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The Phoenix Song :: :: Oubliettes :: Rps :: Archives rp 2014 | | I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. | |
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Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Sam 1 Nov - 0:58 | |
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Elis aimait vivre avec Camber dans le même appartement et ses semaines d’absences pour ses entrainements rendaient l’appartement étrangement vide. Leur relation était encore tâtonnante et hésitante, mais il aimait sa présence et la découvrir un peu jour après jour. Étrangement, elle ne lui semblait pas vraiment plus accessible, plus saisissable que lorsqu’ils ne sortaient pas ensemble. Il découvrait la jeune femme à la fois forte et fragile et apprenait à l’aimer de plus en plus fort au fur et à mesure des jours et des semaines qui défilaient. Camber le surprenait toujours, mais ne le décevait jamais et leur relation avançait petit à petit, sans se précipiter. C’était loin d’être vraiment linéaire, il leur arrivait bien souvent de faire un pas en avant pour reculer de deux après une dispute qui ornait leur appartement de leurs échanges ciselés. Le jeune homme n’en tenait pas tant compte, ce ne pouvait que s’améliorer, c’était sans doute parce qu’ils étaient encore très sensibles l’un et l’autre, la situation restait toujours étrange et délicate. Ils s’apprivoiseraient sans doute, ils se comprendraient sans doute au final, et il avait hâte d’atteindre ce bonheur de ne plus mésinterpréter les gestes de chacun d’entre eux, de la heurter sans le vouloir. Ils en étaient encore loin et leur relation, quoique plus apaisée, ressentait encore les à-coups des humeurs et des gestes déplacés malgré l’attention qu’il y portait. Malgré tout, il se trouvait toujours impatient quand venait l’heure de retrouver Camber chez eux, spécifiquement après une longue journée de travail au ministère. C’était le cas de cette négociation s’éternisait avec trois homologues de pays différent sur la poudre de cheminette, son prix et l’immigration illégale en point du jour. Autant dire que le soleil était couché depuis bien longtemps lorsqu’ils sortir de la salle de réunion pour partir en repas d’affaires, car on ne pouvait recevoir de tels invités sans diner avec eux. De plus les négociations devraient reprendre le lendemain matin, mais il faisait une longue pause bien méritée après cette longue journée. Ils se rendirent au Spade’s Heart avec son tuteur et ses invités de haute marque, dans le salon privé, l’ambiance pesante de la journée ne sembla ne pas se détendre, et Elis pour la première fois convier à ce genre de repas, car il avait greffé tout l’échange, il s’en trouvait exténuer malgré la plume qui écrivait seule sous son sortilège. Il était resté concentré pour organiser les paroles sur le papier et garder le sortilège fonctionnel, il avait remercié le sort de Wincap qui lui permettait de comprendre toutes les langues. Il se trouvait un peu de trop à se repas, mais il n’avait pas vraiment la possibilité d’y échapper, même si c’était une très belle occasion de se lier à ses éminentes personnalités, il sentit bien tout au long du repas que la tension ne descendait pas vraiment entre les différents membres et même s’il ne parlait pas affaires, il ne semblait pas qu’il y ait une grande sympathie entre les membres de cette rencontre. Ce n’était pas froid, mais chaque phrase mal placée semblait pouvoir dérivé en une dispute aussi, Elis avait-il écouté les conseils de son responsable et ne fit que répondre aux questions qu’on lui posait en tentant de détendre l’atmosphère, ce qui fonctionna peut être une ou deux fois ou il avait vu se dérider un peu leurs expressions. Autant dire qu’il ne fut pas mécontent lorsqu’à plus de vingt-trois heures, ils sortirent du restaurant et que son responsable le libéra enfin de leur compagnie pour rentrer chez lui, lui disant de se reposer pour la longue journée qui les attendaient demain, quand bien même serait-il libéré un peu plus tôt, car leurs invités rentreraient dans leur pays d’origine. C’est donc après avoir salué chacun d’entre eux conventionnellement que le jeune homme transplanna vers le campus universitaire. Il se sentit vidé, mais l’air frais de la nuit le vivifiait un peu et il traina légèrement la patte pour rejoindre la résidence et son appartement en profitant de l’air de la nuit. Il entra dans son bâtiment puis rejoint bien vite leur appartement en rez-de-chaussée. Il sourit, car la lumière sous la porte laissait présager que la jeune femme n’était pas encore couchée malgré l’heure tardive. Il ouvrit la porte heureuse en souhaitant joyeusement bonsoir à sa petite amie, lui annonçant qu’il était enfin rentré. Il s’arrêta juste après avoir refermé la porte et son cœur fit un bond dans sa poitrine en se serrant immédiatement, ses poings se refermèrent et il sentit le sang lui monter à la tête, battre contre sa tempe de jalousie et de colère face à cette vision qui s’offrit à lui. Davin se trouvait là, seul avec Camber. Ils étaient assis par terre sur un livre ou un album photo, Camber semblait joyeuse en lui montrant celui-ci. Davin lui enlaçait la jeune fille depuis son dos, la tête reposant sur son épaule apparemment ravi et profiteur à cette place. Il ne sembla même pas gêné face à Elis, lui adressant un sourire enchanté et semblait il victorieux, ses mains la serrait contre lui et Camber se lissait faire, comme si c’était tout à fait innocent et naturel. « — Je ne vous dérange pas au moins ! » dit il d’un ton froid et tranchant, son regard lançant des éclairs à Davin. Sans même y réfléchir sa main s’était portée à sa baguette, cette journée était trop longue, il voulait pas supporté ce type dans le dos de sa petite amie, pas lui qui regardait Camber avec tant d’intérêt. Elle ne voyait peut-être rien, mais ça ne lui échappait nullement. Ça le rendait fou de jalousie de le trouver là, si proche de sa petite amie. Il s’approcha d’eux deux et s’adressa à Davin sans le moindre ménagement. « — Tu restes là ? Je ne te gènes pas, j'espère … Pour toi et moi, il vaut mieux que tu t’en ailles, sinon Camber risquerait de nous en vouloir à tous deux ! Alors, va-t’en d’ici ! » Il lui murmura ceci vivement en fixant avec une certaine férocité et une grande jalousie, même s’il se doutait que ça ne plairait pas à Camber, cette vision ne lui plaisait nullement. La fatigue de la journée lui empêchait toute retenue. Il respirait de façon profonde, tentant de garder le peu de calme qu’il conservait. Il fut satisfait de voir Davin dire au revoir à Camber et partir vers chez lui sans tarder pour laisser Elis recevoir sa sentence. tenue : ici |
| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Sam 1 Nov - 23:12 | |
| « Hey, Camber ! » S’était écrié son ami et acolyte alors qu’elle était sur le point de passer le pas de sa porte. « Je dois rejoindre des amis ce soir dans un bar, ça te dit de venir avec moi ? » Lui demanda-t-il alors qu’il venait l’étreindre dans une accolade amicale qu’elle lui offrait avec plaisir. Elle était ravie de le voir. Quand bien même suivaient-ils la même formation, les occasions de le voir se faisaient de plus en plus rares, en vue du décalage qu’il y avait entre leurs emplois du temps. De ce fait, ils se croisaient plus souvent qu’ils ne se voyaient vraiment et elle devait reconnaitre qu’il lui manquait tout autant que Cilian. Il était un ami précieux et il était évident qu’elle ne comptait nullement refuser sa proposition. Cela lui ferait énormément du bien de s’aérer l’esprit hors de son appartement. Elle se rendait compte qu’elle avait tendance à devenir casanière, tant la fatigue de cette dernière année se faisait oppressante. Cependant, ce soir, elle était en meilleure condition et c’est dans un sourire résolument doux et enjoué qu’elle avait répondu à son ami : « Avec plaisir ! Ça fait longtemps qu’on n’a pas pu se faire une soirée ensemble ! J’en serai ravie. Alors à quelle heure dois-je te rejoindre ? » Résolument satisfait par sa réponse, Davin lui avait offert en clin d’œil en l’informant qu’il viendrait la chercher dans une heure lorsque lui-même serait prêt. S’étant entendu sur l’heure, elle s’était donc attelée à se préparer, prenant une bonne douche pour se revêtir d’une tenue convenable pour une sortie entre amis. Elle avait donc opté pour une combinaison bustier noir qu’elle avait mise en valeur avec des accessoires fantaisies. Camber avait le sens du détail et se trouvait particulièrement coquette. De ce fait, il n’y avait rien d’étonnant à ce qu’elle se fasse belle pour retrouver son ami. Elle s’était tenue prête pour l’heure convenue et la soirée qu’ils avaient passée, s’était déroulée dans la joie et la bonne humeur. Portée par l’ambiance festive de la soirée, la jeune femme avait bu quelques verres dont les effets avaient commencé à porter leurs fruits sur son organisme. Elle se trouvait donc particulièrement joviale, riant et plaisantant avec son acolyte sur le chemin du retour. Elle lui proposa spontanément de rendre chez elle afin qu’ils puissent poursuivre leur discussion. En effet, cela faisait quelques heures qu’ils échangeaient leurs diverses anecdotes du passé, riant de toutes les bêtises et batailles qu’ils avaient menées contre des sangs purs. Son esprit obnubilé et innocent, elle s’était assise sur le tapis du salon en ramenant un vieil album photo remontant à cette époque où ils étaient des jeunes adolescents. Mélancolique de ce passé, mais de façon positive, elle avait senti les bras de Davin se glisser contre ses hanches pour observer le livre au-dessus de son épaule. Cette position, bien qu’ambigüe aux yeux de certaines personnes ne la dérangeait nullement. Au contraire, elle lui semblait naturellement bienveillante et amicale et elle se trouvait agréable. Elle venait donc de façon spontanée se tourner vers lui dans des sourires et rires francs. Elle n’apercevait nullement le trouble que son comportement pouvait initiait dans l’échine de son ami. Elle était loin d’être au courant des sentiments que le jeune homme éprouvait à son attention. Elle riait en montrant ses photos qu’elle redécouvrait avec bonheur et émotion. L’ambiance qu’il y avait se trouvait douce et chaleureuse. Il ne pouvait en être autrement avec Davin et celui-ci n’avait de cesse de la taquiner tout comme elle faisait. Cette complicité entre eux deux était naturelle et elle ne se posait jamais de question tant elle avait confiance en cet homme. Seulement l’arrivée incongrue et intempestive de son petit ami vint semer le calme au sein de la pièce. En effet, malgré l’air jovial du jeune homme lors de son entrée dans l’appartement, son expression sérieuse et colérique avait totalement chamboulé leur échange. Camber avait bel et bien remarqué qu’un élément avait irrité le sang pur. Lequel ? C’était résolument la question qu’elle se posait tandis qu’il leur demandait s’il ne les dérangeait pas au moins. Le ton de sa voix se trouvait froid et tranchant, son regard lançant des étincelles. L’alcool qui circulait dans ses veines, bien que peu fortes, l’empêchait néanmoins de réagir naturellement. Elle se trouvait surprise de le trouver ainsi et ses sourcils vinrent se froncer lorsqu’il vint gratuitement s’attaquer à son ami. Il était évident qu’il était fort contrarié de la trouver ainsi avec son ami. Elle assistait silencieuse à cette scène à laquelle elle semblait étrangère. Elle sentit Davin se relever, rompant son étreinte pour suivre l’ordre résolument désobligeant de son petit ami. Elle sentait le sang pur d’autant plus féroce et tranchant dans ses paroles alors que Davin lui disait au revoir. Camber le regardait partir, bien désarçonner par ce qu’elle venait de voir. Quelle mouche l’avait donc piqué ? Elle le fixait sans rien dire, encore bien trop surprise pour trouver ses mots. Elle fronçait de nouveau ses sourcils alors qu’elle venait fermer son album photo pour le déposer sur la table, se releva pour se trouver face à cet homme. Elle devait reconnaitre que la profondeur de son regard transperçait sa chair. Cela lui donnait un air particulièrement masculin et sexy qui était particulièrement attrayant. Elle pouvait sentir son cœur trembler dans sa poitrine alors qu’elle sentait son regard briller doucement. Elle n’était pas idiote, la lueur qui brillait dans les prunelles d’Elis était due à de la jalousie. Cela semblait évident à cet instant. Cette même jalousie qui l’avait conduit à lancer un sort sur un pauvre jeune homme lors d’une soirée au ministère. « Puis-je savoir ce qu’il se passe, Elis… ? » murmura-t-elle dans une voix douce, mais troublée. Elle se mordillait la lèvre, quel que peu mal à l’aise alors qu’elle venait glisser sa main dans sa nuque. « On ne faisait que regarder de vieilles photos en parlant du bon vieux temps. On ne faisait rien de mal. » Elle inspira profondément avant de soupirer quelque peu irritée. Elle ne pouvait s’empêcher de l’être. « Tu aurais pu te montrer plus doux avec Davin. Il n’a rien fait de mal, franchement ! » Cette fois-ci, bien que son ton se voulait doux, sa voix s’était faite tranchante et accusatrice. Elle voulait comprendre ce qu’il s’était passé, car elle n’identifiait pas les raisons de cette jalousie. Ce qui la mettait particulièrement mal à l’aise. Elle ne faisait rien de mal. TENUE : 01. 02. |
| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Lun 10 Nov - 1:33 | |
| Ce n’était pas vraiment une surprise de le trouver là. Elis le savait ami avec Camber et résolument proche de la jeune femme. Il était, avec Cilian, un de ses plus anciens amis, ceux de ce groupe d’autodéfense qu’Elis avaient trouvé pour cible à l‘époque de leurs années collégienne puis lycéenne. Aussi voir Davin dans leur appartement n’aurait sans doute pas lui poser de problème même si la rivalité et la rancoeur entre eux étaient encore tant ancrée qu’il ne saurait s’apprécier l’un et l’autre. Il y avait bien du travail avant qu’il ne sympathise avec les amis de Camber. Il faut dire qu’au-delà de cette amitié qu’elle leur donnait sans compter, ce qu’il comprenait bien sûr, elle offrait à Davin et Cilian une tendresse et une spontanéité qui était pour lui quasi étrangère. Il les enviait un peu d’avoir ce lien privilégié avec Camber. Même s’il pouvait s’honorer du terme petite amie, il ne pouvait vraiment s’enorgueillir de recevoir la moitié des attentions qu’un seul d’entre eux recevait. Il s’en contentait la plupart du temps, leur relation était si fragile, en suspend comme un numéro de trapéziste qu’il fallait encore roder. Ils n’étaient pas encore les pus proches, il y avait de nombreux tabous entre eux, des barrières qui étaient encore maintenues entre eux. Elle n’avait pas la même relation avec lui qu’avec ses amis.
