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 Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.

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Kisuk Yoon-Wada
Kisuk Yoon-Wada
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MessageSujet: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:39


Depuis de nombreux jours Ki Suk s’impatientait dans l’appartement qu’il partageait avec son cher amant, son cher amant qui avait depuis bientôt une semaine quitté leur domicile pour rejoindre le camp d’entrainement des aurors dans lequel Yano avait du participer pour sa formation d’auror. Une semaine qui avait paru bien longue pour notre jeune homme qui avait seulement pu avoir contact avec Yano au travers de ses magnifiques lettres qu’ils s’étaient échangées… des lettres qu’il chérissait de tout son cœur et qu’il avait rangé soigneusement dans un coffret magique dont seul Yano et lui détenait le mot de passe pour l’ouvrir. Ces lettres avaient pour lui une grande signification, une signification de leur amour qui avait réussi à surmonter bon nombre d’épreuves depuis le début de leur relation et qui encore cette semaine avait surmonté la distance qui les avait séparées pendant ces derniers jours.

Ainsi en ce jour si béni, ce jour de retour de camp, Ki Suk ne pouvait que se trouver impatient et heureux de retrouver après tant d’heures éloignées, son cher et tendre amour. Yano devait se trouver particulièrement fatigué en ce jour, après avoir vécu de nombreux jours dans ce camp qui avait du se trouver tout particulièrement difficile, rempli d’épreuves pénible pour chacun des aurors. Seulement au contraire de bon nombres d’eux, Yano n’avait jamais souhaité devenir un auror, il suivait seulement les ordres de ses parents, suivant la tradition familiale jusqu’à pouvoir devenir indépendant, jusqu’à que le frère et la sœur de Yano vivre leur vie et soient majeurs.  Il ne leur restait alors que quelques mois à tenir avant que le jour où ils pourraient  enfin se retrouver libre de s’aimer comme chacun d’eux le souhaitaient, sans avoir à subir la peur du fait qu’une personne puisse les observer. Ils n’auraient bientôt plus à vivre leur amour dans cet unique cocon et vivre une histoire d’amour normale, une histoire d’amour sans réel contrainte. Embrasser Yano lorsqu’il le souhaitait, prendre Yano dans ses bras en suivant uniquement son cœur, lui murmurer des mots doux n’importe quand, l’aimer tout simplement sans craindre la moindre conséquence… ce moment lui tardait tant, depuis bientôt deux ans il rêvait de cet instant qui n’allait pas tarder après ses longs mois d’attentes et de souffrances.  Il suffisait encore d’attendre quelques semaines pour pouvoir vivre cet amour comme chacun d’eux ils le souhaiteraient, même si sans aucun doute garder une certaine réserve mais bien moins difficile que celle qu’ils vivaient depuis leur premier jour ensemble.

En ce jour, Ki Suk était bien loin de penser à ce jour, il se trouvait uniquement pressé de retrouver son tendre amant et avait bien l’intention de lui préparer une surprise à son retour. Yano lui avait annoncé le jour de son départ à quelle heure approximativement il devait arriver, après avoir transplanné. Une heure qui lui tardait alors qu’il s’était empressé de nettoyer de fond en comble l’appartement, ne laissant aucune trace de poussière ou désordre. Il avait passé de nombreuses minutes ensuite à se trouver une belle tenue pour plaire autant que possible à Yano à son retour, souhaitant se trouver tout simplement magnifique pour lui.  Après de longues minutes d’essayages de tenues aussi originales que pouvaient l’être l’ensemble de ses vêtements, il s’était décidé à porter un slim de couleur noir, d’un simple tee-shirt blanc et d’une chemise longue bleu clair, une chemise qu’il avait acheté récemment en compagnie de son tendre aimé.  A présent il suffisait seulement qu’il prépare une petite surprise à son aimé et il avait déjà eu une petite idée à ce propos. Il lui suffisait seulement de décorer leur salon de pétales de roses rouges qui dégageait un doux parfum hypnotisant. Il était venu draper leur table d’une nappe blanche, disposant leurs deux couverts et décorant celle-ci de décoration romantique pour que tout soit absolument parfait pour le jeune homme à son retour.  Seulement en dehors qu’un repas ô succulent allait attendre Yano, un repas qu’il allait préparer sous peu, il avait décidé d’offrir à Yano un massage, un massage dans lequel il allait permettre à Yano de se relaxer et de se reposer après de longs jours loin de sa personne et rempli de moments particulièrement difficile. Un massage qui se voulait reposant avant qu’ils ne se dirigent vers le délicieux repas qui les attendait, après avoir pu se retrouver simplement pour calmer leur manque. Ils allaient enfin pouvoir se retrouver et s’embrasser, pouvoir caresser le moindre trait de leur visage, se dévorer du regard, se murmurer des mots doux comme ils avaient l’habitude de le faire depuis tant de semaines…

Ainsi, Ki Suk après avoir préparé convenablement leur appartement, Ki Suk s’était dirigé vers leur salle de bain pour se laver et se faire le plus beau possible pour son tendre aimé. Il avait passé de longues minutes à se préparer, à sécher convenablement ses cheveux et se passer une légère crème pour rendre son teint de peau parfait, n’hésitant pas à mettre un peu du parfum de Yano sur lui. Il enfila ensuite simplement chacun des vêtements de sa tenue avant de se diriger vers le salon ou d’ici une heure son tendre amant allait arriver, venant répondre à son besoin de le voir… Yano lui avait tant manqué pendant ses derniers jours qu’il ne lâcherait tout simplement plus son doux amant de la soirée, souhaitant fêter leur retrouvaille.

Subséquemment, Ki Suk s’était tout simplement allongé sur leur canapé, espérant attendre à tout moment entendre le doux bruit de la porte de leur appartement. Un bruit qui le fit se réveiller subitement de ses rêveries, venant l’emmener à se redresser et se diriger rapidement vers la porte d’entrée de leur appartement. Un sourire apparut sur son visage alors qu’il avait enfin la chance de pouvoir son Yano, son tendre aimé qu’il ait tant désiré pendant si longtemps. Le dévorant tout simplement du regard, il vint le prendre tendrement dans ses bras, serrant leurs deux corps ensemble, heureux, se sentant enfin complet contre Yano venant sentir son doux parfum et murmurant tout contre lui : « Mon Yano… ô mon Yano… tu m’as tant manqué, ô si tu savais…  mon doux Yano…  je suis si heureux à présent… de te retrouver… »
. Souriant comme un bienheureux à ses mots, il vint déposer de doux baisers sur la peau de sa nuque qui lui avait tant manqué ces dernières heures. Ki Suk ne demandait plus qu’une chose, seulement profiter de son tendre amour et ne plus jamais le quitter, ces derniers jours sans Yano lui avait paru tant difficiles.

