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 Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI

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Jane Jenkins
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MessageSujet: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:00

" Hey, do you have the key ? "
Jenkins Jane Hanna & Alboran H. Joaquín


Lorsqu’elle avait reçu l’hibou de cet étudiant hispanique, qu’elle connaissait que depuis son arrivée dans cette université coréenne de Magie, elle n’avait pu que s’enthousiasmer. En effet, la nouvelle que ce pli lui apportait se trouvait d’une nature très intéressante et elle n’avait pu que s’exclamer de joie devant son amant, lui informant qu’elle avait trouvé le merveilleux moyen d’accéder à la réserve de la bibliothèque. En effet, elle avait besoin d’arpenter les pages de certains manuscrits interdit que ce dernier conserve au sein de ses murs fermés. Des manuscrits emplis de poisons anciens et inguérissables, de sorts de magie cruellement noirs et d’autres bouquins de ce genre. Autant dire qu’il s’agissait d’un lien inaccessible pour tout élève et même les professeurs n’avaient qu’un accès très réduit à ses derniers. L’accès était sous la juridiction de la bibliothécaire et il était évident qu’elle regardait d’un très mauvais œil, tous ceux qui parlaient de ce fameux endroit. Elle avait donc profité de son ami d’origine espagnol, sachant ô combien ce dernier se trouvait facilement manipulable. Il aimait jouer dangereusement et se plaisait à réaliser pour elle des missions en retour de quelques « avantages » sur elle. Jusqu’à ce jour, il ne s’était agit que de quelques informations sur sa vie, quelques baisers et bisous échangés. Il semblait particulièrement apprécié qu’elle ne lui fixe des objectifs et en toute sincérité, elle le testait pour savoir s’il serait en mesure de devenir un valeureux pion sur son échiquier. Il en avait en tout cas les caractéristiques certaines et n’avait de cesse de l’étonner sur de nombreux plans.

Cependant, cette fabuleuse nouvelle que ce dernier venait de lui rapporter n’avait nullement semblé plaire à son compagnon de route. Il jugeait qu’elle lui accordait que trop aisément sa confiance et qu’il pourrait aisément se retourner contre elle. Des remarques auxquelles elle haussa simplement les épaules, bien consciente qu’il n’avait pas tort mais, si cela devait se produire elle n’aurait plus qu’à lui faire oublié tout ce qu’il savait ou dans le cas échéant : le supprimer. Cependant, la question ne se posait nullement. Son ami cherchait juste à s’amuser en menant des actions hors la loi pour elle. Elle était un peu comme sa maitresse du danger, celle qui le menait sur la mauvaise voix quand bien même n’avait-il nullement besoin d’elle. Elle s’était donc contentée de lui dire qu’elle gérait parfaitement la situation et que le jeune homme était bien plus inoffensif qu’il ne le supposait. Il n’y avait rien à craindre et au pire des cas, il lui suffirait de soulever le fait : qu’elle cherchait juste à enrichir ses compétences en potions afin de trouver un antidote à ses potions si effroyables. Qui se douterait de sa bonne foi ? Elle n’avait rien d’une apprenti mangemort, n’est ce pas ? Elle était même prédestinée à devenir une grande chercheuse de potions.

Quoi qu’il en soit, elle n’avait nullement hésité à attraper un parchemin sur le bureau de son professeur et acolyte, venant griffonner un message qu’elle remit à l’hibou en question. Elle serait à l’heure au point de rendez-vous indiqué. Elle l’attendrait sagement et avait hâte qu’il vienne ne la retrouver. Elle avait donc laissé l’oiseau s’envoler de nouveau après lui avoir donné une petite friandise pour le service rendu. Elle avait tellement hâte d’y être qu’elle avait mit un temps certain avant de s’endormir tant elle se trouvait enthousiaste. Elle ne savait pas comment le jeune homme s’était débrouillé pour avoir cette clé mais, s’il s’agissait bien de la bonne, elle voulait bien lui offrir une belle récompense. Après tout, elle se devait de le fidéliser. Vu ainsi, elle le manipulait totalement et elle ne pouvait le nier, c’était ce qu’elle voulait se donner comme impression car en fin de compte, elle l’aimait bien cet idiot. Depuis le premier jour, il n’avait de cesse de chercher à la charmer, la séduire, un jeu habituel pour lui mais, elle lui résister et c’était sans doute cela qui l’attirait tellement à elle. Indirectement, elle le trouvait amusant et facile à cerner et n’avait pu que se laisser tenter par le petit jeu du chat et la souris qui s’était initié entre eux. Il faisait un truc pour elle, elle faisait un truc pour lui et souvent cela se résumait par n’être qu’un fait sur elle ou des baisers. Cela faisait deux ans qu’ils jouaient ainsi et aucun ne semblait s’en lasser. Elle commençait même un peu trop à compter sur lui mais, cela n’avait rien de mal. Au pire, s’il ratait, il serait le seul jugé responsable, elle pourrait aisément nier sa participation à son désir d’enfreindre les règles.

Elle s’était donc levée de charmante humeur, la journée s’étant déroulée dans la joie et la bonne humeur, rien d’anormal pour la fille aimable et souriante qu’elle était. Elle n’avait même pas vu les heures s’écoulaient avant que sonne l’heure du repas. Elle avait diner copieusement avant de se rendre à la bibliothèque pour « étudier », du moins c’était son excuse officielle. Une fois arrivée dans l’immense salle en question, elle s’était faufilée au sein de ses immenses étagères, arpentant ces dernières dans des sens contraires pour ne pas éveillé les soupçons. Très rapidement, elle arriva à l’étagère indiquée, venant prendre entre ses doigts un bouquin qu’elle vint simplement feuilleter, faisant mime de le lire, attendant simplement que son « sbire » si on pouvait le nommer ne vienne à sa rencontre.

TENUE : 01.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:01

Il n’y avait sans doute rien de plus amusant pour le jeune espagnol que réaliser les défis que lui lançait cette belle américaine. Sa vie dans cette école se résumait à n’être qu’un étudiant banal, à suivre des cours et à sortir le soir. Bien entendu il se trouvait être un étranger pour la plupart des étudiants et jouait de ces charmes sur bon nombre de demoiselles coréennes et étrangères. Il se trouvait incroyablement séduisant, il le savait du haut de ces vingt-deux ans, faisant en sorte chaque jour d’avoir un physique absolument parfait pour séduire chacune des filles et les emmener dans ces draps pour profiter de ces corps ô attirants. Personne ne pouvait douter de son hétérosexualité dans cette école, sachant ô combien que des rumeurs circulaient sur lui depuis son arrivée dans cette école. Il faut dire que dès sa première semaine en Corée du Sud, il avait mis plusieurs filles dans son lit et en vue du nombre de filles qui étaient passé dans ces draps, personne dans cet établissement ne pouvait ignorer son mode de vie. A la différence qu’aucune personne ne savait, ou ne se rappelait que bon nombre de fois la drogue avait fait partie de ces nuits. La magie lui permettait à chaque fois de leur faire oublier ce détail, faisant bien attention à ne pas abuser de sa magie pour leur faire oublier la nuit. Il aurait été bien dommage qu’elle ne se rappelle pas qu’il se trouvait être un fabuleux amant. Sa vie d’étudiant était bien plus banale alors, la jeune américaine lui permettant alors de rendre sa vie plus pimentée et dangereuse.

Comme à chaque fois qu’elle lui lançait ces défis, il les réussissait et en cette journée il n’avait nullement fait exception. Le contraire aurait bien été étonnant lorsqu’il savait qu’en échange de cette clé, il ne pourrait qu’avoir une forte récompense. Réussir à obtenir la clé de la réserve de la bibliothèque n’était nullement une chose aisée, surtout connaissant ces contenus secrets et la personnalité de la bibliothécaire. Le mythe des bibliothécaires particulièrement séniles et froides n’étaient nullement faux, tant celle-ci lui avait paru ô combien austère. Bien entendu, il avait longuement réfléchi à comment la séduire ou du moins, détourner son attention le temps de pouvoir dénicher cette clé et d’en faire une copie. Après tout, si son travail devait être fait, sa belle américaine devrait pouvoir accéder à cette bibliothèque dès lorsqu’elle le voudrait sans craindre quoique ce soit. Etant un grand connaisseur des sorts magiques, il avait appris il y a quelques années à réaliser des copies exactes d’objets, réussissant à concentrer sa magie pour qu’un objet magique possède exactement la même signature magique. Sans doute aurait-il pu devenir un très bon voleur grâce aux nombreux sorts que lui avaient appris ces précepteurs. Ainsi, il avait l’intime souhait de réaliser en temps minimum cette copie et la ramener directement à son propriétaire sans n’avoir à se faire attraper. Le jeune homme avait alors murement réfléchi à comment l’obtenir. Il avait passé deux semaines entières à observer cette femme, prétextant avoir de nombreux devoirs pour passer ces journées dans cette bibliothèque. Un fait qui n’était nullement faux bien qu’intelligent comme il l’était il n’avait nullement à y passer tant de temps. Ainsi, il avait appris à comprendre comment elle fonctionnait, ces habitudes chaque jour. En soit cette femme n’avait rien de particulier, ayant des journées très ressemblantes, suivant un rythme de vie presque trop réglé. Le jeune homme avait cependant remarqué une faiblesse dans cette bibliothèque. Une jeune stagiaire était dans ces locaux et semblait l’avoir remarqué ces derniers temps dans ce lieu. Non pas qu’elle n’est remarqué son manège mais, son charme naturel ne semblait pas la semble de marbre.

Ainsi, connaissant les habitudes de la bibliothécaire et du temps qu’elle prenait lorsqu’elle en partait en pause, le jeune homme profita de son absence momentanée et de l’absence d’autres élèves pour aller à la rencontre de cette stagiaire. Placé exactement à l’accueil, très près de ce tiroir qui contenait la clé de la réserve, le jeune homme était venu demander de l’aider à la demoiselle pour savoir si les différentes phrases qu’il avait écrites en coréen étaient correctes. Il avait besoin d’aide et elle se trouvait l’unique personne à pouvoir l’aider dans la bibliothèque. La regardant de manière particulièrement intéressé, lui offrant alors de merveilleux sourire, il l’avait quelque peu déstabilisé volontairement. La jeune femme obnubilé par le jeune homme ne fit nullement attention au fait que l’une de ces mains était cachée derrière son dos et qu’il avait murmuré un sort magique pour ouvrir délicatement le tiroir, faisant voler cette clé jusqu’à sa main, refermant avec tout autant de discrétion ce fameux tiroir. Clé en main, le jeune homme était venu reprendre son bureau situé dans un coin. Ainsi, libre de tout regard, il mit plusieurs dizaines de minutes de concentration pour réaliser à la perfection une copie de cette clé en ayant pris pour base une clé magique. Parfaitement fier de lui, détenant à présent une copie parfaite il vint la ranger dans sa veste. Le jeune homme était resté alors à nouveau plusieurs heures dans cette bibliothèque jusqu’à atteindre que la bibliothécaire s’en aille et lui laisse le plaisir d’à nouveau charmer cette stagiaire et replacer la véritable clé à son lieu d’origine. Une mission qu’il réussit parfaitement, invitant au passage cette stagiaire à partager son lit lorsqu’elle le voudrait. Des mots qui l’avaient fait rougir, amusant certainement le bidulgi avant qu’il ne s’en aille tranquillement rejoindre son dortoir, laissant cette demoiselle seule face à ses rougissements. A peine était-il arrivé à son domicile le soir qu’il avait envoyé un hibou à Jane pour lui transmettre l’information qu’il avait réussi sa mission. Il n’eut guère longtemps avant de recevoir une réponse de sa part et déjà avait-il un lieu et une heure de rendez-vous pour le lendemain.

La journée se termina assez rapidement pour le jeune homme, pressé de pouvoir voir cette si ravissante demoiselle qui devrait le récompenser en vue de son acte illégal. Alors qu’il atteignait enfin les couloirs des étagères avec discrétion, le jeune homme eut la joie de reconnaitre la silhouette si plaisante de Jane, feuilletant un livre, l’attendant. Souriant alors, il vint doucement la prendre par surprise dans son dos, capturant son corps contre le sien à l’aide de ces mains. Le jeune homme vint laisser sa main se glisser contre celle de sa compère, son souffle s’égarant contre sa nuque. Il remonta ces lèvres jusqu’à son oreille, murmurant d’une voix ô sensuelle : « Je vois que tu n’as pas une seule minute de retard… tu étais bien pressé de me voir belle demoiselle. T’ais-je tant manqué ces deux dernières semaines ? Je suis comme un auror ou un mangemort qui part en mission secrète pendant plusieurs semaines et qui revient sa mission réussie. Enfin je suppose que tu veux vérifier de tes propres yeux si tout a fonctionné, n’est-ce pas ? Le trésor est dans l’une de mes poches de pantalon, à toi de deviner laquelle ou de chercher toi-même où il se situe. N’ais-je pas fais après tout le travail jusqu’alors ? »

Tenue de Joaquin
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:03

Si elle avait choisit le bel hispanique pour cette opération, c’était avant tout par pur esprit de stratégie de sa part. En effet, Joaquin était résolument l’homme idéal pour la mission qu’elle lui avait confié. Lui seul, fin séducteur et manipulateur serait en mesure de détourner l’attention de cette harpie de bibliothécaire pour lui soutirer sournoisement la clé. Elle n’était nullement en mesure d’identifier par quel subterfuge le jeune homme était parvenu à s’accaparer cette fameuse clé désirée mais, elle ne pouvait qu’être impatiente de connaitre le fin mot de l’histoire. Il était fort à parier que le bidulgi ne manquerait nullement de lui communiquer les détails croustillants de son larcin, éprouvant sans doute une trop grande fierté pour le garder secrètement pour lui. Cette simple idée la faisait sourire tandis qu’elle feuilletait les pages de son bouquin en tentant de se concentrer sur ce dernier. Elle était arrivée légèrement en avance et se trouvant seule dans le rayon désert de cette partie de la bibliothèque, elle devait au moins donner l’impression d’être plongée dans son livre pour ne pas éveillé le moindre des soupçons.

Une chose relativement compliquée à faire tant elle se trouvait impatiente de se trouver en compagnie du jeune homme afin d’en savoir plus sur le mystère qui entourait l’obtention de cet objet tant convoité. Le pouce coincé entre ses deux lèvres, le mordillant doucement, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir une légère moue amusée comme pourrait avoir une demoiselle amoureuse. A en croire la situation, il était fort à parier que quiconque vu de l’extérieur verrait l’entrevus des deux jeunes adultes comme un rendez-vous. Une idée qui ne pouvait que l’amusait terriblement tant, elle la trouvait saugrenue. Il est vrai que le jeune homme n’était nullement connu pour être le parfait petit ami. Il était d’ailleurs connu pour être le parfait contraire, un homme frivole qui ne pensait qu’à la luxure. Un défaut qu’elle ne pouvait nullement lui reprocher, trouvant que les sentiments humains n’apportaient aucun intérêt à la vie d’une personne. Pourquoi s’attacher à une seule personne alors qu’il y a tant d’expériences et rencontre à faire ? Cela n’avait pas de sens et il était évident qu’elle ne s’embarrassait nullement de cela, se contentant simplement d’aller en fonction de ses désirs et de ses ambitions.

Leur lien était d’ailleurs basé sur cet aspect frivole de leur personnalité, tel un chat et un souris, ils n’avaient de cesse de se charmer, se séduire sans pour autant se livrer à l’autre. Elle savait ô combien le jeune cherchait résolument à l’attirer assez pour la conduire dans son lit et il était fort à parie que la récompense qu’il allait lui réclamer irait dans ce sens. Après tout, il avait du réfléchir énormément pour être en mesure d’avoir cette clé sans éveiller les soupçons et il voudrait résolument qu’elle le félicite d’une manière peu orthodoxe et en adéquation de ce qu’il avait du prendre comme risque. C’est donc dans un sourire plus franc, amusé par l’attaque franche du jeune homme, qu’elle le sentit se coller à elle. Son dos tout contre son torse, les formes de son corps ô masculins venant se mêler à ses formes féminines, elle savait que c’était lui, l’odeur de son parfum ô fort venant frôler ses narines. Seul le jeune homme pouvait s’aventurer à l’approcher de la sorte, sentant ses mains masculines se fondre sur ses hanches, la maintenant fermement contre lui. Une menotte qui vint délicatement et de façon sensuelle se glisser contre sa main qui tenait le livre, sentant son souffle brulant s’égarer contre sa nuque.

