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 (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins

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Jane Jenkins
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Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 33
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeMar 4 Nov - 0:27


Cela faisait bien des années que Jane était sous le charme de cet homme. Noah était résolument une personne exceptionnelle et irremplaçable dans son cœur. Il était l’essence de la femme qu’elle était devenue. Tout ce qu’elle était, elle le lui devait. Il avait été celui qui l’avait rendue précieuse et inestimable. Il était celui qui l’avait mise sur un piédestal, qui lui avait montré la voie à suivre pour devenir une femme digne de lui et du plan qu’ils construisaient ensemble. Elle ne pouvait que se sentir glorifier d’être en mesure de l’ébranler tout autant qu’il avait ce pouvoir sur elle. C’était résolument merveilleux de le savoir charmé, désireux et passionné par sa personne. Elle adorait le rythme cardiaque de ce cœur qui tambourinait la poitrine de son amant. Il se trouvait tout aussi agité que le sien, tremblant, euphorique par cette ambiance chaleureuse qui les plongeait corps et âme dans une luxure dont eux seuls avaient le secret. Elle adorait et chérissait cet homme. Il était une véritable ode à la vie à ses yeux, qui n’avaient de cesse de dévorer ses traits si masculins et envoutants. Elle était prisonnière de cette passion, de cet amour qu’il avait acquis de son cœur. Celui-ci lui était totalement dévoué et n’avait de cesse de réclamer sa présence. Elle avait envie de lui, qu’il l’embrasse, la caresse, l’embrase de ce feu exfoliant qui savait si bien la flatter de ses bienfaits.

Elle se laissait délicieusement entrainée par cette ambition, cette sensualité qui animait chacune de leur action. Elle s’enivrait de son parfum masculin et subtil, si merveilleux à ses sens. Il lui arrivait parfois de penser à celui-ci lorsqu’elle avait envie de se tenir contre lui. Il portait le même parfum depuis des années. Un parfum qu’elle avait créé spécialement pour lui lors de sa sixième année et qu’elle lui avait offert afin de le féliciter pour avoir obtenu son diplôme d’enseignant et le poste de professeur de défense contre les forces du mal à Salem. Il l’avait apprécié immédiatement et ne semblait nullement insatisfait de recevoir un nouveau flacon à chacun de ses anniversaires, quand bien même c’était rarement le seul cadeau qu’il obtenait d’elle. Elle ne put que sourire à cette pensée, savourant la texture de ses commissures contre les siennes. Ses baisers se faisaient doux et passionnés. Leurs étreintes n’avaient que pour seul objectif : d’envouter l’autre. Ils y parvenaient totalement et cela n’avait de cesse de s’accroitre. Elle sentait sa peau, comme le sienne, être parcourue de merveilleux frissons. Elle sentit son organe vital battre fougueusement dans sa poitrine à la même cadence que celui de Noah. C’était si captivant, si exaltant également. Elle sentait son corps s’embraser au contact des mains masculines sur sa poitrine nue en dessous de son vêtement. Sa chair réagissait immédiatement, se parsemant de merveilleux frisons qui rendaient ses seins plus fermes et quémandeurs d’attention.

Elle le sentait gourmand, terriblement conquérant, ses mains recouvrant la peau de sa poitrine pour la caresser avec sensualité et avidité. Ce contact la rendait folle. Elle y était plus que sensible, ses sens étant exacerbés par cette chaleur qui l’envahissait totalement. Elle soupirait contre ses lèvres entre deux baisers. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, exalté par les titillements de ces doigts contre la pointe de ses boutons de chairs. Elle le savait tout aussi envouter qu’elle ne pouvait l’être. Ses phalanges féminines caressaient ce torse avec attention, sensualité, sentant les battements vifs de cet organe vital au creux de cette cage thoracique. Il expirait fortement contre son visage, son souffle tout aussi endiablé que pouvait l’être le sien. Elle se laissa guider par cet homme, l’aidant à lui retirer son débardeur pour lui offrir cette vue sur son buste qu’il semblait tant désirer. Elle adorait ce regard qu’il lui portait. Les iris bleus de cet homme perçaient sa chair. Elles se trouvaient pénétrantes et fébriles. Elle y lisait son désir, l’émoi qu’il ressentait face à ce corps qu’elle lui offrait. Elle adorait ce bien-être qui l’étreignait, cette fierté qu’elle éprouvait d’être l’objet de désir de cet homme. Cela était si salvateur, envoutant, pénétrant. Elle se sentait si comblée par cet homme. Elle sentait sa respiration se faire plus forte alors qu’elle sentait ses commissures rejoindre les siennes. Elle se laissa embrasser, laissant ses phalanges caresser son torse tout en profitant des bienfaits de ce contact.

Il semblait déterminé à la faire fondre. Il avait abandonné ses lèvres pour glisser ses commissures contre sa nuque, la couvrant de baisers aussi aériens que le toucher d’une plume. Jane frissonnait sous leur contact, à la fois impatiente et frustrée par cette lenteur avec laquelle il la couvrait de ses attentions. Il couvrait sa nuque de ses lèvres avant de descendre sur son col, sa clavicule. Ses baisers se voulaient passionnés et tendres, presque timides, mais cela suffisait à la troubler plus qu’elle ne l’était déjà. Elle se laissait emprisonner par ses lèvres, laissant ses doigts glisser contre les clavicules de cet homme pour les frôler, l’invitant insidieusement à poursuivre son traitement. Il semblait insatiable, terriblement gourmand et pourtant si coquin. Il descendait lentement avec espièglerie tant il semblait le faire de façon consciente dans le but de la rendre d’autant plus captive de son être. Il y parvenait terriblement et elle sentait sa poitrine s’impatienter de ses actions. Elle était clairvoyante sur les ambitions de Noah. Elle le connaissait, savait par cœur comment il agissait lorsqu’il désirait qu’elle se laisse aller à ses côtes. Il descendit à la rencontre de son décolleté, s’y arrêtant pour l’embrasser sensuellement et tout en lenteur. Il devait entendre le rythme effréné de son cœur et cela semblait le combler. Elle le présentait bien dans son arrêt, son action lorsqu’il était venu caresser sa ceinture, glisser sa main derrière son dos. Il l’attirait insidieusement contre lui, en laissant sa bouche glisser sur la courbe de sa poitrine.

