Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014
 

 (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeSam 18 Oct - 16:25


« Merci Monsieur, à la semaine prochaine » C’est sur ses mots répété trente fois de manière plus ou moins exacte que sa classe le quitta joyeusement comme le week-end s’offrait à eux.  Noah observa satisfait la classe se vider, sonnant à lui aussi la paresse et la détente de la fin de semaine, même si les samedis n’étaient jamais tout à fait dénués de travail, préparation de cours, correction de copie. Mais le vendredi soir offrait un peu plus de repos, l’idée d’un peu de décontraction était évidemment plaisante pour le professeur, autant que les élèves sans nul doute. C’est le cœur léger qu’il ferma donc sa classe, effaçant le tableau d’un coup de baguette magique. Il rejoignit son bureau pour y ranger ses affaires et y boire un café, s’installant derrière celui-ci sans même penser à travailler. Il se prélassait, jouant à se balancer sur les pieds de sa chaise. Il n’était pas impatient de rentrer dans son appartement vide et calme, où pour seule distraction, le clapotement des vagues fouettait la plage. Ici, les cours se poursuivaient encore, les couloirs grouillaient d’étudiant qui restait de toute façon sur le campus dans le week-end et qui n’était comme lui pas pressé de rentrer, il papotait autour du distributeur magique de boisson.  Il les entendait rire et discuter tandis qu’il lisait tranquillement, doutant qu’un élève ne vienne rompre sa tranquillité.

Son esprit se tourna naturellement vers la personne qui lui manquait, celle qu’il n’avait pas revue depuis qu’elle avait fait irruption devant sa porte, un peu pompette, terriblement envoutante. Jane lui manquait, son corps voluptueux, féminin, élégant, son parfum, ses caresses. Il avait envie de la revoir même si c’était difficile. Elle ‘était plus son étudiante, mais leur relation devait encore rester secrète, cachée, car il était encore si tôt que le scandale serait dangereux pour leur plan. Noah savait que la jeune fille en souffrait, ce qu’il pouvait supporter ardemment, semblait bien plus pesant pour elle. Il aurait souhaité la prendre avec lui dans cet appartement bien trop grand pour lui seul, un appartement qu’il concevait pour eux deux, mais qui restait encore vide. Il préférait autant rester là dans ce bureau ou l’absence de Jane se faisait un peu moins oppressante, ne se rappelait pas sans cesse à lui.

Ici, dans son bureau, même si à Sinseonghan elle avait mainte fois pris le risque de s’y présenter, ce n’était nullement la place de la demoiselle. Elle n’avait pas à fouler ce parquet, c’était son lieu de travail, un espace auquel elle n’appartenait pas comme il n’appartenait pas à la boutique où elle exerçait sa profession. C’était donc un peu plus supportable d’envisager son temps ici, de se détendre dans un endroit où son absence était tout à fait légitime. Ça ne l’empêchait pas de penser à elle bien entendu. Il ne pouvait cesser cela. Elle vivait toujours dans son esprit, demoiselle inscrite dans son cerveau depuis qu’il s’était rencontré, elle s’était marquée au fer rouge sur son âme. Il la savait unique dans sa vie, son alliée, sa compagne, mais une compagne dont il était physiquement lointain, mais sentimentalement si proche. Non, jamais ce n’était avoué, jamais ce n’avait dépassé ses lèvres que pour l’embrasser avec passion. Jamais plus qu’au travers de ses baisers, de leurs échanges luxuriants qu’ils s’offraient l’un à l’autre avec passion. Il la voulait, la désirait, plus que tout et avec elle voulait construire ce monde qui serait à leur image, un monde digne d’elle, digne de la rendre heureuse. C’était sans doute une idée folle, mais tout ce qu’il faisait, n’était ce pas que pour elle, pour rendre l’honneur de cette dame qui comptait tant pour lui. Sa présence auprès de ses élèves n’avait pas beaucoup d’autre sens après tout.

Il entendit frappé à sa porte et leva le regard de son livre surpris. Un élève qui venait le voir le vendredi soir, voilà une chose bien inédite. Les étudiants n’avaient plus l’esprit qu’au week-end et à la détente, à moins que ce ne soit un professeur. Il invita le mystérieux invité à entrer à haute voix, agréable. Un jeune homme blond ouvrit la porte, mais il ne le reconnut pas comme un de ses élèves. Il vint fixer son regard, surpris de le trouver là, sachant qui se cachait derrière ce déguisement corporel. Il sourit en se levant pour rejoindre le jeune homme qui fermait la porte derrière lui. Avant même qu’il n’eut le temps de reprendre sa forme originelle, Noah embrassa celle qui avait parcouru justement ses pensées.
“- Bonjour Jane ! Que fais-tu là ? Je ne m’attendais pas à te voir ici ?”

tenue : ici
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeSam 18 Oct - 19:57


Le coeur résolument tremblant dans sa poitrine, Jane avait mis un temps considérable pour se décider de venir en ses lieux. Il faut dire que la nouvelle qu’elle avait apprise dernièrement l’avait plongé dans un état d’esprit résolument difficile à définir. Elle ne savait pas quoi penser de tout cela, de ces émotions intenses et diverses qui la traversait de toute part. Elle se sentait à la fois heureuse et glorifiée et triste et pitoyable. Sensible, son cœur était envahi par ces émotions qu’elle ne maitrisait pas, pire qu’elle ne pouvait contenir. Cela la rendait incroyablement instable et elle devenait particulièrement à fleur de peau. Elle avait senti que quelque chose avait changé en elle, sans en comprendre réellement la raison. Elle avait supposé qu’elle se trouvait en manque de cet amant qui occupait ses pensées. Son cœur semblait être particulièrement dépendant de cet homme. Il se languissait de sa présence, du contact de son corps contre le sien. Cette addiction n’avait de cesse de s’accroitre au fil de leurs rencontres clandestines, malgré que cela créé une frustration qui ne semblait n’avoir de fin.

Son esprit savait que se tenir éloigné l’un de l’autre était la plus sage décision. Elle-même n’avait de cesse de garder les raisons en tête, mais son cœur semblait n’en avoir rien à faire. Il s’entêtait à la tourmenter de la sorte et l’avait fait faiblir, il y a près d’un mois. Elle inspira profondément à cette pensée, les souvenirs de cette nuit luxuriante, résolument passionnée et complice en compagnie de cet homme refaisant surface. Elle n’en avait pas oublié une miette tant elle avait été ravie de cet instant, de cette plénitude à ses côtés. Pourtant, aujourd’hui c’était pour une tout autre raison que ses pas l’avaient conduit jusqu’au lieu de travail de Noah. Sous les traits d’un jeune homme blond aux yeux bleus, cela faisait une heure qu’elle était assise sur ce banc. Elle voyait les étudiants passaient devant elle. Elle pouvait même apercevoir certains regards de jeunes femmes se poser avec intérêt sur elle. Elle devait reconnaitre que le physique qu’elle avait pris n’était pas désagréable à regarder. Une structure physique fine, mais avec une jolie musculature que les vêtements moulants qu’elle portait laissaient entrevoir. Elle regarda sa montre, une nouvelle heure était passée depuis son arrivée. Elle se mordit la lèvre, le regard troublé derrière ses lunettes.

Elle sentait ses mains trembler contre ses cuisses. Elle était tétanisée à l’idée d’aller à la rencontre de son amant, terrifiée par la réaction qu’il pourrait avoir lorsqu’elle lui avouerait tout cela. Elle était enceinte. De lui, bien entendu. Elle n’avait aucun doute sur la question. Il était son seul amant. De plus, elle avait réalisé un test de grossesse magique qui s’était avéré positif et qui lui avait indiqué qu’elle attendait une petite fille. Cette constatation l’avait plongé dans une panique totale et si elle était en mesure de se trouver là présentement, prête à avouer à Noah qu’ils attendaient un enfant, c’était grâce à Joaquin. Son ami l’avait pris longuement dans ses bras pour la rassurer, tenter de faire taire ses larmes de perler sur ses joues. Elle avait été tellement bouleversée par cette nouvelle, qui lui faisait vivre tant d’émotions si contradictoires. Elle inspira profondément, serrant ses poings masculins pour se donner du courage. Elle se leva finalement et prit la direction du bureau de Noah. Elle n’hésitait pas sur ce qu’elle voulait faire. Il était évident qu’elle considérait cet enfant comme un cadeau du siècle. Elle n’avait pas souhaité tomber enceinte, ni même devenir mère, mais savoir qu’elle portait le fruit de cette relation qu’elle chérissait tant avec cet homme, lui faisait prendre conscience qu’elle ne désirait nullement mettre un terme à sa grossesse. Elle avait songé à tous les scénarios possibles sur les réactions de Noah à cette nouvelle, mais sa décision restait la même. Elle était prête à assumer cet enfant en secret. Ils n’étaient pas obligés de s’afficher, mais elle espérait seulement qu’il ne lui en voudrait pas, qu’il ne prendrait pas cela comme un piège, une manipulation de sa part. Elle n’avait pas cherché cela, avait juste manqué de vigilance et voulait en assumer la conséquence.

Elle laissa ses pans la mener jusqu’au 4e étage où se trouvait le bureau de son amant. Elle avait pu repérer l’emplacement lorsqu’elle s’était rendue devant le plan de l’établissement. Elle n’était pas la seule dans cet étage, sans aucun doute que de nombreux cours devaient avoir encore lieu. Elle passa devant un groupe d’étudiants qui discuter devant une machine à café magique, beaucoup plus délicieux que ceux qu’on pouvait trouver dans le monde moldu. Elle arriva rapidement devant la porte du bureau, venant frapper à cette dernière rapidement pour ne pas paraitre suspecte. Il semblait être là, remarquant qu’il y avait de la lumière dans la pièce. Il la pria d’entrer et elle fut soulagée d’entendre sa voix. Elle pénétra donc dans le bureau du professeur sous les traits de ce jeune homme. Son regard rencontra celui de Noah, qui la reconnut immédiatement. Elle referma donc naturellement la porte derrière elle alors qu’elle le voyait lui sourire, se levant pour venir la rejoindre. Elle n’eut nullement le temps de reprendre sa forme originelle, ni même de s’exprimer qu’elle sentit les lèvres de Noah se poser contre ses lèvres. Des lèvres dont elle apprécia le contact alors qu’elle venait reprendre sa forme sous celles-ci. Sans doute que Noah devait plus apprécier celles-ci que celles de ce jeune homme dont elle avait volé l’apparence. Les vêtements plutôt classiques qu’elles portaient s’adaptèrent à sa stature assez similaire au jeune homme.

Il la salua, lui demandant ce qu’elle faisait là tant il ne s’attendait pas à la voir ici. Le sourire qu’il affichait la rassurait. Il n’était pas en colère de la voir aller à l’encontre des règles qu’ils s’étaient fixées et cela était résolument apaisant. Elle laissa son regard brillant d’émotion le fixer alors qu’elle venait l’embrasser du bout des lèvres. « Bonsoir Noah. J’avais envie de e voir. En fait, je devais absolument te parler de quelque chose. » Elle se pinça les lèvres alors qu’elle laissait sa main féminine caresser la peau douce de son amant. Elle laissa son autre main se glisser dans celle de Noah pour le mener jusqu’à son bureau. Elle l’invitait à la suivre alors qu’elle venait prendre appui sur ce dernier. Son sourire se ternit un peu alors qu’elle inspirait dans une voix faible, simplement audible pour eux deux : « Je ne sais pas par où commencer. À vrai dire, je me suis répétée ce discours mil fois dans ma tête depuis ce matin, mais je crois que les mieux, c’est que j’aille droit au but. » Elle se mordit la lèvre en le fixant. Ses prunelles brillaient d’émoi alors qu’elle sentait son cœur palpitait dans sa poitrine. « Je suis enceinte Noah… Ce n’était pas prémédité, ni quoi que ce soit. J’ai juste merdé un soir ou je ne sais quoi. Je crois que cette situation qu’on vit me pèse plus que je ne le voudrai… » Elle inspira profondément, poursuivant dans sa lancée

« Je sais que ça tombe au mauvais moment, mais je veux le garder Noah… Je veux garder cette petite fille. Je ne peux pas me résoudre à tuer le fruit de notre relation, l’enfant de l’homme que j’aime… Je suis heureuse de pouvoir porter ton enfant et je le désire. Je suis prête à l’assumer également. Je saurai rester discrète. Je peux réaliser un sort pour camoufler ma grossesse et Joaquin sera là pour veiller sur moi. Il est d’accord pour qu’on puisse préserver notre relation… Je ne veux pas t’embarquer dans cette histoire, par mon égoïsme, mais si tu pouvais au moins t’en réjouir autant que je le suis au fond de mon cœur, je suis prêt à tout surmonter, Noah. » Sa voix se trouvait tremblante et saccadée. Elle sentait son cœur trembler dans sa poitrine tant elle se trouvait fébrile. Elle n’avait de cesse de se mordre la lèvre, le regard brillant d’émotion. Elle sentait des larmes lui montaient aux yeux tant elle craignait sa réaction. Elle avait tant envie qu’il soit heureux de cette nouvelle malgré tout ce que cela impliquait. Elle avait gardé sa main dans la sienne, la caressant avec douceur. Elle voulait juste un signe, une action de sa part, quelque chose qui pourrait apaiser son stress. Elle le dévorait du regard, le cœur plus fébrile que jamais.

TENUE : 01.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeJeu 23 Oct - 23:51

Son allure n’avait guère d’importance tant elle lui manquait. Il s’était précipité sur elle, désirant retrouver sa présence, il n’avait besoin que de ses eux, que de la fixer pour savoir qui elle était, pour communier avec son âme. Il ne voyait pas le blondinet sur ce corps, mais les pensées qu’il savait à la jeune femme. Ses yeux ne voyait qu’elle, une image de son visage, il devinait un certain mal être, une crainte sans qu’il ne la comprenne, elle semblait stressé et son esprit perturbé. Ses lèvres retrouvèrent bien vite leur texture, leur forme et leur hauteur sous les siennes, des détails qui lui firent prendre conscience qu’elle avait repris sa forme initiale, celle de la femme qu’il aimait. Il se trouvait heureux de la revoir, le manque qu’il ressentait pour elle couvrait largement les risques emprunt en la recevant ici. Une petite inquiétude serrait son cœur toutefois comme elle semblait particulièrement peu confiante et assurée, comme tracassée par une pensée. Il ne dit rien, ne chercha pas même à découvrir dans son esprit la raison de ce trouble, souhaitant lui laisser l’opportunité de lui parler, et surtout, échanger ce doux baiser avec elle, l’apaiser tendrement.La jeune femme avait le regard brillant mais lui dit bonsoir, qu’elle avait envie de le voir et qu’il y avait quelque chose dont elle voulait absolument lui parler. Noah l’observa un peu surpris de ces paroles, inquiéter par son aire grave. Elle prit sa main en silence comme elle le menait vers le bureau sous e regard interrogateur et circonspect de Noah. Ce silence l’inquiétait autant que ses paroles, pourtant il ne chercha pas à s’immiscer dans son regard pour y violer ces paroles qu’elle voulait lui annoncer de ses lèvres. C’est donc la voix intriquée et peu rassuré, qu’il demanda à la jeune femme.

«Qu’est ce qui se passe, Jane ? Il s’est passé quelque chose de grave ? Dit moi tout ?»
Elle le mena à son bureau pur s’y appuyer, il l’imita, se plaçant à ses côtés, son esprit se préparant à des révélations de la jeune femme, son esprit pensant aux missions de la demoiselle. S’était-elle fait prendre par un de leur allié, était ce les rumeurs de The Raven sur leur relation qui l’effrayait mais il n’avait qu’évoqué des dossiers classé. Il craignait le pire, est ce que ça avait rapport à son travail, Colifata, qu’il lui avait conseillé de laisser s’approcher, avait-il dépasser des limites…Sans doute qu’il n’aurait alors qu’à le mettre hors d’état de nuire. Même si quelque chose était allé de travers, il suffisait de le remplacer, ou de trouver un plan B. Qu’est ce qui pouvait la rendre si fébrile. Elle dit qu’elle ne savait pas par où commencer, elle avait pourtant répété cela auparavant depuis ce matin, le mieux devait être d’aller droit au but. Il était d’accord avec ça, l’attente le frustrait, il souhaitait savoir, se croyant préparé au pire Il ne l’était pas, n’avait pas un instant songé à cette possibilité. Elle était enceinte. Dire qu’il ne l’avait pas envisagé était pas vrai, il y avait pensé bien sûr, mais pas maintenant, pas avant plusieurs années. Il vint la fixer, s’il n’était pas déjà semi assis, il serait tombé sur sa chaise de stupeur.

Ce n’était pas étonnant en soit, il pensait pourtant qu’elle se protéger, mais un accident, pouvait arriver. Elle savait que ça tombait au mauvais moment mais elle souhaitait le garder. Elle voulait cette petite fille. Elle ne pouvait se résoudre à tuer le fruit de leur amour, l’enfant de l’homme qu’elle aimait. Elle était heureuse de pouvoir porter sa fille et le désirait. Elle se sentait prête à l’assumer. Elle serait discrète, elle pourrait camoufler sa grossesse et Joaquin veillerait sur elle. Il était d’accord pour qu’il puisse garder leur relation. Elle ne voulait pas l’embarquer dans cette histoire mais s’il pouvait se réjouir de cette nouvelle autant qu’elle l’était au fond de son cœur. Elle était prête à tout surmonter.

Il ne s’attendait pas à ça ! Pour le coup, legilimancie ou non, il ne l’avait vraiment pas vu venir celle-là. Il ne doutait pas un seul instant qu’elle disait vrai, qu’il était le père, qu’elle voulait le garder. Elle semblait si désespérée et déterminée, elle avait déjà tout prévu le mettant au pied du mur en lui demandant de choisir entre la soutenir ou la laisser assumer seule cet enfant avec le soutien de Joaquin. Noah n’avait pas prévu cela et ce n’était pas une petite erreur, un petit décalage. C’était quelque chose d’énorme sur un plan de vie, d’ascension qu’il avait avec la jeune fille. C’était gros grand, trop important et bouleversant dans ce qu’ils avaient établi et construit ensemble tous les deux jusque-là. Noah l’observait, analysant cette folie que de devenir père de la fille de Jane. Bien sûr qu’il se sentait honoré et fier qu’elle porte son enfant et il ne souhaitait, rêvait nulle autre mère pour ses enfants qu’elle. Noah l’avait bien imaginé, un jour où ils vivraient serein sur le monde qu’ils auraient construit ensemble, de le regarder avec elle et un bébé dans ces bras. C’était une vision de rêve mais pour l’instant bien loin d’être acquise. Il se releva, soudain agité par cette révélation, tourna en rond devant elle, comme si marcher permettait de dégager son émoi. Il ignorait comment réagir, il ignorait que faire avec cette femme qu’il aimait certes, il était même loin d’être insensible face à son désarroi. Toutefois, accepter cet enfant, ou accepter la solution qu’elle proposait, ce n’était vraiment pas anodin. Elle venait l’oblige à changer de vie, d’une manière ou d’une autre. Qui ne s’en sentirait pas oppresser.