Des attentions qui ne purent qu’approfondir l’expression amusée de la jeune femme, se sentant nullement indifférente au charme de l’espagnol. Elle niait pas être sensible à son charme, ayant apprécié tous les contacts et baisers qu’ils avaient pu échangés mais, jusqu’à ce jour, rien ne s’était passé entre eux. Il n’avait encore rien réalisé qui serait assez dangereux pour qu’elle le récompense d’une autre manière. Un petit jeu malsain mais qui semblait exaltés les deux protagonistes et à l’attente des paroles du jeune homme, ce dernier n’était pas prêt de finir. C’est donc avec plaisir qu’elle sentit la voix ô sensuelle du jeune homme venir murmurer au creux de son oreille qu’il voyait qu’elle n’était pas en retard, sans doute bien pressée de le voir. Lui aurait-il tant manqué ses deux dernières semaines ? Après tout, il était comme un auror ou un mangemort qui était parti en mission secrète et qui revenait après l’avoir réussie. Enfin, il supposait qu’elle voulait vérifier de ses propres yeux si tout avait fonctionné. Il ne se trompait pas en effet, c’était justement la raison de sa présence au sein de ce lieu. Pour cela, le trésor en question se trouvait dans l’une de ses poches, à elle de deviner laquelle et d’aller la chercher. Après tout n’avait-il pas fait tout le travail jusqu’alors ? Des sous entendus ô élogieux qui ne purent que doubler son amusement tandis qu’elle fermait son bouquin. C’est donc en douceur qu’elle vint se tourner vers le jeune homme, ne s’éloignant nullement de lui, sentant sa poitrine frôler le tissu du T-shirt du jeune homme. Dans un sourire quelque peu narquois, elle vint reposer son livre dans l’étagère avant de reporter son attention sur le bidulgi murmurant.

« J’ai plutôt l’impression que je t’ai manqué… n’est ce pas pour cette raison que tu t’es collé à moi et réclame tant que je ne te touche ? »

Elle souleva un sourcil de façon inquisitrice, souriant doucement en penchant légèrement la tête sur le côté, glissant ses phalanges se mouvoir sur l’arrête des reins du jeune homme, sentant la pulpe de la peau joliment musclée au travers du tissu de son T-shirt pour descendre sur le tissu du jean près d’une des poches avant du jeune homme, sa comparse faisant de même.

« Mm… cela fait deux semaines que nous nous sommes pas vus ? Je n’y avais pas prêté attention, ce qui ne semble pas être ton cas. Tu avais hâte de pouvoir me montrer le fruit de tes méfaits, n’est ce pas ? »

Elle rit faiblement à ses mots, sentant que les poches avant du jeune homme se trouvait vide, ayant glissé ses phalanges à l’intérieur. Le toucher était plaisant et elle ne pouvait s’empêcher de le regarder avec un regard amusé et narquois, ses doigts remarquant la fermeté de sa chair. Il était fort à parier qu’il était tel que ses amantes le dépeignait, un dieu vivant. Dans tous les cas, elle profitait de l’occasion qu’il lui était donné pour le toucher, mouvant ses doigts sur ses reins de nouveau pour se poser contre ses fesses, s’insérant dans les poches arrière. Cet exercice vint l’obliger à se coller plus fermement à lui, trouvant enfin l’objet de son impatience au sein de la poche arrière gauche du jeune homme. Elle vint donc attraper rapidement cette clé entre ses doigts avant de rompre tout contact avec le jeune homme en s’exclamant.

« Trouvé ! Regardons maintenant si elle marche. Si c’est le cas… et qu’on rentre sans soucis, tu auras droit de me demander ce que tu désires, n’est-ce pas le deal qu’on a passé ? »

Elle avait murmuré ses mots doucement en s’éloignant d’autant plus de lui pour prendre entre ses doigts sa baguette, lançant un sort de désillusion sur lui comme sur elle, le voyant ainsi disparaitre, étant parfaitement camoufler. Ainsi, ils pourraient rentrer sans éveiller trop les soupçons du reste de la salle. C’est donc tout naturellement qu’elle vint glisser la dite clé dans la serrure de la porte, sentant le verrou lui indiquer l’ouverture, faisant disparaitre tous les autres enchantements de défense qui protégeaient en temps normal cette porte. Ce simple fait ne pu que la ravir d’autant plus. Ouvrant cette dernière très doucement, elle vint l’entrouvrir de façon à ce qu’ils puissent passer sans attirer l’attention, le laissant faire avant de refermer derrière lui.

Désormais seul, elle vint simplement mettre un terme au sort lancé leur permettant ainsi de retrouver leurs traits véritables. A en voir son expression, on avait l’impression qu’elle découvrait la caverne d’Ali baba. Son regard n’avait de cesse de pétiller tandis qu’elle avançait dans les quelques rayons de la pièce, laissant ses yeux découvrir les noms de ses manuscrits si interdits et si anciens. Elle avait bien fait de lui faire confiance et c’est donc dans une voie ô enchantée qu’elle vint simplement ajouter dans un regard taquin.

« Félicitation, Joaquin, tu es parvenu à avoir la bonne clé. C’est vraiment un exploit, j’ai bien fais de te confier cette mission, tu ferais un parfait voleur. Mais… dis-moi, comment as-tu réussi un tel exploit ? Et surtout quel va être son prix ? »
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:04

Fier de lui, le jeune homme ne pouvait que l’être alors qu’il avait réussi le défi de la demoiselle. Cela n’avait été nullement une épreuve aisée pour lui, bien qu’il ait trouvé rapidement la faille de cette bibliothèque. Sans doute pourrait-il devenir un véritable criminel si dans le futur ces pensées de supériorité vis-à-vis des nés modus, des sangs-mêlés et de simples moldus. Sans doute que certains de ces ancêtres pourraient en être ravis même, ces parents peut-être, bien qu’il n’est jamais montré clairement leur position à ce propos. Néanmoins, le jeune homme ne se considérait nullement comme un mangemort, se considérant seulement supérieurs mais, ne souhaitant pas pour autant exterminer les moldus de ce monde, ni les nés moldus. Le jeune homme avait appris au cours de son existence à cacher ces idéaux mais, sans aucun doute que son regard lorsqu’il se retrouvait dans un combat loyal contre un né moldu cela se remarquait à son regard presque dédaigneux et si sûr de lui. Ainsi, personne n’était au courant de ces attirances malsaines envers ce côté obscur, ni même le fait qu’il aimait parfois un peu trop l’illégalité et le danger. Seule Jane était au courant, l’incitant à poursuivre dans cette voie à chaque défi qu’il acceptait volontiers. Chaque défi lui donnait la possibilité de connaitre un peu plus celle-ci sachant alors qu’avec cette fabuleuse clé, lui aussi risquerait de découvrir un peu plus la demoiselle. Lui permettre de l’emmener à découvrir le plaisir de la chair à ces côtés après deux ans se trouvait être aussi une belle récompense. C’était d’ailleurs les raisons qui l’avaient emmené à rapprocher leurs corps de manière particulièrement attractive, touchant cette peau ô délicieuse qu’il avait déjà eu le loisir de regarder et d’observer tant de fois.

Il essayait de la séduire, comme à chaque fois qu’il la voyait depuis maintenant deux années. Chacun de ces mots se voulaient taquins et enchanteurs, souhaitant la voir faiblir sous ces yeux, bien qu’il savait qu’elle ne résisterait nullement de manière aisée. Chacun de ces mots plutôt que la séduire semblèrent l’amuser alors que déjà elle se retournait contre lui, laissant sa belle poitrine rencontrer son torse au travers de son tee-shirt. Il l’observa remettre ce livre sur l’étagère avec élégance. La demoiselle vint alors lui répondre qu’elle avait plutôt l’impression qu’elle lui avait manqué, après tout il s’était collé à elle et réclamait qu’il le touche. Des mots ô véridiques qui avaient emmené le jeune homme à déposer sa clé dans la poche arrière de son jean, seulement pour sentir ces mains sur son corps et notamment ces fesses. Ces faits et gestes ne pouvaient alors l’emmener qu’à sourire, heureux de sentir ces mains sur son corps. La jeune femme lui murmura alors qu’elle ne s’était pas rendu compte que cela faisait deux semaines qu’ils ne s’étaient pas vus n’y ayant prêté que peu d’attention. Des mots qui le froissèrent malgré lui pour lui qui savait exactement depuis combien de jours ils ne s’étaient pas vus, depuis le début de ce défi exactement. Continuant ces propos, la demoiselle vint à nouveau le taquiner, lui assurant qu’il devait avoir hâte de pouvoir lui montrer ces méfaits. La demoiselle ne se trompait nullement dès lors qu’à peine avait-il eu réussi à réaliser une copie de la clé qu’il était venu lui annoncer ces méfaits à l’aide d’un de ces hiboux.

Amusé le jeune homme ne pouvait que l’être alors qu’il sentait ces mains s’égarer sur son corps, celle-ci mettant sans doute bien plus de temps que nécessaire, à sa grande joie. Le regard résolument amusé et narquois ne pouvait que lui plaire. Le jeune homme avait résolument bien caché sa clé et ne pouvait qu’en être ravi dès lorsqu’il sentait ces mains sur ces fesses, les caressant par inadvertance. Elle ne lui laissa nullement de profiter guère longtemps du contact de leurs corps que déjà elle se retrouvait loin de lui, gardant dans sa main cette fameuse clé. Néanmoins le jeune homme fut plus que ravi des propos de Jane, lui murmurant que dès lors que la clé marcherait, il pourrait demander ce qu’il peut. Une idée ô plaisante pour lui qui ne demandait à qu’à découvrir plus la demoiselle, tant son cœur que son corps. Ayant pleinement confiance en lui et en sa magie, il lui suffisait seulement à présent alors de réfléchir ce qu’il pourrait lui demander.

.
Ainsi, le jeune homme vint suivre simplement la demoiselle, suivant la route qui les emmenait jusqu’à cette réserver presque interdite. Sa joie ne put qu’être plus forte lorsqu’il vit les portes de la réserve s’ouvrir, pouvant alors demander à Jane ce qu’il souhaitait. Le visage de Jane lui parut absolument magnifique tant elle semblait heureuse en cet instant, un fait qui ne pouvait que lui plaire. Jane le félicita alors d’avoir réussi à avoir la bonne clé, lui avouant qu’il ferait un parfait voleur. Elle lui demanda alors comment avait-il réussi un tel exploit et surtout quel allait être son prix. Des mots qui le fit sourire alors qu’il murmurait de manière énigmatique en se rapprochant de la silhouette de Jane : « Un voleur n’avouera jamais ces secrets professionnels, tu le sais ? La seule chose que je peux te dire est que mon charme naturel m’a permis de l’obtenir. Mais ne t’inquiètes pas, personne ne remarquera que tu as la clé, j’ai juste réalisé un double des clés.»

Souriant, le jeune homme vint à sa hauteur, capturant dans ces bras à nouveau la demoiselle, embrassant sa nuque avec délice. Le bidulgi vint relever son regard, admirant ce si beau visage. Souriant simplement il vint capturer ces lèvres dans un fabuleux baiser. A la fin de ce baiser court et concis, le jeune homme murmura contre ces lèvres d’une voix ô combien sensuelle: « Un baiser me semble déjà être une belle récompense... du moins pour l'instant. »

Souriant, le jeune homme vint cueillir entre ces lèvres celles de Jane, approfondissant ce baiser alors qu’il la voyait nullement résister à ce baiser. Ces mains vinrent se placer sur les reins ô désirable de la demoiselle, l’emmenant à apprécier plus le contact de leurs chairs. Souriant simplement il vint faire mettre fin à ce baiser, murmurant à nouveau : « Je mérite un peu plus peut-être… après tout, j’’aurais pu me faire attraper, tu te rends compte ?.»
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:04

Ravie, elle ne pouvait que l’être tant elle avait rêvée de cet instant depuis qu’elle avait frôlé les marches de cette université magique. Après tout, apprendre qu’au sein d’une pièce secrète se trouvait les manuscrits les plus rares et les plus noirs de l’histoire de la magie, n’avait pu qu’éveiller son esprit de convoitise. Elle avait tant rêvé de pouvoir fouler les rayons de cette bibliothèque privée, formellement interdite à quiconque n’étant nullement assez sage pour ne pas se laisser tenter par la diabolisation de ces derniers. Ce qui n’était résolument point son cas, elle en convenait elle-même. Elle avait une fascination particulière par la magie noire, son ambition n’ayant pas de limite. Être en mesure de connaitre ses sorts que seule l’évocation pouvait donner la chair de poule à quiconque, l’attrayait particulièrement. Elle ne pouvait donc que se sentir exaltée en laissant ses prunelles parcourir les reliures de ses si fantastiques et dangereux bouquins, sentant cette excitation emplir tous ses sens. Elle était telle une gamine qu’on mettait devant une montagne de présent et qui n’avait qu’une hâte : se jeter dessus.

Après tout, un de ses rêves prenait forme sous ses yeux. Elle était tant persuadée de ne pas y parvenir, sachant ô combien cette vieille peau de bibliothécaire refuserait sans aucun doute de manquer de vigilance sur son « précieux » comme elle se plaisait tant à nommer cette clé. De ce fait, elle ne pouvait que se poser des questions au sujet des procédés que son cher complice avait pu mettre en place pour réaliser un tel exploit. L’avait-il séduite pour ainsi la mettre dans son lit en lui faisant oublier par la suite l’existence de cette clé ? Bien que l’idée lui arraché un frison d’effroi, elle ne serait nullement étonné d’une telle chose : Joaquin parvenait toujours à ses fins et c’était justement ce trait de caractère qui l’attirait tant chez lui. Elle était attirée par cette prestance vaniteuse et sensuelle qui se répandait de l’échine de l’hispanique. Après tout, il était sexy dans tous ses gestes et ses paroles, mettant en avant son charisme qui faisait tant fondre les femmes. Elle admettait même qu’elle l’appréciait même, ce dernier n’hésitant jamais à relever un par un les défis qu’elle lui lançait sans jamais la décevoir. Le simple fait d’avoir obtenu cette clé était un exploit qui ne pouvait que l’intriguer, la rendre euphorique, désirant tant savoir ce qu’il avait mit en œuvre pour y parvenir.

Elle n’avait donc pu que le questionner à ce sujet, curieuse, le voyant sourire sans doute amuser par une telle question de sa part. Sa réponse se fit énigmatique dans un faible murmure tandis qu’il s’approchait d’elle de façon déterminée. Savait-elle qu’un voleur n’avouerait jamais ses secrets professionnels ? La seule chose qu’il pouvait lui dire est que son charme naturel lui avait permit de l’obtenir mais, elle pouvait se rassurer, personne ne remarquera qu’elle a la clé, ayant réalisé un double. Une réponse qui ne vint nullement la satisfaire alors qu’elle se sentait capturer par les bras masculins et musclés du jeune homme, sentant ses lèvres se poser sur sa nuque avec ambition. Un contact qui ne pu que la rendre quelque peu fébrile, appréciant ce doux contact alors qu’il venait relever son visage en lui souriant, venant lui voler un baiser fabuleux. Un baiser qu’elle vint nullement lui refuser, ce dernier l’ayant amplement mérité en ayant obtenu ce qu’elle désirait, sentant ses lèvres dévorer par celle du jeune voleur. Un baiser court et concis tandis qu’elle le sentait s’éloigner déjà de ses lèvres pour susurrer dans une voix sensuelle qu’un baiser lui semblait déjà être une belle récompense, du moins pour l’instant.

Une remarque qui ne pu que la faire sourire, amusée tandis qu’elle le voyait revenir l’embrasser, rendre ce baiser bien moins chaste. N’opposant alors aucune résistance à ce dernier, elle ne pu que venir glisser ses doigts contre le torse du jeune homme qui l’embrassait si passionnément, sentant leurs lèvres se mouvoir l’une contre l’autre. Elle pouvait sentir les mains cupides du jeune homme sur ses reins, désireux comme à ses habitudes de la voir céder à son corps. Cela faisait bien des années qu’elle avait prit conscience que le jeune homme désirait particulièrement qu’elle ne lui offre son corps, chaque entrevue n’avait de cesse de remettre cette question sur le tapis. Durant combien de temps, comptait-elle lui résister ? Une question qui l’amusait grandement et qui ne pu qu’être de nouveau abordé lorsque ce dernier vint rompre ce baiser pour lui murmurait qu’il méritait un peu plus que de simples baisers langoureux. Après tout, n’aurait-il pas pu se faire attraper ? S’en rendait-elle compte ? Ces mots prononcés avec ce petit air innocent, semblaient lui réclamer un peu d’attention, de le laisser avoir ce qu’il désirait obtenir mais, elle n’était nullement disposée à lui laisser obtenir tout cela si aisément. C’est donc dans un sourire amusé, qu’elle vint lui embrasser faiblement les lèvres, se dégageant rapidement de son emprise pour venir s’asseoir que la table qui se trouvait dans la pièce, ne le quittant point du regard, murmurant.

« Oh tu crois ? » lança-t-elle dans un ton quelque peu faussement attendri. « Cela aurait été très dommage… Je suppose que je me dois de te récompenser de façon admirable alors ? » Laissa-t-elle planer dans un ton interrogateur, soulevant un de ses sourcils alors qu’elle l’invitait indirectement à venir la rejoindre, le voyant venir à sa hauteur pour obtenir sa récompense.