Il laissa échapper un doux gémissement de bien-être alors qu’il venait déposer ses lèvres sur celle de Yano dans un doux baiser, un simple contact qui le rendait particulièrement heureux en cet instant. Ne pouvant nullement empêcher son côté inquiet d’apparaitre il laissa échapper quelques mots alors qu’il éloignait leurs lèvres de quelques centimètres : «  Mon tendre amour… tu vas bien ? Tout s’est bien passé depuis notre dernière lettre ?  Tu as besoin de te reposer je suppose mon amour… tu dois être si fatiguée, tu sembles si éreintée… »

Il termina ses quelques mots alors qu’il caressait les traits fatigués de son tendre aimé qui semblait particulièrement épuisé de ces jours dans ce camp d’entrainement pour auror. Au travers des mots des lettres de Yano, il avait pu lire en effet que ces jours avaient été particulièrement difficiles pour Yano qui se trouvait particulièrement fatigué et en constant besoin de lui, comme lui en avait le besoin, comme si Yano se trouvait être cette douce drogue dont il ne pouvait point se séparer.  Le dévorant du regard, Ki Suk vint embrasser à présent ses traits avant de venir capturer sagement ses douces lèvres qui lui avaient tant manqué pendant ses longs jours, ces douces lèvres qui avaient peuplé chacun de ses rêves depuis le départ de Yano. Il les relâcha à nouveau pour murmurer contre elles : «  Je t’aime mon Yano… je t’aime tellement… si tu savais ô combien de fois je me suis inquiété pour toi qui se trouvait si loin de moi… dans un monde ô dangereux où il aurait pu t’arriver quelque chose. Je suis heureux, bien plus qu’heureux de te savoir près de moi… mon tendre amant.  Depuis ton départ il ne me tarde que ce jour, ce jour où nous serons enfin réunis après tant de jours de séparation l’un de l’autre. Je me suis senti tant perdu loin de toi… »

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Yano Yoon-Wada
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:40

Heureux, enthousiaste et impatient, sans aucun doute possible que Yano ne pouvait que l’être. Après deux longues journées passées à rêver de l’être aimé, il était tout simplement impensable de songer qu’il puisse rester stoïque face à la fin de l’échéance. Une échéance qui l’empêchait encore de prendre ses affaires et quitter ce lieu austère pour retrouver la perfection de leur domicile partagé. Dieu seul au monde pouvait se rendre compte de l’euphorie qui habitait son âme. Il se trouvait si impatient, cupide de retourner auprès de son ange. Un ange qui provoquait en son sein, un tel manque qu’il avait l’impression d’être un drogué à qui on avait promit sa dose quotidienne. Son être n’avait de cesse de désirer la présence de son amour. Il rêvait tant de cet instant où son cœur allait enfin avoir la sensation de revivre, où il sentirait tout le poids sur ses épaules retomber comme s’effondre un château de cartes. Il avait tant le désir de s’enivrer de son parfum, de laisser enfin ses phalanges rejoindre les courbes si parfaites et attirantes de ce corps qui le rendait fou, de baiser enfin de nouveaux avec douceur ses lèvres qui l’avaient obnubilés durant cette terrible semaine. Aussi pénible avait-elle pu être à ses yeux, cette semaine lui avait alors permit de prendre pleinement conscience qu’il n’était plus en mesure de se passer de son ange. Il était cruellement dépendant de lui et aussi incroyable que cela pouvait paraitre, cette idée ne venait en aucun cas l’alarmer. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il avait l’intime conviction, que ce sentiment, cette impression était réciproque et les lettres qu’ils avaient eus le bonheur de pouvoir échanger au cours de cette période, ne faisait que confirmer ce qu’il pensait. Il avait tant hâte de quitter ce camp pour le rejoindre quand bien même son inquiétude ne pouvait qu’être plus profonde.

Au cours de cette semaine, dans ses lettres, il lui avait tut un fait. Un fait qu’il n’avait pas eu le temps de corriger, de faire disparaitre pour ne point alarmer son ange mais qui pourtant se trouvait bel et bien concret. Une cicatrice, une vulgaire blessure de sa part n’avait de cesse de tirailler son esprit alors qu’il cherchait une solution à ce problème. Chaque problème à une solution le voulait la coutume mais à l’heure actuelle, aucune ne parvenait à son esprit. Cette blessure était bien trop grande et bien trop récente pour être camouflée comme il aurait pu être tenté de le faire. Quand bien même une infirmière était parvenue à trouver un remède pour aider cette cicatrice à se résorber, il avait cru comprendre qu’il lui faudrait quelques semaines de soins quotidiens pour escompter un résultat. Le matin même, cette dernière était venue lui apporter les derniers soins en lui disant, qu’elle avait communiqué son cas à l’infirmier de Sinseonghan et que c’était désormais vers lui, qu’il devait se rendre s’il souhaitait un quelconque soin ou aide à ce sujet. En signe de réponse, il l’avait seulement remercié avec politesse avant de se retrouver seul, les traits tirés. Depuis cet accident qui lui avait causé cette blessure, il avait passé des moments pénibles et des nuits très courtes, ponctuées par des douleurs violentes. Quand bien même était-il habitué à avoir mal à cause de ses antécédents médicaux, il n’en restait pas moins que cette semaine était résolument un enfer pour lui. Diminué, privé de la personne dont il avait le plus besoin en ce bas monde, les minutes lui avaient parues être des éternités alors qu’il était constamment obligé de rester allongés, faute de pouvoir faire autre chose. Sa blessure à l’air libre, impossible à se faire résorber était résolument bien trop profonde pour que le contraire soit tolérable. Il avait alors passé la plupart de son séjour, cloué au lit, échangeant clandestinement des lettres avec son ange, se trouvant à des milliers de kilométres. Un ange qui n’avait eu de cesse de s’inquiéter et à qui il avait dans une certaine mesure, mentir.

Vu la situation actuelle, il ne voyait nullement comment il allait être en mesure de lui taire un tel fait d’autant plus qu’il souhaitait l’en préservait. Il savait ô combien son amour était de nature anxieuse et il y avait fort à parier que si ce dernier voyait sa cicatrice dans son état actuel, il ne pourrait s’empêcher d’être inquiet, quelque peu paniqué face à la gravité de cette dernière. Une peine qu’il souhaitait plus que tout lui épargner tant qu’il avait la possibilité de le faire. Sans aucun doute que Ki Suk allait découvrir la vérité rapidement, il ne pouvait en être autrement, et il était fort à parier que ce dernier allait en être vexé, en colère envers lui à ce sujet, mais il allait assumer. N’était-ce pas ce que le jeune homme faisait depuis toujours : assumer les conséquences de ces actes ? Si bien entendu, mais quand bien même, il désapprouvait lui-même son geste, son orgueil, sa vanité quant à elle d’être si imparfaite désormais venait jouer un grand poids dans sa décision. Il ne voulait pas qu’il le voit si hideux, défiguré par cette immondice qui n’était pas résolument soignée en totalité. Quand bien même lui avait-on apposé un pansement sur cette dernière, le moindre frôlement d’un vêtement l’élançait avec force, alors qu’il s’était plus ou moins accoutumé à la douleur. Ainsi, on lui avait recommandé de porter des vêtements légers, amples qui ne lui colleraient pas à la peau. De ce fait, il avait donc opté pour un baggy bleu foncé avec un pull à manches longues assez ample. A vrai dire, ces vêtements furent les seuls dont il pu supporter le contact sans constamment exprimer un quelconque malaise à leur frottement.

