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 Does that make me crazy ?

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Alessandro Murray
Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Déc - 19:39


Alessandro avait parfaitement conscience de l’émotion et la fébrilité que ses actions provoquées sur l’échine de la Coréenne. La demoiselle ne pouvait le camoufler, son regard, ses souffles et gémissements la trahissait totalement. Il ne pouvait donc que se féliciter de la rendre ainsi si soumise et à la fois libre des chaines de sa raison. Elle lui semblait particulièrement envoutée, sa peau désireuse de découvrir d’autant plus les sensations merveilleuses qu’il lui avait promises. Il prenait son temps, mais il comptait bien remplir ses engagements. Après tout, elle lui offrait un cadeau merveilleux : sa première fois. Il se devait de la choyer, lui faire voir et comprendre comment une femme devait être aimée et serrée par un homme. Une douceur et une passion qu’elle semblait méconnaitre aux bras de cet homme qui ne l’avaient jamais serré de la sorte, préférant batifoler auprès d’autres femmes, comme il avait pu le voir faire lors du bal de Wincap. Il ne méritait pas de profiter des charmes de cette femme. Il était donc ravi d’être l’heureux élu pour lui faire découvrir les méandres de ce doux paradis terrestre.

Il n’avait aucun doute sur ses capacités. Sans être présomptueux, il savait satisfaire les femmes, ayant un profond respect pour ces demoiselles aux formes ravissantes. Il aimait les rendre folles sous ses doigts, ses lèvres, son corps. En tant qu’amant, il en tirait une profonde fierté et comptait résolument combler celle qui lui offrait sa confiance en ce jour. Il la traitait donc avec douceur et égard. Il cherchait à éveiller ses sens avec dextérité, y arrivant sans trop de mal. Il ferait en sorte qu’elle n’oublie pas cette soirée, les frisons que la luxure, la passion pouvaient engendrer dans le corps d’un être humain. Elle semblait le découvrir, y trouvant un bien-être certain. Elle se laissait totalement faire, participant à son excitation en lui offrant ces sons érotiques qui ne pouvaient qu’être exaltants. Il ne pouvait nier son envie. Sa fierté masculine était légèrement tendue contre le tissu de son boxer. Inconsciemment, il lui tardait de se plonger dans ce corps pour la serrer de la façon la plus charnelle qu’il soit. Il était néanmoins patient, désireux de faire perdurer cette soirée pour marquer au fer rouge, les sens de cette femme, si sensuelle.

Il laissait sa main glisser contre sa cuisse avec légèreté. Ses phalanges se montraient coquines, effleurant de façon malicieuse et très légère cette partie sensible et éveillée de cette femme. Il pouvait sentir l’humidité de ce tissu dans ses passages intempestifs. Cela le glorifiait d’une certaine fierté, ses lèvres dévorant ce ventre plat qui s’offrait à lui. Il la sentait planer, son esprit s’évadant petit à petit dans les méandres de ce plaisir qu’elle découvrait. Il pouvait sentir le drap se dérober sous son appui, celle-ci l’agrippant pour tenter de garder l’esprit clair, en vain. Cela était plaisant et envoutant. Il laissa ses lèvres glisser autour de son nombril, venant rejoindre la bordure du vêtement. Il embrassa celle-ci, suivant le contour du tissu alors qu’il laissait ses doigts glisser au creux de ces cuisses pour frôler cette partie si tentatrice. Il sentait le corps de Lydia ondulant sous ses actions, recherchant un contact plus franc qu’il lui refusait. Il voulait l’entendre gémir son abandon, lui donnait le feu vert pour poursuivre ses taquines. Elle finit par lui offrir dans un murmure qui aurait pu glorifier n’importe quel homme. Quelle perte pour cet idiot. Il ne savait pas ce qu’il perdait de ne pas posséder sa fiancée. Il y gouterait à sa place. Cela ne le dérangeait pas.

Il souriait à cette pensée, ses lèvres marquant son amusement alors qu’il laissait ses doigts glisser sur la naissance de ses cuisses pour retrouver le vêtement, s’immiscer en dessous pour soulever son bassin, faire glisser ce dernier rempart. Tout en douceur, il le lui retira pour offrir à ses yeux le cœur de sa féminité nue. Il se mordit les lèvres en s’éloignant de lui dans son action. La fleur de sa féminité était belle, rosée et terriblement gorgée de ce plaisir qu’il lui avait offert jusqu’alors. Une véritable œuvre d’art, d’autant plus lorsqu’on y ajoutait l’attitude si gênée et brulante de cette femme. Elle était magnifique, à la fois touchante et érotique. Il lui offrit un sourire franc, doux et confiant. Ses phalanges reprirent le contour de ces cuisses alors qu’il venait plonger son visage au cœur même de sa féminité. Il huma son odeur, observant cette démonstration honnête de ce fruit défendu. Il ne demandait qu’à être cueilli de ses lèvres. Son bouton semblait gorgé d’ambition et il ne se priva pas pour y déposer ses lèvres dans un baiser humide pour le découvrir, le savourer pour la première fois.

Une action qui sembla rendre folle son amante tant celle-ci se cambra délicieusement sous ses lèvres. Cela le glorifiait, l’excitait cruellement alors qu’il venait reprendre ce bouton de ses lèvres, le taquiner de sa langue. Il s’appliquait à dévorer ce fruit défendu avec douceur, tel Adam croquant la pomme du jardin d’Éden. Il savourait les frisons de bien-êtres qui traversaient son amante, s’appliquant avec dextérité pour la rendre folle, dépendante et ambitieuse de ressentir des sensations encore plus fortes. Il savait les femmes particulièrement sensibles à ce type de caresses, qui bien placé, éveillait une ambition profonde dans le corps de la gente féminine. Il laissait donc ses lèvres embrasser cette partie sensible, ses doigts caressant ses cuisses avec sensualité pour accroitre l’humidité et l’excitation de son amante. Il l’entendait gémir de plus en plus fortement et cela ne pouvait que lui donner encore plus envie de la rendre folle. Il laissa donc une de ses menottes s’inviter à la danse de ses lèvres, venir frôler ces lèvres intimes qui sauraient allumer un feu sans précédent dans l’échine de la belle. Il laissa ses doigts s’immiscer au sein de ses caresses intimes, permettant à ces derniers d’accroitre l’émoi dans lequel se trouvait plonger la Coréenne.

Il souriait ravi, charmé par les sons et actions érotiques et ambitieuses de la jeune femme. La fleur de sa féminité n’attendait plus qu’à être cueilli, évoluer en une somptueuse rose, dont les charmes, seraient ravageurs. Il savait que ses actions éveillaient la femme fatale en elle. Une femme qui ne pourrait pas s’empêcher de réclamer ce qu’elle désire, assumant parfaitement cette partie en elle, qui voulait être dévorée et connaitre les méandres de ce paradis terrestre dans son plus simple appareil.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Déc - 2:11


Dans cette chambre masculine et inconnue, Lydia vivait ses premiers instants, découvrant l'étendue de sa féminité et de plaisir que pouvaient apporter les attentions d'un homme en compagnie d'Alessandro. Un choix qu'elle avait fait en se laissant porter par la confiance et l'admiration qu'elle éprouvait pour cet homme assuré et séduisant. Elle avait non seulement pas réussit à résister à ses avances, mais y avait céder, volontairement, venant mordre le fruit défendu d'elle-même, s'invitant chez lui.
Sans rien y connaitre, elle avait vu en lui la promesse de pouvoir plaisir, d'éprouver du désir tout autant que d'être désirable, mais jamais elle ne se serait réellement attendue aux instants qu'elle vivait. Allongée au cœur du lit, fébrile et brûlante, elle était sous l'emprise de ses caresses. Maître dans l'art de plaire aux femmes, il devait en avoir caressé bien plus d'une pour savoir aussi instinctivement comme lui offrir les gestes qui lui permettait de se délecter de sa présence.

Incapable de résister, elle se laissait glisser dans cette débauche, immorale au possible face à sa promesse d'être fidèle à son fiancé. Mais cette promesse ne faisait nullement le poids face à tout ce qu'Alessandro lui offrait. Elle trouvait ce soir auprès de lui ce dont Roman la privait malgré ses demandes, au point de la faire douter, perdre toute confiance en elle. Les yeux d'Alessandro, brûlant de fierté quand il la regardait, comme s'il avait sous ses doigts un magnifique présent lui donnait l'impression qu'à sa façon il pouvait veiller sur quelque chose de précieux au fond d'elle-même. Bercée par ce sentiment si agréable qui montait en elle, elle se sentait comme ivre, inapte à réfléchir à la moindre question simplicité. Elle ne savait qu'une seule chose, qu'elle voulait continuer de se laisser cajoler, rester à la merci des mains d'Alessandro, subir chacune de ses instances avec pour toute protestation des gémissements de plaisirs.

Malgré la facilité de cet homme à trouver chaque petit geste qui la ferait gémir agréablement, elle se sentait précieuse, en tant que personne, loin d'un vulgaire objet comme certain autres hommes auraient pu la faire se sentir. Attentif et aimant, il faisait attention à chacun de ses frémissements, avançant sans brûler d'étape, ayant à coeur son consentement autant que son bien-être pour la laisser atteindre ce doux plaisir voluptueux qui la traversait, sans rien demander en échange. Il prenait la situation en main, la guidant, lui apprenant d'abord cette luxure qu'il pouvait lui offrir et qu'elle ignorait.

La tête enfouie au creux des draps, elle se laissait porter par les caresses sensuelles prodiguées, sans prendre conscience que le désir de son compagnon commençait à gonfler sous son unique vêtement. Innocente, cela ne lui venait même pas à l'esprit, penser au fait qu'elle était entièrement nue sous le regard d'Alessandro était déjà en soit bien assez déroutant... ou du moins qu'elle le serait bientôt entièrement, elle le savait. Il la touchait avec des gestes simples, des caresses légères qui venaient caresser sa peau de soie et qui pourtant résonnaient dans son corps tout entier, la parcourant de sensation de bien-être, de frissons de désirs qui éveillait son appétit sans en connaitre vraiment le goût. Il la faisait espérer sans qu'elle ne sache ce pour quoi son cœur battait d'espoir et de plaisir.
Ses baisers parcourraient son ventre, la rendant brûlante, faisant pétiller une chose inconnue dans son bas ventre. Elle ne pouvait que se tendre vers lui, ondulant sous ses caresses et ses baisers pour laisser son corps venir à leur rencontre sans même y penser, poussée par cette ivresse, dictée par l'envie de sentir plus encore la douceur érotique que ses lèvres masculines lui offraient.

