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The Phoenix Song :: :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014 | | Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini | |
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Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Mar 16 Sep - 22:29 | |
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Cela faisait désormais plusieurs semaines que Ki Suk avait fomenté une heureuse surprise à son tendre mari et amant. Il fallait dire que pendant deux semaines il était venu chaque soir à l'accueil du Spade's Heart pour savoir si personne n'avait annulé au dernier moment sa réservation. Il avait étudié pendant de longues heures les semaines et les jours où Yano serait en semaine de cours. Seulement, à chaque fois qu'il se déplaçait à ce restaurant, la jeune femme de l'accueil lui annonçait qu'ils étaient déjà au complet à son plus grand désespoir à ses dates là. Ainsi particulièrement déçu, il avait commencé à perdre espoir jusqu'à un jour on lui annonce par hiboux qu’un client avait annulé sa soirée dans ce restaurant et qu'une place s'était libérée. Le jeune homme avait alors sauté sur l'occasion pour confirmer sa venue avec son amant et mari. Une merveilleuse soirée qu'il souhaitait lui préparer pour le remercier de tout l'amour qu'il lui portait. Ainsi, en cachette ou du moins pendant les semaines de stage de Yano, il avait profité d'une après-midi pour partir en compagnie de sa fervente amie Suk Hee pour aller faire les magasins et trouver un costume. Ki Suk n'était pas très équipé en ce qui concernait les costumes, n'en portant tout simplement pas, même en tant qu'assistant. Après tout, il avait juste besoin de porter sa robe de sorcier et de s'habiller normalement, rien de plus. De ce fait, sa garde-robe n'était pas très développée en ce qui concerne les costumes. Il ne voulait pas non plus emprunter l'un des costumes de Yano pour une soirée comme celle-ci, bien qu'il lui arrivait de le faire pour d'autres occasions. S'il souhaitait réaliser une vraie surprise, il se devait d'être parfait. De ce fait, après avoir cherché pendant de longues heures avec la demoiselle qui s'était moqué de lui bon nombre de fois, il avait enfin trouvé le costume qui lui paraissait parfait pour une soirée romantique à deux. Suk Hee l'avait alors complimenté, assurant qu'il ferait tomber sous le charme Yano.
Une réalité qu'il espérait véridique alors qu'il était en train d'attacher son costume, s'étant lavé et préparé tel un prince pour réaliser une surprise à Yano. Il n'avait pas cours cet après-midi et il comptait bien en profiter. Ainsi, il était alors venu lancer le sort du portoloin sur une rose qu'il avait posée sur leur lit conjugal qui emmènerait directement à l'heure voulue devant l'entrée du fameux restaurant. Néanmoins, pour être sûr de son coup il avait laissé un petit mot à sur la table face à l'entrée, indiquant à son oiseau de se poser dessus quand Yano rentrerait, au cas où il ne le verrait pas. Il demandait alors à Yano de se préparer pour dix-neuf heures, de se montrer sous son meilleur jour et de ne prendre entre ses doigts la rose qu'à cette heure-là. Une heure qui arriva rapidement pour le jeune homme qui avait acheté un bouquet de fleurs à Yano alors qu'il l'attendait devant le restaurant. Il ne put alors que lui offrir un magnifique sourire lorsqu'il le vit apparaître, lui offrant un merveilleux baiser, lui murmurant un surprise tout en sensualité, lui offrant un magnifique bouquet de roses rouges. Souriant, alors il le guida vers le restaurant et le fameux restaurant, lui soufflant que ce soir c'était lui qui lui offrait tout ce qu'il voulait, il n'avait pas à se restreindre. Ainsi, les moments qu'ils partagèrent furent particulièrement agréables, Ki Suk dévorant du regard cet homme qu'il trouvait résolument magnifique et séduisant. Ki Suk, ayant économisé depuis de nombreuses semaines pour ce jour, s'était laissé aller quelque peu et avait commandé plusieurs verres d'alcool tant qu'il se trouvait alcoolisé. Un fait qui devait amuser certainement Yano, le trouvant sans doute particulièrement beau avec ses légères rougeurs sur les joues. Pour le jeune coréen la soirée qu'il venait de passer ensemble était résolument parfaite, telle qui l'avait rêvé depuis le premier jour où il avait préparé ce jour-là. Il pourrait sans aucun doute avouer à Suk Hee qu'il avait passé une très belle soirée dans ce restaurant avec son tendre amant.
Néanmoins, le repas se termina avec déception pour le jeune homme qui aurait voulu que cet évènement se prolonge aux côtés de cet amant. À la sortie du restaurant, gardant la main de Yano dans la sienne il était venu lui voler un baiser langoureux lui avouant qu'il était résolument fou de lui, l'aimant plus que raison et qu'il le trouvait tout simplement magnifique dans ce costume qui faisait ressortir parfaitement son corps. Yano était magnifique, Ki Suk ne pouvait que le penser alors qu'il caressait les traits de son visage. Son amant légèrement amusé de le voir alcoolisé les avait fait transplanner directement à leur appartement, amenant Ki Suk à être légèrement troublé lorsqu'ils arrivèrent à domicile. Il n'avait pas l'habitude de transplanner dans cet état, bien qu'il devait avouer que le fait de voler sur un balai jusqu'à leurs maisons ne devait nullement être plus agréable. Il avait bu, sans doute un peu trop que raison en ce jour, mais il ne voyait nullement où était le problème, Yano était là pour le protéger après tout en tant que mari. S'il voulait être parfait, il se devait de prendre soin de son amant jusqu'à la fin de leur jour après tout. Souriant à cette pensée, il vint se serrer contre lui, laissant sa tête se poser sur la nuque de son amant, murmurant dans une voix quelque peu alcoolisée : « Yano... tu prendras soin de moi toute ma vie, n'est-ce pas ? Même quand je serais vieux et ridé. Je veux rester pour toujours comme ça, contre toi, à profiter de la chaleur si plaisante de ton corps... c'est très agréable. » la chaleur qu'il ressentait n'était sans doute pas seulement due au corps de son mari, l'alcool aidant résolument à augmenter la chaleur de son corps. Ki Suk avait chaud, résolument tant qu'il avait envie d'enlever cette veste. Ki Suk vint sourire alors au creux de sa nuque soufflant doucement qu'il avait chaud, laissant ces mains encercler le corps si plaisant et musclé de son amant.
tenue de Kisuk |
| | | Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Dim 21 Sep - 22:03 | |
| Cette soirée avait résolument merveilleuse. Il faut dire que Yano ne s’était nullement attendu à recevoir une telle surprise de la part de son époux. Cela faisait quelques jours désormais qu’il était revenu de son stage et quand bien même s’était-il efforcé de profiter de son amant tout le temps, il n’avait pas eu l’occasion de sortir souvent avec lui. Un fait qui ne pouvait que le décevoir dans une certaine mesure, car il savait son tendre mari particulièrement frustré. Sans doute était-ce pour cette raison qu’il avait concocté cette soirée en secret ? Sans aucun doute. Il connaissait Ki Suk et il savait que depuis leur arrivée, celui-ci avait rêvé de manger dans ce restaurant chic en sa compagnie. De ce fait, il ne pouvait nier avoir été particulièrement surpris lorsqu’il avait découvert que son amant avait réservé une table dans ce restaurant, en secret. Il était même surpris qu’il ait pu le cacher, lui qui en temps normal se trouvait particulièrement excité lorsqu’il s’impatientait pour quelque chose. Combien de fois, Yano l’avait vu s’agiter tant il se trouvait motivé et impatient de sortir avec lui ? Il ne les comptait plus et se trouvait donc quelque peu amusé, bien qu’intrigué par ce changement de la part de son amant. Cela ne le déplaisait nullement et il était évident qu’il avait particulièrement apprécié la mise en scène que son amant avait mise en œuvre. Après une longue journée, il était rentré chez eux, découvrant ce petit mot qu’il avait commandé à son Gris du Gabon de lui remettre. Un mot fort plaisant qui l’avait invité à se préparer pour dix-neuf heures afin de se montrer sous son meilleur jour et de ne prendre entre ses doigts que la rose qu’il avait laissée sur le lit à cette heure-ci. Cela avait particulièrement éveillé sa curiosité et c’est amusé et ravi qu’il était venu se plier aux directives de son amant. Il s’était donc dirigé vers la douche pour venir se rafraichir de sa journée, prenant soin d’enlever la moindre grasse quand bien même n’avait-il pas particulièrement sué au cours de celle-ci. Pour sa tenue, il opta pour un costume simple et élégant à trois pièces de couleur noire. Pour parfaire le tout, il enfila un T-shirt blanc simple, mais moulant au décolleté en forme de V. L’ensemble était résolument parfait et il vint simplement agrémenter sa tenue de quelques accessoires : une chaine et une gourmette, cadeaux de son amant. Fin prêt, il avait donc attendu l’heure indiquée avec impatience, curiosité. L’heure tant attendue arriva et c’est donc avec plaisir qu’il apparut face à son époux, ce dernier ayant résolument préparé son coup, lui ayant acheté un magnifique bouquet de roses rouges dont il le remercia par un doux baiser. C’était magnifique, tout l’était, son mari également. Le repas se passa dans une ambiance festive, quand bien même riait-il inconsciemment face aux regards fébriles et profonds de son amant sur lui. Ses prunelles n’avaient rien à lui envier, il le trouvait particulièrement sexy dans cette tenue et il mentirait s’il n’avait pas de pensées lubriques qui l’assaillaient. Il fallait bien qu’il le remercie, non ? Ils avaient donc profité d’une bonne bouteille de vin que Ki Suk avait spécialement réservée à leur intention. Un vin au gout prononcé, délicat et résolument délicieux tant et si bien que Ki Suk se trouvait particulièrement enivré, amusant Yano par la même occasion. Il était si mignon et sexy à la fois, le teint légèrement rosé, les prunelles fébriles tant il ne cachait pas le bonheur qui l’étreignait. Il était si magnifique, si adorable, il était fou de lui. Cela faisait trois ans et demi qu’il était avec lui et chaque journée était résolument merveilleuse à ses côtés. Il ne voyait personne d’autre à ses côtés. Son cœur résolument fou et accro à cet homme tant et si bien que ce dernier crut défaillir lorsqu’ils vinrent quitter le restaurant. Ki Suk, résolument amoureux était venu lui voler un