La journée à la suite de cela fut quant à elle assez rempli comme il fallait s’y attendre. Après une longue et pénible conférence, durant laquelle leurs instructeurs leur narrèrent les éléments à reprendre pour le prochain stage d’entrainements, ils durent rassembler et préparer leurs affaires. C’est donc ainsi et après quelques péripéties qu’il avait pu récupérer Gekko pour l’intimer à rentrer et était finalement rentré chez eux via le biais d’un portoloin. Pour plus d’aisance, il avait réduit son imposant sac à dos et l’avait placé dans sa poche de blouson qu’il n’avait même pas prit la peine de porter, bien trop lourde pour sa blessure avait-il cru comprendre lorsqu’il avait tenté l’expérience. C’est donc quelque peu inquiet qu’il s’était retrouvé devant la porte de leur appartement. L’impatience, son désir cuisant de rejoindre son ange luttait contre la culpabilité qu’il ressentait de lui cachait un fait qu’il finirait par découvrir malgré lui. Seulement, son désir dépassa sa raison et c’est donc avec douceur qu’il avait ouvert la porte de leur appartement, y pénétrant tout simplement. Lorsque son regard se posa sur les traits si adorables de son ange, il ne pu que lui sourire avec bonheur alors qu’il sentait son cœur se gonfler d’un bonheur sans nom. Le voyant se lever du canapé sur lequel il semblait s’être longé, c’est avec une félicité sans nom qu’il l’accueillit au creux de ses bras, savourant à sa ô valeur le contact entre leurs deux chairs. Des êtres qui s’étaient cruellement manqués alors qu’ils semblaient tout simplement s’enivrer de l’être de l’autre. Il se sentait si cruellement à sa place à cet instant, son cœur battant tel un fou dans sa poitrine alors qu’il savourait l’odeur si exquise de son parfum.

Aux mots de son ange, il ne pu que sourire avec bonheur alors qu’il glissait également ses lèvres sur la chair si parfaite de sa nuque, l’enserrant de ses bras avec douceur. Ce doux contact lui avait tant manqué, s’était fait si cruellement désiré alors qu’il ne pouvait que dévorer sa nuque de ses lèvres avec autant de douceur que son amour.

« Moi aussi…mon ange… ô oui… dieu seul sait ô combien ta personne m’a cruellement manqué… » Avait-il murmuré avec douceur alors qu’il soupirait tout autant d’aise que son ange qui était venu voler ses lèvres des siennes.

Savourant avec délice ce baiser qui était résolument plus que vivifiant, il avait l’impression que rien n’était plus précieux au monde que cet instant qu’ils partageaient tous les deux. Se laissant pleinement aller à ce baiser, il avait l’impression que rien ne pouvait atténuer son bonheur présent et encore moins lorsqu’il sentait son être fondre sous la profondeur des prunelles de son ange qui le dévorait du regard avec la même intensité que ces yeux. Des yeux qui ne faisaient que le fixer avec amour et bonheur, dessinant dans son esprit le moindre trait de son visage, de son corps alors qu’il écoutait son ange lui murmurait contre ses lèvres, s’il allait bien. A ces douces inquiétudes, il ne pu que sourire avec douceur, oubliant comme un idiot sa blessure qui se trouvait toujours bien présente sur sa chair. Il se trouvait si bien à l’heure actuelle, si heureux, si cruellement à sa place, qu’il ne voyait et ne désirait penser qu’à cet ange qu’il tenait entre ses bras. Souriant avec douceur à ce dernier, il soupira d’aise de sentir les phalanges de son ange se mouvoir sur la chair de son visage, le dessinant avec une infinie douceur.

« Je vais bien, mon amour… je ne puis que me porter bien à tes côtés, tu sais… je suis si heureux de pouvoir te voir, te sentir contre moi, mon Ki Suk… ô si tu savais, mon cœur… »

Il avait susurré ces mots avec douceur en sentant les lèvres de son ange se posait sur les traits de son visage, baignant ce dernier de mille et une caresse qui ne cessait de rendre fébrile son âtre alors qu’il soupirait avec bonheur. Tel un homme conquis, ce qu’il était assurément, il le laissa de nouveau venir lui voler un baiser alors qu’il refermait ses paupières avec douceur. Se perdant littéralement dans ce baiser, son seul souhait à l’heure actuelle était de l’embrasser encore et encore pour venir atténuer dans une certaine mesure tout le manque qu’il avait cruellement ressenti au cours de cette semaine. Seulement encore une fois, son ange vint rompre cet exquis baiser, le laissant quelque peu frustré alors qu’il lui susurrait qu’il l’aimait, l’aimait tellement. Si seulement il pouvait savoir ô combien il s’était inquiété pour lui, lui qui se trouvait si loin, dans une monde ô dangereux ou il aurait pu lui arriver quoique ce soir. Il était si heureux, bien plus qu’heureux de le savoir de nouveau près de lui alors qu’il s’était sentit si perdu éloigné de lui.

Tout cela, Yano en avait cruellement conscience alors qu’il le regardait avec tristesse et douceur. Cette inquiétude naturelle de la part de son ange, l’avait également tourmenté et c’est pour cela qu’il avait prit l’initiative de lui écrire, de le rassurer mais cela n’avait fait que renforcer son effet de manque. Un manque qui était énormément à l’origine de son inattention durant cet entrainement qui avait mal tourné… mais il ne regrettait rien, d’aucune façon, si ce n’est son mensonge, qu’il devait continuer de garder pour lui. Souriant avec douceur, il avait glissé ses phalanges sur ses bras, remontant ses derniers pour les nicher au creux de sa nuque. Son regard si cruellement doux et heureux, dévorait celui de son ange alors que l’une de ses mains se nichait sur son visage, laissant son pouce caresser le bord de ses lèvres. Il resta ainsi quelque secondes en suspens alors qu’il murmurait doucement.

