A night at the museum - PV Shana Alboran

Sa vie semblait prendre un nouveau souffle grâce à Shana, cette demoiselle s'était imposée dans son monde, dans son intimité même en venant vivre avec lui, dans cette grande capitale. Il se sentait de plus en plus complice avec la jeune femme qui venait prendre sa place dans sa vie, il se dévoilait peu à peu à elle et adorait découvrir jour après jour la jeune femme. Comme celle-ci se trouvait si joyeuse et resplendissante, tout en possédant une fragilité qui avait touché le jeune homme. Ils avaient découvert des blessures encore gravées dans sa peau, mal cicatrisées. Pourtant il la voyait forte, souriante. Elle lui apportait une joie qu'il espérait pouvoir lui retourner, il aimait sa présence à ses côtés, si douce, si légère. Le jeune homme aimai être avec elle, c'était aussi simple que cela, aucun des deux ne désirait se prendre la tête sur leur relation, aucun ne semblai se poser de questions sur ce qu'il fallait faire, sur comment s'y prendre. C'était simple, il dévoilait ce qu'il désirait dévoiler petit à petit, avançait petit à petit en apprenant chaque jour un peu plus. Il profitait de cette relation et de cette confiance qui naissait, s'installait lentement entre eux deux. Il tombait amoureux d'elle et se voyait plonger dans cette direction qui lui convenait pour le moment. Cette demoiselle enchantait sa vie, son environnement. Il en profitait donc tous les soirs, appréciant sa présence.

La ville toute neuve offrait au couple d'amoureux bien des occasions de sortie et de visite dans la multitude d'activités qu'elle offrait.Toutefois comme Yong Woo était auror, les occasions d'en profiter le weekend étaient relativement rare comme il n'était pas rare qu'il travaille même ces jours-là, ses jours de repos se trouvant alors décaler de ceux de Shana, le couple avait surtout découvert le restaurant qui se trouvait à quelque pas de chez eux et les cafés et bars environnant qui eux n'avaient pas échappé à leur curiosité. Chose tout à fait naturelle pour ce couple qui s'était rencontrer dans un pub coréen, n'était-ce pas logique. Aujourd'hui, faisait donc exception, un des premiers dimanches ou ils se trouvaient ensemble à la maison. Yong Woo désirait naturellement en profiter pour sortir avec sa jolie petite amie même si le temps ne semblait pas vraiment clément. Qu'à cela ne tienne, il leur suffisait de penser à une activité en intérieur et pas trop éloignée. Or, le musée de la ville se trouvait dans le quartier de Belladone. Il avait entendu dire qu'il était immense et qu'il valait le détour. La galerie des dinosaures se trouvait extraordinaire et il contenait certaine des plus belles oeuvres de l'art magique, notamment l'Autoportrait de Merlin, Mélusine guidant les gobelins, Le Dragonnier contemplant une mer de flamme et le Rêve causé par le saut d'une grenouille autour d'un chaudron fumant une seconde avant l'éveil. Des grands noms de la peinture, de la sculpture, mais aussi une véritable arche de Noé habitaient le musée de la ville et des rumeurs disaient qu'un service spécial avait parcouru le monde entier pendant les dix-sept ans de la construction de Wincap pour remplir les murs de ce musée, découvrir et collectionner les oeuvres. Le jeune homme était curieux de voir le résultat. Il avait donc proposé le matin même à la jeune fille qui partageait son appartement et sa vie de s'y rendre l'après-midi si ça l'intéressait.

C'est ainsi qu'il se trouvait à marcher côte à côte dans les rues pluvieuses de WINCAP, serré à elle sous le parapluie magique crée par sa baguette magique. Un qui lui donnait la permission d'en profiter pour la prendre par le bras et se coller à elle sans crainte et avec plaisir. Il était heureux ainsi, obligé de se coller contre sa petite amie il n'avait pas une conversation très sérieuse,ne se racontait pas la semaine, mais plaisantait sur l'avantage de la pluie à son sens qui l'obligeait à réchauffer Shana et à rester très près d'elle pour ne pas se tremper.
« — Ce serait dommage que tu mouilles et attrape froid, je serais obligé de te réchauffer. Restes tout contre moi, ça vaux mieux ! » plaisantait-il gaiement à l'intention de sa petite amie comme leur pas les dirigeait déjà vers le grand musée,seuls passants dans les rues trempées et silencieuses de la capitale, toutefois loin d'être seul comme on pouvait apercevoir nombreuses têtes derrière les vitrines des restaurants, cafés et magasins ouverts. Juste personne qui s'enthousiasmait et riait de se trouver dans les rues arrosées.

Ils avançaient joyeux en taquinant, en plaisantant de bonne humeur et enchanté à l'idée de passée une après-midi avec Shana. Il pressentit une chose étrange comme il aperçut le musée du bout de la rue. Aucune lumière ne semblait s'en échapper à travers les fenêtres ce qui l'interpela comme le ciel était relativement noir de pluie.
« — Tu crois que la visite se fait dans le noir ! Genre découvrez les oeuvres au Lumos? » Il savait qu'il y avait parfois des initiatives artistiques originales, mais ça lui semblait étonnant.

Tenue: ici

La journée qui s’annonçait, bien qu’un point pluvieux, en vue des épais nuages qui ombrageaient le ciel, ravissait la jeune Hispanique. En effet, les occasions de passer du temps avec son petit se trouvaient tellement rares que les quelques gouttes d’eau qui perlaient sur les vitres de leur appartement, ne venaient nullement décroitre son impatience. Les deux jeunes amoureux avaient pris l’ambition de se rendre au musée de la ville. Bien que ce dernier se trouve à quelques pas de chez eux, Shana et Yong Woo n’avaient point eu l’opportunité de s’y rendre. Une erreur qu’ils comptaient bien réparer en ce jour et c’est pour cette raison qu’ils se préparaient depuis une demi-heure. Une agréable sortie entre amoureux, qui se faisait languir tant il leur était difficile de trouver du temps pour sortir ensemble. Leurs emplois respectifs ne leur permettaient pas toujours de synchroniser leurs agendas. Parfois Yong Woo travaillait lorsqu’elle était de repos et inversement. Cela ne les empêchait pas pour autant de profiter des quelques instants à deux qu’ils parvenaient à avoir, le soir, bien que trop épuisé par leur dure journée pour avoir l’envie de sortir. Il leur arrivait bien entendu de le faire, mais cela n’avait rien à voir avec ce petit rendez-vous improvisé qu’ils avaient imaginé le matin même au réveil.

Shana se préparait donc avec engouement, quelque peu légère. Elle se sentait toujours incroyablement bien lorsque Yong Woo se trouvait à ses côtés. Il avait ce talent inné ou ce charisme qui lui donnait la sensation d’être à sa place, de pouvoir être elle-même. Leur dernière conversation avait résolument un effet positif sur cette sensation, tant elle se sentait complémentaire aux jeunes hommes. Avec lui, elle n’avait pas de question à se poser. Sa liberté était telle qu’elle avait la sensation de redevenir cette femme qu’elle avait pu être par le passé, même si elle semblait plus mature qu’auparavant. Elle avait donc envie de se faire belle pour son amant, appréciant résolument la tendresse et l’amour que ses prunelles et gestes lui communiquaient sans paroles. Il n’y avait point de tabous entre eux deux, ils se laissaient porter par leurs sentiments sans se prendre la tête. C’est sans doute ce qu’elle appréciait chez le jeune Coréen, dont la joie de vivre et le côté malicieux enchantaient son quotidien. Elle avait donc opté pour une robe noire avec paillette, qu’elle portait avec un blazer noir bien taillé et des bottines en cuir. Afin de se préserver du froid, elle avait opté pour des bas qu’elle avait accrochés à son porte-jarretelle, accordé au reste de sa lingerie. En effet, Shana avait une idée en tête pour leur retour et elle n’avait pu s’empêcher de se pincer les lèvres lorsqu’elle avait imaginé son esprit alors qu’elle se préparait.

Elle était d’humeur taquine et séductrice et elle sut en descendant les marches de leur duplex qu’elle avait son petit effet sur son amant avant qu’ils ne prennent la route vers le musée. D’humeur enfantine, ils étaient venus se serrer l’un comme l’autre, pour profiter de la chaleur de l’autre. Shana remarquait résolument que Yong Woo en profitait résolument, déblatérant un tas de bêtises que les faisaient rire avec complicité. À sa remarque près de son oreille, elle n’avait pu que lui lancer un regard coquin et amusé. « Je pense que tu ne t’en plaindrais pas, je suis coquine malade. » Elle lui fit un clin d’œil, riant de bon cœur alors qu’elle s’arrêtait un instant pour tirer sur son bras et déposer un baiser sur sa joue, le regard brillant. Il n’y avait rien de mal à s’exprimer de la sorte. Ils se trouvaient seuls sous la pluie et leurs pas frappaient délicatement les flaques d’eau. Ils avançaient gaiement vers le musée en continuant leurs taquineries amicales et complices lorsque les paroles de Yong Woo vinrent l’alerter. Il l’interpelle, lui demandant si la visite se faisait dans le noir pour découvrir les œuvres au « Lumos ». Cette idée n’était pas déplaisante songeant-elle, mais elle n’en avait jamais entendu parler.

« Je ne sais pas. » Reconnut-elle dans un doux sourire alors qu’elle ajoutait : « mais l’idée ne serait pas déplaisante. J’imagine que cela doit être un peu inquiétant, parfois, surtout quand tu traverses la pièce des dinosaures. » Elle vint rire, se rappelant ô combien les rumeurs sur celle-ci lui avait donné cruellement envie de visiter les lieux. « On avance et on verra bien, non ? » Elle l’invita à avancer, gardant son bras au creux du sien alors qu’ils venaient rapidement atteindre le parvis qui menait jusqu’au perron du musée sous lequel ils s’étaient précipités pour se protéger enfin de la pluie. Quelque peu touchée par l’eau, elle était venue dépoussiérer les manches de son blazer et reprendre ses idées. Le déluge s’était quelque peu intensifié, ce qui rendait l’abri résolument appréciable. Ils pouvaient entendre les trompes d’eau fouetter le parvis de pierre alors qu’ils se trouvaient collés l’un à l’autre. C’est ainsi qu’ils prirent conscience que le Musée était fermé. Il n’y avait aucune lumière à l’intérieur et la grande porte d’entrée était résolument fermée. Quel poise, se dit-elle alors qu’elle gonflait les joues, quelque peu triste. « Et dire que je m’étais fait une joie d’y venir avec toi… Ce n’as vraiment pas de chance. »

Elle murmurait cela contre ses lèvres avant de venir froncer ses sourcils, la mine concentrée. Elle laissa ses lèvres se tendre dans un sourire malicieux alors que son regard devenait plus brillant. Une idée coquine et dangereuse s’était immiscée dans son esprit. Rien de bien sérieux, mais qui saurait rendre la situation moins sérieuse. Elle désirait juste le taquiner et le tenter, puisque leur plan tombait à l’eau. « Et si tu faisais jouer tes dons d’auror, beau gosse ? » Elle se mordillait la lèvre dans un sourire coquin alors qu’elle laissait ses phalanges glisser sur les poignets de son amant pour les poser sur ses cuisses, qu’il puisse sentir son porte-jarretelle sous le tissu fin et moulant de sa robe. « Cela serait dommage d’avoir fait tout ce chemin pour rien. J’avais tellement envie de profiter du musée avec toi. » Elle souriait de façon mesquine alors qu’elle susurrait cela tout contre ses lèvres, le regard brillant. Elle ne venait pas l’embrasser, le regardant avec attention et amusement. Elle plaisantait bien évidemment, mais c’est vrai que l’idée était additive et dangereuse. Elle se doutait bien que Yong Woo allait rire tout comme elle était sur le point de le faire. Elle aimait tant dire des idioties et commettre des folies avec lui. C’était toujours particulièrement grisant à ses côtés.

TENUE : 01.