« - Depuis quand tu sais… pourquoi t’es pas venu m’en parler directement pour prendre cette décision. Je ne dis pas qu’on ne doit pas le garder, seulement, je suis un peu… époustouflé là… et tu me mets devant le fait accompli, me demande de choisir entre deux voies contraignantes, imprévues, bouleversantes qui ne nous aideront nullement à avancer. Ca va te bloquer, toi, avec un bébé, ce sera tellement plus compliqué …mais…sans toi ! » Non ce n’était pas une voie. Sans elle, ça n’avait plus vraiment de sens. Ce serait comme monter un spectacle à des spectateurs sans lumière. Elle était son centre de gravité, tout tournait autour d’elle. Elle lui était si précieuse. Noah avait soudain la sensation d’être un lion en cage, un qui voyait les barreaux se refermer.

« - Désolé…je ne te blâme pas, Jane. Je sais que tu n’as pas souhaité ça, que ça te tombe aussi dessus. Je ne suis pas en colère contre toi, Jane. »
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 24 Oct - 8:06


Elle savait ô combien cette nouvelle pouvait décontenancée. Elle l’avait été également quelques jours auparavant. Cette nouvelle n’était nulle anodine. Elle annonçait quelque chose d’abstrait et de nébuleux dans sa vie. Elle-même s’en sentait toujours particulièrement marquée, troublée par la réalité à laquelle elle renvoyait. Elle avait paniqué, avait pleuré de toute son âme pour tenter d’amoindrir ce chaos qui l’avait étreint si fortement. Notamment cette angoisse qu’elle sentait de nouveau l’envahir face à cet homme. Elle craignait tant sa réaction. Elle était le facteur principal de cette panique qui l’avait tourmenté à cette découverte. Elle avait si peur de le décevoir, qu’il ne lui en veuille d’avoir manqué de vigilance, de le piéger également. Elle avait conscience qu’en le mettant devant le fait accompli, elle lui offrait peu de champs d’action. Deux voies totalement différentes, sans un juste milieu. Elle n’aimait aucune des deux en réalité. Elle sentait cette boule au ventre s’intensifier lorsqu’elle songeait au message que ses mots avaient envoyé. Ce n’était pas vraiment des possibilités exhaustives, ils pouvaient en discuter, les modifier, les adapter en fonction de ce que Noah désirait. C’est juste elle qui avait besoin d’une ligne à suivre avant de prendre son courage à deux mains pour venir à lui. Elle n’en était pas moins rassurée. La réaction de Noah pouvait être à double tranchant et elle le savait.

Elle sentait sa main trembler doucement contre celle de Noah. Elle inspirait profondément pour tenter d’amoindrir les tremblements de son cœur. Elle sentait des larmes lui montaient aux yeux tant elle était pétrifiée par le silence qui s’installait dans le bureau. Elle puisait le courage en elle pour remonter son regard vers le sien. Elle le fixait avec attention, le regard brillant de ces larmes qu’elle n’autorisait pas à perler sur ses joues. Elle savait bien qu’il était décontenancé par cette nouvelle. Son silence l’angoissait même si elle le savait naturel. Elle le sentit se relever du bureau et rompre tout contact. Bien que chamboulée par cette action, elle le laissa faire, lâchant sa main qu’elle avait eue besoin de frôler, caresser pour amoindrir son trouble. Elle se mordit les lèvres, quand bien même son cœur battrait à tout rompre dans sa poitrine, stressé par l’image que Noah lui renvoyait. Il était agité, tourné en rond devant elle comme si cela lui permettait d’évacuer son émoi. Elle remarquait bien qu’il ne savait pas comment réagir. Elle ne pouvait que le comprendre, avait éprouvé la même chose que lui. Elle demeurait silencieuse, le souffle court alors qu’elle le sentait oppressé. Cela la tourmentait et l’effrayait d’autant plus.

Il finit par rompre le silence, lui demandant depuis quand elle le savait. Pourquoi n’était-elle pas venue lui en parler directement pour prendre cette décision ? Elle pouvait sentir dans sa voix qu’il s’agissait d’un reproche qu’il lui adressait et elle baissa les yeux, troublée et gênée. Elle inspira profondément en se mordant la lèvre, jouant avec ses phalanges pour les serrer contre les paumes de ses mains. Il ne disait pas qu’ils ne devaient pas la garder, seulement il était un peu époustouflé là et elle le mettait devant le fait accompli. Elle lui demandait de choisir entre deux voies contraignantes, imprévues, bouleversantes que ne les aideraient nullement à avancer. Cela allait la bloquer, d’autant plus elle avec un bébé, ça serait tellement plus compliqué. Elle savait tout cela, elle avait déjà songé à tout cela. Elle se mordit les lèvres, recevant les remarques de Noah comme des légères piqures de rappel sur les angoisses qui l’avaient envahi également. Elle le sentit légèrement hausser le ton, lui lança que sans elle… il ne vint nullement poursuivre ses mots. Il s’excusa dans un soupir. Il ne la blâmait pas. Il savait qu’elle n’avait pas souhaité cela, que ça lui tombait dessus également. Il n’était pas en colère contre elle. Jane sentait ses mains trembler doucement alors qu’elle inspirait profondément. Elle se pinça les lèvres, les humidifiant tant elle sentait sa gorge sèche. Elle sentait quelques sanglots se coincer dans sa gorge.

« Désolée, Noah… Je… Je ne voulais pas te mettre devant le fait accompli. Je suis terrifiée par tout cela. J’ai cruellement peur, Noah… » Souffla-t-elle alors qu’elle venait relever son regard vers le sien. Elle inspirait profondément en tentant d’amoindrir les battements effrénés de son cœur. « Je l’ai découvert hier soir… je suis venue dès que j’en ai eu le courage, Noah. J’avais peur… et j’ai toujours peur de ta réaction Noah. Je… je ne veux pas que tu te sentes piéger… ni quoi que ce soit… » Elle se pinça les lèvres. « Je suis tout aussi chamboulée que toi et c’était bien pire hier. Joaquin m’a aidé à accepter cette réalité et a juste cherché à m’aider. Je sais que c’est une décision que nous devons prendre ensemble… C’est juste que ça me semblait plus simple, moins angoissant de l’exposer de la sorte pour ne pas que tu sentes emprisonner... »

Elle inspira profondément pour tenter d’amoindrir ses tremblements, les palpitations de son cœur, en vain. « Noah… Je ne veux pas que tu sois déçu, ni que tu m’en veuilles… C’est juste que j’y aie réfléchi toute la nuit et ça me semblait être la meilleure solution… sans que tu ne te sentes contraint par tout cela… J’ai terriblement conscience que ce n’est pas le bon moment, que c’est encore trop tôt pour qu’on s’expose, mais… mais je ne peux pas me résoudre à tuer ton enfant… notre enfant. Elle commence à prendre vie en moi et je… je me sens honorée que ce soit moi. Je n’ai jamais cherché à le devenir, mais peut-être est-ce un signe ? » Elle se mordit la lèvre de nouveau alors qu’elle sentait ses mains devenir moites, tremblantes. « J’ai toujours pensé que notre rencontre était due au destin et pouvoir porter ta fille m’emplit de bonheur, Noah…Cela me suffit… c’est pour cela que je l’ai présenté de la sorte. Cela n’avait aucune intention de t’acculer, crois-moi, je t’en prie… »

Elle s’était levée pour venir poser ses mains sur celles de Noah. Elle vint naturellement se blottir contre Noah tant elle se sentait troublée et tremblante. Elle laissa son visage se nicher contre son torse alors qu’elle glissait ses bras autour de lui. Elle avait peur, tout simplement effrayée par tout cela. Au fond, elle avait besoin de lui, qu’il la soutienne, qu’il le désire également. Elle laissa une larme perler sur sa joue, qu’elle vint gouter quand elle vint s’échouer contre sa lèvre. Elle inspirait de façon forte pour tenter de calmer son angoisse et le bouleversement qui la tiraillait. Elle faisait de son mieux pour être forte.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 24 Oct - 17:57

C’était un réel coup de massue pour Noah, il ne s’était vraiment pas attendu à cette révélation. Le professeur était agité, tournait en rond dans le bureau pour dégager cette pression qui venait affoler son corps et son âme. Il était vraiment perturbé, vraiment effrayé par cette nouvelle qui bouleverserait leur vie, leur plan d’une manière radicale quoi qu’il en soit. Il y avait bien sur une voie qui leur empêcherait cette désorganisation de leurs vies. Ce fut la première chose qui lui avait traversé l’esprit parce qu’il ne voyait pas comment faire avec un enfant, parce qu’il avait beau avoir 30 ans, il n’était ni prêt, ni impatient d’avoir un descendant. Il pensait encore avoir quelques années devant eux pour préparer cette arrivée qui les ravirait tous les deux et enchanterait leur vie. Il savait que ça viendrait un jour avec elle. C’était leur destin et il avait mainte fois imaginé son avenir avec un petit garçon ou une petite fille dans les bras de celle qui était sa complice, sa plus précieuse amie et partenaire. S’il pouvait le reculer, sans doute s’en serait-il réjoui dans quelques années. Il y croyait oui. Sans doute après une longue discussion, un désir partagé par les deux amants qui vivrait ensemble, cette annonce aurait été plus que bienvenue. Il l’imaginait déjà bien sur, cet avenir familial avec elle, aussi étrange que ce puisse être. À présent c’était bien difficile, bien déstabilisant de s’imaginer avec une petite tête blonde quand ils ne vivaient pas encore ensemble, quand rien n’était prêt pour elle, pour eux. Jane sortait à peine des études, les rumeurs sur leur relation s’oubliaient, mais volerait au grand jour, indéniables avec ce bébé qui prenait vie en ses entrailles. C’était une menace pour leur couple, pour sa profession et sa vie, ce qu’il planifiait pour leur avenir.

Pourtant c’était son corps et elle venait de s’opposer à la seule solution censée aux yeux de Noah, celle qui serait sans doute la plus prudente aujourd’hui pour tous les deux. Elle lui imposait par sa propre volonté de renoncer à cette idée, une qui ne devait même pas traverser son esprit, ne pas être vue comme une option possible pour cette petite fille. Cette nouvelle le déboussolait terriblement, s’abattait sur lui comme un coup de feu, choquante, bien que naturelle et nullement malheureuse. Elle s’excusa de le mettre devant le fait accompli. Elle était terrifiée et avait cruellement peur. Elle l’avait découvert hier et était venue à lui quand elle en avait eu le courage. Elle avait peur de sa réaction, elle ne voulait pas qu’il se sente piégé. C’était assez loupé même s’il la savait tout autant chamboulée sans qu’elle n'est à lui rappeler par ses mots. Joaquin l’avait aidé à accepter et cherchait à l’aider. Elle savait que c’était une décision à prendre ensemble, mais ça lui semblait plus simple, moins angoissant de lui expliquer de la sorte pour qu’il ne se sente pas emprisonné. Elle ne voulait pas qu’il se sente emprisonné, qu’il lui en veuille. Ne lui avait il déjà pas dit que non ? Elle avait réfléchi toute la nuit et ça lui semblait la meilleure solution sans le contraindre. Elle avait conscience que ce n’était pas le bon moment, que c’était trop tôt pour qu’ils s’exposent seulement elle ne pouvait se résoudre à tuer son enfant. Elle renait vie en elle et elle se sentait honorée que ce soit elle, elle n’avait pas cherché à le devenir, mais c’était peut être un signe ? De quoi ? Il était évident qu’elle lui était destinée depuis longtemps, il n’y avait nul doute qu’il l’aurait porté au bout du monde, ce n’était que l’ordre des choses. Porter sa fille l’emplissait de bonheur et ça lui suffisait. C’est pour cela qu’elle l’avait présenté ainsi,non pas pour l’acculer. Elle le priait de le croire.

Elle vint se serrer contre lui, naturellement, venant demander sa tendresse, jouant de son affection à son intention. Noah ne bougea pas, ni ne la rejeta ni ne chercha à fuir son étreinte. Ce n’était sans doute pas l’intention de Jane, mais elle ne lui laissait pas vraiment de choix ou de marge de manœuvre. Elle le laissait avec son dilemme, une troisième alternative n’était nullement envisageable pour eux. Elle avait fait son choix et voulait l’assumer avec ou sans lui.

« Ce n’est pas encore une enfant Jane, ce n’est qu’un pois ! Mais il pourrait se révéler très lourd à l’avenir pour nous deux. Dis-moi quelle fierté pourrais-tu tirer de porter mon enfant si c’est pour le présenter comme l’enfant d’un autre ? Je ne comprends vraiment pas comment tu oses penser à une telle chose ! Crois-tu que j’ai envie de voir ma fille se voir accoler le nom d’un autre ? Ou de laisser son éducation à un autre ! Non que je ne te fasse pas confiance, ça n’a rien à voir avec ça. Tu me dis que tu veux garder cet enfant… Soit, gardons-le ! Je ne t’en veux pas Jane, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. Toutefois, tu ne sembles pas me laisser pas beaucoup de choix si ce n’est qu’on l’accueil ensemble et d’organiser ces 9 mois pour l’accueillir sans risque pour nous. » Il passa ses bras autour d’elle. Sans doute ne se montrait il pas extrêmement enthousiaste à cette idée, mais il vint avec tendresse caresser les cheveux de Jane. C’était à dix mille lieux de ses attentes, il n’était pas préparé du tout à ce qu’un bébé leur arrive.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 24 Oct - 21:42


Jane ne savait pas quoi penser de tout cela. L’entrevue ne se passait pas vraiment comme elle l’avait imaginé. À vrai dire s’y était-elle réellement appliquée à le faire ? Du moins dans les grandes lignes ? Forcément, mais elle n’avait jamais réfléchi à ce qu’il pourrait lui répondre. Son esprit restait fermé à cela. Elle était pétrifiée à l’idée d’entendre sa réaction. Il avait beau lui dire qu’il ne lui en voulait pas… elle savait, sentait que ce n’était pas vraiment le cas. Elle pouvait le percevoir dans son regard, son comportement. Il était froid et peu réceptif. Il était évident qu’il était vraiment chamboulé par ce qu’elle venait de lui avouer. Elle le comprenait. Elle avait été dans le même état durant des heures. Elle avait tenté de lui exprimer son raisonnement, ce qui l’avait mené à adopter cette posture, ce discours. Elle avait eu besoin de savoir où elle allait avant de venir vers lui. Elle avait juste eu peur de perdre ses moyens face à lui. Cette pensée lui était insupportable d’autant plus qu’elle se savait très sensible à ses mots. Elle avait toujours peur de faire face au Noah qu’il montrait aux autres. C’était si pire crainte, le cauchemar qui la hantait tant. Elle avait la sensation de le vivre.

Elle n’était pas habituée à ce qu’il se montre aussi « ferme » et « froid », « détaché » presque. Pourtant, elle le sentait rigide contre elle. Elle avait eu besoin de se réfugier dans ses bras. Un besoin inconditionnel qu’elle avait. Elle avait besoin de le sentir contre elle, de profiter de sa tendresse, de son affection. Aujourd’hui, il semblait trop préoccupé, chamboulé, taciturne pour le faire. Cela l’attristait dans une certaine mesure. Une larme s’était invitée sur sa joue. Elle était loin d’être sûre d’elle. Elle tremblait littéralement, sa respiration se faisant forte. Elle avait peur de ce qu’il allait répondre à tout cela. Elle faisait de son mieux pour rester forte, mais elle sentait son angoisse lui tordre les entrailles. Noah n’opéra aucun mouvement d’acceptation ou de refus à son étreinte, restant résolument neutre et détaché. Cela ne l’aidait pas à se calmer et la voix qui s’extirpa des lèvres de son amant et compagnon ne se fit pas plus clémente. Ce n’était pas encore un enfant, ce n’était qu’un pois. Un pois qui pourrait se révéler très lourd à l’avenir pour eux deux.
La froideur et la colère silencieuse qu’elle percevait au travers de ces mots la firent tressaillir de tout son long. Il lui demandait de lui dire quelle fierté pourrait-elle retirer de porter son enfant si c’est pour le présenter comme l’enfant d’un autre ? Il ne comprenait vraiment pas comment osait-elle penser à une chose pareille ! Croyait-elle qu’il avait envie que sa fille se voit accoler le nom d’un autre ou de laisser son éducation à un autre ? Elle n’avait jamais dit cela. Elle ne l’avait même pas envisagé. Ces mots lui firent ouvrir grands les yeux. Elle était chamboulée par ce qu’il venait de soulever dans ses paroles. Quoi qu’il en soit vu qu’elle lui disait qu’elle voulait garder l’enfant, alors soit ils le garderaient. Inconsciemment ces trois petits mots lui comprimèrent le cœur. Son expression se blêmit alors qu’elle sentait le bout de ses phalanges trembler contre le tissu du haut de Noah. Son regard était brillant, profondément touché par les mots qu’il prononçait. Il ne lui en voulait pas, mais il était flagrant que cela ne lui convenait pas. Pire : cela le mettait en colère. De toute façon elle ne lui laissait pas beaucoup de choix si ce n’est qu’ils l’accueillent ensemble et organise ses 9 mois pour l’accueillir sans risque pour eux.

La froideur de ses mots en comparaison de ses gestes la déstabilisait totalement. Elle avait senti les bras de Noah se nouer derrière elle pour venir caresser tendrement ses cheveux. Jane garda le silence à ses mots. Elle ne savait quoi répondre. Son esprit était désarçonné et son cœur se trouvait déçu. Malgré elle, elle n’aimait pas l’impression qui se dégageait de ces mots. Elle comprenait qu’il soit sous le choc, mais elle n’était pas habituée qu’il réagisse de cette manière avec elle. Elle baissa le regard alors qu’elle sentait ses prunelles trembler tout comme ses membres. Cela n’avait pas de sens. S’il n’en voulait vraiment pas, et c’était l’impression que ses mots renvoyaient, elle ne pouvait n’en être que blessée. Elle ne s’était pas attendue à une expansion de joie. Elle était la mieux placée pour savoir ô combien cela allait chambouler leur vie. Seulement, il donnait l’expression de ne ressentir aucune émotion à ce sujet. Une réaction en totale inéquation avec celle qu’elle avait pu avoir, qu’elle éprouvait à cet instant. Elle inspira profondément en tentant d’amoindrir sa fébrilité, en vain.

Elle se mordait la lèvre pour amoindrir son désir de pleurer. Elle sentait son émoi à son paroxysme. Cela faisait trop d’éléments à prendre en compte, à gérer. Elle ne voulait pas de ces mots. C’était sans doute égoïste de sa part, mais son cœur ne pouvait tolérer ce comportement. Elle s’éloigna de lui en se retirant de ses bras doucement. Elle laissa ses pas l’éloigner de lui, retrouver sa place initiale alors qu’elle croisait ses bras en dessous de sa poitrine. Elle n’osa pas relever son regard vers lui. Elle n’en avait pas la force. Elle voulait mettre de l’ordre dans ses idées, mais ce n’était pas si simple. « Cela n’a pas de sens, si tu ne la désires pas Noah… » Lâcha-t-elle dans une voix un peu éteinte, déçue. « Je… Je ne m’attendais pas que tu sautes de joie… ni même que tu te sens prêt pour tout cela. Je comprends que tu sois chamboulé… Tu dis que tu n’es pas en colère… mais tu l’es… et tu donnes la sensation que ça te laisse totalement indifférent, pire que tu n’en veux pas… Je sais ce que cette décision sous-entend, Noah… Je sais que ça ne va pas être simple, mais ne crois pas que je comptais laisser cet enfant porter un autre nom que le tien ou le mien... » Soupira-t-elle dans une voix éteinte et faible, saccadée.

