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The Phoenix Song :: :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014 | | If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran | |
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Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Mar 15 Juil - 21:20 | |
| If alcohol has a defect: it's to make mad Joaquin Alboran & Shana Alboran - été 2013
La soirée se passait résolument bien. Cela faisait quelques jours qu’elle était venue rendre visite à son cousin. Le duo inséparable qu’ils étaient ne pouvait qu’être ravi de se retrouver après tant de mois passer loin l’un de l’autre. Les lettres avaient beau leur permettre de garder contact, elles ne leur donnaient pas la possibilité d’échanger autant qu’ils le souhaitaient. De ce fait, il était évident que la jeune femme se trouvait particulièrement enchantée et aussi euphorique que d’habitude lorsqu’elle se trouvait aux côtés de son cousin, qui avait également le titre de meilleur ami et frère. Comme à leurs habitudes, ils s’étaient rendus dans les quartiers moldus de la ville annexée à celle sorcière où étudiait son cousin. Une habitude résolument perplexe pour les autres sorciers, mais qui trouvait naissance dans les origines mixtes des amis de son cousin. Elle devait reconnaitre que la musique qui y passait était particulièrement agréable et elle passait toujours une très bonne soirée. Se mêlant à la foule des danseurs, elle était venue retrouver des amies à son cousin, pour danser quelque temps avant de rejoindre la piste de danse. Elle avait énormément bu ce soir, elle devait bien le reconnaitre. Il faut dire qu’elle était encore triste par la dispute qu’avait éclatée avec Ruben, quelques jours avant son départ. Les amies de Joaquin s’étaient efforcées de lui remonter le moral en lui offrant des cocktails tous aussi forts les uns que les autres. Pourtant, elle sentait déjà son corps plus lourd, plus que d’habitude. Sans doute un effet dû à la fatigue supposa-t-elle alors qu’elle se sentait plus joviale. Les amies de son ami étaient retournées sur la piste de danse tandis qu’un homme s’installait auprès d’elle. Il la regardait avec attention, lui offrant son plus beau sourire. Un sourire qu’elle lui rendit tout naturellement, de nature ouverte et amicale. Il se présenta, elle fit de même. Il la complimenta, ce qui la fit sourire d’autant plus tant l’effet de l’alcool prenait sein à son esprit. Il était charmant, elle devait bien le reconnaitre et sa franchise vint lui avouer sa pensée qu’elle ne pouvait retenir. « Merci. J’aime ta franchise. » Sa voix était sensuelle et mielleuse, agréable en soi, et elle était trop alcoolisée pour résonner promptement. Ce petit manège dura quelques dizaines de minutes avant qu’il ne l’invite à sortir de la boite pour prendre l’air et faire plus ample connaissance. Son esprit endormi, quelque peu lourd ne vint omettre aucune objection. Elle sentit sa poigne agripper son poignet pour l’inviter à le suivre, ce qu’elle fit en se levant, manquant de perdre l’équilibre. Elle avait la tête qui tournait, prise d’un malaise. Elle mit un temps considérable pour comprendre que la main de ce jeune homme n’était plus sur son poignet et que ce dernier se trouvait à terre, après avoir subi une attaque. Le regard absent et résolument perplexe, luttant contre cette nausée qui l’envahissait. Elle sentit une autre main venir se glisser autour de sa taille. Une présence qu’elle reconnaissait parmi tant d’autres. Joaquin semblait être intervenu et la mener dehors, bien loin de cette foule opaque qui semblait bourdonner à ses oreilles. L’air frais de la nuit lui fit un bien profond, même si elle se sentait de plus en plus lourde. Elle s’agrippa à Joaquin, alors qu’elle prenait plus ou moins conscience qu’elle avait manqué de faire une connerie. « Joa… Je crois que j’ai trop bu... » Ses doigts repliés sur le tissu de la chemise de son cousin, elle vint se blottir contre lui, en ajoutant faiblement. « On peut rentrer, s’il te plait ? Je ne me sens pas très bien… » Elle soupira en fermant les yeux. Sa tête tournait terriblement. Retrouver l’appartement de son cousin lui ferait le plus grand bien, du moins, elle le pensait. TENUE : 01. |
| | | Je ressemble à « : Marlon Teixeira ». J'ai égaré : 504 parchemins. Ma bourse est remplie de : 190 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Mer 16 Juil - 15:08 | |
| Cela faisait désormais un temps particulièrement long que le jeune homme n’avait pas pu profiter de la présence de sa cousine. Le jeune homme ayant décidé de quitter l’Espagne il y avait désormais plusieurs années pour rejoindre cette université qui lui permettait de développer des connaissances dans un domaine qui lui tenait particulièrement à cœur. Une passion résolument dévorante qui l’avait toujours lié à sa cousine. Une grande amitié qu’il espérait toujours garder avec elle. Ainsi, en cette soirée de retrouvailles, ils avaient repris leur rituel, ils étaient partis faire la fête dans le monde moldu avec ces amis. Bien qu’il fût un sang-pur qui prônait le sang pur qui coulait dans ses veines, cela ne l’empêchait nullement de ne pas profiter des plaisirs de la vie dans ce monde. Shana ne pouvait résolument pas avouer le contraire alors qu’il pouvait l’observer boire de nombreux cocktails. Il n’ignorait certainement pas le fait que celle-ci risquait de rentrer saoule, il en avait l’habitude puisqu’à chaque soirée lui-même l’était et qu’ils rentraient parfois difficilement chez eux. Joaquin ne faisait nullement exception en ce jour, ayant enchainé au moins autant de verres qu’elle, accumulé à un peu cocaïne qu’il avait respiré un rail de coke derrière le dos de Shana, celle-ci n’étant pas au courant qu’il était dépendant à cette drogue. Il savait que le jour où elle le découvrirait, il risquait de passer un sal quart d’heure mais, heureusement pour lui ce jour-là n’était pas encore arrivé. Le cocktail drogue et alcool n’avait jamais de très bon résultats sur le corps d’un homme, le jeune homme ne pouvait résolument pas dire le contraire.
Seulement, même si on esprit se trouvait embrumé par l’alcool et cette substance illégale, le jeune homme ne put tout simplement ne pas voir le rapprochement d’un homme avec celui de Shana. Son côté quelque peu protecteur dès lorsqu’il s’agissait de Shana apparut alors et ce fut certes, avec difficulté qu’il vint à quelques mètres d’eux remarquant alors que sa cousine ne semblait pas réellement dans son état normal. Tout particulièrement alors qu’il l’entendit accepter sans aucune résistance à suivre un homme qui semblait très intéressé. Si Shana avait été dans son état normal, elle n’aurait jamais accepté sa proposition tant elle semblait signifier qu’il souhaitait passer la nuit avec elle et que dans son comportement il paraissait louche. Ainsi, lorsqu’il la vit se laisser prendre la main pour sortir de la boite de nuit, le jeune homme ne put rester sans rien faire, la drogue et l’alcool l’aidant résolument à se désinhiber de toute raison. Il les suivit sans chercher à comprendre et à peine fut-il sorti de la boite de nuit qu’il était venu le frapper en plein visage, entendant avec plaisir le bruit d’un crac. Joaquin lui adressa alors dans une voix particulièrement violente et agressive en anglais : « Tu l’as bien mérité sal moldu ! Tu mériterais que je te dénonce, vas pas croire que j’ai rien vu. Si je te reprends une seule fois… ne crois pas que tu n’auras qu’une mâchoire brisée. » Joaquin vint lui jeter au passage la canette de bière qu’il avait gardé dans sa main. Cet homme était résolument un sous-homme, un de ses sales moldus qui ne méritait même pas le droit de respirer.
Essayant de passer outre ce maudit homme, il porta son regard sur la silhouette de Shana qui ne semblait résolument pas dans son état normal, son regard absent. Elle tenait à peine debout c’est pourquoi aussitôt il vint glisser sa main autour de sa taille pour la tenir contre elle. La jeune femme vint murmurer alors dans une voix particulièrement faible son prénom, lui indiquant qu’elle croyait avoir trop bu. Si cela n’avait été que l’alcool Joaquin en aurait été ravi, seulement, elle semblait avoir été droguée, le jeune homme connaissant bien trop les effets de la drogue pour ne pas s’en rendre compte. Lorsqu’elle vint s’agripper à lui pour lui demander de rentrer à la maison, il ne put qu’accepter, venant embrasser son front délicatement, caressant sa douce chevelure alors qu’il essayait de la rassurer. Ainsi, il vint acquiescer délicatement, murmurant dans une voix douce à son oreille : « Shana… ne t’inquiètes pas, on va rentrer à l’appartement. Tu pourras te reposer et reprendre des forces. Après une nuit de sommeil, tout ira mieux d’accord ? » Il vint à nouveau embrasser le front de Shana alors qu’il se saisissait de ses jambes pour la porter comme une princesse, remarquant qu’elle était bien incapable de faire trois pas. Ainsi, il s’éloigna de la boite de nuit, saluant un de ses amis qu’il remarqua pour partir dans une rue un peu isolée avant de transplanner en compagnie de Shana. Son état n’était pas forcément meilleur, il avait eu un peu de mal à marcher comparé à d’habitude mais, l’état de Shana le préoccupait plus qu’autres choses. Ainsi, après plusieurs mésaventures et n’arrivant pas forcément à la rue exacte où il voulait atterrir, il arriva à son domicile quelques minutes plus tard.
Le jeune homme déposa ave délicatesse la jeune femme sur son lit, se dirigeant vers sa salle de bain pour mouiller une serviette et le poser sur le front de la jeune femme. Il espérait au moins que cela apaiserait les effets de cette foutue drogue, bien qu’il faudrait plusieurs heures avant qu’elle ne sente bien. Les yeux embrumés, il profita du calme de son appartement pour s’asseoir à côté d’elle, caressant sa chevelure avec douceur. Joaquin murmura alors dans une voix douce : « Maintenant ça ira mieux… endors-toi et demain tout rentrera dans l’ordre Sha. »
Tenue de Joaquin |
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| Elle ne parvenait pas à comprendre ce qu’il lui arrivait. Cette sensation étrange, l'oppressait, la déstabilisait. Elle sentait ses membres lourds, incontrôlables tandis qu’une sensation de liberté, d’abandon l’envahissait. Elle n’était plus maîtresse de ses pensées, de ses gestes et la seule chose qu’elle parvenait à identifier : c’était la douceur des bras de Joaquin. Cette tendresse dont il la couvrait, ses baisers sur son front. Un instant de lucidité, lui avait fait murmurer cette réalité qu’elle pensait. Elle avait trop bu, du moins le supposait-elle. Sa tête tournait, l’élançait et en même temps, elle était étrangement bien. Elle n’était pas effrayée, ne ressentait que ce sentiment d’abandon qui venait faire battre son cœur près de ses oreilles. Elle sentait son cœur battre dans sa poitrine, l’entendait même. Elle s’était accrochée à Joaquin comme à une bouée de sauvetage, son seul salut. Ses paroles étaient à peine audibles, elle ne parvenait pas à en comprendre le sens. Elle se sentit quitter le sol, sentant la poigne douce et délicate de son cousin, glissait sous ses cuisses pour la soulever, la coller à lui, dans la position d’une princesse. Elle eut le réflexe de glisser ses bras autour de sa nuque, sentant son corps planer. Que lui arrivait-il ? Elle ne comprenait pas. C’était la première fois qu’elle se sentait ainsi. Elle avait peur et en même temps cette sensation était agréable. Elle ne pensait plus à rien, sa raison, sa crainte se diminuant minute après minute.
Elle se laissait guider par son cousin, sentant son être somnoler durant tout le voyage. Elle se trouvait à peine consciente et le transplanage ne vint nullement inverser la donne. Elle reprit conscience qu’à l’instant où elle sentit Joaquin l’allonger sur un lit. La texture des draps était agréable. Elle avait l’impression que ses sens étaient éveillés, exacerbés à cet instant. Elle sentit un léger humide se déposer sur son front, sentant la délicate main de Joaquin se prendre dans ses cheveux, frôler sa nuque. C’était agréable. Les yeux clos, elle se sentait tout simplement déconnectée de tout, si sereine, malgré le rythme accéléré de sa respiration. Elle ne pensait plus à rien, seules les caresses de Joaquin perturbaient ce silence psychique. Elle se sentait si bien. Sans réfléchir ni même prendre conscience de son geste, elle sentit une de ses mains frôler délicatement l’avant-bras de son cousin, exerçant de légers va-et-vient du bout de ses phalanges. Elle appréciait la texture douce de cette peau, laissant sa main remonter délicatement sur le biceps de son cousin avec douceur et sensualité. Son autre main vint délicatement glisser sur la barbe naissante et sculptée de son cousin. Sentant les picotements de cette dernière électriser sa chair, la rendant légèrement fébrile. Son regard vint se relever vers son cousin. Elle lui souriait tendrement, de ce sourire attendri qu’elle aimait tant lui offrir.