L’humeur joyeuse et amoureuse, il avait l’intention de profiter de la présence de Shana à ses côtés, de l’après-midi pluvieuse qui s’offrait à eux, du temps qu’ils avaient ensemble. Ils étaient sur la même longueur d’onde, toujours. Elle le taquinait tout autant que lui, partageant son humeur, souriant et maligne. Elle répondait à ses petites taquineries avec tout autant de vivacité devant l’obscurité qui semblait régner dans le musée, sous la pluie, le manque de lumière rendait l’atmosphère particulièrement lugubre malgré le bâtiment tout neuf. Il questionna si la visite devait se faire dans le noir, c’était étrange, mais sans doute une aventure toute particulière. Elle l’ignorait, mais l’idée ne semblait pas déplaisante. Elle imaginait que ce devait être un peu inquiétant parfois, surtout lorsqu’il traversait la pièce des dinosaures. Il imaginait parfaitement une musique d’ambiance épique et effrayante, les cris des grands reptiles, l’ombre de leur squelette que leur baguette magique ne pourrait entièrement dévoiler à leurs yeux. Ce devait sans doute être un sacré spectacle. Ils décidèrent d’approcher de toute façon pour voir et ils avancèrent rapidement vers l’entrée ou un petit préau leur permettait de se tenir à l’abri de la pluie.

Toutefois la porte devant eu se trouvait close et un écriteau annonçait la fermeture du musée en ce jour, exceptionnellement. Voilà bien leur chance tandis que l’averse se transformait en déluge sous leur pied. Un mur d’eau se formait autour du préau un de bois et de pierre derrière eux. Il se trouver coincé là, serré l’un contre l’autre et il entendit la voix triste de Shana regretter la fermeture du musée. Elle s’était fait une joie d’y venir avec lui ce n’était vraiment pas de chance. Bien sûr il pourrait y revenir un autre jour, seulement ils avaient affronté la pluie pour s’y rendre et espérait vraiment découvrir ses trésor en ce jour, se réjouissaient d’y aller, c’était comme une petite douche froide. Il la serrait dans ses bras, ses mains frottant son dos pour la réchauffer tendrement, un peu déçu aussi par ce malheureux hasard qui tombait sur eux. Il vit rapidement paraitre dans ses yeux une lueur malicieuse et coquine, accompagnant un sourire expressif qui s’affichait sur ses lèvres. D’une phrase un peu coquine et provocante, elle le défiait de faire jouer ses dons d’auror . À ses mots et dans un geste résolument coquin, elle vint attraper se main pour les porté à ses cuisses où il découvrit sous sa robe, les reliefs d’un porte-jarretelle. Il se mordilla les lèvres, tentée et ravie par cette découverte. Elle expliqua que ce serait bien dommage d’avoir fait tout ce chemin pour rien, elle avait tellement envie de profiter du musée avec lui. Il rit doucement, bien qu’attiré par ce petit jeu, cette lueur mesquine dans ses yeux, amusée par la situation et ses paroles sans doute. Il se mordit les lèvres.

« — Voilà une proposition résolument attrayante d’une femme fatale. Ça ferait rêver n’importe quel homme ! Mais n’as-tu pas honte de vouloir faire commettre des crimes à un auror. Je devrais te punir pour me soudoyer ainsi, Miss Alboran ! » Il rit entrant dans le jeu de celle-ci, résolument amusé et coquin par ce qu’il découvrait et tout aussi frustré qu’elle de ne pouvoir découvrir ce musée avec elle. La pluie tombait sans répit à présent, et ils étaient tous deux coincés là. Il sourit doucement.

« — Bon après tout, n’est-ce pas le seul endroit où on peut avancer. » Dit-il doucement avant de se tourner vers la porte du musée. Il se doutait qu’un simple sort d’ouverture de porte ne suffirait pas, le bâtiment devait être protégé par mains et mains sortilège de protection pour éviter toute introduction de malvenue en dehors des heures d’ouverture. Il lança divers sorts de révélation en se concentrant sur cette porte pour tenter d’identifier les sortilèges dont elle s’était parée, dont sans doute le plus important, un sort d’alerte qui prévenait le bureau des aurors ou la sécurité à toute tentative d’effraction. Il passa plusieurs minutes sur cette porte à éteindre une à une les protections qui pouvait les empêcher d’entrer et pas la suite d’avancer dans le musée, et surtout, pire que tout, il voulait éviter qu’on ne les trouve là. Il agissait avec minutie et concentration, son rôle était plutôt de protéger que d’enfreindre, il devait enfreindre une bonne quinzaine de règlements en entrant par effraction dans ce bâtiment, mais tous les aurors connaissaient ces techniques qu’ils apprenaient pour leur diverse manœuvre . Entrer dans ce musée devenait aussi simple que d’entrer dans un repaire de brigand. Après quelque minute, un déclic se fit entendre. Yong Woo s’approcha de la porte pour l’instant de vérité, il poussa légèrement celle-ci et comme absolument rien ne se déclenchait il l’ouvrit plus amplement.

« — Et voilà, facile ! Qu’et ce que tu dirais d’une petite visite guidée en privé et dans le noir, comme tu l’avais demandé. N’est-ce pas magnifique ! Notre plus grand risque à présent est de nous perdre, mais... dois je appeler cela un risque?» rit i doucement en souriant à Shana comme il entrait dans le usée, avant elle, au cas où il aurait omis une protection. Tout semblait bon.

Résolument de nature taquine, Shana n’avait pu s’empêcher de venir éveiller les sens de son compagnon. Il faut dire qu’elle avait spécialement revêtu cet accessoire dans cette ambition et elle avait particulièrement hâte de pouvoir le lui exposer de la façon la plus naturelle qu’il soit. Elle savait que cette action de sa part attirait son amant. Elle le percevait immédiatement dans son regard. Il se mordillait les lèvres, terriblement tenté et ravi de la découverte qu’il faisait. C’était plaisant et elle n’avait pu s’empêcher de pousser la plaisanterie plus loin. Elle était sur le point de rire, lui indiquant qu’elle n’était nullement sérieuse, mais elle devait reconnaitre qu’une partie d’elle était terriblement attirée par l’idée qu’elle soumettait. Cela serait résolument une expérience enrichissante et le métier de Yong Woo était une bonne excuse. Ils n’auraient qu’à se défendre d’avoir cru percevoir de la lumière dans le musée et qu’ils avaient voulu s’assurer que tout allait bien. N’était-ce pas le but du travail de son compagnon : de s’assurer de la sécurité des sorciers dans cette ville ? Elle se pinçait les lèvres en le fixant de son regard joueur. Elle adorait résolument la profondeur du regard de son petit ami. Celui-ci la détaillait avec tant d’attention et de douceur, qu’elle n’avait de cesse de sentir son cœur palpitait dans sa poitrine. Elle se sentait bien avec lui. Elle n’avait de cesse d’en prendre conscience tant il embaumait sa vie d’une chaleur incommensurable. Elle parvenait à avancer grâce à lui, tout comme elle savait qu’elle lui permettait de le faire. Elle ne pouvait donc qu’être irrésistiblement attirée par le Coréen qui lui susurrait que c’était une proposition résolument attrayante de la part d’une femme fatale. Celle-ci ferait rêver n’importe quel homme.

Des mots qui la firent rire de façon sournoise et coquine. Son regard brillait d’une lueur intéressée et résolument ravie des compliments qu’il lui offrait. Il était le chanceux à qui elle proposait cela et cela la rendait encore plus désireuse de le charmer, l’attirait dans sa toile. Elle se mordillait la lèvre avec intérêt tandis qu’il la réprimandait dans un ton faussement sévère. Elle devrait résolument avoir honte de vouloir lui faire commettre des crimes. Sans doute, se lança-t-elle à elle-même en lui lançant un regard tentateur. Il devrait la punir pour le soudoyer ainsi. Elle n’y voyait aucun inconvénient. Elle vint rire naturellement avec lui, le regard brillant de cette malice qu’elle pouvait entrevoir dans les prunelles de son compagnon. Celui-ci se trouvait tout aussi amusé et coquin qu’elle ne pouvait l’être. Ils pouvaient entendre l’eau fouetter violemment le parvis que se trouvait à côté deux. Vu l’état actuel du temps, ils étaient confinés sous le parvis du musée. Rentrer dans ses conditions serait une pure folie et autant dire que seule une douche chaude pourrait les réchauffer. Il lui souriait en lui disant qu’après tout, il s’agissait du seul endroit où ils pouvaient avancer. Il lui avait murmuré cela doucement avant de venir se tourner vers la porte du musée. Elle manqua de l’en empêcher, mais elle devait reconnaitre que vivre cette aventure avec le Coréen était résolument attrayante. Elle se mordit la lèvre en le regardant faire. Celui-ci s’appliquait avec précaution. Il était beau. Shana n’avait de cesse de le détailler avec attention alors qu’elle s’efforçait d’assurer leurs arrières. Elle s’obligea à détourner son regard pour observer les alentours. Il n’y avait personne dans tous les cas. Aucun courageux ne semblait avoir décidé de les rejoindre. Elle était incapable de déterminer le temps qu’il s’écoula, mais Yong Woo semblait être parvenu à ouvrir la porte imposante du musée.

Il vint rire en lui souriant. Il lui demanda ce qu’elle pensait d’une petite visite guidée en privée et dans le noir comme elle l’avait demandé. N’était-ce pas magnifique ? Elle vint rire à son tour alors qu’elle venait lui voler un faible baiser. Enfin, le plus grand risque à présent était de se perdre, mais devait-il appeler cela ainsi ? Elle se mordit les lèvres à sa remarque. Le sourire ne quittait pas ses lèvres alors qu’il venait pénétrer dans le musée sur la pointe des pieds. Elle vint le suivre, ne prenant pas entièrement conscience de ce qu’ils faisaient. Elle se laissait portée par l’instant présent, ne réfléchissant nullement aux conséquences que leur action. Elle le suivit naturellement venant glisser ses bras autour de son torse alors qu’elle laissait sa poitrine se coller à son dos. Elle savoura le doux contact avec la chaleur de son corps. Elle se sentait toujours bien contre lui et ne désirait nullement rompre ce contact ô plaisant. Elle se mordait la lèvre, terriblement coquine alors qu’elle susurrait contre son oreille : « mm… Je pense que l’idéal est que je reste contre toi. Après tout, on ne sait pas sur quoi on va tomber et je préfère m’en remettre à mon protecteur préféré. Tu me sauverais si on se faisait attaquer par la horde de dinosaures du musée, n’est-ce pas ? » Elle avait lancé cette phrase dans un ton et une expression mignonne alors qu’elle le sentait rire doucement à ses mots. Elle le vit allumer sa baguette alors qu’ils avançaient dans le musée. Vide, l’endroit était résolument inquiétant. Ils entendaient que des bruits sourds, des raclements de gorges venant sans doute des divers tableaux que comptait le musée. Il avançait doucement, observant avec intérêt les différentes œuvres qui se présentaient à leur regard. Ils traversaient les salles, petit à petit, en silence. Certains tableaux rouspétaient sur leur passage, les priant de baiser leur baguette. Cela les faisait beaucoup rire, terriblement complice avec cet homme.

Seulement, ils finirent par atteindre une salle d’un genre totalement différent. La fameuse pièce où se trouvait abordée l’histoire préhistorique des sorciers. De cela, ils n’en prirent conscience que bien trop tard. Sans même être en mesure de comprendre réellement ce qu’il se passait, ils entendirent un grognement résolument fort s’extirper de la pénombre tandis qu’il sentait des pas lourds faire trembler le plancher sur lequel ils se tenaient. Ils comprirent rapidement ce qu’il se passait et inquiété par ce bruit, ils prirent la poudre d’escampette. Main dans la main, ils traversèrent de nouveau les dédales des salles sans chercher à identifier les lieux. Se guidant uniquement par la lueur de la baguette de Yong Woo, ils s’éloignèrent le plus rapidement possible de cette créature qu’ils supposaient être un dinosaure. C’est ainsi que leurs pas les menèrent dans une petite salle reculée où ils purent fermer la porte, s’y collant de tous leurs points, hors d’haleine. Elle pouvait sentir son cœur battre vivement dans sa poitrine tant l’adrénaline avait quintuplé ses sens. Elle vint rire spontanément alors qu’elle pouvait voir Yong Woo en faire de même. Elle se dirigea pour l’embrasser passionnément, profitant de cette adrénaline qui l’envahissait pour profiter de la chaleur des commissures de son compagnon. « Eh bien ! Que de péripéties en ce jour, Monsieur Park. Je crains de devoir vous récompenser pour tous les risques que vous prenez pour moi. » Elle riait contre ses lèvres, le regard brillant et résolument exalté par cette expérience qu’elle vivait avec lui. C’était si captivant et envoutant. Elle était heureuse de passer ce moment avec lui.