C’est donc avec élégance et sensualité qu’elle vint délicatement glisser ses bras autour de sa nuque pour venir le coller à elle, laissant ses phalanges se mouvoir dans sa chevelure, portant son visage à elle pour murmurer contre ses lèvres :

« Dis-moi, as-tu une idée de la récompense que tu penses mériter, je suis toute ouïe à l’entendre… »

C’est ainsi qu’elle vint donc l’embrasser à son tour, glissant ses lèvres contre les siennes dans un baiser sensuel et doux, laissant simplement sa taquine bouche se mouvoir contre celle du voleur, écartant ses cuisses pour lui permettre de se coller plus contre elle, ses jambes entourant les cuisses du jeune homme, souriant coquine au frison qui semblait traverser l’échine du jeune homme de sentir sa poitrine se coller à son torse, ses doigts caressant sa nuque comme pour accroitre son bien être. Elle vint donc rompre ce baiser avec douceur, murmurant dans une voix ô taquine.

« Cela me semble déjà une très belle récompense ne penses-tu pas, tu sembles tout fébrile de te savoir si coquinement collé à moi, je me trompe, Joaquin ? »
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:05

Depuis le premier jour où le jeune homme avait déposé un pied sur ce pays qu’était la Corée, la demoiselle à ces côtés avait fait parti de sa vie. Après tout, elle avait été la première personne avec qui il avait véritablement parlé, ravi de rencontrer une occidentale parmi les élèves de l’établissement. Bien que l’école soit asiatique, le jeune homme avait appris qu’elle se trouvait internationale et acceptait des étudiants étrangers, bien qu’en minorité. Ainsi, il n’avait pu qu’être ravi de trouver une occidentale et tout particulièrement une demoiselle si ravissante. Le jeune homme n’en était nullement à sa première amante, ayant connu de nombreuses femmes tout aussi ravissante que les autres mais, il trouvait que celle-ci avait un charme particulier qui la différenciait des autres femmes qu’il avait pu croiser au cours de son existence. Plus les semaines avançaient, plus le jeune homme était intrigué par celle-ci. Elle était l’unique personne à vraiment l’intéresser et à rendre son quotidien moins terne qu’auparavant. Le jeune homme avait certainement une vie très excentrique comparé à ces camarades de classe, vivant dans un monde rempli de luxure, de drogues et rempli de dangers. L’ordre établi l’ennuyait certainement et il prenait un plaisir fou à outrepasser les règles, à devenir un hors la loi, trouvant sa vie plus intéressante et plus palpitante de ce côté. Ainsi, chaque défi que lui lançait la demoiselle, il parvenait à les réaliser avec un goût certain pour le risque. Le jeune homme ne pouvait qu’en être ravi d’ailleurs dès lorsqu’il savait qu’il aurait une récompense, celle de découvrir un peu plus cette femme qui l’intriguait tant.

Le jeune homme profitait alors de ces instants pour venir répondre à ces désirs et notamment celui de dévorer le corps qui se trouvait si près du sien. Le jeune homme n’avait pu que profiter de ces instants et était venu embrasser cette chair avec avidité, embrasser sa nuque et ces lèvres ô combien tentatrices. Ces baisers étaient devenus moins chastes l’emmenant à frissonner malgré lui et apprécier ô combien ces doigts qui venaient se poser sur son torse, caressant celui-ci alors que lui-même venait caresser ces reins de manière ô combien intéressé. Ces mots s’étaient voulus résolument coquins, lui avouant qu’il aurait pu se faire attraper en obtenant cette clé, un fait non anodin. Le jeune homme ne put qu’être particulièrement ravi de sentir la jeune femme embrasser ces lèvres dans un doux baiser. Néanmoins, Joaquin ne put qu’être déçu de la voir s’éloigner de lui, la voyant s’asseoir sur la table posé au centre de la pièce. Il ne put que la dévorer du regard ainsi assise, cette position dévoilant ces cuisses ô appétissantes et séduisantes.

En ces instants Jane se trouvait incroyablement séduisante, tout particulièrement alors qu’elle lui avouait qu’il aurait été dommage qu’il se fasse attraper, supposant qu’elle devait le récompenser de manière admirable. Ne cherchant nullement à réfléchir, le jeune homme vint se rapprocher d’elle pour venir coller leurs corps, ne réussissant nullement à résister face à cette femme ô combien séduisante. Souriant, il ne put que sourire de sentir ces bras entourer sa nuque, caresser sa chevelure. L’observant avec délice, le jeune homme sourit alors qu’il voyait ces lèvres se rapprocher des siennes murmurant s’il avait une idée pour la récompense, elle était toute ouïe de l’entendre. Il n’eut cependant pas le temps de répondre, celle-ci était déjà venue embrasser ces lèvres sensuellement, écartant ces cuisses pour permettre à leurs corps de se coller plus fortement. Son corps alors ne put que frissonner au contact de cette poitrine contre son torse, frissonnant à ce baiser ô langoureux, ces doigts sur sa nuque. Le jeune homme ne put que lui lancer un regard ô combien envouté et à la fois bien lésé de voir ces lèvres le quitter. Les mots de Jane ne purent alors qu’accentuer ce fait alors qu’elle lui avouait que ceux qu’il avait eu était déjà une très belle récompense, il semblait déjà fébrile de la savoir si coquinement collé à elle. Le jeune homme à cet instant vint simplement répondre au creux de ces lèvres : « Mmm… une très belle récompense oui mais, pas à la hauteur de mes espérance. Cette clé tu pourras l’utiliser autant de fois que tu le souhaites dès lors que tu le voudras. Alors elle te sera utile sur le long terme, c’est un objet à forte capitalisation. De ce fait, tu peux comprendre que ces baisers ne me conviennent pas, n’est-ce pas ?»

Souriant à ces mots résolument tentateurs, le jeune homme vint simplement cueillir entre ces lèvres celles de Jane, laissant ces mains caresser les hanches de la demoiselle si bien lotie dans cette robe qui la mettait tant en avant. Soupirant contre ces lèvres, il vint attraper l’une des mains de son amante pour la déposer contre son torse, l’emmenant à glisser jusqu’à atteindre ces abdominaux si bien formés et musclés. Abandonnant ces lèvres, le jeune homme vint murmurer alors : « N’ai-je pas un corps séduisant ? Il serait dommage de ne pas profiter de mon corps… n’est-ce pas ? Et si je te proposais de passer la nuit à mes côtés ici… dans ce lieu ô combien insolite ? N’il y a-t-il rien de mieux que de le faire ici dans cette pièce que tu désirais tant découvrir ? »

Le jeune homme ne cherchait nullement d’une quelconque façon à être romantique, il ne l’était pas, elle le savait ô combien. Il suffisait d’entendre les demoiselles se plaindre parfois qu’il ne l’était pas lorsqu’il passait la nuit avec n’importe quelle fille. Un fait tout à fait normal pour lui qui ne voyait que ces femmes pour la recherche de la luxure. Bien entendu, en compagnie de Jane cela était bien différent, elle n’était nullement une femme comme les autres. Si jamais il réussissait à réaliser son fantasme à ces côtés, il ferait tout pour que cette nuit lui soit inoubliable, étant bien plus passionné qu’avec n’importe quelle fille. Souriant, le jeune homme vint alors embrasser sa nuque, la mordiller alors que ces mains venaient caresser ces cuisses avec une envie non dissimulée. D’une voix quelque peu amusée le jeune homme vint murmurer : « Si tu veux… tu peux m’enlever mon haut pour découvrir un avant-gout de ce que tu pourrais avoir en cette nuit…» Se saisissant de l’une des mains de Jade, il vint alors la prendre dans la sienne et la guider sous son tee-shirt pour caresser véritablement ces abdominaux qui avait le mérite de faire fondre bon nombre de demoiselles.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:06

Elle mentirait si elle n’avouait pas qu’elle appréciait résolument le jeune homme qui se trouvait face à elle. Leur rencontre au sein de ce train qui les avaient menés jusqu’à cette école ô particulière se trouvait encore présente dans son esprit. Elle avait apprécié ses heures passées en sa compagnie, riant de bon cœur à ses plaisanteries et tentatives de séduction. Dès les première minutes de leur rencontre, elle avait pleinement eu conscience que le jeune homme était un véritable séducteur, ayant cette aisance de faire fondre comme attiré le regard. Elle n’avait nullement fait exception à la règle, quand bien même ne l’avouerait-elle pas. Il y avait quelque chose chez lui qui l’attirait et ce depuis qu’ils s’étaient parlés il y a déjà près de deux ans. Sans doute appréciait-elle son arrogance et son gout certain pour le danger qui le faisait sortir du lot. Il n’était pas politiquement du genre correct, était même du genre franc jeu, n’hésitant pas à lui montrer ouvertement ses desseins à son attention. Elle avait conscience qu’elle lui plaisait, que son corps l’attirait et l’obnubilait depuis des années. Il avait envie d’elle et sans même qu’il n’ait besoin de l’affirmer, elle savait parfaitement où il voulait en venir au travers de son sous entendu. Il la voulait comme récompense et elle ne voulait pas s’offrir si aisément. C’est pour cette raison qu’elle avait entreprit ce petit jeu malsain en s’éloignant pour prendre place sur cette table de façon féline. Elle pouvait lire dans son regard, ce désir profond qu’il avait pour elle. Elle n’avait même pas eu besoin de le prier d’avancer pour qu’il vienne à sa hauteur, se placer entre ses cuisses pour qu’elle le récompense tel qu’il le méritait. Elle appréciait de le voir agir de la sorte, foncer tête baissée pour atteindre ses ambitions. Elle était donc venue l’embrasser de façon coquine en le récompensant telle qu’il le réclamait, tout en sachant que ce contact coquin ne saurait le contenter.

Elle-même ne pouvait nier y être insensible, appréciant la robustesse de ce corps si bien sculpté qu’elle avait pu admirer brièvement quelques minutes auparavant. Sa poitrine se mouvant délicatement contre son buste, savourant les frisons qu’elle semblait procurer à sa victime, elle n’avait pu que le taquiner de nouveau, en lui murmurant qu’il semblait déjà avoir une bonne récompense, étant déjà bien fébrile de la savoir si coquinement collé à elle. Le répondant si direct du jeune homme ne pu que la faire rire délicatement tandis qu’il lui murmurait qu’il s’agissait d’une très belle récompense mais pas à la hauteur de ses espérances. Après tout, cette clé, elle pourrait en bénéficier sur du long terme, faisant d’elle un objet résolument précieux, de ce fait, elle pouvait comprendre que ces baisers ne lui convenaient pas assez. Des arguments non négligeables en soit qui ne purent que gagner gain de cause même si ce dernier ne vint nullement attendre sa réponse pour venir l’embrasser de nouveau. Un baiser résolument passionné dans lequel ce dernier vint délicatement caresser ses hanches, résolument envieux et déterminé, ce qu’elle ne pouvait nier être également. Ses lèvres et ce corps avait un pouvoir certain sur sa chair qui à ce simple contact vint soudainement se réchauffer tandis qu’elle sentait déjà les doigts de cet homme l’abandonner pour capturer ses mains toujours maintenues autour de sa nuque pour les intimer à rencontrer ses pectoraux pour les caresser. Une action qui ne put que renforcer son sourire alors qu’elle le sentait soupirer contre ses lèvres, si tentateur et désireux de la sentir le toucher. Sans doute avait-il fantasmé qu’elle ne le touche de la sorte, qu’elle ne cède enfin à ses avances après deux si longues années. Elle ne pouvait alors que se laisser faire, savourant la fermeté et la magnificence de ses muscles qui se dessinaient sous la pulpe de ses phalanges. Il semblait avoir un corps ô séduisant, ce qu’elle n’avait jamais douté, ayant entendu bien trop souvent des demoiselles se plaindre de son sex-appeal qui les avaient fais rêver toute une nuit. Un fait dont avait pleinement conscience le jeune homme, en jouant éperdument pour connaitre le plaisir de la chair à leurs côtés, désirant en faire de même avec elle. Ce qu’il n’hésita point à lui indiquer au travers de ses paroles, lui demandant s’il n’avait pas un corps séduisant, supposant qu’il serait dommage de ne pas en profiter. Il l’informa donc qu’il lui proposait donc de passer la nuit à ses côtés dans ce lieu ô combien insolite. Après tout, y avait-il rien de mieux que de succomber au plaisir de la chair dans cette pièce qu’elle désirait tant découvrir. Des paroles ô vaniteuses qui ne purent que la faire sourire de façon sournoise, murmurant contre son oreille alors qu’elle le sentait embrasser sa nuque, frissonnant doucement à ce contact, étant de nature fragile sur cette partie de son corps.

« C’est plutôt toi qui semble cruellement désireux de profiter de mon corps, n’est ce pas ? Après tout, tu sembles bien désireux que je découvre les formes de ton corps afin que je ne cède à ta proposition. Tu me sembles même cruellement impatient… »

Soupira-t-elle alors qu’elle sentait les lèvres du jeune homme mordillait sa chair, ses phalanges caressant la chair de ses cuisses en repoussant délicatement le tissu de sa robe pour la découvrir. Une action qui le fit délicatement mordre ses lèvres face au bien être que ces attentions lui apportait, ses mais continuant de caresser ses abdos qu’elle sentait si fermes et présents. C’est donc dans une voix quelque peu amusée qu’elle entendit le jeune homme murmurer que si elle voulait, elle pouvait lui enlever son haut pour avoir un avant-gout de ce qu’elle pourrait avoir en cette nuit. C’est ainsi qu’elle le sentit se saisir de l’une de ses main pour la guider sous son t-shirt pour qu’elle puisse enfin caresser enfin la chair de ses abdominaux, dont la texture était exactement celle à laquelle elle pensait. Une action de sa part qui vint d’autant plus renforcer son sourire alors qu’elle venait agir selon les attentes du jeune homme en venant frôler de ses doigts, la chair de ses abdos, de la naissance de ses reins qu’elle sentait si formée, glissant ses côtes, tout en remontant vers son buste, soulevant ce t-shirt jusqu’à qu’il l’empêche de poursuivre. Souriant de ce fait et d’autant plus des frisons qui semblaient prendre part de l’échine du jeune homme, elle vint délicatement mordiller son oreille pour susurrer au creux de son oreille, dans une voix ô sensuelle.

« En effet, tu as su me convaincre que cette clé mérite peut être que je te récompense plus dignement. Après tout…tu as risqué ta place… et je vais pouvoir disposer de cet endroit dès que je le souhaiterai. Je suppose donc que c’est de mon devoir de satisfaire tes exigences… et passer cette nuit avec toi…C’est ce que tu désires, n’est-ce pas Joaquin ? »
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:07

Convaincre la demoiselle de céder à la tentation était son unique résolution en ce jour. Cela n’était pas qu’un simple acte charnel à ces yeux, ni une femme comme les autres sinon, au bout de deux ans il aurait cessé d’essayer la séduire. Elle était importante à ces yeux, bien plus qu’il ne voulait le croire sans doute. Il ne s’agissait cependant nullement d’amour selon lui, celui-ci n’était pas pour lui. Il ne ressemblait nullement à un quelconque prince charmant, ni à un homme particulièrement romantique. Il buvait un peu trop d’alcool et était devenu depuis des années un drogué. Rien qui ne ferait qu’une quelconque femme ne souhaiterait vivre à ces côtés une relation d’amour, n’est-ce pas ? Sa famille avait beau être l’une des plus riches d’Espagne, aucune femme ne pourrait réellement s’intéresser à lui en raison de son statut d’héritier. Le désenchantement se produirait très rapidement. Lui, ne cherchait de toute manière nullement à connaitre ce sentiment, n’étant jamais tombé amoureux d’une quelconque personne. S’il était obnubilé par la demoiselle depuis le premier jour qu’il l’avait rencontré c’était bien parce qu’elle était unique à ces yeux, se démarquant de toutes ces étudiantes qui lui paraissaient tant ordinaires. Aucune d’autres ne pouvaient lui lancer des défis aussi amusants et fous, aucune ne détenait un corps aussi séduisant que celui de Jade, ni ce regard terriblement attrayant. Ce même regard quelle était en train de lui lancer en cet instant alors que leurs corps étaient résolument proche l’un de l’autre. Les doigts de la demoiselle caressaient ces muscles magnifiquement dessinées, le faisant sourire et apprécier ce contact qui ne pouvait pas l’empêcher de frissonner malgré lui. Il n’avait aucune raison de lui cacher son réel but et elle ne les ignorait nullement, c’était pourquoi il n’eut aucun mal à lui avouer ces intentions.