baiser langoureux devant le regard surpris du portier, mais cela n’avait nulle importance. Il chérissait cet homme et n’avait aucune honte à afficher son amour, lui non plus et cela savait obtenir toute son attention. Ses paroles ne purent que lui faire prendre conscience que son amant cherchait à le chauffer, son regard le perçant de cette ambition qu’il connaissait par cœur. Le portier à leur côté, toussota légèrement mal à l’aise, faisant rire Yano qui entraina Ki Suk à le suivre pour transplanner jusqu’à leur immeuble avant de rejoindre leur appartement rapidement. L’alcool semblait monter à la tête de son amant qui vint se serrer contre lui en posant sa tête contre sa nuque. Il murmurait son prénom, lui demandant s’il prendrait de lui toute sa vie, même lorsqu’il serait vieux et ridé. Il voulait rester pour toujours comme ça, contre lui à profiter de la chaleur si plaisante de son corps, tant ceci était agréable. Des paroles qui affolaient son cœur euphorique dans sa poitrine. Il laissa son visage glisser contre sa nuque, laissant ses lèvres embrasser délicatement cette peau chaude dont l’odeur exquise enivrait ses narines. Il sentait sa poitrine se soulever fortement, son cœur battant promptement dans sa poitrine avant de rire doucement, spontanément alors que son amant souffler doucement qu’il avait chaud. Il avait chaud, mais se serrait plus fermement contre lui. « Tu veux que je t’aide à retirer ta veste ? » Demanda-t-il au creux de son oreille dans une voix suave et douce alors qu’il glisser son nez contre sa nuque pour profiter de son odeur. Il le sentit hocher faiblement de la tête contre sa nuque, soupirant doucement alors que ses doigts glissaient sur sa veste, venant la déboutonner pour la lui retirer obligeamment, bien qu’il se montre particulièrement sensuel et tendre. Il humait son odeur, ses lèvres embrassant délicatement sa mâchoire. Il aimait tant le sentir contre lui de la sorte, son corps savourant ces instants tant ils lui manquaient lorsqu’il se trouvait loin de lui. Il laissa ses lèvres retrouver sa joue, se mouvant contre son oreille. Il laissa la veste de son amant rejoindre le sol, ne cherchant nullement à éviter sa chute. Toute son attention était sur le visage de cet homme qu’il aimait tant. « Bien sûr que je resterai avec toi. Ne t’ai-je pas déjà fait la promesse de te chérir de tout mon cœur, lorsque je t’ai passé cet anneau au doigt ? » Il avait murmuré cela dans une douce voix, sa main glissant sur sa comparse gauche afin de jouer avec cette alliance que lui-même portait. « Je suis fou de toi, dois-je encore te le prouver, mon amour ? Quoique je pense que cette idée ne te déplairait nullement. Cependant pour cela, je risque d’avoir besoin de ton aide. » Il avait susurré cela dans un fin sourire alors qu’il venait glisser son autre bras autour de ses reins pour le serrer contre lui. Il l’invitait délicieusement à le tenter et était curieux de voir si son amant allait mordre à l’hameçon, bien qu’il n’avait aucun doute à ce sujet. TENUE : 01. |
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| L'alcool coulait dans les veines du Coréen, tant qu'il avait sa vue légèrement troublée et ses joues quelque peu rougies. La vue de ce torse légèrement dévoilé était particulièrement plaisante pour lui qui avait toujours été attiré par ce dernier. Il n'avait pas pu s'empêcher de venir se rapprocher de sa personne alors qu'ils étaient sortis du restaurant, venant dévorer ses lèvres dans un baiser langoureux, ne remarquant même pas que le portier était encore présent. Seules les prunelles de son amant comptait en cet instant, rien de plus, ni de moins. Il lui avait avoué alors qu'il l'aimait plus que raison, le trouvant résolument magnifique dans le costume qui saillait si bien ces formes. Caressant ses traits, il s'était alors retrouvé tout simplement dans leur appartement, Yano ayant transplanné. L’arrivée avait été un peu rocambolesque dans l'esprit de Ki Suk tant le trajet l'avait laissé un peu pantois. Ainsi, il n’avait pu que venir se serrer contre lui, sa tête se posant contre sa nuque. Il lui avait murmuré alors des mots particulièrement doux, lui demandant s’il prendrait soin de lui, même lorsqu’il serait vieux et ridé. Ki Suk souhaitait pour toujours contre lui à profiter de la chaleur si plaisante de son corps, tant ceci était agréable. Des pensées qu’il ne pouvait que confirmer alors qu’il sentait son visage contre sa nuque, les lèvres de Yano embrassaient la peau chaude de son corps, s’enivrant de son doux parfum. Le doux rire de Yano ne put que l’enchanter alors qu’il lui indiquait qu’il avait chaud, cela n’empêchant nullement de se serrer plus fortement contre le corps de Yano.
Sans doute amusé par son comportement, Yano vint lui murmurer qu’il devait lui retirer sa veste dans une voix ô combien suave, des mots auquel il ne put qu’acquiescer en un hochement de tête alors qu’il soupirait de bien-être au contact de ce nez contre sa nuque. Une caresse ô combien agréable qui le fit doucement sourire alors qu’il sentait déjà les mains de Yano glissaient sur sa veste, venant la déboutonner pour lui enlever dans des gestes particulièrement tendres. Son amant embrassait sa mâchoire avec intérêt, emmenant le jeune homme à connaître d'agréables sensations, fermant les yeux et se laissant faire telle une poupée. Il ne risquait strictement rien au côté de son amant, si ce n'était bien entendu de mourir de bonheur, mais cela Ki Suk voulait bien en être la pauvre victime. Mourir sous les baisers et les caresses de Yano, il n'y avait résolument rien de plus plaisant sur terre. Ki Suk restait dans ses bras, savourant ses lèvres embrasser sa joue jusqu'à atteindre son oreille. Yano vint alors laisser tomber sa veste sur le sol, l'amenant alors à ne se retrouver plus qu'en chemise blanche, une vue qui devait sans aucun doute plaire à son amant. Celui-ci vint lui indiquer qu'il resterait bien évidemment avec lui. N'avait-il pas fait la promesse de le chérir de tout son coeur lorsqu'il lui avait passé l'anneau au doigt ? Ki Suk ne put que sourire à ces mots alors qu'il sentait la main de Yano glissait sur la sienne, jouant avec l'alliance qu'il portait fièrement. Yano vint affirmer à nouveau qu'il était fou de lui, lui demandant s'il devait encore lui prouver remarquant que celle-ci ne lui déplairait nullement. Néanmoins, pour cela il avait besoin de son aide. Yano avait alors prononcé ces mots dans un sourire alors qu'il sentait les bras de Yano se poser autour de ses reins pour le serrer encore plus contre lui.
Une demande à laquelle Ki Suk ne vint nullement dire non alors que déjà ses lèvres venaient embrasser la nuque de son amant, dans des baisers bien plus sensuels et passionnés, s'amusant à la mordiller légèrement. Le jeune homme ne voyait aucun problème à suivre les demandes de Yano, s'amusant à détacher avec l'une de ses mains le bouton de sa veste qui lui permettait d'accéder directement à son tee-shirt moulant. Ki Suk ne se fit nullement prier avant de glisser ses mains contre ce torse à peine masqué par ce tee-shirt, caressant ses reins avec une envie non dissimulée. Il laissa échapper un doux soupir alors qu'il venait demander à Yano dans une voix enivrée s'il pouvait lui enlever sa veste. Des mots auxquels Yano ne mit aucune opposition alors qu'il le sentait enlever ses mains autour de son corps pour enlever sa veste et la déposait sur le sol, près de sa veste alors qu'il lui offrait un fabuleux sourire.
Ki Suk ne put alors que lancer à son amant un regard ô combien intéressé alors qu'il avait devant lui une vision parfaite, celle de son amant habillé de manière si sensuelle et plaisante. Ainsi, Ki Suk vint à nouveau coller leurs corps, venant embrasser la chair de sa nuque avec envie. Ces lèvres vinrent remonter sur son visage, embrasser chaque trait de son visage avant de venir capturer entre ses lèvres celle de son amant dans un baiser résolument fougueux. Tant qu'il n'hésita pas à pousser le corps de son amant contre le plan de travail du coin-cuisine de leur appartement. Ravi de ce fait, il vint laisser ces mains passer en dessous du tee-shirt de son mari, heureux de découvrir à nouveau ces abdominaux si bien dessinés et si agréables à caresser. Il ne savait plus vraiment quelle était la demande de Yano en cet instant, il se contentait seulement de profiter du corps qu'il avait sous les yeux, il voulait l'embrasser, l'aimer. Ces lèvres vinrent s'éloigner de leurs compères alors qu'il reprenait légèrement son souffle, observant Yano dans un regard ô combien fébrile alors qu'il lui susurrait avec amusement : « Je ne sais même plus ce que tu m'as demandé Yano tout à l'heure... je crois que je suis effectivement saoul. Tu me pardonnes, ne ? » riant doucement, il vint embrasser la nuque de son amant avec attention, laissant ses mains redécouvrir le dos musclé de son amant. Il continua alors dans un doux susurre alors qu'il remontait ces lèvres au niveau de son oreille : « Tu penses qu'il y a moyen de me faire pardonner ? Je veux bien être la douce victime de tes attentions et te laisser faire tout ce que tu veux avec moi...»
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| Ki Suk était résolument sous l’effet de l’alcool. Un fait dont il ne doutait nullement, l’ayant vu s’enivrer sous ses yeux. Il avait tenté à de nombreuses reprises d’arrêter son amant dans son ivresse, lui soufflant dans de doux sourires qu’il pensait qu’il avait assez bu, mais entêté, résolument enthousiaste à cette soirée qu’ils passaient ensemble, Ki Suk n’en avait fait qu’à sa tête. Par conséquent, il se retrouvait face à son amant particulièrement amoureux, désireux d’entendre les louages et mots d’amour qu’il pouvait lui adresser. Yano mentirait s’il niait que ça ne l’amusait pas. Au contraire, il profitait de ce moment pour le taquiner, s’enivrant de ce côté si adorable de son amant. Il fondait littéralement face à lui, son cœur possédait par cette affection et passion nulle mesure qu’il avait pour cet homme. Il était fou de lui et ses sens s’enivraient de sa présence, de son odeur, de son contact. Il ne se lassait jamais de cet homme, savourant chaque seconde qu’il pouvait passer auprès de cet homme. Un être qui manquait cruellement à son cœur, son âme et son cœur lorsqu’il se trouvait loin, dans ces forêts sombres de Chine. Il est donc évident qu’il se montrait taquin et tentateur, désireux de retrouver le contact de cette peau si délicieuse.