Alessandro glissa contre ses hanches, descendant à la bordure de sa petite culotte, y accordant grande attention. Ses baisers en tracèrent les contours, une vue et des baisers qui ne maquèrent pas de parcourir Lydia de frisson. C'était une zone si sensible et voir cet homme, si... masculin, sexy, attentionné déposer ainsi ses baisers, alors que ses doigts caressaient ses cuisses, cela faisait naître en elle une étrange satisfaction face à l'érotisme de cette scène... Il était tellement séduisant, il pouvait avoir toutes les filles à ses pieds et pourtant, il prenait son temps pour elle. Cela la rendait terriblement impatiente, enivrée par ce plaisir qui la submergeait.

Elle comprit en sentant ses doigts contre son bassin qu'il s'apprêtait à retirer le dernier vêtement qu'elle portait. Son cœur s'emballa un instant, de stress, d'angoisse. Pudiquement aussi, ce n'était pas pour rien que cela était appelé un jardin secret.... un jardin que personne n'avait jamais visité, mais qu'elle soignait avec attention depuis des moins, obtenant des conseils et des soins auprès d'une esthéticienne dans l'espoir de ne pas décevoir son fiancé s'il changeait d'avis. Mais aujourd'hui c'était l'avis d'Alessandro qui l'inquiétait, lui qu'elle espérait ne pas décevoir, qu'elle regarda avec crainte, retenant sa respiration, craignant que tout ne soit brisé à cet instant... trop, trop peu, elle ignorait ses goûts, attentes, habitudes, peu importe comment cela s'appelait... Terriblement inquiète, peu à l'aise de cette nudité, elle l'observait, les joues rosées ce désir qu'il lui faisait traversait. Son corps restait brûlant, demandeur malgré son inquiétude, nécessiteux de ses caresses en dépit de sa gêne.
Le regard d'Alessandro avait de quoi la faire rougir, il se tenait légèrement éloigné, observant ce qu'il venait de révéler, le voir mordre sa lèvre le rendait très sensuel. Elle avait l'impression que son cœur s'était arrêté de battre, suspendu à sa réaction. Il dû le percevoir, car il lui offrit un beau sourire, sincère, rassurant, dépourvu de crainte. Elle essayant de le lui rendre, mais douta d'être parvenu à y replacer ç la moindre confiance.

Elle ne savait pas ce qu'il allait faire ensuite. Son coeur se remit à battre, s'affolant à toute vitesse en le voyant approcher son visage de ses cuisses, hésitant presque à l'interrompre, prise de panique. Mais l'effet de ses lèvres contre sa féminité se fit ressentir immédiatement, lui faisant abandonner sa crainte, curieuse de cette nouvelle sensation. Cette chaude humidité venait l'embrasser, délicieusement, et elle mordit sa lèvre sous ce plaisir voluptueux qui la parcourut. Toutes pensées s'étaient évaporées sous l'emprise de cette vague qui venait la faire frémir, titillant son bas ventre de façon plus impatience que tout ce qu'il avait fait jusqu'à présent. C'était bon, délicieusement bon, peu importe combien ce geste l'avait surpris, elle n'avait plus qu'une seule envie, le laisser continuer, il pouvait faire ce geste étrange, cela la rendait terriblement folle. Enfoncée dans les draps qui n'étaient pas les siens, se mordre la lèvre ne lui suffit pas pour rester silencieuse, un gémissement de ravissement s'échappa de ses lèvres. Ses mains qui parcouraient le creux de ses cuisses ne l'aidaient en rien à se contenir, effaçant le monde autour d'eux.

Ce qui faisait était si agréable, paradoxalement elle découvrait son propre corps sous sa langue et les caresses d'Alessandro. Sa passion s'emballait, perdant tout lien avec la raison, ivre de cette luxure qu'Alessandro lui offrait, augmentant avec délice, et dans un doux jeu les émotions qui traversaient Lydia. Elle tremblait déjà quand ses doigts rejoignirent sa bouche, venant doucement entrer en elle. Les lèvres entrouvertes, elle soupira plus fort, gémissant à ce toucher. À cours de patience, incapable de rester immobile, la jambe de Lydia se releva, venant de fermer contre les côtes d'Alessandro, sans timidité à peine consciente de ce geste. Elle fit pression doucement, s'appuyant ainsi sur lui, modifiant légèrement sa position. Son bassin, friand de ce sort, pouvait se tendre plus facilement vers l'homme qui lui procurait ce bien-être... Ce plaisir qui s'immisçait en elle, sans qu'elle puisse le contrôler ou même l'anticiper ou l'attendre était terrible. Elle était instrument entre les doigts d'Alessandro, qui pouvait allumer à volonté chaque parcelle de son corps.

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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeSam 27 Déc - 18:55


Il avait bien pressenti l'angoisse de la belle Coréenne lorsqu'il avait initié ce geste résolument cocasse et coquin auprès de celle-ci. Il était évident qu'elle était encore bien innocente dans cet art, mais curieuse, elle se laissait délicieusement tenté par ce qu'il lui proposait. En homme respectueux et sensuel, il veillait à son bien-être, cherchant à identifier le moindre signe de refus de la jeune femme. Il ne voulait nullement aller trop loin, trop vite avec elle. La braquer serait un échec d'autant plus qu'il ne cherchait que son plaisir, qu'elle découvre en sa compagnie, cette félicité et plénitude intense que la luxure pouvait apporter à l'âme d'une personne. C'est pour cela qu'il se montrait doux, tendre dans ses caresses, baisers, laissant simplement ses lèvres effleurer les méandres du fruit défendu de la déesse allongée dans ses draps. Il prenait un plaisir malsain à effleurer ces parties sensibles de l'anatomie de la jeune femme, avoir ce doux pouvoir sur l'échine de la jeune pucelle qui succombait à ses charmes.

Al n'avait rien à lui envier. Il se trouvait résolument envouté par la sensualité et le goût aigre doux de la peau de Lydia, qu'il trouvait succulente. Il ne se gênait donc pas pour s'abreuver de son odeur, de sa saveur, cherchant par tous les moyens à obtenir les faveurs de la belle rose qui venait s'éclore à son contact. Un spectacle qu'il savourait avec une grande fierté et un intérêt particulier. Elle se trouvait si fébrile, si sensible à ses lèvres, le contact de ses phalanges au creux de ses cuisses. L'inquiétude des premières secondes semblait s'être évaporée comme neige au soleil. Elle succombait insidieusement aux méandres de ce plaisir intime et coquin qu'il lui offrait, s'enfonçant dans les draps telle une somptueuse créature. C'était exaltant. Il ne pouvait le nier, savourait le moindre des frissons, des gémissements de ravissement qui s'échappaient des lèvres de la Coréenne de plus en plus intensément. Cela ne pouvait que le glorifier, lui donnait encore plus envie d'accroitre l'émoi envoutant dans lequel elle se trouvait.

C'est donc tout naturellement qu'une de ses mains s'était dirigée au coeur même de la féminité de cette fleur pour venir renforcer l'excitation dans lequel il plongeait la jeune femme par ses actions. Il la sentit réceptive, soufflant d'autant plus son émotion dans cette sensuelle voix qui pourrait en faire fantasmer plus d'un. Un son mélodieux qui vint le faire sourire d'autant plus contre ce bouton de chair intime de la belle Coréenne qu'il prenait tant plaisir à malmener de ses lèvres, de sa cupide langue. Tout ceci semblait rendre gourmande la jeune femme, la sortant de cet état de léthargie due à son inexpérience. Elle releva sa jambe pour venir se fermer contre ses côtés pour faire pression doucement. Elle s'appuyait sur elle, modifiant légèrement sa position pour permettre la communion de sa bouche et de ses phalanges, un meilleur angle pour poursuivre ses actions. Il pouvait sentir ce bassin se soulever, venir réclamer les bienfaits qu'il lui procurait. Cela conférait à la jeune femme un érotisme dont il devenait lui-même friand. Il n'avait aucun doute. Lydia serait résolument une déesse lorsqu'elle accepterait, assumerait cet aspect de sa féminité. Indirectement, il ne refuserait nullement de l'aider dans cette action, y prendrait même un plaisir succulent.

Il accéléra donc la cadence de ses caresses intimes de ses doigts, jouant avec dextérité avec le jardin secret de sa belle pour y trouver les points régisseurs du plaisir féminin. Il finit par le trouver, pressant ses doigts avec douceur, mais ambitieux contre celui-ci. Il la sentit gémir plus fermement, d'une ambition incontrôlable, d'autant plus face aux bienfaits que prodiguait toujours sa langue donc ce petit bouton de fleur si ferme et ouvert à ses caresses. Il la sentait doucement perdre pied et cela ne pouvait que l'envouter, lui donnait envie de pousser la jeune femme vers cette plénitude terrestre, sans pour autant la conduire. Il avait un autre chemin en tête, lié à son propre besoin de découvrir les portes de cette ivresse merveilleuse avec sa compagne d'aventure. N'était-ce pas mieux de découvrir la magnificence de la luxure en étant mêlé à l'être de son partenaire ? Il en était convaincu et souhaitait la persuader que ce qu'il lui offrait à cet instant, n'était rien en comparaison de ce qu'elle vivrait lorsqu'il viendrait la posséder, lui offrir le bien être profond d'être la proie, la victime de la sensualité et le désir d'un homme qui savait traiter une femme comme il se le devait. C'est dans cette ambition qu'il vint mordiller légèrement ce bouton de fleur en le taquinant de sa langue tout en appuyant sur ce point sensible du bout de ses doigts.