Ses doigts glissèrent sur sa mâchoire, rejoignant sa nuque, ses cheveux. Cette action de sa part contraint Joaquin à se rapprocher d’elle. Son regard était tout, troublé par ce qu’elle ressentait à cet instant. C’était étrange. Elle ne pensait à aucun instant à l’interdit de ces gestes, ni même leurs significations. Elle trouva sa clavicule, laissant ses doigts palper la texture de sa peau mate, musclée, qui était terriblement agréable. Son sourire s’accentuant, alors qu’elle glissait son autre main sur son épaule. Elle le trouvait beau. Il était magnifique. Il le savait. Elle l’avait toujours su. Pourtant, elle avait envie de lui dire. « Tu es magnifique Joa… Si envoutant… si attendrissant. » Elle avait murmuré cela en douceur. Lui souriant de toute sa douceur, sa tendresse. Elle sentit son visage se relever doucement pour atteindre son visage, qui était à sa hauteur, déposant un doux baiser sur sa joue, murmurant. « Je t’aime tellement. »
Un aveu qui lui semblé si naturel de lui exprimer. Il le savait, n’en doutait pas. Pourtant, c’était des mots qui n’avaient jamais quitté ses lèvres, car ce « je t’aime » étrangement, prenait un tout autre sens pour elle, même si elle ne se l’était jamais avouée, du moins jusqu’à cet instant, dans un état qui lui permettait de le faire. Elle laissa ses lèvres baigner délicatement sa joue en douceur, glissant une de ses mains contre sa mâchoire pour maintenir son visage délicatement. Elle vint sourire doucement en venant le prendre dans ses bras, sa chair savourant le contact de ce corps si agréable contre le sien.
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| Shana ne se trouvait nullement dans son état normal, Joaquin ne pouvait que le remarquer alors qu’il l’observait allongée sur son lit. Cet abruti de moldu avait profité du mouvement de foule pour faire boire à sa cousine cette drogue ô combien dangereuse. Si lui se droguait, consciemment, il espérait bien entendu au fond de lui que Shana ne tombe pas là dedans. Telles étaient ses pensées alors qu’il caressait délicatement sa chevelure, insultant ce moldu de tous les noms. S’il avait été seul, sans aucun doute qu’il n’aurait pas hésité à lui jeter un sort pour l’immobiliser pendant plusieurs mois. Personne n’avait le droit de toucher à Shana et surtout pas d’abuser d’elle. Shana était un trésor, une personne chère qui n’avait pas le droit de souffrir. Il ne pouvait qu’en être persuadé, son cœur battant d’une colère féroce envers cet homme. Son esprit embrumé par l’alcool et la drogue ne l’aidait nullement à se calmer. Ce furent le contact de l’une des mains de la demoiselle sur son avant bras qui le fit sorti de sa létargie. Un contact résolument plaisant alors que celle-ci exerçait de légers va-et-vient du bout de ses phalanges. Ce contact avait au moins le don de la calmer. Une caresse qui progressait sur ces biceps. La demoiselle paraissait particulièrement envoutée, sa deuxième main se posant sur son visage, frôlant sur sa barbe naissante. Le regard qu’elle lui portait se trouvait particulièrement fébrile, sans aucun doute lié à cette drogue qui coulait dans ses veines. Au moins, elle ne souffrait pas, le jeune homme ne pouvait que s’en contenter alors qu’il la voyait un doux sourire se figeait sur ses lèvres, appréciant de la voir ainsi, posée et calme.
Jaoquin laissait faire la demoiselle, la laissant dans ses rêveries, appréciant ses caresses. Guider par les douces sensations qui possédaient son corps, lui aussi vint se laisser aller, fermant les yeux alors qu’il se rapprochait d’elle, les doigts de sa cousine caressant sa mâchoire, sa nuque et ses cheveux. La fatigue de cette soirée, les effets de la drogue et de l’alcool ne pouvaient que l’emmener à apprécier les actions de Shana, ces caresses se trouvaient résolument délicieuses. Il se contentait alors de profiter de chacun de ses caresses, laissant un léger soupir s’échapper de ses lèvres alors qu’elle caressait à présent sa clavicule. Le jeune homme ouvrit les yeux alors l’observant, lui offrant un doux sourire alors qu’elle continuait ses caresses. Le jeune homme ne se rendait nullement compte en cet instant qu’il se laissait piéger à son tour, souriant à nouveau alors qu’elle lui murmurait qu’il était magnifique, si envoutant et si attendrissant. Des mots qui lui auraient paru étrange s’il avait été dans son état normal. Seulement, en ce jour, il se contentait seulement de profiter du bienfait des caresses sur son corps.
Elle releva son visage alors, déposant un baiser sur sa joue lui indiquant qu’elle l’aimait tellement. Des mots particulièrement appréciateur tant lui-même pouvait les murmurer en ce qui concernait la demoiselle. Il sourit doucement alors qu’il posait l’une de ses mains sur les hanches de la demoiselle, pour la maintenir contre lui, ne souhaitant pas qu’elle se blesse en se relevant. Il connaissait bien trop les effets de la drogue pour ne pas savoir les contrer, ou du moins en partie. L’une des mains de Joaquin vint se poser dans la chevelure de Shana, les caressant alors qu’il savourait les baisers de Shana sur sa joue. Celle-ci semblait être totalement emportée par les effets de cette drogue, venant alors le prendre dans ses bras. Joaquin n’omit aucune résistance et vint lui murmurer au creux de son oreille : « Moi aussi je t’aime de tout mon cœur Sha… ». A la fin de ses mots, il vint embrasser son front, lui offrant un doux sourire alors qu’il embrassait à nouveau sa joue. L’affection qu’ils partageaient ensemble était résolument électrisante en cet instant, éveillant leur sens. Sa main vint caresser avec douceur le dos de la demoiselle, souriant alors qu’il la sentait de plus en plus perdre pied, tout comme lui, les effets de la cocaïne persistant dans son corps.
Le jeune homme se laissa porter alors par ses sensations et vint caresser son dos avec tendresse, laissant ses lèvres déposant un baiser sur sa joue. Il murmura alors dans une voix douce : « Allonge-toi Sha… tu te sentiras mieux. » Il sourit, la faisant allonger sur les draps de son lit, laissant le haut de son corps se posait contre le sien. Shana n’étant pas décidée à quitter ces bras, un fait résolument amusant alors qu’il caressait ses cheveux avec délicatesse. Il se trouvait alors à présent, allongé sur le lit, de côté, en position du fœtus alors qu’il caressait sa chevelure et les traits de son visage. Il se contentait de l’observer, son corps envahit par les douces sensations de cette drogue. Il savait qu’un jour il devrait l’arrêter mais, après de nombreuses années en ressentant ses sensations d’abandon, il lui semblait difficile de le réaliser. Celles-ci se trouvaient résolument grisantes. Il murmura à sa cousine alors que ses mains caressant légèrement sa clavicule : « Nous ne somme pas mieux ainsi ? » |
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| Son esprit s’était absenté totalement de son corps. Elle se sentait à la fois légère et lourde. Elle n’arrivait pas à penser et se laissait complètement aller aux bienfaits de son cousin. Elle s’ouvrait également à lui, laissant parler son cœur d’une curieuse manière. Elle ne cernait pas les messages que ses gestes et paroles transmettaient. Elle avait juste envie de le caresser, le sentir tout contre elle. Elle se sentait juste étrange, sans doute trop alcoolisée pour être en mesure de réfléchir posément. Sans doute se réveillerait-elle avec un mal de crâne horrible ? Elle ne le savait pas. Elle se contentait de déposer des bisous papillons sur la joue de Joaquin avec douceur, savourant le contact chaud de son corps contre elle. C’était agréable, plaisant. Les caresses de Joaquin contre ses cheveux, son autre main, maintenant sa hanche pour ne pas perdre l’équilibre et se faire mal. Sa présence était apaisante, envoutante. Elle se sentait bien, trop bien même. Il vint la prendre dans ses bras, l’enserrant délicatement contre lui alors qu’il lui murmurait qu’il l’aimait aussi de tout son cœur. Il utilisa son surnom, ce qui la rendait heureusement alors qu’elle sentait les lèvres de Joaquin se poser sur son front.
Sa douleur lui faisait un bien fou, l’obligeant à soupirer doucement contre sa peau. Elle aimait divinement ces attentions et baisers sur sa joue. Elle ne savait plus où elle était, si ce n’est qu’elle voulait encore profiter de ces bienfaits. Elle vint s’allonger, répondant positivement aux paroles inquiètes de son tendre cousin. Elle se laissa regagner le matelas du lit, se sentant lourde. Joaquin vint l’accompagner dans ce mouvement puisqu’elle n’avait pas restreint son étreinte. Elle se sentait si bien contre lui. C’est lui qui vint la positionner sur le côté pour pouvoir garder cette proximité tout en étant confortablement installés. Elle le regardait avec attention. Ses prunelles le détaillaient avec douceur et une pointe de fébrilité. Elle le dévorait presque du regard, malgré elle, sans s’en rendre compte. Elle sentait sa peau devenir chaude sous le contact des doigts de Joaquin contre sa clavicule. Il lui demandait s’ils n’étaient pas mieux, ainsi. Elle hocha la tête en signe de réponse, laissant sa main libre retrouver sa mâchoire avec douceur. Elle lui souriait de façon douce et adorable, heureuse de l’avoir à ses côtés. Elle se sentait si bien avec lui. Elle vint rire, laissant sa main glisser contre sa nuque, laissant le bout de ses phalanges se mouvoir avec élégance sur la ligne de son cou. Elle vint retrouver le début de sa clavicule, se rendant compte que son regard suivait ses actions.
En temps normal, sans doute se serait-elle alarmée d’un tel geste de sa part, mais elle n’y parvenait pas. Elle en avait envie. Inconsciemment, elle se rendait compte qu’elle avait toujours eu envie de le cajoler de la sorte. Elle pouvait sentir le regard de son cousin sur elle. Le lien de consanguinité l’aurait dissuadée d’agir de la sorte. Il ne pouvait être un homme pour elle. De plus, elle avait Ruben, son petit ami, l’homme qu’elle pensait être l’homme de sa vie. Un homme qu’elle chérissait de tout son cœur. Pourtant, ce soir, son cœur avait une drôle d’allure face au regard de Joaquin. Comme toujours en réalité. « Beaucoup mieux. J’aime te sentir contre moi. » Souffla-t-elle dans une demi-voix après quelques minutes de silence. Elle n’en avait pas conscience. Elle était résolument étrange ce soir. Pourtant, elle continuait de glisser ses doigts sur la peau ferme, chaude et mate du bel espagnol, laissant le bout de ses phalanges dessinés la ligne de la naissance des pectoraux de son cousin. Elle suivait inconsciemment des yeux le parcours de ses doigts, qui vinrent glisser sur la bordure du T-shirt de son cousin. Elle laissa ses doigts découvrir ce torse au travers du tissu, déplaçant de façon élégante ses doigts sur sa peau. Elle lui souriait, venant lever son regard vers le sien. Elle ne savait pas ce qu’elle avait, mais elle avait envie de le câliner, le couvrir de bisou. Elle vint rire venant se rapprocher de son visage pour venir placer sa bouche contre sa joue. Son autre main quant à elle, venait jouer avec ses cheveux. Elle adorait faire cela. Il était si beau et mignon avec ces jolies bouclettes. Si près de lui, elle pouvait sentir son souffle s’échouer sur son visage. C’était envoutant et en même temps très agréable.
« J’adore tes bouclettes, Joa… » Murmura-t-elle dans un fin rire alors qu’elle glissait sa main dans sa nuque. Elle voulut embrasser sa joue, mais ses lèvres étaient venues s’échouer plus bas, à la commissure des lèvres de Joaquin. Elle pouvait sentir la barbe du jeune homme sous ses lèvres, tout comme le contact de ses lèvres. Elle ne se rendait pas bien compte de l’endroit où elle avait atterri et ne chercha nullement à s’en retirer. Au contraire, elle vint sourire, venant embrasser plusieurs fois cet endroit. La délicate frontière qui la séparait de l’interdit. Celui qui lui donnait envie, inconsciemment, parce qu’il l’envoutait et qu’elle l’aimait tellement. Elle semblait se rendre compte qu’elle ne voulait pas être uniquement à la place qui était sienne auprès de cet homme. Son sourire vint s’éteindre, ses pensées se faisant plus confuses. Le regard de Joaquin ne la repoussait pas. Du moins, elle n’en avait pas l’impression. Il n’y avait rien de mal à l’embrasser, n’est-ce pas ? Ils l’avaient longtemps fait lorsqu’enfants, ils étaient encore dans le parc à jouets, venant amuser la famille. Elle laissa donc ses lèvres embrasser véritablement celles de son cousin dans de légers contacts aussi frivoles que ceux d’un papillon. Le contact était doux et chaud. Les yeux clos, elle laissa sa main caresser sa mâchoire, sans pour autant cesser ses baisers sur ses lèvres. Sans doute était-elle en train de commettre l’imparable, mais elle n’en avait pas conscience. Elle avait juste envie de l’embrasser ainsi, si simplement, si naturellement, comme lorsqu’elle avait quatre ans. Elle murmura son surnom dans une douce voix, quelque peu brisée par les battements de son cœur.