Yong Woo entra avec Shana dans le musée obscur et sombre, ou il ne distinguait que vaguement le marbre blanc au sol. Ayant allumé du bout de sa baguette un Lumos pour éclairer un peu leur pas en demandant à sa petite amie si elle voulait une visite guidée dans le noir, ce serait magnifique. Il lui semblait, il avait beau chuchoter cela, sa voix résonnait et se perdait dans le vide de la pièce. Il déposa un doux baiser sur ses lèvres. Il avait bien envie de profiter des couloirs et pièces vides de ce lieu immense et endormi en si charmante compagnie. Il se trouvait ravi d’être avec elle, là tenant une promesse qu’ils s’étaient faite de visiter ce lieu. L’effraction, le silence et l’obscurité qui régnait à l’intérieur du lieu désert avaient un effet grisant et enthousiasmant pour le jeune homme, amusé par la situation. Résolument taquin et coquin, il ne se préoccupait pas des conséquences, pas même celle sur son travail, il ne faisait rien de répréhensible autre que de vouloir profiter de ce lieu avec Shana. Elle se colla à lui dans son dos, il sentit le contact doux de sa poitrine qu’elle pressait contre lui et l’étreinte de ses bras, ses mains se posant sur son torse. Il vint les caresser en douceur tout en savourant ce contact avec elle. Elle murmura contre son oreille qu’elle pensait que l’idéal serait qu’elle reste contre lui. Après tout, ils ignoraient sur quoi il pourrait tomber et elle préférait s’en remettre à son protecteur préféré. Il la sauverait s’il se faisait attaquer par la horde de dinosaures du musée. Elle avait murmuré cela de façon amusée et attachante.

« — Bien sûr ! Princesse ! Je vous protégerais contre toutes les vilaines créatures du musée qui nous veulent du mal ! Rester derrière moi, je serais votre preux et fidèle serviteur. » Il rit gaiement, plaisantant tandis qu’il commençait à avancer vers l’intérieur du musée, vide, empli de bruit sourd, de petits ronflements, de raclements de gorge. Le couple avançait dans les différentes salles, prenant leur temps pour observer les œuvres, la multitude de tableaux qui recouvraient les murs du musée, admirant le travail des artistes bien que nombre des occupants étaient endormis, certain absent. Leur présence importuna certaines figures des tableaux qui, éveillés par leurs baguettes ronchonnaient après eux pour les prier d’éteindre celle-ci, faisant particulièrement rire le couple de visiteurs.

Ils entrèrent dans une nouvelle pièce, une qui semblait bien plus haute et grande tant que leur baguette ne leur permettait pas de l’éclairer entièrement. Ils n’eurent pas vraiment le temps de se poser la question sur ou il se trouvait, ni d’ailleurs d’apercevoir un immense squelette qui aurait pu leur indiqué qu’il avait trouvé les dinosaures. Il y eut un grognement dans le noir quasi complet, des pas lourds, comme s’ils avaient réveillé quelque chose et qu’elle venait vers eux. Le sol trembla, effrayé par ce qu’il pourrait rencontrer, il attrapa la main de Shana et ni une ni deux s’enfuit avec elle, tous deux courant à vive allure dans les allées du musée, retraversant les salles, filant sans même réfléchir à leur chemin, se perdant dans le dédale des salles pour trouver un refuge. Sans savoir comment, ils rejoignirent une petite pièce isolée où ils purent s’enfermer tous les deux ensemble. Une fois à l’intérieur, en sécurité, ils s’appuyèrent contre la porte, hors d’haleine pour la maintenir fermée et tenter de reprendre leur souffle. Bien vite, un éclat de rire s’expulsa des lèvres de Yong Woo, tout comme de celle de Shana. La petite frayeur qu’il venait de se faire embaumant et endiablant son cœur, qui battait encore à vive allure, et son esprit. Elle l’embrassa passionnément, le soulagement et l’amusement suite à cette aventure périlleuse se marquèrent sur leur lèvre en une douce passion. Elle vint dire qu’il leur arrivait que des péripéties en ce jour, elle craignait de devoir le récompenser pour tous les risques qu’il prenait pour elle.

Il rit doucement en venant l’embrasser, tout comme elle dévorer ses lèvres, s’alimentant de cette ambiance et cette peur qu’il vînt de se faire, l’humeur aventureuse et innovante, joyeuse qui s’installait entre eux deux. Le jeune homme sourit doucement tandis qu’il la tirait par le bras vers lui pour qu’elle vienne se placer devant lui, sa main se glissant sur sa hanche tandis que l‘autre gardait son bras dans sa main. Il glissa sa jambe entre les siennes pour murmurer à son oreille en riant.

« — N’est-ce pas mon devoir en tant que preux chevalier de prendre soin des demoiselles en détresse. Toutefois, je ne suis pas contre une petite récompense. Tu es bien attirante comme ton cœur s’endiable, je suis sûr que je n’y suis pas étranger. » Sa main glissa sur ses fesses, les caressant avec envie, ses lèvres dévorant celle de sa partenaire, tant amusée et grisée par cette situation, cette intimité qui s’installait entre eux. Il souleva une de ses fesses avec envie, venant la maintenir tout contre lui non sans une certaine force, sa jambe venant frôler sa petite culotte, il vint relever sa jambe, s’appuyant contre la porte pour la presser contre son entrejambe avec envie. Yong Woo l‘embrassa, lui mordillant doucement les lèvres, glissant vers sa mâchoire et son oreille. Il la désirait, plein d’émotion qu’il voulait partager avec elle.

Cette journée resterait sans aucun doute ancrée dans son esprit. Elle n’avait pas d’incertitude à ce sujet tant il était évident qu’elle vivait un moment parfaitement anecdotique avec cet homme. Un homme qui la faisait renaitre de ses cendres tel un Phoenix, qui lui donnait l’impression de redevenir celle qu’elle avait été par le passé. Tout semblait simple à ses côtés. Elle redécouvrait le plaisir des choses simples, le bonheur qui pouvait s’immiscer dans ses veines en partageant un moment de tendresse avec un autre. Yong Woo était ce dont elle avait besoin en ce moment. Il était cette étincelle qui avait fait brûler de nouveau cette flamme au creux de son cœur. Il la couvrait de cette douce félicité et elle se laissait totalement aller à cet amour naissant qui grandissait dans son cœur. Elle chérissait tous les instants en sa compagnie et celui-ci avait un gout particulièrement grisant. Ils avaient commis une véritable folie en pénétrant dans ses lieux par infraction. Le gout du risque aidant, tout en sachant qu’ils ne comptaient rien faire de mal en ces lieux, cela exacerbait l’adrénaline qui circulait dans leurs veines. D’autant plus après la course qu’ils venaient de mener pour s’éloigner au plus vite du dinosaure qui les avait pris en chasse.

Elle était venue l’embrasser, savourant la texture des commissures de son compagnon comme du souffle brûlant qui venait se joindre au sien. Dans la pénombre de la pièce, ce contact était d’autant plus plaisant tant l’adrénaline qui circulait dans leur corps était puissante. Elle n’avait pu s’empêcher de rire, le regard brillant et exalté par cette expérience qu’ils vivaient ensemble. Elle savait ce sentiment partagé. La seule source de lumière se trouvait être la baguette de Yong Woo, qui par sa faible lueur lui permettait d’admirer les fins traits de son petit ami. Celui-ci la dévorait du regard en venant l’embrasser. Tout comme elle l’avait fait précédemment, il dévora ses commissures avec enchantement et passion. Un baiser merveilleux auquel elle répondait avec joie, sentant le coréen sourire contre ses lèvres pour la tirer vers lui, la placer en face de lui. Elle se laissait faire sans omettre la moindre résistance, souriant charmée par cette action. Les mains de Yong Woo vinrent se glisser sur sa hanche pour la tenir contre lui. Elle entendit le bois de sa baguette frôler le sol dans un bruit sourd, les plongeant dans une pénombre totale. L’obscurité ambiante la fit sourire alors qu’elle sentait ses sens s’éveiller, devenir plus tactile.

Elle sentit cette jambe coquine s’immiscer entre ses cuisses. Elle savoura le contact brulant de son souffle contre son oreille comme le son de sa voix et de son rire. Il lui demandait si ce n’était pas son devoir en tant que preux chevalier de prendre soin des demoiselles en détresse. Elle souriait à ses mots alors qu’elle murmurait dans un ton espiègle et doux. « Tant que « les demoiselles en détresse » se résume à moi, ça me va. » Petite remarque espiègle alors qu’elle l’entendait dire qu’il n’était pas contre une petite récompense. Après tout, elle était bien attirante tant son cœur se trouvait endiablé dans sa poitrine. Il était persuadé de ne pas y être étranger. Elle se mordilla la lèvre, souriant résolument réceptive à l’attraction qu’elle avait pour cet homme. « Tu crois ? Ce n’est peut-être pas faux. » Susurra-t-elle alors qu’elle sentait les lèvres de Yong Woo s’emparer des siennes. Un baiser auquel elle répondit sans nulle honte, participant activement à celui-ci alors qu’elle mouvait ses doigts contre le torse et la nuque de son amant. Elle pouvait sentir la fermeté de ses muscles sous ses doigts, tout comme cette main qui glisser sur ses fesses, les caressant avec envie. Elle sentit la poigne de son amant se renforcer contre l’une de ses fesses, la soulevant pour la maintenir contre lui avec force et cupidité. Elle souriait contre ses lèvres, sensible à cette action qui lui faisait comprendre qu’il avait envie d’elle.

Elle en avait tout autant le désir alors qu’elle se mordillait la lèvre. Elle sentait cette cuisse frôler sa petite culotte, se relever pour s’appuyer contre la porte, se presser contre son entrejambe avec ambition. Ce contact la troublait tout comme les mouvements que cet homme amorçait contre elle pour l’échauffer. Elle se laissa embrasser de nouveau, son amant mordillant doucement ses lèvres avec douceur et passion. Elle soupira doucement lorsqu’elle sentit les commissures du coréen glisser vers sa mâchoire, son oreille. C’était des contacts particulièrement exaltants qui éveillaient sa chair. Elle y était sensible et ne résistait nullement à ces derniers, s’y pliant de bonne grâce alors qu’elle venait faire de même sur lui. Elle laissait ses phalanges glissaient sur sa clavicule pour s’inviter sous le tissu de la chemise ample de son amant, frôler la texture de pull. Son autre menotte quant à elle s’immisça sous ce dernier pour frôler la chair de ses abdominaux finement dessinés. Elle les aimait ainsi. Ils étaient agréables au toucher et elle appréciait résolument les frôler, les dévorer de ses lèvres, éveiller ce cœur dans sa poitrine. Elle pouvait sentir les lèvres de Yong Woo mordiller son oreille, provoquant un léger frisson dans tout son corps.