Il la sentit se cabrer et cela ne put que le satisfaire d'autant plus. Il voulait qu'elle se laisse aller, qu'elle lui exprime ce désir de connaitre des sensations d'autant plus fortes. Il voulait juste un mot, un geste qui puisse lui faire comprendre qu'elle désirait qu'il continue, qu'il vienne la faire sienne. Il s'occuperait de tout pour lui faire connaitre ce bien-être qu'il lui avait tant promis. C'était un homme de parole, après tout.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeJeu 1 Jan - 22:29

Perdue dans les draps, à la merci du traitement d'Alessandro, Lydia se perdait. Elle ne se serait sans doute jamais reconnu, loin de s'imaginait un jour ainsi dans cette situation. Les joues rosées, ses prunelles grandes ouvertes, elle mordait sans cesse sa lèvre, rougie par les baisers d'Alessandro. Elle soupirait, impuissante face à cette torture qu'il lui offrait avidement.
La jeune femme essayait de ne pas réfléchir de trop, de ne pas se demander ce que lui en pensait de la voir agir ainsi, se comporter de façon si peu décente, incapable de retenir ses soupirs et ses gémissements. Est-ce qu'il aimait la voir ainsi ? Etait-ce agréable ? Plus ou moins que les autres femmes qu'il avait déjà touchés ? Combien ? Des flashs de questions qui allaient dans son esprit quand elle essayait de reprendre le contrôle sur ses émotions et son comportement. Des idées qui ne lui plaisaient pas, qu'elle préférait finalement fuir, oublier, qu'elle essayait de chasser.

Elle n'avait aucune emprise sur la réalité dans laquelle elle s'était embarquée. Elle pouvait sentir Alessandro contre elle, ses côtes brûlantes contre sa cuisse. Des frissons l'agitaient, incontrôlables. Son souffle taquinait son intimité, ses doigts la visitaient, précis, terriblement agile. Elle le laissait avoir ce contrôle sur sa personne, la visitant, la découvrant en même temps qu'elle même. Elle compris ce qu'il cherchait quand il le trouva, ce petit point invisible, insoupçonné jusque là dont elle ignorait tout. Elle gémit plus fort, agrippant les draps, goûtant à l'excitation qu'il faisait naître en elle.
Particulièrement sensible à l'humidité de la langue de l'homme sur son bouton rosé, jouant sans cesse, la rendant que plus sensible, elle restait les lèvres entrouvertes sous cette caresse qui saurait la faire fantasmer même après qu'il est fini, sans nul doute.

Il accéléra le mouvement de ses doigts, venant de plus en plus vite, cela lui fit un effet des plus étranges. Plus sensible encore, elle leva le coeur de ses hanches vers lui, laissant échapper malgré elle une discrète exclamation de surprise. Ce geste était une torture plus grande, source d'impatience, une soif pourtant pas entièrement satisfaite malgré que l'homme continuer son mouvement d'aller et venir, encore, continuant de la taquiner de sa langue. Le souffle court, le corps de Lydia était transporté par l'ivresse de cette inlassable caresse contre son intimité, ce mouvement en elle se lus en plus présent.
Un regard vers le bas lui donnait cette vue sur les épaules masculines entre ses jambes, maître qui avait prit possession de son corps et qui faisait d'elle une simple poupée, seulement capable de soupirer n se délectant de ce contact charnel exquis. Une impatience emballait ses sens, jusqu'à devenir un besoin, un besoin qu'elle ne comprenait pas bien, qu'elle essayait de satisfaire en approchant ses hanches, se cambrant vers lui, essayant de rejoindre les caresses d'Alessandro pour accéder une attente sans nom, une recherche brûlante poussée par un désir de moins en moins patient.

La jeune femme mordit sa lèvre un peu plus fort, avant d'essayer de capter l'attention d'Alessandro. « Alessandro ? Je... je crois que... ». Retrouver ses esprits, trouver ses mots étaient difficiles, l'ivresse des attentions qu'il lui portait était de plus en plus intense. « Je ne suis pas sûre... Je crois que... j'ai besoin de.... » Elle rougit, resserrant un peu ses cuisses de timidité sous son regard qui était venue chercher le sien. Il avait brûlait d'en entendre plus, se délectait de son interruption, elle le réalisait, ne pouvait qu'en rougir. Dans un murmure, elle termina sa phrase « J'ai envie que tu ailles plus loin... je crois... s'il te plais Alessandro. ». Une supplication sensuelle, enfouie dans ses draps, ses doigts se réfugiant dans les draps et dans les mèches de ses cheveux longs...

Elle l'observa remonter vers elle, terriblement virile, près à la conquérir, la posséder d'une autre façon. Véritable amalgame de sentiments et de pensées pour la jeune coréenne. Elle était sous son charme, immensément flattée de l'attention qu'il lui apportait. Cet homme dégageait tant d'érotisme, l'image même du mot masculin à cet instant aux yeux de la jeune femme. Sa peau brûlante dégageait un parfum qui envoûtait ses sens, ses lèves rougit de ses caresses offertes étaient tout simplement attirante... et pourtant en dépit de tout cela, elle tremblait, craignant un peu ce qu'elle venait de demander...

Quand son visage vient la surplomber, son corps presque nu dominant le sien, elle prit conscience qu'elle n'avait toujours pas découvert sa virilité. Elle s'en inquiétait... Mais moins qu'une autre question qui devait s'échapper de ses lèvres. « Est-ce que ça... fait mal ? » Elle tordit un peu sa bouche, malgré son innocence elle avait déjà entendue une amie lui assurer qu'une première fois était toujours douloureuse. Les lèvres tremblantes, elle posait la question à Alessandro, sans compter reculer, voulant juste savoir à quoi s'entendre. Ce qu'il lui avait offert jusqu'à présent avait était un véritable délice, même si la suite pouvait être douloureux, elle voulait continuer. Pour faire plaisir à Alessandro... et par curiosité. Instinctivement, elle sentait que le creux de ses hanches espéraient la venue d'Alesandro. Elle osa relever les yeux vers lui après les avoir baissés quelques secondes face à cette question. Elle préféra préciser « Peu importe, hein ? Je veux savoir comment c'est de... te sentir en moi. » Timidement, elle remonta sa jambe contre celle d'Alessandro, laissant sa peau caresser la sienne délicatement, l'appelant à poursuivre ses caresses et plus encore. Elle était sûre de le vouloir.


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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Jan - 15:37


Il était particulièrement attrayant pour tout homme de voler la fleur de l'innocence d'une jeune femme. Cela ne pouvait que provoquer un sentiment puissant au sein de la poitrine d'un homme, une fierté non équivoque qu'Alessandro avait toujours savourée avec une profonde plénitude. Il trouvait cela merveilleux, s'en sentait toujours profondément honoré lorsque l'opportunité se présentait à ses yeux. Il ne pouvait donc que s'appliquer à la tâche, faire en sorte que cet instant unique, reste marquer dans l'esprit de la demoiselle qui partageait son lit. Il ne savait pas ce qu'il allait advenir de cette relation qu'il avait avec la Coréenne. Alessandro était habitué aux passages, aux relations qui duraient que quelques jours, pourtant cette fois-ci, il y avait quelque chose dans la psychologie, le caractère de la jeune femme qui l'attirait particulièrement. Il la trouvait amusante, rafraichissante. Il était tellement aisé de la taquiner, lui faire perdre contenance, cela était particulièrement intéressant à observer. Même à cet instant, la réserve qu'elle mettait dans ses gestes, dans sa lutte pour camoufler son plaisir, lui donnait d'autant plus envie de la taquiner plus intimement, de lui faire connaitre un sentiment si profond qu'elle ne pourrait plus se contenir, se montrerait telle qu'elle était : une fleur en pleine éclosion !

Un spectacle somptueux qui se présentait délicatement à ses yeux. Il pouvait sentir le bassin de sa belle arquer du bassin, venir à la rencontre de ses doigts, de ses lèvres dans des actions ô sensuelles. Il la trouvait magnifique et s'appliquait à sa tâche avec beaucoup de dévotion et douceur. Elle se trouvait de plus en plus impatiente et il n'attendait plus qu'une réaction de sa part qui lui réclame de poursuivre sur la lancée que prenait leur relation. Il se soumettait au désir de la jeune femme, ne voulait nullement la brusquer sur cette voie étourdissante qui saurait marqué sa chair à jamais. Il n'y avait nulle vanité dans ses paroles, mais Alessandro savait ô combien cette découverte pour la première fois avec un être pouvait envouter ses sens à jamais. Lui-même se souvenait de sa première fois, y attachait un souvenir pénétrant qui le faisait sourire lorsque sa route l'amenait à croiser la route de celle qui avait partagé cette nuit à ses côtés. C'était toujours agréable de pouvoir se souvenir de façon positive les doux moments qu'on avait pu passer avec quelqu'un. Il espérait qu'il en soit de même pour Lydia, son but n'étant que de lui offrir ce bien-être pénétrant qu'une nuit de luxure pouvait provoqué au sein des entrailles d'un être. Elle finit par atteindre ce point de non-retour, elle souffla son prénom, lui murmura qu'elle pensait qu'elle avait besoin de le voir aller plus loin. Elle était hésitante dans ses paroles, sa voix chaude, saccadée par ce plaisir envoutant qui devait lui faire perdre la tête. Al la fixait avec douceur et une pointe d'amusement dans le regard. Elle était vraiment mignonne, sexy avec cette expression, ses rougeurs teintant son teint naturellement pâle.

Elle lui suppliait de le faire, sachant particulièrement flatter l'égo de l'italien qui ne se fit pas plus prier pour venir la surplomber sur le lit. Elle était si belle, le regard qu'elle lui portait était pénétrant, intéressé et sensible. Elle était indéniablement sous son charme, son corps tremblant sous le contact à peine visible de leurs deux êtres. Alessandro en appui sur ses bras, était en équilibre au-dessus d'elle et admirer l'état de fébrilité dans lequel elle se trouvait grâce à ses actions. Elle lui souffla dans un murmure, une question légitime qui le fit sourire attendrit. « Toujours un peu lors d'une première fois, mais il suffit que tu me fasses confiance et te décontracte comme tu es parvenue à le faire jusqu'alors. » Il laissa une de ses mains se perdre tendrement sur sa joue alors qu'elle relevait le regard vers lui. Cela lui importait peu, elle voulait savoir comment c'était de le sentir en elle. Al souriait tendrement à ses mots alors qu'elle venait remonter sa jambe contre la sienne, la frôlant dans de doux mouvements. « Fais-moi confiance, alors, je te traiterai bien... N'aie aucune crainte et si tu as mal, n'hésite pas à me le dire. » Il ponctua ses mots par un doux baiser alors qu'il caressait sa nuque avec douceur avant de se relever doucement. C'est à regret qu'il vint s'éloigner de la jeune femme pour venir retirer son boxer, le faire glisser sur ses cuisses avant de retrouver le sol. Sa fierté quant à elle se trouvait particulièrement révélatrice de l'ardeur dont elle était possédée. Tendue, terriblement fière, elle se présentait au regard troublé et timide de son amante.