« Quand je disais que Joaquin me soutiendrait… Je voulais dire qu’il était prêt à me soutenir psychologiquement, être présent du mieux qu’il le peut durant ma grossesse, mais ce que j’ai vraiment besoin : c’est toi. Cela a toujours été et sera toujours toi, Noah… Mais si tu n’en veux pas… Si c’est vraiment le cas… » Sa voix trembla à cette pensée. Non, elle ne pourrait pas se résoudre à tuer ce bout de vie qui prenait forme en elle. Elle serrait ses bras tremblant plus fermement alors qu’elle soufflait dans une petite voix. « Peut-être devrions-nous nous laisser un peu de temps pour réfléchir à tout cela ? Peut-être ferais-je mieux de te laisser, nous laisser du temps pour réfléchir en paix à tout cela ? » Elle le regarda doucement en relevant son regard. Elle ne changerait pas d’avis. Même si Noah ne la désirait pas, même si cela n’avait pas de sens, elle s’était préparée psychologiquement à devenir mère. Seulement elle pouvait comprendre que Noah n’en était pas là. Elle lui avait lancé une véritable bombe et elle savait pertinemment que ce n’était pas simple.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeSam 25 Oct - 10:54

Ce n’était pas simple accepter cette annonce qu’on allait devenir père, c’était hallucinant, choquant. Il se trouvait chambouler par cette annonce et c’est sans doute ce qui venait expliquer cette brusquerie qu’il montrait rarement à Jane. Comme une barrière de protection à ses sentiment qui se mêlait et s’éclatait l’une contre l’autre, la peur, l’inquiétude, l’effarement, le stress, voir même un peu de fierté et de bonheur, paré contre la révolte , la désillusion irréalisée. C’était très conflictuel en son sein, un combat qui avait évidemment porté à son visage une expression neutre et un ton froid, mais une vive agitation.

Il n’avait pas été tendre, dévoilant l’homme qu’il était naturellement, loin de celui qui prenait soin de Jane, loin de l’amant, de l’homme passionné et attendri qu’elle avait l’habitude de côtoyer. Il se montrait à elle comme il était avec tous venant brusquement poser ses questions, celle qui se posait dans ce genre de situation, dans ce qu’il avait compris. Pourtant, aussi crues fussent ses paroles, il était tout à fait honnête avec la fille et les mots qui sortirent de ses lèvres n’exprimèrent rien d’autre que sa volonté. C’est pourquoi il l’avait prise dans se bras, l’avait serré tendrement contre lui.

Toutefois, ce mouvement tendre vers elle, il la vit le refuser, s’éloignant de lui pour retourner à sa place initiale sur le bureau, le regard vitreux, elle quitta son étreinte. Elle dit que cela n’avait pas de sens, s’il ne la désirait pas. Il ne pensait pas avoir dit cela. Elle était déçue et elle lui assura qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’il saute de joie, ou qu’il se sente près, elle comprenait qu’il soit chamboulé. Il disait qu’il n’était pas en colère, mais il l’était, elle le savait. Il donnait l’impression que ça le laissait complètement indifférent et qu’il n’en voulait pas, ce qui était pire à l’entendre. Elle savait ce que sous-entendait cette décision. Elle savait que ce ne serait pas simple, mais il ne devait pas croire qu’elle le laisserait porté un autre nom que le sien, ou celui qu’elle portait. Elle le fixait. Elle lui expliqua que quand elle disait que Joaquin le soutiendrait, elle voulait dire psychologiquement, qu’il serait présent pendant sa grossesse.

Ce qu’elle voulait vraiment, ce dont elle avait vraiment besoin c’était lui. Cela avait toujours été et serait toujours lui. Noah se mordit la lèvre en la regardant. Il avait sans doute eu tort, sans doute déformer ses paroles, ou leur sens à cause de sa fébrilité suite à cette annonce qui le rendait à fleur de peau même s’il n’en laissait rien paraitre. Que Joaquin vienne si vite dans la discussion l’avait froissé, tout comme cette exclusion qu’elle était prête à adopter, s’il n’en voulait pas. Elle semblait somme toute persuadée. S’il n’en voulait pas insista t’elle, si c’était vraiment le cas... Sa phrase resta en suspend, il entendit sa voix tremblée, le voyait se refermer sur elle-même, serrant ses bras sous sa poitrine. Elle prit un peu de temps avant de lui dire qu’ils devraient se laisser un peu de temps pour réfléchir à tout cela. Peut être ferait elle mieux de le laisser, le laissait réfléchir à tout cela en paix.

Noah la fixa, la trouvant résolument troublée, ses paroles le troublèrent, mais plus que tout, ce fut sa froideur, son refus de cette tendresse qu’il lui offrait, un câlin qu’elle était venue chercher. Mais surtout il se rendait compte qu’elle l’avait mal compris, sans doute, comme lui-même l’avait fait. Cette annonce était déboussolant, s réaction à vif n’avait pu qu’être confuse et empreinte de tout ce qui se passait dans son esprit, dans son cœur. Ce n’était rien de rationnel, d’ailleurs, ses phrases s’étaient elles organisées en un discours cohérent. Ce n’avait pas été le cas, il avait tenté de lui faire passer un message qu’elle n’avait nullement saisi… mais il s’y était aussi vraiment mal pris pour s’exprimer, sans doute l’avait-il blessé sans réellement s’en rendre compte, inconsciemment juste parce que le choc avait renforcé sa froideur. Pourtant, quand il lui avait dit qu’il voulait garder cet enfant, il n’y avait plus eu de doute dans son esprit. Quand ces mots étaient sortis de sa bouche, c’est comme si ses questions sur ce qu’il devait faire l’avaient quitté, c’était non seulement la voie qu’il devait prendre, mais aussi celle qu’il voulait. Il s’approcha d’elle. Il vint se masser la nuque relativement mal à l’aise, désolé de la blessée de cette manière. Il se mordit les lèvres.

« — Jane ! Je me suis mal exprimé ! Cette nouvelle est chamboulante, troublante et j’étais top sidéré pour réagir de façon correcte. J’ai mal compris ce que tu avais insinué parce que, hum, tu sais que je n’apprécie pas beaucoup Joaquin, alors qu’il vienne sur le tapis pour mon enfant m’a vexé, rendu jaloux et frustré. Ce n’est pas anodin et il y avait bien trop de chocs et de multitude de sentiments pour que je t’en exprime. Ce n’était pas de l’indifférence ! » Il posa ses mains sur ses épaules venant caresser ses épaules en douceur, les frotter tendrement en glissant doucement le long de ses bras avec tendresse.

« — Tu te trompes, Jane. J’ai toujours rêvé que tu sois la mère de mon enfant. J’ai maintes fois imaginé notre avenir avec un bébé dans tes bras. Je ne l’attendis pas si tôt mais quand je dis qu’on le garde, je signifie vraiment que je veux le garder. Évidemment la possibilité de ne pas avoir cette petite m’est venue à l’esprit, ce fut ma première réaction pour éviter tout changement, même si tu m’avais dit que tu voulais la garder. Je l’ai considéré comme une alternative un instant. Mais je respecte ton choix. Maintenant, si j’avais voulu réfléchir, je t’aurais demandé du temps pour réfléchir Jane ! Tu me connais assez pour savoir cela. Je ne t’aurais pas dit cela sans le vouloir, le désirer. C’est tout réfléchi Jane ! » Il lui sourit doucement avant de l’attirer contre lui pour la serrer dans ses bras et la câliner avec tendresse, la forçant dans cette étreinte avec douceur et délicatesse.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeSam 25 Oct - 18:06


Sans doute se trouvait-elle à fleur de peau également ? Elle devait reconnaitre que son angoisse la mener à sauter à des conclusions hâtives sans que cela ne soit justifié. Elle en prenait plus ou moins conscience et s’efforçait donc de reprendre ses esprits. Du moins, du mieux qu’elle pouvait. Ce n’était pas simple. La froideur des paroles de Noah, le ton brusque qu’il avait employé la perturbait profondément. Elle n’était pas habituée à ce comportement. Quand bien même avait-elle coutume de le voir agir avec les autres, qu’il le fasse avec elle, la blessait. Elle aurait voulu être capable de passer au-dessus, de penser sincèrement que c’était sous le coup de la surprise, le fait qu’il soit chamboulé par cette nouvelle, qui le faisait agir de cette manière. Une voix malheureusement l’amenait à suivre un tout autre cheminement que cette logique qu’elle aurait dû avoir. Ils avaient du mal à se comprendre. Elle le percevait et s’efforçait de garder son calme. Pourtant l’émoi qui la traversait à cet instant était puissant et profond. Elle pouvait sentir son cœur palpiter et se sentir si oppressée dans sa poitrine. Ses doigts tremblaient contre ses bras sur lesquels ils s’étaient rabattus. Elle avait adopté une position de défense tant elle se trouvait confinée et emprisonnée par les pensées lugubres qui l’étreignaient si fortement.

Cela la rendait particulièrement fébrile et inconstante. Elle n’aimait pas le voir ainsi, le savoir en colère également. Le fait de le savoir si froid avec elle était une torture pour son cœur. Elle avait envie d’être dans ses bras, mais elle ne voulait pas d’une étreinte froide et inhospitalière. Elle avait donc expliqué son geste, se contenta de lui exprimer de façon posée ce qu’elle ressentait, ce qu’elle pensait comprendre au travers de ses mots. Sans doute l’attaquait-elle sans s’en rendre compte ? Elle ne pouvait le réfuter. Elle était tout aussi chamboulée qu’il ne pouvait l’être. Peut-être que s’ils s’accordaient-ils un peu de temps pour réfléchir, elle parviendrait, du moins parviendraient-ils à avoir les idées plus claires à ce sujet ? Elle se mordit les lèvres en inspirant profondément pour tenter d’atténuer les battements de son cœur, en vain. Elle avait bien perçu que ses paroles avaient atteins son amant. Elle avait bien remarqué qu’il s’était mordu la lèvre en la regardant. Il se trouvait troublé, tout aussi désarçonner qu’elle ne pouvait l’être. Ils demeurèrent silencieux quelques instants. Jane n’avait de cesse de l’observer avec insistance et fébrilité. Elle tentait de le sonder, d’appréhender sa réponse. Elle déglutit difficilement en essayant de réguler le rythme de sa respiration.

Elle le vit s’approcher d’elle, massant sa nuque relativement mal à l’aise. Il semblait gêné et se mordillait les lèvres. Il prononça son prénom, lui informant qu’il s’était mal exprimé. Cette nouvelle le chamboulait, était troublante et il était trop sidéré pour réagir de façon cohérente. Elle pouvait le comprendre. Elle avait elle-même était particulièrement désarçonnée par celle-ci lorsque son test de grossesse s’était avéré positif. Son regard se troubla alors qu’elle venait à son tour se mordiller la lèvre, fébrile. Il lui avouait qu’il avait mal compris ce qu’elle avait insinué parce qu’il n’avait pas apprécié que Joaquin — du moins supposait-il qu’elle savait qu’il n’aimait pas beaucoup Joaquin — vienne sur le tapis pour son enfant l’avait vexé, rendu jaloux et frustré. Ce n’était pas anodin et il y avait bien trop de chocs et de multitude de sentiments pour qu’il lui en exprime. Seulement ce n’était pas de l’indifférence. Elle le fixa avec intensité, le regard brillant de légères larmes qu’elle s’efforça de contenir. Elle sentit son échine frissonner au contact des mains de Noah sur ses épaules. Celles-ci caressaient sa peau, les frottant tendrement pour glisser sur le long de ses bras. Elle préférait cette douceur à la précédente. Son cœur se trouvait troublé alors qu’il lui murmurait qu’elle se trompait. Il avait toujours rêvé qu’elle soit la mère de son enfant. Il avait à mainte reprise imaginé leur avenir avec un bébé dans ses bras. Il ne l’attendait pas si tôt, mais quand il disait qu’ils le gardent, il le pensait vraiment.

Évidemment la possibilité de ne pas avoir cette petite avait traversé son esprit, cela avait été sa première réaction pour éviter tout changement dans leur vie et même si elle avait dit qu’elle voulait la garder, il avait considéré cette alternative. Mais il respectait son choix. De plus, s’il avait voulu réfléchir, il lui aurait demandé du temps pour le faire. Elle devait le connaitre assez pour savoir cela. Il ne lui aurait pas dit cela sans le vouloir, ni ne le désirait. C’était tout réfléchi. Il est vrai qu’au fond d’elle-même, elle aurait du avoir cette réponse, mais elle était bien trop bouleversée pour agir de façon très cohérente. Elle pouvait sentir son émotion s’accroitre dans ses entrailles. Il le désirait également, il le voulait et c’était une décision irrévocable ? Elle sentit quelques larmes s’abattre contre ses joues alors qu’il venait l’attirait contre lui pour la serrer dans ses bras, la câliner avec douceur. Elle se laissa faire, entrainer dans la volupté de ses bras bien plus accueillants qu’auparavant. Elle laissa son visage retrouver la texture du haut de Noah, savourant l’odeur qui s’en dégager alors qu’elle glissait à son tour ses bras autour de lui. Elle laissa ses phalanges retrouver la texture de son gilet, s’y accrochant tendrement alors qu’elle fermait ses paupières pour profiter de cette chaleur. Elle pouvait sentir son cœur battre promptement dans sa poitrine, si submergée par les émotions qui la traversaient.

Elle se serra fortement contre lui, le corps légèrement tremblant. Elle se remettait de ses émotions difficilement. Elle sentait la tension retomber soudainement et cela la troublait particulièrement. « Je crois… qu’on est tous les deux déconcertés par cette nouvelle. J’ai sans doute manqué de jugement, mais… » Elle avait murmuré cela contre ses pectoraux, sa petite taille lui donnant peu la possibilité de le regarder droit dans les yeux dans cette position. « Je suis toujours pétrifiée à l’idée de te décevoir, mais je suis heureuse de pouvoir porter son enfant, Noah. J’en ai toujours rêvé, même si je ne le pensais pas si tôt. Je sais que c’est égoïste et ce que tout cela implique, mais peut être que ça peut bien se passer, que personne ne fera le rapprochement entre notre relation et notre passé commun. Après tout, nous sommes dans une nouvelle ville… et peu de monde nous connait. Concernant The Raven, il semble avoir des retours négatifs de la part de tout le monde, il déforme la réalité. Peut-être qu’on pourra facilement endormir les gens à ce sujet. Après tout, il n’y a rien de mal à notre relation… Du moins, je pense que la situation est gérable. Il suffira juste d’être prudent, le temps de tout planifier ? » Elle inspira profondément alors qu’elle venait embrasser dans de doux baisers la peau de la clavicule qui se présentait à ses yeux. « Je veux vraiment pouvoir dire que cet enfant est le tien… c’est mon souhait, Noah… tout comme d’être à toi... » Elle laissa ses doigts enserrer d’autant plus le tissu du gilet de son amant alors qu’elle venait se hisser sur la pointe de ses pieds pour embrasser sa nuque dans un doux baiser, humant délicieusement l’odeur exquise de son parfum qui savait apaiser son profond trouble, bien que son angoisse semblait s’amoindrir, remplacer par une émotion plus positive, additive.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeLun 27 Oct - 14:31

Comme il aimait la serrer dans ses bras, il sentait avec soulagement son petit corps collé au sien, se laissant enveloppé par la tendresse du professeur qui venait de passer ses bras autour de son corps frêle comme pour lui assurer que ses instants de doute et de discorde avaient bien pris fin.Le choc et la surprise de l’annonce s’étaient un peu dissipés quoiqu’il ne réalisa pas encore l’ampleur de celle-ci. Il était chamboulé, mais décidé et voulait redonner le sourire à celle qui se trouvait là sous son étreinte tendre. Il se mordit les lèvres comme brilla une larme sur la joue de son amoureuse. Il la sentit s’agripper à lui et trembloter contre lui. Il caressa son dos, tout aussi ému qu’elle, tout aussi troublé, le cœur aux abois et tentait malgré tout de la consoler à présent que la tension retombait entre eux. Une tension qui n’aurait jamais du naitre, lié seulement à la fébrilité dans laquelle il se trouvait tous deux face à cet imprévu de taille qu’était le futur arrivé d’un bébé. Elle remarqua qu’il était tous deux déconcerté par la nouvelle, ce fut le moins qu’on puisse dire elle devait avoir manquée de jugement, seulement elle était pétrifiée à l’idée de e décevoir, mais se trouvait heureuse de porter son enfant. Elle en avait toujours rêvé sans l’attendre aussi tôt. Elle savait que c’était égoïste, elle savait ce que cela impliquait, mais elle pensait que ça pouvait bien se passer. Sans doute personne ne ferait le rapprochement entre leur relation et leur passé. Ils étaient dans une nouvelle ville et peu de monde les connaissait. The Raven recevait des retours négatifs de tout le monde, il déforme la réalité, peut être que s’il trouvait pour eux, il pourrait toujours endormir les gens. Il n’y avait plus rien de mal à leur relation et elle pensait que la situation était gérable. Il suffirait d’être prudent et de tout planifier.

Elle embrassa sa clavicule doucement. Elle voulait pouvoir dire que cet enfant était le sien, tout comme elle voulait être avec lui, c’était ses souhaits, et il se trouvait partagé par Noah. Il pencha la tête sur le côté, légèrement comme elle lui embrassait le cou avec douceur tandis que lui vint couvrir de baisers sa tempe, soit à peu près tout ce qu’il parvenait à atteindre dans cette position contre elle, mais tendre. Son cœur battait encore promptement, emporté par l’énergie de la surprise, du reproche et du bouleversement. Il glissa sa main dans sa nuque, derrière sa tête pour venir l’embrasser, une nouvelle fois, retrouver ces lèvres un peu plus. Il savoura leur gout avec passion et tendresse. Il en éprouvait tant pour cette femme qui allait devenir la mère de son enfant, de sa future petite fille.

« — Ne pleure pas Jane, ne pleure pas. Je rêve aussi que tu sois la mère de cette enfant, et je suis heureux que ce soit toi, plus que tout autre. Tu as sans doute raison. On ne fait rien de mal à présent. Il y a eu une enquête du ministère américain et je suppose, notre amitié depuis qu’on est à l’école, sans doute qu’on pourra facilement couvrir cette période, surtout s’ils sont rapportés par des sources aussi peu fiables que The Raven. Oui, ça peut bien se passer. Il va falloir, maitriser notre image prochainement… on peut faire confiance à Joaquin ? » La question sous jacente était plutôt te sera-t-il fidèle quoiqu’il advienne ? Il savait cet amant cruellement attaché à Jane, mais la blessure qu’il vivrait de la voir revenir à lui, pourrait en faire une de leur plus grande faiblesse, car lui savait tout, depuis longtemps bien sûr, mais… il ne pouvait pas se permettre d’en faire un ennemi, même s’il avait bien du mal à être aimable à son égard. Jane maintenait cette relation, devait s’assurer de sa fidélité, même s’il avait l’air d’accepter leur situation relativement bien. Il pouvait les mettre en danger s’il se retournait contre eux. Noah la câlinait, son esprit s’était comme remis en marche, comme si i avait été sur pause deux minutes et que les idées e neurone se remettait à fuser soudainement.