C’était normal, une logique imparable, mais Elis n’appréciait guère ce sentiment. Il observait bien trop cette propension à les prendre dans ses bras, à rire avec eux, une attitude détendue et relaxée qu’elle prenait avec eux et qui n’apparaissait que bien rarement en sa présence. Habiter ensemble ne changeait pas vraiment cette situation, juste qu’il l’observait plus souvent dans l’intimité de leur foyer. Elle acceptait des baisers de sa part, mais il se trouvait jaloux de cette relation qu’elle entretenait avec ses deux hommes sans qu’il ne s’y oppose pour autant ordinairement, il savait les deux hommes importants pour elle et respectait son lien avec eux. De toute façon, il y avait peu de chance que Camber lui laisse avoir son moindre mot à dire là-dessus. Il n’aurait sans doute pas réagi aussi violemment s’il les avait trouvé attablés l’un avec l’autre à regarder ce même album. Seulement la position de Davin ne lui semblait pas appropriée du tout, bien trop profiteuse et il n’avait pu empêcher sa jalousie de s’exprimer à ses oreilles pour le faire partir.
Il la vit légèrement irritée qu’il ait fait fuir un de ses meilleurs amis, elle avait cet air froissé qu’il lui connaissait, sans doute un peu froissé par son intervention. À vrai dire, il s’attendait à ce qu’elle lui crie dessus et qu’elle le remette sèchement à sa place comme il était venu se mêler de choses qui ne le concernait pas. Il la voyait froncer les sourcils en rangeant son album photo tandis qu’il la fixait, fou de jalousie pour cet homme qui impunément pouvait la prendre dans ses bras, l’enlacer et profiter de ses formes et de l’innocence de Camber. Il ne supportait pas de le voir ainsi collé à elle, de le retrouver dans cette position autour d’une Camber si belle et sexy et de toute évidence joyeuse. Ça lui pinçait un peu le cœur et il n’avait pu qu’exprimer son mécontentement en s’adressant à Davin pour l’éloigner de celle qui était sa petite amie. Son cœur battait d’insatisfaction et de jalousie. Ell lui demande en un murmure ce qu’il se passait. Comme si c’était une question, mais elle ne semblait pas vraiment consciente. Ils n’avaient fait que regarder des vieilles photos en parlant du bon vieux temps, ce n’était rien de mal. Il leva les yeux au ciel face à tant d’innocence de sa part, ne voyait-elle pas les yeux de son ami Davin la dévorer. Elle lui reprochait de ne pas s’être montré plus doux avec son ami. Il ne faisait rien de mal franchement. Il la sentait irritée, sans doute qu’elle ne comprenait vraiment pas son comportement un peu possessif. Il soupira, le regard noir, frustré qu’elle ne comprenne pas son point de vue, qu’elle ne voit aucune mésinterprétation à ce calin dans son dos. Lui il n’y voyait rien d’anodin ou d’ingénu.
« — Rien de mal ? Non mis franchement, Camber ! Quand est-ce qu’un homme ferait ce genre de calin sans la moindre intention derrière ? » Il la fixa en soupirant, un petit peu dépité par la candeur qu’il lui découvrait, à moins que ce ne soit dû à sa grande indulgence envers son ami. Davin était sans doute un type bien pour recevoir l’amitié de Camber, mais il était intéressé par elle, il le pensait. Sans doute qu’il n’aurait pas réagi aussi violemment s’il s’était agi de Cilian dans son dos, quoique celui-ci eut sans doute la décence de se séparer de Camber en l’entendant arriver, mais dans tous les cas, il préférait que ce soit lui-même à cette place. Il y avait peu droit. Elle n’avait apparemment pas idée que ce puise le gêner qu’on la prenne ainsi dans d’autres bras que les siens. Il la fixa, toujours jaloux.
« — Tu regardais juste cet album, je te crois, mais pas Davin ! » Il l’observa, le regard profond, déterminé et assuré. Il était sur de ce qu’il disait, sur de lui à propos de cet homme. Il s’approcha de Camber en lui disant.
« — Si je faisais la même chose à une fille, ça te semblerait vraiment naturel et bénin ? Regarde ! » Il s’approcha d’elle et se glissa dans son dos, ses mains se faufilèrent autour de ses hanches pour se rejoindre au niveau de son ventre, il plaqua son dos contre elle et déposa sa tête sur son épaule dans une position similaire à celle qu’avait pris Davin un instant auparavant, mais debout contre elle. Il respira le doux parfum de ses cheveux, envieux de cette odeur que cet homme avait senti, de cette étreinte autour de ce corps fin, comme il avait surpris l’homme.
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| Elle avait beau tourner la situation dans tous les sens, elle ne comprenait pas ce qu’il se passait. La jalousie d’Elis la troublait. Elle ne pouvait nier cette évidence, d’autant plus qu’elle sentait les effets de l’alcool s’infiltrer dans ses veines. Elle était juste décontenancée, désarçonnée par cette dernière. Elle n’avait aucune idée de ce qu’il se passait dans la tête de son petit ami. Elle n’avait rien fait de mal. Ils ne faisaient que regarder un album photo en riant joyeusement du bon vieux temps. Elle ne comprenait pas et l’air résolument désespéré d’Elis l’irritait d’autant plus. Elle ne pouvait expliquer ce qui se passait en elle. C’était juste là, au sein de cette poitrine. Elle était gênée et se sentait coupable de quelque chose alors qu’elle n’avait rien fait ! C’était horripilant. Elle n’aimait pas être dans cet état, donné à Elis, un tel pouvoir sur elle. Pourtant, c’était bel et bien le cas, elle était frustrée qu’il soit fâché pour quelque chose qui n’en valait pas la peine. En y réfléchissant, en se posant deux secondes, elle sembla trouver une possibilité. Il pouvait être jaloux de leur complicité, elle l’avait déjà vu à l’œuvre lorsque ce soir-là, elle s’était particulièrement entendue avec ce jeune homme qui était devenu par la suite un ami. Seulement, Davin était loin d’être un nouvel ami. Il était comme un frère, un membre de sa famille. C’était normal qu’elle soit complice avec lui et qu’ils soient si proches. Le contraire aurait été plus qu’étrange. Elle l’entendit soupirer, le regard noir. Elle pouvait y lire cette même frustration qui l’habitait à cet instant. Il lui retourna sa question. Il semblait outré qu’elle le demande. Il lui demandait depuis quand un homme ferait ce genre de câlin sans la moindre intention derrière ? Quel genre de câlin ? Avait-elle eu envie de demander en signe de réponse, mais qu’elle se garda bien de faire. Il n’y avait d’ambigu dans l’action de Davin, du moins rien de ce genre.
Il n’avait de cesse de soupirer, le regard brillant de cette jalousie qu’elle n’identifiait pas clairement. Il lui souffla qu’elle regardait seulement cet album et il la croyait, mais pas Davin. Le ton sec de sa voix la fit frissonner alors qu’elle lâchait froidement à son tour. « C’est complètement ridicule. Davin ne me regarde absolument pas comme une femme ! » Le déni ? Sans aucun doute. Elle pensait tout simplement que c’était impossible. Il avait été le premier avec Cilian à être au courant de son homosexualité, un des rares à savoir qu’elle avait manqué d’être abusée par le meilleur ami de l’homme qui se trouvait à ses côtés, même si celui-ci n’était vraisemblablement pas au courant. Elle ne pouvait nullement songer à ce qu’il disait. C’était grotesque et cela l’irritait particulièrement. Il était seulement son ami ! Son regard tremblait alors qu’elle le voyait s’approcher d’elle. Il lui demanda si ça lui semblerait vraiment naturel et bénin de faire la même chose à une fille ? La question la dérouta alors qu’elle le fixait troublée. Elle ne savait quoi répondre à cela. C’était tellement surprenant qu’elle le laissa se rapprocher d’elle, se glisser dans son dos, ses mains se faufilant autour de ses hanches. Ce contact l’électrisa totalement. Elle sentait sa peau frémir, sensible et fébrile face à la présence de cet homme contre elle. Il avait tant de pouvoir sur elle, cela la chamboulait. Il plaqua son torse contre son dos, sa tête se déposant sur son épaule. Elle pouvait sentir son souffle chaud s’échouer contre sa nuque. Cela la chamboulait totalement. Elle sentait son cœur battre vivement dans sa poitrine. Elle se sentait perdue, incapable de réfléchir, sa colère s’évanouissant instantanément.
D’un point de vue cohérent, Elis avait pris la même position que Davin, mais l’effet qu’il provoquait en elle était totalement différent. Elle se mordilla la lèvre. Elle était confuse, son cœur palpitant dans sa poitrine. Elle inspira profondément alors qu’elle soufflait. « Je ne sais pas… Tout dépend de votre lien… mais… je perçois où tu veux en venir, Elis. » Sa voix était faible, fébrile alors qu’elle sentait ses paupières se fermer, s’enivrer de cette douce chaleur que cette étreinte particulière provoquait en elle. Elle tremblait légèrement, mais ces frissons n’étaient pas désagréables. Au contraire, elle appréciait la brûlure de ce souffle contre sa chair, l’enivrement qu’apportait le parfum de cet homme à son être. Elle se sentait prisonnière de cette étreinte, n’ayant pas la force, ni même le désir de s’en dégager. Pourtant une petite alarme en elle lui rappelait le danger de la situation, de leur position, mais son cœur ne l’écoutait pas. La chaleur de cet homme la possédait, la charmait également, tout comme ce souffle qui s’échouait contre sa nuque. Elle pouvait sentir sa respiration être aussi forte que la sienne. C’était plaisant et déconcertant à la fois. Elle sentait sa respiration se faire plus fort également alors qu’elle venait glisser ses mains sur les poignets de cet homme dans de douces caresses. « Avec toi, ce n’est pas la même chose. Cela ne me rend pas indifférente. Cette position me trouble avec toi… mais avec Davin, c’est juste une étreinte entre un frère et une sœur. Tu n’as aucune raison d’être jaloux… Vraiment. » Elle avait murmuré cela en tournant la tête doucement vers lui. Légèrement penché, son regard pétillant de fébrilité le détaillait avec émotion. Elle inspira profondément pour tenter d’amoindrir les battements de son cœur, mais c’était peine perdue. Elle pouvait admirer son visage, ses traits, la profondeur de ses prunelles, leur émoi également. Il était beau, magnifique. Elle ne pouvait que se l’avouer à elle-même. Elle se rendait compte qu’il l’hypnotisait, la chamboulait si facilement par un baiser, une caresse. Il était l’homme qui éveillait la véritable femme en elle. Elle ne s’était jamais sentie aussi sensible et faible face au regard d’un homme. Et dire qu’elle avait passé tant d’années à le mépriser. Encore aujourd’hui, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais à cet instant, elle avait seulement une envie : l’embrasser. Ses lèvres la tentaient terriblement. Dans cette position, il éveillait quelque chose d’incongru, qui la décontenançait totalement, mais qui semblait particulièrement agréable. Elle s’approchait donc doucement de ses lèvres en le détaillant avec intensité, lui demanda silencieusement de céder pour elle.
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| Il était venu l'entourer de ses bras, prenant intentionnellement la même position qu'avait eut Davin contre sa petite amie. Il se trouvait quelque peu exaspéré qu'elle n'y voit aucun mal, aucun interêt tandis qu'il voyait clairement le jeu du jeune ami de sa colocataire. Elle y restait aveugle et innocente et acceptait de Davin ce qu'elle semblait bien souvent réticente à laisser Elis faire. Il voulait qu'elle prenne conscience de ce fossé qu'elle pouvait voir sur la même action et du sens qu'on pouvait lui donner, et la légitimité de sa jalousie en cet instant. Il la serra dans ses bras, profitant de cette étreinte, de son parfum délicieux et du contact de sa peau contre sa joue, il sentait son coeur battre d'émoi contre elle. Il avait les bras autour de sa taille, la serrant contre son torse, son coeur frappant contre son dos de manière un peu incontrôlée. Le jeune homme resta ainsi, troublé par ce calin contre cette femme dont il était amoureux, charmé de sa présence. Il l'entendit inspirer, comme soumise à une certaine confusion, émotion. Elle ne savait pas, tout dépendait du lien mais elle percevait ou il voulait en venir. Elle avait une voix faible et douce, il la sentait particulièrement sensible entre ses bras, tremblant légerement entre eux. Il souffla doucement contre son cou, laissant son souffle chaud effleurer sa peu blanche. Il resta ainsi, ne souhaitant nullement se dégager de cette étreinte qui embaumait son ame de douceur, de chaleur. Il se trouvai bien contre elle, il s'enivrait de ce contact qui attirait toute son attention,laissant libre court à cette légère possessivité envers Camber. Sa jalousie vis à vis de ces deux hommes qui avait droit à temps de tolérance de sa par quand lui luttait pour le moindre câlin. La relation n'était pas la même, mais il ne pouvait souffrir de cette vision. Il avait besoin d'elle. La caresse de ses mains sur ses poignets retournèrent son âme, apaisante caresse qui ne vint pas desserrer son étreinte, séparer ses mains mais conserva leur cadenas autour du corps fin de son amoureuse. Elle lui dit que ce n'était pas la même chose avec lui, ca ne la rendait pas indifférente. Cela la troublait avec lui, mais avec Davin, c'était juste une étreinte entre un frère et une sœur, il n'avait aucune raison d'être jaloux... vraiment.
Elis soupira contre son cou avec douceur. Il y avait bien peu de chance que Davin ne la voit que comme une soeur, son regard ne pouvait nullement tromper Elis, il la serrait comme une femme. Pourtant ses paroles lui faisaient plaisir sans le moindre doute,il lui était quelque peu rassurant qu'elle ne le voit pas de la même façon, se devait il de lui informer que ses intention n'était pas partager par son frère de coeur, que celui ci n'en avait pas le même regard. Elis le pensa un instant, toutefois n'était ce pas mieux ainsi, qu'elle ne sache pas. Ca la troublerait et pas comme il l’émouvait dans cet étreinte amoureuse. Il la détailla avec douceur comme elle avait tourner le visage vers lui pour l'observer, les yeux pétillant, fébrile. Son regard s'ancra profondément dans ses yeux marrons et chamboulés. C'est dans cette position, le coeur battant promptement qu'il la vit approché ses lèvres comme une requête porté par son visage, ses yeux, son expression. Elle l'observa un instant avec envie, comme pour réclamer qu'il ne cède. Elis n'avait nul pouvoir pour résister à son regard, à ses lèvres sensuelles qui semblait appeler les siennes avec interêt. C'est ainsi qu'Elis réduit la distance entre leurs commissures à néant. Il vint s'emparer de ses lèvres pencher contre la demoiselle en s'appliquant contre ses lèvres avec dévotion et tendresse. Il vint doucement dévorer ces lèvres amoureux. Son coeur palpitait vivement, son esprit s’emprisonnant de ce contact qui faisait couler une douce chaleur dans son corps, réconfortant et bienheureux comme une tasse de café. Elis couvrit ses lèvres avec plus en plus d'ambition, de plus en plus ivre de ce contact si plaisant contre sa petite amie. Son étreinte autour de sa taille se resserra avec tendresse et passion comme sa bouche approfondissait leur échange avec grand soin et bonheur. Le bonheur s'infusait dans ses veines, troublant son âme face à l'intensité des sensations qu'il vivait entourant, envellopant Camber de sa passion pour la femme qu'elle était. Il ne désirait nullement se séparer de ses lèvres au gout sucrés, l'effluve de l'alcool était resté sur ses commissures, dans ses yeux brillant de sensibilité. Son regard sur elle ne s'éteignit pas, souhaitant pleinement profiter de la vision de Camber qui s'offrait à lui, de l'effet qu'il provoquait sur son regard, son expression, envouté par le bien-être qu'elle exprimait, le trouble qu'il observait dans sa personne.