Une invitation à laquelle son tendre époux vint répondre obligeamment. Il sentit les lèvres de son amant glisser sur sa nuque, dans des baisers sensuels et passionnés. Il se trouvait brûlant et impatient, ses doigts s’activant déjà à lui retirer sa veste en la détachant pour y mouvoir ses mains cupides et chaudes. Yano se laissait faire avec plaisir, souriant contre cette oreille, le cœur fou. C’était terriblement grisant de le voir agir ainsi, sensible à ses propres actions. Il soupirait contre sa chair, son corps résolument attiré par les formes de son corps qu’il sentait sous ses doigts. Yano en était particulièrement fier et n’avait de cesse de travailler dur pour conserver ce corps, qui semblait tant faire rêver son amant. Ki Suk lui demanda s’il pouvait lui enlever sa veste. Une demande sans doute idiote tant il se plia obligeamment à sa requête, réduisant son étreinte pour qu’il puisse la lui retirer. Ce qu’il fit rapidement, laissant le tissu de sa veste retrouver la sienne alors qu’il lui offrait un sourire fabuleux. Un sourire qui le rendait fou, le trouvant si magnifique et attrayant. Il le détaillait avec attention, le dévorant du regard et cela lui plaisait cruellement. Il le sentit se coller à lui, venant embrasser sa nuque avec envie. Il le dévorait de ses lèvres, résolument intéressé et cupide. Cela plaisait cruellement à Yano qui recevait le contact de ses lèvres avec bonheur et plaisir. Il se laissa embrasser fougueusement, venant répondre à ce dernier avec le même empressement.
Il aimait tellement le contact de ces commissures sur les siennes. Elles étaient si douces et voluptueuses, si désirable également. Il se laissa pousser contre le plan de travail de la cuisine de leur appartement. Acculé contre ce dernier, il sentit les phalanges ambitieuses de son amant glisser sous le tissu de son t-shirt, pour caresser son ventre, ses abdominaux marqués et si agréables pour son amant. Il n’en doutait point, sachant ô combien Ki Suk était sensible à leur toucher, leur vision. Yano quant à lui, laissait ses doigts frôler les reins de son amant avec ambition et désir. Il le sentit s’éloigner de ses lèvres, le regard brillant, le souffle brulant. Il vint rire, car il ne savait même plus ce qu’il lui avait demandé. Il pensait qu’il était effectivement saoul, se demandant s’il lui pardonnait. Yano vint sourire, riant doucement alors qu’il sentait les phalanges de son époux découvrir de nouveau les muscles de son dos, se collant plus fermement à lui. Il lui demandait s’il y avait un moyen pour lui de se faire pardonner. Il voulait bien être la douce victime de ses attentions et lui laisser faire tout ce qu’il voulait avec lui. Des mots ô enchanteurs qui ne pouvaient que tenter Yano. Son regard se fit brillant, terriblement charmé par l’érotisme de son amant. Sagement adossé contre le plan de travail, il fit une moue intriguée, suspicieuse en laissant son regard se poser sur la nuque, le décolleté de cette chemise blanche qui le mettait tant en valeur. Il se mordit la lèvre, laissant ses phalanges glissaient sur ses hanches, froissant le tissu cotonné de celle-ci pour le caresser indirectement. « Intéressant… Je trouve cette proposition forte alléchante. L’idée ne me déplait nullement… Tout ce que je veux ? Vraiment ? » Il était venu susurrer ce dernier mot contre son oreille en la mordillant, sentant son amant soupirer près de la sienne dans un consentement muet. « Je vais devoir m’assurer que mon mari est toujours aussi appétissant, je suppose… » À ses mots, il laissa ses phalanges s’occuper à défaire les boutons de sa chemise pour l’en débarrasser. Ses gestes se voulaient lents et sensuels, déterminés. Il laissait sa bouche mordiller son oreille avec dévotion, glissant sur sa nuque, sa mâchoire avec sensualité alors que ses doigts glissaient contre son torse. Il était si beau, ses muscles fins et si joliment dessinaient frôlaient la pulpe de ses phalanges. Il laissa deux d’entre elles se glisser contre l’un de ses boutons de chair alors qu’il mordillait sa nuque, se mouvant contre sa gorge. Il le trouvait particulièrement délicieux et plaisant à caresser et il ne manquait pas de l’avouer à son amant, son autre menotte glissant sur ses abdominaux pour lui desserrer sa ceinture. Il s’éloigna de lui pour l’admirer, observer cette posture débraillée qui lui conférer une apparence des plus sensuelle et érotique. Il souriait satisfait, se mordillant la lèvre alors qu’il venait murmurer. « Quelle vue merveilleuse ! Tout ce que je veux ? Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd mon amour… Ce que je veux ? » Il sourit, se rapprochant de ses lèvres pour les mordre délicieusement, murmurant. « Je veux que tu me pousses jusqu’à notre chambre, que tu m’obliges à m’assoir, venant me dominer pour m’embrasser, me réclamer de te caresser, te faire gémir en frôlant cette partie. » Il vint caresser son intimité du bout de ses doigts. « Te mettre à nu pour m’intimer à caresser une partie de ton corps qui sait tant me rendre fou. » Il soupira ces mots en laissant sa menotte joueuse glisser sur ses reins pour rejoindre ses fesses, s’immiscer entre celles-ci pour frôler sa partie sensible du bout des doigts. « Qu’en penses-tu ? Cela te semble-t-il intéressant comme deuxième partie de soirée ? Après tout, je dois remercier mon mari d’avoir pensé à une telle surprise et surtout le satisfaire… sinon je manquerai à mes obligations d’amant, non ? » Il souriait de façon narquoise et taquine, le regard pétillant de malice et d’intérêt. Sans doute était-il pervers ? Il le reconnaissait, mais difficile de ne pas l’être face à un corps si terriblement tentant.
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| Embrasser et caresser le corps qu'il avait sous les yeux n'étaient plus que les seules ambitions de Ki Suk en cet instant. L'alcool coulait dans ses veines et il n'arrivait à nullement penser à autre chose qu'à Yano. Il le trouvait résolument magnifique tant qu'il lui était bien difficile de lui résister à sa chair, laissant son désir guidait chacun de ses gestes. Il embrassait les lèvres de son amant avec délice, s'étant amusé à l'acculer contre le plan de travail de leur appartement. Ainsi, il avait le libre plaisir de caresser les muscles de son amant, laissant ses mains glisser sous son tee-shirt pour caresser son ventre et ses abdominaux. Ki Suk aimait particulièrement les caresser, trouvant tant désirable son amant. Ki Suk lui avait alors murmuré qu'il avait déjà oublié la demande de Yano, riant de sa bêtise heureux d'entendre son doux rire. Peut-être était-il fou, il ne le niait nullement tant la présence de Yano l'amenait à agir de manière atypique tant qu'il n'y avait bien que lui qui pouvait le voir ainsi, si fou et si fougueux. Ainsi, pour se faire pardonner il lui avait alors murmuré s'il y avait un moyen de se faire pardonner, souhaitant bien être la douce victime de ses attentions et lui laisser faire tout ce qu'il voulait avec son corps. Chacun des mots ne sembla pas laisser Yano insensible tant son regard s'était fait plus brillant. Ce dernier vint laisser afficher une moue intriguée pendant qu'il observait sa nuque et le décolleté de sa chemise blanche. Une vue qui semblait plaire à Yano tandis qu'il le voyait se mordre les lèvres, ses phalanges glissant sur ses hanches.
Yano dans un regard étincelé susurra contre son oreille qu'il trouvait sa proposition forte alléchante, l'idée ne lui déplaisant nullement. Il lui demanda s’il pouvait vraiment tout ce qu'il voulait. Des mots qui vinrent être appuyés par un léger mordillement qui vint le faire soupirer tout contre lui. Il lui annonça qu’il devait s'assurer avant tout que son mari était toujours aussi appétissant. Des mots qui ne purent que ravir le Coréen qui se laissait faire sans aucune résistance. Il souriait tandis que les phalanges de son amant détachaient les boutons de sa chemise jusqu'à qu'il se retrouve à présent torse nu sous ses yeux. Ces gestes se trouvaient résolument sensuel, l'emmenant à soupirer son plaisir alors que Yano venait mordiller son oreille, caressant sa nuque et sa mâchoire.
Ses gestes se voulaient lents et sensuels, déterminés. Il laissait sa bouche mordiller son oreille avec dévotion, glissant sur sa nuque, sa mâchoire avec sensualité alors que ses doigts glissaient contre son torse. Yano semblait résolument être ravi par la vue qu'il avait sous ses yeux, ses phalanges redessinant chacun de ses muscles qu'il prenait soin d'entretenir. Bien que Ki Suk ne soit résolument pas sportif, il faisait au moins attention à son corps pour toujours lire dans le regard de Yano ce désir qui le rendait fou. Le Coréen ne voulait pas que ce regard s'éteigne tant celui-ci l'amenait à chaque fois à connaître des sensations ô combien agréables. Lorsqu'il voyait ce regard, Ki Suk s'attendait résolument à passer de très bons moments en la compagnie de son amant. Ce jour ne semblait nullement faire exception alors que déjà les doigts de son amant se posaient sur son torse et ses boutons de chairs. Un contact résolument plaisant pendant que Yano mordillait sa nuque. Yano vint lui avouer qu'il le trouvait particulièrement délicieux et plaisant à caresser. Des mots qui ne purent que le ravir lorsqu'il le sentait particulièrement cupide, ses doigts glissant sur ses abdominaux pour desserrer sa ceinture.
Ki Suk ne put qu'être particulièrement attristé de le voir s'éloigner de lui, souhaitant recevoir bien plus que de caresses et baisers de son amant, désireux d'être la cible de son amant. Il vint afficher une moue boudeuse, bien qu'observer à nouveau le regard coquin de Yano était plaisant. Celui-ci se mordillait les lèvres alors qu'il le dévorait du regard, Ki Suk ne put que sourire qu'il l'entendait murmurait qu'il avait une vue tout à fait merveilleuse sous ses yeux. Il lui indiqua que sa demande n'était pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Souriant, il l'observa dans un regard doux alors qu'il était venu mordre ses lèvres lui murmurant qu'il voulait qu'il le pousse jusqu'à leur chambre, l'obligeant à s'asseoir, venant le dominer pour l'embrasser et réclamer qu'il le caresse et le faire gémir en frôlant cette partie. Il vint accentuer ses propos sa main venant caresser son intimité du bout de ses doigts, un contact ô combien plaisant qu'il continuait. Il voulait qu'il soit nu et qu'il l'intime à caresser une partie de son corps qui le rendait fou. Il n'eut nullement eu besoin de réfléchir qu'il devinait qu'il s'agissait de ces fesses, Yano venant laisser ces phalanges s'immiscer entre ces dernières. Yano vint lui demander son avis, s'il trouvait cela intéressant comme deuxième partie de soirée. Après tout, il se devait de remercier son mari d'avoir pensé à une telle surprise et surtout de le satisfaire, sinon il manquerait à ses obligations d'amant.