Cela le fit sourire tendrement alors qu'il venait se pencher au-dessus d'elle pour récupérer un préservatif dont il ouvrit le sachet avec délicatesse avant de venir orner son intimité. En temps normal, il aimait particulièrement demander à ses amantes de le recouvrir de cet objet, rendant l'intimité et la complicité plus grande, mais Lydia semblait bien trop anxieuse, encore trop intimidée pour qu'il ne le fasse. De ce fait, il se présenta sagement prêt à l'ascension de ce corps si délicieusement longé sous ses yeux. Le regard doux, mais brillant de luxure, il vint se mouvoir de nouveau au-dessus d'elle, laissant ses lèvres de nouveau recueillir celle de son amante pour y susurrer. « Es-tu prête, Lydia ? » Sa voix s'était faite suave alors que ses doigts glissaient sur ses côtes, retrouvant la courbe sinueuse des hanches de sa belle. Il laissa ses menottes se mouvoir avec sensualité contre ses aines, le creux de ses cuisses qui vinrent de nouveau s'ouvrir pour lui permettre de retrouver le cœur de sa féminité. Le sourire doux, tout en venant poursuivre ses baisers contre sa mâchoire, sa nuque, le creux de son oreille, il se plaça au creux de ses cuisses, présentant sa virilité au cœur de ce fruit défendu. Dans une action douce et lente, il s’immisça au creux de ses entrailles, savourant le contact étroit de ce corps qui connaissait ce toucher pour la première fois. De nature tendre, il laissait ses phalanges caresser le creux de ses muscles qui s'étaient refermés autour de ses hanches dans un mouvement brusque, surprise par cette intrusion étrange.

Il l'observait avec attention, ses lèvres baignant ce visage qui malgré une certaine appréhension, douleur, découvrait de merveilleux frissons. Il pouvait sentir son souffle court baigner sa peau, sa poitrine se coller à son torse avec force lorsqu'elle tentait de reprendre sa respiration. « Tu es magnifique, Lydia... » Souffla-t-il contre son oreille comme un aveu alors qu'il s'était immiscé totalement, sentant ses entrailles s'embraser délicieusement. « Tu me rends terriblement gourmand... » Il mourrait d'envie de se mouvoir au creux de ses reins, mais patientait, attendant le feu vert de la Coréenne, qui semblait doucement s'habituer à sa présence. Pour l'instant, il embrassait la peau de sa nuque, visage dans de milliers de baisers papillon, tandis que ses doigts caressaient la chair à leur portée. Il cherchait par tous les moyens à lui faire connaitre le plaisir d'être caressée et possédée par un homme.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeDim 18 Jan - 23:42

Elle rougissait de ses propres propos, de l'état dans lequel elle était. Aucun doute que cela n'avait plus rien de décent, pas plus que sa tenue que ce qu'elle avait laissé Alessandro lui faire ou ce qu'elle venait de lui demander. Il ne devait plus y avoir de retour en arrière possible, même si elle lui demandait de s'arrêter maintenant et quand bien même il le faisait, elle ne pensait pas pouvoir oublier facilement cet émoi en elle. Une envie terrible, insatisfaite était née au fond d'elle, au cœur de ses entrailles. Arrêter tout maintenant aurait sans doute était d'une frustration trop grande qu'elle n'avait aucune envie d'expérimenter. Mais Lydia n'en restait pas moins inquiète.

La vie commune avec son fiancé n'avait fait que mystifier un peu plus à ses yeux les relations hommes femmes, des mois avec lui sans apercevoir la moindre parcelle de son intimité ne l'avait pas aidé à se sentir plus en confiance face l'idée de voir un homme dans son plus simple appareil. C'était devenu un dilemme autant qu'un complexe et un mystère. Cette interrogation face à ce qui allait suivre ne quittait pas son esprit même si, en levant les yeux vers l'homme qui la surplombait, elle n'arrivait plus à ordonner ses pensées correctement. Elle n'avait pas peur de lui, en tant que personne, son regard était doux, brillant devant cette situation qui lui plaisait sans aucun doute, mais en aucun cas effrayant. Tout comme chacun de ses gestes à son encontre étaient tendres. Ses doigts caressaient son visage alors qu'il prenait le temps de l'observer. Il lui sourit. Oui, ça faisait toujours un peu mal la première fois. Elle s'en doutait, mais l'entendre le dire de sa bouche avec quelque chose de rassurant, il ne lui mentait pas, pas plus qu'il ne voulait l'inquiéter. Il lui conseilla de lui faire confiance et de se décontracter, comme elle l'avait fait jusqu'à présent.

Lydia n'était pas sûre d'avoir été décontractée depuis qu'elle était venue dans son appartement, mais si ce qui précédait n'avait pas paru trop stressé à Alessandro, c'était déjà ça. Elle le croyait quand il disait qu'elle pouvait lui faire confiance, qu'il la traiterait bien. Elle loin de se sentir mal traiter en effet, bien au contraire. La main d'Alessandro caressait tendrement sa joue, son regard mêlé de douceur et d'intérêt la faisait se sentir belle et attirante. Il couvrait son égo blessé d'un voile tendre et sensuel, à chaque baiser, à chaque sourire, tel un baume magique qu'elle n'aurait peut-être trouvé nul par ailleurs. Si hocha timidement sa tête quand il lui demanda de le lui dire si elle avait mal.
Il s'avança et elle rejoignit ses lèvres avec plaisir, ravi de cette action qui servait si bien à la rassurer. Sa main glissa de sa joue pour caresser sa nuque un instant, un dernier contact avant qu'il ne recule pour se redresser.

Le cœur de la jeune femme palpita, son rythme cardiaque s'affola en même temps qu'elle tandis qu'elle réalisait pleinement ce qu'il s'apprêtait à faire. Sans y penser, les yeux malgré tout rivés sur lui, elle glissa la main dans ses cheveux, attrapant une mèche qu'elle rapprocha de son visage, portant ses doigts contre ses lèvres, vague mouvement pour protéger un peu un de ses seins et masquer une petite partie de son visage. Elle ne savait pas à quoi s'attendre devant cette partie de l'anatomie masculine. Elle ne pouvait que constater le changement qui était apparu sous le tissu du boxer, un changement de taille dont elle détourna vite les yeux.
Son regard revient pourtant vers lui quand l'homme fit glisser le vêtement au sol. Elle lui accorda un premier petit regard fébrile, s'empressant de remonter vers le visage d'Alessandro tant cette vue lui était étrange, l'impressionnait tout bonnement. Elle se sentait dépassée, réalisant pleinement son ignorance et ce dans quoi elle s'était embarquée. Elle se sentait plus en sécurité avant, quad il était plus près. À présent debout au pied du lit, l'homme semblait plus grand, plus impressionnant et c'était sans parler de... ce qui était caché au préalable sous le tissu et qui était maintenant visible, une virilité forte et tendue, si fière qu'elle en venait à la craindre.

Même si elle ne l'aurait pas cru possible, son cœur s'affola un peu plus quand Alesandro s'approcha à nouveau, se penchant au-dessus d'elle pour récupérer un objet un peu plus loin. Elle se sentait son corps s'agitait de petit tremblement nerveux qu'elle tenta de dissimuler en continuant d'enrouler ses doigts autant de ses cheveux. Sagement, elle évita de suivre le mouvement de la main d'Alessandro qui redescendait pour mettre ce qu'elle avait deviné être une protection.
Pourtant, peu importe combien elle se sentait à nouveau soudainement intimidée maintenant qu'elle réalisait ce qu'était la masculinité d'Alessandro et combien il était "vraiment homme"... oui malgré cela, elle fut captivée par lui à nouveau quand son visage revient l'embrasser. Elle se sentait intimidée autant qu'elle avait envie de ses baisers. Elle plongea dans ses yeux tandis qu'il lui demandait si elle était prête, d'une voix terriblement sensuelle. Il était à son écoute, attendait encore, indéfiniment et toujours son accord. Elle pouvait lire dans ses yeux un désir qu'elle lui enviait, cette assurance de savoir ce qu'il voulait à cet instant, une envie qui était claire comme de l'eau de roche. En dépit de cette peur de l'inconnu, de l'impression de force qui se dégageait de la vue qu'elle avait eut, si intimidante, elle ne voulait pas reculait. Au-delà de la raison et de son esprit qui chercher une protection, elle avait une envie, une attente plus grande, un désir profond de continuer sur cette voie qu'il éclairait patiemment pour elle. Aussi  embarrassée qu'elle était, elle voulait par-dessus tout continuer de gouter à l'intimité que lui offrait son amant.

Fidèle à elle-même, la jeune femme hocha la tête pour répondre silencieusement à sa question. Elle n'osait détacher son regard du sien. Les doigts d'Alessandro glissèrent contre ses hanches, taquinant sa peau. Cela n'avait de cesse de réveiller cette étrange sensation qu'elle avait dans le creux des reins, comme un petit picotement titillant son intimité qui la rendait nécessiteuse... À la caresse dans le creux de sa cuisse, Lydia se décontracta un peu pour le laisser venir plus près, s'installer entre ses jambes.
La main tremblante, elle vint effleurer l'épaule d'Alessandro. C'était encore un interdit pour elle et pourtant elle se l'autorisait, timidement. Les yeux clos, elle était fébrile face aux baisers de l'homme qui parcourait sa joue et le creux de son cou, son souffle la faisait frémir.