Un contact électrisant qui la transcenda de toute part alors qu’elle se mordillait la lèvre face à la folie que cette action provoquait en son corps. Elle sentit sa poitrine se soulever, chercher le contact de ces commissures qui savourait la texture de ses formes. Elle laissa l’une de ses menottes glisser contre la nuque de Noah, la griffant délicieusement lorsqu’elle sentit ses tortionnaires mordiller son bouton de chair sans complexe. Dieu que cela la rendait folle, fébrile et quémandeuse. Le professeur avait tant de pouvoir sur elle, sur son cœur et son corps. Elle susurra son prénom, exerçant une pression sur le creux de sa nuque pour l’inviter à poursuivre. Il ne semblait avoir nullement besoin de cette invitation de sa part. Il poursuivait avec sensualité et passion. Elle sentait son cœur trembler dans sa poitrine alors qu’elle se laissait totalement chambouler par cette caresse qui éveillait cruellement son désir. Elle désirait le communiquer à son amant, éveiller également son ambition. Contrairement à leur première fois, elle ne désirait pas seulement en être la victime. Elle voulait également lui communiquer le plaisir qu’il instaurait insidieusement dans ses entrailles, embrasant d’un feu incommensurable son jardin secret qui commençait délicieusement à s’accaparer toutes ses pensées. Elle susurrait le prénom de son amant dans une voix suave, ses phalanges glissant dans sa chevelure pour l’inviter à poursuivre, sa poitrine, ses boutons de chair se satisfaisant de ces baisers et caresses coquins qu’il lui prodiguait. Son autre menotte quant à elle vint se mouvoir avec sensualité sur son torse, descendant avec lenteur sur la chute de ses reins, rejoignant la texture en cuir de son pantalon en toile.

Elle ne l’avait pas dévêtu de ses vêtements et devait donc les écarter sur son passage, savourer leur frôlement contre sa chair. Cela conférait une attitude débraillée à son amant qu’elle comptait d’autant plus renforcer. Tout en gémissant délicieusement contre l’oreille de son amant, ses phalanges s’agrippant délicieusement à sa chevelure, son autre main s’était affairée à desserrer sa ceinture pour s’inviter à l’intérieur. Elle n’avait nulle envie d’être la seule à profiter, il méritait également qu’elle s’occupe de son excitation et en juger par la fermeté qu’elle sentait sous le bout de ses phalanges, Noah semblait tout aussi envouté et fébrile qu’elle ne pouvait l’être. Cela la glorifiait de fierté, l’excitait également. Elle se mordillait la lèvre à cette pensée, son cœur implosant dans sa poitrine alors qu’elle laissait sa main s’inviter plus insidieusement dans le pantalon de son amant pour recouvrir de ses doigts, son intimité qu’elle ne se gêna pas à découvrir de nouveau dans des caresses tout aussi légères et passionnées que celles dont il la couvrait depuis ces dernières minutes et qui la rendaient dingue.
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Noah Worthington
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Nov - 23:55

Il aimait partager cette intimité avec Jane, rencontrer ses lèvres, serrer son corps contre le sien, sentir ses formes féminines frôler les siennes et s’enivrer de son odeur fraiche et de celle de son shampoing si fleuri. Il aimait le contact de sa peau nue et chaude qu’il sentait tendre et douce sous ses doigts quelque peu coquin. Ses lèvres se faisaient pure et échangeait avec sa belle compagne d’innocent baiser comme au premier soir, ce qui ne l’empêchait pas de profiter du gout sucré de sa partenaire et de pousser plus loin la découverte de son corps et de sa peau en laissant glisser sa bouche vers la nuque de Jane, venant déposer de tendres baisers sur ses pores. Il la touchait à peine, l’effleurait du bout des commissures. Il s’extasiait de sa lenteur qui rendait Jane si fébrile et frémissante à son contact comme si elle venait ainsi réclamer plus de ces attentions, comme s’il lui procurait un bien-être qui la frustrait et qu’elle quémandait le reste. C’était enchantant à observer pour le professeur qui n’accéléra pas pour autant sa descente vers sa clavicule, profitant des réactions de Jane. Il les ressentait avec plaisirs, se réjouissant de la rendre aussi soumise. Malgré la légèreté de ses baisers, il la sentait frissonnante sous ses lèvres. Lui prenait tant de plaisir à la rendre si émoustillée en humidifiant sa peau de ses lèvres, tout à fait gourmand. Il partait à la chasse de son décolleté, conscient que la jeune femme connaissait ses intentions à ce sujet.

Il caressait de ses lèvres cette peau claire, délicieuse, rencontrant le cœur battant de la demoiselle, le sentant palpiter avec force sous son effet. Il venait trouver cette poitrine nue, objet de son désir masculin qu’il sentait ferme sous ses lèvres, abreuvant ses lèvres de bien-être, succombant sous sa sensualité, en la serrant contre lui. Il eut un sourire, la sentant réagir si favorablement sous l’attention qu’il lui portait quand bien même son regard se trouvait plongé dans son décolleté, sur cette poitrine qui lui faisait tant d’effet. Il la sentait gourmande de ce contact, inspirant fortement pour chercher ses lèvres, leur contact qu’il se faisait un plaisir de coller à elle. Il sentait cette merveille embraser son corps de désir, terriblement attaché à cette poitrine délicieuse. Il entendit le son de sa voix susurrer son prénom apparemment épris de bien être, sentit sa main dans ses cheveux, l’invitant silencieusement à poursuivre ses baisers sur sa poitrine qui la faisait trembler de plaisir. Il y répondit avec un peu plus d’ardeur contre ces seins fermes. Son autre main le remplit de frisson doux comme elle descendait sous sa ceinture. Elle gémissait en douceur, débrayant l’homme qui se laissait faire avec bonheur en sentant ses phalanges caresser sa peau. Il avait l’impression qu’elle venait déclencher des fourmillements très agréables sous son passage qui répondait une grande chaleur dans son corps.