« — Il y a dans mes classes environ neuf élèves qui m’ont connu comme enseignant ailleurs, et à l’université je dirais, oh peut être une classe, et ce n’étaient que des rumeurs ! » Il lui sourit doucement, ça lui semblait réalisable, faisable, loin d’être facile, gagner, mais en faisant attention, en préparant cette arrivé, pour eux et aux mondes, sans doute que cette affaire ne ferait pas tant d’émoi, peut être le couple ne risquerait rien. Il embrassa Jane une nouvelle fois avec passion et tendresse la câlinant tendrement contre lui, ses doigts sur sa nuque la maintenant à ses lèvres pour échanger le plus passionné des baisers avec la jeune demoiselle. Il savoura en quelques instants ses lèvres rosées et coquines, sucrée et attrayante. Il se trouvait heureux de se joindre à ses lèvres, d’embrasser sa peau et de la nouvelle encore un peu turbulente, peu assimilée de sa future paternité. Il était si fier d’être avec elle, d’avoir fait ça avec elle et de la découvrir comme la future mère de ses enfants. Elle qui semblait aussi ne demander que cela.

« — Pardonne-moi Jane, d’avoir hausser la voix contre toi, comme tu l’as dit, nous étions tous deux déconcertés par cette nouvelle, et mon esprit n’était pas clair et incapable de réfléchir correctement, mais nous allons pouvoir planifier tout cela. Toi et moi, nous avons l’habitude, on a connu des périodes bien plus difficiles, bien plus noires. Avoir un enfant… ce devrait que bien se passer. Je n’avais pas les idées claires encore. »

Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMar 28 Oct - 18:34


La tension retombait délicatement sur eux. Après des minutes d’incompréhension et de fébrilité mutuelle, elle était ravie de pouvoir retrouver l’échine de son amant. Cette figure rassurante et tendre était salvatrice et bienveillante. Elle se trouvait en totale opposition de celle que Noah lui avait montrée au cours de la soirée. Elle avait manqué de jugement. Du moins, l’impression de l’indifférence et de la froideur de Noah l’avait effrayée. Elle se savait sensible en ce moment. Un peu trop pour son bien, sans doute. Elle avait extrapolée ses mots en les analysants sous un regard anxieux, craintif. Elle les avait pris au sens premier du terme en omettant, et ce dans une certaine mesure, que Noah se trouvait dans un état de déconcertement profond. Cette annonce ne pouvait laisser insensible, même s’il lui en avait donné l’impression, il avait fini par lui avouer le fond de ses pensées, de façon plus posée. Elle préférait cela. Elle se sentait bien plus confiante dans ce cocon bienveillant et tendre dont l’échine de son amant et complice de toujours l’enveloppait à cet instant. Elle pouvait sentir son cœur s’apaiser, cette boule au ventre s’amoindrir pour lui permettre de lui dire les gens de façon plus rassurée. Elle profitait de cette étreinte envoutante et bienfaitrice. Elle se sentait si bien contre lui, l’odeur de son parfum enivrant ses sens. Ses actions avaient perdues toute angoisse.

Elle agissait comme elle l’avait toujours fait, plus confiante qu’à son arrivée. Elle sentait les commissures de Noah baigner sa tempe de baisers papillon. Des touchers délicats qui lui prouvaient, que cette « mauvaise » passe avait été dépassée, qu’ils se trouvaient de nouveau sur la même longueur d’onde. Cela rassurait son cœur qui s’était tant serré dans sa poitrine. Celui-ci adoptait une cadence plus folle, moins tourmentée. La sensation qu’il renvoyait se trouvait bien plus plaisante que la précédente. Elle savourait celle-ci, s’enivrant de cette douceur inaltérable dont il la couvrait. Sa peau frissonna doucement au passage des doigts de son amant contre sa nuque. Dans un mouvement doux, il vint porter son visage à ses lèvres pour l’embrasser. Un baiser doux et délicat, merveilleux qu’elle savoura avec émotion. Elle sentait les lèvres de Noah gouter celles-ci avec passion et tendresse alors qu’elle y répondait avec le même attrait. Il la priait de ne pas pleurer. Sa voix se faisait douce, plus bienveillante encore qu’auparavant. Il lui avouait qu’il rêvait aussi qu’elle soit la mère de cet enfant, qu’il était heureux que se soit elle, plus qu’aucune autre femme sur terre. Il lui donnait raison. Ils ne faisaient rien de mal à présent. Ils n’étaient plus liés par un quelconque lien d’autorité. Elle était devenue une femme, qui travaillait, tout comme une autre. Il n’y avait rien d’étrange à ce qu’elle finisse avec un ancien professeur. L’amour ne se maitrisait pas, même si aucun d’être eux n’avait jamais mit ce terme sur ce qu’ils ressentaient. A part elle, ce soir.

Elle le regardait avec fébrilité, admirant son expression et la douceur qui s’en dégageait. Elle se pinçait les lèvres en le dévorant du regard. Il lui murmurait qu’il y avait eu une enquête du ministère américain et il supposait, que leur amitié depuis qu’ils étaient à l’école, ils pourraient facilement couvrir cette période, surtout s’ils sont rapportés par des sources aussi peu fiables que « The Raven ». Elle hocha la tête doucement. Oui, il n’y avait rein de surprenant à ce qu’ils soient si proche. Ils s’étaient rapprochés dès sa première année à Salem. Il l’avait prit sur son aile et une amitié était naturellement née. Nul n’en avait douté durant les années d’études de son compagnon. C’est lorsqu’il était devenu professeur qu’ils avaient dû prendre un peu de distance aux yeux des autres, d’autant plus lorsqu’elle avait atteint cette majorité qui changeait le regard des yeux. Elle avait bien remarqué les regards de ses camarades de classe, les sous entendus éloquents qu’ils susurraient sur son passage. Pourtant nulle personne n’avait pu remarquer dans leur comportement, un fait, un geste qui puisse trahir du franchissement de cette frontière qu’il aurait pu y avoir entre un ami et un amant. Seulement, cette pression sociale trop omniprésente, les avait contraints à s’éloigner l’un de l’autre, durant près de quatre ans. Quatre années longues et frustrantes, qui avaient rendu leurs retrouvailles trop passionnées et qui avaient éveillées les soupçons de nouveau. Seulement, ils en étaient là, l’un face à l’autre, sur un pied d’égalité. Ils allaient juste devoir maitriser leur image, mais comment ? Elle-même l’ignorait. Il lui demanda s’ils pouvaient faire confiance à Joaquin et c’est dans une voix claire et directe qu’elle avait soufflé. « Oui. On peut lui faire confiance ! Il ne m’a jamais trahi et je sais qu’il éprouve une profonde affection pour moi. Il me l’a montré à de nombreuses reprises et même s’il est encore un peu amoureux de moi, je sens que son regard va de l’avant… Au pire des cas, il suffit de lui lancer un sortilège d’amnésie, mais je suis persuadée que ça ne sera pas nécessaire. J’ai confiance en lui. »

Elle pesait bien ses mots comme toujours. Noah saurait au travers de ceux-ci qu’il n’y avait aucune crainte à avoir du côté de l’Hispanique. Elle savait la relation complexe entre les deux jeunes hommes. Ce qu’elle comprenait, connaissant les liens profonds qui les liaient à elle. Elle profitait de l’étreinte qu’il lui offrait, y répondant avec la même douceur, toute aussi concentrée qu’il ne pouvait l’être. Il lui murmurait qu’il y avait dans ses classes une dizaine d’élèves qui l’avaient connu comme enseignant ailleurs, et à l’université, il dirait peut être une classe, mais ce n’était que des rumeurs. Ce n’était pas un nombre conséquent, songea-t-elle en répondant à son sourire. Il n’y avait pas de sérieuses raisons de s’inquiéter, s’ils préparaient leur mise à vue convenablement. Il semblait tout aussi confiant qu’elle. Cela semblait réalisable, faisable, bien que loin d’être facile à gagner, mais avec prudence, en préparant cette arrivée, peut être qu’ils ne risqueraient rien. Elle se laissa donc embrasser une nouvelle fois avec passion et tendresse, savourant la texture si envoutante de ses commissures contre les siennes. Elle se sentait si bien contre lui, ses lèvres qui dévoraient les siennes avec tant de douceur et d’amour.

Elle se sentait enfin bien contre lui, parfaitement protégée et heureuse. Elle avait naturellement glisse sa main dans sa nuque également pour profiter de ce contact bienveillant. Elle caressait sa nuque avec douceur, résolument câline alors qu’il lui demandait de lui pardonner d’avoir hausser la voix contre lui. Comme elle l’avait dit et il le redisait, ils étaient tous les deux déconcertés par cette nouvelle et son esprit n’était pas clair et incapable réfléchir correctement, mais ils allaient pouvoir planifier tout cela. Elle et lui, ils avaient l’habitude. Ils avaient connu des périodes bien plus difficiles et plus noires. Alors avoir un enfant, ça devrait que bien se passer. Elle le croyait également. Désormais, plus sereine, elle lui avait déjà pardonné sa brusquerie et sa froideur. Elle n’avait pas vraiment besoin de lui pardonner. Elle comprenait sa réaction et vint le rassurer en venant l’embrasser doucement.

« Tu n’as rien à te faire pardonner. J’ai été toute aussi maladroite, mais je suis ravie qu’on appréhende la situation sous le même angle. Je suis sure que si on prépare cela, petit à petit, tout ira bien. Comme tu l’as dis, on ne fait rien de mal. Tu ne serais pas le premier professeur à sortir avec une ancienne étudiante… et même si notre passé commun peut nous jouer des tours. Nous étions des amis depuis toujours. De plus, nous n’avons jamais manqué de vigilance et tout ce que peut avoir « The Raven » et les autres, ce sont juste des suppositions, des rumeurs. Puis, il n’y a aucune raison que ça remonte à la direction de cette université. Je n’ai jamais été élève, ici. Les problèmes de déontologie peuvent sans doute être écartés. Personne ne donne de réel crédit à « The Raven ». Il est très difficile de décerner le vrai du faux. C’est pour cela que je ne le considère pas comme une véritable menace avec du recul. Colifata n’est pas devenu plus méfiant envers moi… Bien au contraire, il me croit incapable d’être cette femme qu’il a dépeinte avec si peu de classe, d’ailleurs. » Son expression se fit plus ronchonne avant qu’elle ne vienne lui sourire doucement en venant murmurer. « A nous désormais de voir, comment nous allons procéder pour s’exposer aux yeux des autres. La meilleure façon est de faire les choses doucement, mais naturellement, comme si on n’avait rien à cacher, ni même à se reprocher ? Qu’en penses-tu ? C’est la meilleure façon pour paraitre comme un couple légitime, comme les autres. » Elle se mordit les lèvres tendrement en le regardant de ses prunelles troublées. Elle lui souriait, quelque peu ravie par le message que soulevait ses mots alors qu’elle venait l’embrasser doucement. A voir si c’était la meilleure des solutions.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMar 28 Oct - 20:32

Il n‘y était pas vraiment préparé, mais sans doute que cet enfant serait de bon augure pour leur couple, sans doute que ses craintes étaient infondées et que tout irait bien pour eux. Mieux encore c’était sans doute une réelle opportunité de précipiter un peu les choses, tout en faisant bien sûr attention à ce que ce ne le semble nullement aux yeux de monde. C’était peut être leur chance à tous les deux, une chance de se dévoiler comme un couple et de s’installer dans cette vie qu’il avait déjà imaginée, mais bien plus tard. Il la serrait contre lui, son esprit retrouvant son calme, réfléchissant à ce nouvel avenir qui se dessinait devant eux et surtout à l’organisation de ses prochains mois pour que celui-ci soit parfaitement accueilli et naturel dans leur histoire de couple, sans éveiller le moindre soupçon et surtout en faisant oublier ses rumeurs qui avaient tant circulé sur leur compte. Il voulait endormir l’opinion publique. Elle avait soulevé justement que Raven ne serait pas écouté, car il semblait toujours complètement décrédibiliser toutes informations, d’ailleurs cette rumeur infâme qu’il avait fait circuler sur Jane en était bien une preuve. Il sembla presque aussitôt assez clair à Noah qu’il fallait bien qu’ils y apparaissent là-dedans pour détourner les esprits. Ça réduisait le nombre de leur menace à quelques anciens élèves ou il avait été professeur, soit une poignée de jeune. Il ne se méfiait que de Joaquin parmi eux, même s’il était le plus proche de Jane, c’est pourquoi il lui avait demandé si on pouvait lui faire confiance. Elle considérait que oui. L’Hispanique ne l’avait jamais trahi et il éprouvait une réelle affection pour elle.

Il lui avait montré à de nombreuses reprises et il allait de l’avant à présent tout en restant un peu amoureux d’elle. Au pire, il suffirait e lui lancer un sort d’Amnésie, toutefois elle était persuadée que ce ne serait pas nécessaire. Elle avait confiance en lui. Noah approuva d’un signe de tête.
Son cœur s’en apaisait, tout comme son regard et le ton de sa voix. Il se montrait beaucoup plus calme et tendre à Jane, proche de celui qu’il était auprès d’elle, qu’il ne montrait bien qu’à elle. Il sentait dans ce câlin qu’elle échangeait avec lui, qu’elle aussi se détendait à ses cotés, décryptait dans son comportement que le bien-être de ses bras la gagnait elle aussi. Il ne désirait pas la faire pleurer, l’acculer de la sorte. Elle semblait plus sereine, bien que Noah savait que le travail de panification serait essentiel pour ôter tout tracas de son esprit. Elle l’embrassa comme pour lui pardonner sa froideur, son attitude brusque envers elle.

Il n’avait rien à se faire pardonné selon elle. Elle aussi avait été maladroite seulement elle était ravie qu’ils appréhendent la situation sous le même angle à présent. Elle était sûre que s’il préparait cela, petit à petit, tout irait bien. Il ne faisait rien de mal. Ce ne serait pas le premier professeur à sortit avec une ancienne étudiante, si leur passé pouvait leur jouer des tours, ils étaient amis depuis toujours. Ils n’avaient jamais manqué de vigilance, ce n’était rien que des rumeurs qui circulait sur eux, rien de sérieux. Ce ne devrait pas remonter à la direction de cette université ou elle n’avait jamais été étudiante, la déontologie devrait y être écarté ainsi. Raven n’était pas vraiment une menace avec le recul, Monsieur Colifata n’était pas devenu plus méfiant envers elle depuis cet article, au contraire, il la pensait incapable d’être cette femme qu’il a dépeinte avec si peu de classe. Il était vrai que Raven avait bien souillé l’image de Jane en alignant son venin sur elle, pourtant elle ne semblait pas avoir aux yeux des gens cette image dépravée qu’il lui avait conférée suite à cet odieux article. Elle se renfrogna à se souvenir avant de lui sourire à nouveau pour murmurer que c’était à eux à présent de voir comment ils allaient s’exposer aux yeux des autres. Sans doute la meilleure façon était elle de faire avancer les choses doucement, mais naturellement, comme s’ils n’avaient rien à cacher ou à se reprocher. Qu’en pensait-il ? Ça lui semblait à elle la meilleure façon pour paraitre comme un couple légitime comme les autres. Un nouveau sourire marqua le visage de Jane, un baiser doux s’empara de ses lèvres. Noah vint lui répondre avec passion, l’embrassant, la dévorant des lèvres tendrement, la serrant contre lui, sa main rejoignant doucement sa nuque pour la maintenir contre lui dans un baiser si langoureux, passionné et habité par son émoi. Il l’aimait tant, elle le séduisait tant et il commençait à se réjouir de cet avenir qui se dessinait face à eux. Il lui sourit doucement, tout contre ses lèvres avec une grande tendresse. Contre elle, il murmura avec tendresse.

« — Je vois que toi et moi, on est toujours autant sur la même longueur d’onde ! je pensais à la même chose que toi ! Je pense que l’on devra juste montrer une relation simple et naturelle, évoluer peu à peu aux regards des autres d’ici l’arrivée du bébé pour que ça ne choque personne, que ça semble une histoire banale. Plus j’y réfléchis et plus ça me semble tout à fait possible de construire quelque chose qui se tienne. Ça me rassure quand à l’arrivée de cette petite fille et à notre sécurité. Il y a après tout un avantage considérable… d’ici quelque mois, 9 au plus tard, on pourra vivre ensemble, tous les deux, mais pour l’instant, on a juste à jouer et montrer un couple qui commence à flirter. Ça me semble tout à fait possible de faire ça.Après tout, on n’a jamais eu l’habitude de nous exposer… même sortir de la relation amicale en pleine rue et au regard de tous sera nouveau pour nous. »

Il câlina Jane avec douceur en revenant l’embrasser pour l’apaiser plus encore, caressant son dos tendrement, respirant son parfum avec tendresse. Il glissa une main sur son ventre, remonta vers sa poitrine délicieuse, sans vraiment chercher son émoi, plus pour ressentir ses formes délicieuses qu’il aimait tant parcourir. Jane lui était si importante, si essentielle.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMer 29 Oct - 0:08


Elle était confiante. Du moins, elle s’efforçait de l’être tant son cœur se trouvait emballé par les sous-entendus que ses mots révélés. Elle allait pouvoir vivre sa relation avec Noah au grand jour. Cela exultait ses sens, la rendant incroyablement heureuse et sereine. Ses angoisses précédentes s’étaient amoindries pour disparaitre, remplacées par des pensées bien plus positives qui lui miroitaient un futur qu’elle avait tant espéré vivre un jour. Cela allait devenir réalité et cela la réjouissait au plus profond de son cœur. Elle se mordait donc les lèvres en le regardant de ses prunelles troublées, envahies par ce bonheur qui s’immisçait dans ses veines. Elle avait envie de l’embrasser, de le sentir tout contre elle, son cœur battant de façon envoutante dans sa poitrine tant elle était ravie. Elle n’hésita pas à le faire, s’accaparant ces lèvres qu’elle chérissait si fortement. Des comparses au gout enchanteur qui savaient tant l’ébranler alors qu’elle s’approchait de cet homme pour profiter de sa chaleur. Elle laissait sa menotte glisser contre son bras, rejoindre son épaule, sa nuque pour approfondir son baiser. Elle savourait le contact de ces commissures contre les siennes, leur réponse muette à ses baisers. Il lui répondait avec passion, dévorant ses lèvres, avec tout autant de tendresse qu’elle le faisait. Elle le sentait passer son bras autour de sa hanche pour la serrer contre lui, sa menotte rejoignant sa nuque pour la maintenir contre lui.

Jane se laissait aller à ce baiser, sentant son cœur s’endiabler dans sa poitrine. Elle s’enivrait de ce contact, de ce baiser langoureux, passionné et emprunt d’un émoi bienveillant qui lui offrait la sensation qu’il validait ses propos. Elle n’avait nul besoin de mots, elle le sentait dans cette réponse muette à son baiser, cette passion dont il la couvrait si obligeamment. Une tendresse qu’elle chérissait promptement et qu’elle pouvait lire dans son regard comme dans son expression. Il la dévorait du regard, ses lèvres près des siennes, reprenant leurs souffles doucement. Il lui avoua qu’il voyait qu’ils étaient toujours autant sur la même longueur d’onde. Il pensait à la même chose, qu’ils devraient juste montrer une relation simple et naturelle, évoluer peu à peu aux regardes des autres d’ici l’arrivé du bébé pour que ça ne choque personne, qui ça semble être une histoire banale. Comme si leur relation pouvait être une banale histoire comme les autres. Plus il y réfléchissait, plus cela lui semblait tout à fait possible de construire quelque chose qui se tienne. Cela le rassurait quant à l’arrivée de cette petite fille et de leur sécurité. Il y avait après tout un avantage considérable, d’ici quelques mois, ils pourraient vivre ensemble. Cette remarque ne pouvait que lui plaire, son regard s’intensifiant tant elle semblait s’exalter à cette idée.