« Moi aussi mon ange… moi aussi je t’aime, si tu savais ô combien cela m’a manqué de ne pouvoir te le dire à haute voix. » Commença-t-il doucement avant de lui voler un doux baiser en poursuivant toute contre la peau de ses lèvres. « Tout va bien désormais mon amour, je suis de nouveau à tes côtés et je ne compte plus ô grand jamais me séparer de toi à partir d’aujourd’hui… tout simplement parce que la vie me semble fade, sans intérêt sans ta personne. Ces journées me sont parues tellement longues… d’autant plus qu’il me fut presque impossible de m’endormir… j’avais tant envie de te serrer dans mes bras comme à cet instant… j’ai tellement l’impression de revivre collé à ton être, savourant ô grandement la chaleur de ton être, de ton âme, mon amour. »

A ces mots, il ne pu que laisser échapper un doux rire alors qu’il replongeait son regard dans le sien pour le dévorer avant de venir l’embrasser de nouveau avec passion. Il avait tant envie de se perdre dans ce baiser, dans cette étreinte de la façon la plus naturelle qu’il soit, qu’il ne se retenait nullement, laissant pleinement ses sens faire tout le travail alors qu’il dévorait ses lèvres des siennes. Il se sentait si accompli, heureux à l’heure actuelle qu’il oubliait absolument tout, tout sauf son amour passionnel qu’il avait pour cet ange, tout simplement.

TENUE : 01.
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:41

Yano, ce doux nom qui faisait naitre en lui de douces sensations de bien-être, ce doux nom qui emmenait son cœur à battre et à trouver un sens à sa vie. Un être qui lui avait tant manqué pendant tous ces jours qui les avaient séparées l’un de l’autre, une simple semaine qui lui avait paru bien difficile à vivre sans la présence de son tendre amant. Cela faisait à présent de nombreux mois qu’ils étaient ensemble, deux ans et demi de relations avec son tendre amant sans jamais n’avoir eu à se séparer plus d’une journée. C’était sans doute ce fait qui les avait fait le plus souffrir, être séparés tant de jours, il s’agissait de la première fois depuis de nombreux mois qu’ils soient séparés ainsi… sans avoir vraiment le temps de communiquer ensemble. Si Yano avait pris le soin de lui écrire pendant ses jours de séparation, cela avait été en toute illégalité… lorsqu’on se trouvait dans ses camps d’entrainement, il était bien interdit d’avoir n’importe quelle correspondance avec n’importe quelle personne, même la personne que l’on aimait au plus profond de son cœur. Ils avaient pendant ces jours gardés contact, au plus grand plaisir de chacun d’eux et cela n’avait pu que rassurer chaque jour son caractère protecteur et anxieux dès lors que son tendre amant n’était plus à ses côtés, tout particulièrement alors qu’il savait qu’il se trouvait dans un camp qui pouvait se trouver dangereux. Un camp d’entrainement, même surveillé et protégé, n’était nullement un lieu sûr à ses yeux… pour lui qui n’avait jamais aimé les combats, pour lui qui avait fait en sorte de ne prendre aucune option dans son cursus de combat ou de défenses contre les forces du mal. En tant que né moldu, sans aucun doute qu’il aurait du continuer à prendre des cours à ce propos, seulement tous ses professeurs pendant ses années d’apprentissage, tout comme lui, s’était bien rendu compte qu’il n’était nullement doué pour cela, il se trouvait bien plus performant dans les cours qui exploitaient ses ressources intellectuelles que physiques. Cela expliquait pourquoi il craignait les combats et toutes situations dangereuses, tout particulièrement pour les gens qu’il aimait, aussi fort pouvait-il être. Ainsi Ki Suk n’avait pu que se rassurer au travers des mots de son amour qui n’avait jamais cessé de le rassurer, qu’il se trouvait bien, si ce n’était qu’il se trouvait particulièrement éprouvé après chaque journée d’entrainement et loin de lui.

Ainsi il ne pouvait que se trouver particulièrement heureux de savoir que son tendre amant allait enfin venir le rejoindre dans leur appartement et qu’il n’aurait sans doute plus à se séparer l’un de l’autre aussi longtemps. Retrouver contre lui l’étreinte de son doux aimé lui paraissait être sans doute l’un des moments les plus attendus et espérés au cours de sa vie. Le contact de leur chair pendant cette si longue semaine l’avait particulièrement manqué, pendant ses longues nuits où il avait cherché dans ces rêves à rencontrer son tendre aimé, cherché le moindre contact avec lui. Seulement, tout cela avait été bien impossible pour notre jeune homme, même si dans ses rêves il n’avait jamais cessé de le voir et d’être avec lui pendant ses nombreux jours. Yano avait été le seul être de ses pensées pendant ses longs jours et tout particulièrement en ce jour où son ami devait rentrer. Les lettres qu’ils s’étaient envoyées n’avaient que pu partiellement satisfaire son manque de sa personne même si leurs mots d’amours échangés n’avaient été que bénéfiques pour sa personne. Ils s’étaient imaginé dans sa tête entendre la douce voix de son amant lui dire ses mots d’amour, les murmurait encore et encore, il avait rêvé Yano prononçait ses mots pendant ses longues nuits. Son manque de Yano n’étant nullement satisfait de ces lettres, il n’avait besoin que d’une chose après tout : avoir Yano près de lui et l’aimer tout simplement. Il n’avait que souhaité que se retrouver dans ses bras pour ne ô grand jamais les quitter, lui porter tout l’affection qu’il pouvait lui donner et lui donner tout son amour pour panser ses blessures, pour lui permettre d’enfin pouvoir se reposer au creux de ses bras et de lui apporter tout l’amour dont Yano avait besoin/

De ce fait, il ne lui avait fallu que peu de temps avant de réagir et de se lever pour venir rejoindre les bras de son tendre aimé, ses bras qu’il lui avait tant manqué pendant ses longs jours. Il était venu se réconforter au creux de ses bras, savourant leurs doux contacts entre leurs deux corps. Il était venu sentir son doux parfum avant de venir embrasser cette chair qui lui avait tant manqué, murmurant des mots d’amour à son encontre, lui exprimant encore son manque de sa personne, lui exprimant sa joie de le retrouver enfin après tant de jours séparés, des jours qui lui avaient parus interminables. Il avait alors embrassé tendrement sa nuque, déposant de merveilleux baisers sur sa peau ô goût si exquis. Ces lèvres avaient peu à peu glissé ses lèvres sur celles de Yano pour venir lui voler un baiser, le premier baiser depuis leur arrivée, un baiser qu’il n’avait pu qu’apprécier avant murmurer des mots d’inquiétude à son encontre, lui murmurant qu’il semblait si éreinté, si fatigué, ses traits se trouvant particulièrement tirés en cet instant.