Le regard pétillant et malicieux de son amant ne put faire céder toutes ses armes, bien qu'il pouvait avouer qu'il avait déjà cédé auparavant. Ainsi, le jeune homme vint sourire en lui murmurant simplement : « Chacun de tes mots me convient mon amant... et cette deuxième option me va à ravir. C'est pourquoi je vais de ce pas t'emmener dans notre chambre pour réaliser tout ça... » souriant, le jeune homme vint capturer les lèvres de son amant contre les siennes. Il laissa ses mains glisser sous le tee-shirt de Yano, caressant ses formes alors qu'il venait lui enlever avec engouement, ne lui laissant de toute façon aucun choix de protestation. Ravi de sa trouvaille, il vint laisser sa main caresser le torse de son amant, sa main redessinant ses pectoraux si bien musclés et si attirables. Il sourit particulièrement satisfait de ce qu'il avait sous ses yeux alors qu'il guidait progressivement son amant jusqu'à arriver à cette chambre. Tout le long du trajet il ne vint nullement quitter son amant une seule seconde, s'amusant à caresser ses reins, ses abdominaux, ses pectoraux, ses fesses si attirantes. Ki Suk était sans aucun doute un pervers, mais il ne se sentait nullement gêné d'une quelconque manière, tant il appréciait la texture et les formes du corps contre lui.
Ils arrivèrent progressivement jusqu'à leur chambre ou du moins, la première qu'il vit sur son chemin qui était en fait la chambre d'amie, mais cela l'importait peu. Ki Suk était peut-être un peu trop pressé. Souriant au regard coquin de Yano, n'ayant pu que remarquer que ce fait, il vint le faire asseoir sur le lit. S'amusant, il vint s'installer sur ses genoux avec taquinerie, laissant ses doigts frôler la chair de ce torse si plaisant au regard et au toucher. Ki Suk vint arrêter ses gestes un instant pendant qu'il venait se redresser pour enlever lui-même son pantalon, permettant ainsi à son amant de pouvoir l'admirer dans son simple boxer blanc. Il vint à nouveau s'asseoir sur les genoux de son amant, guidant l'une des mains de Yano contre son boxer venant murmurer au creux de son oreille dans une voix suave : « Yano... j'ai envie de toi, terriblement. J'ai terriblement chaud et il me semble qu'une caresse à ce niveau-là ne pourrait qu'apaiser cette chaleur, bien que je ne sois pas sûre de ça. Sentir tes mains sur mon corps et particulièrement ici ne peut résolument que me donner envie que tu me dévores, que tu m'enlèves ce dernier vêtement pour réaliser ton fantasme. J'aime sentir tes mains sur mon corps et particulièrement ici... tu ne rêves que cela toi aussi, n'est-ce pas ? » Ki Suk vint terminer ses mots tandis qu'il venait mordiller son oreille un instant, avant de venir récupérer les lèvres de Yano dans un baiser sensuel, laissant leurs lèvres se rencontraient avec plaisir et délice. Le Coréen vint de lui-même prendre la main de Yano pour effectuer des mouvements de va-et-vient contre ce boxer, soupirant à ce contact. Un fait qui devait ravir son amant, s'amusant de son ébriété alors qu'il venait lui-même se caresser sous ses yeux.
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| | | Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Dim 28 Sep - 19:56 | |
| Il s’amusait à le taquiner, le regard brillant de malice et d’intérêt. Il était résolument difficile de ne pas être sous le charme de cet homme qui se trouvait face à lui. Tout son être transpirait la luxure et l’envie d’être touché. Le regard de Ki Suk le suppliait de rejoindre sa peau, de poursuivre les actions dont il l’avait tant flatté durant ces dernières minutes. Il en avait tout aussi envie. Difficile de ne pas être tenté par ce corps merveilleusement érotique qui se trouvait sous ses yeux. Yano sentait son cœur battre follement dans sa poitrine, tant il était sous le charme de ce Dieu. Un Dieu vivant qui l’attirait cruellement, ses yeux brillants à cause des effets de l’alcool, décuplant l’intensité de ce regard qui savait tant captiver son âme. Il l’observait avec cupidité, curiosité. Il voulait voir ses réactions à ses mots coquins et profitait de la sensualité qui se dégageait de cette échine. Celle-ci était à sa merci, cruellement charmée par ses paroles et actions. Ki Suk le dévorait du regard, fébrile par l’idée qu’il venait de lui transmettre tout contre ses lèvres. Il le sentait brulant, impatient de savourer tous les bienfaits qu’il lui proférait. Il lui souriait, lui informant que chacun de ses mots lui convenait et que cette deuxième option lui convenait à ravir. Il allait donc de ce pas le conduire dans leur chambre pour réaliser tout cela. Il en avait cruellement envie, tout comme lui.
Yano se laissa embrasser passionnément. Il savourait le contact chaud et humide de ces commissures sur les siennes, répondant à ce baiser avec le même entrain. Les phalanges de son ange s’immiscer sous son T-shirt pour caresser ses formes et le lui retirer. Yano souriait face à son empressement, le dévorant du regard alors qu’il venant de nouveau l’embrasser. Il se laissa faire, savourant la saveur de cette bouche contre la sienne, la dévorant avec passion. Une de ses mains s’était nichée contre la nuque de Ki Suk pour approfondir ce baiser, son autre main se perdant sur son torse. Il pouvait sentir son cœur battre promptement dans sa poitrine, satisfait de tous ses frisons qui parcouraient sa chair au contact des doigts de son amant. Ki Suk le dévorait avec fougue, ses doigts glissant sur ses pectoraux, ses abdominaux, ses reins, ses fesses dans des gestes désordonnés tant il agissait en fonction de ses sens. Des sens qu’il sentait particulièrement éveillé tout comme les siens qui se satisfaisaient de ce toucher si endiablant sur sa chair. Il adorait ce corps contre le sien, les frisons qu’il était en mesure de faire parcourir sur sa chair. Il se laissait guider, obnubilait par cette bouche et les caresses de son mari. Il ne prenait même pas conscience qu’ils venaient de pénétrer dans leur chambre d’ami, ne pensant à rien d’autre que ce corps cruellement désirable qui se tenait contre lui.
Des lèvres qui vinrent se désolidariser des siennes dans un sourire coquin alors qu’il le poussait sur le lit, bien trop pressé. Le souffle court, il sentit son amant prendre place au-dessus de lui, à califourchon. Il laissa ses doigts glissaient derrière ses cuisses, un bref instant pour lui assurer un certain confort avant qu’il ne vienne s’éloigner de lui pour retirer son pantalon, lui laissant une vue imprenable sur son corps presque nu. Il admirer ces formes si désirables, se mordillant la lèvre, ravie de voir cette partie intime délicatement tendue contre le tissu de son sous-vêtement. Il laissa ses prunelles s’y posaient, observer sa forme bombée qui se rapprochait de lui pour venir prendre place sur ses cuisses. Yano vint relever son regard sur ce corps désirable dont il était cruellement dépendant. Il souriait d’un air narquois et coquin, amusé de sentir une des menottes de son mari guider l’une des siennes contre son boxer. Il se mordit la lèvre, satisfait du souffle chaud de Ki Suk contre son oreille. Il lui avouait qu’il avait terriblement envie de lui. Il avait si chaud et il lui semblait qu’une caresse au niveau de cette partie pourrait apaiser cette chaleur, bien qu’il n’en soit si sûr. Yano doutait sérieusement qu’il se sente moins brûlant sous ses doigts. Après tout, cela faisait bientôt quatre ans qu’il le rendait fou de son corps, si cruellement dépendant de sa chair. Il lui avouait que sentir ses mains sur son corps et particulièrement sur cette partie, ne pouvait résolument que lui donner envie qu’il le dévore, qu’il lui enlève ce dernier vêtement pour réaliser son fantasme. Il lui demandait s’il ne rêvait pas que de cela, lui aussi.
Des paroles ô suaves qui l’attiraient, l’excitait alors qu’il sentait les dents de son amant mordiller son oreille avant de venir rejoindre ses lèvres dans un baiser sensuel. Une embrassade qu’il savourait avec effusion, sa main taquinant sans bouger cette partie sensible de l’anatomie de son amant. Il la sentait s’affermir sous ce contact cocasse alors qu’il sentait la main de son amant agir, gardant prisonnière sa main pour l’obliger à le caresser. Une action résolument coquine et perverse qui l’enchantait totalement. Il souriait contre ses lèvres alors qu’il contemplait son visage exprimer le bien-être qu’il ressentait au contact de sa main. « Tu en meurs d’envie… C’est une évidence. Ton corps me réclame et désire que je le touche… le domine. Difficile de ne pas désirer assouvir l’ambition d’un tel corps qui n’attend que moi. En effet, je rêve de te rendre fou et de te prendre. » Il avait murmuré cela dans une voix profondément suave alors qu’il venait embrasser sa mâchoire, mordillant sa peau pour souffler contre son oreille : « Que tes reins me réclament jusqu’à leur faire atteindre l’orgasme comme je semble si bien leur apporter. »
Il sentait la peau de Ki Suk frémir sous ses lèvres, terriblement fébrile à ses paroles si coquines. Il mordilla son oreille avec sensualité, laissant la paume de sa main savourer le contact de son intimité au travers du tissu. Il le caressa lentement et sensuellement, sa bouche glissant sur sa nuque dans des baisers frivoles. Il s’amusait à mordiller sa peau, son autre menotte caressant ses fesses. Un fessier rond et musclé qui le tentait toujours terriblement. Il laissait son nez s’imprégner de son odeur, ses sens s’enivrant du rythme affolé de la respiration de son amant. Il laissa sa menotte glisser sous le tissu délicatement pour glisser entre ses fesses, frôler cette partie qui l’intéressait. Il laissa son doigt la contourner, sa bouche dévorant plus intensément le creux de sa clavicule en suivant la ligne de ses pectoraux. Il fit glisser le tissu le long de ses cuisses fermes et musclées pour laisser son autre menotte frôler son intimité réellement. Peau contre peau, il laissa sa main se mouler à son membre avec douceur dans un léger passage. Il souriait, sentant le cœur de son amant rater un battement, transcendait par un gémissement de bien-être. Il laissa sa langue gouter sa peau, rejoindre un de ses pectoraux, le mordillant, jouant avec. Sa main caressait son intimité dans des mouvements très lents, presque insupportable. Il savourait le moindre de ses frisons, son autre menotte continuant de frôler cette partie si désirable, si sensible. Il la sentait délicatement se détendre, en harmonie avec les bienfaits qu’il apportait son amant. Il voulait être dévoré ? Yano s’appliquait à répondre à sa demande, y mettant énormément de zèle, juste avec la seule ambition : le rendre brûlant comme jamais.