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| Cette soirée était résolument étrange pour Joaquin, telle était ses pensées alors qu’il admirait Shana qui se trouvait allongé sous ses yeux. C’était la première fois qu’il la voyait ainsi, si fébrile et si fragile à la fois, allongée devant lui à le dévorer du regard. Pourtant cela faisait depuis leur plus tendre enfance qu’ils se côtoyaient, qu’ils dormaient l’un contre l’autre, se nourrissant de l’affection qu’ils se portaient. Sans mentir, c’était en sa compagnie que le jeune homme arrivait le mieux à dormir, au creux de ses bras chaleureux. La jeune femme le couvrait d’amour et d’affection, un fait qui ne pouvait que le ravir, l’emmenant à se sentir si bien auprès d’elle. Il lui portait un amour profond, il ne pouvait que l’affirmer alors qu’il profitait de cette vision, le corps allongé collé au sien. Il l’avait toujours trouvé belle et en cet instant, il ne pouvait que le songer alors qu’elle regardait avec ces si beaux yeux. Joaquin laissait ses mains caresser sa nuque avec attention alors qu’il lui avait demandé s’ils n’étaient pas mieux ainsi. Shana lui avait alors répondu positivement alors qu'elle laissait sa main rencontrer sa mâchoire avec douceur. Le sourire qu'elle lui tendait se trouvait résolument magnifique, ne cessait-il pas de penser alors qu'elle glissait ses phalanges sur la ligne de son cou. Chacun de ces gestes eurent le mérite de lui faire ressentir des sensations ô combien agréables, se sentant si bien à cette place. La drogue qui circulait dans son corps lui empêchait résolument de penser à la signification de ses gestes, l'amenant seulement à profiter de chacun de ses instants. C'était sans aucun doute ce qui l'attirait lorsqu'il en prenait, oublier tout et profiter simplement des instants présents. Il l'observait, la dévorait du regard alors qu'un silence apaisant régnait dans son appartement. Un silence que Shana vint mettre fin alors qu'elle murmurait qu'elle se sentait beaucoup mieux, aimant le sentir contre elle. Des mots qui allèrent droit au coeur du jeune homme, sentant celui-ci battre un peu plus rapidement que d'habitude. Joaquin n'opposait aucune résistance, n'indiquait pas à Shana que ces gestes pouvaient se trouver étrange en vue de leur lien.
La jeune espagnole glissait ses doigts sur sa peau, jusqu'à rencontre de ses pectoraux. Ces derniers venaient découvrir son torse de manière particulièrement agréable, l'amenant à sourire lui aussi alors qu'elle relevait son regard vers le sien. L'affection que lui portait Shana en cet instant ne pouvait que le rendre heureux, sentant tout son être apprécier chacune de ses actions. Ainsi, il lui offrit un agréable sourire alors qu'elle vint embrasser sa joue, savourant les caresses qu'elle effectuait contre sa chevelure. Les mots de la demoiselle ne purent que le faire rire alors qu'elle lui murmurait qu'elle adorait ses jolies bouclettes. Lui aussi pouvait résolument la complimenter sur ses cheveux, l'ayant toujours trouvé résolument douce et agréable au contact de ses doigts.
Néanmoins, Joaquin ne put qu'être surpris alors qu'il sentit les lèvres de Shana se poser à la commissure de ses lèvres, rencontrant sa barbe. Un geste quelque peu étranger, mais qui ne l'effraya pas pour autant, souriant alors que Shana revenait embrasser plusieurs fois cet endroit. Son corps ressentait résolument d'agréables sensations en cet instant, son coeur s'affolant dans sa poitrine sans qu'il n'arrive vraiment à comprendre qu'elles étaient ces raisons. Il n'opposait aucune résistance, étant même ravi de ressentir ces lèvres si près des siennes, la température de son corps s'échauffant malgré lui. Ainsi lorsque Shana vint véritablement poser ses lèvres contre les siennes, il ne réagit nullement de manière repoussante, trouvant ces baisers doux particulièrement mignons et agréables, faisant remonter à sa mémoire de doux souvenirs. Il la laissait caresser sa mâchoire, fermant les yeux un instant alors que lui-même glissait ses mains dans cette douce chevelure avec attention, souhaitant lui transmettre tout son amour. Ainsi, lorsqu'elle vint s'éloigner de ses lèvres pour murmurer son d'une voix si douce, il ne sut nullement résister, lui répondant simplement dans une voix tout autant fébrile : « Shana... tu es vraiment... belle. » Termina-t-il alors qu'il venait de lui-même cueillir entre ses lèvres celle de Shana dans un baiser doux et tendre, un baiser qu'il n'avait jusqu'alors jamais partagé avec personne. Tous les baisers qu'il avait pu partager avec ces nombreuses conquêtes d'une nuit ne lui avaient jamais paru autant agréables, les battements effrénés de son coeur en étant la preuve. Seule la douceur gouvernait ses baisers, souhaitant lui transmettre toute l'affection et l'amour qu'il lui portait, sans doute trop pour un simple cousin. Mais, en cet instant, il n'y pensait pas, laissant ses lèvres découvrir pour la première fois celles de sa cousine après tant d'années. Il n'était plus de simples enfants qui s'amusaient, le jeune homme l'embrassait pour des raisons plus profondes que seul son coeur pouvait connaître.
L'une de ses mains vint caresser les traits de son visage avec douceur et amour, comme il aurait pu le faire avec une de ses conquêtes. Seulement, il savait au fond de lui que s'il s'agissait d'une personne comme une autre, il ne serait nullement en train de caresser ces traits avec autant d'attention et d'affection. Il avait envie de lui faire partager tout le bien-être qu'il ressentait en cet instant, son coeur battant si rapidement dans sa poitrine. Son cerveau étant bien absent, il lui parut normalement de se lever pour venir surplomber le corps de Shana, la retrouvant allongé sous ses yeux. Le regarde fébrile qu'elle lui offrir ne put que faire battre son corps encore plus rapidement, la trouvant tout simplement magnifique sous ses yeux. Elle était belle, incroyablement belle ne cessait-il pas de penser alors qu'il venait lui offrir un doux sourire. Joaquin vint rapprocher alors leurs visages, laissant leurs lèvres se frôler à nouveau de nombreuses secondes, trouvant ses lèvres si douces et désirables. Des frôlements ô combien envoûtants alors qu'il venait enfin réembrasser ces dernières avec amour, avec douceur. Sa main droite vint se poser contre sa nuque pour la caresser avec attention. Sans s'en rendre compte Joaquin vint soupirer le nom de Shana alors qu'il venait approfondir ce baiser, mordillant ses lèvres un instant et laisser enfin leurs langues se rencontrer dans un délicieux ballet. Shana ne semblait omettre aucune résistance à son plus grand ravissement, soupirant de bien-être à ces baisers. Ils franchissaient une barrière mentale qu'il s'était toujours mis entre elle et lui, mais, à vrai dire, était-ce vraiment un problème ? En cet instant, tout cela ne l'était plus pour le jeune homme. Il se contentait de profiter de ces baisers, de ces caresses avec plaisir. Il ne savait nullement où les emmènerait cette nuit, mais, il s'en fichait, il voulait seulement profiter de tout cet amour et de cette envie de couvrir d'amour cette femme. Sa main libre vint alors caresser avec amour l'une des hanches de Shana à travers le tissu de sa robe. Ces sensations étaient si agréables... |
| | | Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Dim 21 Sep - 0:39 | |
| La texture de ces lèvres était douce et attirante. Shana trouvait ce contact particulièrement enivrant et son esprit se trouvait bien trop amoindri pour être en mesure de prendre conscience de l’incidence de ce geste. Pour une raison qui lui échappait, elle n’était pas dans son état normal et dépassait les limites qu’elle se fixait depuis des années. Pourtant, à cet instant, elle les bafouait sans culpabilité, seulement guidée par son cœur qui lui intimait de couvrir son cousin de toute son affection. Une tendresse qu’elle s’efforçait de conserver secrète, toute au fond d’elle-même sous les traits de cet amour fraternel qu’elle lui avait toujours porté. Sans doute qu’elle aurait dû continuer à garder cela pour elle, enfuie dans une boite de Pandore qu’elle n’aurait jamais dû ouvrir. Elle n’y parvenait pas. Elle se sentait bien à cet instant, contre lui, sous la chaleur de son corps. Ce contact l’enivrait, éveillant tant d’émoi et d’émerveillement en elle. Elle appréciait la douceur des commissures de Joaquin, le plaisir qu’elles provoquaient en elle, qui s’infiltraient dans la moindre parcelle de sa chair. Ces baisers papillon se voulaient frivoles et tendres, innocents dans une certaine mesure. Elle aimait juste cette sensation qui l’habitait et succombait à l’appel de ses lèvres si tentatrices.
Joaquin n’opposait aucune résistance, souriant contre ses commissures qui n’avaient de cesse de lui voler des doux baisers. Elle pouvait sentir la peau de celui s’enflammer délicatement contre ses doigts, sensibles à ses caresses. À moins que ce ne soit son corps dont la température n’avait de cesse de croitre ? Elle n’était nullement en mesure de le savoir, si ce n’est que son cœur battait promptement dans sa poitrine, sensible aux caresses de son cousin contre ses cheveux. La douceur et l’amour qu’il mettait dans ses gestes la bouleversaient, la rendant si fébrile. Ses paroles susurrées dans une voix ô fébrile et douce ne vinrent nullement décroitre cet effet lorsqu’il lui avoua qu’elle était vraiment belle. Un éloge si sincèrement qu’elle sentît ses prunelles devenir brillante, troublée par cet aveu qu’il venait sceller dans un tendre baiser. Ce baiser qu’il lui tendait n’avait plus rien d’innocent, ces commissures caressant délicieusement les siennes avec sensualité et douceur. Elle se laissait prendre par ce baiser, le cœur battant promptement dans sa poitrine. Elle pouvait l’entendre vibrer dans la moindre parcelle de sa chair, comme si cet effet se trouvait accentuer par l’alcool qui circulait dans ses veines. Elle sentait les mains de Joaquin caresser son visage avec douceur et affection, de façon si délicate.
Tout ceci la troublait, l’enivrait, lui donnait envie d’aller plus loin. Toute sa chair désirait découvrir cette sensation qui lui était formellement interdite par la bienséance, leur lien de famille. C’était totalement irraisonné, elle le savait, mais ne parvenait pas à lutter. Elle était faible, prisonnière de ses douces sensations alors qu’elle le sentait se retirer de ses lèvres. Une présence qu’elle regrettait, son regard troublé s’entrouvrant pour observer les traits de son cousin, son amour secret, interdit. Il était magnifique, le regard brillant, doux et profondément attentionné, amoureux, peut-être ? Elle ne pouvait le dire. Elle avait l’impression que c’était le cas. Il ne résistait pas, vint même revenir à ses lèvres pour les embrasser, les dévorer avec douceur et amour. Ce baiser n’était pas anodin, il avait une signification qu’elle comprenait bien qu’un peu perdue, incapable de réfléchir. Elle sentit sa main glisser sa nuque pour répondre à son baiser, à l’instant même où il vint poser la sienne contre la sienne. Il soupira son prénom dans une voix si profonde, si courte, si envoutante qu’elle sentit son cœur s’emballait plus encore. Elle ne savait pas si c’était possible, mais elle en avait la sensation alors qu’il mordillait sa lèvre, quémandant qu’elle lui offre cet accès à sa bouche. Une supplique à laquelle elle accéda sans hésitation, sans réfléchir, ses lèvres s’entrouvrant pour recevoir ce baiser plus intime que pouvaient l’être les précédents.
Elle sentit sa poitrine se soulever fortement à la caresse tendre et intime de leurs deux langues qui se découvraient pour la première fois. C’était envoutant et électrisant. Shana se laissait totalement plonger dans cet acte interdit, ne songeant à rien, si ce n’est à l’affection profonde de cet homme qu’elle chérissait tout autant. Elle répondait à son baiser, laissant sa main libre caresser sa barbe, savourant le toucher de celle-ci sur la pulpe de ses phalanges. Perdu dans ces baisers qu’ils s’offraient, comme s’il avait allumé une étincelle en elle, elle laissant cette main glisser sur sa gorge, sa clavicule dans des gestes tendres et sensuels. Elle savourait la texture de cette peau comme le rythme cardiaque endiablé, similaire au sien qui grondait dans sa poitrine. Elle laissait son autre main glisser dans les boucles de son cousin avec la même tendresse qu’auparavant. Elle était submergée par cet élan d’amour et de tendresse qu’elle avait pour cet homme. Elle se sentait tellement bien à cet instant, en désirait tellement plus également. Sa posture était différente ce soir. Sous cet homme, elle n’était plus sa cousine, il la touchait et l’embrassait comme une femme. Une femme à part à qui il accordait toute son affection et son attention. Elle ne l’avait jamais vu ainsi, avec quiconque. Elle sentait son cœur imploser dans sa poitrine, elle voulait profiter de ces bienfaits. Elle laissait ses doigts glissaient délicatement sur son torse pour sentir la forme de ses muscles au travers du tissu.
Il était magnifique. Elle l’avait toujours pensé, et ce depuis sa plus tendre enfance. Sa beauté était naturelle, sauvage, à la fois douce et inaccessible. Elle touchait cet homme qu’elle n’aurait jamais dû désirer, ni même avoir l’opportunité de l’obtenir de cette façon. Seulement ce soir, elle ne pensait plus à rien. Elle succombait à ses baisers, venait y répondre dans des soupirs éloquents du bien-être que le contact de son corps, de ses doigts, de ses lèvres avait sur sa chair. Elle laissa ses doigts frôlaient ses abdominaux, s’immisçant délicatement et toute en sensualité pour frôler cette chute de reins avec tendresse. Des muscles bien formés qu’elle sentait sous les paumes de ses mains alors qu’elle suivait leurs courbes pour rejoindre ses côtes, ses hanches. Ces mouvements se faisaient gracieux et sensuels, tendres et amoureux. Toute cette passion trahissait ce sentiment qui l’étreignait : elle avait envie de lui.