Yano lui répondit alors, avec un grand sourire alors qu’il glissait lui-même ses lèvres sur sa chair, faisant échapper des lèvres de Ki Suk un doux gémissement de bien-être, resserrant son étreinte sur Yano, venant faire rencontrer leurs corps encore. Entendre ses mots d’amour sortir des lèvres de Yano lui semblait particulièrement merveilleux, Yano l’aimait, Yano lui murmurait qu’il lui avait cruellement manqué. Leurs sentiments s’étaient trouvés tant identiques, tant magnifique à ses yeux. Ils n’avaient eu qu’une envie, celle de se retrouver enfin après tant de jours séparés l’un de l’autre… Cet instant se trouvait si précieux, si magnifique à ses yeux que rien ne pourrait ne lui enlever ce bonheur qui ne cessait de grandir en lui. Observer son tendre aimé lui avait tant manqué, observer ses traits si magnifiques qui n’appelaient que ses caresses et ses baisers. Ki Suk ne cessait d’aimer cet homme et ô grand jamais il ne pourrait aimer un autre homme, Yano se trouvait être l’homme qu’il aimait, pour lequel il serait prêt à tout supporter pour pouvoir partager des moments d’amour tel que celui-là.

Yano vint lui répondre alors qu’il allait parfaitement bien, qu’il ne pouvait que se porter bien puisqu’il se trouvait à ses côtés. Il se trouvait si heureux de pouvoir le voir, de pouvoir le sentir contre lui, de retrouver son Ki Suk… il avait murmuré ses mots avec tendresse alors qu’il était venu embrasser ses traits de visage, l’embrassant de milles baisers jusqu’à atteindre les lèvres de Yano, ces lèvres qui l’avaient tant tenté et manqué pendant ses jours. Ki Suk ne pourrait nullement supporter une autre fois le départ de Yano, il en était persuadé… il avait échangé un doux baiser ne cessant de regarder ce doux visage, ce magnifique visage. Seulement, il avait arrêté ce baiser pour venir murmurer tout contre lui, à seulement quelques centimètres de ses compères des doux mots d’amour, ne cessant ô grand jamais de lui déclarer son amour. Ki Suk lui partageait ses peines et son inquiétude quand il pensait qu’il se trouvait dans un camp bien trop dangereux à ses yeux pour lui. Il avait cru qu’il aurait pu avoir un problème sur place… à présent il se sentait pleinement heureux de se retrouver avec lui alors qu’il s’était senti si perdu loin de lui.

Heureux de voir un si doux sourire sur le visage de Yano, il appréciait pleinement le doux contact des doigts de Yano sur ses bras, frissonnant alors que ceux-ci remontaient ses derniers sur sa nuque. Il ne put qu’échanger un doux regard amoureux envers la personne de Yano alors que celui-ci venait caresser de son pouce le bord de ses lèvres. Le dévorant du regard avant de venir lui murmurer entre deux baisers que lui aussi aimer, que le fait de ne pas pouvoir lui dire à haute voix lui avait particulièrement manqué. A présent tout allait bien, il se trouvait à ses côtés à nouveau et il ne comptait plus ô grand jamais se séparer de lui à partir de ce jour tout simplement parce que la vie lui semblait si fade, sans intérêt pour sa personne. Ces journées lui avaient parues tellement longues, d’autant qu’il lui avait été presque impossible de s’endormir loin de lui. Il avait tant eu envie de se serrer dans ses bras comme à cet instant. Yano avait tellement l’impression de revivre collé à son être, savourant ô grandement la chaleur de son être, de son âme.

Souriant à ces mots ô enchanteurs de la part de Yano, il ne put que gémir doucement alors qu’il venait répondre au baiser passionné de Yano avec vigueur, venant faire glisser ses doigts sur son dos doucement, venant caresser ses reins avec avidité. Il se sentait si bien dans les bras de son amant. Savourant ce baiser, il ne pouvait que frissonner, répondant avec encore plus de plaisir à leur baiser, un baiser ô exquis qui le rendait heureux, qui le rendait si bien en cet instant. Depuis le temps qu’il avait rêvé de partager ce baiser avec son tendre amant, ce doux amant qui le rendait si vivant et heureux. Au moment où l’air vint lui manquer, il vint séparer avec déplaisir leurs lèvres avant de murmurer tout contre lui : «Mon tendre Yano… Ne me quitte plus jamais, ô grand jamais… je me suis senti tant perdue loin de toi ces derniers jours. Je t’aime tant… je t’aime tant. Je suis si heureux de te revoir, de pouvoir sentir nos deux chairs se rencontrer à nouveau. Je suis tellement dépendant de toi qu’il m’est bien impossible de pouvoir être heureux loin de toi, sans garder le moindre contact avec toi. Ces lettres que tu as écrit pendant ces jours m’ont rendu si heureux… même si je me ne pouvais m’empêcher d’être inquiet pour toi. Je veux seulement savoir que tu vas bien, savoir que tu es heureux… je peux me retrouver qu’heureux de te retrouver, toi qui m’a tant manqué ces derniers jours. Ma vie n’a de sens qu’à tes côtés et cela ne peut que m’enchanter… l’amour nous fait souffrir lorsque nous nous retrouvons loin de l’autre, sans savoir où tu trouves exactement mais… l’amour nous rend si heureux, tellement heureux lorsqu’on se retrouve auprès de l’être aimé. Je me sens si bien près de toi, si bien lorsque nous échangeons ces merveilleux baisers… je t’aime tant mon Yano, ne nous séparons plus jamais, ô grand jamais… la vie n’a de sens qu’à tes côtés mon tendre amour. »

A cette déclaration, il vint à nouveau capturer les lèvres de son tendre aimé, ne se lassant ô grand jamais de les capturer et de partager un merveilleux baiser avec lui. Ses mains venaient s’égarer sur son corps, venant caresser ses courbes ô parfaites et désirables qui ne demandaient qu’à être cajolé par lui, par son amour qui pouvait alléger chacune des souffrances que pouvaient ressentir ce corps. Souriant avec bonheur, il vint séparer leurs lèvres avant de venir embrasser sa nuque avec plaisir, venant la suçoter, venant goûter cette chair alors qu’il soupirait de bien-être contre son doux amant. « Je suis heureux Yano… je ne peux qu’être heureux ainsi… si près de toi mon doux amour. Tu mérites tout mon amour, toi qui a vécut tant d’épreuves ces derniers jours dans ce camp. Tu mérites tant de repos… »

Souriant à ces mots il vint se saisir de l’une des mains de Yano pour venir embrasser celle-ci de ses lèvres dans un regard ô amoureux avant de venir murmurer d’une voix ô douce : « Alors je ne sais pas si tu t’attendais à quelque chose mon amour… mais je n’ai pas pu m’empêcher de vouloir te préparer une surprise pour ton retour. Une surprise qui ne pourrait que te plaire mon amour… alors je ne sais nullement mais es-tu prêt à la recevoir, à vivre cette douce surprise ? » Il laissa échapper un doux sourire amoureux avant de venir embrasser à nouveau sa main en lui lançant encore et encore un regard totalement conquis et amoureux. Il continua ses paroles quelques instants plus tard : « Je ne me lasserai ô grand jamais de t’aimer mon amour, ô grand jamais… tu te trouves si parfait, si magnifique… »
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:42