Et puis finalement, elle le sentit. Un contact doux et ferme à l'orée de sa féminité, d'abord sage avant de venir en elle. Imposant malgré sa douceur, elle ne pouvait ignorer sa présence. Alesandro s'immisçait en elle, usant de petit mouvement pour se frayer un chemin là où aucun autre n'était jamais venu. Le souffle court, les yeux clos, Lydia  rapprocha son visage de celui d'Alessandro, étouffant un gémissement de surprise du mieux qu'elle put. Progressivement il s'avança au cœur de sa féminité.
Ce n'est qu'en sentant la caresse de son amant contre sa cuisse qu'elle réalisa l'avoir fermé contre lui. Elle souffla doucement tandis qu'il venait se fixer, entièrement en elle, lui donnant quelques instants pour s'adapter. C'était étrange, une sensation confuse, paradoxalement elle sentait une certaine douleur dans le creux de son bas ventre et pourtant.... une partie d'elle était intéressée par ce contact nouveau, cette sensation d'avoir en elle une part d'Alessandro. Elle en avait le souffle court. Le cœur battant, elle sentait monter en elle une délicieuse satisfaction. Son corps réagissait à cette présence masculine. Lydia rouvrir les yeux pour rencontrer à nouveau le regard d'Alessandro. Malgré cette petite douleur sourde, elle le regarda à demi émerveillée de cette nouvelle expérience, éloignée de ce qu'elle avait pu imaginer. Elle savourait cette présence chaude en elle, enivrante qui la rapprochait de lui plus qu'elle ne l'aurait crue. Naturellement elle lui sourit. Peu importe qu'elle ai mal, ce ravissement à le sentir primait. Et face à son regarde elle ne pouvait que se sentir un peu plus femme au milieu de ses draps.

Dans le creux de son oreille, Alessandro vient lui murmurer qu'elle était magnifique. Elle le rendant terriblement gourmand. Les lèvres tremblantes d'émotion, Lydia frémit contre lui à cette confession. Il savait comment la cajoler, reprenant ses baisers, parcourant sa peau sans en avoir jamais eu de trop. Elle s'offrait sous ses caresses, ses délices qu'il lui concédait, réveillant à chaque fois un peu plus d'avidité au fond de ses reins. Sans y réfléchir, se laissant porter par la confiance qu'elle avait pour lui, elle enroula timidement ses bras autour de sa nuque. Friande de sa présence, elle se risqua à caressa du bout des doigts son épaule, savoura le contact de sa peau ardent contre la sienne. Elle avait envie de le sentir un peu plus en elle, de goutait à nouveau à ce mouvement qu'elle pu percevoir un instant auparavant. Lydia caressa la nuque d'Alessandro et vient déposer un léger baiser contre son épaule, goutant à sa chaire brulante, enivrée par cette pluie de baisers et sa présence en elle.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeVen 23 Jan - 22:09


Lydia n'était résolument pas la première femme dont il venait voler la fleur de l'innocence. Sans être un expert dans cet exercice, il avait eu de multiples occasions de venir cueillir ces roses si délicates. Lydia était sans doute l'une des plus belles. Elle était d'une beauté exquise qui rendait cette aventure particulière grisante. Elle avait quelque chose qui le charmait, lui plaisait réellement. Il se sentait bien au creux de sa féminité, curieux et gourmand. Il avait cruellement envie de lui faire connaitre les méandres de ce plaisir qu'elle méconnaissait. Il prenait cela comme un honneur qu'il prendrait soin à réaliser pour lui montrait ô combien, une femme pouvait gagner en érotisme et assurance dans les bras d'un bon amant. Un amant bien loin de l'image de cet homme peu avenant qui la traitait avec si peu d'égard et qui possédait un pouvoir psychologique sur la Coréenne. Inconsciemment, c'était ce côté qui l'avait attiré à lui, lui avait donné envie de creuser pour en savoir plus. La vérité était inquiétante. Comment une femme si belle au corps si fin et joliment dessiné pouvait tant méconnaitre son pouvoir de séduction. Il comptait éveiller cette rose, la faire resplendir de mil feu pour lui faire découvrir cette satisfaction d'être l'objet de désir d'un homme.

Il la couvrait donc de baisers, parsemant sa nuque, son visage de milliers de baisers en caressant le creux de ses cuisses. Il essayait de la rassurer, d'amoindrir cette douleur indispensable à la première union. Il la flattait par ses mots, la mettait en confiance pour tenter qu'elle se décontracte et profite de cette rencontre tout comme il était en train de le faire. Le sourire qu'elle lui tendit lui fit comprendre que c'était le cas. C'était une petite victoire en soi et il appréciait la vue et le regard qu'elle lui offrait. De nature timide, réservée, l'échine de la Coréenne sembla prendre vie à son plus grand plaisir. Il vint donc satisfait de la voir agir de la sorte, mêler ses bras autour de sa nuque. Il savoura la légèreté de ses caresses et actions. Elle le touchait indéniablement par son inexpérience, sachant parfaitement éveiller sa bienveillance. Il la laissait donc agir contre sa chair, caresser son épaule contre laquelle elle vint déposer ses lèvres. C'était des actions douces et délicates qui ne pouvaient que l'attirer. Elle se sentait bien, elle le lui communiquait au travers de ces gestes pourtant bien timides. Il y était sensible bien évidemment. Il laissa ses lèvres embrasser le creux de la nuque de la jeune femme, plongeant son visage au creux de celle-ci alors que ses doigts remonter ses aines en rejoignant sa hanche. Il laissa ces cupides comparses suivre la courbe de ses côtes, venir rejoindre les formes rondes et délicates de sa poitrine. Il la frôlait avec sensualité, savourant les frisons qui parsemaient la peau si blanche de cette rose immaculée.

Du moins, en apparence puisqu'il l'avait déjà cueilli, savourant l'étroitesse de sa féminité, l'émoi dans lequel cette rose se trouvait. Elle était prête à éclore et il dut reconnaitre que son ambition était celle-ci. D'un mouvement de hanche, il amorça un mouvement de retrait lent et langoureux, pour l'acclimater à ce contact, éveiller sa chair. Sa fierté explora ce lieu inexploré, presque interdit avec sensualité, savourant le léger soupir qui s'extirpait des lèvres de la demoiselle. Du bout de ses doigts, il venait effleurer les boutons fermes et éveillés de cette poitrine. Il prenait plaisir à la taquiner, les toucher, trouvant leurs textures agréables sous son toucher. Il faut dire que ces caresses semblaient intensifier le feu au sein de ses entrailles qu'il explorer dans des gestes très lents. Ses lèvres n'avaient de casse d'embrasser cette peau blanche près de la mâchoire de la jeune femme, remontant au creux de son oreille pour la mordiller. Il désirait éveiller de nouveau son émoi, lui faire oublier cette inévitable douleur et il s'appliquait. Il laissa son souffle chaud frôler son oreille, laissant sa gorge exprimer un léger gémissement. Il devait reconnaitre qu'il avait cruellement faim. Les préliminaires avaient provoqué une véritable fournaise dans ses entrailles et il devait reconnaitre que ces caresses étroites savaient particulièrement éveiller et satisfaire son valeureux guerrier. Debout et fier, il commença à onduler plus profondément du bassin dans des mouvements un peu moins légers, plus conquérants. Il remarqua aisément que cette action de sa part troubla la jeune femme qui était venue souffler plus fermement contre son épaule.

Ses doigts toujours en place sur cette poitrine, ils l'honoraient de leurs caresses, savourant le chaos existentiel qu'ils percevaient sous leurs passages, leurs cajoleries. Son coeur tambourinait tel un fou dans sa poitrine, cela le réjouissait et animait son ambition. Tandis que ses reins prenaient l'habitude de sa présence, il se laissa aller petit à petit pour lui prouver sa bonne foi. Très naturellement son bassin vint finalement trouver une cadence plus langoureuse et ambitieuse. Il souffla son prénom contre son oreille, pour tenter de lui partager le feu qui grondait en lui. Il la possédait entièrement et venait l'honorer telle une merveille, une déesse. Il n'avait de cesse de caresser sa poitrine, jouait avec aisance avec les points régisseurs du plaisir de sa belle. Il finit par frôler le point sensible de la féminité de la belle et il se décala pour admirer l'érotisme de son visage. Lydia était magnifique. Son expression résolument envoutante dans l'acte charnel et il venait se relever doucement en appui sur une de ses mains pour l'admirer, améliorer l'angle de rencontre entre leurs deux bassins. Ceux-ci se firent plus intenses et profonds, créateurs de véritable picotement au creux de ses reins qui le rendait d'autant plus gourmand. Alessandro l'observait dans ses draps, admirer la magnificence de ses traits pris par le plaisir de la chair.

Il se mordillait la lèvre en laissant échapper de doux soupirs en venant rejoindre le creux de la poitrine de son amante pour la dévorer des lèvres tandis que sa main libre, cupide et coquine venait redescendre l'une de ses aines pour rejoindre le creux de cette féminité assailli pour participer à son émoi. En effet, elle s'immisça au creux de cette féminité, non loin de sa fierté pour caresser ses commissures intimes. Il laissa ses doigts taquiner ce bouton avec sensualité et ambition. Il la savait sensible à ce point et il en fut convaincu lorsqu'il la sentit gémir plus fortement. Elle était incroyablement fébrile et il l'était tout autant alors qu'il le possédait de plus en plus passionnément et avec fougue. « Tu es magnifique... » Souffla-t-il contre l'un de ses seins qu'il mordilla avec passion, savourant la chaleur de sa peau qui lui laissait clairement entrevoir le feu qui se consumait inexorablement dans ses reins. Il la sentait prête à rejoindre les portes de ce paradis et cela le glorifiait cruellement tant il avait envie de l'amener à ce point de non-retour. Il désirait faire d'elle : une femme.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeLun 9 Fév - 0:26

Lydia brûlait sous le corps d'Alessandro. Elle pouvait sentir la chaleur de sa peau, tout aussi chaude que la sienne, et l'odeur sensuelle qui en émanait. Il l'entourait de sa présence, ses lèvres courant contre sa mâchoire et son cou, caressant sa peau de ses lèvres et de sa langue. Elle savourait chacun de ses baisers, son souffle irrégulier était pourtant presque en rythme avec celui de l'homme. Son esprit et son cœur s'enflammaient, laissant loin derrière toute raison. La présence d'Alessandro en elle devenait un peu moins étrange, elle s'y habituait doucement se décontractant un peu alors qu'il entamait un doux va-et-vient.