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| | | Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Ven 10 Oct - 2:10 | |
| L'alcool qui coulait dans ses veines ne l'aidait résolument pas à garder ne serait-ce qu'une once de retenue dans ses gestes. Si naturellement il n'avait que peu de réserve, en cet instant il n'en avait tout simplement plus. Le jeune homme se laissait seulement guider par ses sens et ses envies. Autant dire alors qu'en cet instant il ne souhait qu'à être a douce victime de son amant, recevoir son attention et ses baisers, rien de plus. Il voulait mourir de désir pour lui et n'être qu'une pauvre victime. Le coréen cherchait à faire fondre son amant, le voir faire tomber toutes ses barrières et le voir dominer en ce jour. Ainsi, il cherchait à le faire fondre tant qu'il réalisait des actions résolument rares. Ki Suk n'avait nullement hésité à enlever son pantalon pour ne se retrouver plus qu'en simple boxer tout contre amant. Une vision qui semblait résolument plaire à ce dernier au vue de son regard résolument coquin, ce dernier se situant sur son boxer pour y découvrir déjà la forme bombée de son entrejambe.
Comme pour le taquiner Ki Suk était venu se saisir de l'une de ses mains tout contre son boxer, son souffle chaud se perdant contre son oreille. Ki Suk avait terriblement envie de Yano, il n'avait pu que lui avouer alors qu'il se montrait encore plus sensuel, lui suppliant presque de lui enlever son dernier vêtement pour réaliser son fantasme. Un souhait qu'il avait espéré réciproque tandis qu'il était venir embrasser son amant dans un baiser sensuel. Ki Suk souhaitait lui transmettre tout le désir qu'il faisait naitre en son corps, tant qu'il n'avait pas hésité à réaliser lui même une caresse contre son intimité avec la main de Yano dans la sienne. Une caresse presque forcée bien qu'il doutait sérieusement de ce fait tant le sourire au creux de ses lèvres prouvait bien le contraire. Ki Suk se trouvait coquin et cela semblait résolument lui plaire tant que Yano vint mettre fin à ce baiser, l'observant avec attention. Il vint lui murmurer dans une voix ô combien suave qu'il mourrait d'envie qu'il le dévore, il s'agissait d'une telle évidence. Son corps le réclamait et ne désirait qu'il ne touche, le domine. Il lui était alors bien difficile de ne pas désirer assouvir l'ambition d'un tel corps qui n'attendait que lui. Il rêvait de le rendre fou et de le prendre. Des mots qui ne pouvaient qu'augmenter la chaleur de son corps déjà si importante, il lui avait semblé rater un battement à la fin de ses mots, fermant les yeux alors qu'il se laissait porter par la sensation de ses baisers sur sa mâchoire. Son amant vint alors mordiller son oreille lui indiquant que ses reins le réclameraient jusqu'à lui faire atteindre l'orgasme comme il semblait si bien lui apporter.
Des mots qui eurent le mérite de le faire frémir, s'imaginait déjà l'être de Yano le posséder et lui faire atteindre l'orgasme. Yano se trouvait si masculin ainsi, il ne savait nullement quoi penser d'autre qu'à ce corps qu'il lui ferait vivre tant de sensations agréables dans quelques minutes. Ki Suk se sentait déjà fondre tant qu'il ne chercha nullement à retenir ses gémissements lorsque son amant vint mordiller son oreille, laissant sa main caresser son intimité au travers de son boxer. Telle une marionnette entre les mains de son maître, Ki Suk ne cherchait pas à résister, laissant Yano maîtriser le jeu qu'il avait initié. Le Coréen laissait seulement ses soupirs exprimer ses envies et ses émotions, fermant les yeux alors qu'il sentait son autre main caresser ses fesses. Son cœur battait si rapidement qu'il lui semblait pouvoir mourir en cet instant. L'un de ses doigts coquins vint caresser ses fesses avec envie, laissant l'un de ses doigts contourner une partie qui n'attendait qu'à être malmené par son amant. Ki Suk se penchant alors légèrement en arrière alors que les lèvres de Yano venaient attaquer la ligne de ses pectoraux. Il lui semblait frémir à chaque instant sentant Yano abaisser le tissu de son boxer pour libérer enfin son intimité réellement. Il n'en fallut pas plus à Yano pour qu'il vienne caresser son aine dans un léger mouvement, un mouvement qui eut le mérite de l'amener à gémir doucement. Ses doigts vinrent se poser contre la chevelure de son amant, l'emmenant à soupirer alors que Yano goûtait à présent sa peau, ses lèvres embrassant et mordillant ses pectoraux. Yano venait continuer au même instant caresser son aine de manière plus soutenue, bien que très lente et insupportable. Il aurait tant souhaité que Yani vienne enfin réaliser des mouvements de va-et-vient bien plus soutenus. L'autre main coquine de Yano n'en était pas moins inactive puisqu'elle venait caresser la forme de ses fesses alors même qu'elle frôlait cette partie qui n'attendait qu'à être malmené par son amant.
Ainsi, le jeune homme vint gémir le nom de Yano sans aucune réserve alors qu'il sentait son aine prendre de plus en plus forme à la suite de ces mouvements de va-et-vient. Ki Suk avait chaud, il n'arrivait nullement à penser à quoi que ce soit, tout particulièrement alors que Yano venait à présent embrasser ses boutons de chairs. Ki Suk ne mit aucun mal alors à susurrer son nom alors qu'il le suppliait presque :« Yano... plus... j'ai envie de plus... j'ai envie ... fais-moi tien... »
Sans aucun doute que ses mots devaient plaire à son amant tant Ki Suk se trouvait déjà au point de craquer alors qu'il venait à peine de commencer à le taquiner. L'alcool l'aidait résolument à se désinhiber tant qu'il lui semblait normal de prononcer ses mots si rapidement ses mots. Ki Suk voulait atteindre ce doux paradis aux côtés de son amant, sentir les reins de son amant le posséder, que chacun de ses mouvements viennent dans cette zone ô combien source de bien-être. Ki Suk se fichait de tout le reste, il sentait seulement son corps s'échauffer de plus en plus, frémissant à chacune des actions de son amant, à chacun de ses baisers sur ses pectoraux. Ces mains ne cessaient alors de caresser la chevelure de Yano, lui demandant presque intimement de continuer son traitement. Yano effectuait alors des mouvements sur son aine de manière plus régulière, de manière moins lente, l'amenant à gémir son prénom, fermer les yeux et uniquement profiter de ces instants de luxure. L'une de ses mains coquines vint se poser sur le pantalon de son pantalon, frôlant alors son entrejambe au travers de ses vêtements, ravis de voir une forme ô combien plaisante dans ces derniers. S'il se trouvait fébrile, Yano l'était tout autant. Telles étaient ces pensées alors que lui-même laissait l'une de ses mains caresser l'une de ses fesses avec envie. Il aimait le corps de Yano, rien ne pouvait être aussi magnifique que ce dernier à ses yeux. Ki Suk vint alors murmurer à son amant dans une voix suave : « Je... j'ai envie... dévore-moi Yano... fais-moi tien, je ne demande ... rien d'autre. »
Ki Suk avait si chaud, il voulait seulement être la victime de son amant, s'allonger sur le lit et attendre ses attentions. Les effets de l'alcool se faisaient ressentir et il pensait bien être capable d'imposer quoi que ce soit à son amant, si ce n'était alors en lui suppliant de lui faire atteindre ce bonheur qui le rendait si fébrile. Ki Suk vint ouvrir les yeux un instant, son regard ô combien brillant et nourri d'intérêt pour sa personne alors qu'il croisait celui de son amant qui lui ressemblait tout autant. Yano était parfait, bien trop désirable pour qu'il ne cède pas. Le doigt coquin de son amant au niveau des fesses le fit doucement frissonner, soupirant, n'ayant selon lui en cet instant aucune autre raison de résister à quoi que ce soit. Il gémit à nouveau le nom de son amant, soupirant, ayant tant envie de le faire céder.
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| Son ambition était claire : il voulait rendre fou son mari. C’était une évidence qu’il ne pouvait nier. Ki Suk lui-même l’avait quémandé comme un ordre. Les effets de l’alcool qui circulaient dans leurs veines avaient d’autant plus amplifié leur appétit mutuel. Yano en avait conscience et cela le glorifiait. Il ne semblait nullement se lasser de dévorer, de caresser la chair de cet homme de ses lèvres, de ses doigts, de son corps. Bien au contraire, il sentait son appétence croitre de jour en jour et s’intensifier d’autant plus lorsqu’il ne l’avait pas à sa portée. Cela rendait ses expéditions parfois pénibles lorsque le soir, son être se languissait de l’échine de son amant. Il savourait donc cet instant avec bonheur, ne cherchant nullement à résister aux pulsions de ses sens qui l’amenaient à agir de façon aussi coquine et tentatrice. Ki Suk était résolument magnifique lorsqu’il se laissait aller dans ses bras. Quand bien même préférait-il lorsqu’il le dominait, tant il le trouvait masculin et désirable, Yano appréciait tout autant être celui qui menait la danse. Cela avait toujours tendance à exacerber les frisons et émotions qui traversaient l’échine de son amant. Ce dernier frissonnait sous ses doigts, offrant son corps à ses caresses et taquineries. Il le réclamait muettement, sa peau réagissant si favorablement à ses actions qu’il exprimait par de profonds soupirs ô mélodieux.