C’était fou de voir ô combien son être semblait renaitre au doux contact de l’être de son ange. Ce dernier s’était fait tant cruellement manqué à sa personne qu’il avait eu l’impression de sombrer dans un gouffre sans nom. La semaine qui venait de s’écoulait lui avait semblé paraitre une éternité tant les secondes s’étaient trouvées être des heures. Des heures perdues durant lesquelles son être n’avait eu de cesse de songer à lui à longueur de temps alors qu’il lui avait été formellement interdit de le faire. Mais que pouvait-il faire pour lutter contre cela, après tout ? Rien. Son être était irrévocablement dépendant de l’être de son amour et rien au monde ne pouvait changer cette fatalité. Ki Suk se trouvait être son âme sœur et cette songée avait depuis bien longtemps fait sa place au sein de son esprit et d’autant plus depuis ce jour où pour la toute première fois de son existence, il avait eu la sensation de perdre l’être qu’il chérissait tant à ce jour. Le simple fait de songée que ce dernier pouvait l’abandonner, perdre la vie, le rendait fou d’une peine sans nom et il ne souhaitait ô grand jamais la connaitre quand bien même se rendait-il pleinement compte, qu’un jour dans un avenir fort lointain cette fatalité ne pourrait être évitée. Seulement, il ne souhaitait ô grand jamais que cette pensée puisse frôler son esprit et pour cela, il s’intimait uniquement à profiter de l’instant présent, de chérir ses instants si résolument vivifiant qu’il vivait auprès de cet être. Une personne qui se trouvait être si magnifique, si parfait, si reposante tant son aura semblait être celle d’un ange qu’il n’avait pu que succomber à son charme. Un ange, dont son âme s’était éprise avec passion au fil des mois, des années qui s’étaient écoulées depuis leur toute première rencontre. Il lui avait semblé si apaisant d’être à ses côtés, de ne pas être forcé à être cet héritier que tout le monde semblait attendre de sa personne, que rapidement son âme s’était accoutumée à sa présence et avait fini par s’y attacher de la façon la plus naturelle qu’il soit. Il lui était rapidement devenu indispensable et même à l’heure actuelle, d’autant plus qu’il avait pu mettre un nom sur ses sentiments, il lui était résolument impensable de faire sa vie, sans lui. Oui, impossible tant cette dernière lui semblerai si fade, si peu enrichissante qu’elle ne l’était à ses côtés.

Il était donc évidant que le bonheur qu’il ressentait à l’heure actuelle était total. Comment pouvait-il en être autrement alors qu’on se trouvait aux côtés de l’être tant aimé et chéri ? Impossible tant il avait la douce sensation de renaitre à la vie, d’oublier le moindre de ses tourments qui n’avaient eu de cesse de venir perturber son esprit au cours de cette dernière semaine. Etre en mesure de prendre au creux de ses bras, son ange, sentir la douce chaleur de sa chair se mouvoir à la sienne était résolument bienfaitrice pour son âme qui n’avait eu de cesse de réclamer ce fait. Il ne pouvait alors que profiter de cette douce étreinte, oubliant pleinement cette douleur incommensurable qu’il ressentait au sein même de sa chair à cause de cette cicatrice. A l’heure actuelle, son cœur, son corps profitait pleinement de cette exquise félicité alors qu’il se perdait littéralement dans ces baisers qu’il lui offrait avec un plaisir sans nom. Dieu que ses lèvres lui avait manqué tant et si bien qu’à cet instant, il n’avait qu’un seul et unique souhait, les dévorer des siennes, sentir ses dernières se mêler aux siennes si avides de sa personne. Il avait tant besoin de ce contact, de cette délicieuse et dévorante chaleur qui enveloppait chaque partie de son être en contact avec son ange. Son cœur n’avait de cesse de battre frénétiquement au sein de sa poitrine, se gonflant d’un bien être résolument présent alors qu’il le dévorait tout simplement de ses yeux, de ses lèvres. Il voulait tout simplement être à ses côtés désormais et rien au monde ne pourrait l’empêcher de cela, quand bien même son avenir au sein de Sinseonghan était résolument mit en danger. Cela lui importait que très peu à l’heure actuelle, tant son esprit était accaparé par la présence si vivifiante de son amour dont il était tout simplement fou.

C’est donc tout naturellement qu’il se perdit dans le baiser qu’il lui tendit, laissant ses douces phalanges caresser avec volupté la chair si délicate de la nuque de son ange alors qu’il l’embrasser avec passion. Il était si envoutant de le voir frissonner sous la pulpe de ses doigts, de sentir son souffle saccadé se mêler au sien, que rien au monde semblait pouvoir mettre en péril le doux bonheur qu’il ressentait à l’heure actuelle. Ces baisers lui avaient tant manqués qu’il n’espérait plus que l’embrasser désormais pour le restant de la soirée alors qu’il sentait les doigts de son ange venir frôler ses reins avec avidité, le faisant résolument planer. La passion trop longtemps contenue entre eux deux semblait peu à peu de nouveau envelopper leurs êtres et quand bien même son désir allait dans son sens, Yano ne perdait en aucune façon à l’esprit qu’il se devait de cacher sa blessure. Ki Suk étant de nature très anxieux, sans aucun doute que ce dernier s’inquiéterait de le voir ainsi blessé, si faible et ressentirait malgré lui, une certaine culpabilité, peine à son égard. Autant dire qu’il souhaitait lui épargner tout cela alors qu’il sentait les lèvres de son ange, le quitter pour le laisser quelque peu pantois, cruellement en manque. Le souffle coupé, il sentait sa poitrine se relevait difficilement alors qu’il le dévorait de son regard brulant, cruellement amoureux et passionné. Il avait de nouveau envie de gouter ses lèvres, de profiter pleinement de cet instant pour mettre fin au manque qu’il avait ressenti au cours de la semaine passée mais Ki Suk vint mettre un terme à son désir en prenant la parole, le frustrant quelque peu alors que ce denier lui demandait de ne plus jamais le quitter, ô grand jamais. Il s’était sentait si perdu loin de lui ces derniers jours alors qu’il l’aimait tant. Il se trouvait cruellement heureux de le revoir, de pouvoir sentir leurs deux chairs se rencontrer de nouveau. Il lui murmurait qu’il était si dépendant de lui qu’il lui était bien impossible de pouvoir être loin de lui, sans pouvoir garder le moindre contact avec lui. Ces lettres qu’il lui avait écrites pendant ces jours l’avaient rendu si heureux, même s’il ne pouvait nullement s’empêcher d’être inquiet pour lui. Yano avait pleinement de tout cela, ayant ressenti lui-même toute cette déchirante peine au plus profond de son âme et cela ne venait que rendre plus profond le sentiment de culpabilité qui l’habitait… d’autant plus qu’il lui cachait un fait important, mais son orgueil lui empêchait de souffler mot, tel un lâche qu’il semblait devenir face à lui. Que pouvait-il dire alors que son ange le fixait d’un air résolument amoureux, tendre qu’il voulait seulement savoir qu’il allait bien, qu’il était heureux. Il se trouvait être si heureux de le retrouver alors qu’il lui avait tant manqué, que sa vie n’avait point de sens qu’à ses côtés et que cela ne pouvait que l’enchanter. Il considérait que l’amour les faisait souffrir lorsqu’ils se retrouvaient loin de l’autre sans savoir où ils se trouvent réellement mais en contrepartie, il était si heureux de se retrouver à ses côtés. Oui, il se sentait si bien à ses côtés, échangeant de si merveilleux baisers.