Noah semblait l’attendre tout autant qu’elle avait pu en rêver, mais pour l’instant, il avait juste besoin de jouer et montrer un couple qui commence à flirter. Cela lui semblait tout à fait possible de faire ça. Après tout, ils n’avaient jamais eu l’habitude de s’exposer, même sortir de la relation amicale en pleine rue et au regard de tous, tout cela serait nouveau pour eux. Elle hochait la tête d’un air entendu, savourant l’étreinte de Noah avec bonheur tout comme ce baiser qu’il venait lui voler. Retrouver la chaleur de ces commissures était enchanteur et merveilleux. Elle frissonnait sous le contact de sa main contre son dos. Elle savourait cette proximité avec son amant, cherchant ce toucher qui savait tant la rendre folle. Ce n’était plus qu’une question de temps. Elle commençait doucement à s’en rendre compte et cela exaltait ses sens. Elle avait hâte de pouvoir lui appartenir réellement et elle s’enivrait de ses douces étreintes qu’elle partageait avec son amant. Elle sentait sa main glisser sur son ventre, remontant délicatement vers sa poitrine, la frôlant avec douceur. Elle frissonna à ce contact, sa chair résolument réceptive à cette action de son amant. Cela éveillait en elle, une ambition de se serrer contre lui, lui appartenir, concrétiser ce bonheur par le seul langage qu’ils utilisaient sans aucun tabou : leurs corps. Elle laissa ses mains glisser sur la mâchoire de Noah pour caresser ses traits tandis qu’elle s’éloignait des lèvres de son amant en déposant des milliers de baisers papillon.

Son regard se trouvait brillant, résolument animé par ce bonheur qui l’étreignait doucement. « J’ai hâte de pouvoir expérimenter tout cela. Cela sera nouveau pour nous et je suis sure que ces expériences seront particulièrement enrichissantes à vivre avec toi ! » Elle vint rire doucement contre ses lèvres alors qu’elle venait murmurer dans une voix coquine, mais résolument complice. « Je pense même qu’il sera même utile de nous découvrir sous un angle plus intime comme lors de notre première fois. Après tout, ça sera officiellement “notre première fois”. » Elle vint sourire narquoisement, le regard brillant de douceur et d’affection alors qu’elle l’invitait à rejoindre le canapé de son bureau pour les faire s’y asseoir, venant l’embrasser de façon frivole et tendre, comme s’il s’agissait de leur premier baiser. Un baiser dont elle souvenait de la texture, de l’émoi et du bonheur qu’il avait suscités en elle. Elle ne pouvait oublier ô combien elle s’était sentie bien contre ses commissures masculines et ses bras protecteurs. Elle laissa ses doigts caresser sa mâchoire avec sensualité et douceur alors qu’elle murmurait avec douceur contre ses lèvres. « Si mes souvenirs sont bons, notre premier baiser était aussi léger et doux que celui-ci… »

Elle laissa sa phrase en suspens alors qu’elle sentait Noah la rapprochait de lui, laissant ses mains glisser sur ses hanches pour réduire la distance entre leurs deux corps. « Et je crois même que je t’ai demandé de continuer… » Murmura-t-elle contre ses lèvres alors qu’elle sentait sa poitrine nue sous le tissu de son débardeur retrouver celle de son amant alors qu’il venait l’embrasser de façon plus passionnée, à la façon de ce baiser qu’elle était venue lui réclamer. Un baiser auquel elle répondit avec la même passion en venant glisser ses doigts dans la chevelure de son amant. Elle pouvait senti son cœur battre promptement dans sa poitrine alors qu’une de ses mains se mouvoir avec douceur et sensualité sur la clavicule de son compagnon pour rejoindre sa chemise. Elle sentait cette enivrante chaleur embraser de nouveau son corps. Elle ne pouvait l’éviter. Elle éprouvait une telle dépendance pour l’échine de Noah, qu’elle ne pouvait qu’avoir envie de lui. Elle était folle de lui et son cœur s’exaltait tant elle sentait qu’un nouvel avenir s’offrait à eux.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 31 Oct - 1:12

Il était revenu l’embrasser après toutes les émotions qui avait orné cette discussion, leur dernier baiser semblait loin et oublié tant la nouvelle qui s’était immiscée entre semblait avoir arrêté le temps. Du choc, du chamboulement, il commençait à se relever un peu, admettant l’idée qu’il allait être le père de son enfant. Noah y trouvait quelque peu de bonheur et de fierté, que Jane porte sa future fille. L’homme trouvait dans ce baiser une toute nouvelle saveur. Son amante n’avait pas changé depuis un quart d’heure ! Non, bien sûr que non ! Toutefois, pour Noah quelque chose avait changé en elle, i y avait une nouvelle présence, un pois au creux de son ventre qui bien qu’anodin et discret pour l’instant, deviendrait d’ici une petite dizaine de mois leur nourrisson. C’est avec enchantement qu’il retrouvait ses lèvres sur lequel il s’abattait avec tendresse et douceur, savourant leur gout sucré et agréable sous ses papilles avec beaucoup d’envie. Quelque part, même s’il s’était toujours senti légitime à ses côtés, sans aucun doute, ce nouvel événement marquait plus encore son rôle auprès d‘elle, sa place et il appréciait cela et le ressentait au travers de ses lèvres. Ça le rendait puissant, le cœur plus fébrile et puissant et en même temps, il sentait ce désir pour cette femme le rattraper à vive allure sans crier gare.
 
Ses lèvres lui manquaient toujours autant, retrouver leur douceur et surtout retrouver leur propriétaire enchantait Noah. Elle lui manquait, mais il semblait à présent que cela s’apaiserait, qu’il pourrait se voir à présent plus souvent, qu’il pourrait la retrouver à nouveau très régulièrement. Il pourrait avancer régulièrement pour s’installer ensemble d’ici quelques mois et assouvir enfin le besoin d’être avec elle jour après jour. Il avait hâte de ce jour. Il pourrait après toutes ses années enfin pouvoir s’afficher ensemble, être ensemble aux yeux de tous et non plus les simples amis qu’on voyait en eux. C’est naturellement qu’il vint caresser son ventre et sa poitrine, sa main profitant de ces formes qu’il appréciait tant, les tâtant impunément. Il sentit sa main caresser sa mâchoire et il sourit doucement en la sentant venir déposer nombre de baisers papillon. Le regard joyeux, il l’observait faire sans se reculer, un sourire résolument conquis marquant ses lèvres avec douceur. Elle avait hâte de pouvoir expérimenter tout cela avec lui. Cela serait nouveau pour eux et elle était sure que ces expériences seraient très enrichissantes à vivre avec lui. Elle rit doucement, un rire qui lui valut un regard terriblement amoureux de Noah. Elle rit contre ses lèvres avant de poursuivre d’une voix toute coquine. Elle pensait qu’il serait utile de se découvrir sous un angle plus intime comme lors de leur première fois. Après tout ce serait officiellement leur première fois. Très officiellement, car c’était très loin de l’être, ils en avaient eu plusieurs même première fois depuis lors. Son regard brillait doucement au-dessus de son sourire narquois. Comme elle l’accompagnait vers le canapé où ils s’assirent tous les deux. Dans ce mouvement et comprenant l’intention de sa charmante compagne, il s’assit sous sa demande muette comprenant ou elle voulait en venir et l’embrassa tendrement, sans insister vraiment, frêle et frivole, amusé comme s’il s’agissait d’un premier baiser.

Il se trouvait heureux, délicieusement envouté par ces doux baisers qu’ils échangeaient, semblable à cette première fois où il l’avait recueilli chez lui quand elle avait 16 ans. Ça avait été doux et plein d’émoi, une chaleur et une découverte un peu maladroits, mais qu’il l’avait vraiment marqué et enchanté. Ça avait été sa première victoire et leurs premiers frissons de bonheur à tout deux. Il se souvenait de sa peau trempée qu’il avait voulu réchauffer. Il se souvenait de ses battements de cœur, du regard et de la fébrilité de Jane, de la sienne propre. Ca n’avait pas été sa première fois avec une demoiselle, mais ça avait été une fois merveilleux, un moment d’intimité chamboulant. Il la serra dans ses bras, sentant ses doigts contre sa mâchoire, doux. Elle murmura que d’après ses souvenirs, leur premier baiser était aussi léger et doux que celui-ci. Il glissa tendrement ses hanches, sourire aux lèvres en la rapprochant de lui pour qu’elle se colle un peu plus à lui. Elle murmura avoir même demandé de continuer et celui-ci ne se gêna pas pour revenir l’embrasser avec un peu plus de passion. Noah caressait ses hanches et son dos, la maintenant fermement contre lui. Il sentit ses doigts passer dans sa chevelure avec douceur tandis que l’autre rejoignit son col et sa clavicule. Son cœur battait promptement sous ses doigts terriblement envoutés par cette vision de Jane, par ses gestes si évocateurs. Elle lui plaisait tant, le faisant tant rêver. Il se sentait réellement attiré, aimanté par elle.
 
« — Quel dommage que je ne t’aie pas retrouvé trempée jusqu’aux os comme ce soir-là, tu étais vraiment sensuelle cette fois-là, tes cheveux mouillés, tes vêtements trempés, moulants et quasiment transparents. Tu portais des vêtements d’homme, comme aujourd’hui, sauf que c’était ma chemise, trop grande pour toi, c’était sexy. Tu me rendais fou ! C’est toujours un peu le cas. » Il sourit doucement en venant embrasser ses lèvres furtivement. « En tout cas, je ne veux pas prendre le risque de nous faire interrompre comme cette nuit-là. Tu es adorable jalouse, mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée que je sois vu ainsi par l’un de mes élèves. »

Il sortit sa baguette pour jeter un sort sur la porte, la fermant à clé avant de la laisser tomber au sol sans plus de cas. Il reporta sa main qu’il vint glisser ses doigts sur la ceinture de la demoiselle tout en l’embrassant avec tendresse. Il défit celle-ci sans grand empressement, son autre main caressant son dos avec tendresse, ses doigt coquin désirait glisser dessous, découvrir cette poitrine libre, mais il se contenter de relever timidement et du bout des doigts ce haut en coton, terriblement attiré par ses formes et cette peau toujours aussi blanche. Elle était belle, pure, même enceinte, même encore. Il la trouvait parfaite.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 31 Oct - 14:03


La texture de ses lèvres l’envoutait terriblement. Elles avaient un pouvoir hypnotique sur elle. Elle ressentait pour Noah, une véritable attirance, passion qu’elle ne maitrisait que difficile. Elle était attirée tel un aimant à lui, désirait être tout le temps à ses côtés, contre lui. Elle savait cela impossible, que c’était une pensée incohérente de sa part, mais elle s’efforçait de profiter des instants en sa compagnie. C’était la seule chose qu’elle pouvait faire. Du moins, jusqu’alors. Le destin qui s’annonçait semblait bien plus clément qu’elle ne l’aurait imaginé. Noah accepté l’existence de cette vie qui prenait délicatement forme en elle. Il désirait la soutenir, l’accueillir dignement dans leur vie, lui offrir ce terrain propice dont un enfant avait besoin. Cet équilibre dont elle avait rêvé désirait si ardemment. Elle avait rêvé de ce jour où elle pourrait enfin être à lui. Sans doute était-ce un désir irrationnel de sa part ? Elle n’en doutait nullement, en ayant conscience, tout en ne pouvant s’empêcher d’en être profondément heureuse. Elle avait attendu ce jour où elle pourrait enfin l’aimer sans devoir se cacher. Cela faisait sept ans qu’elle était contrainte de cacher ses sentiments, de les faire taire pour respecter les limites de cette amitié, contre nature et malsaine pour certaines personnes, pour ne point révéler ces rumeurs qui n’avait de cesse d’échelonner leur relation.

Elle ne pouvait qu’être ravie de savoir cette période révolue, quand bien même devrait-elle rester prudente dans une certaine mesure. Ils devaient révélés une relation amoureuse naissante et grandissante pour ne point éveiller les soupçons. Ils devraient agir comme des personnes normales, n’ayant rien à cacher et notamment ce sentiment, cette affection qu’ils partageaient. Cela devrait bien se passer, elle en était convaincue. Elle se pliait donc au jeu, savourant ce baiser qui lui rappelait avec émotion ces doux baisers qu’il était venu lui voler, lorsque pour la première fois ces commissures avaient capturé les siennes. Elle ne pouvait s’empêcher de se laisser emporter par l’émoi de ces souvenirs qui prenaient place dans son esprit, éveillant ses sens et son rythme cardiaque. Son cœur battait de façon merveilleuse dans sa poitrine et elle s’abreuvait de ces doux contacts dont il la couvrait. Il n’y avait aucune fougue, ni passion, à l’image de ces merveilleux et sensuels baisers et caresses qu’il lui avait offert lors de cette soirée qu’elle ne puisse jamais oublier. Elle se trouvait heureuse, charmée par cette douceur que les actions de Noah la couvent, tout comme elle prenait soin de le faire. C’était agréable, bien loin de la déplaire tant elle trouvait ces baisers et actions sensuels et bienfaisants.

Elle savourait le contact des phalanges de son amant contre ses hanches, tout comme l’éclat de ce sourire qu’il lui offrait en la rapprochant de lui pour qu’elle se colle un peu plus à lui. Elle aimait tant être contre lui, savourer le mouvement de sa poitrine contre la sienne, les frôlements et frisons que celui-ci provoquait en son échine. Elle lui était entièrement soumise tout comme cette nuit où il lui avait volé la fleur de son innocence. Une première fois qu’elle ne regretterait jamais de lui avoir offerte, tant il l’avait glorifié, béni de toute sa douceur et de son amour. Elle se contentait donc de laissait ses doigts glisser contre ses cheveux, sa mâchoire, sa clavicule avec douceur. Elle profitait de cette ambiance douce et luxuriante qui les enveloppait petit à petit. Noah y était tout aussi sensible, elle le savait, le sentait si attiré par ce baiser qu’ils s’offraient mutuellement. Elle le laissa s’éloigner de ses lèvres, le regard brillant et pénétrant tant elle dévorait du regard. Il était si beau, magnifique à ses yeux. Elle fondait littéralement devant son regard, si sensible au charme de cet homme qu’elle chérissait si profondément. Il lui susurra qu’il était bien dommage qu’il ne l’ait pas retrouvée trempée jusqu’aux os comme ce soir-là. Elle était vraiment sensuelle, les cheveux mouillés, les vêtements trempés, moulants et quasiment transparents.

Jane le fixait avec attention, le regard empli d’émotions. Elle se souvenait de ce soir-là. Elle était incapable d’oublier le moindre élément qui l’avait composé. D’autant plus la partie les concernant. Elle s’était sentie profondément heureuse de le trouver par hasard, consciente qu’il s’agissait d’un miracle. Il ajouta qu’elle portait alors des vêtements d’homme, comme aujourd’hui, sauf que c’était sa chemise bien trop grande qu’elle avait portée. Il avait trouvé cela sexy, le rendant fou. C’était terriblement envoutant de l’entendre dire cela. Elle se trouvait comblée d’apprendre que la jeune femme de seize ans avait été l’objet de fantasme de cet homme bien plus âgé et expérimenté. C’était toujours un peu le cas. Elle n’en doutait pas et avait même un léger soupçon sur le « un peu ». Elle lui souriait avec douceur, venant savourer le contact de ces commissures contre les siennes. Un baiser furtif alors qu’il ajoutait qu’il ne voulait pas prendre le risque d’être interrompu comme cette nuit-là. Elle avait beau être adorable jalouse, mais il ne pensait pas que ça serait une bonne idée qu’il soit vu ainsi par l’un de ses élèves. En effet, la situation serait quelque peu cocasse et son regard se fit plus brillant. D’un sortilège, il vint fermer à clé la porte avant de laisser sa baguette tomber au sol sans plus de cas. « Je crains en effet que cela ne serait pas une bonne idée… » Murmura-t-elle dans un ton doux en se mordant la lèvre.

Elle n’était pas particulièrement enchantée par l’idée d’être jalouse. C’était un sentiment qui l’horripilait, la rendait impuissante et particulièrement fébrile. Elle préférait bien plus cette sensation de bien-être que ces lèvres provoquaient dans son être alors qu’elle sentait celles-ci s’emparer de nouveau des siennes. Elle se laissa embrasser tendrement, répondant à ce baiser avec la même douceur, laissant sa langue valser avec celle de son compagnon, ses mains glissant délicieusement sur sa mâchoire alors qu’elle susurrait entre deux baisers : « Je préfère être la seule à profiter de toi. Une envie particulièrement égoïste, je conviens, mais je ne pense pas que cela soit déplaisant... » Elle souriait contre ses lèvres alors qu’elle laissait ses doigts glisser contre son col pour rejoindre les boutons de sa chemise. Elle suivit la bordure de ses boutons dans un passage sensuel et doux, sans s’atteler à les toucher, les défaire. Elle pouvait sentir les doigts coquins de son amant défaire sa ceinture, tout comme s’immiscer sous le tissu de son débardeur pour frôler la peau de son doux. Leurs gestes se faisaient doux et langoureux. Ils profitaient du contact de qui leur était possible de frôler, toucher, découvrir. Elle souriait contre ses lèvres avec douceur, laissant ses lèvres retrouver la texture de ses lèvres. Elle était totalement hypnotisée par ce regard, la chaleur de ce souffle et de son odeur. Elle adorait ce sentiment qui l’habitait, ce désir qui s’immisçait insidieusement et de façon si douce dans ses veines, son corps.