Peut-être était-ce cette ivresse qu'elle ressentait qui la déboussolait et lui faisait voir ce qui n'était pas, mais elle sentait intimement proche d'Alessandro, plus que de par sa présence en elle, c'était quelque chose de plus fort et différent. Il dégageait une aura chaleureuse et protectrice, sans promesse, mais pourtant sincère et présente. Il était près d'elle, entièrement, comme si chacune de ses pensées était en harmonie avec ce qui se passait entre eux. La jeune femme se détendait, se laissait bercer par sa douceur et ses attentions, ses baisers qui parcouraient son cou, ses doigts qui venaient caresser sa poitrine, titiller ce petit mont déjà si sensible, éveillant de doux frissons contre sa peau. Le souffle de Lydia vibrait contre la peau d'Alessandro alors se mouvait, lentement, en elle. Les lèvres entrouvertes, elle se laisser aller, s'offrait à ces baisers si délicieux, se laissait choyée. Elle se laissait porter par ce mouvement en elle, enivrant, savourant sa lenteur, sa présence, cette sensibilité dont elle découvrait la magnificence.
Ce mouvement lascif la ravissait. Instinctivement, Lydia laissa ses hanches suivirent ce mouvement langoureux, timidement, le rejoignant pour le sentir un peu plus profondément en elle. Elle tremblait d'émotion, fiévreuse sous ce corps si érotique qui la surplombait.

Les baisers d'Alessandro se firent de plus en plus intenses alors qu'il venait frôler le creux de son oreille. Le petit gémissement qui s'échappa de ses lèvres fit frémir Lydia, comme une confession d'un trouble qu'elle aurait pu éveiller en lui... Elle était peut-être émue, troublée et enivrée à cet instant, mais il l'était également, il ne mettait pas seulement en pratique ses talents, il partageait avec elle cette fièvre, cette envie qui lui faisait perdre tout contact avec la réalité. Elle fut surprise de se sentir grisée en entendant ce doux son contre son oreille, comme une victoire elle ressentie une petite pointe de fierté à sentir cet homme si grand et si séduisant, si différent d'elle, expérimenté et qui devait avoir connu de nombreuses femmes, gémir ainsi, en elle... pour elle...

Le cœur fou, elle le sentit amplifier ses mouvements, changeant le rythme de ses reins, optant progressivement pour une autre danse. C'était différent. Agréable aussi. Avec satisfaction, elle le sentir venir en elle, plus inquisiteur, plus envahissant et gémit, savourant cette fabuleuse sensation, le corps palpitant, sensibilisé par les caresses incessantes d'Alessandro. Brulante, elle perdait le fils, s'approchait de lui. Elle voulait suivre son rythme, l'inviter à poursuivre, le laisser venir tout entier, qu'il puisse continuer de la ravir comme il le faisait. Elle avait de plus en plus de mal à respirer silencieusement, le souffle saccadé, de silencieux soupirs s'échappaient de ses lèvres.
Cela le rendait plus sensuel qu'auparavant encore, entre deux frissons de désirs, elle profita de la vue qu'elle avait de lui ainsi, si masculin, si... la surprise s'afficha sur le visage de Lydia quand il toucha en elle quelque chose de bien différent, un point dans le creux de son ventre infiniment plus sensible, tant qu'elle ne pu retenir un gémissement en s'enfonçant au creux des draps. Un instant, elle se demandant comment il pouvait faire cela, par quel pouvoir il pouvait la troubler de la sort, créer ce point à la sensation si déroutante et la parcourir ainsi de plaisir... Il continua, cupide, avide de ce savoir qu'il avait, elle l'aperçut se reculer, s'éloigner un peu d'elle pour mieux l'observer. Un vague instant, elle eut conscience de cet état d'abandon dans lequel elle e laissait aller. Lydia essaya de porter ses doigts à ses lèvres, de se contenir, mais un nouvel allé d'Alessandro mit en échec tout effort, un nouveau gémissement de plaisir s'échappa de ses lèvres.

Perdue face à ce désir enivrant, ne sachant comment gérer le plaisir qu'elle ressentait et bien incapable de réfléchir, elle tendait ses hanches vers lui, empressée de retrouver son contact, sa présence, de le rependre en elle.
La main d'Alessandro glissa près de son bas ventre pour venir titiller et taquiner à nouveau ce bouton de plaisir si sensible au creux de ses jambes, soupirant son prénom dans le creux de son oreille. Lydia gémit de plus belle, une supplication pour qu'il poursuive, qu'il en finisse tant elle allait explosée. C'était une impulsion, un désir brûlant de le sentir encore, encore un peu plus en elle. Il souffla contre sa peau qu'elle était magnifique, elle lui répondit dans un soupire en soufflant son prénom, à peine consciente.
Et puis cela vient, sans qu'elle ne s'y attendant, alors qu'elle rejoignait le mouvement d'Alessandro, une vague la parcouru, bouillante de plaisir, la faisant trembler, lui arrachant un gémissement sans retenu qu'elle étouffant contre l'épaule de l'homme, tremblante. Elle se tendit vers lui, passionnément, transpercée par cette jouissance qui emporta un instant sa conscience.

Lydia retomba contre les draps, abandonnée de cette vague, le corps brûlant et le cœur battant à un rythme effréné. Ses reins rejoignirent encore ceux d'Al, l'accompagnant encore dans ce mouvement qui restait délicieux même une fois cette vague passée. Son partenaire ne tarda pas à l'imiter, soupirant en se raidissant quelques instants en elle, le visage contre sa joue, avant de venir reposer son torse contre sa poitrine.
Tremblante, Lydia caressa du bout du doigt l'épaule de cet homme contre elle, habitée par un sentiment de relaxation qu'elle n'avait jamais senti avant. Elle se sentait, bien, tout bonnement bien. Elle appréciait le poids de d'Alessandro contre elle,, sentir sa présence encore un instant avant de devoir revenir à quelque chose de plus terre à terre, plus réel... Elle n'avait pas envie de s'évanouir hors de ce rêve, cet instant qui semblait irréel. Son regard croisa celui d'Alessandro. Les lèvres tremblantes, elle murmura la voix roque « Merci.. ». Un mot sans doute étrange à cet instant, mais qu'elle ressentait au plus profond d'elle même, un sentiment de gratitude qu'elle n'arrivait pas à contenir.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeLun 9 Fév - 18:59


Alessandro s’exécutait à sa tâche avec une douceur et une passion sincère et digne. Il faisait d’elle une femme, lui permettant de ressentir ses émotions si intenses et étourdissantes, si pénétrantes et addictives. Il transformait ce bouton de rose en une merveilleuse plante qui ne demandait qu’à exprimer sa magnificence, sa saveur, son érotisme. Il la trouvait belle, magnifique dans ses draps, le corps et l’âme emplie de cette excitation qu’il venait si admirablement faire croitre en elle. Elle lui était entièrement soumise, sa chair venant réclamer ses caresses et actions. Il profitait de ces contacts, la couvrait de mil attentions pour lui offrir ce précieux souvenir qu’il lui avait promis. Il en avait envie. C’était une évidence ! La Coréenne était une magnifique fleur qu’on avait envie de croquer telle une abeille pour savourer son goût unique. Il se donnait pleinement à cet échange, oscillant de plus fermement du bassin pour accroitre la tourmente de son amante, lui faire ressentir à trois cent pour cent, les frisons que tout ceci pouvait lui prodiguer.

Il était sur la bonne voie, n’avait nul besoin de le lui demander, l’admirant pleinement de ses prunelles avides et intenses. Il s’était retiré brièvement d’elle pour l’admirer si somptueuse, une véritable déesse de la luxure, à la fois si érotique et timide. Après cette nuit, cette jeune rose n’aurait plus peur de brillant, du moins, moins qu’auparavant. Il s’appliquait à lui donner les moyens de se sentir femme, divine. Il laissait ses lèvres, ses mains lui prodiguer toutes ses caresses intimes et brûlantes, ses reins venant réclamer leurs dus tout en se montrant particulièrement habiles pour que ce plaisir soit partagé. C’était délicieux, sa peau délicate et brûlante, si disposée à être sa victime. Elle se tendait inexorablement sous ses coups de reins, perdant la tête, son esprit enveloppé dans ces nuages qui l’amenaient tout droit vers le paradis terrestre. Elle finit par l’atteindre, sans crier garde, de façon si naturelle. Le corps de la belle sembla être pris victime d’une vague fulgurante, intense et brulante. Elle se cambra de plaisir contre son torse, étouffant son plaisir contre son épaule à laquelle elle s’était rattachée.

Un spectacle dont il ne perdit pas une miette, permettant à son valeureux soldat de poursuivre sa bataille avec dignité, fier et glorieux d’être parvenue à la gagner. Pourtant, il était sur le point de flancher, de rendre les armes avec la même force que le corps de Lydia. Cela ne tarda pas de se produire alors qu’il venait remonter ses lèvres contre sa nuque, sentant ce spasme vivifiant traverser toute sa chair, du bas de sa colonne vertébrale vers le haut, le faisant gémir de façon roque contre son oreille. Il profita de ce frison, savourant le bien être qui exploser dans ses entrailles apportant ce sentiment d’abandon à tout son être. Tout contre sa joue, il laissa son corps se reposer contre le sien, épousant ses formes après une telle bataille. Il savourait tout autant que la jeune femme cet instant de plénitude, contre la silhouette de cette princesse fiancée, délaissée par son fiancé. La situation le fit sourire malgré lui, la trouvant amusante, se rendant compte qu’il s’impliquait dans une histoire complexe, mais ne le regrettait pas. Bien au contraire, Lydia était intrigante et provoquait en lui, une irrésistible envie de la taquiner, la faire découvrir à elle. Il appréciait ses tremblements contre lui, la douceur de ce doigt contre son épaule.