« Moi aussi, mon amour…si tu savais… » Murmura-t-il tout doucement alors qu’il se laissait pleinement de nouveau voler ses lèvres dans un merveilleux baiser.

Un baiser qui allait en totale adéquation avec son souhait alors qu’ils mêlaient leurs lèvres avec délicatesse comme s’il s’agissait de leur premier baiser. Le contact de ses doigts sur ses reins, cajolant le bas de son dos dans ce baiser, Yano ne pu nullement s’empêcher de s’inquiéter. Une inquiétude qui ne s’afficha nullement sur son visage quand bien même des questions bousculaient son esprit de part et d’autre à la rupture de ce baiser. Ki Suk avait-il remarqué la bordure de son pansement, avait-il un doute ou autre ? Cette inquiétude omniprésente disparu quelque instant lorsqu’il sentit les lèvres de son ange se poser sur sa nuque pour la suçoter avec délicatesse. Un simple fait qui le fit doucement soupirer d’aise alors qu’il entendait son ange lui murmurer qu’il était si heureux ainsi, si près de lui. Il méritait tout son amour, lui qui avait vécu tant d’épreuves ces derniers jours dans ce camp, méritant pleinement son repos. C’est donc dans un doux sourire qu’il le vit saisir de l’une de ses mains pour venir l’embrasser de ses lèvres, dans un regard ô amoureux alors qu’il poursuivait sa déclaration. Une déclaration qui ne semblait nullement avoir de fin et dans laquelle il ajoutait qu’il ne savait pas s’il s’attendait à quelque chose de sa part mais qu’il n’avait pu s’empêcher de vouloir lui préparer une surprise pour son retour. Une surprise qui ne pourrait que lui plaire alors qu’il lui demandait s’il était prêt à vivre cette douce surprise dans un doux sourire amoureux en venant embrasser à nouveau sa main. Son regard se trouvait être si amoureux, si conquis qu’il ne pouvait que succomber à ce dernier alors qu’il laissait sa main libre se glisser sur le torse de son ange pour lui caresser doucement cette partie, ne se lassant nullement de le dévorer du regard tandis qu’il le poussait doucement vers le canapé présent dans la pièce. Le contraignant ainsi à prendre place au sein de ce dernier, il vint se placer délicatement au dessus de ce dernier pour glisser ses lèvres sur sa nuque, la baisant légèrement de ses lèvres alors que ses doigts retenaient prisonnières ceux de son amour alors qu’il susurrait contre sa délicate chair.

« Tu sais que je t’aime mon amour… ? Que je me lasserai ô grand jamais de tes si délicieuses déclarations mon amour… seulement ce soir… »

Laissant sa phrase en suspens, il vint délicatement baiser le creux de sa nuque de ses lèvres, soufflant sur cette dernière pour revenir sur sa mâchoire, se dirigeant vers son oreille pour y susurrer.

« je ne souhaite que profiter de toi tout simplement, je veux qu’on reste là dans cette position, que je puisse être en mesure de t’embrasser, profiter de chaque seconde de la chaleur de ton corps et surtout plus que tout… te dire avec toute ton attention, cette si douce nouvelle que je t’ai promis de t’annoncer… »

Dans un doux sourire, il vint délicatement relâcher l’étreinte autour des bras de son ange, venant lui-même doucement caresser le torse de ce dernier avec délicatesse. Dieu que la courbe de son torse sous la pulpe de ses doigts lui avaient cruellement manqué. Il ne pouvait pas s’en empêcher quand bien même cette simple caresse était dangereuse pour lui. Seulement, il ne devait pas perdre de tête ce qu’il avait profondément ancré dans sa chair et c’est ainsi qu’il glissa ses lèvres après une légère coupure vers celle de son ange, venant délicatement lui voler un baiser d’une extrême passion, qui le rendait quelque peu avide.

Souriant d’une façon quelque peu mesquine et résolument amoureux, il ajouta tout simplement contre ses lèvres dans un doux susurre : « Une nouvelle qui te rendra sans aucun doute, ivre d’un bonheur sans nom tout comme cette dernière empli doucement mon être d’une félicité extrême… mais peut être que tu ne veux plus l’entendre, mm mon Ki Suk ? »

Souriant encore plus mesquinement avec tendresse, ses doigts vinrent doucement câliner le torse de son amour alors qu’il ne le quittait nullement de son regard amoureux, résolument tendre en venant l’embrasser avec douceur. Il n’avait aucune idée de quelle pouvait être en réalité la surprise de son cœur mais cette nouvelle, il voulait plus que tout la lui dire, pour qu’il puisse pleinement prendre conscience du bonheur qui se profilait doucement à l’horizon. Peut être sa réaction était-elle égoïste en fin de compte mais il savait tout au fond de lui-même, que Ki Suk lui pardonnerait… ou du moins, il l’espérait.
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:43