Il lui demandait muettement de poursuivre ses actions ô coquines et frustrantes qu’il n’avait de cesse de lui prodiguer. Yano s’appliquait avec énormément de zèle pour répondre à sa demande. Ses doigts n’avaient de cesse de taquiner les points sensibles de l’anatomie de son amant. Ses lèvres quant à elle, dévoraient, mordillaient la peau ferme de ses pectoraux avec ambition. Il était si désirable et délicieux sous ses actions. Il semblait s’enflammer de toute part, pour son plus grand plaisir. Yano prenait un plaisir particulier à éveiller sa chair, son appétit. C’était un jeu coquin particulièrement envoutant qui l’envoutait, le faisait agir avec d’autant plus de sensualité et de cupidité. Il aimait le contact de ses doigts contre ses cheveux, le souffle brûlant du coréen venir s’échouer contre son oreille dans des gémissements ô excitant. Il ne pouvait nier : il avait envie de lui. Il ne concentrait donc sur sa tâche avec ambition, laissa sa langue frôler ses boutons de chair avec sensualité et appétit. Il pouvait sentir la peau de Ki Suk frémir sous ses lèvres, son cœur quant à lui battait à tout rompre. Il avait chaud, il le savait et la suite des paroles de Ki Suk lui faisait part du désir qui grondait en lui. Il lui suppliait dans une voix suave qu’il avait envie de ressentir bien plus de sensations qu’il lui offrait. À vrai dire, il avait envie qu’il le possède, le fasse sien. Des paroles ô mélodieuses à ses oreilles tant il débutait ses caresses. Il était loin d’être prêt à le recevoir, mais il savait ô combien il était doué pour éveiller les pulsions de son amant. Ces mots étaient la conséquence directe de tous les bienfaits qu’il lui avait prodigués et cela était résolument envoutant.
Yano venait donc répondre à sa supplication, laissant sa menotte caresser plus régulièrement l’intimité de son amant, et ce de façon plus franche. Ses autres phalanges quant à elles continuaient de frôler, taquiner une autre partie sensible de son anatomie pour commencer doucement à la décontracter. Il le sentait de plus en plus sensible, brûlant contre lui et surtout beaucoup plus gourmand. Yano sentait une des menottes descendre sur son intimité encore recouverte par ses vêtements. Il ne pouvait nier se sentir à l’étroit dans son vêtement, tant ses prunelles et ses sens s’enivraient de cette luxure qui prenait place entre eux deux. Il soupira contre son bouton de chair à ce contact plaisant, sentant l’autre menotte de Ki Suk se diriger vers ses fesses au travers du tissu. Ki Suk était résolument troublé et gourmand. Il n’avait de cesse de lui susurrer qu’il avait envie qu’il le dévore, qu’il le fasse sien, ne demandant rien d’autre. Cela était envoutant et cruellement additif. Il pouvait sentir son propre corps s’enflammer à ces paroles si salvatrices. Le regard de Ki Suk était assez éloquent sur son désir qu’il avait de le sentir en lui. La fébrilité qu’il y percevait alors qu’il laissait une de ses phalanges se presser contre la partie sensible de son fessier, lui faisait clairement entrevoir qu’il avait envie qu’il continue de la sorte.
L’érotisme de ce regard était résolument exaltant. Yano vint se mordiller la lèvre alors qu’il lui lançait un regard pénétrant. Il laissa sa bouche couvrir la peau de sa clavicule de nouveau, effectuant le chemin inverse pour retrouver son oreille, la mordiller avec la même sensualité. Durant ce temps, ses menottes continuaient leurs taquineries, sentant la chaleur s’intensifier dans les entrailles de son amant. Il était tout gémissant et fébrile sous ses doigts, son intimité masculine si tendue et gonflée par le désir. « Je n’en doute pas, mon amour… » Souffla-t-il contre son oreille dans une voix suave et profonde. « Tu es tout brûlant et impatient… c’est cruellement excitant, tu sais ? Tu me donnes chaud et cruellement ambitieux. T’entendre me réclamer, c’est particulièrement envoutant et désirable. Tu es cruellement érotique, mon amour. » Il vint sourire contre son oreille en la mordillant alors qu’il venait le faire basculer sur le lit de la chambre d’ami. Pris dans son élan, il avait identifié les lieux, se rendant compte qu’il allait devoir improviser ce soir. Cela ne le dérangeait pas, cela allait lui demander d’être plus patient et coquin pour tenter de le préparer au mieux. Il prit place au-dessus de lui alors qu’il venait embrasser sa nuque de nouveau avec sensualité. Sa main contre ses fesses n’avait nullement quitté sa place, continuant ses agissements tout comme son autre menotte près de son intimité. Il laissa l’extrémité d’une de ses phalanges s’immiscer dans la partie sensible de son fessier dans un lent mouvement de va-et-vient pour commencer à le préparer.
Tout en poursuivant ses actions, il laissa ses lèvres glisser sur le creux de ses pectoraux continuant de descendre cette ligne dessinée vers ses abdominaux, son ventre. Il parsemait sa chair de ses lèvres, la dévorant avec sensualité et ambition. Il le dominait totalement et Ki Suk n’avait seulement accès qu’à sa tête où il avait placé ses mains pour profiter de ses bienfaits. Il taquinait son nombril de sa langue avant de rejoindre sensuellement la chute de ses reins. Contre toute attente, il ne descendit pas plus bas, même si l’intimité de son amant semblait s’impatienter de sa présence. Il savait une autre partie tout aussi cupide que cette dernière. Une partie sensible qu’il lui languissait de découvrir de nouveau, se remémorant avec intensité ô combien sa félicité était puissante lorsqu’il atteignait les portes du paradis à son contact. Ses lèvres prirent un autre chemin glissant sur ses hanches alors qu’il lui intimait muettement de se retourner. Ki Suk vint s’exécuter à son plus grand plaisir dans un gémissement de frustration ô pénétrant. En effet dans cette action, d’humeur taquine, le jeune chercheur avait arrêté ses actions pour l’admirer faire et observer avec ambition, ce magnifique fessier qui le tentait. Il profita de l’occasion pour venir faire glisser son propre pantalon et boxer pour se retrouver dans le même état de dépravation.
Enfin nu, il vint de nouveau se placer au-dessus de son amant, pour embrasser son cou et son omoplate. Dans cette action, il laissait son intimité s’immiscer entre ses fesses pour profiter de son contact et des caresses perverses qu’elles pouvaient lui procurer. Il vint gémir délicieusement contre son oreille alors qu’il osciller doucement du bassin pour sentir les muscles de ses fessiers cajoler sa virilité désireuse de ce contact. Il venait mordiller son oreille avec sensualité en susurrant son prénom dans des soupirs envoutants. En appui sur le matelas, il laissa sa menotte libre glisser contre la hanche de son amant pour rejoindre son intimité, la caresser. Dans cette action, il sentait Ki Suk soulever son bassin pour se coller au sien, réalisant un mouvement d’oscillation contre sa virilité cuisante de désir. Il le sentit gémir, totalement captif de ses actions alors qu’il venait le taquiner de nouveau, laissant son bassin agir en fonction des caresses qu’il lui prodiguait, dans la même cadence. Il soupirait son prénom dans une voix suave et envoutée. Son bas-ventre se trouvait de plus en plus ferme et cupide tout comme celle de son amant. Il le savait à sa merci et se plaisait résolument à le rendre fou afin de pouvoir le mener peu à peu vers cette extase qu’ils aimaient tant partager ensemble.
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| | | Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Dim 12 Oct - 21:39 | |
| S’offrir à Yano, il n’y avait sans aucun rien de plus agréable pour Ki Suk. Il nourrissait pour Yano une confiance totale, tant qu’il pouvait laisser sa vie entre ses mains, sachant qu’il ne risquerait rien, si ce n’est d'être sauvé ou de ressentir ces douces sensations de bien-être dont seul son mari était capable de lui faire vivre. Ki Suk se contentait seulement d'être la douce victime de son amant, profitant de ses baisers, de ses caresses et ses taquineries avec une envie très peu dissimulée. Il se laissait guider par les différentes sensations que son corps ressentait, souhaitant les faire partager à son amant. Il ne doutait nullement que l'ensemble de ces caresses soit bénéfique à son amant, surtout lorsqu'il l'avait posé sa main contre son entrejambe au travers du tissu de ses vêtements. Son autre main résolument taquine n'avait pas pu s'empêcher de venir caresser avec amusement les fesses de Yano, aimant résolument les toucher et les admirer tant il lui semblait que ce corps était parfait. Il n'y avait aucun homme qui rivalisait avec Yano, il n'y avait pas avoir ne serait-ce qu'un seul doute à ce propos. Ce corps lui donnait envie, il lui avait alors avoué dans un susurre suave qu'il avait envie qu'il le dévorer, qu'il le fasse sien. Le coréen se trouvait résolument impatient, mais le contraire aurait été vraiment étonnant lorsqu'on avait l'opportunité d'avoir devant soi un homme si plaisant, admirable et si envoûtant. Ki Suk ne souhaitait qu'une chose, qu'enfin leurs corps s'unissent pour ne faire plus qu'un, Yano ne pouvait nullement en douter tant ces yeux brillaient de fébrilité.
Yano semblait résolument s'en rendre compte, venant mordiller ses lèvres dans un regard pénétrant. Sa bouche vint embrasser la peau de sa clavicule, son corps frissonnant alors qu'elle remontait jusqu'à son oreille, la mordillant avec sensualité. Sentir au même instant les doigts de son amant sur son intimité ne pouvait que le rendre encore plus fébrile, son souffle devenant plus chaud et difficile. Yano vint lui murmurer qu'il n'en doutait pas, qu'il était tout brûlant et impatient. Un fait qui était cruellement excitant, il le rendait chaud et cruellement ambitieux, l'entendre le réclamer était très envoûtant et désirable. Il vint le complimenter, le trouvant particulièrement érotique.
Ki Suk ne put que sourire à ses mots, n'opposant aucune résistance, basculant sur le lit. Ki Suk était ravi de voir sous ses yeux un Yano particulièrement dominant. Il le surplombait et ne pouvait que le trouver qu'encore plus magnifique ainsi. Ki Suk ne pouvait pas s'empêcher de venir susurrer le nom de son amant tandis que ce dernier s'amusait à embrasser sa nuque avec sensualité. Il se sentait brûlant, désireux de le sentir le posséder à nouveau, frissonnant alors qu'il sentait l'extrémité d'une de ses phalanges s'immiscer dans la partie sensible de son fessier dans un lent mouvement de va-et-vient pour commencer à le préparer. Un fait qui ne pouvait que le ravir alors qu'il soupirait le nom de son amant, ce dernier ayant déjà abandonné sa nuque pour venir attaquer le creux de ses pectoraux dans de merveilleux baisers, s'échappant sur son ventre et ses abdominaux. Ki Suk avait laissé ses mains se poser sur la chevelure pour venir tirer ces derniers, comme pour lui intimer que tout ce qu'il vivait fût résolument agréable. Il sentait son amant cruellement patient à son plus grand désarroi, lui qui souhaiterait déjà sentir ces lèvres contre son aine. L'extrémité des doigts de son amant se trouvait toujours en son sein, animant ce désir d'être possédé par l'aine de son amant. Il n'omit aucune résistance lorsque Yano lui ordonna secrètement de se retourner, gémissant de frustration tant il voulait que son amant le dévore plus rapidement, qu'il continue ses caresses et ses baisers sur son corps. Même si la vue de son fessier devait plaire à son amant, il s'impatientait de sentir son corps contre celui de son amant. Néanmoins, entendre glisser le pantalon de son amant être enlevé ne put que le ravir, tout particulièrement alors que Yano était venu coller leurs corps. Ses lèvres venaient embrasser son cou et son omoplate.