Il la sentait relaxée, terriblement bien, sa respiration se faisant de plus en plus calme. Elle reprenait doucement ses esprits tout comme lui. Elle le remercia dans une voix roque et tremblante, mais qui le fit sourire en venant délicatement embrasser sa mâchoire. « Ce fut un plaisir pour moi… » Son sourire se voulait taquin et doux à la fois. Il vint tendrement en laissant sa menotte remonter sa cuisse, son autre menotte recouvrir l’un de ses seins. « Tu es belle, Lydia... Une magnifique fleur qui vient d’éclore… Une femme encore timide, mais je ne doute pas qu’elle deviendra une déesse envoutante et maitresse de son destin… » Il avait susurré cela en laissa sa menotte remonter son buste, sa clavicule, venant dégager son visage avant de venir se retirer d’elle, lentement et retirer cette protection qu’il vint nouer et jeter dans une poubelle non loin. Il n’était pas éloigné d’elle, juste assez pour recouvrir son corps nu et encore brûlant de son drap, venant embrasser ses lèvres furtivement en soufflant. « Je reviens. Je pense qu’une petite collation ne sera pas de refus après toutes ses émotions, n’est-ce pas ? » Il vint rire de nouveau tendrement en se levant, venant remettre son boxer pour respecter la timidité de son amante et revint quelques minutes plus tard avec un plateau comportant quelques fruits et de l’eau. Il le déposa sur le coin du lit avant de reprendre place à ses côtés, celle-ci s’était assise à son arrivée, cachant ce corps qui lui avait appartenu quelques minutes auparavant. Il vint sourire naturellement, laissant ses lèvres mordiller son oreille en soufflant tendrement :

« Tu sembles avoir du mal de te remettre de tes émotions, ça te rend particulièrement mignonne et sexy à la fois. » Il cherchait à la stabiliser de nouveau et il ne manqua pas de faire mouche. Cela lui plaisait énormément alors qu’il venait s’éloigner d’elle pour prendre des grains de raisin vert, pour lui en tendre également tout en les dévorant. Cela creusait son appétit.
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Lydia Kim
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeLun 9 Fév - 23:50

Ce simple son pour le remercier était sorti tout seul, sans retenu aucune de sa part. C'était étrange d'être reconnaissante pour cela, elle en avait bien conscience que c'était sans doute bizarre de dire merci après avoir... partagé un moment ainsi. Pourtant elle s'en sentait vraiment reconnaissante et elle n'avait pas d'autre mot pour le dire à Alessandro. Il ne pouvait sans doute pas mesurer quelle différence cela faisait pour elle, ce qu'il venait de lui apporter. C'était sûrement simple et naturel pour lui, peut-être même insignifiant, mais elle espérait que non. Pour elle cela signifiait beaucoup et ça n'était pas vraiment lier à l'idée de première fois. Il brisait une crainte intérieur qui la hantait depuis des mois, qui en était venue à la ronger si fort qu'elle avait du mal à sourire. Il y avait ce froid qui avait envahi son corps depuis tant de temps qu'il en était venu à paralyser son sourire, son esprit, ternir sa vision des choses.
Alessandro avait chasser cela. Peut être pas indéfiniment ou à tout les niveaux, mais il avait ouvert une porte, lui avait fait réaliser au moins une chose. Elle ne ressentait pas "rien" quand un homme la touchait. Elle n'avait pas rien ressentie avec lui dans son lit. Loin de là. La jeune femme en était bouleversée, troublée de ce qu'elle avait sentie et perdue face à ce qu'elle pensait être confronté à ce qu'elle venait de vivre. Il y avait un gouffre entre ces deux perceptions et l'homme à côté d'elle lui avait montré qu'elle n'était pas là où elle devait être. Ca ne réglait pas tout, non, mais c'était une différence énorme.  

Et elle ne regretta pas d'avoir oser murmurer ce remerciement les lèvres d'Alessandro virent effleurer sa mâchoire, l'embrassant en douceur. Elle tremblait encore, sensible à ce geste qui semblait si spontané chez lui. Un geste auquel elle pourrait bien s'habituer...
La main de l'homme remonta contre son corps, caressant sa cuisse tandis qu'une autre venait englober son sein. Ces gestes étaient doux, différents d'avant, plus tendre, plus simple, des caresses qu'elle appréciait même si cela la faisait doucement rougir. Elle le laissait faire, appréciant cette continuité de contact. Elle était un peu embarrassée de leur proximité, timidement intimidée et pourtant la savourait. Elle n'osait pas le toucher vraiment, sa curiosité et son envie ne franchissait pas timidité. Mais elle ne fuyait pas sa présence, l'appréciant sincèrement. Alessandro était plus à l'aise qu'elle. Il lui susurrer qu'elle était belle, comme une fleur qui venait d'éclore. Il le voyait encore timide mais il ne doutait pas qu'elle deviendrait une déesse envoutante et maitresse de son destin. Des mots inattendus qui firent ouvrir en grand les yeux de la jeune femme, secouant sa tête en signe de dénie face à ces termes employés. La vision qu'il avait d'elle avait de quoi la faire rougir, elle un jour, une déesse ? Sans doute pas non, elle avait déjà des doutes sur le fait que terme belle soit cesser lui correspondre.

Pudique, Lydia remonta le draps vers son visage, tant pour éviter de se montrer et cacher ses joues qui rougissaient encore que pour éviter de trop regarder le corps d'Alessandro, nu, qui s'extrayait du lit. Elle restait partageait, indéfiniment, entre sa curiosité et sa gène, ne lui jeta qu'un rapide coup d'œil, une fois dos à elle. Il s'approcha à nouveau pour l'embrasser légèrement et lui fit savoir qu'il revenait. Il proposait une petite collation et prise de cour, Lydia hocha la tête en suivant le sens de sa question sans même vraiment y réfléchir.
La jeune coréenne détourna à nouveau les yeux quand il sorti du lit pour le laisser enfiler un vêtement -un seul d'ailleurs, se retrouvant dans la même tenue qu'il était au dépars- et revint avec quelques fruits et de l'eau sur un plateau. Elle s'était assise, le drap cachant sa poitrine, ne révélant plus que ces épaules nues, elle était plongée dans ses pensées. Étrangement décontractée, elle laissai ses pensées aller, réfléchissant à ce que Alessandro avait pu dire, ce qu'il avait fait, les différences et les changements que cela apportaient. Elle essayait doucement d'ordonner ses pensées sans admettre qu'elle était tout compte fait un peu perdue.

Lydia sourit doucement quand Alessandro s'approcha pour venir mordiller son oreille à nouveau, friande de cette attention, penchant sa tête doucement sous le souffle qui vient la chatouiller. Il la taquina gentiment en lui disant qu'elle semblait avoir du mal à se remettre de ses émotions. D'après lui, cela la rendait mignonne et sexy. Des mots qui la firent piquer un fard sans peine et elle le suspectait de savoir qu'elle le ferait vu le sourire que cela lui apporta. Elle l'observa attraper le raisin et lui en tendre. Absente, elle glissa un grain de raisin frais et juteux entre ses lèvres, observant en coin l'appétit d'Alessandro, ses mains, ses bras... chacun de ses gestes lui semblaient plus sensuels. Il était... à la fois différent de ce qu'elle aurait pu penser et pourtant... elle savait aussi que c'était aussi cela qu'elle avait espéré trouver chez lui. Il était juste... plus encore que ce qu'elle avait espéré. Pas seulement plus séduisant, plus douée et plus intéressé, non. Il était aussi plus tendre, plus attentif, plus... profond ? Elle ne savait pas bien comment l'expliquer, mais il était peu être plus sérieux et fiable encore qu'elle ne l'avait pressenti. Il était plus qu'une porte ouverte sur sa conscience et plus qu'un moment charnel intense et sensuel, il  semblait être désireux de voir ce qu'elle était incapable d'imaginer en elle.

Timidement, Lydia tendis la main vers la grappe de raison pour en attraper un grain et le tendre vers les lèvres d'Alessandro, dans un sourire qui cherchait un encouragement. Peut-être qu'il représentait un grain d'espoir pour elle. Elle ne savait pas bien. Elle s'avança sans desserrer le drap de sa poitrine pour venir l'embrasser légèrement au coin des lèvres. Elle n'était toujours pas sûre de pouvoir être à la hauteur de ce que lui voyait en elle, aujourd'hui ou même un jour. Mais c'était un baume sur certaines de ses plaies de penser qu'il penser cela. « Pardon d'être timide.. je.. j'ai beaucoup aimé...  » elle n'avait pas besoin de préciser quoi, elle était sûre qu'il le savait.
Elle lui jeta un coup d'oeil, observant ses traits, en appréciant la beauté sans mot dire. Et soudainement elle se figea. Réalisant brusquement l'heure qu'il devait être. Et là où elle aurait dû être. Dans un murmure terrorisée par cette réalité qui la rattrapait, Lydia mordit sa lèvre. «  Je dois rentrer. Si je ne suis pas à la maison quand il rentre, il va me tuer ! » C'était presque pas du sens figurer. Elle n'arrivait même pas à imaginer sa colère s'il remarquait son absence. il balançait dégage les assiettes pour les plats qui ne lui convenait pas et hurlait comme un fou quand elle arrivait tard du travail... Elle voulu glisser ses jambes hors du lit pour filer mais s'arrêta dans son élan. Elle était nue et ses vêtements... loin. Lydia rabattis le drap vers le bas de ses hanches relevés par son mouvement soudain. Perdue et paniquée, elle jeta un coup d'oeil à Alessandro. « ... Mes vêtements, ils sont... je.. peux défaire le drap pour aller les chercher ? » C'était ridicule, elle s'en rendait bien compte qu'il venait de passer de longues minutes contre elle sans rien entre leur deux corps, mais elle n'arrivait pas à sortir du lit et marcher sans vêtement au travers de la pièce... encore moins jusqu'au salon.
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Fév - 0:55


Alessandro se montrait doux et attentif envers la jeune femme. Après tout, il lui avait promis de nombreux souvenirs inoubliables et s’appliquait à faire de cette expérience quelque chose qui marquerait à jamais l’esprit de la jeune femme. C’était plaisant l’idée d’être le premier amant d’une femme, d’avoir été celui qui avait cueilli la pureté d’une jolie rose. Il s’amusait donc à la taquiner, ayant envie de dérider la situation, la rendre plus naturelle entre eux. Il connaissait son pouvoir sur la jeune femme et cherchait à la rendre d’autant plus fébrile et mignonne pour son action cocasse, ce qui ne manqua pas de se produire. Cela le fit sourire de façon spontanée tandis que les joues de la demoiselle se teintaient de rougeurs exquises à ses yeux. Il lui offrit de quoi se sustenter, lui faisant manger un grain de raisin tandis qu’il venait faire de même à en glissant un entre ses lèvres. Le gout sucré de ce dernier était succulent et juteux. Il le savoura avec plaisir tandis qu’il sentait la jeune femme attraper un grain pour le tendre à ses lèvres, comme lui-même venait de la faire. Il vint donc naturellement lui sourire, venant prendre ce grain entre ses lèvres pour la remercier. Elle l’embrassa au coin des lèvres et ce sourire se fit plus grand alors qu’elle s’excusait d’être timide, mais elle avait beaucoup aimé. « Ne le sois pas. » Répondit-il franchement dans un petit clin d’œil. « Cela te rend mignonne, ce n’est pas déplaisant… quoiqu’en femme sexy, tu l’es tout autant. Je suis ravi de te laisser un bon souvenir. »