Elle sentit sa poitrine se coller à son torse dans cette action, son fruit défendu s’éveillant face au contact pressant et coquin de cette cuisse qui se frotter délicieusement contre celui-ci. Elle soupira de bien-être contre son oreille, ses sens résolument plus sensibles qu’en accoutumé, exacerbés par l’adrénaline qui brûlait dans ses veines. Elle pouvait sentir son cœur battre promptement dans sa poitrine alors qu’elle sentait ses doigts glisser sur ses pectoraux pour les caresser au-dessus et en dessous du tissu, près de sa propre poitrine. Elle sentit la poigne de Yong Woo soulever de nouveau son bassin pour le coller plus fermement contre elle, la faisant délicieusement soupirer contre son oreille alors qu’elle susurrait dans un ton coquin. « Je crois que la demoiselle en détresse a besoin que son preux chevalier s’occupe et prend soin d’elle. Elle avoue qu’il est très doué pour cela et qu’elle a bien envie d’être choyée après une telle expérience. » Sa voix se trouvait suave alors qu’elle venait à son tour mordiller l’oreille de son amant dans une action coquine et désireuse. Elle avait envie de lui et n’avait nulle honte de le faire en ses lieux. Au contraire, l’adrénaline qui circulait dans ses veines décuplait ses sens et sa sensiblerie aux caresses de son amant.

Cette petite frayeur, cette adrénaline qui les avait parcourus et animée un instant de fuite avec Shana semblait avoir laissé place à une ambiance résolument chaude et coquine, comme si ces aventures avaient allumé un feu par sa présence. Il fallait dire que c’est très rapproché qu’ils avaient parcouru ce musée, serré l’un contre l’autre, éveillant l’esprit coquin de Yong Woo qui avait profité de ce contact avec cette si séduisante demoiselle. Shana savait éveillé ses sens et l’entrée par effraction au sein de ce musée l’amusait comme le faisait jouir d’un certain élan de confiance, d’énergie et de joie, réellement vivifiée par ces péripéties. Il savait que ça resterait comme une anecdote drôle qu’il pourrait raconter plus tard, qu’ils en riraient autant qu’il le faisait à présent, vraiment diverti et égayé par cette course au sein d’un lieu si paisible qu’était le musée. Cette peur bleue qui les marquerait, mais sans doute tairait il ce qu’il était en train de se passer dans cette pièce où il s’enfermait. Il avait laissé tomber sa baguette magique, plongeant la pièce et les amants dans le noir comme il l’avait serré contre elle. Il sentait son souffle chaud et profond contre le sien, sa poitrine légèrement rebondie et séduisante s’appuyer contre son torse. Le cœur de Shana battait fort que ce soit par essoufflement, par affolement ou comme il vint le prétendre, lié à sa présence. Supposition que la jeune femme ne nia pas totalement de sa voix douce et riante murmurée.

Ils s’embrassèrent avec passion, elle répondait à son action sans la moindre gêne, il la sentait tout aussi ravie que lui de retrouver ces lèvres féminines qui agitaient tant son rythme cardiaque. Il sentait ses doigts fins sur son torse, la caresse de sa menotte dévoilant son envie tout comme il venait le faire en la soulevant légèrement, sa main portant fermement ses fesses délicieuses contre lui avec une certaine avidité pour ce corps délicieux qu’elle avait. Il aimait ses formes, ses courbes si féminines qu’elle portait parfaitement. Sa main se plaisait à parcourir la rondeur de ce fessier musclé même si cela lui donnait un air coquin qu’il ne pouvait renier. Son cœur s’enflammait de ce désir pour cette demoiselle qui l’avait échauffé bien plus tôt avec son porte-jarretelle si aguicheuse.

Il avait envie d’elle et ne se privait nullement de lui faire comprendre au travers de ses gestes. Cette jambe qu’il avait relevée contre son intimité venait avouer son ambition. Il l’échauffait sans complexe, l’embrassant encore une fois pour gouter la saveur de ses lèvres, comme ses mains et ses cuisses profitaient du contact de ses formes et du trouble qu’il savait provoquer en elle non sans une certaine fierté. Quand gouter ses lèvres ne suffit plus à l’abreuver du gout de cette peau sucrée et savoureuse, le jeune homme laissa glisser ses lèvres sur sa mâchoire et son oreille en de légers baisers. C’est avec joie et un infime trouble gourmand qu’il sentit les doigts de la demoiselle s’immiscer sous son pull pour frôler sa peau. Ses mains chaudes procuraient un bien-être légèrement empli de frisson. Il sentit son être frémir sous les caresses tendres de Shana qui semblait aussi friande de ces sensations que lui-même.

Il expira de bien-être à ses caresses contre elle, sentant son émoi envahir depuis son organe vital l’ensemble de sa poitrine. Ce qui lui plaisait le plus était l’éveil qu’il sentait dans le corps de Shana, un éveil qui le rendait plus luxurieux tandis qu’il mordillait son oreille, la douce ouverture de ses cuisses sous l’action de la jambe de Yong Woo qui frôlait avec appétit celle-ci le réjouissait, tout comme ses soupirs entendus qui lui clamaient son bonheur, son bien-être contre son corps. Il la colla, serra à lui avec convoitise, prouvant une certaine fermeté pour la securisé et la maintenir contre lui. Il l’entendit une nouvelle fois soupirer comme elle venait lui répondre dans un ton coquin qu’elle pensait que la demoiselle en détresse avait besoin que son preux chevalier s’occupe et prenne soin d’elle. Il était doué pour cela et elle voulait être choyée après une telle expérience. Il la sentit mordiller son oreille, un geste résolument coquin qui stimulait amplement ses sens et son âme tout comme ses paroles coquines savaient le faire. L’excitation coulait dans ses veines et il se transformait en un intense désir pour le corps de sa petite amie. Il exprimait sans honte ce désir.

« — Si c’est ma princesse qui me l’ordonne, le preux chevalier que je suis ne peut, que répondre à cette demande » assura-t’il à Shana. Il ne désirait nullement se retirer et s’enflammait de venir la posséder en ce lieu, animé par cette luxure qu’il ne niait aucunement et ne chassait pas. Il laissa ses mains glisser avec envie sur ces cuisses musclées et arrondies. Il était revenu chercher sous le tissu pailleté de sa robe, la forme séduisante du sous-vêtement féminin qu’il caressa avec désir, résolument impatient de découvrir ses jambes seulement habillées de celui-ci et ce même dans cette obscurité auquel il commençait à peine à s’habituer, ses mains l’informaient des formes sensuelles de Shana et il voulait connaitre la texture de cette peau ferme dans le damier velouté du porte-jarretelle. Il se laissait mordiller l’oreille, conquis par ces actions qui éveillaient ses sens et petit à petit il glissa ses lèvres vers sa nuque et son cou. Une de des deux mains s’en fut à la recherche de la fermeture éclair sur le coté de la robe de sa petite amie qu’il défit sans se poser de questions. Aussitôt il passa ses doigts au bas de la robe pour la relever, en profitant pour parcourir les formes délicieuses des cuisses, des hanches des eux côté de son corps, caressant ses tranches avec envie tout en dévoilant peu à peu sa peau à ses mains, lentement, mais de plus en plus haut, rencontrant son soutien-gorge, l’incitant muettement à soulever ses bras pour lui ôter le vêtement entièrement de son corps. Il fit tomber le vêtement par terre tout en sentant l’air frais déplacé par les longs cheveux de Shana retombant dans son dos frôler son visage. Il sourit tendrement en la resserrant contre lui, ses mains retournant parcourir ses formes en sens inverse avec toujours autant de désir, il retourna embrasser ses lèvres, se sentant bien dépendant de cette demoiselle qu’il serrait contre lui.

Elle se laissait délicieusement dévorer par son ambition. Il était difficile de résister à l’aura d’un homme qui savait si bien éveiller ses sens. Elle n’avait nulle envie de le faire, n’ayant aucune honte à se laisser tenter dans ce lieu insolite. Au contraire le côté incongru de cet instant volé, n’avait de cesse d’accroitre son désir, exacerbé par l’adrénaline qui coulait dans ses veines. Il faut dire qu’il l’aidait à se laisser aller à ses côtés. Il n’avait de cesse de l’échauffer, jouant de tout son pouvoir de séduction pour éveiller sa chair. Il y parvenait parfaitement et cela ne lui déplaisait nullement, bien au contraire ! Elle lui mordillait l’oreille en laissant son souffle brulant frôler, taquiner son oreille. Elle le sentait tout aussi ambitieux qu’elle pouvait l’être. Sans doute l’était-il encore plus ? Elle en était persuadée. Il était celui qui la tentait avec tant d’insistance, elle ne faisait que succomber à son appel muet, ses taquineries, même si elle avait été celle qui lui avait volé le premier baiser. Elle se prenait donc au jeu, savourant l’aisance avec laquelle il allumait le feu en elle. Elle sentait que ses actions sur lui avaient le même effet et s’en excitait tant elle appréciait ce souffle chaud se fendre sur son oreille. Il lui susurra des mots coquins, prenant la suite logique de ce doux jeu qu’ils avaient initié entre eux. Il ne pouvait que répondre favorablement à cette demande si elle le lui ordonnait. Shana sourit à ces mots, sentant les doigts de son amant glisser avec envie sur ses cuisses musclées et fermes. Elle se laissait faire captive et désireuse d’être la proie de ses attentions. Elle laissait ses doigts glisser sur le torse de son amant avec sensualité, mais appétit. Il lui donnait envie de le sentir nu contre sa peau, embrasait par la même chaleur qui l’envahissait. Elle se mordilla de nouveau la lèvre inférieure en inspirant fortement au contact des phalanges du Coréen contre ses fesses.

Elle lui mordilla de nouveau l’oreille dans une expression coquine qu’il ne pouvait voir bien évidemment. Elle avait envie qu’il cède, qu’il la déshabille, lui donnant la possibilité de retrouver la chaleur de son corps contre le sien. Il était tout aussi sensible qu’elle ne pouvait l’être. Elle sentit les lèvres de l’auror glisser contre sa nuque, son cou. Une de ses mains vint glisser contre ses hanches à la recherche de la fermeture éclair de sa robe, la défaisant sans se poser la moindre question. Elle le sentait impatient et désireux alors qu’il glissait ses doigts sous sa robe pour le relever, en profitant pour parcourir ses formes. Il prenait son temps, effectuant cette action en toute sensualité pour éveiller ses sens, sa chair. Il y parvenait totalement et Shana savourait ses caresses en souriant, conquise et sensible à l’action de son amant. Elle se trouvait bien contre lui, sa chair frissonnant sous les passages cocasses et sensuels de son amant. Il vint rapidement la dévêtir, laissant l’air frais ambiant frapper sa chair. Seulement cela n’avait aucun effet sur sa chair puisque celle-ci se trouvait brûlante, captive de cette chaleur qu’il provoquait dans ses entrailles. Elle se laissait faire en souriant, ne disant mot, savourant simplement la texture de ces menottes contre sa peau. Elle sentit le tissu de sa robe s’échouer à leurs pieds avant qu’il ne vienne la serrer contre lui pour l’embrasser. L’Hispanique se laissa faire, répondant à son baiser avec sensualité. Elle souriait contre les lèvres de son amant, laissant ses doigts soulever d’autant plus le pull de celui-ci pour le caresser plus franchement. Elle sentait ses commissures dévorer les siennes dans des étreintes coquines et plaisantes. Elle avait envie de lui, mais avait le souhait de profiter de cet instant unique en sa compagnie.