Il sentit une menotte féminine s’inviter contre sa ceinture pour la desserrer, s’invitant ensuite en son sein sans plus de commodité. Il inspira, se sentant soudain empli de bien être au contact divin de cette main qui venait le faire frémir. Ce toucher l’envoutait même si ce n’était qu’une pression sur son intimité affermit. Il sentait son désir pour elle se glisser dans ses veines. Elle le rendait dingue et magnifiquement bien entre ses doigts. Plus encore quand il sentit cette main glisser dans son boxer pour caresser son membre qui s’honorait de ce contact en se dressant fièrement, venant bruler son bas ventre de désir. Il se sentait si bien qu’il gémissait doucement le prénom de sa compagne avec une grande envie. Il n’en arrêtait pas moins ses baisers sur cette poitrine accueillante et désirable, y prenant un grand plaisir. Il se sentait habiter de chaleur, un foyer qu’elle avivait a chaque caresse avec tant de facilité. Il se trouvait bien sensible au pouvoir de Jane qui était vraiment la plus splendide. Il se sentait si bien avec elle, c’était simple et facile sans cesse, et surtout dans cette relation intime. Il la voulait encore et encore pour lui, et en quelque sorte, la fille qu’elle portait lui donnait cette opportunité de la faire enfin sienne, d’officialiser enfin cette relation si intime qu’ils possédaient ensemble et qui le rendait si heureux et bien.

Le professeur de défense contre les forces laissa ses mains caresser son ventre avec douceur et sensualité. Il profita de sa peau sous ses doigts, du contact doux de son corps, de ses abdominaux, de son nombril sur lequel il appuya doucement. Il contourna ses hanches pour caresser sa chute de rein, caresser son dos, sa chute de rein. Ses lèvres ne quittaient pas leur proie délicieuse. Il vint prendre ses petits tétons entre ses lèvres, entre ses dents pour les mordiller, la faire succomber de plaisir. Il laissa une de ses mains entourer sa taille et l’autre retourna sur le devant de son corps, il glissa sa fermeture éclaire et défit son bouton pour ouvrir son pantalon. Il glissa sa main dans l’ouverture avec envie et désir. Il vint appuyer sur son point sensible pour la titiller un peu, désirant cette partie qui le faisait rêver. Il embrassa sa poitrine avec tendresse, tentant d’humidifier cette petite culotte qu’il frottait contre l’intimité de Jane. Il lui mordillait ce bout de chaire avec envie, désir, ses doigts s’activaient pour brûler la demoiselle, désireuse de la rendre dingue d’envie. Elle le rendait dingue, elle-même de ses doigts contre son intimité. Il désirait cette partie qui se trouvait sous ses doigts, il avait tant envie d’elle, il brûlait complètement d’elle. Noah sentait son cœur battre promptement, de désir, un désir charnel et cruel qui s’emparait de lui vivement, qui empoisonnait ses veines. Son âme s’embrasait à son contact, elle était vraiment parfaite.

« — J’ai envie de toi, Jane ! »
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Jane Jenkins
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Nov - 20:18

Elle avait cruellement chaud sous les actions coquines et sensuelles de son amant. Un fait qu’elle ne pouvait nier, ressentant cette chaleur enivrer ses sens. Noah avait un tel pouvoir sur elle, sur son désir. Elle fondait littéralement sous ses caresses, ses baisers qu’il savait si bien la couvrir. Sa poitrine concentrée l’essentiel de son plaisir. Chaque baiser, contact entre les commissures de cet homme et sa chair provoquait de profonds frémissements dans son organisme. Elle était si sensible, si gourmande face à cet homme. Elle l’aimait, chérissait chaque moment d’égarement en sa compagnie. Il était le seul homme à pouvoir la rendre si dépendante, si désireuse de son corps. Il était véritablement un objet de fantasme, le seul qui lui permettait de s’évader dans ce plaisir pervers et intense qu’était la luxure. C’était un véritablement enchantement avec lui, grâce à lui. Aucun homme, pas même Joaquin, ne pouvait se vanter de la faire s’évader avec la même force, la même passion. Il embrasait sa chair comme aucun homme et elle était cruellement déterminée à se l’accaparer, lui partager l’émotion que ses attentions provoquaient en elle. Elle désirait qu’il soit tout aussi captivé qu’elle ne l’était de sa personne. Elle n’avait point de doute sur la question, mais se l’assurait avec un pouvoir particulièrement exaltant pour elle. Elle se trouvait satisfaite de le sentir réceptif, fébrile sous le contact de ses doigts. Sa fierté masculine l’honorait de ses bienfaits. Elle s’affermissait sous ses passages tendres et sensuels, intensifiant particulièrement le désir de cet homme qui venait susurrer son prénom dans des gémissements envoutants qui la rendait ivre d’ambition. Le feu en son sein n’avait de cesse de cloitre, s’intensifiant face aux caresses de cet homme. Son cœur palpitait furieusement dans sa poitrine, accompagnant celui de son compagnon qui n’avait rien à lui envier.

Elle se laissait guider par son ambition, laissant ses doigts flatter cette chair tendue qui obnubilait ses pensées, ses sens. Elle se trouvait totalement sous le charme, les actions cocasses et envoutantes de cet homme. Sa main dans la chevelure de son amant n’avait de cesse de poursuivre ses cajoleries, son autre menotte s’afférant à découvrir et échauffer cette partie si sensible de l’anatomie de cet homme. Son excitation faisait frémir ses sens, lui donnant cruellement faim de cet homme, qui semblait tout aussi ambitieux. Elle se mordillait la lèvre inférieure, son souffle se faisant court face à tant de cajoleries qui bouleversaient son être. Elle inspira profondément, sa poitrine se gonflant avec force contre les commissures de son amant au passage des mains de celui-ci contre son ventre. Ces passages se faisaient doux et sensuels. Elles découvraient de nouveau sa peau, assurant leur présence sur sa chair en s’y appuyant. Elle sentit ses dernières contournaient ses hanches pour caresser sa chute de rein, son dos. Il la rendait folle par ces actions. Elle soupira de plaisir, gémissant délicieusement lorsque les lèvres de son amant prirent en proie un de ses boutons de chair, le taquinant de sa langue et de ses dents. Elle succombait merveilleusement à cette chaleur, la pression de ses doigts se faisant plus intense sur son intimité. Elle le sentait tout aussi gourmand, ambitieux qu’elle ne pouvait l’être. Il la gardait prisonnière de ses actions, une de ses mains entourant sa taille tandis que l’autre venait rejoindre le devant de son corps. Ce menotte glissa contre sa fermeture éclair, la défit tout comme son bouton pour ouvrir le pantalon qu’elle portait. Elle avait conscience de l’ambition de son amant et son être s’en émoustilla d’impatience tant elle avait hâte de sentir ces doigts sur cette partie si sensible de son anatomie. Ceux-ci s’immiscèrent dans l’ouverture crée avec envie et désir. Ils appuyèrent sur son point sensible, la faisant frémir d’autant plus alors qu’elle se mordait la lèvre.