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| | | Je ressemble à « : Marlon Teixeira ». J'ai égaré : 504 parchemins. Ma bourse est remplie de : 190 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Lun 22 Sep - 0:51 | |
| L'esprit de Joaquin se trouvait résolument embrouillé par l'alcool et la drogue qui s'écoulait dans ses veines. C'était résolument ce qu'il était en train de songer alors qu'il dévorait du regard Shana, tant qu'il ne pouvait pas s'empêcher de la trouver résolument éblouissante sous ses yeux. Il l'avait toujours trouvé ravissante et ne pouvait pas s'empêcher de le penser plus fortement alors qu'il avait la chance de pouvoir la surplomber et de l'admirer. Il n'avait alors qu'une envie : celle de la voir sourire, celle de la voir heureuse à ses côtés. Il voulait la couvrir d'amour et d'attention, bien plus qu'il n'avait pu le faire avec n'importe quelle femme qui avait croisé son chemin. Joaquin était certes un coureur de jupon, mais il ne lui paraissait jamais avoir agi ainsi avec d'autres femmes. L'Hispanique n'avait d'ailleurs jusqu'à ce jour jamais senti son coeur battre si rapidement, un fait sur lequel il se devait sans doute de réfléchir, mais en cet instant il préférait se concentrer sur la belle femme qui était contre son corps. La robe blanche qu'elle portait lui saillait parfaitement, mettant en avant ces belles jambes et ces fines épaules. Il avait envie de les embrasser, de baigner ce corps de baisers pour lui transmettre tout cet amour qu'il ressentait en cet instant.
De ce fait, il n'avait guère résisté à nouveau venir embrasser ses lèvres avec douceur et amour. Une tendresse réelle alors qu'il laissait sa main venir se poser derrière la nuque de Shana, la caressant alors avec affection. Les yeux fermés, les sensations se trouvaient encore plus intenses, il suivait chacune de ses envies sans retenue, soupirant le nom de sa cousine dans une voix profonde et rauque. Ce baiser tendre vint s'approfondir, amenant à découvrir un baiser bien plus intime, bien plus sensuel que ceux qu'ils avaient partagés jusqu'alors. Leurs langues se découvraient pour la première fois dans un baiser ô combien plaisant et envoûtant. Son autre main était venue se poser sur les hanches de Shana, effectuant de légères caresses alors qu'il sentait la main de Shana se poser contre sa barbe naissante, un contact ô combien plaisant pour Joaquin qui aimait ressentir résolument son amante caresser son corps. La jeune femme semblait être séduite par le corps qui se trouvait sous ses yeux, laissant ses doigts glisser sur sa gorge, sa clavicule dans des gestes tendres et sensuels. Son autre main n'en était pas sans reste, venant caresser les boucles de ses cheveux avec tendresse et affection. Des caresses qui amenaient Joaquin à se sentir particulièrement bien contre elle, savourant chacune de ses attentions. Son coeur battait à un rythme effréné, sensible à l'ensemble de ses baisers et de ses caresses. Dans le même temps, le jeune homme avait laissé sa main se perdre sur les hanches de la demoiselle, glissant sur le bas de sa robe jusqu'à atteindre l'une de cuisses nus pour les caresser avec tendresse. Shana n'en était pas moins active, ces doigts glissant sur la torse qu'elle semblait aimer ces formes musclées à son plus grand enchantement.
Une femme à part à qui il accordait toute son affection et son attention. Elle ne l’avait jamais vu ainsi, avec quiconque. Elle sentait son cœur imploser dans sa poitrine, elle voulait profiter de ces bienfaits. Elle laissait ses doigts glissaient délicatement sur son torse pour sentir la forme de ses muscles au travers du tissu. Un fait qui ne pouvait que l'emmener à sourire alors qu'il soupirait de bien-être contre ses lèvres ô combien plaisantes. Il ignorait pourquoi, mais chacune de ses caresses amenait son corps à s'échauffer un peu plus, ayant résolument chaud dans ce tee-shirt qui lui semblait de trop sur son corps. C'est pourquoi il ne put qu'être ravi que ses doigts viennent frôler ses abdominaux, ces derniers s'immisçant délicatement et avec sensualité sous son tee-shirt pour caresser sa chute de rein, ces mains venant se perdre sur ses côtes et ses hanches. Un fait qui ne put que le ravir alors qu'il souriait au creux de ses lèvres, mettant fin au baiser alors qu'il se redressait légèrement pour enlever son tee-shirt dans des gestes volontairement sensuels, offrant alors la vue de son torse à Shana. Le regard qu'elle lui lança à cet instant ne put que le ravir alors qu'il venait abaisser son visage contre la nuque de Shana, laissant ses doigts repousser sa douche chevelure pour lui laisser l'opportunité d'embrasser avec sensualité cette nuque découverte. Shana avait résolument choisi une robe parfaite pour ce jour, lui permettant de dévorer de baisers sa peau découverte. Une peau qu'il ne vint résolument bouder alors qu'il l'embrassait avec sensualité, laissant sa main se perdre sur l'une des cuisses nues de la jeune femme.
Joaquin avait résolument chaud contre cette femme et même en tee-shirt il ne lui semblait pas avoir moins chaud qu'auparavant. Un fait qui pouvait s'expliquer à la vue de ce corps si plaisant contre lui, bien plus que n'importe quel autre corps qu'il avait déjà pu dévorer de ses lèvres. Le corps de la belle Hispanique lui semblait ô combien attirant, l'amenant à embrasser avec encore plus d'envie cette chair. Joaquin se sentait résolument à l'étroit dans son pantalon, pouvait-il allégrement avouer alors que ces baisers descendaient progressivement jusqu'à atteindre la limite de sa poitrine. Résolument coquin, le jeune homme vint remonter ces baisers, avec lenteur jusqu'à atteindre son oreille qu'il vint mordiller alors qu'il susurrait le nom de Shana dans une voix suave. L'une des ses mains vint relever le corps de Shana pour laisser l'une des ses mains se rapprocher de la la fermeture de sa robe, l'abaissant alors qu'il venait faire glisser celle-ci. Il ne mit guère longtemps alors avant de venir laisser sa main se faufiler dans son dos pour caresser sa chair qu'il trouvait résolument douce. Un compliment qu'il ne put s'empêcher de murmurer au creux de son oreille, embrassant cette dernière.
De sa main libre il vint abaisser délicatement le haut sa robe, dévoilant alors son épaule qui était jusqu'alors couverte par la robe. Une peau qu'il vint délicieusement embrasser, taquinant sa chair, sa main venant à nouveau caresser sa cuisse, remontant l'extérieur jusqu'à se faufiler dans l'intérieur de la robe pour caresser la peau de ses hanches particulièrement irrésistibles. Ces lèvres vinrent alors taquiner sa poitrine embrassant le haut de celle-ci avec sensualité. Les doux soupirs qui s'échappaient des lèvres de Shana ne pouvaient que le ravir, son corps si brûlant au contact de ses mains qui prenait soin de se balader sur son corps à demi nu. |
| | | Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Lun 22 Sep - 23:30 | |
| Sans doute que l’alcool lui montait à la tête. Elle ne savait plus quoi penser de cette soirée, des raisons qui la menaient à agir de la sorte. À vrai dire, son esprit était totalement déconnecté de sa raison, se laissant simplement aller à toutes ses charmantes sensations qu’elle vivait auprès de cet homme. Un homme qu’elle chérissait de tout son cœur, de toute son âme. Un homme en qui elle avait totalement consciente, capable de lui confier sa vie sans ressentir la moindre crainte qu’il ne la trahisse. Un amour sincère et tendre, fraternel. Du moins, elle l’avait toujours pensé avant ce jour, sans même en prendre conscience. Elle adorait cet homme. Le regard qu’il lui portait lui faisait un bien fou comme la douceur de son regard. Elle se sentait si bien ainsi, contre lui, son corps s’embaumant de la chaleur de celui qui la cajolait avec tant de tendresse. Une douceur dont elle se trouvait dépendante, celle-ci éveillant des pensées qu’elle n’avait jamais osé s’avouer jusqu’alors. Son esprit libre, vidé de toute pensée, elle laissait ses sens parler pour elle, profiter des bienfaits des attentions de cet homme tout en lui en offrant également. Elle se sentait si bien, ainsi, sous son corps brûlant et bienveillant. Elle sentait son cœur battre promptement dans sa poitrine. Ils l’enivraient, la bouleversaient totalement. Elle ne luttait pas, se laissant porter par le bien-être qu’éprouvait son être face à leurs baisers, leurs douces caresses.
La pulpe de ses doigts appréciait la texture ferme et chaude de la peau de Joaquin. Dans des gestes lents et langoureux, elle découvrait cette peau interdite qui éveillait ses entrailles avec une telle aisance. Sa respiration se faisait plus forte, plus difficile, ses sens s’enivrant de son odeur, de son toucher. Elle avait l’impression que le moindre contact, baiser ou caresse était décuplé. C’était si envoutant, si bouleversant. Elle savait Joaquin tout aussi sensible. Elle pouvait entendre son souffle fort et difficile frôler la chair de son visage entre deux baisers. Elle avait le regard troublé, le cœur fou à cause de lui. Elle était envoutée par lui, par son expression, ses sourires. Il était si magnifique, si séduisant dans ses gestes et actions. Elle le contemplait avec fébrilité, charmée par cet homme qui s’était redressé légèrement pour retirer son T-shirt dans un mouvement sensuel. Il semblait particulièrement ravi, troublé de lui offrir cette vue sur son torse. Un torse qu’elle avait tant l’habitude d’admirer, de se blottir contre lui en accoutumé. Pourtant ce soir, il avait un effet particulier, sexuel sur elle, presque un goût d’interdit. Il n’y avait plus rien d’innocent dans leurs gestes, leurs baisers.
Il la désirait tout autant qu’elle avait envie de lui. Elle sentit son cœur battre follement dans sa poitrine, troublée et endiablée par les baisers que Joaquin venait déposer sur sa nuque. Il l’embrassait avec sensualité, sa barbe taquinant sa peau brûlante et frissonnante. C’était si plaisant, si envoutant et troublant. Elle avait l’impression que tout son être se transcendait par ce contact, sous les doigts de cet homme. Elle soupira de bien-être dans un souffle chaud, la chair de sa cuisse frémissante sous le doux contact des phalanges de son tendre cousin. Un cousin qui n’en avait plus que le titre tant ses actions de ce soir l’éloignaient de cette place innocente qu’il devait avoir à ses côtés. Elle appréciait le toucher de ses doigts, de sa bouche contre son cœur et de façon inconsciente : elle le désirait également. Elle se laissait dévorer par cette douce chaleur. Le plaisir qui s’immiscer dans ses veines traversait la moindre parcelle de sa chair. Ses doigts glissaient délicieusement sur la peau ferme et musclée de son cousin. Elle savourait la moindre de ses formes, trouvant ses muscles si beaux et attrayants. Elle laissait son corps exprimer son bien-être, son cœur battait si vivement dans sa poitrine que Joaquin devait résolument l’entendre tremblait sous ses lèvres qui descendaient au creux de sa poitrine. Il n’avait de cesse de la taquiner, se montrant particulièrement sensuel et déterminé dans ses actions.
Shana fermait ses paupières pour profiter de ses sensations qui étreignaient si violemment sa chair. Elle sentait ses commissures glissaient sur sa nuque, rejoignant son oreille, la mordillant. Ces contacts fripons la troublaient, la rendaient fébrile et brulante. Ce murmure contre son oreille rendait sa peau si brûlante, si déstabilisée. Elle pouvait sentir sa poitrine se soulever fortement, offrant l’opportunité à Joaquin d’abaisser la fermeture éclair de sa robe pour caresser la peau de son dos. Toutes ses actions la troublaient tant, rendaient son cœur si tremblant dans sa poitrine. Elle sentait son souffle devenir plus brulant, le tissu de sa robe quitter la chair de son épaule pour ouvrir le haut de son buste entièrement nu au regard de son cousin. Elle se trouvait totalement à sa merci et sa chair n’avait de cesse de frémir sous ses lèvres, ses caresses. Elle se faisait délicieusement dévorer par cette chaleur qui l’assaillait de toute part. Elle fondait littéralement sous ses actions, ses lèvres contre sa poitrine. Elle susurra son prénom dans une toute petite voix, se mordillant la lèvre. Une de ses mains vint se mouvoir sur le bras de son potentiel amant, savourant la texture de ses muscles pour rejoindre son épaule, sa nuque. Elle sentait son cœur imploser dans sa poitrine, une de ses jambes se pliant pour venir se poser près de la hanche de son cousin, son autre main jouant avec ses cheveux. La position qu’elle avait ne lui permettait pas de répondre à ses caresses, quand bien même le désir se trouvait là.