Elle susurra son prénom dans une voix suave, laissant son souffle chaud frôler les lèvres du Coréen. Elle souriait contre celles-ci alors qu’elle laissait ses doigts glisser sur la peau pale de cet homme avec délicatesse et sensualité. « C’est vraiment injuste que je sois la seule à me retrouver si dénudée, ne penses-tu pas, mon preux chevalier ? Je vais devoir remédier à cela sur le champ… » Elle laissa ses mots en suspens, souriant d’autant plus à sa remarque alors qu’elle retirait ses mains de son haut, pour venir faire glisser sa chemise ample au sol. Elle l’embrassait délicatement, taquinant ses lèvres de sa langue et de ses dents, jouant avec elles en parfaite maitresse de séduction. Elle vint rire contre ses lèvres alors qu’elle venait glisser ses doigts de nouveau sous le tissu de son haut pour frôler ses hanches, le soulevant en caressant ses côtes avec la même ambition que celle qu’il avait mise en œuvre quelques minutes auparavant. Tout en finesse et sensualité, elle vint lui retirer son haut, le laissant torse nu sous son regard qu’elle ne pouvait pas admirer. Dans cette pénombre, c’est avec plaisir qu’elle laissa sa poitrine se coller de nouveau à son torse, laissant le tissu de son soutien gorger frôler, caresser les pectoraux au travers des baisers taquins et sensuels qu’elle lui volait. Elle laissa une de ses menottes glisser contre sa nuque pour approfondir son baiser et le maintenir contre ses lèvres. La poigne du jeune auror contre ses hanches se fit plus fort alors qu’elle sentait son cœur battre si follement dans sa poitrine. D’une main coquine, elle laissa ses phalanges glisser sur les reins de son amant, s’immiscer sous le tissu de son pantalon pour frôler le haut de ses fesses. La peau qu’elle touchait se trouvait délicieuse et chaude.

« Je constate que mon preux chevalier et tout aussi musclé que je l’escomptais, mais je dois reconnaitre que j’ai particulièrement froid à cet instant. Je suis presque nue et j’aurai besoin qu’il m’aide à me réchauffer. Je sais qu’il est très doué dans cet exercice… mais bien entendu, je saurai lui rendre la pareille. Après tout, il faut bien que je le remercie, ne penses-tu pas ? » En disant ses mots dans un ton particulière sensuel, elle avait laissa sa main glisser de sa nuque jusqu’à ses pectoraux, venant rejoindre ses abdominaux jusqu’à sa ceinture sur laquelle elle s’arrêta dans un fin sourire. Devait-elle lui retirer ou attendre qu’il le demande ? Elle devait reconnaitre qu’elle était curieuse. C’est pour cela qu’elle s’amusa juste à contourner la taille de son amant pour laisser sa main rejoindre sa comparse dans un geste taquin. Elle vint rire doucement contre son amant avant de l’embrasser, cruellement dépendante de ces commissures si délicieuses.

Yong Woo sentait la chaleur de sa peau sous ses doigts mêmes s’il ne pouvait apprécier de ses yeux le teint ambré et olivâtre qui lui plaisait tant. Il avait pu les dessiner de ses doigts quand il avait ôté sa robe. Ses mains les avaient esquissées à ses pupilles aveugles. Ne pas la voir était aussi grisant que quelque peu frustrant comme il aimait ses courbes délicieuses et arrondies de l’élégante Espagnole. Bien sûr, il les connaissait déjà très bien, n’ayant nulle satiété pour le corps féminin de Shana, pourtant le regard de cette femme l’enchantait, le dessin de ses formes l’émouvait, le troublait terriblement et il adorait y laisser son regard parcourir cette merveilleuse beauté qu’elle possédait et qui le rendait si faiblement masculin.

Le jeune amant toutefois amusé appréciait largement le contact de la demoiselle qui faisait battre son cœur avec frénésie, des restes de cette adrénaline qui l’avait empli. Il avait envie de cette demoiselle qu’il sentait contre lui, qu’il savait presque nue, il sentait la douceur de ses sous-vêtements dentelés contre lui, ça le chatouillait et l’enchantait. Il l’entendit susurrer son prénom, comprenant par ce simple murmure de l’effet qu’il provoquait sur la jeune femme. Son souffle chaud contre ses lèvres le fit frissonner de chaleur et d’entrain, se sentant irrésistiblement attiré par l’Hispanique dont l’odeur l’enivrait. Il la sentait sourire contre ses lèvres et venait y répondre, ses mains profitaient de sa nudité avec plaisir. Elle se plaignit de l’injustice dont elle se trouvait victime. En effet c’était bien inégal qu’elle soit la seule d’entre eux deux à se trouver si dénudée, elle devait remédier à cela sur le champ.

Il rit doucement à cette remarque sentant sa partenaire coquine et impatiente de le défaire de ses vêtements comme il l’avait fait un instant auparavant. Il reconnaissait bien là la jeune femme particulièrement malicieuse et séduisante dont il tombait peu à peu amoureux. Il sentit ses mains douces et légères frôler ses épaules et le tissu de sa chemise effleurer ses poils, le laissant frissonner comme celui-ci tombait par terre découvrant ses bras qui rencontrèrent l’air tiède de la pièce. Il sourit, les mains de son amoureuse avaient rejoint ses hanches, soulevant son t-shirt. Elle le faisait frémir, baigner dans une douce sensation chaleureuse aux contacts de ses doigts fins qui par un simple effleurement laissait leur marque sur sa peau, déposant une poussière d’étoiles dans leurs sillons. Elle était terriblement sensuelle et envoutante, il voulait se laisser porter par sa magie, par cette douce émotion qu’elle provoquait en lui par sa tendresse, sa volupté. Il la sentit retiré on haut délicatement, il se laissa faire avec bonheur, profitant de cette intimité contre ses lèvres, venant se séparer qu’un mini-instant que son visage échappe au vêtement pour se trouver torse nu. Il sentit la dentelle veloutée de son soutien-gorge s’appuyer contre ses pectoraux et comme il inspira fortement, sentit la pression de cette poitrine qu’il aimait tant.

Il reprit sa partenaire dans ses bras. Il l’embrassa avec plaisir, profitant de ses lèvres gourmande et délicieuse qui s’apposaient contre les siennes. Elles étaient délicieuses comme cette demoiselle qu’il serrait contre lui plus fortement pour la maintenir tout contre lui avec grand bonheur. Les menottes de Shana se dirigèrent vers se reins, le haut se ses fesses sous son pantalon, enchantant le jeune homme, excité par les caresses qu’elle lui procurait.

Elle constata que son preux chevalier était aussi musclé qu’elle l’escomptait, comme si elle pouvait en douté, elle connaissait déjà son corps et sa musculature bien assez, mais il se laissait prendre à ce jeu. Elle reconnut toutefois avoir particulièrement froid. Elle était presque nue et elle avait fort besoin qu’il l’aide à se réchauffer. Voilà une demande tout à fait coquine et envoutante à laquelle il se ferait un plaisir de répondre. Elle le savait doué dans cet exercice, mais elle lui rentrait bien évidemment la pareille. Elle devait bien le remercier, ne pensait-il pas. Il inspira fortement comme il sentait sa main sur son torse, inspirant fortement, le cœur battant contre l’Espagnole. Il sentit sa main rejoindre sa ceinture sans l’enlever, émoustillant l’esprit de Yong Woo.

« — Oh ! Je me ferais un plaisir de réchauffer le corps de ma princesse. Toutefois, il me semble que ce serait la moindre des choses qu’elle remercie son preux chevalier.J’avoue que c’était bien injuste que vous fussiez dévêtue la première. » Il l’embrassa doucement sa main glissa vers l’une des cuisses de la demoiselle qu’il caressa avec désir, massant le muscle de ses jambes plein de désir pour elle. Il parcourut le dessous de ses fesses, marquant cette rainure de ses doigts. Il tâta avec envie la fermeté de ses muscles, ses courbes ronde et délicieuse, frôlant sa petite culotte, agrippant doucement l’intérieur de sa cuisse, il s’approcha de son aine pour la frotter avec envie, titillant volontairement les alentours de son intimité sans la toucher. Yong Woo embrassa les lèvres de la demoiselle avec passion, reprenant ces lèvres pulpeuses qu’il trouvait si envoûtantes.

« — Je me ferais un plaisir de te réchauffer, ma princesse ! » dit-il d’un air coquin en déplaçant sa main entreprenante pour la presser sur son entrejambe avec désir et envie. Il souffla contre ses lèvres, respirant sa douce odeur féminine et sucrée avec bonheur et envie.

« — Je suis déjà brulant pour toi, je me dois bien de partager celle-ci avec ton corps. Aussi je compte bien sur toi pour commencer par me déshabiller, entièrement !» assura-t’il en frottant sa jambe entre les siennes, désireux de sentir la douceur de ces gambettes avec ses propres membres inférieurs. Il voulait sentir l’entièreté de son corps contre le sien, il en mourrait d’envie, une envie qui le faisait se sentir un peu à l’étroit dans son pantalon. Il voulait se trouver nu pour la réchauffer entièrement.

Tout était si simple avec cet homme. Passer du temps en sa compagnie était une véritable oasis dans la vie de l’Hispanique. Il faut dire que le Coréen était un homme merveilleux. Elle était sous le charme de cet homme au sourire ravageur, calme et doux. C’était si facile de lui parler, de s’ouvrir avec lui. Elle avait une magnifique complicité avec lui et cela rendait son cœur si joyeux, empli de cette affection qu’elle n’avait de cesse de lui témoigner. Il lui redonnait gout à l’amour, l’envie de croire à un futur meilleur pour elle. Elle se laissait donc portée à ses côtés, laissant son cœur et ses sens s’exprimer sans aucune retenue. Elle retrouvait avec lui, la Shana qu’elle avait cru perdre à jamais. C’était si merveilleux d’être elle-même avec lui. Il ne lui imposait aucune limite, la comprenait plus que personne. Il était celui qui rendait son cœur si euphorique et vivant au creux de sa poitrine. Elle aimait tant la félicité qui l’habitait avec lui, tout en sachant qu’elle était réciproque. Que pouvait-elle demander de plus que cela ? Elle profitait donc de l’instant présent, laissant ses sens prendre possession de son échine comme de ce désir qui s’immisçait insidieusement dans ses veines. Elle aimait le contact avec ce corps, l’odeur qui s’en dégager tout comme la chaleur de sa peau contre la sienne. Elle laissait sa poitrine se coller à ce torse qu’elle avait dévêtu, qu’elle avait hâte de retrouver à même la peau. Ce n’était qu’une question de minutes. Elle le savait, en avait cruellement conscience, mais cette douce frustration mêlée à cette envoutante impatience avait un pouvoir merveilleux sur elle. Elle jouait avec lui, le sentant tout aussi frustré et impatient de retrouver le contact de sa chair. Elle le taquinait en venant glisser ses phalanges féminines sur la bordure de sa ceinture. Elle avait envie de la lui retirer, mais elle résistait, coquine et cruellement enchantée par l’idée qu’il la prie de la faire.

Yong Woo devait bien voir son manège. Il commençait à connaitre l’esprit taquin et joueur de la belle Espagnole qui adorait joué avec la tension qui pouvait régner entre leurs deux corps. Elle aimait l’ambiance cocasse qui régnait dans leur jeu coquin. C’était une véritable ode à la vie qui savait tant frétiller ses sens. Elle le sentait dans tous les cas réactif, attiré par cette tension qui régnait entre eux. Il s’exclama avec étonnement de sa proposition. Elle pouvait entendre au son de sa voix qu’il se trouvait tout aussi amusé qu’elle ne pouvait l’être. Il lui murmura qu’il se ferait un plaisir de réchauffer le corps de sa princesse. Toutefois, il lui semblait que c’était la moindre des choses qu’elle remercie son preux chevalier. Il devait reconnaitre que c’était bien injuste qu’elle fût la première dévêtue. Elle souriait, le regard brillant de malice, quand bien même son petit ami ne pouvait le voir. Elle se laissa embrasser, répondant au doux baiser de son amant alors qu’elle sentait l’une des mains du jeune homme glisser vers l’une de ses cuisses. Il la caressa avec désir, massant le muscle de ses jambes avec attention pour rejoindre le bas de ses fesses en marquant la rainure de ses doigts. Il la tâtait avec délice, éveillant de merveilleux frisons dans son échine tant sa chair se trouvait sensible à ses actions. Elle continuait de caresser ses fesses, savourant leur texture tout comme leur douceur. Il prenait soin à éveiller ses sens, son excitation par ses caresses frivoles et stratégiquement réalisées pour la frustrer. Elle en avait parfaitement conscience et ne pouvait s’empêcher de sourire contre ses merveilleuses lèvres qui n’avaient de cesse de venir baigner les siennes.