Elle succombait à cette caresse, sentant son jardin secret s’émoustiller, s’embraser par ce contact. Le contact de ses propres phalanges se fit plus insistant alors qu’elle le laissait faire, éveiller son ambition plus qu’elle ne l’était déjà. Elle sentait sa respiration se faire d’autant plus forte, saccadée par les actions envoutantes de son amant. Elle n’avait rien à lui envié. Elle le sentait tout aussi brulant, sensible et animé par la même ambition. Il la dévorait totalement. C’était merveilleux et enchanteur. Elle adorait cela, ce sentiment d’abandon qu’il initiait si aisément en sa chair. Elle lui était soumise, si cruellement attachée et dépendante de ses baisers et caresses. Elle s’enthousiasmait que cette dépendance était réciproque, qu’il avait tout autant envie d’elle, qu’elle n’avait envie de lui. Il n’avait de cesse de s’imposer à elle, frottant avec sensualité le tissu de son sous-vêtement contre son fruit défendu. Il pouvait admirer l’effet qu’il avait sur elle, l’émoi dans lequel ses actions la mettaient. Le tissu s’humidifiait grâce à la présence de ses phalanges qui lui donnaient cruellement faim. Elle avait de lui, qu’il ne la prenne, la fasse sienne comme il savait si bien le faire. Une ambition réciproque, qu’il lui avoua contre la chair d’un de ses seins. Elle ne pouvait prétendre le contraire. Tout son corps était brûlant, prêt à accueillir cet homme qui la faisait tant rêver. Sa poitrine était ferme et dont les pointes semblaient particulièrement éveillées, enchantées par les traitements qu’il lui avait administrés. Elle l’invita à rejoindre ses lèvres, sa main guidant son action alors qu’elle retrouvait la chaleur et la texture de ses commissures. Elle l’embrassa avec sensualité, sa main glissant contre sa nuque alors qu’elle s’invitait au creux de ces lèvres pour partager avec lui, l’émoi dans lequel elle se trouvait. Elle laissa sa langue retrouver sa comparse, se mêlant sensuellement à elle dans une danse enivrante qui la rendait incroyablement sensible aux caresses de son amant tout comme elle le sentait réceptif aux siennes.

Elle l’invita à se relever tout en poursuivant son baiser et ses caresses. Dans son action, elle soupira contre ses lèvres, sa menotte libre venant se glisser contre la clavicule de cet homme pour frôler ses pectoraux, son ventre, s’échouant contre la bordure de son pantalon entrouvert. Son autre main quant à elle vint s’éloigner de l’intimité de son amant, non sans une légère frustration pour celui-ci qui vint exprimer son mécontentement contre ses lèvres. Elle souriait, particulièrement ravie alors qu’elle venait faire glisser le pantalon de son amant à ses pieds avant de venir faire de même avec le sien. S’éloignant de ses lèvres à cet instant, elle se dévêtit de son vêtement, rompant de ce fait les frôlements de son amant contre son intimité. Elle souffla de frustration contre son visage, la respiration forte et fébrile. Elle se mordait les lèvres, le regard brillant, pétillant de désir. Elle s’éloigna de lui pour lui offrir la vision de son corps, faisant rouler le tissu de son pantalon sur ses hanches, ses cuisses pour rejoindre le sol. Elle se retrouva rapidement en simple sous-vêtement sous le regard profond de son amant. Elle le laissa profiter de la vue alors qu’elle venait faire de même avec sa belle culotte en dentelle. Celle-ci vint rapidement retrouver le sol, la laissant entièrement nue sous son regard. Elle se mordillait la lèvre, le souffle chaud alors qu’elle le fixait avec la même intensité que lui. Elle avait chaud et se trouvait en manque. Elle avait envie qu’il la touche, qu’il prenne possession de son corps. Une ambition qui semblait plus que commune alors qu’elle se rapprochait de nouveau de lui pour l’embrasser, mêler ses lèvres aux siennes. Elle colla son corps au sien, laissant sa poitrine retrouver la chair ferme de son torse, ses mains caressant les reins de cet homme. Elle colla son bassin au sien, laissant ses phalanges glisser sous le tissu du sous-vêtement de son amant, le faisant rouler sur leurs passages, libérant cette intimité excitée et tendue qui par cette action était venue frôler son intimité. Un contact fortuit qui la fit frissonner, gémir contre les commissures de son amant alors qu’elle susurrait dans une voix ô suave : « Prends-moi… J’ai envie de toi, Noah. Je te veux. »

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Noah Worthington
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Nov - 16:52

Noah avait terriblement envie d’elle, de son corps sublime qui se réchaufferait et s’humidifiait sous la pression de ses doigts contre son intimité tentatrice et envoutante. Il la désirait et n’hésita nullement à lui faire part de cette passion dévorante qui s’élevait en lui et l’enveloppait. Elle était sensuelle, sexy et il adorait cette femme, son jardin secret qu’il avait envie de redécouvrir une nouvelle fois son corps sublime et enchanteur. Il la sentait vraiment sensible à ses caresses et s’en délectait comme il profitait aussi merveilleusement du frôlement des doigts de sa partenaire contre sa virilité avec grand émoi. Il se sentait particulièrement émoustiller sous l’action de Jane qui venait affermir encore un peu plus cette partie si sensible qui gagnait en ambition pour ce corps féminin. Il brulait d’envie pour elle et la savait tout aussi chaleureuse, excitée que lui-même. Il le lisait dans son regard qui devait refléter le sien, son expression de bien-être qui devait être le miroir de son bonheur. Il savait ce plaisir, ce désir partager entre eux, l’effet qu’il se faisait quand il se voyait, s’embrassait tout deux et même s’il jouait avec innocence, tendresse. Il connaissait parfaitement la moindre de ses réactions envoutantes, il savait les animer, les stimuler avec un peu d’expertise. Jane se trouvait brulante, sa poitrine fulgurante et fière, pointant vers lui qui ne se lassait pas de la dévorer tout en lui avouant son désir. Avait-il besoin de le dire pour le faire connaitre ? Il semblait bien évident que son appétit pour elle était immense . Elle l’invita muettement à retourner à ses lèvres et le jeune homme se releva sans cesser ses caresses, mais délaissant sa poitrine chaude pour ses délicieuses commissures. Il revint l’embrasser avec grand bonheur, laissant sa bouche s’emparer de celle de sa partenaire, rencontrant à nouveau sa langue pour amorcer une danse sensuelle et magique. Il se sentait enchanté, envouté par cet échange charnel délicieux qu’il exécutait avec bien-être et bonheur.