“-La différence n'est pas flagrante de l’extérieur, Camber... Je ne peut être le seul à avoir le droit à tes bras, mais je serais bien en mal de te voir dans ceux d'un autre. Peut être suis je un peu trop possessif en ce qui te concerne.” Il avait murmuré cela contre ses lèvre avec amour et douceur tandis qu'il revenait l'embrasser une de ses mains venant se joindre aux doigts féminins de Camber pour d'un mouvement doux du bras, l'inviter à se retourner contre lui, la faire effectuer un demi tour presque danser et l'étreinte en la collant à lui pour se ré-emparer de sa bouche sans autre prémices. Il l'embrassa coller à elle avec une douce passion. Il l'aimait tant, aimait le contact tendre de ses lèvres, le corps de cette femme. Il voulait s'enivrer de sa présence, laisser son être envouté par la demoiselle s’enflammer de sa présence.
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| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Jeu 20 Nov - 14:37 | |
| Elle se rapprochait doucement de ses lèvres sans en prendre conscience. Ses prunelles n’avaient de cesse de détailler le visage de cet homme à l’aura si particulière. Il avait un tel effet sur elle. Elle n’avait de cesse d’en prendre conscience, tant un contact avec cet homme chamboulait tout son organisme. Les légers tremblements dont elle était victime en étaient les preuves formelles. Son cœur tambourinait tel un fou dans sa poitrine. Elle avait du mal à réguler sa respiration tant la chaleur de cet homme réchauffait la moindre parcelle de sa peau découverte. Elle était sous son charme. Elle ne pouvait nier cette évidence et ses commissures avaient un pouvoir enivrant, hypnotisant qui lui empêchait de détourner le regard. Elle avait envie de les embrasser, de sentir leur texture si chaude et bienfaitrice contre les siennes. Un désir incongru qui ne pouvait que bouleverser son cœur et son rythme cardiaque sans pour autant lutter contre la demande muette qu’elle lui insufflait muettement. Elle pouvait sentir le souffle chaud d’Elis frôler la chair de sa nuque comme le toucher d’une plume. Son regard était sombre, pénétrant, si masculin. Elle fondait littéralement sous le charisme de cet homme qui venait se pencher vers elle. Elle ne bougea pas, se s’éloigna nullement à l’approche de son petit ami. Au contraire, elle sentit son visage s’avancer vers le sien afin de réduire la distance entre leurs commissures à néant.
Elle était comme hypnotisée. Son corps était attiré par cet homme tel un aimant contre lequel elle ne pouvait résister. Elle accueillit donc les commissures d’Elis contre les siennes avec émotion, retrouvant la chaleur exquise et particulière la troublait tant. Elles avaient toujours le même effet perturbant sur son cœur. Elle pouvait l’entendre rater un battement pour s’emballer de plus beau tandis que ses lèvres glissaient, prenaient possession des siennes. Il s’emparait de ses lèvres avec douceur et dévotion, les dévorant avec tendresse et amour. Elle se perdait dans ce baiser, son esprit bien trop imbibé par les effets de l’alcool pour être en mesure de la mettre réellement en garde. Au contraire, cette chaleur qui l’envahissait, qui s’immisçait dans la moindre parcelle de sa chair la faisait délicieusement succombée au charme de cet homme. Elle répondait à son baiser, laissant ses lèvres recouvrir celles du sang pur avec la même douceur. Elle le sentait tout aussi sensible qu’elle ne pouvait, de plus en plus gourmand à ces baisers dont il la couvrait si obligeamment. Elle le laissait faire, se trouvant bien trop envouté pour le repousser, en avoir même le désir. Elle savourait la chaleur de cette bouche, sa douceur, l’étreinte qu’il opérait autour de sa hanche en la resserrant avec tendresse et passion. Il vint quémander l’accès à ses lèvres du tout de sa langue, lui intimant muettement à approfondir ce baiser. Une demande qu’elle ne refusa point, laissant celle-ci retrouver sa comparse dans un échange plus sensuel.
Son cœur palpitait tant à ce baiser, à l’aura si imposante de cet homme sur son âme. C’était si déroutant et pourtant terriblement additif. Elle souhaitait inconsciemment qu’il poursuive, qu’il n’arrête pas ce baiser, ne rompe pas cette étreinte. Un souhait qui ne la rendait pas moins chambouler tant elle n’était toujours pas habituée à désirer de telles choses. Elle le sentit se dégager de ses lèvres tout en ressentant une légère frustration. Elles s’éloignaient bien trop vite à ses sens qui réclamaient leurs présences. Ses prunelles sombres exprimaient l’émoi dans laquelle elle se trouvait. Elles se trouvaient pétillantes, plus fébriles que jamais, d’autant plus face au regard pénétrant qu’il lui tendait. Son cœur ne pouvait que se troubler d’autant plus, ratant de nouveau un battement tant elle le trouvait magnifique. Il lui susurra que la différence n’était pas flagrante de l’extérieur. Il ne pouvait peut-être pas être le seul à avoir le droit à ses bras, mais il aurait bien du mal à la voir dans ceux d’un autre. Sans doute se trouvait-il un peu trop possessif, le reconnaissait-il. Des paroles qui ne pouvaient que la rendre d’autant plus déstabilisée. Elis avait une telle aisance à exprimer ce qu’il ressentait, à assumer ses sentiments. C’était sans doute ce point-là qui la chamboulait totalement, qui la rendait si sensible et prompte à se laisser aller à ses côtés.
Elle déglutit doucement, son attention hypnotisée par le regard et l’aura de cet homme. Elle sentait son souffle frôler ces lèvres, son expression n’était que douceur et amour. Il l’embrassa de nouveau, ses commissures vinrent de nouveau se mêler aux siennes alors qu’elle sentait sa peau frissonner au passage des phalanges de son petit ami sur son bras à la recherche des siennes. C’était de véritables courants électriques qui parsemaient sa chair et rendaient son cœur tremblant. Elle était sous son charme, n’arrivait pas même à résister à tout cela, cette chaleur et ce bien-être qui l’assaillaient. Elle se laissa guider, venant effectuer un demi-tour lorsqu’il vint silencieusement l’intimer à le faire. Le souffle coupé alors qu’ils interrompaient ce baiser qu’ils puissent se trouver en face à face, elle fut victime de nouveau de ces lèvres si délicieuses. Un baiser dans lequel il vint la coller avec une douce passion. Une effusion qui la traversait de toute part alors qu’elle sentait son cœur s’embrasait d’autant plus fortement. Elle laissa une de ses menottes se poser en appui sur le blazer du jeune homme, à la limite du tissu. Ses doigts glissèrent contre son torse recouvert par cette chemise blanche qui lui allait merveilleusement bien. Hypnotisée par ces lèvres, elle se perdait dans ce baiser, sa menotte glissant délicatement vers sa clavicule pour rejoindre sa nuque. Collée aux lèvres de son petit ami, son âme s’enivrait de son odeur, du contact de ses doigts autour de ses hanches qui la maintenait contre lui. Son cœur n’était plus qu’un moteur qui battait follement dans sa poitrine et l’obligeait à ressentir des sensations si puissantes d’embrasement. Elle se laissait totalement dominée par ses émotions, le souffle court alors qu’elle le sentait rompre ce baiser pour qu’ils puissent reprendre leur souffle. Elle sentait ses joues s’empourprer face au regard qu’il lui tendait, la brulure que provoquait son souffle sur son visage. L’odeur si masculine de cet homme envahissait ses narines et la rendait ivre de cette possibilité de s’enivrer de son parfum si délicat. Elle inspira profondément, sa main toujours nichée contre sa nuque alors qu’elle n’était plus en mesure de réfléchir. La seule chose qu’elle savait, c’est qu’elle ne voulait pas qu’il cesse ses baisers. Elle voulait encore bénéficier de leurs bienfaits, c’est pour cela qu’elle vint elle-même cueillir les lèvres d’Elis en murmurant si faiblement que c’était à peine audible : « Ne t’arrête pas… » Était-ce la réponse à son aveu précédemment ou une invitation à poursuivre ses baisers, quitte à les rendre moins innocent ? Elle ne savait pas, elle-même si ce n’est qu’elle voulait continuer à l’embrasser, y trouvant un plaisir et une chaleur inestimable.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Jeu 27 Nov - 17:42 | |
| Elis se sentait bien contre elle, son odeur l’envoutait et choyait son être. Elle était belle, semblait fébrile sous son étreinte. Il l’avait retourné pour la prendre dans ses bras, l’embrasser à nouveau en se trouvant face à elle, son coeur battant promptement en son sein, bouleversé par la jeune femme, par cette proche étreinte, embrassade entre eux. Il l’aimait tant qu’il savourait ce plaisir d’être avec Camber, la femme qu’il aimait et qu’il désirait aussi. Elle agitait son âme, une agitation qu’il était venu chercher contre elle dans un élan de jalousie, mais apaisant. Le jeune homme frissonnait contre Camber de cette passion qu’il sentait frapper en son âme, l’arrosant de sa chaleur alimenter par le baiser qu’il offrait à sa petite amie. Il la sentait tout aussi sensible et ça l’enchantait. Elle glissa une main sur son torse et il eut l’impression qu’elle appréciait cet échange, elle ne lui montrait aucun signe de réticence, pourquoi donc d’ailleurs, ils étaient ensemble. Il sourit contre ses lèvres, appréciant ses caresses et le gout de ses lèvres sucrée et alcoolisée, mais si douce et délicieuse. Il la maintenait avec fermeté contre lui, assurant leur contact, leur proximité avec passion. Il entendait son cœur battre à l’unisson du sien, fou et précipité qui résonnait dans tout son corps pour décontenancé son esprit et allumé sa passion. Il finit par rompre le baiser pour reprendre leur souffle tous les deux, venant observer Camber, ses joues rougir doucement sous son regard flamboyant et amoureux que la jalousie avait quitté pour lisser place à la passion.
Toutefois on pouvait le confondre dans son regard. Elle était belle, attachante, et l’effet qu’il produisait sur elle la rendait plus séduisante et charmante encore à ses yeux. Il caressait doucement son dos en des mouvements de haut en bas, doux et chaleureux, mais non emprunt de désir pour le petit corps féminin qu’il enlaçait. C’est avec plaisir que comme il reprenait son souffle un instant en la fixant il vit Camber se rapprocher de lui, très près jusqu’à toucher ses lèvres pour les embrasser avec douceur comme pour lui réclamer qu’il ne cesse pas ses baisers, lui reprocher peut être cette pause. Elle murmura vraiment bas de ne pas s’arrêter, une demande presque inaudible, mais qui enchanta Elis qui dans le silence de la pièce avait bien reçu le message. Il sourit tendrement contre les lèvres de sa colocataire avant de venir reprendre ses lèvres avec plus de passion encore, répondant à la demande de celle-ci.
Elis laissa sa main glisser sur le vêtement de sa petite amie tout en poursuivant le baiser avec elle, y trouvant un grand bien être, un bonheur qui l’embrasait et brulait son âme. Cette file avait tant de pouvoir sur son cœur et pourtant il n’arrivait pas encore à laisser libre court à son désir pour elle, à son attachement profond à elle. Il était toujours très délicat et se retenait de laisser libre cours à son désir et a passion pour Camber, non qu’il n’en avait nulle envie. Pourtant cette phrase qu’elle lui avait prononcée semblait venir lui autoriser à l’embraser encore et à se laisser aller à l’ambiance chaude qui s’installait entre eux. Le voulait-elle, c’était la question qui trottait à l’esprit d’Elis, il fallait dire qu’il était doué pour casser les œufs sur lequel il marchait avec elle. Pourtant ce soir, il se laissait enivrer par cette fébrilité, cette chaleur qui les enveloppait ce soir, l’ivresse de la jalousie qu’il avait eue, de l’envie qu’il possède pour cette femme contre lui. Il l’aimait passionnément. Il glissa es doigts vers le haut de la combinaison pour baiser doucement la fermeture éclair du bustier, lentement. Il n’avait pas cessé de l’embrasser, mais surveiller ses réactions pour pouvoir s’arrêter s’il sentait qu’il dépassait ses limites. Il profitait même pour caresser sa peau blanche sur sa colonne vertébrale. Elle était fraiche et douce, c’était merveilleux de la sentir sous la pulpe de ses doigts. Il s’enivrait de sa présence, de son parfum qui lui donnait envie de la découvrir plus encore, comme il ne l’avait jamais encore fait, comme une femme.
Il la désirait et l’élan de jalousie qu’il avait eue renforçait ce besoin de lier leur couple plus encore par cette intimité. Ce n’était pas pour marquer sa possession sur elle, mais plus tôt de s’attacher à elle d’une manière sentimentale. Bien sûr, il ne s’imposerait pas, du moins sans son accord. Tant qu’elle semblait se laisser faire et répondre à s chaleur, il poursuivrait, mais surveillait la moindre trace qui pourrait lui faire douter de son consentement. Il ne souhaitait pas la brusquer, connaissant d’autant plus l’histoire de la demoiselle, il voulait qu’elle lui fasse confiance, ne pas la perdre. En même temps il avait terriblement envie d’elle et c’est ce que ses lèvres communiquaient à Camber dans leurs doux baisers contre les siennes. Des lèvres qu’il fit glisser avec appétit vers sa joue, sa mâchoire et son oreille qu’il vint mordiller lentement. Il abattit ses dents qui pressèrent légèrement son lobe pour tenter d’échauffer le corps de sa bien-aimée, éveille en elle la même passion, le même désir qui nourrissaient ses lignes. Il sentait son cœur si vif battre contre la poitrine qui s’appuyait délicatement contre son torse en accompagnant la féminine menotte de la future auror. Il vint murmurer à son oreille.
« — Je t’aime Camber ! » Il hésita un instant, se demandant presque comment continuer, s’il ne devait pas se taire pour ne pas l’effrayer, ou s’il pouvait lui avouer, presque comme pour lui demander ce qu’il désirait en cet instant. Il se mordit les lèvres avant de reprendre très bas. « — Cette étreinte me brule, ta présence m’enchante. J’aimerais lier mon âme à la tienne, te découvrir comme une femme. Je ne crois pas pouvoir apaiser mon cœur ce soir, il te réclame. » Il vint la fixer avec sérieux et profondeur, laissant son regard exprimer sa passion à l’élue de son cœur à qui il voulait offrir une si belle nuit.