Dans une voix coquine et résolument suave, il lui murmura qu’il allait se faire un plaisir de la réchauffer. Pour appuyer ses propos, il laissa le bout de ses doigts retrouver le tissu de sa culotte en dentelle noire, les pressant contre son intimité avec ambition. Elle souffla fortement, prise de court par cette action sexy de son amant, enivrée par le souffle tout aussi brûlant de son partenaire. Elle se mordit les lèvres, sentant les coquines phalanges de son amant se presser contre le tissu de son sous-vêtement. Il lui avouait qu’il était déjà brûlant pour elle et qu’il se devait bien de partager cette chaleur avec son corps. De ce fait, il comptait bien entendu sur elle pour commencer par le déshabiller entièrement. Un message plus qu’évocateur tandis qu’il venait frotter sa jambe contre les siennes, sa main continuant de frôler son intimité au travers du tissu. Elle se mordillait les lèvres, sa respiration se faisant plus fort. « Je crois qu’il est de mon devoir de m’occuper de toi, dans ses conditions… Après tout, tu es celui qui va avoir l’obligeance de me réchauffer. Je me dois de t’aider dans ta mission, je suppose… » Elle souriait contre ses lèvres, son souffle se faisant brûlant grâce aux coquineries de son amant contre ses jambes et son intimité. Elle inspira profondément, le cœur fou dans sa poitrine. Elle laissa ses phalanges contourner la bordure de la ceinture de son compagnon. Son sourire ne quittait pas ses lèvres alors qu’elle s’enivrait de la chaleureuse aura de son amant donc elle s’appliquait à lui desserrer la ceinture pour ouvrir son pantalon.

D’humeur taquine, elle laissa ses phalanges s’immiscer dans le tissu pour frôler son intimité. Elle se mordit les lèvres, la sentant particulièrement éveillée dans ce sous-vêtement dans lequel il devait être bien à l’étroit. Elle le caressa donc quelques instants afin de s’assurer de l’émoi de son amant. Dans la pénombre, seul son souffle trahissait sa fébrilité tout comme ses doigts qu’il pressait plus fermement contre son intimité, la frottant avec sensualité. « En effet, tu m’as l’air fort brûlant… j’ai très envie que tu me réchauffes avec ton corps. » Paroles coquines qui eurent l’effet de la faire sourire contre ses lèvres qu’elle vint embrasser de nouveau. Elle laissa ses commissures retrouver ses comparses, s’y mêlant avec sensualité alors qu’elle laissait échapper un léger soupir. De ses mains expertes et sensuelles, elle fit glisser le pantalon de son compagnon au sol, profitant par la même occasion pour en faire de même avec son boxer. Pourquoi le faire languir davantage alors qu’il était tout aussi possible de le rendre fou en ayant un avantage sur lui ? Elle souriait de façon coquine à cette pensée alors qu’elle venait glisser sa main contre son intimité pour la caresser, la guider entre ses cuisses. Elle se mordit les lèvres, rompant ce baiser pour venir glisser sa virilité contre son intimité au travers du tissu. Elle susurra le prénom de son amant dans une voix suave alors qu’elle ajoutait contre ses lèvres. « Je crois qu’en effet, tu sauras bien t’occuper de moi. Juste ce contact me rend chaude… et si tu venais faire de même avec moi, mon preux chevalier. J’ai très envie de bénéficier de tes bienfaits. » Elle lui mordillait les lèvres dans un sourire coquin. Elle avait hâte qu’il la déshabille pour lui faire l’amour. Elle en mourrait d’envie.[/justify]

Il pressait ses doigts contre son intimité avec envie, brulant de connaitre son corps qui l’envoutait, exciter par l’amusement, l’adrénaline, la passion qu’il pouvait éprouvé pour cette demoiselle. Le petit jeu qui s’était installé entre eux était délicieux. Il se sentait envahi de cette extasiant frénésie qu’elle savait faire jaillir dans son âme. Il désirait tout autant la rendre chaude, brulante d’envie, de mouiller sur ses doigts qui frôlait cette partie avec envie et désir qu’il ne cachait nullement à sa petite amie. Il sentait qu’elle le rendait particulièrement brulant, il venait le lui faire sentir avec fort intérêt. Il la sentait souffler fortement contre lui, résolument fébrile sous ses doigts. Il avait envie d’être sous son emprise, de se faire dévêtir par sa jolie partenaire. Il lui demandait ouvertement à ce qu’elle le déshabille et le rende fou comme elle savait si bien le faire. Elle se mordillait les lèvres sous son regard, leur souffle se mêlait à l’unisson.

Elle pensait qu’il était de son devoir de s’occuper de lui dans ses conditions. Il était celui qui allait avoir l’obligeance de le réchauffer. Il se devait de l’aider dans sa mission, il supposait. Elle souriait doucement, il semblait. Son souffle brulant contre sa peau qui l’embrassait, l’envoutant. Il continuait ses caresses avec envie contre son intimité tandis qu’il sentait ses douces phalanges contourner sa ceinture. Il sourit doucement, frémissant sous ses doigts avec envie. Il la sentait desserrer son pantalon pour son plus grand plaisir. son cœur battait promptement, son envie s’intensifiait dans ses doux contacts contre les cuisses de sa partenaire. Il avait hâte de se sentir plus libre. Il sentit la main de la jeune fille venir taquiner sa virilité en le faisant frissonner de bien être avec une douce gourmandise. Elle devait se rendre compte de son éveil, de son envie pour elle fulgurante qui l’habitait en son contact, en sa présence. Il se mordit la lèvre avec envie, le regard gourmand pour elle-même s’il n’était pas vraiment assuré qu’elle pouvait le voir. Son corps parlait pour lui par sa soif. Son corps l’était entièrement. Il apprécia grandement les caresses qu’elle commença à lui offrir, s’émouvant de son acte qui le rendait tout à fait fébrile. Il ne pouvait que s’en enorgueillir, s’en trouver bouleversé dans cette intimité qui le rendait de plus en plus fier. Son cœur battait fort et son corps se tendait, brulait pour elle. Il lui laissait sentir son souffle chaud, dans sa respiration de plus en plus profonde et rapide comme il se sentait pousser des ailes sous ses caresses délicieuses.

Elle lui dit qu’il avait l’air fort brûlant, elle avait vraiment envie qu’il la réchauffe de son corps. Il rit doucement comme il le désirait grandement aussi, il avançait vers cette luxure fulgurante. Il sentit ses lèvres venir l’embrasser de nouveau, des lèvres qu’il accueillit avec bien-être. Il se laissa faire, l’embrassant avec passion, désir et bonheur, aimant le gout de ces lèvres bienheureuses, câlines. Il profita de ce contact avec étreint, mais plus encore des caresses qu’elle lui procurait, soupirant contre ses commissures de bien-être. Il la sentit faire glisser et tomber au sol son boxer, libérant sa partie intime qui s’exposa à l’air libre, découvrant la fraîcheur extérieure aux chauds vêtements. Il se sentait quand même plus à l’aise et la chaleur de la main de Shana remplaça bientôt celle du boxer. Ça convenait tout à fait à son soldat qui s’érigeait avec fierté et impatience accueillie par le contact de cette main chaleureuse et enchanteresse. Il s’enthousiasmait de ces caresses auquel il se trouvait tout particulièrement fébrile, sensible, qui faisait naître en son corps, cette douce flamme de luxure.

Il embrassait la jeune fille tout en se laissant manipuler par la demoiselle qui glissa son honneur sur le tissu de sa petite culotte trempé. Lui glissa ses doigts autour de sa taille, venant caresser son postérieur en profitant de son action. Le contact était tout particulièrement plaisant et excitant. Il soupira de bien-être, conquis par cette action, désirant tant rejoindre cette partie sans la barrière de coton. Il ne pouvait alors ignorer qu’elle le désirait tout autant, ce geste était comme un appel comme il pouvait constater combien son sous-vêtement était gorgé d’eau intime. Elle susurra son nom avant de lui assurer qu’elle pensait qu’il saurait s’occuper d’elle. Rien que ce contact la rendait chaude, tout comme elle avivait le feu du désir chez le jeune homme. Elle lui proposa de venir en faire de même avec elle, elle voulait bénéficier de ses bienfaits. Il rit en comprenant ce que la demoiselle réclamait. Yong Woo n’avait qu’attendu cette demande, cette supplication pour agir, sans quoi, il l’aurait déjà défait de ses derniers vêtements avec passion. Cependant la faire languir ne la rendait que plus coquine et quémandeuse, ce qui ne déplaisait nullement à l’auror.

Il glissa ses doigts sur la petite culotte de la demoiselle, remontant ses fesses, appuyant sur elle avec désir en lui faisant comprendre muettement de se laisser faire et plaçant ses deux mains sur chacune de ses belles rondeurs, il la porta légèrement pour se retourner et la placer contre le mur avec douceur. Ses mains lui ôtèrent cette petite culotte en la faisant glisser au sol, ses doigts s’immisçant un instant à la place de son intimité, sentant avec plaisir l’intimité émoustiller de sa compagne. Ses lèvres l’embrassèrent comme il se replaçait tout contre elle en venant glisser son intimité contre la sienne pour s’y frotter encore un peu, tartinant sa fierté d’une onction qu’il portait comme un trophée, un trophée avant l’assaut toutefois. Yong Woo laissa ses mains remonter doucement son corps vers sa taille, sa sublime poitrine qu’il caressa en douceur en lui mordillant doucement les lèvres, approfondissant chacun des contacts qu’il pouvait avoir avec elle pour illuminer son corps, son âme qui était si sensibles à celui de Shana, si épris de ces sensations qu’elle lui offrait. Il se frotta doucement contre elle dans de doux mouvements de bassin, ses doigts titillant une autre proie, fous de leur pointe irrésistible qui durcissaient sous leur joug. Il se sentait si vivant, si brûlant contre son corps. Il avait tant envie d’elle et de la connaitre une nouvelle fois entièrement, se nourrissant de sa peau, de son odeur et du son de sa respiration. C’était une passion fraîche et folle, endiablant pour son âme et il aimait cela.

Elle savourait cet instant insolite sans se poser de questions, ne cherchant nullement à le faire tant elle se trouvait sous le charme de cet homme. L’adrénaline apportait par le cadre de ce lieu était une douce drogue qui s’immisçait dans ses veines, venant accroitre l’effet naturel que cet homme avait sur elle. Comment pouvait-il en être autrement ? Privée de la vue, elle n’avait que le sens du toucher et de l’ouïe en action et tout ce qu’ils lui apportaient n’avait de cesse d’approfondir son trouble. Elle avait envie de lui, qu’il la possède entièrement pour atteindre ce paradis terrestre avec lui. Une ambition résolument commune puisqu’elle le sentait terriblement tendu et fébrile contre elle. Son petit soldat était solidement érigé contre le tissu moite de son dernier vêtement, seule barrière qui les empêchait de traverser cette fine frontière. Pourtant, ils savouraient tous les deux cet intermède, conscients de cette frustration qui s’immisçait dans les entrailles de l’autre. Elle l’entendait soupirer contre ses lèvres, les doigts avides de son amant caressaient son postérieur en venant participer aux mouvements de bassins qu’elle initiait pour se frôler à cet homme. Ce feu, l’embrasait, la rendait dingue de ce contact cocasse et un brin pervers. Les paroles qu’elle avait murmurées n’étaient pas sans reste. Elle le tentait insidieusement à poursuivre tout en continuant de profiter de ces bienfaits émoustillants et plaisants. Il semblait n’attendre que cela !