Dans ce baiser, il sentit la main de Jane rejoindre sa clavicule, descendre vers ses pectoraux, caresser ses abdominaux et son ventre avant de se caler sur la bordure de son pantalon avec une douceur enchanteresse. Toutefois rapidement il eut un mouvement de frustration et une plainte comme elle retirait sa main de son intimité, la délaissant pour son plus grand regret même s’il devinait l’intention de son ancienne élève. Elle souriait doucement comme elle lui retirait son pantalon, le laissant en boxer sous son regard sans la moindre gêne. Il se tenait face à elle, fièrement dressé bien qu’encore à l’étroit comme il la vit amorcer un mouvement pour retirer son propre bas qui força Noah à abandonner momentanément ses caresses sur cette culotte trempée. Cet éloignement frustra la belle qui soupira, se dénudant sous le regard inquisiteur et intéressé de Noah qui la dévorait tout comme elle le faisait sur son intimité dévoilé dans son honneur. Elle s’était quelque peu reculer de lui pour qu’il profite de la vue et Noah ne se gêna nullement de le faire en admirant cette peau blanche qui se dévoilait à lui. Ses jambes étaient belles, musclées et ses courbes élégantes. Bientôt elle fit rouler sa culotte comme son pantalon, se révélant entièrement nue à Noah qui apprécia amplement le spectacle de sa nudité, ses yeux flamboyants d’envie. Elle l’observa alors avec sensualité, se mordillant les lèvres. Noah la désirait et ne pouvait la trouver que terriblement attirante. Elle retourna près de lui pour l’embrasser, un baiser auquel il répondit, ses bras l’entourant. Il la colla à lui, venant se frotter très légèrement contre son bassin comme elle caressait ses reins. C’est avec émoi et envie qu’il la sentit Jane descendre son boxer pour découvrir son membre tendu et empli de désir pour sa protégée. Il avait tant envie d’elle. Il l’entendit gémir doucement à la rencontre de leurs deux parties sensibles. Lui-même frissonna doucement de plaisir comme il finit son action de retirer son boxer pour se retrouver également nu pour son amante. Elle lui demanda de la prendre, elle avait envie de lui, elle le voulait. Noah sourit, désireux lui aussi et ravi de cet aveu de la demoiselle quoique bien peu surprenant à cet instant de leur relation, de son empressement.

L’envie en était bien partagé et il ne perdit pas un instant pour la serrer à lui, caressant son dos, il la plaça entre ses jambes pour la coller à lui. Ses lèvres s’en furent cueillir celles de sa partenaire tout. Il dirigea doucement sa fierté contre l’entrejambe de Jane, venant là se frôler à sa moiteur, de presser contre l’objet de son désir, se présentant ainsi à la porte du jardin secret en se laissant découvrir en de doux mouvements de reins. Il s’y frottait légèrement dans ce baiser langoureux, désirant encore multiplier son désir, son envie déjà tant présente. Il s’enduisait doucement de cette huile naturelle qui rendait leur frôlement intime de plus en plus facile, glissant et agréable pour le professeur qui sentait la chaleur se répandre depuis le bas de son ventre apportant bien-être et luxure. Il passa ses mains sous les fesses de la demoiselle, écartant ses jambes pour la soulever, la porter contre lui et de quelque pas l’entraina contre son bureau sans cesser nul baiser contre ses lèvres. Ainsi emmener à sa hauteur, il eut un sourire tout contre ses lèvres qu’il embrassa et des ses mains et caresses, quémanda muettement à ce qu’elle ouvre ses cuisses, à ce qu’elle lui laisse ce passage vers son corps et le bonheur, vers le bien-être de son intérieur dont il avait tant envie. Il sentait son cœur battre promptement et savait qu’il était temps d’entrer en elle. Il en mourrait d’envie, de retrouver sa chaleur. Aussi coupant leur baiser quelques instants pour profiter de sa réaction, pour observer son visage et pour laisser libre cours à l’expression de son propre plaisir, il entra en elle lentement,t, sa main guidant son intimité vers les portes du paradis avec ambition et bonheur. Il gémit de satisfaction en sentant l’étroite caresse envelopper son désir masculin. C’était si bon de revenir en elle.
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeSam 15 Nov - 0:31


Elle avait envie de lui. Ce désir lui taraudait les entrailles, la rendait si brûlante, si fébrile face au corps de son amant. Un homme qu’elle chérissait et qui l’envoutait savait si aisément jouer avec ses sens. Elle lui était entièrement soumise, désirant cruellement qu’il ne la serre de nouveau de ses bras, ne lui fasse vivre de nouveau cette plénitude incommensurable qu’elle ressentait de lui appartenir. Elle était dépendante de cette sensation comme de ce feu embrasant qui la rendait si cruellement à fleur de peau. Elle se laissait porter par ces merveilleuses sensations. La peau de Noah se trouvait toute aussi brulante que la sienne. Elle le savait tout aussi captivé qu’elle ne pouvait l’être de l’échange cocasse et furtif de leurs corps. Elle le lisait dans ses prunelles tout comme l’entrevoyait en entendant la respiration forte de Noah frôler la peau de son visage. Nue contre lui, elle sentait sa peau se mêler à la sienne avec sensualité et ambition. Elle avait envie qu’il la possède, qu’il mette fin à cette attente pénétrante qui provoquait tant d’émoi en elle. Le simple frôlement de son corps contre elle provoquait de violents courants électriques dans le sien. Elle adorait cela, y trouvait un attrait plus que merveilleux et elle désirait en être d’autant plus victime. Comment pouvait-elle résister à cet homme ? Il avait tous les atouts pour la rendre folle et n’hésitait pas à les mettre en pratique.