Pour appuyer ces propos, le jeune homme était venu embrasser sa nuque, souhaitant la voir fébrile en raison de ces baisers. Les propos de la jeune femme n’était nullement faux tant il était désireux profiter de son corps, tout comme il l’était qu’elle découvre les formes de son corps. Sentir les mains de la demoiselle sur son corps était résolument plaisant pour lui, appréciant ce doux contact contre sa chair. Souriant, le jeune homme mordillait sa chair, laissant sa main caresser la chair de ces cuisses. Souhaitant la voir résolument coquine avec lui et tentatrice, le jeune homme s’était saisi de sa main pour qu’elle vienne caresser ces abdominaux, leur texture. La réaction de la jeune femme ne pouvait que lui faire réellement plaisir alors qu’elle profitait du contact de son corps, frissonnant malgré lui au contact de ces doigts qui remontaient sur sa chair. Il ne pouvait que regretter de porter un tee-shirt en cet instant, souhaitant résolument sentir contre sa chair ces doigts gracieux. Le jeune homme ne put que sourire aux mordillements de la demoiselle, frissonnant à nouveau alors qu’il sentait son souffle contre son oreille et cette voix qui avait un ton résolument sensuel ne le rendait que plus fébrile. Les mots de la demoiselle vint faire naitre sur son visage un réel sourire. Jane lui avoua qu’il avait su la convaincre que cette clé méritait peut être qu’elle le récompense plus dignement. Il avait risqué sa place et elle pouvait disposer de cet endroit dès qu’elle le souhaiterait. Il était alors de son devoir de satisfaire ces exigences et de passer cette nuit avec lui. C’était ce qu’il désirait après tout. Souriant, il vint alors embrasser la nuque découverte de son amante, la mordiller. Il laissa son souffle s’échouer sur la nuque de la demoiselle et murmura d’une voix résolument grave et séduisante : « C’est exactement ce que je veux oui… mais, ne t’inquiètes pas, aucune de mes amantes ne s’est encore plaint de moi. Je suis sûr de pouvoir répondre à tes exigences en ce qui concerne tes amants. D’ailleurs… »

Souriant à ces mots comme pour rendre plus fébrile sa future amante, il vint reculer un instant pour enlever de manière sensuelle son tee-shirt. Dévoilant alors son torse qu’il savait particulièrement plaisant pour les jeunes femmes qui avaient eu la chance de croiser son chemin. Il sourit de manière séduisante et vint rapprocher à nouveau leurs corps, frissonnant malgré lui au contact de cette poitrine contre son torse. Peut-être était-il trop rapide en comparaison à de possibles anciens amants mais, cela ne l’importait que peu. Il ne désirait que rendre fou cette demoiselle et il savait que ce corps ne rendait jamais insensible une quelconque demoiselle hétérosexuelle et même certain hommes, ayant déjà eu des avances d’hommes dans son passé. Le jeune homme vint embrasser la nuque de la demoiselle dans un doux sourire, mordillant celle-ci alors que ces mains s’égaraient sur ces hanches qui attiraient résolument le regard dès qu’on les voyait. L’une de ces mains vint caresser l’une des cuisses de la demoiselle, la taquinant résolument. Il murmura alors dans une voix sensuelle contre cette nuque : « Que penses-tu de ce que tu vois Jade ? » Souriant le bidulgi vint relever son visage pour capturer entre ces lèvres cette bouche attirante, mordillant ces lèvres un instant avant de l’embrasser de manière plus sensuelle, fermant les yeux simplement. Ces mains caressaient avec envie les hanches de la demoiselle, ne cachant alors nullement chacune de ces envies. Il murmura entre deux baisers au creux de ces lèvres : « Mes baisers te conviennent-ils ? Le contraire serait vraiment dommage !» Des mots résolument taquins alors qu’il souriait simplement, l’embrassant à nouveau, laissant son corps se fondre tout contre celui de cette amante terriblement séduisante à ces yeux. La température de son corps ne pouvait que se réchauffer tant les sensations qu’il ressentait été agréable.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:08

En prononçant ses paroles, la jeune femme avait pleinement conscience que ses dernières allaient ravir le jeune homme, qui se trouvait contre elle. Après tout, cela faisait bien des années qu’il rêvait de l’avoir dans son lit, d’être en mesure de passer la nuit en sa compagnie. Les regards et actions de ce dernier ne pouvait nullement camoufler cette réalité dont elle avait toujours eu conscience. Sans doute aurait-elle pu continuer de résister aux charmes ô évidents de ce bel hispanique, qui se trouvait face à elle mais, elle ne le désirait pas. Elle se savait sensible à ses charmes et si elle avait mit tant d’acharnement à le contrarier, c’était bel et bien pour augmenter la cupidité de son être à son attention. Elle était bien l’une des rares à le freiner dans ses ardeurs d’homme cupide qu’il était et cela n’avait de cesse de tourmenter l’esprit tordu de ce dernier, qui semblait jamais se lasser de lui courir après. Elle se contentait donc de répondre aux attentes du jeune homme à en profitant par la même occasion, quand bien même refuserait-elle de le reconnaitre. Elle appréciait l’effet qu’elle lui faisait, ne pouvant qu’en sourire, amusée et curieuse d’approfondir cette réalité à son paroxysme, juste pour se satisfaire d’être l’objet des désirs de cet homme. Sans doute commettait-elle une erreur en lui donnant ce qu’il voulait mais, elle se savait être une bonne amante pour devenir l’obsession d’un homme et assez sexy pour captiver l’attention de cet homme pour quelques temps.

Sans doute que cette pensée se trouvait présomptueuse de sa part mais, le souffle brulant qui s’échappait des lèvres de ce dernier ne pouvaient que renforcer cette sensation qu’il se trouvait bien agité sous ses caresses. Il avait envie qu’elle le caresse, qu’elle lui fasse connaitre ses frisons d’extase qui semblaient prendre possession de sa chair. Sa voix se trouvait résolument grave et sensuelle, empli de ce bien être qu’elle semblait lui procurer au travers de ce contact coquin de son corps et de ses phalanges. C’est ainsi qu’il vint affirmer qu’il désirait en effet passer la nuit avec elle. Elle n’avait cependant pas à s’inquiéter car aucune de ses amantes ne s’étaient encore plaint de ses talents d’amant et il était intimé de pouvoir répondre à ses exigences en matière de relation sexuelle. Une remarque qui ne pu que la faire sourire d’autant plus, amusée par les paroles ô vaniteuse de cet homme qui se reculer un instant pour enlever son t-shirt de manière sensuelle juste pour lui permettre d’admirer son torse dans sa totalité. Un corps bien musclé et dessiné comme selon les dires de ses amantes d’une nuit, qui avaient passés de merveilleuses heures à le caresser. Combien de femmes étaient passés sous son corps : elle n’osait à peine l’imaginer. Elle allait faire partie de ces dernières mais, cela ne la dérangeait nullement, le voyant déjà revenir à elle pour se coller contre sa poitrine, souriant de manière séduisante. Le frison qui s’échappa de l’échine du jeune homme ne vint nullement lui échapper, ne pouvant que l’amuser d’autant plus alors qu’elle sentait les lèvres de ce dernier embrasser sa nuque avec ambition, la mordillant avec le même empressement que ses doigts n’avaient de cesse de cajoler ses hanches.

Des actions qui ne purent que plaire à sa chair qui semblait s’enflammer sous ces dernières. Il était résolument doué, ayant trouvé les zones érogènes de son corps pour qu’elle se laisse manipuler de la sorte. Un sourire figé sur ses lèvres, elle ne pu que se les mordiller délicatement alors que ses phalanges se glissaient de nouveau sur la chair de son torse pour venir découvrir ces pectoraux qu’elle n’avait pas encore exploré. La question malicieuse du jeune homme ne pu que renforcer son amusement alors qu’elle répondait dans une voix provocatrice.

« Mm… tu n’as rien à envier à mes précédents amants en effet. »

Des mots qui furent sceller par les lèvres cupides de son vis-à-vis, qui taquines vinrent mordiller leurs comparses avant de les capturer dans une baiser ô sensuel. Un baiser qui ne pouvait que renforcer sa fébrilité comme celle du jeune homme, qui se trouvait si flagrantes. La suite de ses questions provocatrices vint la faire sourire contre ses lèvres alors qu’elle se laissait embrasser de nouveau sans aucune résistance, glissant ses phalanges au creux de la chevelure du jeune homme pour approfondir ce baiser, le rendant plus sensuel que jamais. A son tour et consciente du plaisir monstre que le jeune s’efforçait de contenir, elle vint dévorer ses lèvres des siennes dans des étreintes ô prononcées comme pour accroitre son ambition. Son autre menotte vint quant à elle, explorer le torse du jeune homme pour descendre vers le bas de ce dernier dans des gestes déterminés et précis, satisfaite de le voir frissonner d’autant plus à ce contact charnel qui s’initiait entre eux. C’est donc dans un petit sourire coquin qu’elle vint détacher ses lèvres des siennes pour murmurer au creux de ses dernières dans un ton brulant et court par le manque d’air occasionné par ce baiser :

« Tu sembles très désireux que je te caresse, n’est ce pas ? Peut être même que tu n’as pas cessé de rêver de cela au cours des deux dernières années. Te céder a toujours été ton unique ambition, n’est-ce pas ? Je me dois donc d’être à la hauteur de tes espérances, je suppose. »

C’est donc tout naturellement qu’elle vint lui offrir un regard ô coquin en venant lui mordiller les lèvres pour les abandonner un instant plus tard pour rejoindre sa mâchoire, sa nuque qu’elle embrassait avec sensualité, ses mains s’évadant sur la chair de ses muscles dans des gestes précis et ordonnés, comme s’ils ouvraient le chemin à ses lèvres qui vinrent rapidement rejoindre le haut de son torse dans des étreintes ô sensuelles et amusées. Ces coquines commissures vinrent alors s’échouer au creux de ses pectoraux ô fermes qu’elle vint dévorer de ses lèvres, ne se lassant pas des frisons qui bousculaient la chair du jeune homme. Ses phalanges ô brulantes quant à elles vinrent se mouvoir sur ses abdominaux avec détermination, venant se choir sur la ceinture du jeune homme avec laquelle elles jouèrent, avant de s’immiscer à l’intérieur un instant juste dans l’ambition de le taquiner. Un effet qu’elle ne doutait nullement d’avoir réussi alors qu’elle levait son regard vers son visage, satisfaite de sentir ce fruit défendu quelque peu émoustillé par ses actions. Une petite coquinerie de sa part qu’elle vint arrêter quelques secondes plus tard en retirant ses phalanges pour les mouvoir au creux de ses reins, sentant sous la pulpe de ses phalanges, la chair ô délicate de ses fesses qui semblaient cruellement fermes sous ses doigts.

« Est-ce suffisant ou dois-je poursuivre, Joaquin ? Tu sembles bien émoustillé, je trouve, je me trompe ? » Murmura-t-elle au creux de son oreille contre laquelle elle vint laisser son souffle brulant s’échouer, juste pour approfondir l’état d’agitation où se trouvait le jeune homme, tout simplement.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:08

Il y avait bien longtemps que le jeune homme avait cessé de penser à la morale et à la droiture dans chacune de ces actions. Depuis le jour où il avait été charmé par cette étudiante plus âgée que lui et qu’il avait goûté au plaisir de la chair, en même temps qu’à cette drogue, le jeune homme avait définitivement quitté le monde de la raison. Il vivait dans un monde alternatif, là où seule sa passion pour les oiseaux lui permettait d’avoir un but dans sa vie et de ne pas se laisser emporter par la déraison. Jane était sans aucun doute l’une des personnes qui lui permettait de garder pied à la réalité, ayant un objectif certain de la voir un jour rejoindre ces draps. S’il s’écoutait sans aucun doute qu’il se rendrait compte que cette femme n’était pas une femme comme les autres à ces yeux. Mais, en ces instants, le jeune homme ne songeait nullement que les sentiments qu’il ressentait pour la demoiselle se trouvaient plus fort, seule la vision de ce corps ô combien attirant l’importait. Passer la nuit aux côtés de cette femme ne le dérangeait nullement, l’ayant tant rêvé depuis deux ans. Ainsi, le jeune homme s’était amusé au travers de ces mots à la taquiner, lui avouant qu’il n’était nullement un mauvais amant, ces amantes ne s’étant jamais plainte à son propos. Ainsi, il ne lui avait nullement laissé le temps de réagir que déjà avait-il enlevé son tee-shirt pour lui permettre d’admirer son torse et s’était-il déjà collé contre sa poitrine.

Embrasser sa chair, la mordiller lui semblait être une très bonne initiative au vue des frissons qui prenaient possession de son corps. Le jeune homme ne put que sourire aux propos de la demoiselle qui lui avouait qu’il n’avait rien à envier à ces précédents amants, aimant sans doute la vision de son torse particulièrement attirant comme chacune des femmes qu’il avait pu rencontrer. A peine avait-elle terminé ces mots que le jeune homme était venu embrasser ces lèvres dans un baiser sensuel auquel la jeune femme participa à son plus grand plaisir. Son corps frissonnait au contact de ces lèvres, de ce baiser ô combien sensuel qu’il aimait résolument. Les mains fines de son amant produisant le même effet sur son corps au fur et à mesure qu’elle caressait ce torse avec une envie certaine, descendant sur ces abdominaux. Le jeune homme ne pouvait qu’apprécier ces gestes tant il en avait rêvé depuis de longs mois. Joaquin n’avait pu que sourire simplement aux mots de Jane, tant ces mots se trouvaient véritable, il désirait qu’elle le caresse et cela depuis ces deux dernières années. La voir céder avait été sa seule ambition, ainsi, elle se devait d’être à la hauteur de ces espérances. Le regard coquin qu’elle lui lançait ne pouvait que l’amuser, appréciant son comportement résolument séducteur. Chacun de ces baisers se voulaient résolument taquin, tout comme ces doigts qui venaient caresser la chair de ces muscles. Plus les secondes s’écoulaient, plus le jeune homme avait l’impression de sentir son corps s’échauffer tant les attentions de la jeune femme était bénéfique pour son organisme. Ces lèvres descendaient progressivement au creux ces pectoraux, ces mains se glissant si près de cette zone sensible de chaque homme.

Le jeune homme frissonna alors qu’il sentait cette main s’immiscer à l’intérieur de son pantalon, frôlant alors le haut de son bas ventre, seulement couvert de son boxer. Ces yeux en cet instant ne purent qu’être brillants par la luxure qu’il ressentait en cet instant. La demoiselle se voulait résolument tentatrice lorsqu’elle vint laisser ces mains se glisser contre son boxer, caressant ces fesses. La demoiselle vint alors lui demander si le traitement était suffisant ou devait-elle poursuivre, il semblait résolument émoustillé. Des mots qui ne pouvaient que l’amuser alors qu’il laissa ces mains venir caresser à son tour les formes de demoiselle, ces hanches résolument attirantes dans cette robe. Le jeune vint tout simplement murmurer, remontant aux lèvres de son amante : « Cela ne me parait nullement suffisant à vrai dire… souhaitant recevoir bien plus que cela. Mais, je ne peux nullement critiquer ceux que tu viens de me faire… cela fut et est très agréable. » Des mots qui le firent doucement sourire, mordillant ces lèvres un instants avant d’embrasser sa nuque avec délice, continuant son action sur celle-ci.

Ne souhaitant nullement rester inactif en ces instants, le jeune homme vint tout simplement laisser ces mains détacher la ceinture qu’elle avait posée autour de sa taille. Ainsi sa robe à présent libre de toute attache, Joaquin vint glisser ces mains sur les cuisses ô combien appétissantes de la demoiselle, mordillant et embrassant encore cette nuque qui semblait particulièrement sensible. Il laissa l’une de ces mains glisser au haut de ces cuisses, caressant ces fesses un instant avec délice, appréciant résolument la texture de celles-ci, l’ayant tant rêvé depuis des mois. Joaquin ne pouvait alors qu’être ravi de ce fait, laissant son souffle chaud s’échouer sur sa nuque pour éveiller les sens de la demoiselle. Laissant ces instincts d’hommes le guider, Joaquin remonta sa première main sur les reins de la demoiselle pour caresser ces formes, ravis de sentir la peau nue de son amie contre ces doigts. Son désir de plus en plus présent dans son propre corps, sa main remonta jusqu’à la rencontre de son soutien gorge qu’il fit mine de détacher un instant pour taquine la demoiselle avant de le remonter sur le bas de ces épaules.