Ce qui était surement le cas puisqu’elle le sentit rire contre ses lèvres. Les mains masculines et chaudes du Coréen glissèrent sur sa petite culotte, remontant ses fesses pour appuyer dessus, l’obliger à venir coller son bassin au sien. Il lui intimait muettement de se laisser faire et elle n’avait nulle envie d’aller à l’encontre de son action. C’est donc dans un léger gémissement qu’elle le laissa la soulever doucement et placer contre le mur dans une action résolument envoutante. Elle pouvait sentir ses doigts lui retirer sa petite culotte en n’hésitant pas à venir tâter le terrain de son jardin secret. Celui-ci n’attendait plus que lui, résolument prêt à l’accueillir, savourer les élans de chaleur qu’il allait provoquer en son sein. Elle gémit contre ses lèvres, sensible à ce passage cocasse, mais désirable de son compagnon tant il se fit frivole. Elle était totalement sous son charme, sentant un léger frisson parcourir son échine lorsqu’elle sentit de nouveau cette fierté se glisser entre ses cuisses pour frôler à son tour l’entrée de sa féminité. Un contact merveilleux qui la fit de nouveau soupirer alors qu’elle l’entendait être tout aussi sensible, son souffle brûlant frôlant ses lèvres entre deux baisers. Ses doigts s’étaient glissés au creux des bras de cet homme, sentant les mains de celui-ci se mouvoir avec sensualité sur sa hanche. Elles vinrent rejoindre sa poitrine, épousant les courbes de ses seins pour les caresser, titiller d’autant plus son désir. Il y parvenait totalement, la faisant fondre sous ses caresses et oscillations de son bassin contre le sien.

Il la possédait sans le faire, guidant tel un maitre son désir, son appétence pour en faire la douce victime de ses bienfaits. Les mordillements de ses lèvres sur les siennes, le frôlement de son souffle tout aussi brulant et saccadé que le sien étaient une véritable addiction. Elle sentait son cœur frapper violemment dans sa poitrine alors qu’elle laissait ses phalanges se glisser au creux de la taille de cet homme. Elle frôlait sa peau, descendait la courbe sinueuse de ses reins pour atteindre ses fesses. Elle les caressant, sentant ses gémissements se faire plus pressant alors qu’elle sentait ce soldat s’humidifier ce contact humide. Elle semblait ravie de cela, n’ayant de cesse de se coller à ses lèvres intimes et gorgées de désir qui n’avaient qu’une hâte : profiter réellement de leur rencontre. Elle susurra son prénom dans une voix faible et envoutée. Elle était bien trop sensible à tous ses contacts qui venaient enflammer sa chair. Elle avait envie de lui, qu’il lui fasse l’amour, laissant ce soldat entrer dans le champ de combat qu’était son jardin secret. Il avait été assez bien préparé à cette bataille, il saurait la mener pleinement, avec fierté et entrain. « S’il te plait… » Souffla-t-elle contre ses lèvres dans un doux soupir alors qu’elle venait gonfler sa poitrine, épouser plus fermement la chair de ses doigts. Elle appuya sur les reins de son amant pour lui intimer muettement son ambition. Il ne pouvait pas l’ignorer. Il en avait tout autant envie qu’elle, n’est-ce pas ?

Elle le sentit sourire contre ses lèvres alors qu’elle venait s’emparer de ses commissures de nouveau. Elle le maintenait plus fermement contre elle, venant réaliser des oscillations du bassin pour le faire craquer, qu’un mouvement mal placé ne le contraigne à le faire. Elle gémissait contre sa bouche, sentant l’extrémité de cette fierté frôler son bouton de chair intime, se frottant contre lui tout en opérant de légères pénétrations. C’était électrisant et perturbant. Elle en avait le souffle coupé alors que leurs bassins continuaient à se frotter l’un à l’autre de façon moins innocente, cherchant à frustrer l’autre pour rentre la rencontre, la bataille plus somptueuse qu’ils comptaient mener contre ce paradis terrestre. Bien sûr, ils ne pourraient la gagner. Ils le savaient, mais n’était-ce pas si merveilleux de s’y préparer de façon coquine pour tenter de rendre cette défaite plus lente et pénétrante qu’auparavant. Elle avait cruellement chaud, il engendrait un tel foyer en elle. Elle le voulait. Elle désirait sentir cette fierté s’immiscer dans ses entrailles pour la rendre folle. « Je t’en prie, mon preux chevalier… » Susurra-t-elle contre ses lèvres alors qu’elle le sentait enfin pénétrer sa chair. Une rencontre qui lui fit perdre la tête, ses sens bien trop titiller pour pouvoir contenir ce gémissement rauque de se faire connaitre.

Elle savoura ce glissement humide dans sa féminité, trouvant celle-ci si merveilleuse tant elle sentait ce courant électrique traverser sa colonne vertébrale. C’était une sensation aphrodisiaque qu’elle savourait sans honte, aidant par une pression de ses doigts, ce bassin à rejoindre le sien, se coller à elle. Elle souffla son prénom en venant placer sa tête contre le murmure, susurrant tendrement : « Rends-moi folle, Yong Woo… » Un ordre qu’elle lui suppliait de suivre alors qu’elle griffait délicatement ses fesses. Elle voulait qu’il la possède entièrement, qu'il fasse d’elle une princesse comblée qui choisirait ce preux chevalier pour satisfaire toutes ses nuits de débauches. Après tout n’était pas le but d’un preux chevalier, que celui de séduire la princesse pour se l’accaparer ? Elle était persuadée qu’il saurait bien la traiter, n’attendant que cela.

Yong Woo était venu la dominer, s’amusant à un jeu coquin en venant se frotter contre elle, bouillonnant d’envie pour ce corps féminin et ô combien séduisant qu’il pouvait sentir contre lui comme il la bloquait contre la porte, son torse s’appuyant à sa poitrine ! Il y prenait grand plaisir quoiqu’il fut en même temps un peu frustré de ne pas atteindre les entrailles de sa petite amie. Il avait envie d’elle, il avait envie de la posséder et se retenait quelque peu de venir la prendre entièrement, se laissant prendre le temps d’attiser le feu en elle pour qu’elle réclame sa présence. En attendant il se laissait glisser contre l’intimité de la demoiselle, sentant sa virilité se tartiné de l’éviter de la demoiselle de plus en plus abondement. Il entendait son cœur contre le sien battre promptement à l’unisson. Ses doigts le caressaient en douceur, traçant ses fesses comme ils s’embrassaient passionnément, dévoraient les lèvres de leurs partenaires avec la même ardeur, en harmonie l’un avec l’autre. Il la savait sensible, de plus en plus soumise à ses caresses et ses avances. Elle le supplia contre ses lèvre et il savait son combat d’homme gagner, elle le voulait, sa respiration et ses gestes le prouvait tous assurément au jeune homme. Il le désirait aussi, elle ne pouvait l’ignorer, mais l’invitait de cette simple supplique à s’emparer d’elle entièrement, vaincue dans leur petit jeu. Il sourit doucement, amusé par la jeune femme, un peu conquis et fier aussi.

Elle l’embrassa en le maintenant contre elle, serrant ses reins en se frottant contre lui, bouchant son basin coquin tandis qu’il voyait clair dans son petit jeu. Elle l’appelait muettement, tentant profiter d’un moment de faiblesse, recherchant à se placer pour qu’il vienne en elle. Il rit doucement contre ses lèvres, gémissant d’envie quand elle parvint à ses fins et que le bout de sa fierté rencontra celle de la demoiselle, il se sentit partiellement entré en elle, légèrement pincée en son corps. L’étroite étreinte le fit gémir de bien être, avouant ainsi son désir qu’il partageait. Pourtant il n’approfondit nullement son immersion, mais repris les caresses qu’ils avaient initiées, se frustrant l’un et l’autre dans ses caresses si plaisantes. Les légères pénétrations électrisaient le corps de l’auror qui était extrêmement fébrile face à ses caresses ô sensuelles de la demoiselle.

Elle le pria une seconde fois, réclamant son preux chevalier. Il ne la fit pas attendre plus, bouillonnant d’envie de sentir le frôlement de ses entrailles. Il gémit face à elle, terriblement envouté par ce contact, endiablé par l’étroite caresse humide du corps de Shana. Il savourait ce contact comme il s’enfonçait en elle avec grand plaisir. Il sentit son corps frémir de bien être, électrisé par cette chaleur qu’elle lui procurait comme il entrait en elle. Il souriait amoureusement à la jeune femme, l’embrassa comme la jeune fille venait le coller à elle. Il se laisser faire, s’enfoncer un peu plus à son corps. Il l’entendit souffler son nom à ses lèvres en un doux murmure. Elle lui demanda de la rendre folle. Il ne demandait rien d’autre que cela, l’emporter dans les affres de l’amour et de la rendre dingue de passion, tout comme lui le souhaitait. Il se sentait sur ce chemin, vers les portes du paradis. Il la sentit le griffer légèrement, il s’en mordit les lèvres, émoustillé par ce mouvement. Il la colla un peu plus sur le mur, une de ses mains glissa sous sa cuisse pour les écarter et venir un peu plus en elle, approfondir le lien entre lui et Shana. Il venait la posséder avec passion, s’emprisonnant dans son corps, délicieusement envoûté et attiré en celui-ci. Il souffla contre les lèvres de sa petite amie, la respiration vive et brûlante.

« - Ma princesse ! Je ne peux refuser cette demande… Je veux t’embraser de mille feux. »

Le jeune homme caressa Shana avec passion, portant sa jambe à ses côtés. Il commença à former de léger mouvement de va et viens dans le corps de sa jolie princesse pour envoûter et la rendre de plus en plus faible, pour la mener vers un paradis. Aveugle l’un à l’autre, chaque respiration, chaudes caresses, chaque coup de bassin ébranlait son âme, terriblement, éveillait son corps à mille merveilles que la jeune femme illuminait en son corps, des sensations enchanteresses et sublimes qui bouleversait son âme. Il se sentait bruler de ce feu ardent qui démarrait de son bas ventre de plus en plus excité au contact étroit qui galvanisait son être. Il s’appuyait contre elle, pas trop fort, mais juste assez pour profiter des courbes de sa poitrine douces, de son ventre plat et ferme, de ses lèvres haletantes au rythme de leurs battements effréné. Il la voulait entièrement et accélérait doucement la cadence entre ses jambes pour se retrouver de plus en plus aisément coller contre elle comme leur amour devenait plus virulent, plus impatient.

Yong Woo s’enfonçait dans un rêve éveillé comme il venait le faire en elle, chaque instant contre elle, voyageant au cœur de ce corps étranger et délicieux lui offrait le plaisir et l’excitation des plus grandes aventures, un moment de partage inouï et intense qui le faisait complètement succombé. Il était dingue d’elle, le lui prouvait encore une fois ce soir, il voulait le faire, lui prouver son amour par ce qu’il y avait de plus masculin. Son bassin de plus en plus violent, si l’on pouvait dire, dénotait de la grande douceur de sa bouche sur la sienne, de sa main qui tenait simplement sa taille, la maintenant fermement, mais tendrement contre lui. Son regard, ses gémissements pouvaient témoigner la force de son émoi. Il en oubliait le lieu, la situation cocasse, tout. Il profitait juste de cet instant, ne sentait qu’elle, son monde se résumait à elle et il allait la faire femme, la combler. Il ne désirait nul autre dessein, que de la rendre folle à chacun de ses mouvements en elle qui se précipitait vers le grand final. Shana devait rejoindre le paradis avec lui.

Cet intermède coquin était exaltant. Elle sentait ses entrailles s’embraser face au foyer que provoquait cet homme en sa chair. Collée tout contre lui, elle sentait sa poitrine nue frôler le torse si chaud et bienveillant de cet homme. Il la recouvrait de tout son épiderme, engendrait tant de bien-être dans son corps et son âme. Elle lui était entièrement soumise tant elle appréciait cette chaleur. Elle adorait cet homme, la relation si douce et luxuriante qu’elle avait avec lui. Ils étaient sur la même longueur d’onde et la perfection de leur relation n’avait de cesse de lui redonner foi en l’amour. Elle avait cru cela impossible, mais cet homme par sa douceur, sa clémence et sa compréhension faisait naitre de l’espoir en elle. Elle se sentait si bien contre lui, mise à nue comme avec personne d’autre. Enfin si, deux seuls hommes étaient parvenus à pénétrer son âme aussi ardemment, mais à cet instant, elle n’y songeait point, profitant totalement de cet instant, qui la rendait si brulante et avide de contact avec cet homme fabuleux. Il était son preux chevalier et elle était toute disposée à devenir sa princesse. Cela avait un côté grisant, aventureux, d’autant plus dans la situation dans laquelle ils se trouvaient.

