de nouveau l’embrasser en se louvant contre lui. Elle n’avait pas envie de le quitter. Elle se sentait si bien contre lui, son intimité au creux de ses cuisses. Elle se sentait plus femme que jamais, le cœur glorifié dans sa poitrine. Elle était satisfaite du regard brillant qu’il lui tendait, comblé et résolument envouté. Elle ne comptait pas l’abandonner de la sorte. Il avait encore une bonne partie de la nuit devant eux. -- FIN -- |
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| | | | (fini) I want you, right now ! I miss you ! | PV Worthington Noah | |
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