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| Elle était venue cueillir ses lèvres naturellement, sans aucune pensée. Elle était incapable de réfléchir à ce qu’il venait de se passer, de ce qu’il allait arriver. Elle ne songeait plus à rien, son esprit embaumé et endormi par les effets de l’alcool qu’elle avait bu au cours de la soirée. Elle n’était pas saoule, juste joyeuse et sensible à ces propres émotions. Sa raison semblait s’être évaporée comme neige au soleil, son cœur palpitait si cruellement dans sa poitrine qu’elle avait l’impression qu’il pouvait s’extirper de sa prison à tout instant. La chaleur qui l’envahissait s’infiltrait insidieusement dans ses veines, la possédant entièrement tant ses sens se trouvaient éveiller. Elle ne voulait nullement se dégager de cette étreinte. Au contraire, elle désirait profiter du contact envoutant de ces lèvres contre les siennes, que cet homme vienne les bénir d’autant plus de cette merveilleuse passion, qui la rendait si faible. Elle était envoutée par lui, ce charisme presque sensuel et érotique qu’il dégageait tant sa masculinité s’imposait à elle. Elle pouvait voir dans ses prunelles, cette même nuance de désir qu’il avait eu lorsqu’ils s’étaient retrouvés enfermés dans la même pièce et avaient dû se découvrir d’une manière fort intime. Cette soirée restait particulièrement marquée dans son esprit. Elle avait l’élément déclencheur qui lui avait fait prendre conscience qu’elle éprouvait du désir pour lui. Il était tellement beau, sexy et terriblement envoutant lorsqu’il se trouvait lui-même hypnotisé par une femme. Par respect et ne sachant pas trop où elle en était, elle avait préféré stopper ses préliminaires, ne pas déraper plus loin que ce jeu indécent leur intimait de suivre.
Aujourd’hui, tout était différent. Ils étaient ensemble et il ne serait pas étrange que leur relation prenne cette voie. Cette pensée la troublait même si elle ne faisait qu’effleurer son esprit. Elle ne voulait pas se poser de questions, son corps et son cœur désiraient seulement profiter de cette douce sensation qui étreignait la moindre parcelle de sa chair. Elle l’avait invité à poursuivre, ne souhaitait pas interrompre l’échange entre leurs commissures. Sa main glissait contre la nuque de cet homme, exerçant de délicates caresses contre celle-ci en descendant sur sa clavicule. Élis souriait contre ses lèvres, sans doute satisfaites de la savoir si sensible à cet échange tendre et passionné qu’ils partageaient ensemble. Des baisers qui duraient plus longtemps qu’en accoutumé, empreint d’une douce passion qui semblait s’accroitre au fil des minutes qui défilaient. Son cœur se gonflait de bien-être, satisfait de ses étreintes délicieuses qu’ils s’offraient mutuellement. Elle sentait les phalanges masculines et brûlantes du sang pur glisser sur son dos, remontant le long de sa colonne vertébrale avec sensualité. Cela créait de véritables picotements dans sa chair qui lui donnait la chair de poule. Ces frisons n’étaient pas désagréables, bien au contraire, ils participaient activement à échauffer sa peau, rendant son âme d’autant plus faible face à cet homme.
Elle le laissait faire, résolument sensible à ses caresses et actions. Il chamboulait si aisément son cœur et son âme. Que lui avait-il fait pour qu’elle se sente si amoindrie, si ouverte à lui offrir ce qu’aucun homme n’avait pu acquis de sa part. Où se trouvait sa fierté, celle qui savait si bien l’empêcher de se noyer dans ces bras bienfaiteurs qui venaient faire glisser la fermeture éclair de sa combinaison, libérant sa peau pour qu’il puisse la frôler à même la peau ? Elle sentait ces phalanges créer de véritables courants électriques dans sa colonne vertébrale, éveillant plus fermement ce foyer qui s’initiait si aisément dans son ventre. Elle se perdait dans ces sensations qui l’étreignaient, suspendu à ses lèvres qui n’avaient de cesse de lui couper le souffle. Elle sentait son cœur battre si vivement dans sa poitrine. Il était fou, entièrement endiablé par la chaleur dont Elis la couvrait si obligeamment. Elle était sous son charme, son cœur se tendait vers lui et sa raison se trouvait bien trop absente pour l’empêcher de le faire. Elle se rapprocha de lui, laissant sa poitrine légèrement découverte par l’absence d’attache se coller à cet homme. Celui-ci n’avait de cesse de couvrir ses lèvres des siennes, les embrassant avec sensualité et passion. Elle soupira légèrement de frustration lorsqu’elles vinrent abandonner les siennes. Elle les sentait glisser contre sa joue, sa mâchoire et son oreille. L’esprit troublé, le cœur chamboulé par de tels contacts sensuels, elle penchait la tête pour faciliter son expédition.
Elle tremblait d’émotion, ses sens si éveillés et envoutés par cet homme. Le souffle brulant d’Elis brûlait fortement sa peau, éveillant un plaisir qu’elle n’avait jamais connu avec un homme. Elle se pinça les lèvres, déglutit en espérant pouvoir son souffle, retrouver ses esprits, mais Elis semblait vouloir autre chose. Elle sentit les dents du jeune homme se presser légèrement contre le lobe de son oreille, provoquant quelque chose d’exquis en elle. Elle sentit ses joues se teinter de rougeurs au soupir plus fort qui s’extirpa de ses lèvres. Elle sentit sa poitrine se gonfler involontairement, venant se coller plus fermement contre le torse de cet homme. Comme si elle n’était pas assez chamboulée par ce qui se produisait en elle, il lui avoua de nouveau ses sentiments, lui murmurant un « je t’aime » qui ne pouvait que d’autant plus renverser son cœur. Que pouvait-elle dire, faire pour répondre à un tel aveu ? Ce n’était pas la première fois qu’il lui disait, mais susurrait ainsi au creux de son oreille, avec cette voix emplie d’émotion et de passion, donnait une tout autre dimension à ces mots. Son cœur rata un battement d’autant plus à la suite de sa déclaration. Elle le brulait de désir, sa présence l’enchantant, lui donnant cruellement envie de lier son âme à la sienne, la découvrir comme une femme. Il ne pensait pas pouvoir calmer son cœur, il la réclamait tellement. Un aveu qui la traversa de toute part, rendant sa peau cruellement sensible alors que ses prunelles brillaient d’émoi.
Elle le fixait avec intensité, les joues rougies par ce qu’il lui avouer, consciente également qu’elle n’y était pas insensible. Bien au contraire ! Sa poitrine se soulevait difficilement, tout comme elle avait du mal à trouver son souffle. Il la rendait si faible et pourtant, à cet instant elle ne désirait nullement résister. Elle se contenta donc de glisser le bout de ses doigts contre la mâchoire de cet homme, le détaillant avec émotion. Les poils de sa barbe venaient titiller ses phalanges qui tremblaient contre sa peau. « Je crois que le mien également… » Un aveu à peine souffler dans un murmure alors qu’elle venait relever son regard pour soutenir le sien. Elle était incapable de dire ou faire autre chose. Elle avait besoin qu’il la guide, qu’il réveille la femme en elle pour qu’elle se laisse aller, répondre à son désir. Elle en avait envie également, mais restait trop timide, encore trop chamboulée par cette ambition qui s’immisçait dans ses veines. Cela la désorientait totalement.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Dim 14 Déc - 18:57 | |
| Elis était très sensible à la beauté, au corps de Camber et il la désirait comme un homme pouvait l’être pour une femme. Cette envie l’habitait pleinement et depuis quelque temps devenait de plus en plus dévorant. Ils vivaient ensemble tout en gardant chacun l’intimité de leur chambre, sans passer les caps d’un couple. Il ne voulait pas précipiter les choses, Camber lui faisait payer toute impatience par le prix fort et il faisait plus qu’attention à ne pas la bloquer. Il restait toutefois un homme amoureux, un homme qui aimait cette fille si ardemment qu’il ne pouvait renier la chair quand bien même il se montrait plus patient que jamais avec elle. Elle l’attirait, son corps lui donnait des rêves qui lui étaient encore interdits, mais si délicieux et envoûtants. Il voulait rencontrer plus intimement cette femme qui poursuivait son esprit, son âme. Il lui avouait qu’elle le brulait, que sa présence l’enchantait et qu’il voulait se lier à elle comme ils ne l’avaient jamais fait. La Saint-Valentin qu’ils avaient passée ensemble tourmentait son esprit comme il avait vu ses formes délicieuses que le faisait encore aujourd’hui rêvé. Il s’en souvenait parfaitement, un regard sur celle-ci avait gravé l’image à son regard toutefois même cela ne semblait plus lui suffire comme leur relation s’installait. Il voulait plus, désirait la jeune femme plus que tout et se lier entièrement à elle. Il désirait se donner à elle et la recevoir pleinement. Son cœur, son corps réclamaient la jeune femme.
Il sentait le regard tout aussi profond que le sien, elle le fixait en rougissant ce qui lui donnait l’air tout à fait adorable et mignon. Un petit visage timide que le jeune homme aimait tout particulièrement découvrir et relever, elle semblait si sensible, fébrile à ses paroles et à sa présence. Il la sentit caresser sa mâchoire avec douceur, sans s’offenser de ses paroles, sans le repousser comme si elle acceptait ses intentions qu’il avait données clairement à son intention comme il avait l’habitude de le faire avec la jeune femme pour qu’elle le repousse si elle le voulait. Pourtant de plus en plus souvent, elle n’opposait nulle résistance à son adresse. Elle lui avoua même que le sien également, que son cœur aussi le réclamait. C’était comme venir lui dire qu’elle avait envie de lui aux oreilles d’Elis puisque c’était le sens qu’il y avait lui-même donné. Cela ne put qu’enchanter son cœur d’homme qui sentit une vague chaude de bonheur gagner son âme, se répandre dans son corps comme il assimilait bien rapidement l’annonce de la jeune femme. Elis sourit à ce murmure plaisant qu’avait donné Camber, il ne s’attendait à rien de plus, sachant la réserve dont elle pouvait faire preuve l’empêcherait de compléter s demande. Pourtant il comprenait parfaitement le bouleversement de la demoiselle.
En lui accordant cet aveu, elle faisait un magnifique cadeau à Elis qui entendait parfaitement le sens qu’elle y mettait. Il vint s’emparer de ses lèvres pour partager cette joie et cette passion qui l’habitait à ces mots prononcés. Il cueillit la langue de sa petite amie, l’invitant à une danse sensuelle et amoureuse pour lui faire perdre la tête. Il sentait on cœur s’emballer, s’accélérer pour battre la chamade comme il embrassait avec tant de langueur la née moldue. Il lui offrait toute sa passion au travers de ce baiser tandis qu’une de ses mains glissait lentement sur sa cuisse pour la maintenir contre lui, lui donner un sentiment de sécurité et de protection qui la rassurerait. Il voulait qu’elle se sente bien contre lui pour qu’elle ne s’effraye pas et frustré son désir. Ses gestes étaient doux et amoureux, mais lents, délicat et assuré. Il la fit reculer tout en l’embrassant vers le mur dans un élan de passion, il l’emprisonna entre son corps et le mur, se collant tendrement à elle, l’embrassant toujours avec passion. Il caressait sa cuisse tandis que l’autre main se frayait un chemin sur la nuque de sa petite amie pour descendre vers son col, caresser ses épaules, la disparition de sa gorge. Doucement, sa main se déplaçait sur sa peau nue de son buste. Il la laissait glisser vers la poitrine de Camber qu’il finit par atteindre après de douces étapes de caresses au-dessus et c’est sans plus de précipitation que sa main s’invita entre eux, sur son sternum, effleurant les rondeurs envoûtantes de la jeune femme avant de s’intéresser plus calmement à l’un d’entre eux qui était délicieusement tendres sous le tissu. Comme c’était enivrant, enchanteur de sentir ainsi la majesté de Camber contre sa main. Il trouvait ce corps si séduisant et magnifique, et il aimait le découvrir au toucher, de cette manière si intime, si merveilleuse avec la jeune femme. Elle était si désirable. Elis vint la fixer avec tendresse et sourit amoureusement à sa petite amie.
« — Tu es si belle… je suis vraiment chanceux de t’avoir. » Il murmura ceci un peu à bout de souffle tant ceci semblait être un rêve, un rêve merveilleux dans la tournure qu’il tournait. Sans doute, car il avait bien longtemps attendu avant de pouvoir espérer poursuivre et revivre ce que la Saint-Valentin lui avait coupé, frustrant l’homme incroyablement cette nuit-là, même si avec le recul il pensait que c’était mieux ainsi, de l’émerveiller à présent qu’elle était sure d’elle, qu’elle le voulait aussi tout autant que lui, surtout avec l’histoire qu’elle avait connue. Elis souhaitait que tout se passe bien avec elle, qu’elle s’embrase face à lui avec joie et sans la moindre once de crainte ou d’incertitude. Il avait terriblement envie de sa petite amie et l’emporterait à présent qu’elle voulait de lui avec enchantement.
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| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Sam 20 Déc - 13:19 | |
| Cet aveu la chamboulait totalement. Il lui faisait prendre conscience qu’elle n’y était pas insensible. Bien au contraire, elle y était réceptive et cela la troublait plus que de raison, éveillait quelque chose en elle. Elle ne pouvait nier que ces baisers langoureux l’avaient désorienté, que ses sens étaient en éveil. Il provoquait tant de choses en elle, par sa présence, son toucher, ses caresses, ses baisers. Elle lui était soumise, désirant intimement qu’il poursuive ses actions tout en ayant conscience de leur dangerosité pour son cœur, son âme. Son organe vital tremblait dans sa poitrine, battant si fortement qu’elle avait la sensation qu’il pourrait s’extirper de son corps. Sa respiration se trouvait tout aussi difficile, d’autant plus face au regard si profond qu’il lui tendait. Elle avait soufflé ses mots dans une voix faible, à peine audible. Elle avait conscience du message que ces paroles transmettaient. Cela la rendait d’autant plus fébrile, car elle savait qu’elle ne pourrait reculer. Elle ne souhaitait pas le faire de toute façon. Elle voulait assumer ce désir qui s’immisçait dans ses veines. Elle n’était pas novice en la matière, elle avait déjà profité du plaisir de la chair avec d’autres femmes, mais c’était la première fois qu’elle se sentait désarçonné de la sorte, d’autant plus devant un homme.
Elle savait que cet aveu troublait Elis, son regard se fit plus profond et brillant alors qu’un sourire comblé s’affichait sur ses lèvres. Elle le rendait heureux par ses paroles, le voyait clairement comme il la contemplait avec douceur et passion. Ce regard envoutant l’enveloppait d’une douce chaleur qui bouleversait entièrement son être. Elle sentait ses prunelles trembler sous celles pénétrantes de son petit ami qui s’approchait d’elle de nouveau. Il vint s’emparer de ses lèvres avec passion, lui transmettant toute l’émotion qu’il ressentait à son aveu. Elle y répondait favorablement, succombant à cette langue qui venait à la rencontre de la sienne, provoquant un véritable raz-de-marée dans son être. Elle sentait son cœur battre vivement dans sa poitrine face à ce baiser, cette main qui s’était glissée lentement sur sa cuisse pour la serrer fermement contre lui. Ce contact était électrisant et envoutant. Sa main contre sa nuque, elle caressait cette peau sous le contact de ses phalanges, son autre menotte s’étant échouée contre la taille d’Elis pour s’accrocher au tissu de sa chemise. Il se montrait doux, délicat et amoureux envers elle, la faisant reculer d’une action assurée contre un mur pour l’emprisonner de son corps.