Elle sentait les douces lèvres de l’Hispanique glisser entre sa poitrine, dévorant avec tendresse la chair qui s’y trouvait. Ceci la rendait folle et elle se mordillait les lèvres, ses doigts contre sa nuque l’intimant à poursuivre. Les yeux clos, elle savourait le contact de ces commissures sur la peau d’un de ses seins, sa barbe frôler l’un de ses boutons de chairs avant d’y déposer ses lèvres. Elle soupira son surnom dans un souffle chaud, à peine audible. Son cœur tremblait dans sa poitrine, tout contre la pression de ses lèvres que venaient goûter à la chair de sa poitrine avec amour et dévotion. Il provoquait un véritable ras de marré en elle. Cela la rendait folle et terriblement fébrile, chamboulé. Elle n’opposait aucune résistance. Au contraire, elle laissait ses sens guidaient la moindre émotion qui la traversait, l’exprimant de façon franche, sans aucune honte. Elle fondait littéralement sous la chaleur de son corps, sa peau se parsemant de frisons qui la rendaient dingue, s’offrant tout simplement aux attentions de cet homme qu’elle découvrait pour la première. Elle avait cruellement envie de lui, de se soumettre à lui.
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| La vision qu'il avait devant ces yeux se trouvait résolument parfaite. Il avait la chance de pouvoir admirer le corps d'une femme ô combien magnifique, bien plus magnifique que n'importe quelle autre femme qu'il avait eu dans ses draps. Shana avait quelque chose en plus que toutes les autres n'avaient pas qu'il ne saurait définir. Elle lui semblait bien plus attirante tant il n'avait qu'une envie : la couvrir de baisers, l'aimer comme jamais il n'avait aimé une autre femme. Des pensées qui le troublaient résolument alors qu'il continuait d'embrasser la chair de Shana qui se trouvait devant ses yeux. Chacune de ses pensées ne pouvait que s'accentuer alors qu'il sentait les mains coquines de Shana caresser son torse avec envie. Elle le dévorait aussi de regard alors qu'il pouvait lire tant de fébrilité dans ses yeux, ces gestes traduisant chacune des émotions qu'elle ressentait. Ces caresses n'étaient plus de simples caresses entre cousins, il s'agissait de vraies caresses qu'échangaient une femme et un homme qui se désirait, s'aimait sans doute bien que Joaquin ne se l'était jamais avoué. L'Hispanique aimait embrasser la chair de sa nuque, laissant sa barbe naissante frôler sa chair. Ces mains caressaient ses cuisses presque nues de cette femme, savourant les caresses qu'elle lui donnait à son plus grand plaisir.
Bien impatient et un peu pervers, Joaquin n'avait pas résisté trop longtemps avant de venir d'abaisser la fermeture éclair de la robe de Shana dans le souhait d'ouvrir le haut de son buste à sa vue. Il ne pouvait résolument pas s'en plaindre alors qu'il avait la vue d'une fabuleuse poitrine sous ses yeux. Il avait déjà eu l'occasion de l'observer, non pas qu'il soit pervers, mais la vue qu'il avait lui donnait résolument envie. Elle était parfaite. Joaquin n'attendit alors guère longtemps avant de déposer ses lèvres contre sa nuque nue, déviant progressivement jusqu'à atteindre le haut de sa poitrine. Le soupir de Shana ne put que l'amener à vouloir la rendre encore plus fébrile. Cette dernière, bien que bloquée par son corps et sans doute la différence de poids, vint laisser sa main caresser les muscles de son épaule et de sa nuque. Sa jambe était venue se plier pour se poser près de la hanche de son cousin, sa main jouant avec ses cheveux bouclés. Un geste qui ne put que le faire sourire gentiment alors qu'il s'appliquait à rendre encore plus folle son amante. Ces lèvres vinrent se glisser entre sa poitrine, embrassant cette dernière alors que sa barbe frôlait sa délicieuse poitrine. Joaquin était ravi de voir à quel point Shana appréciait ses baisers, la chaleur de son corps s'accentuant alors qu'il déposait enfin ses lèvres sur l'un de ses boutons de chair. Le soupir de Shana ne put que l'amener à embrasser plus fermement cette poitrine, aimant tant la voir se tendre sous ses baisers. Souriant, il vint s'amuser à la mordiller avec délice et embrasser sa chair avec amour. Joaquin ne se lassait résolument pas de goûter à cette chair, savourant sa douce texture. L'une de ses mains vint taquiner l'autre sein de son amante, laissant ses doigts rouler sur cette dernière, jouant avec son bouton de chair. Ainsi, Shana se retrouvait sous le joug de Joaquin, telle une victime de l'attention et de l'amour que Joaquin éprouvait pour sa personne. Il voulait l'aimer comme jamais il n'avait aimé une autre femme et ses attentions étaient bien là pour le prouver.
Sentant le coeur de Shana battre de plus en plus rapidement et la température de son corps augmenter, il vint sourire doucement avant de prendre entre ses lèvres son autre sein. Sa main remplaçant déjà sa place précédente, il vint embrasser avec sensualité et lenteur cette poitrine, s'amusant à fuir son bouton de chair. Il resta ainsi une bonne minute à la taquiner de la sorte, soufflant son nom dans une voix suave alors qu'il embrassait, mordiller ce dernier jusqu'à atteindre ce petit bouton de chair qui n'attendait plus qu'à recevoir cette douce pénitence. Le soupir qui vint s'échapper des lèvres de son amante fut un délicieux cadeau pour le jeune homme, ravi de voir que Shana appréciait chacun de ces baisers, chacune de ces attentions. Néanmoins, il quitta cette délicate poitrine pour venir remonter jusqu'à sa nuque dans des dizaines de baisers. Ses lèvres vinrent se rapprocher des lèvres de son amante, les éloignant l'une de l'autre alors qu'il avait la chance de pouvoir admirer les yeux fébriles de son amante. Une vue ô combien plaisante tant qu'il ne put résister et vint embrasser Shana dans un baiser passionné, ne lui laissant nullement le temps de protester. Ces mains n'en étaient pas pour autant inactives, ces dernières se faufilaient sur la chair de son amante, venant glisser sous cette robe et la soulevant légèrement il vint lui entre des baisers langoureux, ses mains découvrant sa chair. Peut-être était-il un peu trop fougueux, il l'ignorait, mais il ne souhaitait que faire découvrir à Shana le plaisir à ses côtés.
La trouvant alors nue sous son regard il vint arrêter ces baisers, se relevant légèrement prenant le soin d'observer ce corps quasi nu sous ses yeux. Un corps ô combien plaisant qui ne pouvait que lui donnait envie, ayant l'impression d'être bien trop pressé dans ce pantalon blanc qui ne cachait sans doute rien à ses envies. Néanmoins, en cet instant, il n'avait pas à s'occuper de lui-même, il se devait d'embrasser Shana, elle devait être le centre de son attention, rien de plus, ni de moins. Dans une voix résolument suave il vint lui murmurer au creux de son oreille : « Shana… tu es vraiment belle... tu n'as rien à envier aux autres femmes, résolument magnifique tu l'es. » des mots qu'il ne put s'empêcher de murmurer à nouveau pendant quelques secondes avant de venir lui voler un baiser tendre, ses lèvres caressant leurs compères avec tendresse. Sa main droite vint caresser avec douceur les traits de sa mâchoire, alors que son autre main caressait avec tendresse et amour sa hanche, frôlant sa culotte en dentelle qui lui allait à ravir. Cette main vint progressivement descendre jusqu'à ses cuisses, se glissant entre ses jambes alors que volontairement il caressait l'intérieur de celle-ci, sans jamais véritablement se rapprocher de cette zone sensible qui rendait folle toutes les femmes. Autant dire que cela lui tardait, particulièrement attiré par ses gémissements et ce regard de braise. |
| | | Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Dim 28 Sep - 22:53 | |
| La sensation qui l’étreignait se trouvait à la fois et enivrante. Elle sentait la température de son corps augmenter délicieusement sous les actions coquines de son partenaire, qui savait si fort bien rendre impétueux son cœur. Elle le sentait battre promptement dans sa poitrine, prête à imploser tant elle sentait son corps réceptif à ses attentions. Elle se lissait totalement aller à celles-ci, n’opérant aucune résistance tant elle appréciait le contact de cet homme. Sa peau frissonnait sous les souffles chauds et intéressés de Joaquin. Le contact humide de ses commissures contre sa chair éveillait des papillons dans le creux de ses entrailles. Sa poitrine se soulevait délicieusement, charmée par les frôlements de cette barbe contre son épiderme. Son esprit résolument dépaysé par ses sensations envoutantes qui l’étreignaient avait cessé de lutter contre toute raison. Elle se soumettait aux actions de son cousin, ne prenant nullement conscience de l’étrangeté de ces actions qui allaient bouleverser à tout jamais leur relation. Ils dépassaient une frontière qu’ils n’auraient jamais dû outrepasser, ni même songer à le faire. Ces baisers et caresses qu’ils échangeaient n’avaient rien d’innocent. Ils étaient le reflet d’émotions qui n’auraient jamais dû les transpercer, sous peine de se perdre.
L’alcool enivrait leurs sens et leurs esprits. Ils n’étaient plus que des marionnettes dirigées par les ficelles de leurs cœurs, qui leur faisaient connaitre une pure folie. Une folie résolument pénétrante qui marquait à jamais leur chair comme un fer chaud. Il n’y avait à cet instant aucune lueur de conscience dans les veines de Shana. Sous le jonc des lèvres et des mains de son cousin, elle laissait sa chair s’enivrait, être possédée par des frisons ô pénétrants qui n’avaient de cesse de troubler son corps. Les lèvres de Joaquin flattaient sa chair de mil baisers tous aussi perturbants que le toucher d’un papillon. Il embrassait sa poitrine comme un trophée devant lequel il s’émerveillait. C’était si plaisant, si pénétrant qu’elle sentît, sa poitrine réclamait, sa pénitence, impatiente et gourmande de ce contact qui savait tant la rendre fébrile. Ses seins s’affermissaient contre ses actions, montrant sans gêne aucune le bien-être qu’il pouvait lui procurer. Elle sentait sa peau brulante. Chaque parcelle de son épiderme réagissait favorablement aux actions de cet homme, qui était comme un frère pour elle. Un frère de cœur qui perdait ce titre pour devenir un homme, un amant, pire l’être avec qui elle trompait son fiancé dans tous les sens du terme. Ce n’était pas qu’une attraction physique qu’il y avait entre-deux. Il y avait quelque chose de plus profond, de plus interdit encore, mais qui transpiraient au travers de leurs actions. Ils s’aimaient. Malgré la singularité de leur relation, il y avait cette passion mêlée à cette tendresse, cet amour qui dévorait leurs entrailles.
Elle savait Joaquin bien plus doux, bien plus attentif à ses réactions. Il désirait la combler, rendre sa chair brûlante et tremblante sous ses actions. Elle l’était et ne le camouflait nullement. Elle en était incapable. Elle pouvait sentir son cœur battre dans ses tempes, sa respiration se faisant plus fort et intense. Il n’avait de cesse de susurrer son surnom, celui qu’il était le seul à utiliser, dans une voix qui savait tant troubler son cœur. Elle venait délicieusement gémir sous ses mordillements, ses baisers fripons et frustrants. Il éveillait cruellement ses sens, tant et si bien qu’elle se trouvait à sa merci. Elle se laissait faire totalement. Une de ses mains quant à elle glissait dans la chevelure de son cousin, l’incitant silencieusement à poursuivre, à continuer ces baisers si dévorants. Son autre menotte frôlait délicieusement l’épaule de cet homme, savourant la moiteur de cette chair qui semblait s’embraser à son contact. Elle fondait littéralement sous lui et son cœur et son âme semblaient prêts à être dévorés par cette folie. Elle se laissa embrasser passionnément, venant répondre à ce baiser avec la même folie. Elle adorait le contact de ses commissures sur les siennes, la douceur avec laquelle elles venaient se mêler aux siennes. Elle pouvait sentir son cœur devenir fou dans sa poitrine alors qu’elle sentait les mains de l’Hispanique lui retirer sa robe. L’air frais ou peut-être tiède de la pièce ne venait nullement atténuer la chaleur incandescente qui chamboulait son corps.
Le souffle court, elle ne put qu’émettre un léger soupir de frustration lorsqu’elle sentit ses lèvres et ce corps se désolidariser d’elle. Elle ouvrait ses paupières et se trouva face à une vue résolument troublante et magnifique. En appui sur ses bras, l’espagnol la fixait intensément, troublé par la vision qu’elle lui offrait. Son regard n’avait rien à lui envier tant son cœur battait fortement contre sa poitrine. Elle se mordit les lèvres, consciente de l’état d’excitation dans lequel se trouvait son cousin. Elle pouvait l’entrevoir serré dans ce pantalon moulant qui mettait résolument en valeur la chute de ses reins. Elle aurait voulu lui retirait, mais elle se sentait incapable de se relever, de venir prendre le contrôle. Une partie de son cœur appréciait l’inactivité dans laquelle elle se trouvait, se trouvant si comblée d’être la victime de l’ambition de son cousin. Cela était si envoutant. Elle frissonna au contact du souffle chaud de Joaquin contre son oreille. Il lui murmurait dans une voix résolument émue et suave qu’il la trouvait vraiment belle. Elle n’avait rien à envier aux femmes tant il la trouvait magnifique. Des paroles qui ne purent que l’émouvoir alors qu’elle venait le fixer avec émotion. Elle se laissa embrasser, laissant une de ses mains retrouver le visage de son cousin. Elle caressa sa mâchoire avec douceur, répondant au baiser délicat et doux de cet homme qui la troublait tant. Elle soupirait contre ses lèvres, sentant l’autre menotte de son compagnon glisser sur sa hanche pour rejoindre son aine, sa cuisse. Dans des gestes sensuels et doux, il caressait sa chair, frôlait son dernier vêtement sans pour autant y rester plus longtemps.