Il semblait à Ki Suk que leurs deux corps brûlaient, sentant son corps s'échauffaient au contact de cette chair si plaisante et source de bien-être. Il avait cruellement envie de son amant et il ne le cachait nullement, n'ayant de toute manière aucune raison de le faire tant avec Yano il avait perdu ne serait-ce que la moindre retenue. Ki Suk se sentait heureux auprès de cet homme qui illuminait ces journées, l'amenait à vivre de si beaux moments qu'il n'avait aucune raison de masquer ou cacher ses envies. Si d'habitude, il aimait dominer son amant et montrer le visage d'un amant conquérant, en cet instant, n'être que la victime de son amant était la plus belle chose qui pouvait se dérouler. De ce fait, le contact de son entrejambe entre ses fesses le fit doucement gémir, entendant son amant en faire de même. Yano effectuait des mouvements résolument envoûtants, l'amenant à nouveau à soupirer son bien-être. Comment pouvait-il seulement résister à cet homme alors qu'il sentait sa main venir son intimité pour la caresser ? Il lui était tout simplement impossible de le faire, soulevant son bassin pour réclamer plus de contacts entre leurs chairs. Sans aucun doute que s'il venait à regarder l'état de dépravation dans lequel il se trouvait, il ne pourrait que rougir, bien que ses joues se trouvaient déjà rougies par le désir qui s'écoulait dans ses veines. Il pouvait sentir l'aine de son amant être de plus en plus ferme contre ses fesses, un fait résolument plaisant pour l'amant qu'il était, ne s'empêchant pas alors de gémir le nom de son amant. Ki Suk vint serrer ses doigts entre les draps du lit de cette chambre. Un lieu quelque peu insolite, mais qui ne le dérangeait nullement en cet instant.
Ki Suk voulait seulement que les lèvres de son amant le dévorent, tout comme sentir cette aine lui faire découvrir véritablement ce plaisir qu'était la luxure. Cela faisait de nombreuses semaines qu'il n'avait pas eu cette position de dominé et en ce jour il la désirait. Il voulait recevoir tout l'amour et la passion de son amant en cet instant, cette soirée avait été si parfaite que les prochains instants de luxures ne pouvaient qu'être bénéfiques pour sa personne. Dans un geste résolument coquin, Ki Suk vint soulever sa main pour rejoindre l'aine de son amant, caressant cette dernière avec ambition, susurrant alors dans une voix particulièrement suave : « Yano… tu es si ferme… j’ai envie… de toi… tellement…». Peu importe l’image qu’il donnait en cet instant, Ki Suk avait seulement l’intention de rendre fou son amant, de le faire céder. Les premiers instants risquaient sans aucun doute de lui faire mal, mais cela ne l’importait pas tant le plaisir allait être intense dans les prochaines minutes. Il ne se priva alors nullement de gémir le nom de son amant, effectuant volontairement des caresses envoûtantes sur son aine. Yano semblait particulièrement fébrile, son souffle contre sa chair devenant de plus en plus chaud.
Particulièrement désireux, Yano vint soupirer contre son oreille le nom de son amant, à son plus grand plaisir. Un râle qu’accompagna sans hésiter le jeune homme alors qu’il sentait son amant s’éloigner de lui. Il ne sut nullement ces futurs actes, mais lorsqu’il sentit Yano plaquer leurs corps plus intensément, il ne put que gémir au contact de ses lèvres venant embrasser son oreille avec avidité alors qu’il sentait l’aine de son amant le pénétrer lentement. Un contact quelque peu cocasse, mais qui vint le faire geindre, une certaine douleur étant présente. Cependant, cela n’empêchait nullement Yano d’être prévenant, mordillant son oreille pendant que sa main venait effectuer des caresses sur son aine. Des caresses particulièrement agréables, l’amenant à ressentir du bien-être alors même qu’il ressentait une certaine douleur. Néanmoins, cela ne l’importait que peu, tant il savait que les reins de Yano allaient l’emmener à ce paradis terrestre. Ki Suk vint alors de lui-même gémir à son amant de continuer, se trouvant particulièrement impatient. Cette brûlure disparaîtrait pour lui faire découvrir cette passion folle qui animerait leurs reins. Un acte que son amant vint réaliser avec délicatesse alors qu’il le sentait sortir de son corps pour à nouveau le pénétrer, une pénétration qui fut certes douloureuse, mais qui se trouvait un peu moins forte que la précédente. Ki Suk aimait son amant, du plus profond de son cœur et désirait qu’ils atteignent ce bonheur à nouveau ensemble.
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| | | Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Lun 13 Oct - 23:59 | |
| Aussi pervers que cela pouvait paraitre, Yano appréciait particulièrement le fait de dominer son amant. Même s’il n’avait cette posture que rarement, étant donné qu’il se trouvait pour la plupart plus intéressé de voir son amant s’affirmer en tant qu’homme, il y trouvait un plaisir déconcertant. Il n’y avait rien de plus merveilleux à ses yeux que le corps de son amant pris par la luxure. C’était si envoutant de l’entendre soupirer, gémir de la sorte. Yano y trouvait résolument son compte tant il se trouvait captiver par l’échine de cet homme. Il n’avait pas besoin de le toucher pour que son corps se consomme de désir pour lui. Ki Suk pouvait se flatter d’être l’unique personne au monde à pouvoir enflammer son être de la sorte. L’amour qu’il lui portait se trouvait si profond et intense qu’il n’avait de cesse de le désirer. Il voulait le couvrir de toute son affection, de cette passion qu’il initiait en son âme. Jamais Yano n’avait aimé une personne aussi profondément qu’il pouvait l’être de Ki Suk. Il était fou de lui, de son cœur, de son âme et de son corps. Il ne voyait et ne souhaitait plus que lui à ses côtés. Yano se laissait donc dévorer par cette ambition qui l’étreignait. Il se sentait tellement attiré, envouté par son amant. Il le sentait tout aussi cuisant de désir, si soumis et envoutant. Le coréen n’avait de cesse de gémir son bien-être, susurrant son prénom dans une voix si merveilleuse à ses oreilles.
Yano ne se gênait pas pour le taquiner, le rendre fou de ce contact coquin et sensuel. Il adorait le frôlement de son intimité contre la peau ferme et brûlante de son amant. Il sentait cette dernière s’affermir au moindre mouvement de ses reins entre ses fesses musclées et douces. Ki Suk s’en délectait tout autant, se laissant entièrement dévorer par son ambition. Il le voyait s’agripper aux draps du lit, son bassin se soulevant pour se coller plus fermement au sien. Une vision dépravée, mais cruellement érotique et exaltante. Il fondait littéralement face à elle, sentant son appétit s’accroitre au creux de ses reins. Ki Suk était si désirable, il mourrait d’envie de le dévorer de nouveau, mais ce n’était que le commencement. Il allait devoir le préparer à le recevoir, quand bien même n’avait-il rien à sa portée pour le faire. Il mordillait la chair de son amant pour lui transmettre cet embrasement qui prenait soin au creux de ses entrailles. Il vint gémir plus profondément contre son oreille alors qu’il sentait la menotte de son amant glisser contre son intimité. Il lui susurrait dans une voix particulièrement suave qu’il lui semblait si ferme. Il avait tellement envie de lui. Des paroles ô envoutantes qui le rendait d’autant plus brûlant de désir tandis qu’il le sentait lui prodiguer à son tour mille caresses sur son intimité. C’était merveilleux. Il sentait son corps s’enivrer de ce contact cocasse et sensuel. Lui-même ne rechignait pas sur ses cajoleries, laissant ses phalanges empoigner plus fermement sa victime.
Il sentait Ki Suk se tendre vers lui. Il le tentait trop. Cette voix érotique semblait être un appel incroyablement séduisant. Il n’avait pas envie de résister, cela lui donnait trop envie de succomber et c’était ce que son amant lui demandait de façon si naturelle. Incapable d’ignorer cet appel et le désirant tout autant, il était venu s’éloigner de son bassin dans un gémissement profond, ses lèvres mordillant sa nuque. Il souffla son prénom au creux de son oreille qu’il dévorait de ses lèvres alors qu’il se plongeait délicatement en lui. Une union charnelle qui l’électrisait de toute part, sentant sa gorge exprimer un bruit érotique tant son bas-ventre prenait un plaisir monstre à ce constant. C’était à couper le souffle. Il gémissait profondément, découvrant cette partie intime avec tendresse et dévotion, s’y plongeant délicatement en profitant de ces merveilles. Son corps s’embrasait comme si on y avait jeté une allumette consumée. Il sentait son cœur battre tel un fou dans sa poitrine, accélérant le rythme de ses respirations qui se firent que plus érotiques. C’était délicieux et il s’appliquait à caresser son amant pour rendre cet instant moins douloureux. Il laissait ses phalanges glissaient sur son intimité si ferme à la même cadence que le mouvement de bassin qu’il initiait. Il amorça une nouvelle oscillation de ses reins, laissant son intimité parcourir de nouveau cet antre merveilleux. Il gémissait sensuellement contre son oreille, lui soufflant dans des mots coquins toutes les pensées éhontées qui l’étreignaient. Il l’habituait à sa présence et petit à petit ces actions se firent moins timides, moins douces.
Au contraire, il accélérait la cadence, laissant son bassin aller à la rencontre du sien dans des sons sourds et à la fois si érotiques. Ki Suk semblait s’y être habitué, y prenant le plaisir malsain que les mouvements de vas et vient de son corps pouvait lui procurait. Il l’entendait gémir de plus en plus fermement, de façon érotique. Des véritables odes au plaisir à ses oreilles et ses yeux tant il pouvait l’apercevoir si magnifique. Yano se mordillait la lèvre furieusement dans des gémissements de plus en plus rauques. Il se sentait si tendu dans ses reins, tant ambitieux de le rendre fou. Son souffle n’était plus qu’un sifflement tant celui-ci se faisait court et saccadé. Cependant, il avait envie de l’observer, le dévorer du regard tandis que leurs êtres s’élançaient ensemble vers la voie du paradis terrestre. Ambitieux, c’est dans un râle ô profond qu’il était venu se détacher de son amant, s’éloignant de lui pour l’observer se retourner, lui demander muettement les raisons de son retrait. Yano se mordait la lèvre, résolument envouté par son amant alors qu’il venait l’embrasser langoureusement. Il laissa sa bouche violer la sienne avec une fougue assoiffée. Il avait faim de lui, de le sentir contre lui, lui faire atteindre ce moment d’extase à ses côtés. Il désirait également l’observer faire, le trouvant toujours particulièrement érotique et sexy lorsqu’il venait le chevaucher. Il se mordillait la lèvre en l’observant. Ki Suk semblait parfaitement comprendre sa demande muette. Il le détaillait avec lubricité alors qu’il laissait ses doigts glisser sur son torse, rejoindre son aine pour la caresser. Yano gémissait contre ses lèvres dans un souffle chaud.