Résolument coquin, le bidulgi abandonna sa nuque et reprit entre ces lèvres celles de son amie, les caressant, les mordillant, les embrassant avec avidité. Au même instant, le jeune homme vint tout simplement prendre le tissu de la robe de la demoiselle entre ces doigts, le remontant alors progressivement jusqu’à qu’elle soit dévêtue à son plus grand plaisir. Sans doute devait-il paraitre pervers mais, la demoiselle ne devait pas avoir une meilleure image de lui en raison de toutes ces conquêtes. Le bidulgi s’écarta alors un instant, dévorant du regard la silhouette de la demoiselle qui se trouvait à ces côtés, se mordant les lèvres malgré lui alors qu’il murmurait d’une voix suave : « Tu n’as résolument non plus rien à envier à mes anciennes amantes… tu es terriblement séduisante. » Il prononça ces mots dans un regard tentateur, laissant ces mains caressaient ces cuisses désirable, ces yeux dévorant tout son cœur et notamment cette délicieuse poitrine si bien mis en avant dans ce soutien gorge. Jane ne pouvait que remarquer le regard qu’il lui lançait tant il se trouvait pénétrant. L’une de ces mains vint caresser sa chute de rein alors qu’il reprenait tout simplement ces baisers contre la chair de sa nuque, désireux de partager ces moments de luxure à ces côtés.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:09

Résolument coquine et taquine, Jane agissait de la sorte dans l’unique ambition d’émoustiller le jeune homme. La jeune femme avait pleinement conscience qu’elle se trouvait être une jeune femme attirante et une bonne amante, ayant succombé au plaisir de la chair de nombreuses fois avec des partenaires divers. Quand bien même certains s’étaient révélé sans importance à ses yeux, si ce n’est un passe temps plaisant durant quelques heures, elle était parvenue à marquer leurs esprits, en adéquation avec ce qu’ils désiraient. Elle avait donc de sérieuses raisons de s’appliquer à sa tâche actuellement en répondant aux fantasmes du jeune hispanique. Cela faisait près de deux ans qu’elle attirait le jeune homme comme un aimant, ce dernier rêvant plus que tout de la voir céder à ses charmes. Ce qui était loin d’être une pénitence à ses yeux même si elle refusait de le reconnaitre. Elle ne pouvait nier qu’il l’attirait, que quelque chose en lui la troublait. Sans doute que l’arrogance du jeune homme n’était pas étranger à cela. Il était sur de lui, déterminé et fonceur de nature, trois caractéristiques qui lui donnait un air de bad boy, qui faisait fondre tous les types de femmes. En plus de cela, il était sexy, possédé un sourire taquin et joueur, il était évident que peu de femmes pouvaient résister à ses charmes, elle la première.

Cet accord lui donnait une raison légitime de céder à son corps, à son fantasme qu’elle avait refusé de réaliser durant de nombreux mois. Elle avait toujours eu conscience qu’il avait toujours agit en vue de l’avoir dans son lit, cette réalité s’étant trouvé être l’ambition première du jeune homme, qui n’avait jamais été dissimulé au travers de ce petit jeu de séduction, qui s’était initié entre eux dès les premières minutes de leur rencontre. Elle ne cherchait pas à définir ce qu’il se passait, se laissant aller aux attentes du jeune homme qui n’avait de cesse de réclamer ses cajoleries. Il semblait prendre un plaisir malsain à sentir ses phalanges se mouvoir sur sa chair comme s’il s’agissait d’un motif d’exaltation extrême. Elle ne pouvait s’empêcher d’en sourire sournoisement, ravie de pouvoir admirer sa peau frissonnée à son contact. Elle s’amusait donc à le taquiner sous la pulpe de ses doigts, n’hésitant pas à allier des paroles ô coquines pour accroitre l’émoi du jeune homme, qui semblait tant approuver ses derniers. Des paroles qui vinrent trouver une réponse, sentant les mains ô viriles du jeune homme imposaient leur présence sur ses hanches, les caressant avec plus d’ambition alors qu’elle sentait les lèvres de ce dernier remonter vers ses lèvres pour murmurer contre ces dernières qu’elles lui paraissaient bien insuffisantes à vrai dire. Il désirait en recevoir bien plus mais, ne pouvait critiquer les précédentes, ces dernières ayant été agréables. Une réponse qui ne pu que la faire sourire d’autant plus alors qu’elle continuait ses caresses sur ses reins, trouvant ses fesses bien fermes, laissant le jeune homme venant mordiller ses lèvres un instant avant de retourner à sa nuque avec appétit pour l’embrasser.

Le jeune homme semblait avoir trouvé son point érogène, n’hésitant pas à le taquiner pour accroitre le petit feu qui s’initiait dans son bas ventre tandis qu’il venait agir à son tour. Ce dernier ne souhaitant nullement rester inactif vint tout simplement laisser ses doigts détacher la ceinture qu’elle avait posée autour de sa taille. Sa robe libérée de toute attache, elle ne pu que sourire à ce fait, se mordant délicatement les lèvres lorsqu’elle sentit de nouveau les phalanges ô ambitieuses de son futur amant se mouvoir sur ses cuisses jusqu’à ses fesses qu’il entreprit de caresser, ne délaissant nullement cette nuque qui semblait si bienheureuse de ses traitements. Un bien être qu’elle avait du mal à cacher, lorsqu’elle sentit ses reins se coller à ceux du jeune homme qui par ses gestes les avaient contraint à adopter une position beaucoup plus intime. Le souffle brulant du jeune homme se trouvait tout aussi envoutant, sentant ce dernier se choir sur sa chair, doublant d’autant plus sa fébrilité bien éveillée. Elle se laissait donc faire sous ses doigts, n’hésitant pas à glisser ses doigts sous le tissu du boxer du jeune homme pour venir frôler la chair de son postérieur, résolument bien musclé. Un geste qui sembla plaire à ce dernier qui ravi de sentir sa chair sous ses doits vint remonter une de ses mains jusqu’à la rencontre de son soutient gorge qu’il fit mine de détacher un instant comme pour la taquiner. Ce dernier semblait vouloir faire durer le plaisir puisqu’il ne vint pas aboutir à son action en venant remonter sa main sur la naissance de son épaule.

C’est donc dans un sourire amusé qu’elle vint accueillir de nouveau les lèvres avides de jeune homme qui vint les cueillir entre les siennes. Il vint les caresser, les mordiller avec empressement tout en remontant le tissu de sa robe qu’il vint rapidement enlever en rompant ce baiser fabuleux. Le souffle court, elle ne pu que sourire réjouie du regard captivé que ce dernier avait sur elle. Désormais en simple sous-vêtements, la vue qu’elle devait lui offrir de son corps à moitié nue semblait résolument envouter le jeune homme. Le regard que ce dernier lui tendait allait en ce sens comme ses paroles qu’il murmurait dans une voix si pénétrante. Elle n’avait résolument rien à envier à ses précédentes amantes, elle se trouvait même terriblement séduisante. Des mots qui ne purent que la faire sourire d’autant plus, lançant un regard taquin à son vis-à-vis qui vint de nouveau caresser la chute de ses reins en venant embrasser sa nuque, résolument allumé par le spectacle qu’elle lui permettait de voir. Résolue d’intensifier l’état fébrile du jeune homme, c’est tout naturellement à son tour qu’elle vint embrasser la naissance de sa nuque contre son oreille, laissant son souffle court et brulant se choir au sein de cette dernière. Ravie de le voir frissonner à ce fait, c’est avec provocation qu’elle laissa ses phalanges s’extirper de nouveau du pantalon du jeune homme pour revenir sur le tissu à l’avant de ce dernier. De façon très précise et résolument taquine, elle vint déboutonner ce dernier avec lenteur, jouant avec cet objet avant de s’attaquer à la fermeture éclair qui se trouvait contre l’aine encore protégée du jeune homme. C’est avec la même vitesse qu’elle vint faire glisser cette dernière, laissant sa main coquine palper la forme de cette intimité qui semblait bien impatiente de connaitre sa chair.

Elle ne pu donc que sourire à ce fait contre son oreille, la mordillant doucement alors que sa seconde main venait faire glisser le pantalon du jeune homme sous ses fesses, jusqu’à ses pieds, son autre menotte s’affairant déjà à répondre aux attentes du jeune homme. Coquine, cette dernière vint délicatement masser cette partie au travers du tissu moulant du jeune homme, sentant son souffle brulant fouetter sa nuque comme s’il tentait de canaliser ses gémissements de se faire connaitre. Elle le sentait bien ferme sous ses doigts, continuant son affaire tandis que ses autres phalanges s’affairaient à se glisser sous le tissu pour taquiner ses fesses au moment même où elle venait mordiller de nouveau son oreille. C’est donc dans un sourire satisfait, qu’elle l’entendit enfin soupirer, résolument fébrile et cupide sous ses doigts tandis qu’elle le cajolait simplement. Très rapidement et surtout déterminée à l’idée de le rendre fou pour répondre aux fantasmes du jeune homme, c’est avec douceur qu’elle vint glisser ses doigts en dessous du tissu de son boxer. C’est donc en douceur qu’elle vint laisser ses phalanges découvrir la chair brulante de son aine, l’effleurant délicatement tandis qu’elle faisait glisser le tissu à son tour de son autre menotte. Un nouveau soupir du jeune homme ne pu que la faire sourire d’autant plus profondément alors qu’elle venait de nouveau frôler son aine pour la découvrir sous la pulpe de ses doigts, exerçant des passages résolument frustrant pour le jeune homme.

« Est-ce que toutes tes amantes te font un tel effet après quelques caresses où est-ce moi qui réalise enfin ton fantasme de me voir devenir ton amante d’une nuit ? Tu sembles avoir cruellement chaud, Joaquin, tellement tu es émoustillé… ? »

Riant faiblement contre son oreille qu’elle vint de nouveau mordiller, c’est tout naturellement qu’elle vint prendre entre ses doigts cette partie ô sensible de son anatomie pour le taquiner enfin, répondant sans doute d’autant plus intimement à ses espérances.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:10

La vision devant lui était résolument plaisante pour le jeune bidulgi qui avait tant rêvé de voir devant lui la demoiselle en simple sous vêtement. Il aurait aimé être un animagus et pouvoir l’espionner de nombreuses fois mais, cela n’était nullement acceptable peut-on dire. S’il souhaitait la voir porter que ces simples sous-vêtements, il espérait au plus profond de lui lire dans les yeux de la jeune femme une certaine fébrilité et un intéressement pour sa personne. Un fait exaucé en cet instant alors qu’il voyait la demoiselle à ces côtés dévorer du regard son corps, bien qu’elle le faisait avec plus de retenu que lui. Le jeune homme ne pouvait que trouver son amante particulièrement attirante ainsi vêtu, lui laissant la libre vue de sa poitrine particulièrement bien faite et de cette silhouette fine qui attirait toujours son regard. Le bidulgi n’avait pu alors que lui avouer ces réelles pensées dans lesquelles il pensait que toutes ces anciennes amantes n’avaient rien à lui avouer tant elle se trouvait ô combien attirante et séduisante. Des mots qui avaient plu à la demoiselle qui lui avait lancé un regard taquin à la suite de ces mots. En réaction, le jeune homme s’était mis à embrasser sa nuque, la mordillant pour la sentir frissonner tout contre sa chair.

La demoiselle n’était alors nullement restée inactive, venant répondre à ces doux fantasmes et embrasser à nouveau la naissance de sa nuque contre son oreille, laissant son doux souffle le faire frissonner tant il se trouvait brûlant. La fièvre qui avait pris part de son corps avait traversé celui de son amie qui était tout aussi fébrile que lui. Celle-ci, résolument coquine et souhaitant le rendre encore plus fébrile vint retirer ces doigts de son pantalon pour venir déboutonner son pantalon avec taquinerie, jouant avec amusement avec la fermeture éclair. Le jeune bidulgi ne put que frissonner à ce contact, bien impatient de connaitre la réelle sensation de ces doigts contre son intimité qui ne demandait qu’à recevoir plus d’attention de sa part. Il n’eut fallu que quelques secondes de plus pour que la demoiselle ne vienne répondre à son souhait et ouvre enfin cette fermeture éclair qui lui permettrait de voir son fantasme se réaliser. Cette main coquine sur cette partie de cet être enfin caressé ne lui permettait nullement de calmer ces ardeurs, celle-ci prenant de plus en plus de vigueur dans ce boxer bien trop étroit en cet instant. La jeune femme tout aussi impatiente que lui vint mordiller son oreille, faisant glisser son pantalon sous ces fesses jusqu’à le faire tomber sur le sol. Il n’y avait sans doute rien de plus appréciable pour le jeune homme que cette main qui venait caresser cette partie ô sensible de chaque homme.

Le jeune bidulgi essayait alors de garder son calme, ayant l’impression de redevenir cet adolescent lorsqu’il avait goûté au plaisir de la chair pour la première fois il y avait déjà plusieurs années. Soupirant alors à ce contact ô combien appréciable, le jeune homme vint simplement laisser agir la demoiselle sans agir d’une quelconque façon, profitant simplement de ces phalanges qui étaient venus se choir sous le tissu de son boxer pour taquiner ces fesses. Joaquin vint alors laisser échapper un doux gémissement, incapable de le garder alors qu’elle venait mordiller son oreille et caresser ces fesses. Ces doigts ne restèrent nullement longtemps à cette place et ce fut avec une joie certaine qu’il sentit ces doigts glissaient au niveau de son entrejambe, l’emmenant à laisser échapper à nouveau un gémissement. Ce contact était réellement bienfaisant pour lui qui avait tant rêvé de voir ce jour arrivé, celui où elle réaliserait l’un de ces fantasmes.

Quelques instants plus tard son boxer avait été descendu sur ces cuisses pour s’échouer sur le sol avec l’ensemble de ces vêtements, laissant alors à la demoiselle une vue qu’il devinait particulièrement attirante pour la demoiselle. N’avait-il pas après tout un corps qui plaisait aux femmes et ne disait-elle pas qu’il avait un corps d’apollon à chaque fois ? La demoiselle ne devait nullement penser le contraire tant ces yeux semblait se plaire dans cette vue. Ainsi, tout aussi fébrile que pouvait l’être cette femme, le jeune homme vint se mordre les lèvres un instant alors qu’il sentait ces mains frôler son aine, la caressant à peine, ne pouvant que le frustrer au plus haut point. La demoiselle vint le taquiner et accroitre cette douce passion lui murmurant si toutes ces amantes lui faisaient un tel effet après quelques caresses ou c’était parce qu’il s’agissait d’elle, ayant enfin la chance de voir son fantasme se réaliser. Il semblait avoir cruellement chaud tant il était déjà émoustillé avec ces simples caresses.

Des propos qui se trouvaient vrais tant le jeune homme n’était nullement tant fébriles avec de simples caresses en compagnie d’une autre femme. Les caresses de la demoiselle sur son aine ne put que le faire souffler à nouveau d’un plaisir certain, sentant celle-ci prendre de plus en forme, étant bien sensible à ces attouchements. Ainsi, le souffle coupé, par la passion qui prenait part de son être, le jeune homme vint tout simplement murmurer au creux de l’oreille de son amante : « Il n’y a que toi qui me fait cet effet-là ma chère Jane… personne ne peut me faire autant réagir en si peu de temps. Après tout depuis deux ans je te tourne autour, il aurait été dommage que mon corps ne réagisse pas à a la vue ô séduisante de ton corps, n’est-ce pas ? » Souriant à ces mots, le jeune homme vint laisser échapper un doux gémissement de ces lèvres, ravis de sentir la demoiselle effectuer de douces caresses sur son aine. Ne souhaitant nullement rester d’une quelconque manière immobile, le jeune homme vint tout simplement continuer ces caresses sur les hanches de la demoiselle, remontant sur son dos jusqu’à atteindre les agrafes de son soutien gorge qu’il vint détacher avec technicité.

Ainsi, ce fut avec une certaine joie qu’il fit tomber celui-ci pour découvrir la poitrine nue de son amie, cette poitrine qu’il avait tant rêvé de voir depuis tant de mois. Le contact de la main de Jane en cet instant sur son aine ne put qu’accentuer son bien-être, le faisant gémir doucement alors qu’il venait embrasser la douce peau à présent découverte de son amie, commençant à embrasser le haut de sa poitrine, accentuant son désir pour sa personne. Il l’embrassa ainsi pendant de nombreuses secondes jusqu’à atteindre le centre de sa poitrine et frôler ce bouton de chair. Pervers, résolument coquin le jeune homme ne pouvait qu’apprécier ces douces sensations, soupirant en laissant son souffle brûlant s’échouer sur sa poitrine déjà sensible. L’une de ces mains vint caresser sa cuisse souhaitant voir sa chair frissonner au contact de sa peau si brulante. Délaissant sa poitrine le jeune homme vint tout simplement sa nuque, la mordillant, ayant remarqué que cette zone était particulièrement sensible chez Jane. Souriant, il vint alors murmurer d’une voix ô combien chaude et suave au creux de son oreille : « Jane… que penses-tu de ton amant ? As-tu une suggestion pour améliorer cette nuit ou fonds-tu déjà simplement avec mes lèvres et mes doigts ? Il serait dommage que tu ne profites pas de cette nuit…»
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:10

Elle avait susurré ses mots coquins dans l’unique but de titiller l’être de son amant du jour. En effet, elle était pleinement consciente que le jeune homme avait toujours été attiré par elle, sans doute même avait-il fantasmé sur elle durant ses nuits de solitude dans son lit. Une idée qui ne pouvait que résolument l’amuser tant elle se demandait ce que la Jane de ses fantasmes pouvaient bien faire pour répondre à ses attentes d’homme. Agissait-elle comme elle le faisait actuellement, mettant tout en œuvre pour rendre fou sa chair et son esprit d’une chaleur incommensurable ? Il fallait croire qu’elle n’était pas bien éloigné de la réalité tant le jeune homme prenait plus plaisir à ce qu’elle le caresse qu’à venir obtenir ce qu’il désirait depuis des années. Espérait-il qu’elle ne cède la première en venant réclamer ses attentions ? Si c’était le cas, il était fort à parier que le jeune homme allait devoir attendre encore un peu, quand bien même prenait-elle plaisir à le chauffer. Ses doigts tout contre son aine, cette dernière semblait particulièrement fébrile et impatiente de ses actions, se renfermant sous la pulpe de sa chair qui venait la caresser enfin.