Ses caresses la troublaient cruellement, sentant ces phalanges flatter l’intérieur de ses cuisses sans pour autant frôler une partie de son corps qui s’impatienter. Elle sentait ses jambes tremblaient délicieusement sous ce contact dépaysant. Elle vint gémir contre ses lèvres, sentant ses joues rougir sous le regard charmé de son cousin. Elle laissa sa main glisser sur le bras de l’Hispanique pour rejoindre la sienne, se mêler à la sienne. Elle murmura son prénom dans une voix faible alors qu’elle glissait son autre menotte dans ses cheveux. Elle avait la poitrine qui se soulevait violemment impatiente qu’il la caresse et son regard lui intimait de le faire. Elle se mordait les lèvres à chaque effleurement de ses doigts près de cette partie. Il ne pouvait ignorer qu’elle attendait cela, qu’il la frôle, la caresse du bout de ses doigts. Elle prononça de nouveau son prénom dans une plainte faible tant son souffle se trouvait fort et saccadé. Une supplique qui la rendait cruellement fébrile alors qu’elle sentait enfin ces doigts s’inviter sur le tissu de sa culotte en dentelle. Tel un expert, il laissa ses doigts glisser délicieusement sur la dentelle dans de légers passages. Des caresses qui le firent délicieusement gémir. Sa main mêlée à celle de son cousin vint approfondir sa poigne à cause du plaisir qui s’immiscer dans ses veines, son autre menotte glissant sur sa nuque. Elle se pencha en avant pour l’embrasser délicatement, en douceur dans un gémissement. Elle voulait qu’il la touche, qu’il la caresse, lui donne la sensation d’être femme. Elle aimait ce chaos qui la bouleversait, l’enchantait et avait inconsciemment envie de connaitre ce paradis terrestre avec lui. Un homme qui connaissait sans doute comment tourmenter une femme, la rendre folle. Ce qu’elle était et désirait devenir.
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| | | Je ressemble à « : Marlon Teixeira ». J'ai égaré : 504 parchemins. Ma bourse est remplie de : 190 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Lun 6 Oct - 2:22 | |
| Dévorer du regard la belle hispanique, il n’y avait résolument rien de plus intéressant et captivant que le corps de Shana qui se trouvait sous ses yeux. Elle se trouvait belle, ravissante, sans doute la plus belle femme qu’il avait eu l’occasion de voir. Son cœur qui battait si rapidement dans sa poitrine se trouvait témoin de cette scène. Joaquin avait eu de nombreuses femmes dans son lit en tant que Dom Juan, des femmes de toute sorte, des minces, des femmes moins minces, des femmes asiatiques, des femmes latines… mais, aucune à ces yeux n’avait paru aussi plaisante et attirante que Shana. Sans aucun doute que ce détail aurait dû marquer son esprit, mais l’alcool et la drogue qui coulaient dans ses veines ne lui permettaient nullement de réfléchir sereinement. Joaquin se laissait seulement guider par ses sens et ses envies, cela lui convenait parfaitement alors qu'il lui lançait un regard résolument conquis par sa personne. Il lui semblait être en feu tant face à elle tant son corps brûlait face à Shana. Elle se trouvait quasi nue sous ses yeux, une vision résolument parfaite pour l'homme qu'il était. Tant qu'il n'eut aucun mal à lui offrir un magnifique sourire alors qu'il venait susurrer au creux de son oreille chacun des mots qu'il pensait, sans aucune honte. Il lui avait tout simplement avoué qu'elle était résolument belle, n'ayant tout simplement rien à envier aux autres femmes tant il la trouvait magnifique. Joaquin n'avait pu nullement résister à l'appel des lèvres de Shana à la suite de ces mots, venant embrasser avec douceur et tendresse celles de Shana. Il n’avait aucune raison de rendre ce baiser plus intense, préférant savourer la texture de ces dernières avant de songer à rendre plus intense le contact de leurs chairs. Joaquin appréciait les caresses de son amante sur mâchoire, une amante qu'il ne laissait nullement de côté, l'une de ses mains glissant sur sa hanche pour rejoindre l'intérieur de sa cuisse. Une caresse qui sembla réveiller la chair de son amante qu'il sentait frissonner. Un fait qui ne pouvait que le ravir, ces doigts coquins venaient taquiner cette cuisse, la sentant si sensible.
La drogue qu coulait dans ses veines devait sans doute en partie l'amener à ressentir plus de sensations, mais il imaginait qu'habituellement elle devait apprécier ses caresses. Joaquin savait parfaitement comment rendre fébriles les femmes et il comptait bien lui montrer en ce jour. Shana ne serait plus que la douce victime de ses attentions, elle n'aurait nullement le choix tant Joaquin souhaitait lui faire vivre toutes ses sensations qu'elle méritait plus que n'importe quelle autre femme. Shana se trouvait spéciale à ses yeux, elle se devait de ce fait recevoir bien plus d'amour et d'attention que ces anciennes amantes. Elle méritait presque toute l'attention accumulée de toutes ses amantes depuis la première fois où il avait goûté le plaisir de la chair. Les gémissements de Shana se trouvaient si agréables à l'ouïe qu'il envie de les entendre toute la nuit, une pensée qui était résolument perverse, mais il n'en était nullement dérangé. Néanmoins, en vue de leur état mutuel, il doutait de ce fait tant ils se trouvaient déjà fébriles et si sensibles.
Joaquin ne put qu’apprécier ces caresses sur son bras, lui offrant un doux sourire alors qu’elle venait gémir son prénom. Shana ne semblait vouloir plus qu’être cette douce victime, il en était persuadé pendant qu’il remarquait que sa poitrine se soulevait particulièrement impatiente. Il voulait la voir fondre sous ses lèvres et ses caresses. Joaquin ne résista guère longtemps de plus avant de glisser ses doigts sur le tissu de sa culotte en dentelle, lui souriant alors qu’il effectuait des caresses contre son intimité. Des caresses certes légères, mais qui eurent le mérite de faire geindre Shana dans un gémissement résolument envoûtant. La main coquine de Shana vint lui indiquer d’approfondir sa poigne à cause du plaisir qui s’immiscer dan ses veines. Joaquin fut ravi de sentir les lèvres de Shana venir se poser contre les siennes dans un baiser doux et tendre, tout comme cette main qui caressait sa nuque. Joaquin avait particulièrement chaud dans ce jean, ayant envie de l’enlever pour découvrir le vrai contact de leur chair. Une envie à laquelle il ne résista nullement alors qu’il s’éloignait quelques instants de ses lèvres, de son corps pour se débarrasser de ce jean et ne se trouvait plus qu’en simple boxer noir.
Ainsi, Joaquin ne pouvait que se sentir plus à l’aise, laissant ses cuisses à présent libres se coller contre celles de son amante. Un contact résolument plaisant alors qu’il venait à nouveau recueillir ses lèvres gonflées par leurs baisers tendres et presque amoureux. Joaquin vint reprendre ses caresses, laissant ces doigts se balader sur le tissu de sa culotte en dentelle. Seulement, d’humeur taquine, l’Hispanique glissa ces derniers sous le tissu pour caresser son intimité avec délice, un contact qui eut le mérite de faire gémir au creux de ses lèvres son amante.
Résolument taquin, il vint abandonner les lèvres de son amante pour attaquer sa nuque dans de multiples baisers, mordillant cette dernière alors qu’il faisait descendre avec sa main libre la culotte de Shana. Ainsi, à présent, nue tout contre lui, il ne put gémir à son tout, se sentant résolument trop serré dans ce boxer qui ne laissait guère d’imagination en son état. Shana se trouvait résolument à être la plus belle femme qu’il n’avait jamais vu, ne cessait-il de se dire alors qu’il murmurait contre sa nuque qu’elle était aussi belle qu’une déesse grecque, sans doute bien plus. Les lèvres de Joaquin vinrent descendre à nouveau sur cette poitrine avec délice, s’amusant à taquiner ses boutons de chairs, sa main taquinant toujours son intimité qui se trouvait si moite. Autant dire que l’hispanique se trouvait dans tous ses états, souhaitant tant découvrir le plaisir de la chair à ses côtés, de la faire devenir une femme au creux de ses reins. Il s’agissait d’un désir malsain en vue de leur position respective, mais il n’en tenait plus cas, sinon il aurait arrêté depuis longtemps d’embrasser cette chair si délicieuse. Sa main taquine vint jouer avec clitoris de Shana alors qu’il lui souriait, venant embrasser à présent son ventre plat. L’objectif de Joaquin se trouvait clair : celui d’embrasser son intimité pour lui faire découvrir un plaisir qu’ils n’avaient jamais partagé. Il voulait la voir et l’entendre gémir son nom, la voir encore plus fébrile et l’entendre murmurer qu’elle voulait bien plus que ces caresses cocasses. Joaquin voulait la faire sienne en ce jour, aussi folle que pût être cette pensée. Ces doigts vinrent caresser à nouveau son clitoris avant que ces lèvres ne rentrent à la limite de son entrejambe, ses lèvres déviant volontairement sur l’intérieur de ses cuisses pour ne pas rentrer en contact avec son intimité. Il lui souriait alors, remarquant que l’une des mains de Shana se trouvait à présent dans sa chevelure bouclée comme pour lui indiquer de ne plus la taquiner et de l’embrasser enfin.
Une demande silencieuse à laquelle il ne put résister, ses lèvres venant à présent dévier sur son entrejambe, embrassant son intimité dans des baisers courts et taquins. Le son des gémissements de Shana se trouvait résolument plaisant pour l’homme qu’il était. Néanmoins, il vint ouvrir ses lèvres pour laisser sa langue découvrir cette dernière se sentant lui-même si serré dans ce maudit boxer. À vrai dire, intérieurement, il aurait souhaité que la situation soit inversé, sentir les lèvres de Shana sur son aine. Une image résolument plaisante tant qu’il se sentit encore plus fébrile, fermant les yeux alors qu’il découvrait la moiteur de l’intimité de son amante. Il voulait rendre fébrile Shana, encore plus qu’en cet instant, et il espérait pouvoir le réussir, bien qu’il n’en doutait pas alors qu’il remarquait que ses jambes s’ouvraient, lui indiquant silencieusement de continuer. |
| | | Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Lun 6 Oct - 16:42 | |
| Le chaos qui l’habitait se trouvait profond et troublant. Tout contre l’échine de son cousin qu’elle chérissait tant, le cœur de Shana semblait être malmené par toutes ses émotions qui la submergeaient. Sa poitrine n’avait de cesse de se soulever avec force tant son organe vital battait vivement dans sa poitrine. La chaleur qui envahissait la moindre parcelle de son corps se montrait particulièrement vile et déroutante. L’effet de l’alcool et de la drogue qui n’avaient de cesse d’endormir sa conscience, son esprit s’infiltrait dans ses veines et la laissait simple victime des actions et de la tendresse de cet homme. Un homme pour qui son cœur battait si vivement, à la fois heureux et troublé d’être la victime de sa douceur et de son affection. Elle se perdait littéralement dans cet échange luxuriant et y laissait, son cœur, son âme sans aucune limite. Elle savait ce partage, cette affection mutuelle et Joaquin n’avait de cesse de la cajoler comme une œuvre d’art qu’il désirait découvrir et satisfaire de la façon la plus sincère qu’il soit : en la faisant sienne. Shana ne pouvait l’ignorer, son cœur s’impatienter de l’émoi qui allait le submergeait lorsque ça serait le cas. Il ne s’agissait qu’une question de temps et quand bien même savait-elle cette situation irréelle, intolérable en temps normal, elle était résolument incapable de résister face à l’Hispanique, qui éveillait tant sa chair et son âme. Elle se laissait dévorer par cette ambition qui n’avait de cesse de s’accroitre dans ses entrailles, si réceptive aux actions coquines des phalanges de son potentiel amant.
Elle le sentit s’éloigner d’elle tout en rompant ce baiser qu’elle était venue lui voler. Cela se fit non pas sans une légère pointe de frustration de sa part. Elle pouvait sentir son cœur battre fortement dans sa poitrine alors qu’elle le voyait retirer son pantalon pour se retrouver en simple boxer face à elle. Elle déglutit, le cœur au bord des lèvres, le trouvant particulièrement sensuel et érotique ainsi. Le dernier vêtement qu’il portait ne cachait nullement l’excitation dans laquelle se trouvait son possesseur. Elle le dévorait du regard, ses yeux embrumés par cette fébrilité profonde qui la recouvrait entièrement de ses bras. Elle frissonna à son contact, se laissant de nouveau dominer par cet homme. Elle n’avait nullement cherché à agir, en étant résolument incapable tant elle se trouvait bien dans les draps qu’elle allait partager avec cet homme pour la toute première fois, dans cette intimité interdite. Une frontière était sur le point d’être dépassée et elle ne cherchait nullement à se raisonner. Elle en était résolument incapable. Au contraire, elle se laissa embrasser de nouveau, le cœur et le souffle fou tandis qu’elle sentait cette menotte s’immiscer de nouveau contre son intimité. Elle poussa un gémissement contre ces commissures qui vinrent la faire taire avec douceur et ambition. Elle laissa une de ses mains retrouver son bras, sa nuque avant de se choir contre sa clavicule. Elle avait la sensation de devenir folle tout contre lui, ses actions. Cette chaleur n’avait de cesse de croitre, de l’envouter. Elle se laissait totalement dominer par ses émotions, ses sensations qui la traversaient de toute part. Elle soupira de nouveau lorsqu’elle sentit les phalanges de Joaquin s’immiscer sous le tissu de sa culotte, les lèvres de l’Hispanique abandonnant les siennes pour rejoindre sa nuque, la baigner de ses attentions. Elle sentait sa chair en feu, résolument faible et attirée par toutes ses actions.