Il lui offrait son sourire ravageur, capturant toute l’attention de la future mère qui ne pouvait détourner le regard. Sa respiration se fit plus difficile alors qu’elle voyait ce visage se rapprocher du sien, son souffle se mêler au sien. Elle se laissa embrasser de nouveau. Les commissures de Noah vinrent cueillir les siennes avec sensualité et une pointe d’ambition. Elle inspira fortement, surprise et totalement chamboulée par le contact de cette intimité contre la sienne. Il jouait avec ses sens, ne les éveillant comme personne d’autre. Prisonnière de ce baiser, elle laissa ses doigts retrouver les biceps de son amant alors qu’elle le sentait glisser sa virilité contre ses cuisses, frôlant son jardin secret qui mourrait d’envie de le voir franchir ses portes. Elle le laissait faire, ses lèvres et sa gorge exprimant ce plaisir qu’elle éprouvait et qu’elle ne pouvait contenir. Elle sentait ses entrailles en ébullition. Elle s’impatientait de ce contact, sentant son fruit défendu devenir d’autant plus gourmand, avide de ce contact. Il n’était pas le seul à le devenir. Noah n’avait rien à lui envié tant ses baisers se firent plus passionnés, plus friands qu’auparavant. Les doigts du professeur se mouvaient avec sensualité sur son dos, rejoignant ses reins, ses fesses. Il la caressait avec sensualité, mais ambitieux. Il fit glisser ses menottes sous ses fesses, écartant ses jambes pour la soulever, l’inviter à prendre appui sur lui. Ce qu’elle ne se fit pas prier, laissant ses bras se nouer autour de la nuque de cet homme qui par cette action la rendait d’autant plus impatiente.

En femme charmée et captivée par l’action de son amant, elle se laissa conduire jusqu’au bureau de celui-ci où il vint la déposer. Elle se trouvait désormais à sa hauteur, pouvait admirer les traits embellis de cet homme par le désir qui le possédait également. Elle souriait contre ses lèvres, le regard complice et résolument envouté par la lueur des prunelles de son compagnon. Elle ne disait mot, profitait simplement de ces baisers qu’il venait lui voler avec cette pointe de passion qui la rendait dingue. Elle suivait ses suppliques muettes, ses cuisses s’ouvrant naturellement. Elle était prête à l’accueillir. Pire, elle s’impatientait de cet instant au point que son cœur battait violemment dans sa poitrine. Noah ne pouvait ignorer le rythme puissant de sa respiration tant sa poitrine venait frôler la chair de ses pectoraux et du tissu qui le recouvrait. Cela l’enivrait totalement. Il était si beau. Elle laissa ses doigts glisser contre les clavicules de son amant alors qu’elle le sentait rompre leur baiser, le souffle court. Elle l’observait avec attention, le regard brillant tandis qu’il venait guider sa virilité vers les portes de son jardin secret. Des portes qu’il entrouvrait avec aisance, ambition et bonheur. Elle gémit en harmonie avec son compagnon, sentant sa partie intime pénétrer sa chair sans trop de mal. Elle se mordait la lèvre sensuellement, sensible et incroyablement captivée par cette union. Elle n’avait point de mot pour qualifier ce qu’elle ressentait. C’était juste merveilleux et exaltant, totalement déroutant également. Elle susurra le prénom de son amant, sentant cette intimité s’engouffrer plus profondément en elle. Elle laissa ses lèvres glisser sur la mâchoire de son compagnon. Ses jambes quant à elles vinrent se nouer autour des reins pour intensifier d’autant plus la rencontre de leurs deux chairs.

« C’est si bon, Noah… » Avoua-t-elle dans un soupir profond contre son oreille, venant la mordiller. Elle laissa ses doigts se mouvoir sous le tissu de sa chemise et de son gilet, frôlant la peau brulante et attirante de son amant. Elle caresser cette chair avec sensualité, sa poitrine se collant fortement à son buste tant les légers mouvements qu’il opérait dans ses reins, provoquaient un véritable embrasement dans son cœur et son bassin. Ses boutons de chair se frôler à la texture de ses hauts débraillés, l’attirant particulièrement alors qu’elle l’invitait à poursuivre ses actions. Elle laissait ses gémissements s’extirper de ses lèvres alors qu’elle couvrait sa nuque de ses lèvres. Ses entrailles brûlaient d’un feu merveilleux qui la rendait cruellement réceptive aux actions de son amant. Il vint se mouvoir contre elle, amorçant un mouvement de bassin qui le fit mordiller sa nuque avec sensualité. Il ébranlait sa chair par ce contact et elle avait envie qu’il en soit de même pour lui. Elle laissait donc ses phalanges glisser sur sa peau, se collant à ses boutons de chairs qu’elle se plut à frôler, titiller avec sensualité et ambition. Elle pouvait sentir son souffle frôler sa nuque, l’invitant insidieusement à poursuivre ses traitements qu’elle ne manquait pas de le flatter. Tout en poursuivant ses baisers contre la peau de sa nuque, elle laissa ses doigts glisser sur les côtes de son compagnon, flattant ses reins jusqu’à venir s’immiscer contre ses reins. Elle murmura de nouveau son prénom contre sa pomme d’Adam qu’elle se plaisait à couvrir de ses lèvres. Elle avait envie qu’il ne la couvre de ses bienfaits, qu’il la rende dingue de ce contact qu’elle savourait si profondément avec lui. Dans une action coquine, elle fit mouvoir ses doigts contre les fesses fermes de son compagnon pour l’inviter à l’explorer plus profondément. Elle avait envie qu’il embrase d’autant plus le foyer qui grondait en elle. Elle aimait tant atteindre les portes du paradis terrestre en sa compagnie.« Rends-moi folle, Noah… Tu es si doué pour cela. »
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Nov - 22:12