Elle laissa ses doigts retirer légèrement cette chemise du pantalon de son amant, frôlant un bref instant cette chute de rein dont la peau lui semblait particulièrement chaude, bienveillante. Elle ne s’invita pas plus longuement sur cette chair. Ses doigts retrouvèrent le tissu en coton de cette chemise blanche qui lui sillait à la perfection. Elle la froissait délicatement par ses passages tendres et sensuels, désireux. Elle avait envie de découvrir la chair qu’elle dissimulait, mais elle prenait son temps. Ils étaient seuls et c’était la veille du Week-end, il n’y avait aucune raison à ce qu’ils soient interrompus. Elle laissa ses lèvres s’éloigner de ses comparses pour reprendre son souffle. Cette ambiance exquise qui s’installait entre eux deux, endiablée les battements de son cœur. Elle se mordit la lèvre inférieure, le regardant avec douceur alors qu’elle lui offrait un sourire, laissant ses commissures se mêler de nouveau aux siennes avec la même sensualité que précédemment, ses menottes glissant délicieusement de nouveau sur ses clavicules pour s’affairer à déboutonner délicatement et lentement chaque bouton de cette chemise. Elle n’arrêtait nullement de l’embrasser dans des baisers sensuels, mais brefs pour laisser son souffle enivrait son amant, la charmer par la même occasion. Son cœur battait vivement dans sa poitrine, euphorique et fou, terriblement réceptif à cette ambiance chaleureuse et sensuelle qui les plongeait délicatement dans une luxure inaliénable sous le feu duquel elle désirait se consumer à ses côtés, grâce à lui.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeDim 2 Nov - 23:20

Suite à la tension qui s’était installée entre eux deux, le calme et l’apaisement qui revenaient doucement dans la pièce amenaient avec elle une ambiance légèrement coquine et tendre. Après cette conversation sérieuse et pesante qui marquait un nouveau tournant dans leur vie, la jeune fille l’avait amené à se remémorer à très douce nuit ou ils avaient fait l’amour pour la première fois, leur première nuit. Un souvenir merveilleux et enchanteur revenait à son esprit, la chaleur et douceur de cette première communion entre leurs deux êtres avait gravé sa mémoire. Ca n’avait pas été sa première fois bien sure, mais elle semblait en quelque sorte l’avoir été, une première avec une personne qui lui importait vraiment. Elle s’était trouvée, ce soir-là, si pure, si fragile, si sensuelle et magnifique, et leur échange si glorifiant et enchanteur. Cette fois avait marqué Noah en venant chambouler la vie sexuelle du professeur qui se sentait incroyablement lié à elle, plus encore qu’auparavant, plus étroitement comme elle était devenue sa partenaire particulière. Il n’avait alors plus vu que lui en dehors des quatre ans ou il s’était séparé. Il avait fermé la porte à clé pour empêcher qu’on ne les interrompe, avouant qu’il avait aimé voir Jane jalouse cette première nuit. Sans doute n’avait il pas vraiment cerné sa réaction à l’époque, malgré leur relation qui commençait à s’installer dans la luxure, ce soir où ils se découvraient pour la première fois. Elle vint lui murmurer qu’elle craignait en effet que cela ne serait pas une bonne idée.

L’intervention de son ex le soir ou il l’avait ramené chez lui trempé avait assez bien arrangé les choses, mais Noah se trouvait professeur dans cet établissement et se faire ne surprendre pas un de ses étudiants serait sans doute malvenue et incongrue. Il n’en avait pas envie et surtout il ne voulait pas de soucis, même s’il y avait peu de raison que l’un d’entre eux ne se pointe à la porte du maitre en Défense contre les Forces du Mal un vendredi soir.

Ils s’embrassèrent à nouveau, tendrement, il profitait des doux baisers que lui procuraient ses lèvres, un baiser qu’il avait approfondi, laissant sa langue entamer une danse sensuelle avec celle de Jane. Elle susurra entre deux baisers qu’elle préférait être la seule à profiter de lui. C’était sans doute une envie particulièrement égoïste, elle en convenait, mais il ne lui semblait pas que ce soit déplaisant. Noah ne pouvait nullement la contredire. C’était réellement passionnant, vraiment agréable et plaisant. Il avait défait sa ceinture et glissé ses doigts sous le débardeur de la demoiselle tandis que la demoiselle laissait ses mains glisser sur sa chemise, en un sens bien moins coquine et entreprenante que lui, ou même que la dernière fois où ils avaient fait l’amour et/ou elle était tombée enceinte de lui. Toutefois, même sa main coquine se trouvait particulièrement câline vers sa poitrine dénudée sous le simple débardeur. Il la sentait fébrile, douce, le cœur battant. Il souriait doucement en réponse à ceux de la demoiselle sur son visage comme leurs lèvres se retrouvaient encore et toujours. Il se sentait résolument bien contre elle, souriant tout autant, le cœur palpitant de bonheur.

Il sentit sa main retirer de son pantalon sa chemise qu’elle avait descendue du bout des doigts. Elle frôla rapidement sa chute de rein sans s’y arrêter. Elle retourna innocemment sur sa chemise délaissant la peau dénudée de Noah qui avise pourtant apprécier le bref contact de cette main. Elle semblait prendre on temps en bas de cette chemise, s’amusant à la froisser et à frustrer et impatienter Noah qui désirait recevoir les caresses de ces fines menottes sans la barrière de ce tissu cotonné tout en poursuivant savamment leur baiser l’un contre l’autre. Il la vit s’éloigner de lui, du moins de ses lèvres qu’elle délaissa au grand regret de Noah. Il la vit se mordre les lèvres, il la dévorait du regard avec passion, douceur, la trouvant résolument sensuelle. Le sourire qu’elle lui offrit ne la rendit que plus séduisante à ses yeux. Elle revint se mêler à sa bouche, re-déposant ses fines commissures rosées sur celles-ci avec une grande affection. Il sentit ses jolies mains revenir à ses clavicules pour ré-attaquer la descente des boutons, venant cette fois les détacher un à un, lentement. Tout en poursuivant ses baisers doux et furtifs, mais passionnés. Il sentait avec plaisir son souffle envelopper son visage, son odeur remonter ses narines avec tendresse. Elle éveillait en lui un cœur fou et une douce folie, une ivresse dont elle avait le secret et les clés. Elle seule le troublait autant et faisait trembler son âme. Il la désirait avec bonheur, désirait reconnaitre encore une foi ce feu qui les accompagnait tous les deux depuis leur première fois.

Noah glissa ses mains sur sa poitrine nue, poursuivant avec plaisir leur baiser et leur bisou tout doux qu’ils s’échangeaient encore et encore sans s’arrenter, sans se priver des lèvres douces de l’autre, mais tout en restant très superficiel. Il sentait les doigts de Jane effleurer son torse, mais lui profitait surtout de cette poitrine nue qu’il pouvait couvrir de ses mains, titillant leur pointe avec une folle envie d’y déposer des baisers. C’est donc, le cœur fou d’espoir, qu’il lui retira ce débardeur noir pour dévoiler à son regard l’ensemble de son buste féminin et si joli. Ses yeux caressèrent doucement ses formes, stoppant un instant les baisers entre eux pour profiter de la vue splendide et érotique qu’elle offrait sous son regard. Il rejoint ses lèvres rougies de s’être déjà trop embrasser pour le reprendre entre les siennes, poursuis un peu ce tendre instant. De ses commissures délicieuses, il laissa sa bouche glisser vers la nuque de la demoiselle pour le couvrir de baisers aussi aériens qu’une plume. Il en couvrir sa nuque avant de descendre vers son col, sa clavicule dont il ne se priva pas d’offrir le même traitement avec passion et affection. La lenteur devenait reine sous ses lèvres et il ne délaissait nul point de son anatomie de ses baisers timides.

Insatiable, il descendit encore, venant à la rencontre de son décolleté, de sa poitrine ou il put sentir le cœur battant promptement de Jane. Il arrêta ces lèvres-là, sous les coups frappant de ce cœur si envoutant qui s’élançait à l’unisson du sien dans une cadence effrénée. Il caressa sa ceinture avec tendresse, replaçant sa main dans son dos. Ses lèvres poursuivirent leur chemin conquérant la poitrine de Jane sans la moindre peine, bien au contraire, elle savourait les formes succulentes de sa partenaire jusqu’à atteindre son pic qu’il mordilla sans complexe. Il voulait la rendre folle de désir, la faire frémir entièrement sous ses caresses et baisers pour la faire entièrement sienne.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMar 4 Nov - 0:27


Cela faisait bien des années que Jane était sous le charme de cet homme. Noah était résolument une personne exceptionnelle et irremplaçable dans son cœur. Il était l’essence de la femme qu’elle était devenue. Tout ce qu’elle était, elle le lui devait. Il avait été celui qui l’avait rendue précieuse et inestimable. Il était celui qui l’avait mise sur un piédestal, qui lui avait montré la voie à suivre pour devenir une femme digne de lui et du plan qu’ils construisaient ensemble. Elle ne pouvait que se sentir glorifier d’être en mesure de l’ébranler tout autant qu’il avait ce pouvoir sur elle. C’était résolument merveilleux de le savoir charmé, désireux et passionné par sa personne. Elle adorait le rythme cardiaque de ce cœur qui tambourinait la poitrine de son amant. Il se trouvait tout aussi agité que le sien, tremblant, euphorique par cette ambiance chaleureuse qui les plongeait corps et âme dans une luxure dont eux seuls avaient le secret. Elle adorait et chérissait cet homme. Il était une véritable ode à la vie à ses yeux, qui n’avaient de cesse de dévorer ses traits si masculins et envoutants. Elle était prisonnière de cette passion, de cet amour qu’il avait acquis de son cœur. Celui-ci lui était totalement dévoué et n’avait de cesse de réclamer sa présence. Elle avait envie de lui, qu’il l’embrasse, la caresse, l’embrase de ce feu exfoliant qui savait si bien la flatter de ses bienfaits.

Elle se laissait délicieusement entrainée par cette ambition, cette sensualité qui animait chacune de leur action. Elle s’enivrait de son parfum masculin et subtil, si merveilleux à ses sens. Il lui arrivait parfois de penser à celui-ci lorsqu’elle avait envie de se tenir contre lui. Il portait le même parfum depuis des années. Un parfum qu’elle avait créé spécialement pour lui lors de sa sixième année et qu’elle lui avait offert afin de le féliciter pour avoir obtenu son diplôme d’enseignant et le poste de professeur de défense contre les forces du mal à Salem. Il l’avait apprécié immédiatement et ne semblait nullement insatisfait de recevoir un nouveau flacon à chacun de ses anniversaires, quand bien même c’était rarement le seul cadeau qu’il obtenait d’elle. Elle ne put que sourire à cette pensée, savourant la texture de ses commissures contre les siennes. Ses baisers se faisaient doux et passionnés. Leurs étreintes n’avaient que pour seul objectif : d’envouter l’autre. Ils y parvenaient totalement et cela n’avait de cesse de s’accroitre. Elle sentait sa peau, comme le sienne, être parcourue de merveilleux frissons. Elle sentit son organe vital battre fougueusement dans sa poitrine à la même cadence que celui de Noah. C’était si captivant, si exaltant également. Elle sentait son corps s’embraser au contact des mains masculines sur sa poitrine nue en dessous de son vêtement. Sa chair réagissait immédiatement, se parsemant de merveilleux frisons qui rendaient ses seins plus fermes et quémandeurs d’attention.

Elle le sentait gourmand, terriblement conquérant, ses mains recouvrant la peau de sa poitrine pour la caresser avec sensualité et avidité. Ce contact la rendait folle. Elle y était plus que sensible, ses sens étant exacerbés par cette chaleur qui l’envahissait totalement. Elle soupirait contre ses lèvres entre deux baisers. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, exalté par les titillements de ces doigts contre la pointe de ses boutons de chairs. Elle le savait tout aussi envouter qu’elle ne pouvait l’être. Ses phalanges féminines caressaient ce torse avec attention, sensualité, sentant les battements vifs de cet organe vital au creux de cette cage thoracique. Il expirait fortement contre son visage, son souffle tout aussi endiablé que pouvait l’être le sien. Elle se laissa guider par cet homme, l’aidant à lui retirer son débardeur pour lui offrir cette vue sur son buste qu’il semblait tant désirer. Elle adorait ce regard qu’il lui portait. Les iris bleus de cet homme perçaient sa chair. Elles se trouvaient pénétrantes et fébriles. Elle y lisait son désir, l’émoi qu’il ressentait face à ce corps qu’elle lui offrait. Elle adorait ce bien-être qui l’étreignait, cette fierté qu’elle éprouvait d’être l’objet de désir de cet homme. Cela était si salvateur, envoutant, pénétrant. Elle se sentait si comblée par cet homme. Elle sentait sa respiration se faire plus forte alors qu’elle sentait ses commissures rejoindre les siennes. Elle se laissa embrasser, laissant ses phalanges caresser son torse tout en profitant des bienfaits de ce contact.

Il semblait déterminé à la faire fondre. Il avait abandonné ses lèvres pour glisser ses commissures contre sa nuque, la couvrant de baisers aussi aériens que le toucher d’une plume. Jane frissonnait sous leur contact, à la fois impatiente et frustrée par cette lenteur avec laquelle il la couvrait de ses attentions. Il couvrait sa nuque de ses lèvres avant de descendre sur son col, sa clavicule. Ses baisers se voulaient passionnés et tendres, presque timides, mais cela suffisait à la troubler plus qu’elle ne l’était déjà. Elle se laissait emprisonner par ses lèvres, laissant ses doigts glisser contre les clavicules de cet homme pour les frôler, l’invitant insidieusement à poursuivre son traitement. Il semblait insatiable, terriblement gourmand et pourtant si coquin. Il descendait lentement avec espièglerie tant il semblait le faire de façon consciente dans le but de la rendre d’autant plus captive de son être. Il y parvenait terriblement et elle sentait sa poitrine s’impatienter de ses actions. Elle était clairvoyante sur les ambitions de Noah. Elle le connaissait, savait par cœur comment il agissait lorsqu’il désirait qu’elle se laisse aller à ses côtes. Il descendit à la rencontre de son décolleté, s’y arrêtant pour l’embrasser sensuellement et tout en lenteur. Il devait entendre le rythme effréné de son cœur et cela semblait le combler. Elle le présentait bien dans son arrêt, son action lorsqu’il était venu caresser sa ceinture, glisser sa main derrière son dos. Il l’attirait insidieusement contre lui, en laissant sa bouche glisser sur la courbe de sa poitrine.

Un contact électrisant qui la transcenda de toute part alors qu’elle se mordillait la lèvre face à la folie que cette action provoquait en son corps. Elle sentit sa poitrine se soulever, chercher le contact de ces commissures qui savourait la texture de ses formes. Elle laissa l’une de ses menottes glisser contre la nuque de Noah, la griffant délicieusement lorsqu’elle sentit ses tortionnaires mordiller son bouton de chair sans complexe. Dieu que cela la rendait folle, fébrile et quémandeuse. Le professeur avait tant de pouvoir sur elle, sur son cœur et son corps. Elle susurra son prénom, exerçant une pression sur le creux de sa nuque pour l’inviter à poursuivre. Il ne semblait avoir nullement besoin de cette invitation de sa part. Il poursuivait avec sensualité et passion. Elle sentait son cœur trembler dans sa poitrine alors qu’elle se laissait totalement chambouler par cette caresse qui éveillait cruellement son désir. Elle désirait le communiquer à son amant, éveiller également son ambition. Contrairement à leur première fois, elle ne désirait pas seulement en être la victime. Elle voulait également lui communiquer le plaisir qu’il instaurait insidieusement dans ses entrailles, embrasant d’un feu incommensurable son jardin secret qui commençait délicieusement à s’accaparer toutes ses pensées. Elle susurrait le prénom de son amant dans une voix suave, ses phalanges glissant dans sa chevelure pour l’inviter à poursuivre, sa poitrine, ses boutons de chair se satisfaisant de ces baisers et caresses coquins qu’il lui prodiguait. Son autre menotte quant à elle vint se mouvoir avec sensualité sur son torse, descendant avec lenteur sur la chute de ses reins, rejoignant la texture en cuir de son pantalon en toile.

Elle ne l’avait pas dévêtu de ses vêtements et devait donc les écarter sur son passage, savourer leur frôlement contre sa chair. Cela conférait une attitude débraillée à son amant qu’elle comptait d’autant plus renforcer. Tout en gémissant délicieusement contre l’oreille de son amant, ses phalanges s’agrippant délicieusement à sa chevelure, son autre main s’était affairée à desserrer sa ceinture pour s’inviter à l’intérieur. Elle n’avait nulle envie d’être la seule à profiter, il méritait également qu’elle s’occupe de son excitation et en juger par la fermeté qu’elle sentait sous le bout de ses phalanges, Noah semblait tout aussi envouté et fébrile qu’elle ne pouvait l’être. Cela la glorifiait de fierté, l’excitait également. Elle se mordillait la lèvre à cette pensée, son cœur implosant dans sa poitrine alors qu’elle laissait sa main s’inviter plus insidieusement dans le pantalon de son amant pour recouvrir de ses doigts, son intimité qu’elle ne se gêna pas à découvrir de nouveau dans des caresses tout aussi légères et passionnées que celles dont il la couvrait depuis ces dernières minutes et qui la rendaient dingue.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeLun 10 Nov - 23:55

Il aimait partager cette intimité avec Jane, rencontrer ses lèvres, serrer son corps contre le sien, sentir ses formes féminines frôler les siennes et s’enivrer de son odeur fraiche et de celle de son shampoing si fleuri. Il aimait le contact de sa peau nue et chaude qu’il sentait tendre et douce sous ses doigts quelque peu coquin. Ses lèvres se faisaient pure et échangeait avec sa belle compagne d’innocent baiser comme au premier soir, ce qui ne l’empêchait pas de profiter du gout sucré de sa partenaire et de pousser plus loin la découverte de son corps et de sa peau en laissant glisser sa bouche vers la nuque de Jane, venant déposer de tendres baisers sur ses pores. Il la touchait à peine, l’effleurait du bout des commissures. Il s’extasiait de sa lenteur qui rendait Jane si fébrile et frémissante à son contact comme si elle venait ainsi réclamer plus de ces attentions, comme s’il lui procurait un bien-être qui la frustrait et qu’elle quémandait le reste. C’était enchantant à observer pour le professeur qui n’accéléra pas pour autant sa descente vers sa clavicule, profitant des réactions de Jane. Il les ressentait avec plaisirs, se réjouissant de la rendre aussi soumise. Malgré la légèreté de ses baisers, il la sentait frissonnante sous ses lèvres. Lui prenait tant de plaisir à la rendre si émoustillée en humidifiant sa peau de ses lèvres, tout à fait gourmand. Il partait à la chasse de son décolleté, conscient que la jeune femme connaissait ses intentions à ce sujet.

Il caressait de ses lèvres cette peau claire, délicieuse, rencontrant le cœur battant de la demoiselle, le sentant palpiter avec force sous son effet. Il venait trouver cette poitrine nue, objet de son désir masculin qu’il sentait ferme sous ses lèvres, abreuvant ses lèvres de bien-être, succombant sous sa sensualité, en la serrant contre lui. Il eut un sourire, la sentant réagir si favorablement sous l’attention qu’il lui portait quand bien même son regard se trouvait plongé dans son décolleté, sur cette poitrine qui lui faisait tant d’effet. Il la sentait gourmande de ce contact, inspirant fortement pour chercher ses lèvres, leur contact qu’il se faisait un plaisir de coller à elle. Il sentait cette merveille embraser son corps de désir, terriblement attaché à cette poitrine délicieuse. Il entendit le son de sa voix susurrer son prénom apparemment épris de bien être, sentit sa main dans ses cheveux, l’invitant silencieusement à poursuivre ses baisers sur sa poitrine qui la faisait trembler de plaisir. Il y répondit avec un peu plus d’ardeur contre ces seins fermes. Son autre main le remplit de frisson doux comme elle descendait sous sa ceinture. Elle gémissait en douceur, débrayant l’homme qui se laissait faire avec bonheur en sentant ses phalanges caresser sa peau. Il avait l’impression qu’elle venait déclencher des fourmillements très agréables sous son passage qui répondait une grande chaleur dans son corps.