Sa main contre sa nuque vint de nouveau s’immiscer dans les cheveux de son amant, lui transmettant toute cette fébrilité et bien-être qu’il lui provoquer. Cela semblait tout autant le troubler comme elle pouvait le sentir tout aussi gémissant et gourmand de sa chair. Elle se retrouva rapidement mise à nue à son regard. Elle ne ressentait aucune timidité, ni gêne de l’être. Elle l’observait avec attention, se rendant compte que la vision qu’elle lui tendait l’envoutait tout autant. Elle amorça un mouvement pour laisser sa main venir le caresser au travers du tissu de son boxer, mais celui-ci vint s’éteindre avant même d’atteindre sa cible. Elle se trouvait résolument troublée, enflammée par ses baisers, ses paroles et ses caresses. Elle se laissait totalement malmenée par cet homme, sa poitrine se soulevant, venant à la recherche de ses commissures qui savaient tellement exalter, échauffer sa chair. Elles n’avaient rien à envier à ses phalanges qui caressaient avec sensualité les moindres remparts de son fruit défendu. Elle avait si chaud, sa voix n’était plus qu’un soupir étouffé par cette chaleur qui l’accablait. Un feu embrasant qui n’avait de cesse de s’intensifier et qui la fit geindre délicieusement lorsqu’il déposa ses lèvres près de l’objet de ce brasier qui la consumait au creux des reins. Il la tourmentait, jouait si aisément avec ses sens, son désir. Il savait comment la rendre folle et y parvenait merveilleusement bien, tant et si bien qu’elle n’était plus en mesure que de susurrer son prénom, lui suppliait muettement de continuer, de la rendre d’autant plus folle qu’il n’y parvenait déjà. Résolument envoutée par ce contact cocasse, ses phalanges vinrent rejoindre la crinière de son compagnon, enroulant celles-ci dans les boucles de cet homme pour l’intimer à poursuivre. Cette chaleur était si envoutante, paradisiaque, troublante.
Une demande muette à laquelle il vint répondre sans la moindre hésitation, laissant ses lèvres retrouver la moiteur de son fruit défendu pour le taquiner avec sensualité. Elle sentit un courant électrique la submergeait, la rendant incroyablement fébrile, sa poitrine se soulevant intensément. Elle sentait cet homme la dévorer de ses lèvres, de sa langue, sachant taquiner chaque partie sensible de cette intimité qui tremblait littéralement de plaisir. Ce bien-être s’immisçait dans son corps, lui faisant entrouvrir ses cuisses plus franchement pour l’accueillir de la sorte. Cette caresse coquine et intime la transcendait de toute part, la rendait si brûlante, si gourmande également. Elle se mordillait les lèvres, une de ses menottes nichées contre la chevelure de cet homme pour l’intimer de poursuivre, la mettre dans un tel état de dépravation qu’elle ne luttait nullement. Il la rendait si brûlante, si désireuse, si enchantée par ses actions. Son autre menotte s’accrochait aux draps fins de ce lit comme s’il s’agissait d’une chaine qui la reliait à une raison possible. Elle soupirait de bien-être, ses gémissements se faisaient de plus en plus présents alors qu’elle sentait son corps réagir si profondément à cette bouche. Elle s’agrippait à ses cheveux avec force, sentant sa chair si chaude et parsemée par ces gouttes d’eau qui transmettaient l’émoi dans lequel se trouvait toute sa chair. Elle finit par susurrer son prénom dans une voix chaude et suave, lui suppliant implicitement d’arrêter de la taquiner de la sorte. Elle n’en pouvait plus, elle en voulait plus. Elle laissa sa main glisser contre sa nuque, l’invitant à se relever, admirer son regard brillant la dévorer avec ambition. Il était si beau, si érotique, ainsi.
Elle l’intima à se rapprocher de ses lèvres. Contrairement aux précédents, elle l’embrassa sensuellement, goutant à la moiteur de ses tortionnaires qui avait tant su réveiller ses sens, son corps tout entier. Se plongeant corps et âme dans ce baiser, elle laissa ses lèvres dévorer ses comparses, sa main glissant sur son dos pour rejoindre ses reins, son bassin. D’une légère pression, elle l’invita à coller celui-ci contre le sien, lui laissant pleinement entrevoir la fermeté de son intimité contre la sienne. Elles se trouvaient simplement séparées par ce tissu qui représentait à cet instant la dernière barrière entre leurs deux corps, l’union possible de leurs deux chairs. Elle s’entendit gémir contre ses lèvres, sa poitrine frôlant le torse de son amant alors qu’elle laissait son intimité contre la sienne. En léger appui sur ses cuisses, elle laissait son bassin se frotter au sien grâce au ballet incessant de leurs lèvres qui s’embrassaient, se dévoraient avec lubricité et désir. Indirectement, elle l’invitait à la faire sienne, désirant tant sentir cette peau ferme à nue contre la sienne pour lui offrir ce plaisir profond que seul un homme pouvait provoquer à une femme. Ce qu’elle désirait même si c’était formellement interdit.
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| | | Je ressemble à « : Marlon Teixeira ». J'ai égaré : 504 parchemins. Ma bourse est remplie de : 190 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Sam 11 Oct - 1:25 | |
| L'Hispanique ne pouvait résolument qu'apprécier chacun des instants qu'il partageait avec cette si belle femme qu'il avait dans ses draps. Une femme qu'il dévorait de ses lèvres sans n'avoir aucune honte, souhaitant faire vivre à cette femme des moments résolument coquins. Ces lèvres venaient découvrir cette peau pour la première, ne s'en lassant nullement alors qu'il taquinait chaque parcelle de peau de la jeune femme. La vision de ce corps qui se trouvait être sa douce victime était résolument plaisante pour le jeune homme, souhaitant la dévorer. L'entendre gémir et murmurer son nom était très agréable tant qu'il s'amusait à laisser ses lèvres se rapprocher progressivement de cette zone qui aurait dû lui être interdite. Les mains de Shana sur sa chevelure serraient ses boucles, comme pour lui indiquer d'arrêter de jouer et d'enfin réaliser son souhait, celui de le voir enfin dévorer cette partie qui allait faire naître tant de sensations agréables. Il ne chercha nullement à résister plus longtemps à son propre fantasme actuel, venant tout simplement déposer ces lèvres sur son intimité avec sensualité.
L'Hispanique fermait les yeux alors qu'il la sentait frissonner tout contre lui, son corps se soulevant doucement au fur et à mesure des secondes qui s'écoulaient. Ce dernier laissait sa langue le taquiner, s'amusant à insister au niveau de clitoris. Une zone qui semblait attiser son désir alors qu'il sentait ses cuisses s'ouvrir plus franchement pour lui laisser plus d'espace et le laisser la dévorer. Un plaisir qu'il ne boudait nullement alors qu'il laissait sa langue se promenait sur son intimité, ravi de sentir cette dernière déjà si humide. Les différents baisers et caresses qu'il lui avait offerts semblaient avoir fait effet à son plus grand plaisir, ravi de voir qu'elle n'était pas insensible à ses charmes. Un fait qu'il ne doutait pas lorsqu'il entendait ses doux gémissements et qu'il sentait ses doigts s'agripper à ses cheveux. Il remarquait alors au bruit des draps que celle-ci les tirait, à son plus grand plaisir, s'amusant alors à la taquiner encore plus. Néanmoins, celle-ci semblait particulièrement fébrile et au travers de son gémissement venait lui intimer d'arrêter de la taquiner et de lui faire connaître ce doux parfum qu'était la luxure. Son corps effectuait de lui-même de doux mouvements, celle-ci la réclamant alors, sa main glissant contre sa nuque, l'invitant à se relever. Le jeune vint simplement alors abandonner avec un léger désarroi cette partie délicieuse et vint se relever à nouveau pour laisser leurs lèvres se rapprocher.
A contrario, ce ne fut nullement lui fut la personne qui initia le baiser, Shana se trouva particulièrement gourmande, l'embrassant sensuellement, lui permettant alors de goûter ces lèvres qui lui avait causé tant de bien-être dans son corps. Joaquin laissait l'une de ses mains alors caresser les traits si parfaits du visage de Shana. Il avait toujours apprécié de les caresser et l'alcool dans ses veines, il ne lui semblait tout simplement plus être capable d'arrêter ce visage digne d'une déesse. Joaquin ne pouvait qu'être ravi de sentir l'une de ses mains glisser dans son dos pour rejoindre ses reins et son bassin. Elle l'invita à coller leurs corps, lui permettant alors de sentir la fermeté de son intimité contre la sienne. Les actions qu'ils avaient poursuivies auparavant n'avaient pu que l'amener à être encore plus troublé et excité par sa personne, telles étaient ses pensées alors qu'il embrassait ses lèvres avec passion. Il lui semblait brûler de désir pour cette femme, sa main redescendant progressivement jusqu'à atteindre ses reins. Il semblait de plus en plus difficile au jeune homme de ne pas céder à ce corps, de ne pas avoir envie de ne pas unir leurs corps pour enfin connaître ses sensations de bien-être à ses côtés. Son souffle se faisait plus court, se sentant encore plus à l'étroit dans ce boxer qu'il trouvait de trop. Il désirait lui faire découvrir ce plaisir dont seul un homme pouvait faire vivre à une femme.
C'est pourquoi, il ne chercha nullement à résister guère longtemps avant de venir s'éloigner gémissant le nom de son amante, pour enlever ce tissu qui était résolument de trop et qui l'empêchait de se sentir à l'aise. Une fois nu, il ne put que laisser échapper un gémissement de bien-être, venant coller son corps à celui de son amante. Ses lèvres vinrent recueillir celle de son amante dans un baiser langoureux et sensuel, ravi de sentir enfin leurs corps nus se rencontrer. Son aine se trouvait résolument ferme tout contre elle, leurs deux intimités se rencontrant dans des mouvements sensuels et langoureux. Joaquin laissait des gémissements s'échapper de ses lèvres, l'une de ses mains venant caresser la nuque de son amante. Au milieu de l'un de ses baisers, il vint murmurer le nom de son amante, poursuivant dans une voix suave : « Sha... j'ai envie de toi... envie de découvrir ce plaisir à tes côtés. » Il vint l'embrasser dans un baiser particulièrement sensuel, l'une de ses mains venant descendre jusqu'à atteindre l'intimité de son amante, frôlant cette zone interdite dans un doux sourire alors ravi de la voir si humide. Il voulait la faire sienne en cet instant rien de plus.
C'est pourquoi il n'hésita nullement à couper son baiser un instant, venant embrasser sa nuque dans des baisers très agréables et sensuels. À l'aide d'une de ses mains, il vint soulever l'une des cuisses de son amant pour laisser son aine pénétrer sa chair plus aisément, sans ne penser un seul instant à se protéger. Peut-être était-il fou, mais sa conscience n'arrivait nullement à fonctionner normalement, tout particulièrement qu'une femme si magnifique au creux de ses bras. Il n'arrivait plus à attendre et ne put que laisser échapper un gémissement de ses lèvres alors qu'il la possédait enfin. Le jeune homme ferma les yeux un instant, sentant tout son être si ravi de découvrir le plaisir de la chair à ses côtés. La jeune femme se trouvait déjà si prête à l'accueillir qu'il n'hésita guère longtemps avant d'effectuer un mouvement de rein plus profond, exprimant un râle certain alors qu'il venait embrasser la chair de sa nuque. L'Hispanique la sentait frissonner et ne pouvait qu'en être ravi, venant mordiller sa chair et prononcer son nom d'une voix suave. Il se sentait particulièrement complet, tant qu'il ne put que lui avouer : « Sha... tu es parfaite... véritablement parfaite ». Des mots qu'il pensait véritablement alors que leurs corps venaient à nouveau se rencontrer, l'amenant à soupirer son bien-être, tandis que sa main venait caresser l'un de ses seins qui se trouvait sur la route de son dos, ravi de sentir leur fermeté. Shana était si belle, si magnifique, il n'arrivait tout simplement pas à songer à autre chose lorsqu'il l'observait. Il avait envie de la chérir, plus qu'il ne l'avait fait avec n'importe quelle femme. Son cœur battait si rapidement dans sa poitrine, si fébrile et heureux. Il l'aimait, Joaquin ne pouvait certainement pas le nier.