« J’ai envie que tu me chevauches, que tu me laisses voir ton corps obtenir ce qu’il désire, ce qu’il sait si bien réclamer. Ça me rend fou quand tu me domines de la sorte. » Il avait soufflé cela dans un ton particulièrement sensuel alors que le regard de Ki Suk s’était fait plus brillant. Il avait conscience qu’il le rendait fou en agissant en dominé, dominant. Yano n’avait de cesse de lui ordonner de le faire depuis le jour où il avait pris cette place de dominant pour la première fois. Il l’embrassait donc passion et sensualité, laissant sa langue taquiner sa bouche, laissant sa peau recouvrir la sienne. Il contrôlait l’action sans pour autant y mettre de la force. Ki Suk pouvait à tout instant inverser la donne. Il n’attendait que cela, son intimité si bien tendue contre la sienne, lui quémandant muettement qu’il vienne prendre le contrôle pour lui offrir une vue imprenable sur son corps. Il aimait tant voir Ki Suk de la sorte. Cela le rendait incroyablement sexy et érotique.
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| | | Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini Ven 17 Oct - 21:36 | |
| Il n’y avait rien de plus plaisant en cet instant pour le jeune homme que de sentir son amant qui excité contre sa chair. Yano ne semblait pas pouvoir se lasser du corps de son amant, un fait résolument plaisant tant celui-ci était réciproque. Ki Suk était fou de Yano, ne voulant pour rien au monde quitter sa place et la laisser sa place d’amant à une autre personne. Yano était bien le seul être sur cette terre à pouvoir le rendre si fébrile en si peu de temps. Il lui suffisait d’un seul sourire pour que son cœur batte à tout rompre dès lorsqu’il s’agissait de son amant. Alors, ressentir tout contre lui l’aine déjà si ferme de son amant ne pouvait que le ravir, l’incitant à venir prendre possession de son corps, bien qu’il ne soit pas encore prêt pour le réaliser. Néanmoins, Ki Suk s’en importait que peu, préférant aisément souffrir pour ne pas s’impatienter et recevoir tout l’amour de Yano dans sa chair. À son plus grand plaisir, Yano n’avait pas réussi à patienter et était venue plonger son aine en son sein, embrassant sa nuque au même moment. Un contact ô combien plaisant alors qu’il entendait son amant gémir son prénom, ces derniers ne pouvant qu’intensifier son désir. Entendre Yano gémir son prénom était la plus belle des mélodies à ses oreilles, Ki Suk vint fermer alors les yeux pour laisser ses autres sens se développer au contact de cet homme. Il souhaitait seulement être absorbé par le bruit si particulier et si désirable de leurs corps qui s’aimaient, tout comme le contact de leurs chairs qui ne le rendait qu’encore plus fébrile. La main de son amant effectuait des douces caresses sur son aine qui l’emmenait à connaitre de si agréables sensations. Ki Suk ne pouvait qu’apprécier ces derniers alors que Yano venait se retirer de sa chair avant d’à nouveau le pénétrer. Une sensation ô combien agréable alors qu’il sentait son corps se détendre, son cœur accélérait son rythme tandis que Yano murmurait des mots résolument coquins.
Il ne sut combien de temps s’écoula exactement avant qu’il ne sente son corps s’apaiser, ce dernier venant s’échauffer à chaque seconde qui s’écoulait. Il se sentait si bien au creux de ses reins, se sentant à sa place, devenant la douce victime de cet amant qui ne souhaitait que lui faire connaitre le bienêtre à ses côtés. Ki Suk venait alors gémir de manière plus forte, plus suave, murmurant ô combien il aimait ces sensations. Ces mains posées sur les draps, venait s’agripper sur les draps tant il sentait fébrile au creux de ses bras. Le souffle chaud de Yano s’échouait sur sa nuque, l’emmenant à frissonner à chaque instant alors qu’il n’arrivait plus qu’à ressentir ce bienêtre, son corps brulant se satisfaisait de chacun des mouvements de reins de son amant. Yano était résolument le seul à pouvoir l’emmener à se sentir si fébrile, ce dernier caressant continuellement son aine avec attention.
Ki Suk ne put alors qu’être particulièrement déçu, émettant un râle alors qu’il sentait Yano se retirer de sa chair et ne plus revenir. Le coréen n’avait alors pu que se retourner et lui lancer un regard réprobateur et à la fois interrogateur. Yano n’avait aucune raison d’arrêter ses gestes subitement. Néanmoins, le regard qu’il vint lui lancer ne lui laissa que peu d’imagination, connaissant bien trop son amant pour ne pas voir là où il voulait les emmener. C'est pourquoi il n’omit aucune résistance lorsque ce dernier vint presque violer ces lèvres pour l’embrasser de manière langoureuse. La main de Yano était venue se poser sur son corps, caressant ses formes musclées qu’il appréciait toujours sans honte et sans retenue. Cependant, Yano vint éloigner leurs lèvres un instant, le dévorant du regard alors qu’il caressait son aine. Un fait résolument plaisant alors qu’il s’entendait gémir doucement. Yano vint murmurer alors au creux de ces lèvres qu’il avait envie qu’il le chevauche, qu’il lui laisse voir son corps obtenir ce qu’il désirait, ce qu’il savait si bien lui réclamer. Cela le rendait fou qu’il le domine de la sorte. Des mots qui n’avaient que pu le rendre encore plus fébrile, son regard se faisant bien plus brillant.
À chaque fois que Yano venait lui demander qu’il vienne le dominer, il savait ô combien ce dernier appréciait cette vision. Il n’y avait d’ailleurs pas que lui qui aimait cette position, nourrissant cette sensation de domination tout en étant dominé. Ki Suk appréciait ô combien à chaque fois ces instants en sa compagnie, se sentant si bien contre sa chair. Des pensées qui ne purent qu’arriser son désir, venant répondre avec passion à son amant, susurrant son nom de manière particulièrement suave. Ki Suk se perdit de nombreuses secondes dans ses baisers, venant gémir le nom de son amant avant qu’il ne vienne véritablement répondre à la demande de son amant. Souriant, il vint renverser leur place, venant faire basculer le corps de Yano sur le matelas alors qu’il le surplombait à présent. Le coréen laissa l’une de ses mains venir se poser sur l’aine de son amant pour y effectuer de légères caresses pour attiser son désir.
Il lui offrait alors avec un merveilleux sourire coquin, s’amusant à le taquiner alors qu’il venait soulever son corps pour s’asseoir sur les cuisses musclées de son amant. S’amusant à le taquiner avec sa main, il ne résista guère longtemps, ayant l’impression d’être en manque du corps de son amant après avoir passé tant de secondes loin de lui. Ki Suk vint soulever son corps, posant ses mains sur le corps de son amant alors qu’il venait faire pénétrer l’aine de son amant en son sein. Il ferma les yeux à ce contact, laissant son corps descendre progressivement jusqu’à que celle-ci vienne toucher sa prostate. Un contact qui vint le faire gémir, susurrant le nom de son amant alors qu’il venait se relever, impatient pour à nouveau effectuer un mouvement de rein. Une vue qui devait sans aucun doute plaire à son amant, sentant son regard se poser sur son corps, ces mains se posant sur ses reins alors qu’il embrassait passionnément son amant. Ki Suk ne retenait aucun de ces gémissements, sachant ô combien Yano aimait le voir ainsi, dépravé et n’exprimant que des expressions de luxure. Ki Suk vint à nouveau effectuer ses mouvements de reins, appréciant tant de sentir sa prostate si malmenée par le corps de Yano.
Le coréen gémissait le nom de son amant, sentant ces sensations de luxures devenir de plus en plus intenses. Il lui semblait que son corps était en fusion, tant la température de son corps avait augmenté. Il se contentait de laisser son corps se lever et se rabaisser sur son entrejambe, soupirant le nom de son amant alors qu’il lui semblait se rapprocher ce doux moment dans quelques minutes, quelques mouvements de reins. Ki Suk vint laisser ses mains se poser sur le dos de son amant, griffant légèrement ses épaules alors que le plaisir se faisait de plus en plus intense. Tant qu’il soupira le nom de son amant d’innombrables fois venant lui murmurer : « Yano… c’est si… parfait… ». Il murmura ses mots lançant un regard ô combien fébrile à son amant, ces yeux étant si pétillants.
Il ne fallut que quelques minutes de plus pour que Ki Suk sente son corps être sur le point d’atteindre l’extase. Chacun des mouvements de reins de son amant se faisait de plus en plus intense, l’amenant à sentir des sensations qu’il avait déjà connues, mais qui lui semblait toujours plus luxuriante à chaque fois qu’il avait cette position de dominé dominant. Un fait qui le ravissait alors que Yano se redressait légèrement pour capturer ses lèvres dans un baiser langoureux, refusant de quitter ces dernières alors qu’il répondait avec passion à ce baiser. Néanmoins, ce moment arriva très rapidement, l’amenant à gémir le nom de son amant dans un dernier râle, sentant son corps rendre les armes. Son amant vint atteindre cette extase quelques instants plus tard, à son plus grand plaisir alors qu’il en profitait pour l’embrasser langoureusement. Au travers de ce baiser, il voulait lui transmettre tout cet amour qu’il possédait pour sa personne, toute cette folie et cette passion qui dévorait son corps. Ki Suk aimait son amant bien plus que n’importe quel homme sur terre et souhaitait le lui dire. Ce fut d’ailleurs ce qu’il lui murmura alors qu’il se retirait de son corps, venant coller leurs corps, s’embrassant tendrement et peut-être même continuer ces caresses pour éveiller la chair de Yano à nouveau. Ki Suk voulait profiter de son amant tant qu’il se trouvait là. |
| | | | Sujet: Re: Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini | |
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| | | | Tu piel y mi piel pueden detener el tiempo | Pv Yano Wada | Fini | |
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