Pourtant, malgré ses mots, le visage de Lydia s’était figé, comme frappée par une image violente qui la décontenançait. Elle se mordit la lèvre lui avouant qu’elle devait rentrer, car si elle n’était pas à la maison quand il rendrait, elle allait se faire tuer. Il ne savait pas si c’était une façon de parler ou si elle était sérieuse, mais cela l’alarmait résolument. Elle s’apprêta à quitter les draps, mais s’arrêta dans son élan. Par timidité, elle lui demanda si elle pouvait défaire le drap pour aller chercher ses vêtements. Il lui caressa les cheveux doucement en essayant de la calmer. « Calme-toi, d’accord ? » Murmura-t-il avec douceur alors qu’il ajoutait : « Prend le temps de prendre une douche, d’accord ? Durant ce temps, je vais aller chercher tes vêtements, d’accord ? » Il lui souriait doucement en caressant sa nuque. « Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer. Tu as qu’à lui dire que tu as passé quelques heures avec l’une ou l’un de tes amis. Il n’y aucune raison qu’il suspecte quoi que ce soit. Sois juste naturelle et tout va bien se passer. » Il lui indiqua donc la salle de bain, d’un mouvement de tête alors qu’il venait se relever pour rejoindre le salon. Il entreprit de ramasser l’ensemble des vêtements de la jeune femme avant de retourner dans sa chambre, pour entrebâiller la porte de la salle de bain et déposer les vêtements sur un petit meuble, non loin de la cabine où il pouvait entendre l’eau couler.

En temps normal, sans doute se serait-il amusé à la rejoindre pour la taquiner d’autant plus, mais indirectement sa panique soudaine lui faisait comprendre qu’il y avait vraiment quelque chose qui clochait dans le couple de la demoiselle. Il vint donc s’asseoir sur le rebord de son lit en venant manger de nouveau quelques grains de raisin le temps que la jeune femme ait fini de se laver. Le regard absent, son espièglerie semblait s’être envolée dès l’instant où il avait vu la panique dans les prunelles de la jeune femme. Il l’accueillit donc avec un doux sourire, se levant pour venir essuyer ses cheveux du bout de la serviette qu’elle tenait. « Un petit sortilège et tu aussi belle et propre que lorsque tu es arrivée, y’a quelques heures. » Il essayait une petite pointe d’humour alors qu’il venait se décaler pour l’accompagner jusqu’au salon où il vint se coller contre le dos d’un fauteuil, ne sachant pas trop comment réagir. Partait-elle sur-le-champ ? Attendait-elle quelque chose en particulier de sa part ? Il devait reconnaitre que son départ précipité le désorientait un peu. « À bientôt alors ? » Tenta-t-il dans une voix un peu mal assurée, ne sachant pas vraiment s’il la reverrait ou non, c’est pour cela qu’il ajouta. « En tout cas, je serai ravi de te revoir. » Des paroles sincères, qui laissaient le libre choix à la demoiselle de choisir si elle voulait le voir de nouveau ou non. Ce n’était pas lui qui tenait les rênes, cette fois-ci. C’était à Lydia de voir.
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MessageSujet: Re: Does that make me crazy ?    Does that make me crazy ?  - Page 2 Icon_minitimeDim 15 Fév - 16:47

La réalité lui revenait au visage, comme un boomerang, violemment. Malgré les paroles charmantes d'Alessandro qui contribuaient à la faire rougir, le stress avant envahit son esprit en même temps qu'elle reprenait contact avec la réalité. Elle avait trompé Roman. Pire, elle s'en sentait bien. Elle ignorait lequel des deux points le rendrait plus fou de colère si jamais il l'apprenait, mais elle était certaine d'une chose, si elle rentrait à la maison après lui, il rentrerait dans une colère folle. Plus encore que lorsqu'elle avait voulu partir au travail en jupe l'autre matin et bien plus que lorsqu'elle souhaitait se rapprocher de lui et qu'il ne le souhaitait pas.
Elle sentait que si Roman était rentré avant elle, il l'accuserait. Qu'importe de quoi, n'importe quoi jusqu'à trouver la vérité, le point sensible, celui qui la ferait trembler.

Malgré l'urgence de la situation, Lydia s'était arrêtée en cours de route, incapable de quitter le lit nue sous le regard de l'homme à côté d'elle. Elle devait se dépêcher et pourtant, c'était au-dessus de ces capacités que de s'exposer ainsi, ça n'avait rien de naturel pour elle. La main d'Alessandro la raccrocha un peu au présent, l'éloignant de ses inquiétudes et des scénarios possibles qu'elle se mettait en tête avec affolement. La voix empreinte de douceur, il lui demanda de se calmer. Il lui dit de prendre le temps de prendre une douche, il allait aller chercher ses vêtements pour elle. Sa main caressait sa nuque, tendrement. Il poursuivit, cherchant à la ramener à la raison, tout se passerait bien. Elle n'aurait qu'à lui dire qu'elle avait passé quelques heures avec une ou un de ses amis. Il n'y avait aucune raison pour qu'il ne suspecte quoi que ce soit. Elle avait juste à être naturelle et tout se passerait bien. Il lui indiqua la salle de bain et elle suivit son mouvement du regard pour apercevoir la porte désignée.
Vaguement elle hocha la tête, essayant d'écouter ce ton calme. Elle attendit qu'il est quitté la pièce pour se lever, et travers la pièce rapidement, sur la pointe des pieds, filant dans la salle de bain.

La jeune femme chercha à accrocher ses cheveux sur sa tête avant de réaliser qu'elle n'avait rien pour cela... Elle y renonça, ignorant qu'elle odeur ses cheveux pouvaient bien avoir, elle préféra les laver aussi. Lydia se glissa sous la douche, empruntant un petit savon à main posé sur l'évier dont le parfum devait être assez neutre. Sans prend la peine d'attendre que l'eau chauffe, elle se plaça sous les jets, les mains tremblantes.... Non dire qu'elle avait passé la soirée avec quelques amis ne conviendrait pas. Cela faisait bien longtemps qu'elle avait renoncé à passer des soirées avec des amis, Roman étant de nature trop jalouse. Il ne la croirait pas. Quelle folie elle venait de faire...
Rapidement, Lydia se savonna et se rinça, ne perdant pas trop de temps. Quand elle sortit, elle trouva une serviette pliée non loin de ses vêtements posés sur un petit meuble. Elle eut un petit sourire, Alessandro était gentil. Elle se sécha et enfila ses vêtements, quittant la salle de bain sans trop songer à son apparence, pressée à l'idée que Roman puisse être rentrer avant elle.

La vision d'Alessandro, toujours peu vêtu, assis sur le lit la fit s'arrêter un instant. Elle l'observa alors qu'il relevait son visage vers elle, souriant. Lydia pinça ses lèvres à cette vue, sentant à nouveau la rougeur revenir reprendre possession de ses pommettes. Il était bel homme, elle n'arrivait pas à le nier.  Mais son comportement lui plaisait plus encore alors qu'il venait près d'elle et essayait ses cheveux avec la serviette qu'elle avait oublié de reposer. Sourire aux lèvres, il dit qu'elle n'avait plus qu'à faire un petit sort pour être aussi belle et propre que lorsqu'elle était arrivée. Lydia essaya de sourire, mais cette remarque lui fit pourtant froncer les sourcils alors qu'elle réalisait un autre point qui serait plus que problématique à son retour. "Belle" comme le disait Alessandro et dans cette tenue, aucune chance que Roman ne passe à côté de ce détail. Pourquoi avait-il fallu qu'elle mette une tenue qui éveillerait la colère de Roman ? Elle connaissait la réponse à cette question, parce qu'elle voulait plaire à Alessandro... et plus encore parce... qu'elle en avait envie. Envie de se sentir jolie et que pouvoir l'être pour quelqu'un. Rien de cela ne serait acceptable au regard de son fiancé. Elle baissa les yeux, inquiète  à cette idée et se traitement mentalement d'idiote pour avoir écouté cette envie si stupide.

Elle murmura « Je vais laisser mon visage comme ça je crois, ça vaut mieux... » tandis qu'il la raccompagnait jusqu'au salon. Là, il s'appuya contre un fauteuil tandis qu'elle récupérait sa baguette posée sur la table basse. Elle jeta un coup d'oeil à son partenaire de ce soir, une boule de stress dans le creux de la gorge. C'était si étrange. Elle ne se reconnaissait pas, un peu perdue par le cours des choses. Elle avait aimé ce temps passé en sa présence, ce qu'il avait fait avec elle, elle ne pouvait se le cacher. Elle savait aussi qu'elle venait de briser son vœu de fidélité à Roman. Une part d'elle craignait sa colère et les répercussions... mais ses remords n'allaient pas vraiment plus loin et cela était étrange. Inquiétant.
Pour la première fois, le ton d'Alessandro fut différent celui qu'il employait habituellement. Lui qui d'habitude débordait d'assurance, c'est avec un peu d'hésitation qu'il lui demanda s'il la reverrait bientôt. Un peu précipitamment, il lui dit qu'il serait ravi de la revoir. Le cœur de Lydia s'affola. Une nouvelle fois elle se demanda ce qu'elle venait de faire ce soir. Elle risquait la colère de Roman pour quelque chose qu'elle ne regrettait pas. Mais qui était sans nul doute mal, moralement inacceptable. La voix tremblante, Lydia hésita avant de souffler « ... Je ne sais pas... Pardon... » C'était sincèrement également. Elle était déboussolée par l'hésitation d'Alessandro, tentée à l'idée de le revoir, tremblante de peur face aux possibles conséquences. Pour masquer son trouble autant que pour lui faire preuve de respect, Lydia s'inclina, le dos bien droit, pour le remercie sans un mot et recula vers la porte. Elle devait se dépêcher de rentrer. C'était la seule chose qu'elle pouvait affirmer à cet instant.

-Fin-
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