Noah s'infiltra en elle comme il l'avait coincer sur son bureau, ne pouvant resister à l'appel de ce corps, à sa chaleur et à la profondeur de ses forme qui faisait tournoyer un feu de bien être en sa personne en venant bruler dans ses entrailles. Il aimait rejoindre ce corps sublime et féminin qui le troublait et le tourmentait de toute son ame. Il était tout simplement envouter par cette femme qu'il serrait contre lui, assise sur ce bureau, les cuisses écarté pour le laisser entrer en elle dans toute la puissance maculine qu'il se sentait posséder face au corps de Jane. Elle était si sensuelle, sexy dans cette position qui appelait à etre dévorer, soumise à l'envie de l'homme. Il aimait le corps de Jane et voulait le benir de sa présence, ne pouvait nullemnt se retenir de l'enflammer, de faire monter et la emperature et le plaisir de la demoiselle. Plus que tout il voulait la satisfaire, la faire jouir en accedant à ses côtés au bonheur du paradis en la dirigeant doucement comme si c'était leur première fois, la prendre par la main jusqu'au sommet ou ils pourraient s'enchanter, 'embraser de l'amour tut qui vivait entre eux. Il voulait tant partager l'ivresse qui vivait en lui quand il se trouvait dans son corps, lui transmettre ce feu qui l'habitait quand il déambulaut au creux de ses rein avec force et envie. Elle le rendait fou, ivre de cette ame qui deviendrait bientôt la mèrede son enfant, imposant un lien plus pressant encore entre eux que l'acte charnel auquel il se confrontait si frequemment et depuis quelques années. Mais il pouvait ce soir prendre pour la première fois la mère de son enfant, une nouvelle Jane qu'il venait redécouvrir dans l'intimité amoureuse qu'il partageaint si régulièrement. Il désirait voir cette fois devenir mémorable comme avait pu l'être leur première fois ensemble. Il savait que ce jour marquait un tournant décissif et il désirait ce corps que plus ardemment pour marquer la possession de ce corps splendide, ce corps qui le faisait fanasmer, qu'il possedait officieusement depuis quelques années.

Elle gémissait avec lui, en harmonie avec Noah, il l'entendait se plaindre de plaisir comme elle l'accueillait en son sein, l'emprisonné entre ses jambes. Il sentit ses lèvres glisser vers sa machoire dévorant après ses lèvres, son cou et sa barbe avec envie ce qui n'était pas sans impact sur le coeur du jeune homme. Il était tout à fait passionné, envouté par cette femme délicieuse qui avait un pouvoir si puissant sur son état, son envie. Elle avoua à son oreille que c'était si bon, laissant l'homme sourire au lèvres comme elle venait encore le stimuler un peu en mordillant son oreille, comme elle éveillait bien son désir. Il sentait sa poitrine froler son torse, s'y appuyer comme il venait se mouvoir en elle tandis que des doux son s'échappait des lèvres de Jane en venant se brisant sur sa peau. Lui se trouvait la tête contre son cou, embrassant cette peau clair qui le brulait, soufflant sa chaleur sur son cou, l'invitant muettement à continuer ses bienfaits, caresses et baisers comme il la possedait, l'étreinte de ses mains contre ses reins. Elle glissa sa bouche contre sa pomme d'adam qu'il lui offrit sans resistance, déployant sa gorge à la demoiselle. Il la sentait si désireuse de son contact, appuyant sur ses fesse pour qu'il n'approfondise le contact, gourmande de son action. Il sentait son coeur fou accompagner la cadence du coeur de Jane dans une valse entrainante et tant précipitée. Il serrait son coprs contre le sien, s'immiscant en sa personne dans de merveilleux elans de bien être , un mouvement qu'il réiterait avec passion en ne laissant travailler que ses reins contre le corps de la jeune fille de plus en plus ambitieux.

Elle lui demanda de la rendre folle, il se trouvait bien doué pour ca. Avait il d'autre but que celui ci, embraser le corps de Jane pour le rendre fou du sien. Il semblait bien que non, l'embrassement de corps de Jane était sa premiere priorité et son seul but, l'ultime quête du moindre de ses mouvements, de ses caresses, deses baisers qu'il offrait avec interet au corps nu de la demoiselle. Elle se trouvait tellement parfaite pour lui, sensuelle, sexy , admirable, la presence d'un être bien peu devellopé qui était le leur au creux de son ventre ne le rendait pas moins ardent ou doux. Il s'en trouvait pas moins conquis et emerveillé par ces douces sensation qui l'habitait. Elle lerendait incroyablment chaud, ivre de son corps, peu à peu exclusivement habité par le desir de la posseder entièrement. Il s'activait peu à peu en elle, venant intensifier leur contact, la rencontrer au plus profond d'elle même et s'empresser peu à peu pour profiter de sa chaleur, de la brulure merveilleuse de ce contact coquin entre leur corps qui avivait l'antre en son bas ventre, dévorant son corps entier.

Ce feu ardent se répandait dans son corps, l'habillant de bonheur, d'envie, de luxure qui commandait son action, l'acceleration envieux de repondre à son désir. Il s'activait en elle pour monter sa chaleur et son plaisir, ses doigts s'agitant de facon désordonné dans son dos, profitant de cette peau, la replacant parfois pour varier ses sensation, tenter de nouveau appui pour la rendre plus folle encore et pour s'embrasser encore un peu. Il jouait ur le temps, se sentant prêt à lui ouvrir la porte du paradis, mais désirant se languir encore de sa presence pressante en elle. Il le voulait, encore un peu plus long, encoreun peu plus ambitieux, la faireencoren peu frémir de bien être comme lui même gemissait avec febrilité, le coeur affolé, la respiration halettante de toute cette aventure merveilleuse qu'il vivait auprès d'elle. Il sentait ses entrailles s'enflammer, il devait bruler de mille feux contre elle mais retardait encore l'eruption tant qu'il pouvait s'en empecher, l'attente rendant le soulagemment plus exceptionnel et plus intense encore. Il l'aimait tant, desirait cet instant de délivrance merveilleux pour elle et lui. Il viendrai si vite, mais il pouvait encore profiter de son corps, de sa poitrine qui se frottait contre lui, de leur bassin qui s'entrechoquait en se rencontrant à chaque fois qu'il revenait en elle. Il continua il ne sut dire combien de temps, profitant pleinement jusqu'à ce que vienne le temps de l'apothéose qu'il laissa exploser en elle en un gemissemnet rauque puissant dans une jouissance luxuriante.
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Jane Jenkins
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MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins - Page 2 Icon_minitimeJeu 20 Nov - 18:49


Elle avait cruellement chaud. La chaleur qui s’immisçait dans ses veines dans la moindre parcelle de sa chair provoquait un véritable raz-de-marée dans son cœur. Il n’avait de cesse de battre promptement dans sa poitrine. Sa cadence était vive et incontrôlée, totalement possédée et endiablée par ces effusions de plaisir qui montaient en elle. Elle était entièrement soumise à la passion de cet homme, ses baisers et caresses. C’était si délicieux d’être dans ses bras, de sentir son corps se mouvoir contre le sien, embrasant sa chair comme personne. Noah avait cette capacité déconcertante de lui faire perdre de la tête. Au creux de ses bras, elle devenait une femme terriblement sensible aux actions de son amant. Il connaissait la moindre partie de son corps sensible à ses caresses et baisers. Il savait comment la rendre folle, soumise et entièrement à sa merci. Une facette de sa personnalité qui ne ressortait qu’avec lui, qu’auprès de lui. Elle lui faisait aveuglement confiance, même si son naturel lui jouait parfois des tours. Seulement dans cet acte charnel, elle n’avait aucune crainte sur la sincérité, l’émoi de son compagnon. Celui-ci l’embrassait et l’enlaçait comme il ne le faisait avec personne d’autre et elle le sentait dans la moindre action de sa part. Elle pouvait sentir son cœur battre tout aussi intensément que le sien dans sa poitrine. Ses actions quand bien même désireuses et passionnées, étaient emplies de cette affection qu’il lui témoignait depuis tant d’années. Une affection qu’elle lui rendait tout autant et qui s’exprimait pleinement au travers de ces étreintes passionnées.