Un plaisir qu’elle désirait plus que tout intensifier en l’échine de son ami, venant enfin délicatement prendre cette intimité au creux de ses phalanges pour venir la caresser en accord avec ses espérances. Une action qui semblait être cruellement bien accueillie par la chair de ce dernier qui s’affermi contre sa chair, sentant son souffle brulant venir fouetter sa nuque dans un soupir résolument envoutant à entendre. Elle ne pu que sourire d’autant plus à ce fait, venant embrasser sa nuque avec taquinerie alors qu’elle sentait son souffle coupé venir frôler son oreille pour y murmurer des mots ô plaisants. Il n’y avait qu’elle qui lui faisait cet effet là après de telles caresses, aucune autre ne pouvait le faire autant réagir en si peu de temps. Quelle digne amante pouvait rester de marbre face à de paroles si élogieuses. Elle ne pu donc que sourire contre sa nuque, laissant sa main exercer une caresse sur ce muscle de chair qui ne semblait que prendre plus de formes sous ses actions. Après tout, comme le jeune homme l’avouait ouvertement, cela faisait deux ans qu’il lui tournait autour et il aurait été bien dommage que son corps ne réagisse pas à la vue si séduisante de son corps. Des paroles qu’il vint conclure dans un nouveau gémissement face à ses actions et qui ne purent qu’intensifier ce plaisir malsain qu’elle éprouvait de le rendre fébrile. Elle était résolument disposée qu’à le caresser, lui faire atteindre le paradis terrestre juste avec la technicité de ses doigts sur sa chair et ses lèvres sur son corps. Après tout, n’était pas valorisant d’être en mesure de rendre fou un homme juste par la dextérité de ses charmes ?

Seulement, était-ce la volonté du jeune homme ? Elle ne pouvait le certifier, ce dernier ayant résolument bien plus de mal à se laisser aller à la caresser. Ce qui ne la déplaisait nullement, cela lui donnait plus de raisons de résister à l’envie de passer sous ses bras, accepter le fait qu’elle avait tout autant envie de le sentir contre sa chair que lui l’éprouvait. Elle ne pu donc que sourire de sentir les mains taquines de ce dernier se mouvoir sur son dos pour lui retirer son soutien-gorge, laissant enfin sa poitrine nue s’offrir à la vision de cet homme qui semblait d’autant plus cupide à ce fait, son aine se formant d’autant plus sous ses doigts qui vinrent de nouveau taquiner ce dernier avec amusement. Elle ne pu donc que frissonner délicatement à ses baisers sur sa chair, se mordant délicatement alors qu’elle sentait sa poitrine s’affermir, coquine et impatiente de recevoir l’attention du jeune homme, qui cupide venait délicatement à sa rencontre. C’est bien malgré elle, qu’elle sentit un léger soupir chaud s’extirper de ses lèvres alors qu’une des mains de son amant venait se choir sur sa cuisse, la caressant avec ambition. Nullement déterminée à se laisser dominer par ses pulsions de femmes, c’est donc avec un peu plus de vigueur qu’elle vint de nouveau caresser son aine alors qu’elle sentait enfin ses lèvres coquines se poser sur sa poitrine, la taquinant avec ambition en embrassant un de ses boutons de chair. Un contact humide et intime qui ne la laissa nullement insensible alors que ses lèvres ô bienveillantes l’abandonnaient de nouveau pour mordiller sa nuque en lui murmurant ce qu’elle pensait de lui. Il lui demande s’il elle avait une suggestion à lui faire pour améliorer cette nuit ou si elle fondait déjà avec ses lèvres et ses doigts sur sa chair. Des paroles qui ne purent que la faire rire délicatement alors qu’elle laissait ses phalanges s’attardaient sur l’extrémité de cette aine si bien formée.

Résolument coquine et déterminée à le taquiner jusqu’au bout, c’est tout naturellement qu’elle vint glisser sa main libre que le bassin de jeune homme pour l’intimer à se coller à elle. Son aine entre ses cuisses, le tissu de son sous vêtement venant frôler la naissance de son aine, elle fut ravie de le sentir gémir contre sa nuque. Sans doute avait-il remarque que le tissu de sa culotte se trouvait quelque peu humide depuis le commencement de leur petit jeu. C’est donc dans un sourire enjôleur qu’elle vint délicatement jouer avec l’extrémité de cette aine, s’amusant à la caresser avant d’exercer un mouvement de nouveau alors que sa poitrine ferme venait se mouvoir contre la peau nue du torse de son amant auquel elle venait murmurer au creux de l’oreille.

« A toi de me dire ce que tu souhaites, Joaquin… Après tout, je suis ton cadeau, à toi de faire ce que tu veux de moi, n’est-ce pas notre marché ? Je ne fais que répondre à tes fantasmes… Tu es si brulant… Ton aine…si impatiente… Dis-moi, Joaquin, as-tu déjà fantasmé que je te rende fou juste en te touchant de cette façon ? »

Elle avait susurré dans un ton ô provocateur alors qu’elle venait d’autant plus renforcer l’étreinte de ses doigts sur son aine pour venir exercer un mouvement de main tout contre le tissu de son sous-vêtement, l’entendant gémir alors qu’elle venait délicatement mordre son oreille. Laissant son souffle brulant s’échouer contre son oreille, elle vint légèrement gémir tout comme lui à la pression qu’exerçait sa poitrine contre la sienne, laissant sa main libre remonter sur ses abdominaux pour les masser avec ambition, rajoutant simplement.

« Alors ? Dis-moi… »
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:12

Il n’y avait sans doute rien de plus appréciable pour le jeune homme que de sentir ces mains ô gracieuses venir caresser la chair de son aine. Il avait tant rêvé de fois de pouvoir être le protagoniste de cette scène qu’il ne pouvait qu’en être particulièrement ravi, quémandant malgré lui de plus en plus d’attention de la part de son amante. Son corps ne pouvait qu’apprécier la vue ô combien délicate de son amante si peu vêtu devant ces yeux d’hommes presque pervers. A présent, elle ne portait plus qu’un seul vêtement, ayant décroché son soutien gorge. Son regard ne cessait d’admirer sa poitrine ô délicieuse, ces lèvres l’embrassant avec délice en même temps que sa main glissait sur sa cuisse pour la caresser de manière ô combien sensuelle et faire naitre en elle un désir certain pour sa personne. Il ne demandait qu’elle soit folle de son corps pour toujours mais, si en cette nuit il pouvait la rendre fébrile et lui faire découvrir le plaisir de la chair à ces côtés, le jeune homme ne pourrait qu’en être particulièrement ravi. Il avait alors abandonné celle-ci pour rejoindre cette nuque qu’il avait découverte particulièrement érogène, l’emmenant à frissonner à chaque instant. Le jeune homme avait alors prononcé des mots résolument coquins, souhaitant connaitre son avis sur son traitement. Il aurait voulu entendre les attentes de la demoiselle, connaitre chacune de ces envies mais, celle-ci ne semblait pas en être en accord avec ces convoitises. La demoiselle se mit seulement à rire délicatement, un rire ô combien plaisant pour ces oreilles à l’instant même où elle continuait de caresser délicatement l’extrémité de son aine.

Le jeune homme sourit simplement contre la demoiselle alors que l’une de ces mains l’avait emmené à rapprocher leur corps et tout particulièrement cette ainé déjà bien émoustillé qui rencontrait l’intimité de son amante couverte par cette culotte qu’il découvrait humide. Un fait qui ne pouvait qu’ô combien le ravir, sachant que chacune de ces actions plaisaient résolument à la demoiselle à ces côtés. Le jeune homme ne pouvait qu’accepter ce doux contact, laissant un gémissement exprimer la sensation de bien-être que ressentaient son corps et particulièrement cette aine. Souriant simplement, le jeune homme laissait ces mains caressaient la chair de son amante et particulièrement ces hanches ô combien délicieuses qu’il rêvait dé dévorer de ces lèvres. La demoiselle résolument taquine continuait de jouer de ces doigts sur son extrémité, la caressant avant d’effectuer à nouveau un mouvement, faisant rencontrer plus sérieusement leurs intimités, toujours bloqué par ce tissu ô combien gênant. Sa poitrine rentrant en contact avec son torse, le jeune homme laissa un doux soupir s’échapper de ces lèvres alors qu’il sentait le souffle de son amante remontait jusqu’à son oreille. La demoiselle lui demanda alors que de lui partager ces envies, elle était après tout son cadeau et il pouvait faire tout ce qu’il voulait d’elle. Elle ne faisait que répondre à ces fantasmes. La suite de ces propos ne put qu’augmenter la température de son corps alors qu’elle murmurait s’il avait déjà fantasmé qu’elle ne le rende fou seulement en le touchant de cette façon.

Le jeune homme ne pouvait qu’acquiescer à ces mots, lui lançant un regard ô combien coquin bien qu’en ce jour ce n’était pas ce fantasme qu’il voulait réaliser. Peut-être serait-ce la première fois et dernière fois qu’il l’aurait à sa merci mais, le jeune bidulgi ne comptait nullement en rester là, souhaitant lire dans les yeux de son amante de plus en plus de fébrilité et d’envie de s’unir à lui en cette nuit. Le jeune homme ne pouvait qu’être particulièrement sensible à nouveau, laissant leurs chairs se rencontraient à nouveau dans un délicieux mouvement qui attisaient résolument son être. Jane cherchait résolument à le rendre fou, le jeune homme ne pouvait qu’être persuadé alors qu’il sentait les lèvres de son amante mordiller à nouveau son oreille, gémissant contre celle-ci. Son autre main audacieuse caressait ces abdominaux avec délice, le rendant fier de voir que son corps plaisait résolument à cette demoiselle à ces côtés. La demoiselle vint réitérer alors à nouveau la question à son encontre ne le rendant qu’encore plus fébrile et renforçant son envie de découvrir le vrai plaisir de la chair aux côtés de son amante.

Le jeune homme vint alors lui lancer un regard résolument taquin, venant mordre la nuque de son amante, l’embrassant à nouveau comme pour y laisser ces marques et lui démontrait qu’elle n’oublierait jamais cette nuit qu’elle passerait à ces côtés. Le jeune homme vint murmurer alors dans une voix ô combien grave et résolument sensuelle ces quelques mots : « Mmm… il m’est arrivé un certain nombre de fois de fantasmer sur le fait de me rendre fou seulement en me touchant… mais, en ce jour… » Il laissa ces mots en suspens alors que l’une de ces mains venaient se poser simplement contre l’une des cuisses de son amante, remontant progressivement jusqu’à atteindre ces fesses ô combien attirantes et les caresser coquinement. Souriant, le jeune homme vint continuer ces propos, mordillant sa nuque avec délice : « J’ai une autre envie… celle de découvrir ce corps et de nous faire découvrir le vrai plaisir de la chair à tes côtés, cela ne te semble-t-il pas intéressant ?» Souriant à ces mots résolument coquin, le jeune homme guida l’une de ces mains vers la poitrine de son amie pour la malaxer délicatement et accroitre la chaleur qui s’échappait de ce corps.

Ainsi, sans laisser le choix à la demoiselle de protester d’une quelconque manière, le jeune homme vint simplement rapprocher leurs corps leur faire prendre une position plus agréable et plus pratique pour lui enlever délicatement cette culotte qui s’échoua très rapidement sur le sol, lui offrant alors la vue ô magnifique de cette femme nue devant lui qu’il avait tant souhaité découvrir. Ainsi, le jeune homme laissa écouler quelques secondes avant de venir caresser ces fesses à présents nues, tout comme cette cuisse qu’il caressait avec une envie certaine. D’humeur résolument taquine, le bidulgi vint descendre ces lèvres jusqu’à sa poitrine et l’embrassa avec un certain amusement, mordillant ces bouts de chairs pour cajoler cette amante qu’il trouvait résolument magnifique ainsi dévêtu. Il laissa son souffle alors à nouveau s’égarer contre la chair de sa poitrine et murmura : « Tu es résolument magnifique Jane… ». Le bidulgi termina ces mots et vint embrasser sa poitrine à nouveau, la mordiller, laissant l’une de ces mains caresser le haut des cuisses de la demoiselle, frôlant son entrejambe pendant de nombreuses secondes avec une envie certaine. Sa propre aine n’était qu’encore plus fébrile à cette vision ô magnifique pour un homme tel que lui. Ainsi, ne lui laissant nullement le choix, ni le temps de réagir, il laissa plusieurs de ces doigts frôlaient son entrejambe, caressait l’intérieur de son entrejambe avec amusement.

Au même instant ces lèvres vinrent embrasser avec plus de ferveur sa poitrine, susurrant le doux nom de son amante, lui laissant imaginer alors ce qu’il comptait lui faire en ce jour. Le jeune homme fut bien plus que ravi de la savoir déjà humide contre sa chair, laissant un de ces doigts frôlant son clitoris avant de le caresser plus fortement, appréciant sentir la moiteur de son intimité contre ces doigts. Il ne fit nullement de commentaires à ce propos, le sourire qui se formait sur son visage exprimait ces pensées résolument coquines. L’une de ces mains vint attraper alors l’une de ces poches de pantalons pour y saisir un des préservatifs qu’il détenait dans son portefeuille, ayant résolument l’envie de découvrir le plaisir de la chair à ces côtés. Le jeune homme vint relever son regard vers celui de son amante, ayant délaissé alors cette délicieuse poitrine pour venir embrasser ces lèvres ô combien délicieuse, dans un baiser langoureux.

Ainsi, le jeune homme n’étant nullement guère patient, il vint simplement s’éloigner quelque peu du corps de Jane, venant dérouler de lui-même ce préservatif contre sa chair, laissant échapper un doux gémissement à ce contact au fur et à mesure que ces doigts caressaient son aine. Ne laissant alors nullement à la demoiselle un quelconque choix. Souriant simplement d’un air résolument coquin, le jeune homme vint intimer à la demoiselle à s’asseoir de manière plus adéquate sur cette table dans un baiser langoureux, mordillant ces lèvres. La jeune femme vint alors écarter un peu plus ces cuisses et sans attendre vint laisser son aine pénétrer adroitement cette chair ô combien délicieuse, laissant échapper un doux gémissement le nom de son amante à cette rencontre.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:13

En toute sincérité, elle n’avait pu s’empêcher d’agir de façon si provocatrice avec le jeune homme pour la bonne et simple raison qu’elle avait pleinement conscience que ses actions exaltaient son amant. Ce dernier semblait prendre un plaisir intense d’être ainsi torturé et choyé par ses délicates phalanges, qui coquines n’hésitaient pas à le malmener. Les gémissements qu’elle pouvait entendre s’extirper des lèvres de ce dernier se trouvait ô agréable et valorisant pour l’amante qu’elle était. Jusqu’à quand allait-il résister à ses taquineries ? Jusqu’à quand allait-il lui concéder le droit de contrôle sous ses frisons de bien être qu’elle provoquait en son échine. Le faire fondre sous ses doigts, se trouvait être une idée résolument attrayante pour la jeune femme qu’elle était, tant cela lui donnerait la possibilité de prendre conscience de l’attirance profonde que ce dernier avait pour elle. Elle se savait être une amante douée pour allumer l’échine de son partenaire mais, jamais jusqu’à ce jour, elle n’avait joué aussi intensément avec l’un d’entre eux. Même si son nombre de partenaires était beaucoup moindre que celui de son vis-à-vis, elle avait la joie de prendre conscience que sa chair éveillait un feu sans nom dans l’échine de ce dernier. Elle ne pu dont qu’être ravie de le voir agir de cette façon en adéquation avec ce qu’elle désirait. Le regard du jeune homme se fit plus taquin que jamais tandis qu’il venait mordre sa nuque, l’embrassant comme pour la marquer définitivement à vie.

Une action qui ne pu que la rendre d’autant plus sensible, résolument de plus en plus faible et désireuse de ce corps qui semblait si impatient tout contre sa chair. Sa voix ne pu que la faire délicatement frémir tant cette dernière se trouvait cruellement grave et sensuelle alors qu’il lui avouait enfin qu’il lui arrivait un certain nombre de fois de fantasmer sur le fait qu’elle ne le rende fou qu’en le touchant mais… ce soir son désir semblait bien autre. C’est donc dans un léger soupir qu’elle sentit l’une des mains ô masculines du jeune homme se choir sur l’une de ses cuisses pour remonter progressivement à ses fesses pour les caresser avidement alors qu’elle se sentait délicatement possédé à son tour par le désir de savourer bien plus à ses côtés. Un souhait partagé par le jeune homme qui venait lui avouer qu’il désirait découvrir son corps et le véritable plaisir de la chair à ses côtés. Sa voix ô sensuelle lui demandait si cette idée n’était nullement intéressante alors qu’elle sentait l’autre menotte du jeune se choir sur sa poitrine pour la malaxer délicatement. Une action qui semblait bien plus ambitieuse que toute ses précédentes alors qu’elle sentait son corps être totalement dominé par celui de son amant, ce dernier venant rapprocher de son corps pour l’intimer à soulever ses reins à l’instant même où il vint lui enlever délicatement son dernier rempart de vêtement comme pour lui signifier qu’il ne comptait pas s’arrêter que là en cette soirée. Une ambition qui se trouvait être également sienne quand bien même ne l’avouerait-elle jamais par vanité.