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| | | Je ressemble à « : victoria justice ». J'ai égaré : 337 parchemins. Ma bourse est remplie de : 48 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Dim 12 Oct - 14:51 | |
| Ce contact intime et coquin était résolument plaisant. Shana n’avait de cesse de sentir ses entrailles s’enflammer tandis que leurs bassins se frôlaient l’un à l’autre. Joaquin se trouvait si ferme contre elle. Elle pouvait le sentir réagir favorablement à ses actions, répondant avec dévotion et passion à ce baiser qu’elle était venue lui voler. La belle Hispanique ne se contrôlait plus. Ses lèvres dévoraient avec fougue ses comparses tandis qu’elle sentait cet homme frôler les traits de son visage avec une douceur et une affection particulière. Elle ne parvenait plus à résister, faire taire cette passion qui grondait en elle. Ses sens se trouvaient particulièrement sensibles, éveillés par les actions ô ambitieuses de celui qu’elle avait toujours considéré comme son frère de cœur, son meilleur ami. A cet instant, il avait perdu cette identité, cette étiquette qu’elle lui avait attribuée pour ne pas le voir autrement. Pourtant son cœur n’en faisait qu’à sa tête, tambourinant dans sa poitrine. Il se trouvait impatient et cruellement endiablé à l’idée de pouvoir découvrir ce bien-être intense à ses côtés. Joaquin semblait être atteint par la même folie. Il ne cherchait nullement à résister et il ne vint guère attendre plus longtemps pour s’éloigner d’elle. Il gémissait son prénom en harmonie avec le sien. Shana se sentait abandonné, le regard brillant par ce feu ardent qui embrasait toute sa chair, la rendant si sensible.
Elle le dévorait du regard, laissant ses prunelles glisser sur le corps résolument magnifique et érotique de son cousin qui retirait son dernier vêtement. Elle sentait son cœur imploser dans sa poitrine tant sa cadence était envoutante. L’émoi la submergeait de toute part alors qu’elle laissait son regard se poser sur cette intimité si cuisante et tendue de désir. Elle se rendait compte que c’était elle qui l’avait mis dans cet état. Cela la troublait, l’émoustillait en même temps. Elle sentait son cœur se glorifier de bonheur, satisfait d’apporter tant d’ambition en cet homme qu’elle désirait plus que tout à cet instant. Son corps s’impatientait du sien, le quémandant de la façon la plus naturelle qu’il soit, d’une manière qui échappait à tout contrôle de sa part. Elle l’accueillait entre ses cuisses dans un gémissement ô profond avant qu’elles ne soient cueillies de nouveau par celle de son cousin. Elle laissa sa main remonter un de ses bras pour glisser contre sa nuque, son autre main se collant à son torse. Les muscles sculptés qu’elle sentait sur la pulpe de ses phalanges rendaient son émoi plus profond. Les mouvements de frôlement érotiques entre leurs deux intimités initiaient de véritables courants électriques dans tout son être. Elle exprimait ceux-ci dans des grognements honteux, étouffés par la présence incessante de cette bouche contre la sienne. Une fébrilité et une ambition extrême taraudaient ses entrailles et elle savait cette appétence réciproque. Il lui susurra cela dans une voix suave.
Il avait envie d’elle, de découvrir ce plaisir avec elle. Elle en avait tout autant l’ambition. Cela brulait ses entrailles. Ce désir l’enivrait, endiablait tant ses sens. « Moi aussi… Joa… » Elle avait susurré cela dans une voix éteinte, étranglée par un gémissement qui l’électrisait. Ses phalanges contre sa peau marquaient leurs présences, griffant délicatement cette chaire qui se trouvait à sa portée. Elle se laissa embrasser, savourant le contact humide et brûlant de ses commissures contre les siennes. Son cœur tambourinait dans sa poitrine alors qu’elle sentait la main ô combien taquine de son amant s’immiscer au creux de son intimité, la frôler. Il semblait satisfait de la sentir si humide, si prête à l’accueillir de cette façon, s’offrir à lui. Elle soupira son prénom dans un soupir de bien-être mêlé à une certaine frustration. Ses commissures qui l’avaient abandonné vinrent se poser contre sa nuque, déposant des milliers de baisers papillon dans des actions sensuelles. Shana se laissait totalement porter, sentant la main de Joaquin glisser contre une de ses cuisses, la soulevant pour s’immiscer dans ses reins. Un contact qui la fit frissonner de toute part dans un gémissement profond. Elle se mordillait la lèvre alors qu’elle le sentait en elle si ferme et ambitieux. Elle ne pensait à rien d’autre qu’à ce contact. Son esprit se trouvait bien loin pour songer au fait qu’il l’avait pénétré sans protection, qu’il la prenait comme son amante légitime. Ses paupières fermées, elle savourait l’émoi qui la transcendait, sa main caressant une de ses pectoraux et cette nuque à sa portée.
Elle soupira son prénom, sentant ses cuisses glisser contre les reins de son amant pour le sentir s’immiscer plus intensément dans ses entrailles. C’était merveilleux. Ce contact l’électrisait de toute part alors qu’il amorçait un mouvement de bassin. Elle exprima son plaisir dans un râle, sentant son corps être traversé par un courant électrique, la faisant frémir contre lui. Il la possédait entièrement. Chaque parcelle de sa peau était à sa merci, réceptive à sa présence, son contact. Il mordillait sa chair en prononçant son surnom, celui qu’il était le seul à utiliser jusqu’alors. Il lui avoua qu’il la trouvait totalement parfaite. Un aveu qui la troublait alors qu’elle venait soupirer de nouveau son surnom. Elle avait chaud. Ses entrailles étaient en ébullition alors qu’elle sentait son cœur tremblait dans sa poitrine. Elle laissa ses doigts griffer la nuque de son amant alors qu’elle savourait chaque mouvement de bassin qu’il initiait dans sa chair. C’était merveilleux, envoutant. Elle sentait ses cuisses tremblaient contre les hanches de son amant. Ses mouvements se faisaient lents et langoureux, parfois plus vigoureux. Elle lui était totalement soumise, sa gorge n’exprimant plus que des gémissements de plaisirs qui n’avait de cesse de se faire plus pressants et vifs. Elle laissa ses mains glissaient sur son torse, ses pectoraux avec sensualité et émotion. Elle sentait son jardin secret en feu, cruellement embrasait par les attaques incessantes de cet homme. Elle gémissait de plus en plus fort, griffant sa chair alors qu’elle le suppliait de poursuivre. Elle sentait les lèvres de Joaquin mordiller sa chair, gémissant dans son oreille et cela la rendait dingue. Elle était possédée par cet homme et se laissait entièrement dévorer de toute part.
Elle soupira son prénom plus fortement venant tourner son visage pour venir violer ses lèvres des siennes. Elle l’embrassa avec fougue alors qu’elle sentait son corps brûlant et moite se coller au sien. Elle laissa ses doigts glisser contre son dos, rejoindre le creux de ses reins pour rejoindre ses fesses, lui intimait muettement de la prendre plus fermement. Elle poussa un râle, ses cuisses se comprimant avec force contre ses reins en venant réclamer sa pénitence. Son corps était en ébullition et elle ne parvenait nullement à contenir son émoi. Elle se sentait tout son être prisonnier de cet homme et elle l’invitait chaleureusement à la conduire sur les routes ô sinueuses et paradisiaque de ce jardin d’Éden terrestre. Elle avait envie de l’atteindre grâce à lui, à ses côtés en ayant la ferme sensation qu’elle lui appartenait. Elle était loin de penser que cette ambition lui était interdite et qu’elle n’aurait jamais dû la souhaiter. Elle souhaitait tellement sentir ce bonheur, cette félicité l’envahir pour lui donner l’impression d’être une femme comblée et heureuse grâce à l’homme qu’elle chérissait bien plus qu’elle ne le devrait.
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| | | Je ressemble à « : Marlon Teixeira ». J'ai égaré : 504 parchemins. Ma bourse est remplie de : 190 et j'ai : 33 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: If alcohol has a defect: it's to make mad. | PV Joaquin Alboran Mer 15 Oct - 22:50 | |
| L'envie étreignait résolument le corps de Joaquin à présent qu'il avait enfin la chance de pouvoir découvrir le plaisir de la chair aux côtés de son amante. Une amante qui en avait tout autant envie que lui d'atteindre ce doux paradis en sa compagnie, telle avait ses mots en tout cas. Des mots qui l’avaient emmené à faillir et à faire tomber toutes ses défenses, venant l’embrasser de manière encore plus sensuelle et suave, soupirant alors qu’il sentait la jeune femme griffer sa chair. Il aimait particulièrement le goût de sa peau, s’amusant à la mordiller, à l’embrasser avec passion. Joaquin était venu alors poser sa main contre sa cuisse pour la soulever et leur permettre d’enfin connaître cette sensation ô combien agréable d’être en son sein. Un geste qui les avait fait gémir tous les deux alors qu’il continuait d’embrasser la peau de sa chair. Toute raison avait disparu dans son esprit depuis de longues minutes, ne se souciant nullement en cet instant de ne pas s’être protégée. La seule chose qui l’importait était bien de rendre cette femme heureuse et la voir atteindre ce bonheur à ses côtés. La jeune femme se trouvait si belle au creux de ses bras qu’il lui était impossible de résister d’une quelconque façon. Ces caresses étaient ô combien agréables, sentant cette main se glisser sur ses pectoraux et sa nuque.
Shana particulièrement cupide vint elle-même glisser ses cuisses contre ses reins pour l’accompagner dans son mouvement, lui permettant de s’immiscer plus aisément dans ses entrailles. Joaquin se sentait être un homme, un véritablement au creux de cette femme alors qu’il lui faisait l’amour pour la première fois. Il aurait dû en être désolé dans une certaine mesure de remettre en cause les lois morales qu’il s’était mises en place au fur et à mesure, mais cela ne l’importait que peu. Le cœur qui battait dans sa poitrine lui signifiait de seulement profiter de ces instants, de transmettre tout l’amour qu’il portait à cette femme sublime. Il venait alors effectuer de langoureux et sensuel mouvement de va-et-vient contre sa chair, se plaisant à la posséder entièrement. Elle se trouvait parfaite, il n’avait pas pu s’empêcher de lui avouer alors qu’il venait embrasser et mordiller cette chair. Leurs corps se réunissaient comme s’ils étaient faits l’un pour l’autre, l’emmenant à gémir le nom de son amante à chacun de ces mouvements de bassin. Il voulait honorer cette femme, lui transmettre tout l’amour qu’il ressentait pour sa personne au travers de chacun de ses gestes, gémissant contre sa chair. Son cœur battait à un rythme endiablé, manquant presque des battements alors qu’il cajolait la jeune femme autant qu’il le pouvait. Cette dernière n’en était pas moins coquine, sentant ses mains se perdre sur son torse et ses pectoraux.
Shana, particulièrement cupide était venue placer ses mains sur son visage pour l’embrasser de manière plus suave, intensifiant les sensations qu’il ressentait chacun. Si les mains de Shana étaient venues se perdre sur son corps, sur son dos, ses reins et ses fesses pour l’inciter à la prendre plus fermement, celles de Joaquin venaient caresser les hanches de la jeune femme dans de douces caresses, sa main déviant sur ses fesses particulièrement douces et attirantes. Il aimait ce corps et cette femme, il ne pouvait que s’en rendre compte alors que ses gémissements, ses doux susurres lui paraissait être la plus belle des mélodies. Une mélodie qu’il ne se lassait pas d’entendre alors qu’il venait la pénétrer plus fermement, son aine étant si bien lotie en son sein. Il avait l’impression d’être un homme accompli, si ravi de voir son amant si fébrile face à lui, tout comme celui de sentir cette femme le dévorait. Il n’y avait résolument rien qui ne pourrait le rendre plus heureux, plus désireux que cette femme. Il ne pouvait nullement pas vouloir être ailleurs qu’en son sein. Il avait véritablement chaud, son désir ne cessait d’augmenter, son aine de devenir de plus en plus ferme au creux de ses reins. La félicité d’être en son sein se trouvait de plus en plus forte au fur et à mesure des minutes, venant répondre avec une grande passion à chacun de ses baisers, son corps s’émouvant de chacune des sensations qu’ils ressentaient. Ils se retrouvaient comme deux amants passionnés qui n’arrivaient pas à se déconnecter de cet univers de luxure, de ce bien-être qu’il ressentait. Joaquin se sentait de plus en plus fébrile, sentant ce plaisir se rapprocher, lui intimant qu’il se rapprochât de ces instants.
Il ne lui fallut que quelques minutes de plus pour atteindre ce doux bonheur, gémissant le nom de son amante dans un dernier mouvement de rein, Shana rendant les armes quelques instants après. Un bien-être qui prit totalement part de son corps, l’emmenant à s’allonger contre le corps de Shana alors qu’il venait l’embrasser tendrement, la remercier de ces instants, du bonheur qu’il lui avait apporté. Il manquait d’air, son cœur battait à un rythme effréné, mais cela ne l’importait que peu, il voulait l’embrasser et lui transmettre tout son amour. Il l’aimait, il ne pouvait que s’en rendre compte et sans aucun doute que le lendemain, il aurait du mal à affronter ces sentiments. Sans aucun doute qu’il ne pouvait nullement penser à quel point cette nuit changerait sa vie tant leurs âmes seraient marquées. Néanmoins, en cet instant, il ne voulait que la remercier, la couver de son amour. Ainsi, il était venu se retirer de son corps délicatement et la prendre dans ses bras, la dévorant du regard tant il la trouvait magnifique avec son regard si fébrile. Il avait murmuré qu’elle se trouvait la plus belle femme qu’il avait croisée, la plus précieuse de ses amantes avant de venir l’embrasser avec douceur, laissant ses lèvres se poser sur sa nuque. Ainsi, ils s’endormirent collés l’un contre l’autre, gardant son amante au creux de ses bras, emmêlant leurs jambes pour profiter de sa présence secrètement. Il lui souriait heureux, s’endormant plus ravi qu’il ne l’avait jamais été. Tout son être se trouvait si agréablement bien contre elle. |
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