Il sentit une menotte féminine s’inviter contre sa ceinture pour la desserrer, s’invitant ensuite en son sein sans plus de commodité. Il inspira, se sentant soudain empli de bien être au contact divin de cette main qui venait le faire frémir. Ce toucher l’envoutait même si ce n’était qu’une pression sur son intimité affermit. Il sentait son désir pour elle se glisser dans ses veines. Elle le rendait dingue et magnifiquement bien entre ses doigts. Plus encore quand il sentit cette main glisser dans son boxer pour caresser son membre qui s’honorait de ce contact en se dressant fièrement, venant bruler son bas ventre de désir. Il se sentait si bien qu’il gémissait doucement le prénom de sa compagne avec une grande envie. Il n’en arrêtait pas moins ses baisers sur cette poitrine accueillante et désirable, y prenant un grand plaisir. Il se sentait habiter de chaleur, un foyer qu’elle avivait a chaque caresse avec tant de facilité. Il se trouvait bien sensible au pouvoir de Jane qui était vraiment la plus splendide. Il se sentait si bien avec elle, c’était simple et facile sans cesse, et surtout dans cette relation intime. Il la voulait encore et encore pour lui, et en quelque sorte, la fille qu’elle portait lui donnait cette opportunité de la faire enfin sienne, d’officialiser enfin cette relation si intime qu’ils possédaient ensemble et qui le rendait si heureux et bien.

Le professeur de défense contre les forces laissa ses mains caresser son ventre avec douceur et sensualité. Il profita de sa peau sous ses doigts, du contact doux de son corps, de ses abdominaux, de son nombril sur lequel il appuya doucement. Il contourna ses hanches pour caresser sa chute de rein, caresser son dos, sa chute de rein. Ses lèvres ne quittaient pas leur proie délicieuse. Il vint prendre ses petits tétons entre ses lèvres, entre ses dents pour les mordiller, la faire succomber de plaisir. Il laissa une de ses mains entourer sa taille et l’autre retourna sur le devant de son corps, il glissa sa fermeture éclaire et défit son bouton pour ouvrir son pantalon. Il glissa sa main dans l’ouverture avec envie et désir. Il vint appuyer sur son point sensible pour la titiller un peu, désirant cette partie qui le faisait rêver. Il embrassa sa poitrine avec tendresse, tentant d’humidifier cette petite culotte qu’il frottait contre l’intimité de Jane. Il lui mordillait ce bout de chaire avec envie, désir, ses doigts s’activaient pour brûler la demoiselle, désireuse de la rendre dingue d’envie. Elle le rendait dingue, elle-même de ses doigts contre son intimité. Il désirait cette partie qui se trouvait sous ses doigts, il avait tant envie d’elle, il brûlait complètement d’elle. Noah sentait son cœur battre promptement, de désir, un désir charnel et cruel qui s’emparait de lui vivement, qui empoisonnait ses veines. Son âme s’embrasait à son contact, elle était vraiment parfaite.

« — J’ai envie de toi, Jane ! »
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMar 11 Nov - 20:18

Elle avait cruellement chaud sous les actions coquines et sensuelles de son amant. Un fait qu’elle ne pouvait nier, ressentant cette chaleur enivrer ses sens. Noah avait un tel pouvoir sur elle, sur son désir. Elle fondait littéralement sous ses caresses, ses baisers qu’il savait si bien la couvrir. Sa poitrine concentrée l’essentiel de son plaisir. Chaque baiser, contact entre les commissures de cet homme et sa chair provoquait de profonds frémissements dans son organisme. Elle était si sensible, si gourmande face à cet homme. Elle l’aimait, chérissait chaque moment d’égarement en sa compagnie. Il était le seul homme à pouvoir la rendre si dépendante, si désireuse de son corps. Il était véritablement un objet de fantasme, le seul qui lui permettait de s’évader dans ce plaisir pervers et intense qu’était la luxure. C’était un véritablement enchantement avec lui, grâce à lui. Aucun homme, pas même Joaquin, ne pouvait se vanter de la faire s’évader avec la même force, la même passion. Il embrasait sa chair comme aucun homme et elle était cruellement déterminée à se l’accaparer, lui partager l’émotion que ses attentions provoquaient en elle. Elle désirait qu’il soit tout aussi captivé qu’elle ne l’était de sa personne. Elle n’avait point de doute sur la question, mais se l’assurait avec un pouvoir particulièrement exaltant pour elle. Elle se trouvait satisfaite de le sentir réceptif, fébrile sous le contact de ses doigts. Sa fierté masculine l’honorait de ses bienfaits. Elle s’affermissait sous ses passages tendres et sensuels, intensifiant particulièrement le désir de cet homme qui venait susurrer son prénom dans des gémissements envoutants qui la rendait ivre d’ambition. Le feu en son sein n’avait de cesse de cloitre, s’intensifiant face aux caresses de cet homme. Son cœur palpitait furieusement dans sa poitrine, accompagnant celui de son compagnon qui n’avait rien à lui envier.

Elle se laissait guider par son ambition, laissant ses doigts flatter cette chair tendue qui obnubilait ses pensées, ses sens. Elle se trouvait totalement sous le charme, les actions cocasses et envoutantes de cet homme. Sa main dans la chevelure de son amant n’avait de cesse de poursuivre ses cajoleries, son autre menotte s’afférant à découvrir et échauffer cette partie si sensible de l’anatomie de cet homme. Son excitation faisait frémir ses sens, lui donnant cruellement faim de cet homme, qui semblait tout aussi ambitieux. Elle se mordillait la lèvre inférieure, son souffle se faisant court face à tant de cajoleries qui bouleversaient son être. Elle inspira profondément, sa poitrine se gonflant avec force contre les commissures de son amant au passage des mains de celui-ci contre son ventre. Ces passages se faisaient doux et sensuels. Elles découvraient de nouveau sa peau, assurant leur présence sur sa chair en s’y appuyant. Elle sentit ses dernières contournaient ses hanches pour caresser sa chute de rein, son dos. Il la rendait folle par ces actions. Elle soupira de plaisir, gémissant délicieusement lorsque les lèvres de son amant prirent en proie un de ses boutons de chair, le taquinant de sa langue et de ses dents. Elle succombait merveilleusement à cette chaleur, la pression de ses doigts se faisant plus intense sur son intimité. Elle le sentait tout aussi gourmand, ambitieux qu’elle ne pouvait l’être. Il la gardait prisonnière de ses actions, une de ses mains entourant sa taille tandis que l’autre venait rejoindre le devant de son corps. Ce menotte glissa contre sa fermeture éclair, la défit tout comme son bouton pour ouvrir le pantalon qu’elle portait. Elle avait conscience de l’ambition de son amant et son être s’en émoustilla d’impatience tant elle avait hâte de sentir ces doigts sur cette partie si sensible de son anatomie. Ceux-ci s’immiscèrent dans l’ouverture crée avec envie et désir. Ils appuyèrent sur son point sensible, la faisant frémir d’autant plus alors qu’elle se mordait la lèvre.

Elle succombait à cette caresse, sentant son jardin secret s’émoustiller, s’embraser par ce contact. Le contact de ses propres phalanges se fit plus insistant alors qu’elle le laissait faire, éveiller son ambition plus qu’elle ne l’était déjà. Elle sentait sa respiration se faire d’autant plus forte, saccadée par les actions envoutantes de son amant. Elle n’avait rien à lui envié. Elle le sentait tout aussi brulant, sensible et animé par la même ambition. Il la dévorait totalement. C’était merveilleux et enchanteur. Elle adorait cela, ce sentiment d’abandon qu’il initiait si aisément en sa chair. Elle lui était soumise, si cruellement attachée et dépendante de ses baisers et caresses. Elle s’enthousiasmait que cette dépendance était réciproque, qu’il avait tout autant envie d’elle, qu’elle n’avait envie de lui. Il n’avait de cesse de s’imposer à elle, frottant avec sensualité le tissu de son sous-vêtement contre son fruit défendu. Il pouvait admirer l’effet qu’il avait sur elle, l’émoi dans lequel ses actions la mettaient. Le tissu s’humidifiait grâce à la présence de ses phalanges qui lui donnaient cruellement faim. Elle avait de lui, qu’il ne la prenne, la fasse sienne comme il savait si bien le faire. Une ambition réciproque, qu’il lui avoua contre la chair d’un de ses seins. Elle ne pouvait prétendre le contraire. Tout son corps était brûlant, prêt à accueillir cet homme qui la faisait tant rêver. Sa poitrine était ferme et dont les pointes semblaient particulièrement éveillées, enchantées par les traitements qu’il lui avait administrés. Elle l’invita à rejoindre ses lèvres, sa main guidant son action alors qu’elle retrouvait la chaleur et la texture de ses commissures. Elle l’embrassa avec sensualité, sa main glissant contre sa nuque alors qu’elle s’invitait au creux de ces lèvres pour partager avec lui, l’émoi dans lequel elle se trouvait. Elle laissa sa langue retrouver sa comparse, se mêlant sensuellement à elle dans une danse enivrante qui la rendait incroyablement sensible aux caresses de son amant tout comme elle le sentait réceptif aux siennes.

Elle l’invita à se relever tout en poursuivant son baiser et ses caresses. Dans son action, elle soupira contre ses lèvres, sa menotte libre venant se glisser contre la clavicule de cet homme pour frôler ses pectoraux, son ventre, s’échouant contre la bordure de son pantalon entrouvert. Son autre main quant à elle vint s’éloigner de l’intimité de son amant, non sans une légère frustration pour celui-ci qui vint exprimer son mécontentement contre ses lèvres. Elle souriait, particulièrement ravie alors qu’elle venait faire glisser le pantalon de son amant à ses pieds avant de venir faire de même avec le sien. S’éloignant de ses lèvres à cet instant, elle se dévêtit de son vêtement, rompant de ce fait les frôlements de son amant contre son intimité. Elle souffla de frustration contre son visage, la respiration forte et fébrile. Elle se mordait les lèvres, le regard brillant, pétillant de désir. Elle s’éloigna de lui pour lui offrir la vision de son corps, faisant rouler le tissu de son pantalon sur ses hanches, ses cuisses pour rejoindre le sol. Elle se retrouva rapidement en simple sous-vêtement sous le regard profond de son amant. Elle le laissa profiter de la vue alors qu’elle venait faire de même avec sa belle culotte en dentelle. Celle-ci vint rapidement retrouver le sol, la laissant entièrement nue sous son regard. Elle se mordillait la lèvre, le souffle chaud alors qu’elle le fixait avec la même intensité que lui. Elle avait chaud et se trouvait en manque. Elle avait envie qu’il la touche, qu’il prenne possession de son corps. Une ambition qui semblait plus que commune alors qu’elle se rapprochait de nouveau de lui pour l’embrasser, mêler ses lèvres aux siennes. Elle colla son corps au sien, laissant sa poitrine retrouver la chair ferme de son torse, ses mains caressant les reins de cet homme. Elle colla son bassin au sien, laissant ses phalanges glisser sous le tissu du sous-vêtement de son amant, le faisant rouler sur leurs passages, libérant cette intimité excitée et tendue qui par cette action était venue frôler son intimité. Un contact fortuit qui la fit frissonner, gémir contre les commissures de son amant alors qu’elle susurrait dans une voix ô suave : « Prends-moi… J’ai envie de toi, Noah. Je te veux. »

Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeVen 14 Nov - 16:52

Noah avait terriblement envie d’elle, de son corps sublime qui se réchaufferait et s’humidifiait sous la pression de ses doigts contre son intimité tentatrice et envoutante. Il la désirait et n’hésita nullement à lui faire part de cette passion dévorante qui s’élevait en lui et l’enveloppait. Elle était sensuelle, sexy et il adorait cette femme, son jardin secret qu’il avait envie de redécouvrir une nouvelle fois son corps sublime et enchanteur. Il la sentait vraiment sensible à ses caresses et s’en délectait comme il profitait aussi merveilleusement du frôlement des doigts de sa partenaire contre sa virilité avec grand émoi. Il se sentait particulièrement émoustiller sous l’action de Jane qui venait affermir encore un peu plus cette partie si sensible qui gagnait en ambition pour ce corps féminin. Il brulait d’envie pour elle et la savait tout aussi chaleureuse, excitée que lui-même. Il le lisait dans son regard qui devait refléter le sien, son expression de bien-être qui devait être le miroir de son bonheur. Il savait ce plaisir, ce désir partager entre eux, l’effet qu’il se faisait quand il se voyait, s’embrassait tout deux et même s’il jouait avec innocence, tendresse. Il connaissait parfaitement la moindre de ses réactions envoutantes, il savait les animer, les stimuler avec un peu d’expertise. Jane se trouvait brulante, sa poitrine fulgurante et fière, pointant vers lui qui ne se lassait pas de la dévorer tout en lui avouant son désir. Avait-il besoin de le dire pour le faire connaitre ? Il semblait bien évident que son appétit pour elle était immense . Elle l’invita muettement à retourner à ses lèvres et le jeune homme se releva sans cesser ses caresses, mais délaissant sa poitrine chaude pour ses délicieuses commissures. Il revint l’embrasser avec grand bonheur, laissant sa bouche s’emparer de celle de sa partenaire, rencontrant à nouveau sa langue pour amorcer une danse sensuelle et magique. Il se sentait enchanté, envouté par cet échange charnel délicieux qu’il exécutait avec bien-être et bonheur.

Dans ce baiser, il sentit la main de Jane rejoindre sa clavicule, descendre vers ses pectoraux, caresser ses abdominaux et son ventre avant de se caler sur la bordure de son pantalon avec une douceur enchanteresse. Toutefois rapidement il eut un mouvement de frustration et une plainte comme elle retirait sa main de son intimité, la délaissant pour son plus grand regret même s’il devinait l’intention de son ancienne élève. Elle souriait doucement comme elle lui retirait son pantalon, le laissant en boxer sous son regard sans la moindre gêne. Il se tenait face à elle, fièrement dressé bien qu’encore à l’étroit comme il la vit amorcer un mouvement pour retirer son propre bas qui força Noah à abandonner momentanément ses caresses sur cette culotte trempée. Cet éloignement frustra la belle qui soupira, se dénudant sous le regard inquisiteur et intéressé de Noah qui la dévorait tout comme elle le faisait sur son intimité dévoilé dans son honneur. Elle s’était quelque peu reculer de lui pour qu’il profite de la vue et Noah ne se gêna nullement de le faire en admirant cette peau blanche qui se dévoilait à lui. Ses jambes étaient belles, musclées et ses courbes élégantes. Bientôt elle fit rouler sa culotte comme son pantalon, se révélant entièrement nue à Noah qui apprécia amplement le spectacle de sa nudité, ses yeux flamboyants d’envie. Elle l’observa alors avec sensualité, se mordillant les lèvres. Noah la désirait et ne pouvait la trouver que terriblement attirante. Elle retourna près de lui pour l’embrasser, un baiser auquel il répondit, ses bras l’entourant. Il la colla à lui, venant se frotter très légèrement contre son bassin comme elle caressait ses reins. C’est avec émoi et envie qu’il la sentit Jane descendre son boxer pour découvrir son membre tendu et empli de désir pour sa protégée. Il avait tant envie d’elle. Il l’entendit gémir doucement à la rencontre de leurs deux parties sensibles. Lui-même frissonna doucement de plaisir comme il finit son action de retirer son boxer pour se retrouver également nu pour son amante. Elle lui demanda de la prendre, elle avait envie de lui, elle le voulait. Noah sourit, désireux lui aussi et ravi de cet aveu de la demoiselle quoique bien peu surprenant à cet instant de leur relation, de son empressement.

L’envie en était bien partagé et il ne perdit pas un instant pour la serrer à lui, caressant son dos, il la plaça entre ses jambes pour la coller à lui. Ses lèvres s’en furent cueillir celles de sa partenaire tout. Il dirigea doucement sa fierté contre l’entrejambe de Jane, venant là se frôler à sa moiteur, de presser contre l’objet de son désir, se présentant ainsi à la porte du jardin secret en se laissant découvrir en de doux mouvements de reins. Il s’y frottait légèrement dans ce baiser langoureux, désirant encore multiplier son désir, son envie déjà tant présente. Il s’enduisait doucement de cette huile naturelle qui rendait leur frôlement intime de plus en plus facile, glissant et agréable pour le professeur qui sentait la chaleur se répandre depuis le bas de son ventre apportant bien-être et luxure. Il passa ses mains sous les fesses de la demoiselle, écartant ses jambes pour la soulever, la porter contre lui et de quelque pas l’entraina contre son bureau sans cesser nul baiser contre ses lèvres. Ainsi emmener à sa hauteur, il eut un sourire tout contre ses lèvres qu’il embrassa et des ses mains et caresses, quémanda muettement à ce qu’elle ouvre ses cuisses, à ce qu’elle lui laisse ce passage vers son corps et le bonheur, vers le bien-être de son intérieur dont il avait tant envie. Il sentait son cœur battre promptement et savait qu’il était temps d’entrer en elle. Il en mourrait d’envie, de retrouver sa chaleur. Aussi coupant leur baiser quelques instants pour profiter de sa réaction, pour observer son visage et pour laisser libre cours à l’expression de son propre plaisir, il entra en elle lentement,t, sa main guidant son intimité vers les portes du paradis avec ambition et bonheur. Il gémit de satisfaction en sentant l’étroite caresse envelopper son désir masculin. C’était si bon de revenir en elle.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeSam 15 Nov - 0:31


Elle avait envie de lui. Ce désir lui taraudait les entrailles, la rendait si brûlante, si fébrile face au corps de son amant. Un homme qu’elle chérissait et qui l’envoutait savait si aisément jouer avec ses sens. Elle lui était entièrement soumise, désirant cruellement qu’il ne la serre de nouveau de ses bras, ne lui fasse vivre de nouveau cette plénitude incommensurable qu’elle ressentait de lui appartenir. Elle était dépendante de cette sensation comme de ce feu embrasant qui la rendait si cruellement à fleur de peau. Elle se laissait porter par ces merveilleuses sensations. La peau de Noah se trouvait toute aussi brulante que la sienne. Elle le savait tout aussi captivé qu’elle ne pouvait l’être de l’échange cocasse et furtif de leurs corps. Elle le lisait dans ses prunelles tout comme l’entrevoyait en entendant la respiration forte de Noah frôler la peau de son visage. Nue contre lui, elle sentait sa peau se mêler à la sienne avec sensualité et ambition. Elle avait envie qu’il la possède, qu’il mette fin à cette attente pénétrante qui provoquait tant d’émoi en elle. Le simple frôlement de son corps contre elle provoquait de violents courants électriques dans le sien. Elle adorait cela, y trouvait un attrait plus que merveilleux et elle désirait en être d’autant plus victime. Comment pouvait-elle résister à cet homme ? Il avait tous les atouts pour la rendre folle et n’hésitait pas à les mettre en pratique.

Il lui offrait son sourire ravageur, capturant toute l’attention de la future mère qui ne pouvait détourner le regard. Sa respiration se fit plus difficile alors qu’elle voyait ce visage se rapprocher du sien, son souffle se mêler au sien. Elle se laissa embrasser de nouveau. Les commissures de Noah vinrent cueillir les siennes avec sensualité et une pointe d’ambition. Elle inspira fortement, surprise et totalement chamboulée par le contact de cette intimité contre la sienne. Il jouait avec ses sens, ne les éveillant comme personne d’autre. Prisonnière de ce baiser, elle laissa ses doigts retrouver les biceps de son amant alors qu’elle le sentait glisser sa virilité contre ses cuisses, frôlant son jardin secret qui mourrait d’envie de le voir franchir ses portes. Elle le laissait faire, ses lèvres et sa gorge exprimant ce plaisir qu’elle éprouvait et qu’elle ne pouvait contenir. Elle sentait ses entrailles en ébullition. Elle s’impatientait de ce contact, sentant son fruit défendu devenir d’autant plus gourmand, avide de ce contact. Il n’était pas le seul à le devenir. Noah n’avait rien à lui envié tant ses baisers se firent plus passionnés, plus friands qu’auparavant. Les doigts du professeur se mouvaient avec sensualité sur son dos, rejoignant ses reins, ses fesses. Il la caressait avec sensualité, mais ambitieux. Il fit glisser ses menottes sous ses fesses, écartant ses jambes pour la soulever, l’inviter à prendre appui sur lui. Ce qu’elle ne se fit pas prier, laissant ses bras se nouer autour de la nuque de cet homme qui par cette action la rendait d’autant plus impatiente.