Désormais nue face à ce dernier, elle sentait sa chair plus brulante que jamais tant elle semblait sa chair s’enflammer face à la chaleur de son corps. De façon ô sensuelle et délicate, ce dernier s’imposait enfin à elle de façon déterminée alors qu’il avait stoppé toute action quelques secondes qui lui semblèrent être une éternité. Sa peau brulante, elle ne pu que soupirer de sentir les phalanges de ce dernier reprendre ses caresses sur ses fesses, sa cuisse au moment même où elle sentait ses cupides lèvres descendre au creux de sa poitrine pour la malmener de nouveau. Des actions, beaucoup moins réservées que par le passé, qui la fit délicatement fondre inexorablement sous ses gestes. Ce dernier résolument taquin vint délicatement embrasser sa poitrine avec amusement, mordillant ses bouts de chairs qui n’avaient de cesse de s’affirmer sous les actions. Elle qui se trouvait délaissée jusqu’alors, semblait résolument être submergée par les attentions coquines de son amant qui laissait enfin clairement ses desseins à son attention alors qu’il lui murmurait qu’elle était magnifique à ses yeux. Des paroles qu’il avait prononcé avec émoi avant de poursuivre de nouveau ses taquineries qui avaient le don d’enflammer ses reins et son corps. Résolument sensible à ses attentions, elle s’efforçait de mordre ses lèvres pour contenir son émoi, ses gémissements de se faire connaitre mais son corps ne pouvait mentir. C’est donc dans un geste quelque peu maladroit qu’elle vint prendre entre ses doigts, le bois de sa baguette qu’elle avait posé sur la table. Une baguette contre laquelle sa poigne s’affermi lorsqu’elle ressenti les doigts ô plaisants de son amant frôler son intimité. Incapable de contenir plus longtemps ce gémissement qui désirait se faire connaitre, elle sentit ce dernier s’échapper de sa gorge lorsque ses phalanges ô coquines vinrent s’occuper de son intimité. Un contact ô envoutant et coquin qui la fit délicatement frémir tant son être réagissait favorablement à ses actions, en désirant bien plus. C’est donc le souffle chaud, qu’elle vint lancer un sort afin d’insonoriser la pièce de l’extérieur alors qu’elle fondait sous ses doigts.

Son intimité ô troublée par ce petit jeu qu’il initiait tout contre sa chair, elle sentait ses dents mordiller ses lèvres tant ce plaisir se faisait intense et malsaine. Ce dernier la rendait fou bien malgré elle, incapable de lui résister tant ses actions l’exaltait en tout point. C’est donc dans un gémissement de bien être et à la fois de frustration qu’elle sentit le jeune homme abandonner sa poitrine pour ses lèvres avant de les abandonner lâchement. Le regard résolument fébrile, c’est avec appétit qu’elle le vit se revêtir de cette protection avec impatience. Son aine si fermement excitée par toutes les caresses qu’elle avait pu lui faire et cupide à l’idée de la posséder enfin, c’est donc dans un regard brulant qu’elle le vit revenir à elle. Le regard de ce dernier se trouvait cruellement coquin alors qu’il l’intimer à adopter une position plus adéquate sur cette table alors qu’il l’embrassait langoureusement en mordillant ses lèvres. Résolument sensible à sa demande muette, c’est tout naturellement que ses cuisses vinrent s’écarter à l’instant même où elle sentit cette cupide aine s’infiltrer entre ses cuisses pour s’immiscer en elle. Un contact ô envoutant qui ne pu que la faire gémir contre ses lèvres, qui dévoraient les siennes tandis qu’elle relâchait le bois de sa baguette tant cette effusion se fit intense.

Une intrusion qui la fit délicatement fondre alors qu’elle sentait ses reins plus brulants qu’auparavant alors qu’elle sentait les reins du jeune homme la possédaient pleinement, la retenant captive de son échine. Une échine dont elle ne désirait nullement se séparer, sentant sa poitrine ferme et désireuse fondre au contact de ce torse si musclé qui venait délicatement se mouvoir contre ses boutons animés de désir. Ses désirs de femmes se trouvant alors à leur poussés à leur paroxysme, elle ne pu que gémir contre ses lèvres alors qu’elle le sentait initier un mouvement de bassin en son sein. Le souffle court, le cœur battant cruellement dans sa poitrine, elle sentit ses phalanges remonter le long des bras du jeune homme pour venir se choir sur son épaule rejoindre sa nuque qu’elles venaient caresser et griffer délicatement. Son regard brulant, elle pouvait lire dans les prunelles de son amant le plaisir intense qu’il ressentait de la savoir si sensible à son corps alors qu’elle lui souriait avec provocation en venant murmurer contre ses lèvres dans une voix ô brisée par le plaisir.

« Tu sais ce qu’il te reste à faire, n’est-ce-pas ? Alors continue et fais moi atteindre la jouissance, n’est-ce pas ton plus inavouable fantasme, Joaquin ? Me savoir tienne pour une nuit ? Mm... Alors fais-toi plaisir. »

Elle avait donc sourit contre ses lèvres alors qu’elle venait les voler des siennes de nouveau, tout en venant se coller à lui dans un nouveau mouvement de reins qui ne la laissait nullement de marbres à l’instant même où ses cuisses vinrent serrer les reins du jeune homme contre les siens. Elle s’offrait à lui à ce moment précis et le jeune homme avait tout intérêt à la combler si jamais il souhaitait être en mesure de goûter de nouveau à ce plaisir charnel à ses côtés lors d’une nouvelle occasion. Les cartes étaient entre ses doigts, tout simplement.
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Joaquín Alboran
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:14

Voir sous ces yeux son fantasme se réaliser, il n’y avait sans doute rien de plus merveilleux pour le jeune homme qui après deux ans de charmes la voyait tomber dans ces filets le temps d’une nuit. Il fallait dire que cette fois-ci, le jeune homme s’était surpassé et avait réussi à réaliser l’une des demandes les plus dangereuses qu’elle lui avait faite. De ce fait, il n’y avait résolument rien de mal au fait que le jeune homme accède pour la première fois à ce pécher aux côtés d’une femme aussi séduisante et désirable telle que Jane. Cette pensée ne pouvait que s’accroitre à la vision du corps nu de cette demoiselle qu’il trouvait résolument magnifique sous ces yeux, ne faisant qu’accroitre l’intensité de son désir. Celle-ci ne semblait nullement se plaindre de son traitement à l’écoute de ces doux gémissements qui s’échappaient de ces lèvres. Le bidulgi ne pouvait résolument qu’être fier de la voir faiblir sous ces lèvres, sous ces doigts empli d’appétence. Le jeune homme était résolument ravi de lire dans ces prunelles une douce luxure apparaitre alors, qu’il était venu caresser son intimité de ces doigts dans un geste résolument coquin. Ces lèvres avaient alors abandonné alors cette poitrine résolument attrayante pour cueillir ces lèvres entre les siennes, les mordillant avec un amusement certain.

Abandonnant alors les lèvres de son amante le jeune homme était venu alors se vêtir de cette protection qui leur permettrait de goûter au plaisir de la chair, impatients tous les deux de ressentir ce bien-être profond. Ces prunelles se trouvaient alors brûlantes, dévorant du regard cette femme alors même qu’elle venait répondre silencieusement à sa requête, adoptant une position plus adéquate sur cette table, reprenant ces lèvres dans un langoureux baiser. Le jeune homme vint alors se rapprocher d’elle simplement, laissant alors son aine pénétrer la chair de son amante avec lenteur, ne souhaitant nullement blesser la demoiselle, ni la voir souffrir tant il ne souhaitait lire dans ces yeux que du plaisir et de la passion. Le doux gémissement de sa compagne ne put que lui faire grandement plaisir, savourant d’enfin pouvoir pénétrer cette chair qui était une source de luxure ô combien forte pour le jeune homme. Leurs lèvres se dévoraient mutuellement à cet instant, s’embrassant dans de langoureux baisers. Le jeune homme particulièrement charmé par la demoiselle frissonnait au contact de cette poitrine contre son torse musclé.

Bien trop impatient alors, le jeune homme vint initier un premier mouvement de bassin en son sein dans un soupir ô élogieux pour cette femme qui n’était pas insensible à ces qualités d’amants, celle-ci ayant porté ces mains à sa nuque, le caressant et griffant délicatement sa chair. Joaquin ne pouvait alors que lui lancer un regard brûlant, empli de désir pour ce corps qui lui plaisait tant, tout particulièrement qu’il pouvait lire dans les prunelles de la demoiselle ce plaisir qu’il avait tant rêvé de voir en lui procurant ces mouvements. La demoiselle lui lançait alors au même moment un sourire rempli de provocation qui ne pouvait que lui plaire, sentant ces lèvres mordre le siennes et murmurer dans une voix ô brisée par le plaisir qu’il savait ce qu’il avait à faire à présent. Il devait alors continuer et lui faire atteindre la jouissance, n’était-ce pas après tout son fantasme, la savoir sienne pour une nuit alors, il se devait de se faire plaisir. Des mots résolument plaisant pour le jeune homme qui lisait entre ces lignes qu’elle désirait qu’il lui fasse atteindre le paroxysme du désir à ces côtés, ce qu’il comptait bien faire pour la voir devenir particulièrement fébrile, qu’elle n’oublie jamais cette nuit passé à ces côtés d’une quelconque manière. Le jeune homme voulait que cette nuit lui soit inoubliable, qu’elle se souvienne de lui et vienne céder à une nouvelle fois. Autant dire qu’il ferait tout pour être le plus doué des amants qu’elle n’est jamais eu. Il ignorait s’il y parviendrait mais, le jeune homme comptait bien y parvenir.

Ainsi, il ne lui laissa guère le temps avant de venir effectuer à nouveau un mouvement de rein en son sein, les cuisses de la demoiselle serrant ces reins. La demoiselle s’offrait à lui et le jeune homme comptait bien la combler. Ces lèvres reprirent celles de son amante dans un baiser qui se voulait ô combien langoureux, mordant celles-ci avant d’engager un réel baiser ô combien exaltant, laissant leurs langues se mêler dans un ballet sensuel. Ces mains n’étaient nullement en reste, caressant cette chair qu’il trouvait résolument plaisante et particulièrement ces fines hanches. L’une de ces mains vint s’égarer sur ces fesses un instant aimant résolument leurs textures, cette peau qu’il trouvait résolument délicate. Le jeune homme laissa échapper à nouveau le doux nom de son amante alors qu’il venait se retirer un instant de cette chair pour y replonger à nouveau. Souhaitant combler cette femme le jeune homme vint simplement éloigner leurs lèvres pour embrasser la chair de la nuque de son amante, la mordillant sur cette zone qui semblait la rendre ô combien fébrile.

Le bidulgi vint à nouveau s’éloigner d’elle pour effectuer un mouvement en son sein gémissant le doux de son amante. Il sentait celle-ci devenir de plus en plus faible, un fait qui ne pouvait que lui faire plaisir alors qu’il cherchait résolument à atteindre cette zone qui la ferait atteindre ce bonheur. Le jeune homme mordillait alors cette chair, l’embrassait en même temps que ces reins effectuaient des mouvements en son sein ô combien exaltant pour lui qui se sentait si heureux et si comblé de pouvoir enfin la posséder. Ces mains caressaient continuellement les fesses de son amante et ces reins dans un doux sourire, si ravi de voir son corps se réchauffer à chaque seconde qui s’écoulait. Ce fut avec plaisir certain qu’il entendit son amante gémir subitement sans qu’elle ne puisse se contrôler, sans doute avait-il enfin atteint ce point qui rendait folle toute femme. Le jeune homme se retira alors avec lenteur de ce corps, s’y insérant à nouveau avec légèreté dans l’unique but de la frustrer et lire dans ces yeux une luxure certaine, quémandant la présence de son corps. Bien entendu, il agit ainsi quelques instants avant de se montrer plus fougueux, plus passionné que jamais, venant récupérer ces lèvres et les embrasser avec passion. Le jeune homme se sentait revivre à cet instant, n’ayant jamais eu l’impression d’avoir été aussi rempli de fougue qu’en cet instant.

Ainsi, dans un souffle quelque peu saccadé, il vint séparer leurs lèvres et murmurer dans une voix ô combien sensuelle dans un regard ô combien conquis et empli de luxure : « Jane… tu es si belle… » Au même instant, il vint à nouveau effectuer un mouvement de va-et-vient, fermant les yeux et gémissant son doux prénom.
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Jane Jenkins
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:25

Elle avait susurré ses paroles dans une voix ô suave et coquine dans le seul objectif de ravir le jeune homme qui se trouvait face à elle. Quand bien même ne pouvait-elle nullement nier que les précédentes caresses de ce dernier sur son corps avaient animé un feu sans précédent dans sa chair, elle n’en oubliait pas tant qu’elle le récompensait pour un service qu’il lui avait rendu. Il était évident qu’elle cherchait en ce dernier, une raison valable pour laquelle elle accepté de répondre au fantasme de son ami bidulgi mais, aussi le sien. Elle ne pouvait mentir sur le fait que le jeune homme se trouvait particulièrement érotique à cet instant. Ses prunelles ô profondes la détaillaient avec attention et passion. Elles n’avaient de cesse de la dévorer du regard avec cette passion que son aine ne camouflait nullement. Au creux de ses reins, cette dernière se trouvait si ferme et brulante qu’elle ne pouvait que provoquer une excitation palpable au sein de son être. Elle avait envie de lui, qu’il la fasse rêver ce soir et réalise son fantasme de lui faire l’amour comme il n’avait eu de cesse de lui faire comprendre. Elle n’avait donc pu que sourire ravie de sentir cette intimité exerçait une action au creux de ses reins alors qu’il venait l’embrasser de nouveau. Un baiser ô combien langoureux qui n’avait de cesse de la rendre faible face à ses propres désirs, ceux de se laisser complètement manipuler par ce corps, ses doigts, cette bouche qui en quelques minutes avait su éveiller tous ses sens. Elle ne pouvait donc que sourire de bien être contre ses tortionnaires, frissonnant de sentir ses phalanges ô cupide se mouvoir sur ses hanches tandis qu’une de ses mains venait se choir sur ses fesses. Ce dernier vint un instant relâcher ses lèvres pour murmurer son prénom dans une voix ô envoutante qui ne pu que la rendre fébrile d’autant plus. Avec cette voix ô sensuelle et empli de luxure, son prénom prenait une toute autre sensation à ses oreilles tant elle se sentait quelque par glorieuse. Sans doute était-elle l’une des rares avec qui durant ses ébats il venait murmurer son prénom.

Résolument conquise quand bien même ne l’aurait-elle nullement avoué, elle ne pouvait qu’apprécier ce fait, se sentant d’autant plus émoustillée tant les actions de son amant la rendait fébrile et d’autant plus désireuse de ressentir son corps dévorer d’autant plus sa chair. Elle se laissa donc pleinement faire, ne pouvant que gémir délicatement alors qu’il venait s’éloigner de ses lèvres pour venir embrasser sa nuque. Une attention qui ne pu que la rendre d’autant plus fébrile tant elle s’exaltait à ce geste, laissant ses dents mordiller ses lèvres, ses doigts griffant délicatement sa nuque. Elle se trouvait cruellement chaude tout contre lui, ne pouvant nullement comparé cette étreinte avec celle qu’elle avait avec Noah. Avec Joaquin cet acte n’avait pas la même signification que ceux qu’elle avait avec cet homme qui signifiait tant de choses à ses yeux. Ce n’était pas de l’amour à proprement parlé mais, elle ne pouvait nier qu’elle se trouvait charmé par cet espagnol qui savait tant user de ses charmes pour lui faire baisser ses gardes. Elle appréciait tant de choses à son sujet, à commencer par ce sourire coquin et sur de lui qui lui sillait tant. Elle se laissait donc faire, telle une amante réclamant les attentions de son amant. Les mordillements sur sa chair ne purent que la faire délicatement gémir contre son oreille, sentant sa poitrine s’affermir à l’instant même où il venait s’immiscer de nouveau en elle.