Elle inspira profondément entre deux baisers, le cœur si tremblant dans sa poitrine. Elle avait l’impression de perdre l’esprit, celui-ci s’enfuyant bien loin de son âme tant elle sentait sa peau brulante et charmée par les actions du sang pur. Elle fondait littéralement, sentant le contact chaud et doux de cette main glisser contre sa nuque, se frayant un passage vers son col, ses épaules, la disparition de sa gorge. Ce toucher provoquait des picotements dans son ventre, une véritable vague de sensations plaisantes qu’elle avait connus par le passé, mais pas de façon si profonde lors des préliminaires. Élis devait sentir les battements de son cœur se faire connaitre au contact de ses doigts. Sa respiration était vive, difficile entre deux baisers qu’il lui volait, qu’elle venait également provoquer. C’était délicieux, elle ne pouvait le camoufler. Elle avait peur de ce qu’il provoquait en elle, cette passion qu’il faisait naitre, cette cupidité et ambition qui s’installait dans ses reins, son cœur. Elle se laissait faire, savourant le contact de ces phalanges contre le haut de son buste avant qu’elles ne s’invitent entre ses seins, son sternum pour effleurer les rondeurs de sa poitrine.
Son cœur tambourinait dans sa poitrine alors qu’elle sentait ces doigts glisser sur l’un de ses seins, le frôler avec douceur et sensualité. Cette action ne la rendait pas insensible. Bien au contraire, cela émoustillait ses sens, son désir, cette chaleur qui s’acculait au creux de son ventre. Elle sembla trouver un petit instant de répit, bien bref lorsqu’il avait relâché ses lèvres pour la fixer avec tendresse, amour. Il lui susurra à bout de souffle qu’il la trouvait belle, qu’il était vraiment chanceux de l’avoir. Des mots touchants qui ne purent que faire monter de jolies rougeurs à ses joues. Que pouvait-elle répondre à une si douce déclaration ? Elle avait le souffle coupé, n’avait aucun mot à sa portée. Elle demeurait muette, le détaillant avec émoi alors tentait de reprendre ses sens, en vain. Le contact brulant du corps de cet homme contre le sien, imprégnait chaque parcelle de sa chair. Elle laissa ses doigts remonter sur la chemise du jeune homme pour frôler son torse, le découvrir de nouveau au travers de cette prison de vêtements. Elle les laissa retrouver le col, la nuque du jeune homme pour l’inviter de nouveau contre ses lèvres. Elle lui vola un doux baiser, seule démonstration de sa reconnaissance envers ses mots, la tendresse qu’il avait pour elle. Elle laissa ses commissures gouter de nouveau ses comparses, dans un baiser moins langoureux que ceux qu’ils venaient d’échanger. Elle ne voulait pas parler, n’en avait tout simplement pas la force. Elle voulait juste profiter de l’instant présent, puisqu’elle désirait également cet homme. Elle laissa donc ses doigts caresser sa nuque, son autre menotte glissant sur la peau nue que dévoilait cette chemise démunie de certains de ses boutons.
Elle pouvait sentir les battements vifs de l’organe de son petit ami. Celui-ci se trouvait tout aussi endiablé que le sien. Cela la rassurait, lui indiquait que l’émotion vive qui l’étreignait était commune. Elle n’avait pas eu de doute sur la question, mais pouvoir s’en assurer était plaisant, lui offrait cette protection psychologique de ne pas être la seule à succomber à ce sentiment qui s’immisçait dans ses entrailles. Elle laissa donc ses doigts rencontrer un bouton de la chemise d’Elis pour le déboutonner, lui indiquer qu’elle allait faire de son mieux pour agir, être en mesure de lui rendre ses attentions. Elle en avait envie et s’appliquait à le faire en l’embrassant toujours avec douceur. Elle caressait sa nuque, son col tout en lui retirant ce vêtement qui pouvait être encombrant pour cet homme. Elle profitait également du toucher de cette peau ferme et musclée, finement sculptée qu’elle avait déjà trouvé envoutante et plaisante par le passé. Elle finit par le désencombrer de ce vêtement sans pour autant lui retirer. Elle se contenta de l’embrasser et de venir frôler son torse à son tour, savourant délicatement la peau qui glissait sous ses doigts. Tout ceci était cruellement envoutant.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Mar 30 Déc - 19:19 | |
| La jeune femme était envoûtante, si belle, si rouge par la chaleur qu’il provoquait en elle, mais aussi peut être la gêne et la timidité qui naissait sur ses joues. Ça la rendait sublimes sous les yeux d’Elis qui la regardait avec émotion, profondeur et un tant soit peu d’ambition personnelle pour le corps féminin qui s’offrait à lui. Il la sentait discrètement caresser son torse ou son cœur battait si promptement, témoin de son émoi et de son trouble pour Camber. C’était agréable et plaisant, il la dévorait des yeux, la laissant prendre sa part, prendre son temps pour leur histoire. Ils n’étaient pas pressés, ils avaient la nuit devant eux. Elis ne souhaitait ne pas la précipiter, il préférait avancer surement et la laisser venir pour ne pas la brusquer. Il avait appris ses leçons à la côtoyer, chaque petit pas pour avancer, chaque pas de géant pour reculer, il ne voulait pas l’effrayer ce soir. Ce fut avec joie qu’il accueillit son baiser, un dont elle prit l’initiative semblait magique. Il laissa ses lèvres recevoir ses comparses avec douceur et bonheur, comme un aveu de son désir aurait pu déclencher. Le message pour Elis était clair et l’enchantait. Il laissait ses mains caresser tendrement sa poitrine et sa cuisse comme elle venait l’embrasser et caresser sa nuque, sa peau nue. Sa main chaude le fit doucement frissonner de bien être ravi qu’elle ne découvre l’affolement de son cœur contre sa paume. Il n’avait rien à lui cacher, surtout pas comme elle pouvait le bouleverser. Lui-même sentait son acolyte battre presque à l’unisson du sien, trahissant l’émotion de Camber. Il lui souriait, ravi de la voir succomber, si proche, quand lui était entièrement conquis par la demoiselle qui se trouvait face à lui. Il l’observait avec grand intérêt, doux, sensible, mais ambitieux. Il s’enchantait de a voir répondre à son enthousiasme, de la voir venir déboutonner sa chemise comme avec envie. Ça la rendait plus désirable encore comme elle échangeait nombre de baisers avec douceur tandis qu’elle lui avait entièrement ouvert sa chemise. Il eut un sourire amusé comme il constatait cela, remarquant combien elle semblait profité et désirer la même chose que lui. Un léger rire passa ses lèvres comme il sentait sa main passer sur le peu de son torse, commandant sa respiration de plus en plus profonde et chaude qu’il laissait s’échouer sur les lèvres de sa partenaire. Ça lui donnait un air envoûtant qui ne lui déplaisait guère. Il aimait la voir ainsi et ne se lassait pas du spectacle de Camber troublée. Elle était absolument sublime en cet instant. Il embrassa ses lèvres avec tendresse, savourant ce qu’elle venait muettement avouer par ses gestes et qui ne saurait mieux le combler en cet instant. Il adorait cette femme, l’aimait comme un fou et avait envie d’elle ce soir. La passion qu’il possédait, il la laissait traverser ses lèvres qu’il déposait tendrement sur celles de sa petite amie, déversant son amour en de simples gestes qu’étaient les baisers, les caresses, le regard et les sourires. Il profitait de ces contacts qui lui semblaient si irréalistes, si fantasmés, ça lui faisait tourner la tête. Son cœur battait la chamade en son cœur, complètement perdu et affolé par cette merveilleuse présence à ses côtés. Elis voulait la couvrir de son amour, être son manège magique qui envoûterait l’enchanterait en cette soirée. Il laissa ses lèvres glisser sous ses lèvres, embrasser son menton en la maintenant toujours contre ce mur. Sa main coquinement placée se décala vers sa fermeture éclair pour l’ouvrir doucement et la descendre le long de sa colonne vertébrale. Le jeune homme laissa ses lèvres descendre, prendre le chemin tracé par ses fins traits vers son cou, suivre la courbe de sa mâchoire pour rejoindre la peau lisse et délicate de sa gorge qui semblait si délicieuse. Comme un vampire, il dévora ce doux cuir en la suçant et mordillant doucement comme pour y marquer son appartenance. Toutefois, il ne se contenta pas de son cou, de cette douce chaire fraîche et légèrement salée qu’il goûtait de ses lèvres avec plaisir. Il adorait son odeur ambrée et fleurie, chaleureuse sur la jeune femme. Il caressa doucement son dos sans chercher à défaire sa combinaison et dévoiler le corps féminin de sa petite amie. Il avait un autre objectif et il était pour ses lèvres. Elis les laissa glisser le long de son col, vers sa clavicule pour les couvrir de baiser doux et attentionné comme des petites sucreries agréables. Le jeune homme s’affaira vers le cœur de la féminité, glissant ses lèvres vers ses magnifiques courbes pour venir les embrasser à leur tour, réchauffer ce qu’il gardait. Ses lèvres s’appliquèrent tendrement contre leur rondeur avec un peu de gourmandise et de malice. Il les berça de tendresse, d’amour intéressé par sa poitrine qu’il trouvait si belle , mais surtout d’éveiller ses sens, son émotion. Lui pouvait parfaitement profiter de cette peau un peu molle sous ses commissures. Il remonta sa main vers ses fesses, vers sa taille avec délicatesse. Ses mains se placèrent sur le bord de sa combinaison sous les bras de Camber pour faire glisser le haut de la jeune fille afin d’agrandir son champ de vision sur ses seins. Il embrassa là avec passion les deux trésors de sa compagne au-dessus de son sous-vêtement. Il était gourmand de son corps, de le découvrir et de le dévorer, il voulait la rendre fébrile, s’enchantait de la sentir réagir favorablement à ses attentions douces, mais ambitieuses comme un homme particulièrement enjoué et motivé. Elle était délicieuse et il la voulait. Il la voulait pleinement et simplement, juste comme un homme pouvait désirer une femme. Chaque geste ne tenait qu’à cela, qu’à la rendre folle de lui, qu’à la combler de ce plaisir. Il voulait partager un instant magique avec Camber. |
| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Lun 5 Jan - 15:43 | |
| Torse nu face à son regard, à ses doigts, Camber ne pouvait nier qu'Elis était un bel homme. Cette pensée ne lui avait jamais effleuré l'esprit. Il aurait été stupide de prétendre le contraire et elle ne l'avait jamais fait jusqu'à ce jour. Quand bien même cet homme avait eu une facilité déconcertante pour la faire sortir de ses gonds, elle n'avait jamais prétendu dire qu'il était désagréable à regarder. Certaines de ses amies nées moldus avaient eu un faible pour cet homme au caractère tranchant, parfois bien fermé et mesquin. Des facettes de la personnalité de son petit-ami qui l'avaient plus d'une fois énervée, au point de créer un froid dans leur relation. Pourtant son charisme était bel et bien réel et avait un effet déconcertant sur elle. Elle le trouvait charmant, sexy au possible dans cette tenue outrageusement débraillée. Les muscles du sang-pur, en réalité sang-mêlé, étaient fermes et finement taillés sous ses phalanges. La chaleur de sa peau réchauffait la sienne, la troubler tant elle prenait conscience que la situation créait un véritable chaos émotionnel dans l'échine de cet homme. Elle n'avait rien à lui envier. Son coeur battait promptement dans sa poitrine. Elle avait la respiration difficile tant elle sentait ses entrailles, ses reins être attirés par cet homme. Elle appréciait le toucher de ses lèvres, de ses doigts, de son corps contre sa chair. Elle qui n'avait jamais éprouvé la moindre attirance pour un corps masculin, elle se trouvait prise au piège de cette attirance qui lui faisait perdre la tête.
Elle ne parvenait pas à s'y faire, son esprit ne pouvant s'empêcher de déterminer les raisons d'une telle fébrilité de sa part, sans pouvoir l'identifier. C'était si horripilant, quand bien même savait-elle qu'elle devait inculper cette inclinaison à son coeur qui s'était entiché de cet homme. Son sourire l'envoutait, d'autant plus ce petit air amusé qui s'affichait sur son visage. Il riait tendrement contre ses lèvres, tout aussi charmé et troublé qu'elle ne pouvait l'être. Ses prunelles la dévoraient du regard tandis qu'il venait embrasser de nouveau ses lèvres avec tendresse. Elle se laissait faire, savourant le contact de ces commissures contre les siennes qui enivraient ses sens. Elle lui était délicieusement soumise, son coeur battant promptement dans sa poitrine alors qu'elle sentait son coeur battre si vigoureusement dans sa poitrine. Sa respiration était difficile tant elle avait du mal à inspirer, les commissures d'Elis s'étant glisser sous ses lèvres pour embrasser son menton, prendre le chemin de ses traits pour rejoindre son cou, sa nuque avec sensualité. Le corps délicieusement possédé par cette chaleur qui n'avait de cesse de croitre, elle soupira malgré elle, sentant la main coquine et déterminée d'Elis faire glisser la fermeture éclair de sa combinaison sans pour autant la retirer. Tel un homme avide d'une sucrerie, il embrassait, suçait délicieusement sa gorge de ses lèvres pour pour tenter d'accroitre la fébrilité dans laquelle elle se trouvait. Il y parvenait aisément, rendant le coeur euphorique et désorienté de Camber d'autant plus étourdissant.
Elle sentait les palpitations de son coeur tambourinait dans ses oreilles, la rendant sourde et fébrile. Ses phalanges n'avaient de cesse de caresser les muscles fins et fermes de cet homme qui la dévorait sans nulle gêne. Elle se rendait compte qu'elle appréciait son toucher, le contact de ses lèvres contre sa peau. Elle tentait de contenir son émoi avec difficulté, ses lèvres exprimant de doux soupirs qui la trahissaient. Cela lui faisait monter le rouge aux joues, la prenant malgré elle sans qu'elle puisse tenter de se reprendre. C'était une action vaine tant Elis semblait déterminé à l'emportait avec lui dans ce manège étourdissant qu'il maitrisait. Les doigts de cet homme flattaient son dos, ses commissures taquines et sensuelles déposant mil et un baisers contre sa peau, la mordillant, l'humidifiant par son toucher. Elle ne savait plus quoi penser de tout cela. Elle n'était pas novice en la matière, l'avait de nombreuses fois fait avec des femmes, mais ce soir, elle ne savait pas comment agir, ni quoi faire. Elle avait envie qu'il poursuive, lui faisant prendre conscience qu'elle était prête à se soumettre à sa passion. Cela était si désorientant et pourtant chaque baiser qu'il déposait sur sa chair, enivrée par les doux effets de l'alcool, lui donnait cruellement envie de connaitre cette sensation-là. Elle s'en mordit les lèvres lorsqu'elle sentit ses baisers se mouvoir au creux de sa poitrine, celles-ci effleurant les formes rondes de ses seins. Elle ferma ses paupières, posant sa tête contre le mur comme pour tenter de trouver un peu de fraicheur, de lucidité, en vain.