Elle se laissait donc totalement envahir par ces sensations, sentant ses entrailles s’embrasaient au contact fugace et passionné des reins de son amant. Elle était conquise par cet échange luxuriant, sentant son corps le réclamait sans limites. Elle lui avait demandé de la rendre dingue, trouvant dans ces instants, une félicité toute particulière qu’elle ne vivait qu’à ces côtés. C’était si merveilleux de le savoir en elle animé, charmé et cruellement envouté par ce contact qui la submergeait avec force de bien-être. Il n’avait rien de comparable, si ce n’est le bonheur qu’elle éprouvait de porter son enfant, le fruit de toute cette affection qu’il y avait entre eux. Aucune femme ne pouvait être insatisfaite de porter la progéniture de celui qu’elle avait choisi. Jane ne faisait pas exception et se satisfaisait de ce bonheur, accumulé à la joie de le sentir si brulant contre elle, à cet instant. Il n’avait de cesse d’accélérer le mouvement de son bassin, la faisant vivre de merveilleux frisons de bien-être face aux sensations qu’il provoquait. C’était exaltant. Elle sentait sa poitrine se bomber, si fière, si ferme, si chaude contre son torse, ses boutons de chair flattant la peau et le tissu qui dans ses actions venaient se mêler à cet échange. Elle laissait ses doigts glisser sur ses reins, suivant la cadence qu’il imposait en elle. Il la rendait folle, elle n’avait de cesse de souffler son émotion contre la peau de son visage, son corps envouté par tout cela. Il était fabuleux, elle n’avait aucun doute là-dessus et se plaisait à venir mordiller le creux de son oreille en y soufflant son plaisir, son prénom.

Elle se laissait totalement dominer par ce flot intense de sensations, gémissant de plus en plus fort alors qu’elle n’était plus qu’une poupée entre ses doigts. Elle n’avait de cesse de frissonner, sensible aux caresses de ses doigts sur son dos qui étaient de véritables décharges électriques sur sa chair si émoustillée par cette étreinte. Il l’enserrait de plus en plus profondément, la replaçant parfois pour varier les sensations qu’il lui procurait dans l’espoir de frôler ce point sensible qui saurait la rendre dingue, ouvrir les portes de ce paradis terrestre qu’elle ne vivait si intensément qu’à ses côtés. Les bruits sourds qu’elle entendait, issue de la rencontre d’autant plus charnelle entre leurs deux corps étaient une ode à la félicité. Elle s’enivrait de tout cela, de son souffle chaud contre sa nuque, ses baisers au creux de son oreille. Elle n’avait de cesse d’être assoiffée par ce contact tant il brulait ses entrailles, rendait son corps d’autant dépendant de cet homme. Il jouait avec elle, savait comment intensifier et rendre impatient son désir. Elle serrait de plus en plus fort ses fesses, laissant délicieusement ses ongles s’ancrer dans sa chair dès lors qu’il initiait un mouvement qui pouvait à tout instant l’achever tant il se trouvait enivrant. Elle gémissait de plus en plus fort à l’accélération de la cadence de leur rencontre intime, si sensible et brulante contre lui. Ses lèvres dévoraient la chair de sa nuque, ses oreilles avec effusion, lui transmettant ce plaisir qui se trouvait si puissant en elle. Elle se sentait aux portes de ce lieu paradisiaque, son jardin secret n’était plus qu’un brasier sur le point de s’enflammer, exploser avec force et véhémence.

Elle n’avait plus conscience du temps qu’il s’écoulait, si ce n’est que tout son corps était en feu, sur le point d’exploser pour parcourir avec lui les sentiers envoutants et paradisiaques de ce paradis terrestre. Elle le sentait de plus en plus sensible, gourmand, impatient. Chaque mouvement lui arrachait de merveilleux râles qui s’échouaient contre sa nuque. Elle susurrait son prénom dans des plaintes de plus en plus fortes. Il le touchait, ce point sensible qui la rendait folle, prête à flancher, à se donner entièrement à lui. Son cœur ratait des battements tant ces contacts la rendaient ivre de bien-être. Elle haletait de plus en plus vivement en venant serrer sa poitrine contre son torse, laissant les mouvements de ses vêtements et de sa chair, rendre sa poitrine d’autant plus sensible, brûlante à son contact. Elle finit par franchir les portes de ce paradis, avec lui, de façon violente et incontrôlée qu’elle adorait tant. Elle le sentait atteindre cette apothéose en elle, de façon aussi intense qu’elle. Cela les rendit cruellement essoufflés, incapables de parler, pris par le plaisir. Elle gémissait contre sa nuque alors qu’elle le sentait décroitre la cadence de son bassin. La félicité qu’elle vivait était totale, si envoutante, qu’elle sentait sa peau plus sensible et réceptive à lui. Elle vint chercher ses lèvres pour les embrasser avec douceur, mais passion. Cet homme était si parfait, si unique. Elle était folle de lui, ne voulait plus que lui comme amant, comme homme à ses côtés. Elle était si heureuse dans ses bras, ne désirait nulle autre à cet instant, laissant cette félicité s’immiscer dans ses veines avec force. À partir d’aujourd’hui, il serait sien aux yeux des autres et cette pensée ne pouvait que la satisfaire et rendait cet instant si merveilleux. Un nouveau chapitre dans leur relation était en train de se tourner et la suite lui semblait toute aussi fantastique que l’aventure qu’elle menait déjà à ses côtés. Elle avait hâte de poursuivre avec lui tout simplement.

-- FIN --
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