Résolument prisonnière de cette étreinte ô cupide et sensuelle, désireuse de découvrir d’autant plus cette chaleur l’enivrait, elle ne pu contenir de gémir plus fortement lorsqu’il vint frôler une partie ô sensible de son anatomie. Un fait qui sembla ravir son amant qui par cupidité vint en profiter pour la frustrer, initiant en elle, un mouvement très lent et léger, si déstabilisant pour sa chair qui s’était accoutumée à ces mouvements si euphorisant. C’est donc très franchement que son être vint exprimer son mécontentement au travers d’un gémissement incontrôlé, bref, car à l’instant où ce dernier s’était extirpé de ses lèvres, ce dernier vint de nouveau poursuivre ses taquineries de façon plus prononcée. Un petit jeun malsain qui rendait ivre son cœur qui battait violemment dans sa poitrine, gorgé d’une fébrilité sans nom qu’elle avait de plus en plus de mal à camoufler tout contre ses lèvres qui venaient de nouveau se mouvoir au sienne. Victime de ses doigts, de ses lèvres et son corps, elle n’était plus maitresse de son corps, sentant son corps s’enflammer au contact de ses boutons de chair qui dans ses mouvements venaient se mouvoir sur la peau si ferme de son torse. Tout contre ses lèvres, elle ne pu que le contempler gémir son prénom dans cette voix si conquise et emplie de luxure lorsqu’il vint la complimenter. Des paroles qui chantaient à ses oreilles tandis qu’elle venait glisser ses doigts sur la naissance de sa clavicule pour rejoindre son torse alors que ses lèvres venaient embrasser la mâchoire du jeune homme avec passion, savourant les caresses que sa barbe faussement dessinée provoquée sur sa peau, son souffle brulant balayant sa peau avec ambition certaine. Son autre main quant à elle, vint délicatement se glisser sur le dos du jeune homme avec tendresse et appétit, dessinant ses muscles alors qu’elle gémissait au coup de reins qu’il provoquait en son sein. Une main qui vint finir par s’échouer sur la naissance de ses fesses que son autre menotte vint rejoindre pour venir caresser ses dernières avec passion, les intimant à rejoindre son corps. Un mouvement qui ne pu que la faire délicatement gémir contre la nuque de son amant que ses lèvres étaient venus rejoindre avec ambition, mordillant sa chair tant elle se sentait bruler de l’intérieur et résolument désireuse de connaitre d’autant plus ce bien être qu’il lui apportait. C’est pour cette raison qu’elle ne pu s’empêcher de venir resserrer l’étreinte de ses cuisses autour de celles du jeune homme pour venir se coller fermement à lui alors qu’elle venait délicatement soupirer de nouveau contre sa nuque, l’intimant de nouveau à la pénétrer de nouveau.

C’est donc dans une voix ô fébrile qu’elle vint murmurer contre ses lèvres qu’elle vint baiser avec sensualité dans un regard à la fois ô enflammé et coquin.

« Je suis belle, Joaquin ? » Murmura-t-elle dans une voix ô provocatrice avant de murmurer dans un soupir. « Alors admires-moi autant que tu le désires, je ne retiendrai aucun de mes soupirs pour satisfaire pleinement à ton doux fantasme. »
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:26

Goûter au plaisir de la chair en compagnie de cette si ravissante demoiselle était résolument plaisant pour le jeune bidulgi. Depuis son premier jour dans cette école il l’avait vu et l’avait remarqué au milieu de toutes ces coréennes, non parce qu’elle était aussi occidentale mais par son caractère ô combien différent des autres femmes. Il était bien difficile de ne pas avouer qu’il avait trouvé cette femme particulièrement belle et depuis ce jour il n’avait jamais cessé d’une quelconque manière de la désirer. A présent qu’il avait enfin l’occasion de réaliser son fantasme, il comptait bien rendre folle la demoiselle à ces côtés, lui faire goûter au plaisir de la chair au côté du merveilleux amant qu’il était et rendre cette nuit inoubliable pour réitérer sans aucun doute tout cela. Ainsi, le jeune homme perdu dans cette douce luxure faisait en sorte que son amante ressente tout autant de plaisir que lui pouvait en ressentir. A présent que son aine avait pénétré cette chair, le jeune homme ne pouvait qu’avoir l’espoir de trouver cette zone qui rendait toutes les femmes sensibles et comblées. Il fut d’ailleurs particulièrement heureux de la trouver aisément, entendant cette voix si sublime gémir. Pour parvenir à rendre faible son amie, le jeune homme la taquina un certaine temps, la frustrait simplement dans un geste ô combien léger, heureux de voir cette femme si faible et quémandeuse d’attention contre sa chair. Le gémissement de la demoiselle l’avait résolument enchanté, perdant alors ce gémissement dans les nombreux baisers qu’ils échangeaient.

Le jeune homme ne pouvait qu’être ravi de ce doux contact entre leurs deux chairs, la dévorant de ces lèvres et venant l’embrasser tout simplement, laissé échapper un doux gémissement contre la chair de son amie. Le jeune homme l’avait complimenté, la trouvant résolument belle dans cette tenu dévêtue et tout particulièrement lorsqu’il la voyait en cette position ô combien exaltante pour l’amant qu’il était. Le bidulgi ne put que sourire simplement lorsqu’il sentit ces lèvres venir s’échouer sur sa mâchoire, savourant le contact de ces lèvres contre sa barbe naissante, résolument taillé chaque jour de la même manière pour paraitre plus séducteur à l’inverse de tous ces étudiants qui étaient bien rares à avoir une telle barbe. Sa main résolument coquine ne pouvait que lui plaire alors qu’il sentait celle-ci venir se glisser sur son dos, dessinant ces muscles qu’il savait ô combien plaisant pour les demoiselles. Le jeune homme frissonna à ces mains sur ces fesses qui appréciaient résolument ces caresses appuyés l’intimant à rejoindre son corps de manière plus fougueuse. Ce qu’il fit sans hésitation, pénétrant sa chair à nouveau et appréciant ô combien le doux gémissement de sa compagne tout comme ces mordillements contre sa chair. La demoiselle tout autant gourmande que lui dans cette étreinte vers renforcer le contact entre leurs chairs, l’emmenant à nouveau à la pénétrer, une très douce pénitence aux yeux du jeune homme qui était particulièrement ravi en ce jour. Son plus grand fantasme était en train de se dérouler sous ces yeux et le jeune homme ne pouvait que profiter de cette situation et rendre folle cette amante qu’il aimait sans doute plus que raison s’il était réellement franc avec lui-même.

Les mots de la jeune femme ne purent résolument que plaire au jeune homme alors que sa compagne lui demandait s’il la trouvait belle. S’il la trouvait ravissant il n’avait alors qu’à l’admirer autant qu’il le désirait, elle ne retiendrait aucun de ces soupirs pour satisfaire pleinement à son doux fantasme. Des mots résolument plaisant pour le jeune homme qui aimait tant entendre les gémissements de la demoiselle à ces côtés, chacun d’eux le rendant ô combien fébrile, ravivant cette flamme de la passion.

Il ne fallut pas prier le jeune homme plus longtemps avant qu’il ne vienne répondre au souhait de cette femme, venant embrasser cette nuque qu’il savait ô combien sensible qui l’emmenait toujours à gémir un peu plus fortement. Ce qu’elle fit d’ailleurs à son plus grand plaisir, l’emmenant à mordiller cette chair ô combien délicieuse. Dans une pénétration résolument frustrante, le jeune homme vint se glisser dans le corps de la demoiselle avec douceur touchant au passage ce point qui emmenait chaque femme à se sentir si faible et apprécier les pénétrations de son amant. Il agit ainsi à nouveau pendant plusieurs pénétrations jusqu’à qu’il vienne à nouveau la pénétrer de manière fougueuse, mordillant cette chair et laissant ces mains caresser les reins de cette femme, laissant une de ces mains remonter sur son dos. Le jeune homme ne cessait de dévorer des yeux son amante, la trouvant ô combien magnifique.

Au fur et à mesure de ces pénétrations le jeune homme remonta ces lèvres sur le cou de la demoiselle jusqu’à atteindre sa mâchoire, la dévorant de ces lèvres et reprenant enfin entre ces lèvres ces compères, les embrassant dans un baiser particulièrement langoureux. Au même instant, les pénétrations du jeune homme se firent plus fougueuses, l’emmenant à gémir le doux prénom de son amante, caressant sans cesse ce corps ô combien plaisant et particulièrement ces fesses et ces reins avec un intérêt particulier. Il ne sut exactement combien de temps ils restèrent ainsi à profiter du désir et du bien-être qu’apportait leurs actions mais, plus les minutes s’écoulaient, plus le jeune homme sentait que son corps allait flancher au sein du corps de son amante. L’une de ces mains vint coquinement se poser sur l’un de seins de son amante pour la caresser et continuer de la voir et l’entendre si fébrile. Il embrassa plus langoureusement son amante à ces caresses, accentuant sa pénétration pendant plusieurs minutes encore.

Ainsi, progressivement le plaisir pris de plus de place dans son organisme et il se sentit défaillir dans un dernier mouvement, gémissant dans un dernier râle le bien-être qui le prenait subitement, sentant son amante défaillir au même instant. Le jeune homme eut le souffle coupé pendant un instant, laissant son corps reprendre du poil de la bête alors même qu’il reculait son visage de celui de son amante pour la dévorer des yeux, n’ayant toujours quitté ce corps à cet instant. Le jeune homme caressa presque tendrement la nuque de la demoiselle et murmura : « Je ne peux que te féliciter… j’ai eu une très bonne récompense en cette nuit. Bien qu’il faut avouer qu’un prolongement ne me paraitrait pas de trop… qu’en penses-tu ?» Le jeune homme vint sourire simplement à ces mots, offrant un beau sourire à cette demoiselle, laissant sa main venir caresser ces hanches.
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MessageSujet: Re: Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI   Hey, do you have the key ?| PV Alboran H. Joaquín | FINI Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:27

Elle avait murmuré ses paroles dans une voix ô provocatrice dans le seul but de taquiner son ami. En effet, elle avait pleinement conscience de l’effet ô enivrant qu’elle avait sur sa personne, tout comme il l’avait sur sa chair à cet instant. Son cœur palpitait fébrilement dans sa poitrine, aliéné tant la chaleur qui emplissait sa chair se trouvait fort et dépaysant. Elle était entièrement à sa merci, son corps réagissant tout simplement face aux assauts du jeune homme qui était déterminé à la rendre folle. Une ambition commune qui ne rendait que leur ébat d’autant plus envoutant et plaisant pour l’un autant que l’autre. Il approuvait ses actions, tout comme elle les siennes, se laissant totalement dévoré par ce monstre qu’était la cupidité. Elle avait le souhait de fondre à son contact, de sentir l’être du jeune homme s’épanouir totalement au creux de ses reins qu’il dévorait avec tant d’impatience, de joie. Son aine résolument bien lotie au creux de ses cuisses, il n’avait de cesse de parcourir ses reins dans des mouvements ô captivants qui n’avaient de cesse d’augmenter sa propre agitation tout contre sa chair, qui brulante n’avait rien à envier à la sienne. Elle voulait que le plaisir qu’il éprouve à cette communion soit sans précédent, qu’elle réponde à ses attentes qu’il avait pu formuler après ses deux ans de frustration. Elle lui avait promit de réaliser son fantasme et comptait bien rester comme une de ses meilleures amantes, par question d’orgueil. Elle ne pourrait tolérer d’être relayée en seconde place. Une remarque qui n’avait nullement dérangé le jeune homme en vue de sa réaction ô émoustillée.

Ce dernier ne vint nullement perdre une seconde avant d’agir à son encontre afin de répondre à sa provocation. C’est donc dans un léger soupir qu’elle sentit les lèvres ô cupides de son ami se choir sur sa nuque dans l’ambition de la rendre d’autant plus sensible à ses actions. Un fait qui ne pu que se vérifier tant cette partie de sa nuque appréciait ses agressions, gémissant un peu plus fortement tant sa char se plaisait sous ses taquineries. Des taquineries qui ne purent que s’accroitre, se diversifier tandis qu’il venait mordiller et initier un mouvement de reins résolument frustrant en douceur. Une action qui ne pu que l’ébranlait délicatement tandis qu’il réitérait la chose, la rendant ô combien fébrile contre son corps ô masculin avant de la chambouler totalement en reprenant un rythme bien plus effréné. Des mouvements de rein ô exaltant qui ne pouvaient que la faire délicatement gémir tant le corps de son amant venait dévorait sa chair, la rendre plus sensible que jamais tant cet échange charnel se trouvait ô envoutant. Une effusion qui ne pu que s’intensifier sous les actions de son amant qui venait de nouveau à ses lèvres en dévorant sa nuque, sa mâchoire de baisers ô combien perturbants avant de l’embrasser langoureusement. Un baiser dans lequel elle se sentait complètement dévorée, sentant ses reins s’échauffer aux actions de son cupide amant, ses phalanges venant se choir contre la poitrine de son amant qu’elle griffait sans en prendre conscience tant ses mouvements se faisaient intenses.

Un émoi partagé qui n’avait de cesse de s’intensifier tandis qu’elle se sentait trembler délicatement à l’énonciation de son prénom par cette voix ô suave et rauque qui s’extirpait des lèvres de l’hispanique. Cette chaleur ô dévastatrice n’eut de cesse de se répandre plus farouchement dans son échine, pour atteindre son sommeil dès lors qu’elle sentit les phalanges ô brulantes de son amant atteindre sa poitrine pour la cajoler coquinement, la rendant d’autant plus fébrile et faible face à son regard ô dévorant qu’il lui tendait. Une action qui ajoutait aux autres ne pu que la rendre délicatement folle, sentant ce point de paradis s’approcher à grand pas alors qu’elle se serrait plus intimement contre lui, laissant ses doigts griffer son dos qu’ils avaient rejoins, victime de spammes de plaisir qui ne pouvait que la faire gémir farouchement contre les lèvres de son amant. Un amant déterminé à toucher ce paradis terrestre qui fini par devenir une réalité à l’instant même où il vint une énième fois s’immiscer en elle avec appétit et ambition. Une exaltation puissante et profonde qui ne pu que la faire défaillir alors qu’elle lâchait prise, son corps se laissant aller dans une puissant gémissement qui ne pu que la laisser essoufflée, plus fébrile que jamais.

Un bien être intense qui se trouvait ô partagé tandis que tout comme lui, elle se remettait de ses émotions, sentant son corps réagir de façon franche aux légers mouvements que ses reins pouvaient initiés en elles. Elle se trouvait fébrile face à lui, son corps encore profondément marqué par cette chaleur incandescente qui l’avait rendue folle au cours des dernières heures. Combien de temps s’étaient écoulés depuis le début de leur rencontre ? Elle n’était nullement en mesure d’y répondre, son cœur battant promptement dans sa poitrine tandis qu’elle essayait de reprendre son souffle, en vain. C’est donc le souffle court, le cœur au bord des lèvres que ses prunelles dévoraient le corps encore ô brulant de son amant qui tout comme elle se remettait de ses émotions. C’est donc dans un battement de cœur soudain qu’elle sentit les phalanges de son amant ô comblé venir se choir sur sa nuque pour la caresser tendrement, la dévorant de son regard ô enchanté.

Ses paroles ne purent qu’intensifier le bonheur qu’elle pouvait lire dans les prunelles du jeune homme. Il ne pouvait que la féliciter en cet instant, ayant reçu une très bonne récompense en cette soirée, qu’il devait avouer qu’une prolongation ne serait pas de trop. Des paroles ô coquines qui ne purent que la faire rire amusée, tandis qu’elle venait prendre la main du jeune homme pour l’éloigner de ses hanches qui mine de rien ne semblaient désapprouver ce geste. Si elle cédait à ses pulsions, il était fort à parier qu’ils poursuivraient cette soirée en couchant ensemble mais, elle ne pouvait lui concéder un tel pouvoir. C’est donc un sourire ô amusé qu’elle vint l’intimer à s’extirper de son corps, se sentant fébrile à cette action, ses reins encore bien trop sensible à la chair de son amant d’un soir, murmurant simplement.

« Tu ne rêves que cela, n’est-ce pas, Joaquin ? Mais, je pense que ton exploit ne mérite pas de plus bonne récompense, il faut en garder pour les prochaines missions… ça donne… comme je dirais… plus de piments, n’est-ce pas ? »

Elle avait murmuré ses mots dans un sourire coquin tandis, qu’elle venait délicatement se retirer de la table pour venir attraper sa culotte mais cette action vint se faire interrompre par le jeune homme qui dans un geste précis vint lui retirer cette dernière pour venir se coller à elle. Un contact ô brulant et électrisant qui ne pu que la faire frissonner tandis qu’elle sentait les phalanges ô coquines de son amant venir se choir au creux de ses cuisses pour venir la taquiner de nouveau. Une action qui ne pu que la rendre d’autant plus fébrile tandis qu’il venait délicatement caresser de nouveau son intimité en venant embrasser le creux de sa nuque. Des attentions ne purent que la faire gémir, encore bien trop sensible pour pouvoir prétendre le contraire tant elle sentait son corps encore brulant et désireux de ressentir ses caresses… un point faible qu’un autre homme autre que ce bel hispanique était le seul à connaitre. S’il poursuivait de la sorte, il était fort à parier qu’elle ne pourrait pas résister plus longtemps, ayant presque déjà perdue la partie face à son inaction de tenter de récupérer son action, encore prisonnière de cette chair qui la rendait particulièrement brulante d’effusion. Des taquineries qu'il ne vint nullement interrompre, n'hésitant pas à les renforcer tandis qu'elle se laissait de nouveau dévorer par ce corps qui ayant comprit son abandon vint de nouveau la couvrir de tout son appétence pour lui faire connaitre un nouveau moment de bien être tout contre sa chair tout simplement.

- FIN -
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