Elle inspirait profondément, sentant ses entrailles s'enflammer, être terrassées par un feu incommensurable, qui prenait de plus en plus d'ampleur dans son ventre. Elle finit par sentir le tissu de sa combinaison quitter son buste, dévoilant le haut de sa poitrine à cet homme qui semblait déterminé à la dévorer, ce soir. Malgré la fraicheur de la pièce, elle ne sentit nulle différence sur elle. Bien au contraire ! La chaleur qui s'acculait dans ses entrailles se fit plus forte à l'instant où elle sentit les lèvres douces et taquines de cet homme glisser contre l'un de ses seins. Ce contact l'électrisa entièrement, l'une de ses menottes qui s'étaient échouées contre la clavicule, la nuque du sang mêlé vint empoigner doucement la chevelure de cet homme avec sensualité. Elle soupira de plaisir malgré elle, le coeur prêt à imploser au creux de sa poitrine. Elle était particulièrement sensible à cet endroit, directeur du plaisir de la gent féminine. Elle s'intimait à respirer plus fortement pour tenter de calmer son trouble, en vain. C'était délicieux. Ce contact accaparait tous ses sens, son jardin secret s'enflammait tel un véritable foyer propice à un feu gigantesque. Il la déstabilisait tellement. Elle souffla le prénom d'Elis dans une voix éteinte lorsqu'il vint prendre prisonnier une des pointes de sa poitrine, une de ses menottes venant prodiguer les mêmes caresses sensuelles et douces sur ces seins qui s'affermissaient sous son contact. Elle avait chaud, cruellement chaud à cet instant. Cela était totalement bouleversant, elle chavirait dans ce voyage, qu'elle connaissait pourtant fort bien. Pourtant, celui-ci semblait différent, avait une saveur tout autre et elle était incapable de contenir son émoi. C'était juste sensuel et terriblement délicieux.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Mer 14 Jan - 0:58 | |
| Le jeune homme sentait sous ses lèvres la saveur de cette chair envoûtante qui se dévoilait sur ces rondeurs déroutantes. Elis découvrait avec un bonheur sans nom, le gout un peu salé de cette peau frémissante. Sous la caresse de ses commissures, il remarquait la chaleur de cette poitrine bouillonnante et il s’en abreuvait comme de son parfum si délicat qui flattait ses narines contre son sein. Dans ses entrailles, son cœur battait la chamade, si profondément troublante qu’il déclenchait une joyeuse bousculade. C’était un délice et une merveille de se trouver ainsi contre elle. Si deux ans auparavant, on lui avait prédit cet instant où il se sentirait si comblé et désireux de ce contact contre cette femme, il aurait juré que vous auriez bu trop d’hydromel. Pourtant il se trouvait là en cet instant, ses lèvres tâtant ce qu’elle avait de plus féminin en son corps. Elle était magnifique et Elis ne pouvait que succomber à ses pouvoirs magiques. Chaque parcelle de son corps brillait sous ses lèvres. Son corps et son cœur battaient d’une puissante fiévreuse, s’embrasait de cette terrible chaleur que la jeune femme enflammait avec ampleur. Cette poitrine était un fruit délicieux que le jeune homme croquait malicieux et ambitieux.
Comme il se trouvait heureux et entiché, le visage blotti contre ce paradis caché. L’homme connaissait un sentiment merveilleux qui coulait en son sang glorieux. Une victoire sur l’histoire que Camber et lui partageaient, elle qui les avait séparés à présent les rapprochait en un couple des plus singuliers. Camber et Elis, leur amour était un mystère particulier. Pour tous es deux même, l’explication ne semblait pas couler de source. Il connaissait chaque détail de leur relation, il n’y aurait pas parié sa bourse. Le sang pur pouvait donc s’enorgueillir, mais c’est avec humilité et dignité qu’il venait la cueillir.
Bien que conquis par cette poitrine blanche, son regard perçut ce visage féminin qui, de bien-être, flanche. Elle avait fermé les yeux et appuyer sa tête contre le parapet. Elis sentait son tourment, son bien-être qui rendait le sien plus épais. Contre ses lèvres désireuses, le cœur de la demoiselle pulsait une chamade amoureuse que le jeune amant plein d’espoir rêvait comme un serment pour ce soir. Sans qu’elle ne lui concède par le moindre mot, ses gestes lui accordaient ce plaisir nouveau. Quoiqu’il eut gouté a joie d’autre femme, tout autre qu’elle lui semblait à présent infâme et la félicité qu’il avait trouvée à leur cote, fade et blême comme un matin d’été au soleil crème. Il n’en était rendu encore qu’aux prémisses, pourtant en son âme se jouait un feu d’artifice. Déjà les vives émotions prenaient son cœur en otage. Elis contre cette poitrine nue explorait les plus belles pages. L’instant était inspirant et armait l’étudiant de plus d’impatience de frôler ce corps pour en découvrir l’essence. La poitrine était une étape vers un désir plus cocasse, mais il l’embrassait et mordillait ses pointes sans que jamais il ne se lasse. Elle y devenait plus ferme, l’autre s’éveillant pareillement sous son derme. L’homme ressentait chacun de ses frissons, l’enthousiasme le gagnait, s’offrant la plus séduisante prison. Lui aussi s’extasiait de son pouvoir, la femme savait bien par un souffle rappeler son devoir. Un murmure, son prénom qui sonna à son oreille, parmi chacune de ses caresses, le souffle vint lui aussi conduire son réveil. L’étroitesse de son pantalon s’en ressentait, mais l’américain ne cachait pas le désir qui l’habitait. Chaque frôlement contre son sein engrenait son désir et plus aucun mot ne saurait stoppe cet amoureux délire. Il la voulait pour lui, ses mains la prenaient pour lui.
Sous la caresse de sa paume descendit la combinaison, tombant par le glissement de ses mains sur le sol de leur maison. Parcourir ses cuisses dans le silence venait en cet instant bruler ses sens, chacun accru par le bonheur du contact de ce corps. Camber était parfait, couvert d’or que seul Elis était capable de voir. A ses yeux elle était exceptionnelle, un trésor caché au fond d’un tiroir, à redécouvrir pour lui rappeler comme elle est belle. Elis n’avait d’autres honneurs que de la faire sienne, que de la prendre ainsi dans ses bras pour la dévêtir de ses laines. Presque nue sous ses doigts, seule sa culotte masquait son intimité. Son regard s’éloigna de cette splendide rondeur pour deviner le secret de sa virginité. Les voilà bien inégalitaires, l’homme toujours habiller et la femme dévoilée presque entière.
C’était ans doute injuste pour son amante et Elis ne tarda pas a ôter la paroi d’une vue charmante. Pour celle qu’il aimait, c’est son torse qu’il déprimait de sa parure de tissu léger. Il savourerait qu’elle le regarde ainsi défait. Se montrer à elle un peu dénudé, mais le corps brulant, le cœur battant comme un dératé. Comme il était étrange de se trouver ainsi face à elle. Jamais le jeune homme n’imagina que ce puisse devenir naturel. Ce l’était ce soir avec celle qu’on pouvait dire son amoureuse, il ne se montrait pas tout à fait nu, mais les forme désireuse. Elle devait le voir déjà tenté par son corps fébrile, il méritait bien d’enfin gagner cette bataille difficile. Elis retourna embrasser les lèvres de Camber, un sourire aux lèvres comme il venait à elle un peu flambeur. Il se devait d’être fier, fier et tendu, pour cet instant qu’il avait tant attendu. Il s’appuya contre elle en l’embrassant, prouvant à sa belle, contre sa propre intimité son désir oppressant. Il l’embrassait avec passion, jetant loin derrière lui l’illusion. C’était réel ce baiser à demi nu, ces premier pas à deux vers l’inespéré inconnu. Elis était aux anges.
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| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Mar 17 Fév - 17:57 | |
| L’alcool imbibait ses sens, les rendait plus sensibles que jamais. C’était une sensation étrange, exquise et merveilleuse. Elle sentait son cœur battre fougueusement sous les lèvres douces, mais taquines de cet homme. Il la rendait brulante, cruellement avide de ce contact torride. Il n’était pas le premier à la caresser de la sorte. Elle avait déjà eu le plaisir de sentir d’autres mains, lèvres frôler cette partie régisseuse du plaisir féminin. Pourtant, il était le premier homme à qui elle cautionné ce droit, cette possibilité. C’était à la fois somptueux et affolant. Elle ne pouvait nier qu’une partie d’elle, désirait s’enfuir, rompre ce contact, craignant ce pouvoir qu’il gagnait sur elle, l’acculant dans cette position, celle qu’elle avait à cet instant. La sensualité de ses gestes rendait sa peau particulièrement friande de ce toucher et elle avait de plus en plus de mal à contenir son émoi. Elle avait l’impression que son corps était en feu, pris prisonnier d’une fournaise qui venait terrasser et faire taire son esprit. Son cœur battait tel un fou dans sa poitrine, prêt à exploser à tout instant. Élis la rendait dingue, rendant sa peau particulièrement ferme et gourmande sous son derme. Il la dévorait et inconsciemment elle approuvait cette action malgré les doutes qui persistaient dans son esprit. Sa main nichée contre sa nuque, les prunelles closes pour tenter d’amoindrir ses sons érotiques qui s’extirper de ses lèvres comme une ode à la luxure, elle luttait pour garder son esprit clair, sans y parvenir parfaitement.
Élis semblait se rendre compte de l’état dans lequel elle se trouvait. Sans doute devait-il sentir sa peau frémir sous ses actions. Il était si doux, si sensuel, elle sentait son corps le désirer profondément. Cette réalité était déroutante, cela la rendait particulièrement tendue. Pourtant, les caresses du jeune homme les rendaient imperceptibles, invisibles. Elle était bouleversée par deux aspects diamétralement opposés en elle : son désir d’indépendance et son désir en tant que femme. Elle sentit la chaude paume de l’Américain glisser sur ses côtes, sa hanche pour faire glisser sa combinaison au sol. Il effleura ses cuisses avec sensualité, rendant sa peau particulièrement sensible à son toucher. Elle inspira plus profondément. Elle pouvait entendre les battements de son cœur tambouriner dans ses oreilles. Elle ouvrit ses yeux, observant l’expression masculine, avide et érotique de cet homme. Il s’était éloigné d’elle pour l’admirer, lui montrant par un regard tout le désir qu’il avait pour elle. Elle en avait le souffle coupé malgré la désagréable sensation d’être prise au piège. Elle sentait sa respiration sifflante alors qu’il venait retirer sa chemise, offrant la vision de son torse à son regard. Il était beau, magnifique. Camber ne pouvait le nier. Elle sentait le feu dans ses entrailles redoublait de force alors qu’elle pouvait observer qu’il était dans le même état qu’elle ne pouvait l’être. Elle déglutit difficilement en le sentant revenir vers elle, ses lèvres s’emparant des siennes avec sensualité et appétit.
Elle sentit ce torse se coller à sa poitrine tandis que son bassin venait se presser contre le sien. Cela la fit gémir malgré elle, sensible à ce contact qui venait d’autant plus éveiller ses sens. Elle pouvait sentir l’excitation de l’Américain contre sa féminité, s’imposant si sensuellement et avec envie contre elle. Elle se sentait perdue, légèrement inexpérimentée dans la chose. Elle ne savait pas comment agir, quoi dire, quoi faire pour lui transmettre ce qu’elle ressentait à cet instant. Tout était confus, partagé entre envie et crainte. Elle avait peur de le toucher, de caresser ce corps avec une envie non dissimulée, de laisser ses instincts de femmes prendre le dessus. Elle craignait de devenir une femme, mais pas n’importe laquelle. Une femme soumise, dépendante de son amant tant le plaisir qu’il pouvait lui prodiguer était intense. Elle n’avait pas de doute sur les capacités d’amant d’Elis, il savait comment éveiller le désir d’une femme, mais elle n’avait aucune expérience avec un homme. Son cœur paniquait dans sa poitrine, une sirène s’alarmant dans son esprit sans qu’elle puisse véritablement l’exprimer. Elle sentait ce torse frôler sa poitrine, venant se mouvoir contre les pointes de ses seins, terriblement sensibles, tout comme ce bassin pressé contre le sien. Elle laissa ses doigts remonter les bras de cet homme. Leur expédition se faisait hésitante, inquisitrice. Elle tentait une approche, un moyen de participer sans trop s’engager, laissait son ambition de femme lui faire découvrir une facette de sa personnalité qu’elle méconnaissait, avait tant du mal à accepter.
Pourtant sa peau et son cœur étaient en émoi sous le derme si brulant et conquérant de cet homme. Elle laissa le bout de ses phalanges rejoindre ses épaules, caresser cette nuque avant de rejoindre ses clavicules. Sa peau était douce et légèrement moite. Elle pouvait sentir son rythme cardiaque tout aussi endiablé que le sien. Elle le sentit renforcer d’autant plus le contact entre leurs deux êtres avec sensualité. La fraicheur du mur n’avait aucun effet sur elle et elle sentit ses lèvres exprimer de nouveau un gémissement entre deux baisers. Elle se pinça les lèvres, le regard tremblant face à celui d’Elis. Elle le dévisagea, le cœur palpitant excessivement dans sa poitrine. Elle hésitait, ses doigts venant suivre leurs chutes sur les pectoraux, les pectoraux fins et musclés de l’Américain. Ils trouvèrent la bordure du pantalon d’Elis, venant s’échouer à cet endroit, près de la chute de reins de celui-ci. Elle sentait qu’il était réceptif à cette action. Elle pouvait sentir son regard sur elle, si intense et pénétrant. Ses doigts tremblèrent légèrement en venant desserrer cette ceinture. Elle releva son regard vers le sien, un peu perdu. Elle se pinça de nouveau les lèvres en venant ouvrir ce pantalon. Elle ne savait pas quoi dire, comment exprimer à l’oral ce qu’elle ressentait à cet instant. Néanmoins, elle avait envie de lui, elle sentait, ses entrailles le réclamer et c’est pour cela qu’elle agissait en conséquence. Elle se pencha de nouveau pour capturer ses lèvres en soufflant.