En femme charmée et captivée par l’action de son amant, elle se laissa conduire jusqu’au bureau de celui-ci où il vint la déposer. Elle se trouvait désormais à sa hauteur, pouvait admirer les traits embellis de cet homme par le désir qui le possédait également. Elle souriait contre ses lèvres, le regard complice et résolument envouté par la lueur des prunelles de son compagnon. Elle ne disait mot, profitait simplement de ces baisers qu’il venait lui voler avec cette pointe de passion qui la rendait dingue. Elle suivait ses suppliques muettes, ses cuisses s’ouvrant naturellement. Elle était prête à l’accueillir. Pire, elle s’impatientait de cet instant au point que son cœur battait violemment dans sa poitrine. Noah ne pouvait ignorer le rythme puissant de sa respiration tant sa poitrine venait frôler la chair de ses pectoraux et du tissu qui le recouvrait. Cela l’enivrait totalement. Il était si beau. Elle laissa ses doigts glisser contre les clavicules de son amant alors qu’elle le sentait rompre leur baiser, le souffle court. Elle l’observait avec attention, le regard brillant tandis qu’il venait guider sa virilité vers les portes de son jardin secret. Des portes qu’il entrouvrait avec aisance, ambition et bonheur. Elle gémit en harmonie avec son compagnon, sentant sa partie intime pénétrer sa chair sans trop de mal. Elle se mordait la lèvre sensuellement, sensible et incroyablement captivée par cette union. Elle n’avait point de mot pour qualifier ce qu’elle ressentait. C’était juste merveilleux et exaltant, totalement déroutant également. Elle susurra le prénom de son amant, sentant cette intimité s’engouffrer plus profondément en elle. Elle laissa ses lèvres glisser sur la mâchoire de son compagnon. Ses jambes quant à elles vinrent se nouer autour des reins pour intensifier d’autant plus la rencontre de leurs deux chairs.

« C’est si bon, Noah… » Avoua-t-elle dans un soupir profond contre son oreille, venant la mordiller. Elle laissa ses doigts se mouvoir sous le tissu de sa chemise et de son gilet, frôlant la peau brulante et attirante de son amant. Elle caresser cette chair avec sensualité, sa poitrine se collant fortement à son buste tant les légers mouvements qu’il opérait dans ses reins, provoquaient un véritable embrasement dans son cœur et son bassin. Ses boutons de chair se frôler à la texture de ses hauts débraillés, l’attirant particulièrement alors qu’elle l’invitait à poursuivre ses actions. Elle laissait ses gémissements s’extirper de ses lèvres alors qu’elle couvrait sa nuque de ses lèvres. Ses entrailles brûlaient d’un feu merveilleux qui la rendait cruellement réceptive aux actions de son amant. Il vint se mouvoir contre elle, amorçant un mouvement de bassin qui le fit mordiller sa nuque avec sensualité. Il ébranlait sa chair par ce contact et elle avait envie qu’il en soit de même pour lui. Elle laissait donc ses phalanges glisser sur sa peau, se collant à ses boutons de chairs qu’elle se plut à frôler, titiller avec sensualité et ambition. Elle pouvait sentir son souffle frôler sa nuque, l’invitant insidieusement à poursuivre ses traitements qu’elle ne manquait pas de le flatter. Tout en poursuivant ses baisers contre la peau de sa nuque, elle laissa ses doigts glisser sur les côtes de son compagnon, flattant ses reins jusqu’à venir s’immiscer contre ses reins. Elle murmura de nouveau son prénom contre sa pomme d’Adam qu’elle se plaisait à couvrir de ses lèvres. Elle avait envie qu’il ne la couvre de ses bienfaits, qu’il la rende dingue de ce contact qu’elle savourait si profondément avec lui. Dans une action coquine, elle fit mouvoir ses doigts contre les fesses fermes de son compagnon pour l’inviter à l’explorer plus profondément. Elle avait envie qu’il embrase d’autant plus le foyer qui grondait en elle. Elle aimait tant atteindre les portes du paradis terrestre en sa compagnie.« Rends-moi folle, Noah… Tu es si doué pour cela. »
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco

Noah Worthington
Noah Worthington
Teacher
Golden Otter
Je ressemble à « : Ian Harding ». J'ai égaré : 217 parchemins. Ma bourse est remplie de : 1193 et j'ai : 39
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeMer 19 Nov - 22:12

Noah s'infiltra en elle comme il l'avait coincer sur son bureau, ne pouvant resister à l'appel de ce corps, à sa chaleur et à la profondeur de ses forme qui faisait tournoyer un feu de bien être en sa personne en venant bruler dans ses entrailles. Il aimait rejoindre ce corps sublime et féminin qui le troublait et le tourmentait de toute son ame. Il était tout simplement envouter par cette femme qu'il serrait contre lui, assise sur ce bureau, les cuisses écarté pour le laisser entrer en elle dans toute la puissance maculine qu'il se sentait posséder face au corps de Jane. Elle était si sensuelle, sexy dans cette position qui appelait à etre dévorer, soumise à l'envie de l'homme. Il aimait le corps de Jane et voulait le benir de sa présence, ne pouvait nullemnt se retenir de l'enflammer, de faire monter et la emperature et le plaisir de la demoiselle. Plus que tout il voulait la satisfaire, la faire jouir en accedant à ses côtés au bonheur du paradis en la dirigeant doucement comme si c'était leur première fois, la prendre par la main jusqu'au sommet ou ils pourraient s'enchanter, 'embraser de l'amour tut qui vivait entre eux. Il voulait tant partager l'ivresse qui vivait en lui quand il se trouvait dans son corps, lui transmettre ce feu qui l'habitait quand il déambulaut au creux de ses rein avec force et envie. Elle le rendait fou, ivre de cette ame qui deviendrait bientôt la mèrede son enfant, imposant un lien plus pressant encore entre eux que l'acte charnel auquel il se confrontait si frequemment et depuis quelques années. Mais il pouvait ce soir prendre pour la première fois la mère de son enfant, une nouvelle Jane qu'il venait redécouvrir dans l'intimité amoureuse qu'il partageaint si régulièrement. Il désirait voir cette fois devenir mémorable comme avait pu l'être leur première fois ensemble. Il savait que ce jour marquait un tournant décissif et il désirait ce corps que plus ardemment pour marquer la possession de ce corps splendide, ce corps qui le faisait fanasmer, qu'il possedait officieusement depuis quelques années.

Elle gémissait avec lui, en harmonie avec Noah, il l'entendait se plaindre de plaisir comme elle l'accueillait en son sein, l'emprisonné entre ses jambes. Il sentit ses lèvres glisser vers sa machoire dévorant après ses lèvres, son cou et sa barbe avec envie ce qui n'était pas sans impact sur le coeur du jeune homme. Il était tout à fait passionné, envouté par cette femme délicieuse qui avait un pouvoir si puissant sur son état, son envie. Elle avoua à son oreille que c'était si bon, laissant l'homme sourire au lèvres comme elle venait encore le stimuler un peu en mordillant son oreille, comme elle éveillait bien son désir. Il sentait sa poitrine froler son torse, s'y appuyer comme il venait se mouvoir en elle tandis que des doux son s'échappait des lèvres de Jane en venant se brisant sur sa peau. Lui se trouvait la tête contre son cou, embrassant cette peau clair qui le brulait, soufflant sa chaleur sur son cou, l'invitant muettement à continuer ses bienfaits, caresses et baisers comme il la possedait, l'étreinte de ses mains contre ses reins. Elle glissa sa bouche contre sa pomme d'adam qu'il lui offrit sans resistance, déployant sa gorge à la demoiselle. Il la sentait si désireuse de son contact, appuyant sur ses fesse pour qu'il n'approfondise le contact, gourmande de son action. Il sentait son coeur fou accompagner la cadence du coeur de Jane dans une valse entrainante et tant précipitée. Il serrait son coprs contre le sien, s'immiscant en sa personne dans de merveilleux elans de bien être , un mouvement qu'il réiterait avec passion en ne laissant travailler que ses reins contre le corps de la jeune fille de plus en plus ambitieux.

Elle lui demanda de la rendre folle, il se trouvait bien doué pour ca. Avait il d'autre but que celui ci, embraser le corps de Jane pour le rendre fou du sien. Il semblait bien que non, l'embrassement de corps de Jane était sa premiere priorité et son seul but, l'ultime quête du moindre de ses mouvements, de ses caresses, deses baisers qu'il offrait avec interet au corps nu de la demoiselle. Elle se trouvait tellement parfaite pour lui, sensuelle, sexy , admirable, la presence d'un être bien peu devellopé qui était le leur au creux de son ventre ne le rendait pas moins ardent ou doux. Il s'en trouvait pas moins conquis et emerveillé par ces douces sensation qui l'habitait. Elle lerendait incroyablment chaud, ivre de son corps, peu à peu exclusivement habité par le desir de la posseder entièrement. Il s'activait peu à peu en elle, venant intensifier leur contact, la rencontrer au plus profond d'elle même et s'empresser peu à peu pour profiter de sa chaleur, de la brulure merveilleuse de ce contact coquin entre leur corps qui avivait l'antre en son bas ventre, dévorant son corps entier.

Ce feu ardent se répandait dans son corps, l'habillant de bonheur, d'envie, de luxure qui commandait son action, l'acceleration envieux de repondre à son désir. Il s'activait en elle pour monter sa chaleur et son plaisir, ses doigts s'agitant de facon désordonné dans son dos, profitant de cette peau, la replacant parfois pour varier ses sensation, tenter de nouveau appui pour la rendre plus folle encore et pour s'embrasser encore un peu. Il jouait ur le temps, se sentant prêt à lui ouvrir la porte du paradis, mais désirant se languir encore de sa presence pressante en elle. Il le voulait, encore un peu plus long, encoreun peu plus ambitieux, la faireencoren peu frémir de bien être comme lui même gemissait avec febrilité, le coeur affolé, la respiration halettante de toute cette aventure merveilleuse qu'il vivait auprès d'elle. Il sentait ses entrailles s'enflammer, il devait bruler de mille feux contre elle mais retardait encore l'eruption tant qu'il pouvait s'en empecher, l'attente rendant le soulagemment plus exceptionnel et plus intense encore. Il l'aimait tant, desirait cet instant de délivrance merveilleux pour elle et lui. Il viendrai si vite, mais il pouvait encore profiter de son corps, de sa poitrine qui se frottait contre lui, de leur bassin qui s'entrechoquait en se rencontrant à chaque fois qu'il revenait en elle. Il continua il ne sut dire combien de temps, profitant pleinement jusqu'à ce que vienne le temps de l'apothéose qu'il laissa exploser en elle en un gemissemnet rauque puissant dans une jouissance luxuriante.
Revenir en haut Aller en bas

Jane Jenkins
Jane Jenkins
Wizard
Golden Otter
Je ressemble à « : Lucy Hale ». J'ai égaré : 420 parchemins. Ma bourse est remplie de : 275 et j'ai : 32
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitimeJeu 20 Nov - 18:49


Elle avait cruellement chaud. La chaleur qui s’immisçait dans ses veines dans la moindre parcelle de sa chair provoquait un véritable raz-de-marée dans son cœur. Il n’avait de cesse de battre promptement dans sa poitrine. Sa cadence était vive et incontrôlée, totalement possédée et endiablée par ces effusions de plaisir qui montaient en elle. Elle était entièrement soumise à la passion de cet homme, ses baisers et caresses. C’était si délicieux d’être dans ses bras, de sentir son corps se mouvoir contre le sien, embrasant sa chair comme personne. Noah avait cette capacité déconcertante de lui faire perdre de la tête. Au creux de ses bras, elle devenait une femme terriblement sensible aux actions de son amant. Il connaissait la moindre partie de son corps sensible à ses caresses et baisers. Il savait comment la rendre folle, soumise et entièrement à sa merci. Une facette de sa personnalité qui ne ressortait qu’avec lui, qu’auprès de lui. Elle lui faisait aveuglement confiance, même si son naturel lui jouait parfois des tours. Seulement dans cet acte charnel, elle n’avait aucune crainte sur la sincérité, l’émoi de son compagnon. Celui-ci l’embrassait et l’enlaçait comme il ne le faisait avec personne d’autre et elle le sentait dans la moindre action de sa part. Elle pouvait sentir son cœur battre tout aussi intensément que le sien dans sa poitrine. Ses actions quand bien même désireuses et passionnées, étaient emplies de cette affection qu’il lui témoignait depuis tant d’années. Une affection qu’elle lui rendait tout autant et qui s’exprimait pleinement au travers de ces étreintes passionnées.

Elle se laissait donc totalement envahir par ces sensations, sentant ses entrailles s’embrasaient au contact fugace et passionné des reins de son amant. Elle était conquise par cet échange luxuriant, sentant son corps le réclamait sans limites. Elle lui avait demandé de la rendre dingue, trouvant dans ces instants, une félicité toute particulière qu’elle ne vivait qu’à ces côtés. C’était si merveilleux de le savoir en elle animé, charmé et cruellement envouté par ce contact qui la submergeait avec force de bien-être. Il n’avait rien de comparable, si ce n’est le bonheur qu’elle éprouvait de porter son enfant, le fruit de toute cette affection qu’il y avait entre eux. Aucune femme ne pouvait être insatisfaite de porter la progéniture de celui qu’elle avait choisi. Jane ne faisait pas exception et se satisfaisait de ce bonheur, accumulé à la joie de le sentir si brulant contre elle, à cet instant. Il n’avait de cesse d’accélérer le mouvement de son bassin, la faisant vivre de merveilleux frisons de bien-être face aux sensations qu’il provoquait. C’était exaltant. Elle sentait sa poitrine se bomber, si fière, si ferme, si chaude contre son torse, ses boutons de chair flattant la peau et le tissu qui dans ses actions venaient se mêler à cet échange. Elle laissait ses doigts glisser sur ses reins, suivant la cadence qu’il imposait en elle. Il la rendait folle, elle n’avait de cesse de souffler son émotion contre la peau de son visage, son corps envouté par tout cela. Il était fabuleux, elle n’avait aucun doute là-dessus et se plaisait à venir mordiller le creux de son oreille en y soufflant son plaisir, son prénom.

Elle se laissait totalement dominer par ce flot intense de sensations, gémissant de plus en plus fort alors qu’elle n’était plus qu’une poupée entre ses doigts. Elle n’avait de cesse de frissonner, sensible aux caresses de ses doigts sur son dos qui étaient de véritables décharges électriques sur sa chair si émoustillée par cette étreinte. Il l’enserrait de plus en plus profondément, la replaçant parfois pour varier les sensations qu’il lui procurait dans l’espoir de frôler ce point sensible qui saurait la rendre dingue, ouvrir les portes de ce paradis terrestre qu’elle ne vivait si intensément qu’à ses côtés. Les bruits sourds qu’elle entendait, issue de la rencontre d’autant plus charnelle entre leurs deux corps étaient une ode à la félicité. Elle s’enivrait de tout cela, de son souffle chaud contre sa nuque, ses baisers au creux de son oreille. Elle n’avait de cesse d’être assoiffée par ce contact tant il brulait ses entrailles, rendait son corps d’autant dépendant de cet homme. Il jouait avec elle, savait comment intensifier et rendre impatient son désir. Elle serrait de plus en plus fort ses fesses, laissant délicieusement ses ongles s’ancrer dans sa chair dès lors qu’il initiait un mouvement qui pouvait à tout instant l’achever tant il se trouvait enivrant. Elle gémissait de plus en plus fort à l’accélération de la cadence de leur rencontre intime, si sensible et brulante contre lui. Ses lèvres dévoraient la chair de sa nuque, ses oreilles avec effusion, lui transmettant ce plaisir qui se trouvait si puissant en elle. Elle se sentait aux portes de ce lieu paradisiaque, son jardin secret n’était plus qu’un brasier sur le point de s’enflammer, exploser avec force et véhémence.

Elle n’avait plus conscience du temps qu’il s’écoulait, si ce n’est que tout son corps était en feu, sur le point d’exploser pour parcourir avec lui les sentiers envoutants et paradisiaques de ce paradis terrestre. Elle le sentait de plus en plus sensible, gourmand, impatient. Chaque mouvement lui arrachait de merveilleux râles qui s’échouaient contre sa nuque. Elle susurrait son prénom dans des plaintes de plus en plus fortes. Il le touchait, ce point sensible qui la rendait folle, prête à flancher, à se donner entièrement à lui. Son cœur ratait des battements tant ces contacts la rendaient ivre de bien-être. Elle haletait de plus en plus vivement en venant serrer sa poitrine contre son torse, laissant les mouvements de ses vêtements et de sa chair, rendre sa poitrine d’autant plus sensible, brûlante à son contact. Elle finit par franchir les portes de ce paradis, avec lui, de façon violente et incontrôlée qu’elle adorait tant. Elle le sentait atteindre cette apothéose en elle, de façon aussi intense qu’elle. Cela les rendit cruellement essoufflés, incapables de parler, pris par le plaisir. Elle gémissait contre sa nuque alors qu’elle le sentait décroitre la cadence de son bassin. La félicité qu’elle vivait était totale, si envoutante, qu’elle sentait sa peau plus sensible et réceptive à lui. Elle vint chercher ses lèvres pour les embrasser avec douceur, mais passion. Cet homme était si parfait, si unique. Elle était folle de lui, ne voulait plus que lui comme amant, comme homme à ses côtés. Elle était si heureuse dans ses bras, ne désirait nulle autre à cet instant, laissant cette félicité s’immiscer dans ses veines avec force. À partir d’aujourd’hui, il serait sien aux yeux des autres et cette pensée ne pouvait que la satisfaire et rendait cet instant si merveilleux. Un nouveau chapitre dans leur relation était en train de se tourner et la suite lui semblait toute aussi fantastique que l’aventure qu’elle menait déjà à ses côtés. Elle avait hâte de poursuivre avec lui tout simplement.

-- FIN --
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t35-jane-hanna-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco https://thephoenixsong.forumactif.org/t101-jane-jenkins-my-live-is-like-my-heart-it-s-in-underco


Contenu sponsorisé
profil +
(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Empty
MessageSujet: Re: (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins   (fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

(fini) What do you mean "we're having a baby!"? - pv Jane Jenkins

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» (fini) Mi corazón está dispuesto a escucharte | PV Jane Jenkins
» (fini) La vida no me prometió estar contigo | PV Noah Worthington & Jane Jenkins
» (fini) Why did you behave in such a mean way ? PV Alessandro
» Remind me wonders of a brand new love [PV jane Jenkins]
» (fini) I've seen your eyes before - James

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014-