Elle dépassait tous les codes de bonne conduite avec lui. Totalement nue dans un musée où se trouvaient toutes les œuvres magiques de la ville, elle s’offrait à un véritable instant de luxure exfoliante et envoutante qu’elle ne pourrait pas revivre d’ici peu. Elle se sentait si émoustillée, embrasée par le feu qu’il avait instauré au creux de son jardin secret. Toute cette frustration, toute cette impatience qu’elle avait éprouvée à l’attente de le sentir en elle, ravivait intensément la braise qui somnolait en elle. Il la rendait si brulante, si sensible et désireuse. Elle n’avait aucun doute sur le bonheur que cette rencontre allait lui procurait. Il était si doué pour la faire chavirer totalement dans ces instants, lui offrant cette extase si envoutante et dont tout être devenait si dépendant. Elle avait envie, de le sentir en elle, lui offrir ces merveilleux frisons que seule la communion de leurs deux êtres pouvait lui procurait. Elle le savait tout aussi sensible, envouté, brulant qu’elle. Il frémissait de bien être, souriait tout contre ses commissures qu’il embrassait si ardemment. Tout en la serrant contre ce mur, si frais, mais incapable d’amoindrir la chaleur qui circulait dans ses veines, elle le sentait s’immiscer dans son jardin secret, créant un véritable raz-de-marée de frissons dans sa chair.

C’était si délicieux de lui appartenir, songeait-elle alors qu’elle sentait une des mains cocasses de son amant se glissant sous sa cuisse pour les écarter et s’immiscer plus profondément en elle. Elle adorait ce frôlement, sentant son corps s’offrir à cet homme, impatient d’être cueillir. Il faisait éclore la magnificence de sa féminité et la rendait si ivre de cet émoi qui l’étreignait. Elle était sa captive et adorait cette sensation, sentant ses doigts empoigner délicatement la peau qui se trouvait à sa merci. Elle le savait tout aussi brûlant, son souffle s’échouant contre ses lèvres tant elle sentait sa respiration vive. Il lui susurra qu’il ne pourrait refuser sa demande. Il allait embraser sa princesse de mille feux. Elle le croyait sur paroles, n’avait aucun doute sur la véracité de ses dires. Elle attendait cet instant avec impatience, se l’imaginant sans trop de mal, tant habitué à fondre de plaisir contre cet homme. Elle le sentit remonter sa jambe contre sa hanche pour lui permettre un meilleur angle de mouvement. Elle remarqua immédiatement la différence, sentant le bassin de son amant commencer à former de légers mouvements de bassins, qui la rendaient folle. Elle inspirait profondément, gémissant ce plaisir qu’il provoquait en elle. Elle brulait inévitablement tout contre cet homme, ses sens décuplaient par l’absence de sa vue.

Elle laissait son émoi grandir, grondait en elle face à cette chaleur incandescente qui la brulait si merveilleusement. Elle fondait littéralement à ce contact, ces baisers, ses caresses. Elle laissait ses doigts glisser contre le dos de cet homme, s’empoignant délicatement à cette peau lorsqu’il provoquait un frison de bonheur intense dans ses entrailles. Tout contre ses lèvres, elle ne camouflait nullement son plaisir, laissant ses plaintes s’exprimer, l’invitant insidieusement à poursuivre, la mener sur cette route si envoutante de ce paradis terrestre. Il lui tardait d’y accéder, de franchir avec lui, le bien-être merveilleux que cela pouvait procurer à un homme et une femme. Atteindre le septième ciel, cette plénitude et abandon total, n’était-ce pas ce que tout être recherché dans un tel échange. Il accélérait la cadence, devenant plus virulent et impatient, sans doute embrasait par le même feu qui ravageait ses entrailles, lui donnait si cruellement chaud contre lui. Elle sentait son souffle haletant, son cœur si endiablé dans sa poitrine, son ventre si sensible, parcourant par des milliers de papillons. Elle profitait pleinement des sensations qu’il provoquait en elle, la rendant si brulante et soumise. Elle laissa ses phalanges glisser contre la chevelure de son amant, se mêler alors qu’elle se sentait partir vers les méandres de ce paradis terrestre. Elle s’agrippa délicieusement à ses cheveux, gémissant profondément contre ces commissures qui dévoraient les siennes.

« Tu me rends folle… C’est si merveilleux… » Souffla-t-elle dans une voix étranglée par le plaisir alors qu’elle sentait son corps être pris de frissons de plus intenses. Il était tout aussi excité qu’elle ne puisse l’être, si ferme et tendu dans ses entrailles. Elle gémissait de plus en plus fortement, sentant ce moment d’abandon s’approcher à grands pas. Il l’effleurait si admirablement bien, lui faisait entrevoir sans pour autant lui ouvrir cet accès. Il était si doué pour cela, elle lui avouait par ces grognements incontrôlables. Elle n’en pouvait plus, le suppliait au travers de ces souffles brûlants de lui faire connaitre ce paroxysme dans son plus simple appareil. Il finit par lui offrir, lui portant le coup de grâce qui la fit geindre de plaisir contre lui, son corps se tendant de tout son être face au plaisir intense qu’il venait de lui procurait. Elle le sentit atteindre ce paradis à ses côtés, venant exploser dans ses entrailles, lui faisant connaitre une sensation qu’elle n’avait plus connue depuis des années. Elle prenait conscience qu’elle lui appartenait et cette pensée ne pouvait que la rendre fébrile. Elle haletait contre ses lèvres, venant déposer des centaines de baisers papillon sur ces commissures gonflées par tant de baisers.

Elle mit un temps conséquent à se remettre de ses émotions, ses doigts glissant contre les clavicules de son amant contre lequel elle souriait. « Je crois que la princesse a fait son choix… » Susurra-t-elle contre ses lèvres dans un fin sourire. Elle se mordit la lèvre, ajoutant : « Tu es officiellement son preux chevalier préféré. Tu as beaucoup de chance, ne penses-tu pas ? » Elle ria de nouveau venant l’embrasser tendrement alors qu’elle le sentait se retirer de ses entrailles pour la prendre dans ses bras, la couvrir de baisers. Elle se sentait bien contre lui, son corps lui procurant toute la chaleur dont elle avait besoin. Son cœur battait délicieusement dans sa poitrine. Elle se sentait bien. Terriblement bien.

Le corps de Shana était un merveilleux temple de plaisir, de luxure et de bonheur qu’il aimait illuminé, enflammer depuis l’intérieur. Il aimait la rendre folle, sentir sa peau frémir contre lui, sentir la tension dans ses mains qui entourait son corps, glissait sur lui avec embrassement comme elle perdait pied sous les assauts de son bassin qui se collait de plus en plus à elle. La cadence de ses mouvements semblait suivre le rythme de son cœur qui accélérait encore et encore avec envie, impatience et passion. Dans le noir qui l’empêchait de voir le regard perdu et flamboyant de la jeune femme, leur halètement et leur gémissement complétaient l’harmonie de ce ballet tactile et enivrant entre leurs deux corps liés l’un à l’autre. Il se sentait entré en transe dans cette fabuleuse danse, le cœur dévorer par les sentiments et le désir que la jeune femme provoquait en lui. Il sentait cette fougue se répandre jusqu’au bout de sa virilité, échauffé par ce contact en cette étroite porte qui lui laissait découvrir le plus beau secret de Shana. La il devenait brulant, la grimpait l’envie et la folie de ce contact dont il voulait encore s’enivrer toute en se trouvant de plus en plus impatient d’atteindre l’extase, l’apogée de leur union avec cette demoiselle qui murmura qu’elle le rendait folle. C’était si merveilleux. Les mots étaient coincés dans sa gorge qui ne pouvait que gémir de plaisir toutefois il était tout aussi émoustillé qu’elle, tout aussi dingue. Comme elle il frissonnait intensément de la sentir si fébrile comme il était si tendu en elle et que chacune des caresses pressait ce bien être. Ses entrailles en ébullition ne demandaient plus qu’à exploser, qu’à offrir cet instant de splendeur, ce feu d’artifice à sa petite amie. Il pouvait tenter de contrôler la durée du plaisir en ralentissant ses entrées et sortie des entrailles de Shana pour profiter de ces grognements érotiques, du corps sexy qu’il tenait sous son corps, l’homme arrivait au bout inéluctablement.

Alors dans un dernier effort, il entraina son abandon, sa libération à cette personne avec lequel il se sentait si bien et qu’il aimait faire atteindre le paradis. Il explosa en elle, laissant une partie de lui-même s’infiltrer dans son corps avec bonheur. C’était merveilleux, elle avait raison, c’était absolument divin de se trouver ainsi uni dans une parfaite communion charnelle et amoureuse. Elle l’embrassa doucement, en de doux baisers papillon. Il profita de ceux-ci, laissant son cœur reprendre contenance et calme, lui qui battait fort essoufflé par cet acte émotionnel. Il respirait avec profondeur tout en lui offrant de doux baisers sur les lèvres. Elle finit par lui avouer que la princesse avait fait son choix dans un doux murmure. Il eut une petite interjection intéressée par la nouvelle, toute prête à l’écouter. Elle lui dit qu’il était officiellement son preux chevalier préféré. Il avait beaucoup de chance, ne le pensait-il pas. Il sourit tendrement en l’entendant rire comment elle venait à nouveau l’embrasser. Il vint en ce baiser, se retirer de son corps, mais il ne se sentait pas moins proche, moins toucher par elle. Il était heureux des mots qu’elle était venue lui avouer comme il traduisait le bonheur d’être ensemble, un bonheur partagé. Il la sentait sienne, la voulait sienne et était ravi de lui appartenir et de lui offrir cette allégeance de preux chevalier à cette magnifique princesse.

« — Tu m’en vois absolument ravi, jolie princesse. Je saurais être un fidèle et dévoué chevalier au service de ma jolie princesse. » Il rit amoureux et tendre en venant embrasser tendrement la jeune femme sur les lèvres. Il se trouvait si bien avec elle et quelque part, même s’il plaisantait, il avait bien conscience que c’était là le sens de leur échange. Ils se donnaient l’un à l’autre, pas seulement par le corps comme il le faisait depuis longtemps, mais de façon plus spirituelle, et même s’il vivait ensemble, ce genre d’alliance ne s’était jamais vraiment affirmé dans leur discussion, car leur relation s’était établie si simplement. Mais il aimait cette jeune femme, il aimait sa compagnie et chaque instant qu’il passait à ses côtés égayait son âme. Il était vraiment bien, heureux avec elle. Il la garda ainsi un instant dans ses bras profitant de la présence de la jeune femme, respirant son odeur avec tendresse.

« — Ma princesse va prendre froid si l'on ne se rhabille pas, je serais confus que tu ne tombes malade en de telles circonstances. Que dirais-tu à tes collègues ma jolie Shana. » Il sourit tendrement et lui bidouilla le front et les lèvres avec une grande tendresse avant de la libérer de son emprise autour de son corps. Il se recula d’elle pour reprendre ses vêtements et il se rhabilla convenablement, heureux de cette petite aventure avec sa jolie princesse qui lui donnait vraiment à vivre des histoires extravagantes et amusantes avec cette jeune femme qui se trouvait être une vraie source de bonheur. Il était si bien avec cette jeune femme, il ne voulait rien changer à leur histoire et la poursuivre ainsi.

Sujet: Re: A night at the museum - PV Shana Alboran

» (fini) Pero tu sabes el corazon te lleva donde él quiere | Shana
» Shana Alboran # continue in his way, alone.
» Te necesito para seguir adelante | PV Shana Alboran
» Night life, flashing lights, keep the music booming she can move all night.
» (fini) Quand l'amertume et les regrets se heurtent à la réalité... [Fe Shana ]

A night at the museum - PV Shana Alboran

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