« Guide-moi, Elis… » C’était une requête à peine murmurée, mais qui était importante pour elle. Elle voulait qu’il la guide dans cette nouvelle expérience, qu’il l’aide à identifier ce qu’elle pouvait faire pour demeurer elle-même. Elle était légèrement craintive, avait seulement besoin qu’il l’aide à se lâcher, être cette femme dont il était tombé amoureux, même au travers de cet acte intime et sincère. Il la rendait si faible.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Lun 23 Mar - 19:23 | |
| Elis sentait le trouble de la jeune femme, il pouvait remarquer ses tremblements, les battements de son cœur qui s’activait si fort contre sa poitrine. Le jeune homme embrassait la demoiselle en douceur, lui-même se sentait particulièrement émoustillé par leur relation si intense et sensuelle. Son regard tremblait, son cœur palpitait d’émoi au milieu de leurs ébats. Il sentait son doigt féminin venir le découvrir avec un grand intérêt, délicatesse et tendresse. Le stagiaire au ministère appréciait sa tendresse. Il sentit ses mains trouver le chemin de son pantalon, tremblante et hésitante mais définitivement envoutante pour le cœur faible d’Elis à cette jeune femme. Il sourit doucement, pour la rassurer, pour l’encourager et aussi car c’était vraiment plaisant. Il la sentit desserrer sa ceinture, ouvrir son jean dans des gestes timides mais déterminé. Elle semblait perdue sous le regard intense d’Elis qui se mordillait les lèvres d’émoi. Il la sentait effrayée mais pleine d’envie, il avait envie d’elle, il était effrayé. Son cœur battait si vite, si déboussolé et enthousiaste. Elle lui murmura de la guider, d’une voix délicieuse, un murmure intime et troublant, empli de la confiance et du désir qu’elle portait en ce message. Il eut un doux sourire tout en rejoignant ses lèvres avec douceur, résolument conquis par cette requête qu’elle avait prononcée à son égard. L’étudiant la sentait craintive, inexpérimentée sans nulle doute. C’était adorable à ses yeux, envoutant et délicieux. Il voulait l’embrasser et la guider dans cette nouvelle aventure pour chacun d’eux deux, dans cette étape si délicate et merveilleuse. Il glissa une de ses mains sur le visage de sa petite amie avec une grande douceur et tendresse.
Il caressa ses traits acceptant muettement ce qu’elle venait de lui réclamer, il ne pouvait qu’y répondre positivement à cet instant car il adorait cette demoiselle. Il prit donc soin de lui faire comprendre par son regard assuré et ses caresses tendre qu’il avait compris le message, qu’il tiendrait ce rôle qu’elle désirait lui faire prendre. Il glissa donc sa main de sa joue à son cou, à son épaule, suivit les courbes de son bras pour rejoindre sa main sur son pantalon, la caressant doucement de la sienne, le cœur palpitant comme il joignait ses doigts aux siens. Le feu brulait en lui et d’une main coquine, il plaça cette menotte féminine sur la bordure de son boxer, accompagnant sa main dans de douce caresse discrète sur son sous-vêtement. Il sentit son intimité réagir à cet effleurement sensible. Il n’avait aucun doute qu’elle se trouvait aussi sensible que lui à ce genre d’avance. De sa main il guidait la découverte de la forme bossue sous son boxer, une bosse qui déclenchait un terrible feu à chaque fois qu’un doigt la pressait au travers du tissu, ses doigts avaient tant de pouvoir sur l’étudiant en politique magique.
Son autre main s’intéressait à la culotte de la demoiselle, ses doigts s’invitaient sur son territoire satisfait du doux contact du tissu qu’il désire dépasser mais n’osait réellement entreprendre de tel mouvement. Il se contentait de venir émoustiller le slip de la demoiselle, caresser le centre de son plaisir de façon plus ou moins pressante. Son autre main accompagnait la jeune femme en la rendant de plus en plus entêtante, de plus en plus frivole pour son amé qui était conquise par Camber, il menait ses caresses contre son intimité de plus en plus intensément. Son âme s’endiablait de ce contact et il captura à nouveau les lèvres de sa petite amie, lui avouant combien il trouvait cela délicieux, qu’elle avait des doigts de fée. Elle le rendait si sensible, si amoureux. Il lâcha sa main pour la laisser poursuivre seule sa manœuvre, glissant sa main entre les fesses de la jeune demoiselle avec envie, y marquant son désir avant de lui ôter le seul vêtement qui lui résistait encore.
« - Déshabille-moi Camber ! Je serais tout à toi, je veux m’offrir à toi ! Tu es si belle. » Ses doigts parcourait ses forme avec envie, elle se trouvait terriblement désirable, si belle et féminine. Il voulait la faire rêver, l’emmener au bout de cette relation intime et inconnue de leur couple. Il se laissa déshabiller par son amante, sous ses doigts mal-agile mais si adorables et sensuels. Lui poursuivait ses caresses, rejoignant la partie intime de la demoiselle, hésitant un instant à appliquer sa main contre l’entrée de son jardin secret avant de venir le découvrir avec plaisir, s’installer dans sa chaleur, se frotter à cette partie légèrement moite et émoustillante au possible. Il l’aimait tant, la voulait tant. Il désirait cette femme au possible, tendrement.
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| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Mer 25 Mar - 0:03 | |
| Accepter sa féminité n’était pas chose facile pour Camber. En effet, même si d’apparence, elle n’avait rien à envier aux autres demoiselles tant elle savait se mettre en avant, au fond de son âme, elle avait toujours su rester maitresse de ses gestes et actions. De ce fait, la fébrilité que l’Américain provoquait en son cœur et son corps était intolérable pour son caractère indépendant. Son esprit semblait prendre conscience qu’elle devenait dépendante de cet homme et cela la terrifiait. Il faisait naitre tant de choses en elle, c’était si déroutant, tourmentant. Tout son être voulait se dégager de cette étreinte, de cette fournaise qui brulait dans ses entrailles, mais une force invisible la maintenait là, prisonnière des baisers et caresses de cet homme qui réveillait quelque chose d’étrange en elle. Elle ne pouvait pas mettre de mots sur ce qu’elle ressentait. Tout ceci était très confus et elle-même n’était nullement en mesure d’identifier très clairement la nature de tout ce chaos qui résidait en elle. Pourtant, inconsciemment, elle savait que tout ceci était dû aux sentiments qu’elle portait à cet homme, qu’elle avait fini par accepter, sans pour autant être en mesure de les comprendre. Si elle devait passer ce cap intime avec « lui », cet homme qui la rendait si « faible » sans qu’elle ait la force de fuir, désirant devenir sa proie malgré elle, elle avait besoin qu’il la guide. Il devait lui montrer le chemin qu’elle devait prendre pour être cette femme dont il était tombé amoureux.
Toute confiance l’avait quitté et c’était effrayant. Il la rendait si différente, aux antipodes de ce qu’elle avait toujours été avec lui. Il était évident que l’alcool qui coulait dans ses veines rendait toutes ces pensées floues et faisait ressortir des pulsions sexuelles qu’elle ignorait posséder pour cet homme… Du moins pas aussi intenses… Elle lui avait alors demandé de la guider, étant bien incapable de raisonner par elle-même. Son cœur battait si vivement dans sa poitrine qu’elle se trouvait totalement submergée par ces émotions qui la traversaient si vivement. Dans un geste doux et bienveillant, elle sentit une des menottes d’Elis se poser sur les traits de son visage, les caressant avec tendresse. Elle sentait son regard trembler légèrement face à celui que lui tendait cet homme. Les prunelles de l’Américain perçaient sa chair, la fixant d’un air assuré qui lui indiquait clairement qu’il avait compris sa demande. Cela n’avait de cesse d’accroitre son trouble. C’était si confus en elle. Sa chair frissonna au passage de ces phalanges contre sa nuque, son épaule, le long de son bras pour rejoindre sa menotte. Cette dernière n’avait pas bougé de place, comme paralysée par ce qu’il allait se passer, qu’elle ignorait tout en connaissant tous les mystères. Il n’était pas son premier, elle avait déjà connu l’ivresse d’une nuit de luxure, mais il serait le seul homme à pouvoir la toucher de la sorte.
Ce toucher délicat électrisait sa chair tandis que ces phalanges venaient s’entremêler aux siennes. Dans un geste lent, mais précis, elle sentit cette main conduire la sienne contre cette partie qu’elle n’osait point toucher. Elle effleura sous le joug de cet homme ce boxer qui retenait prisonnier, une partie résolument sensible de l’anatomie de cet homme. Ce contact la troubla malgré elle, se trouvant bien inconnu pour la jeune femme qui n’avait jamais expérimenté une telle chose avec un homme. Comme elle le lui avait demandé, il vint la guider en effectuant des caresses avec sa main contre cette forme bossue, révélant l’excitation avancée dans laquelle il se trouvait. Elle en avait le souffle coupé, son cœur palpitant fougueusement dans sa poitrine. Elle laissait la pulpe de ses phalanges découvrir la douceur et la chaleur du tissu au-dessus de cette intimité mystérieuse. Elle savait Elis réceptif à tout cela comme elle-même se trouvait fébrile sous l’ambition de ces doigts contre le tissu de son sous-vêtement. Il provoquait de véritables décharges en elle, rendant ses respirations plus fortes, plus difficiles. Elle se laissait conduire, sentant la main d’Elis plus pressante contre sa fierté, lui demandant de poursuivre ces bienfaits qu’elle semblait lui prodiguer.
Camber n’osait pas soutenir son regard, mais observait ce visage particulièrement masculin et sexy appréciait ces caresses qu’elle lui fournissait sous son contrôle. Ce n’était nullement déplaisant, bien au contraire, mais si perturbant et nouveau pour elle. Elle finirait par s’y habituer, n’avait aucun doute à ce sujet, mais demeurait encore bien timide malgré les contacts de plus en plus ambitieux que sa paume prodiguait contre la virilité de son petit ami. Elle sentit les lèvres d’Elis s’emparer de nouveau des siennes dans un baiser sensuel. Il lui avouait qu’il trouvait cela merveilleux, considérant qu’elle avait des doigts de fée. Des paroles qui ne pouvaient que la désorienter d’autant plus alors qu’elle sentit la main de l’Américain abandonné sa comparse pour retrouver la texture de ses cuisses, de ses fesses. Ce geste la surprit, interrompant son geste quelques secondes. Elle le sentit légèrement soupirer de frustration contre ses lèvres et elle comprit qu’il désirait qu’elle poursuive. Ce qu’elle fit maladroitement, tâchant de garder la cadence et la pression identique à celle qu’elle avait sous son contact. La virilité d’Elis n’avait de cesse de gagner en vigueur, devenant très protubérante contre le tissu de ce sous-vêtement qui semblait de trop, tout comme le sien. Même si tout son esprit était obnubilé par cet homme, son corps se trouvait tout aussi fébrile que le sien. Elle-même étouffa un léger gémissement de frustration lorsque la menotte coquine d’Elis vint s’éloigner de son jardin secret pour lui retirer le dernier rempart.
Elle se retrouva nue face au regard pénétrant de l’Américain qui lui demanda de le déshabiller. Il désirait être tout à elle, s’offrir à elle tant il la trouvait belle. Des paroles qui la firent légèrement trembler d’autant plus face aux frôlements des mains d’Elis contre ses formes. Le souffle court, elle s’exécuta sans oser trop affronter le regard de cet homme qui semblait tant éveiller un torrent de chaleur dans ses entrailles. Chaque parcelle de sa peau était réceptive au contact de ces menottes qui n’avaient de cesse de l’effleurer, la découvrir avec douceur et avidité. Elle sentit une des menottes de l’Américain glisser contre l’une de ses aines pour venir rejoindre le cœur de sa féminité, pressant ses doigts contre cette partie qui ne semblaient pas avoir de secrets pour le jeune homme. Elle souffla de plaisir contre le visage d’Elis, son regard se relevant vers le sien. Elle avait chaud, sa peau cruellement brulante sous le contact fripon de ces phalanges au creux de sa féminité. Elle laissa l’une de ses menottes s’appuyait contre l’avant-bras de son amant alors qu’elle soufflait son prénom. Elle sentit ses joues rougirent de confusion. C’était si envoutant et perturbant… Elle se pinça les lèvres avant de venir l’embrasser à son tour. Elle laissa ses commissures recouvrir ses comparses dans un baiser doux et sensuel tandis que sa menotte libre venait retrouver la partie intime de son colocataire et petit ami. Elle sentit son cœur s’emballer d’autant plus fortement face à la fermeté de cette fierté, découvrant pleinement ô combien il se trouvait excité par elle, par ce qu’elle prodiguait, ce qu’il lui offrait. Elle recouvra donc ce soldat de sa paume en tentant de reproduire les actions précédentes. Elle avait tout simplement l’impression de devenir folle tant ses entrailles brulaient face à la fournaise qu’il provoquait en elle. Elle avait envie de lui.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Jeu 16 Avr - 23:29 | |
| Camber était splendide sous ses yeux, nue, entièrement. Elle était vraiment belle sous ces yeux, pure et merveilleuse, timide. Sa nudité enflammait son âme sous son regard. Camber était sexy, féminine et tout ce qu’il y avait de plus attrayant en ce bas monde aux yeux d’Elis qui dévorait la jeune femme les yeux flamboyant. Il n’avait aucun doute sur le désir qu’elle provoquait en lui. D’ailleurs celui-ci était quelque peu visible et évident. Il avait dirigé la main de sa petite amie pour qu’elle prenne conscience de l’effet qu’elle lui faisait, pour qu’elle ressente son excitation face à sa beauté mais aussi car la caresse de sa ma in était merveilleuse. Ça lui prodiguait un grand bien-être, un frisson qui embarquait son âme et son cœur. Elle semblait troublée face à ses réactions, du pouvoir qu’elle possédait sur son corps par le moindre frôlement de sa main contre son intimité. Il l’avait guidé mais relâcha son étreinte pour la laisser libre maitre de ses actions et de découvrir son corps, lui demandant seulement de le déshabiller pour qu’elle puisse elle aussi profiter de la vue de son amant, connaitre ses secrets couvert par son pantalon. Camber s’exécuta quoiqu’il la vive assez mal à l’aise face à lui. Il remarqua qu’elle ne savait ou poser son regard, n’osant ni trouver ses yeux, ni sa nudité. Il sourit tendrement à cette constatation comme il tentait de la rassurer en caressant doucement son dos d’une de ses mains.
Lui-même profitait de rencontrer cette féminité du bout de ses doigts, découvrant le splendide corps de la jeune femme qui était bien moins insensible qu’elle n’y paraissait. Sur le bout de ses phalanges, il pouvait sentir la chaleur de la demoiselle qui venait humidifier ses doigts. Il sentit le souffle brulant de la demoiselle parcourir son cou, il avait chaud lui aussi, le regard brulant de son feu intérieur. Il la voyait les joues rosies par le même désir. Elle l’embrassa avec douceur, gagnant le sourire et le cœur d’Elis qui se sentit particulièrement gâté par la jeune femme. Avait-elle conscience du bonheur, du bien-être qu’elle lui procurait. Il ne pouvait mentir à ce sujet, bien sûr mais elle l’honorait par le moindre de ses geste, envoutant entièrement le jeune sorcier. Elle revint de sa propre initiative enchanter l’âme et le corps du jeune Elis, elle vint prendre son intimité entre ses doigts féminins. Leur contact était chaud et enivrant, il déclenchait des feux de joie dans son corps comme si elle était venue allumer une bougie dans ses entrailles. Il gagnait en confiance et fierté, se sentant plus fort et puissant par les bienfaits que lui offrait Camber.
Il lui souriait, murmurait à son oreille qu’elle était belle, parfaite. Elle le bénissait de ses gestes et il venait le lui rendre. Il infiltra ses doigts en éclaireur dans le jardin secret de sa petite–amie pour venir stimuler le bonheur de la jeune femme. Il caressa l’entrée du jardin avant de s’enfoncer avec un peu plus d’assurance dans le méandre de ce jardin qui offrait tant de merveille. Son autre main se faisait bien plus sage, rassurant la demoiselle par de douce caresse sur son cou, son bras, ses hanches. Il continuait de l’embrasser avec ça tendresse, souriant contre ses lèvre du bonheur d’être si proche, si intime avec elle. Il en avait eu tant envie qu’il se sentait béni par cet instant, enchanté, honoré.
Apres des caresses de plus en plus profonde, sa main fini par abandonner sa victime pour venir se reposer sur la fesse de la jeune fille. D’une pression, il la dirigea vers la chambre, vers son lit pour l’y allonger. Il la trouvait splendide, sexy à souhait, surtout les joues rougies et l’air toujours un peu timide quoiqu’il n’avait aucun doute sur son désir. Au-dessus d’elle, la vue était sublime sur les paysages arrondis de ses courbes. Il souriait, il était ravi et la dévora une nouvelle fois du regard avant de venir embrasser ce magnifique cou, ce sublime col, cette délicieuse poitrine, le sein gauche sous lequel battait son cœur, puis le sein droit. Il mordilla doucement les pointes déjà un peu fière de la demoiselle, une de ses mains caressait sa cuisse, l’autre servait d’appui sur la couverture fraiche. Il descendit encore un peu ses lèvres vers son ventre, puis encore un peu. Sa main vint manier une de ses cuisses avec art pour les écarter, pour offrir une place à son visage qui s’immisça entre elles deux. Il déposa ses lèvres là, il l’embrassa là, juste au-dessus de son intimité avant de venir la rencontrer avec ses lèvres. Il voulait la rendre folle sans l’effrayer mais quelque chose lui disait qu’elle connaissait cette sensation.
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| | | Je ressemble à « : phoebe tonkin ». J'ai égaré : 239 parchemins. Ma bourse est remplie de : 98 et j'ai : 38 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Lun 20 Avr - 22:59 | |
| Son ambition grondait délicieusement dans ses entrailles. Malgré la nouveauté de ce geste, sa gêne, elle essayait de lui prodiguer les mêmes délices qu’il appliquait à son être. Elle le sentait réceptif, ce soldat venant gagner en confiance tout contre la paume de sa main. Elle n’avait de cesse de se tendre avec fierté, devenant plus présente sous le toucher de ces doigts. Une caresse étrange, qu’elle réalisée avec timidité, malgré le bien-être d’Elis. Il semblait ravi, sa respiration se faisait plus difficile, troublée par le plaisir qu’elle devait lui offrir, tout comme lui-même bénissait son corps. Ses joues s’embrasaient face à la situation incongrue qu’elle vivait avec cet homme. C’était si déroutant l’effet qu’il avait sur sa chair, son corps. Elle tremblait de plaisir sous le toucher de ses doigts qui s’immisçait insidieusement en elle pour intensifier l’état dépravé de son être. Selon le sang mêlé, elle était belle, parfaite, des compliments qui rendaient ses joues plus vives de ces rougeurs qui n’avaient de cesse de parsemer son visage. Son cœur cognait dans sa poitrine avec force tant il la bouleversait. Les phalanges d’Elis n’avaient de cesse de caresser l’entrée de son jardin intime avant de s’enfoncer, le parcourir pour frôler ces points érogènes. Il y parvenait totalement. Cela lui faisait perdre la tête, toute contenance. Elle était faible par ce toucher, tâchait de se concentrer sur ses actions pour oublier ô combien elle était sous le charme de cet homme, la crainte qu’elle éprouvait à ce fait. L’autre menotte du sang mêlé frôlait sa nuque, ses bras, ses hanches avec une douceur infinie. Les lèvres de l’Américain s’emparaient des siennes avec sensualité et tendresse. Elle pouvait voir au travers de son regard qu’il était heureux, empli d’un bonheur certain. Il rayonnait tel un dieu, son sourire se trouvait si attrayant. Tout ceci la troublait horriblement.
Elle sentait son cœur et son corps défaillir à ces frôlements de plus en plus avides, pénétrants. Elle avait de plus en plus de difficulté à réguler sa respiration, ses gémissements qui s’extirpaient de ses lèvres avec force. Elle crut faiblir à l’instant où elle sentit ses doigts s’éloigner de son jardin secret. Le souffle court, bouleversé par toutes ses sensations qui l’étreignaient, elle l’observa, se trouvant bien incapable de lui résister. Elle se laissa guider vers la chambre d’Elis, découvrant par la même occasion cet antre qu’elle n’avait jamais explorer. Il vint l’allonger sur le lit pour la surplomber. La fraicheur des draps eut peu d’effets sur la fournaise qui résidait dans ses entrailles. Elle frissonnait sous la profondeur du regard de son petit ami, de son sourire. Il savourait ses courbes féminines tout comme il lui offrait une vue admirable sur ses atouts masculins. Contrairement à cette fois où elle avait manqué d’être touchée contre son gré, elle se sentait légèrement plus en sécurité. Elle ne voyait pas en son regard, ses touchers, une quelconque attaque malgré qu’elle se sentait encore bien gênée. Son corps frémir aux caresses de ses lèvres contre sa nuque, son col, sa poitrine. Elle sentait sa poitrine se soulever avec force, ses menottes venant serrer doucement le tissu du drap pour contrôler ses soupirs de bien être qui s’extirper de ses lèvres. Son corps s’embrasait d’un feu incommensurable, entêtant. Elle devait reconnaitre qu’elle appréciait tout cela, que son corps réclamait ces bénédictions, ambitieux de découvrir des sensations encore plus exfoliantes.
Il agissait de façon douce et ambitieuse contre sa chair, ses lèvres dévorant sa poitrine, ses seins avec sensualité, l’une de ses menottes caressait sa cuisse. Elle le laissait faire, se trouvant bien incapable de résister à de tels touchers. Elle avait juste la sensation que son cœur allait lâcher tant il était fou dans sa poitrine. Elle couvrit sa bouche de sa main lorsqu’elle sentit les lèvres de cet homme descendre au creux de sa féminité. Un toucher qui l’électrisa de toute part. Elle sentit sa colonne vertébrale être traverser par un frison intense. Elle se mordit la lèvre, sentant sa gorge exprimer un gémissement de plaisir. Le contact de ces commissures contre les lèvres intimes de sa féminité était exquis, déroutant. Elle sentait Elis particulièrement sensible à ses réactions. Il venait taquiner cette partie de ses lèvres, l’embrassant dans de doux baisers pour l’habituer à sa présence. Un toucher qu’elle avait expérimenté de nombreuses fois avec des femmes. Elle sentait ses reins s’endiabler au toucher de cette barbe contre ses commissures intimes, de cette langue qui venait gouter son bouton de chair. Ses phalanges vinrent enserrer le tissu du drap avec force alors que ses cuisses venaient s’ouvrir d’elles-mêmes, son corps charmait par ses exquis frisons de plaisir qui venait titiller son plaisir. Elle avait de plus en plus de difficulté à réguler sa respiration. Elle n’avait de cesse d’inspirer profondément pour tenter de calmer ses frétillements qui chamboulaient son ventre. Elle sentait ses prunelles s’embrumaient face au plaisir qu’il lui procurait. Ses gémissements se firent de plus en plus fort tandis qu’elle sentait les ambitions et bienfaits d’Elis s’intensifier au cœur de sa féminité. Il la dévorait entièrement, laissant ses doigts participer à la découverte de ce jardin secret.
Elle souffla de plaisir, son cœur au bord des lèvres, ses reins se soulevant avec force terriblement chamboulés par ses baisers et taquineries. Il la rendait dingue et cela n’avait de cesse d’accroitre au fil des secondes qui s’écoulaient. Les rougeurs qui parsemaient ses joues n’avaient de cesse de devenirs plus forts. Elle succombait face à cette chaleur qui lui faisait tourner sa tête. Ses lèvres finirent par gémir le prénom de son petit ami comme une supplique, un appel à arrêter ou à poursuivre. Elle ne savait pas elle-même. Ces picotements étaient bien trop violents pour que sa raison puisse concrètement songer à ce qu’il se déroulait. Elle se perdait dans les méandres de ce plaisir qu’elle découvrait de nouveau grâce à cet homme. Pourtant, elle se sentait toujours gênée, mais sa crainte semblait s’être affaiblie en comparaison à cette ambition qui grondait de plus en plus furieusement dans ses reins. C’était si déroutant.
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| | | Cameron MacAllenDepartment member Je ressemble à « : Daniel Gillies ». J'ai égaré : 177 parchemins. Ma bourse est remplie de : 55 et j'ai : 39 Boîte à secretSi tu veux en savoir plus sur moi...: Mes études: Mes liens: | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. Sam 2 Mai - 17:36 | |
| La jeune fille était si belle et semblait si fragile que c’est avec délicatesse qu’il vint dévorer son corps. Il voulait lui faire connaitre la passion amoureuse, cette passion qui embrasait son corps d’un feu incandescent. Il caressait sa jolie peau et embrassait son intimité, souhaitant la rendre folle. Le jeune homme sous ses yeux la perfection de sa petite amie. Elle était magnifique, et il sentait une grande chaleur s’emparer de son corps. Il aimait la voir réagir, la sentir frissonner contre son corps. La jeune femme avait couvert sa bouche de sa main comme pour couvrir des gémissements qui semblaient incongrus mais qui était délicieux aux oreilles d’Elis. Il sentait cette délicieuse voix s’offrir à lui. Il la taquinait avec envie mais d’abord sans s’imposer, respectant la timidité de la jeune fille, désirant la mettre en confiance. Il ne tarda pas à se montrer plus insistant, plus gourmand, l’appétit pour ce corps grandissant. Il aimait la délicatesse de ce corps, chacun de ses gestes et de ses frissons.
Elle réagissait bien à ses avances, écartant ses jambes sans qu’il ne soit à l’entrainer, délicatement pour lui faciliter la tâche. Avec tout autre il aurait murmuré des paroles un peu cochonnes à ce point, mais il craignait bien trop de la braquer et puis sa bouche était occupée à autre chose de bien plus coquin. Ça le rendait particulièrement ambitieux et il s’enchantait d’offrir cette gâterie et de ce qui s’en suivrait. Il dévorait cette intimité, appuyait sa présence avec plus en plus de force, mais ses mains caressait toujours avec douceur ce corps féminin donnant autant de tendresse que sa langue attaquait le jardin secret de la demoiselle. Il remarqua avec satisfaction qu’elle n’arrivait plus à contenir ses gémissements de retentir dans la chambre. Il savait que son action faisait l’effet escompté comme elle se cambrait légèrement comme pour profiter un peu plus de ses bienfaits et Elis ne s’en priva pas. Il goutait cette chaire si précieuse, découvrant avec intérêt toutes les saveurs qu’elle lui offrait. Il sentait son cœur battre comme un fou dans sa poitrine par ce jeu qu’il entreprenait, par les portes qui semblaient s’ouvrir. Il entendit son prénom sortir comme une supplique, une douce supplique de sa petite amie qui semblait l’inviter dans des méandres bien plus extasiant encore. C’est ce qu’entendit le jeune homme en tout cas, sans doute car son corps le désirait trop fortement. Sa fierté témoignait de toute l’affection qu’elle portait à Camber, de cette envie inaltérable de la posséder. Il sentait son ventre gronder d’ambition, frissonner de désir pour cette jeune femme.
Elis remonta son visage le long de son intimité pour rejoindre le ventre et le nombril de la jeune femme, déposant sur son parcours de doux et délicat baisers. Sa peau était douce sous ses lèvres, il en ressentait de doux frissons. Son corps était complètement conquis par cette femme et la toucher l’électrisait et endiablait son âme d’un feu puissant et incandescent. Il semblait qu’il ne pourrait se taire, s’affaiblir tant cette demoiselle se trouvait, aussi embrumé et rougi soit elle, terriblement attirante. Il remonta son corps, désirant rejoindre ses lèvres, rejoindre ses joues brulante pour les couvrir de caresses et de douceurs qu’elle méritait de recevoir. Mais il se devait de ne pas se précipiter, il ne pouvait délaisser cet abdomen, cette jolie et ronde poitrine, ce col charmant, ce cou que les vampires rêveraient de croquer. Il déposa ses lèvres sur le plus petit centimètre de peau qu’elle lui présentait, émoustillant son corps de sa présence. Elle était si belle et désirable en cet instant, le jeune homme en perdait définitivement la tête. Il se trouvait complétement aliéné à cette jeune femme, à ce sublime corps. Il rejoignit ses lèvres, ses joue, les couvrit à leur tour de sa passion en venant la couvrir de son corps comme une chaude et brulante couverture mais légère, il s’appuyait sur ses bras pour ne pas s’écraser de tout son poids sur elle. Mais il se trouvait si proche, il pouvait voir le moindre grain de peau et le trouver sublime. Ses reins se collèrent à la jeune demoiselle, un contact affriolant, une vague de désir par ce moindre geste, il se sentit si fébrile, si faible et si envieux. Il la désirait et ne put contenir l’envie de poursuivre cette folie. Il se frotta légèrement contre elle, laissant son intimité s’honorer de la présence de la jeune femme, danser contre son corps avec langueur. Il savourait ces caresses qui venaient bruler son cœur. Il gémissait lui aussi contre l’oreille de la jeune femme, exprimant son désir sans honte et peu de retenue pour partager les merveilleuses sensations qu’elle lui faisait vivre. Elle avait un immense pouvoir sur lui et chacun de ses regards semblaient le rendre qu’un peu plus dépendant et quémandeur du grand saut. Il avait tant envie d’elle, de s’unir à elle de la manière la plus intime qui soit entre un homme et une femme.
« -J’ai envie de toi, Camber ! » murmura-d’il à son oreille, très doucement, le regard plein d’espoir. « Envie de t’appartenir !»
Il sourit doucement et revint prendre ses lèvres en otage avant de lui sourire doucement. Il caressa son corps, ses cuisses, en se faisant doux et rassurant, lent. Il fouilla la table de chevet ou se trouvait les indispensables protections. Il prit la main de sa petite amie entre les siennes pour rejoindre son soldat qui était prêt à partir à la guerre, sans les armes et effrayé par la conquête et l’aventure et mit entre les doigts féminins le petit film magique. Il était complétement fou d’elle, il la désirait tant et malgré ses doigts inexperts, il ne lui fallut pas longtemps pour être prêt pour l’invasion. Etait-elle prête aussi ? Tout se devait d’aller bien, d’être parfait, car c’était leur premier fois ensemble. Il voulait la conquérir. Il le fit en entrant doucement dans le corps de la jeune femme, avançant avec prudence et délicatesse dans ce jardin inexploré. C’était merveilleux, un feu d’artifice de bien être, de chaleur et de bonheur. |
| | | | Sujet: Re: I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. | |
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| | | | I can't stand him acting like you're his, cause I'm yours. PV Camber. | |
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