Heureux, Ki Suk avait l’impression que rien n’aurait pu le rendre plus ravi en cet instant que la douce présence de son aimé dans leur appartement. Une présence qui lui avait particulièrement manqué et ne pouvait que l’enchanter alors qu’après une semaine d’absence, il avait enfin l’opportunité de revoir l’être qui faisait battre son cœur, cet être qui lui avait manqué à peine avait-il quitté leur domicile. Un domicile qui lui avait paru bien vide pendant ses longs jours sans la présence de cet homme. A partir du moment où Ki Suk avait vu la silhouette de Yano franchir les portes et apparaitre dans son champs de vision, un sentiment de bien-être profond l’avait possédé et ne semblait à présent bien impossible de le quitter. Pour lui qui s’était tant senti incomplet et perdu sans la présence de son tendre aimé pendant ses jours, il lui semblait revivre et pouvoir enfin se sentir complet. Sentir leur deux corps collés l’un à l’autre lui avait tant manqué qu’il ne pouvait que soupirer de bien-être dans les bras de son tendre amant. Un sentiment de béatitude possédait son être sans qu’il ne puisse agir d’une quelconque façon. Son amant, son doux aimé se trouvait à présent et ses côtés et il ne pouvait qu’apprécier le doux contact de leur deux chairs, venant coller leurs corps chaque seconde un peu plus. Cette semaine loin de ce corps lui avait paru ô difficile, ces nuits lui avaient paru particulièrement difficile pour lui qui avait pris l’habitude depuis bientôt deux ans de se retrouver dans ses bras ô accueillants et chauds pour lui assurer des nuits agréables. Les réveils amoureux de son tendre et cher amant lui avait tant manqué ses derniers jours, entendre des mots doux au creux de son oreille et sentir ses baisers sur son corps se trouvait bien plus agréable que le bruit strident de leur réveil. Ses rêves se trouvaient peuplés de son doux amant et pour rien au monde il n’avait souhaité les quitter pour rejoindre les bancs de l’école de magie, même si ces cours lui paraissaient ô intéressants pour lui qui en voulait faire son métier. Chaque matin, pour lui qui avait déjà du mal à se reveiller en temps normal, le réveil avait été ô difficile et plusieurs fois il avait souhaité ne pas se lever et repartir dans ses songes pour retrouver le doux sourire de son tendre amant, de voir la silhouette de Yano à ses côtés.

Ainsi, Ki Suk se perdait peu à peu au contact de leurs deux chairs et tout particulièrement au travers de ses baisers qui se voulaient tant vivifiants pour chacun des participants. Les lèvres de son tendre amant lui avait tant manqué qu’il lui semblait ne jamais pouvoir se rassasier, quémandant à chaque seconde un peu plus, ne souhaitant ô grand briser ce baiser, l’embrassant seulement, encore et toujours. Ses lèvres qui avaient été pendant si longtemps œuvres de désirs dans son esprit qu’il ne pouvait que céder face à cette douce tentation qui lui était offerte, les embrasser pour ne plus jamais les lacher à son plus grand plaisir alors que son corps venait frissonner face à l’afflux de plaisir qui possédait son être. Son cœur ne cessait de battre à un rythme effréné, guidé par l’abondance de sang qui circulait dans celui-ci tant les émotions qu’il ressentait se trouvaient fortes. Le contact des phalanges sur sa chair se trouvait si exquis pour le jeune homme qui ne cessait ô grand jamais de frissonner et de demander plus de contact entre leur deux chairs. Ses mains s’étaient dirigées machinalement vers le bas de ses reins pour venir effleurer ses formes ô enchanteresses qui l’attiraient tout particulièrement. Seulement, à son plus grand désarroi, il dut quitter ses lèvres pour reprendre sa respiration avant de venir lui murmurer tous ces mots doux d’amour qu’il n’avait pu nullement prononcer pendant cette semaine, tous ses mots qui avaient tant envie d’être formulé par lui, par cet être qui aimait tant faire des déclarations à l’être qui faisait battre son cœur et le rendait si vivant. Une des nombreuses déclarations dont Yano n’avait pas pu être le doux témoin pendant ses longs jours, ou du moins oralement… Ki Suk dans ces lettres n’avaient jamais cessé de lui avouer son amour et son état de dépendance, tant son absence l’avait marqué et perturbé pendant ces longs jours, bien trop loin de lui à son goût.

Pendant ses mots le jeune homme n’avait jamais cessé de le dévorer du regard, d’un regard plus qu’amoureux pour sa personne alors qu’il entendait Yano venir lui prononcer que lui aussi ressentait tous ses sentiments, s’il savait seulement jusqu’à quel point il pouvait ressentir ces sentiments. Yano se sentait revivre au creux de ses bras, au contact de leurs deux chairs, au contact de leurs lèvres qui se retrouvaient. Des lèvres qui n’eurent que peu de temps avant de se retrouver à nouveau dans un baiser ô délicat et amoureux pour sa personne tandis que ses mains venaient s’égarer sur ses formes ô enchanteresses et désirables pour sa personne, ce corps si parfait qui lui avait tant manqué pendant tous ses jours d’absence. Ses lèvres s’étaient détachées de ses lèvres pour venir s’échouer sur sa nuque avec un grand plaisir, venant la suçoter, venant goûter cette chair alors qu’il soupirait de bien-être contre son doux amant. A son geste, il était venu alors murmurer qu’il se trouvait heureux, si heureux d’être ainsi, près de lui. Il méritait tout son amour, lui qui avait vécu tant d’épreuves ces derniers jours dans ce camp, méritant pleinement son repos. Il était venu alors dans un doux sourire se saisir de l’une de ses mains pour venir l’embrasser de ses lèvres, dans un regard ô amoureux alors qu’il poursuivait sa déclaration. Une déclaration dans laquelle il lui avouait qu’il n’avait pu se contrôler et avait préparé une petite surprise pour son doux amour, embrassant à nouveau sa main prisonnière, lui murmurant s’il se trouvait prêt à la vivre en cet instant. Il ne put qu’apprécier le doux contact des phalanges sur son torse, en réponse à sa question alors que Yano le poussait doucement vers leur canapé. Ainsi, Yano le contraint, à son plus grand plaisir, à venir s’asseoir sur celui-ci, il était venu se placer au dessus de lui alors qu’il gémissait de bien-être, sentant les lèvres sur sa nuque ô désireuse d’attention. Seulement à son plus grand désarroi, Yano retenait prisonnier sa main de ses doigts, venant l’empêcher de caresser cette peau qui lui donnait tant envie d’être caressé.

Ces doux mots d’amour ne purent que lui plaire, Yano lui murmurait s’il savait qu’il aimait, qu’il ne se lasserait ô grand jamais de ses si délicieuse déclaration d’amour seulement ce soir… ces mots se terminèrent ainsi alors qu’il frissonnait doucement et ne pouvait qu’apprécier le contact de leur doux chair et tout particulièrement ses lèvres qui cajolaient le creux de sa nuque, soufflant et baisant sa nuque jusqu’à atteindre son oreille pour y susurrer quelques mots. Il continua ses propos venant lui susurrer qu’il ne souhaitait que profiter de lui, qu’il souhaitait simplement qu’ils restent ainsi, dans cette position pour qu’il puisse être en mesure de l’embrasse, profiter de chaque seconde de la chaleur de son corps et surtout dire avec toute son attention, cette si douce nouvelle qu’il lui avait promis de lui annoncer dans l’une de ses lettres. Cette douce nouvelle qui avait intrigué nombreux de ces jours, une nouvelle que Yano voulait lui annoncer de vive voix, une nouvelle qui devait normalement l’enthousiasmer et venir panser toutes les blessures qu’il lui avait infligé sans le vouloir depuis qu’ils se trouvaient ensemble. Des mots auxquels il avait lui-même répondu qu’il ne savait nullement qu’elle était la nature de ses mots et qu’il avait fait naitre en lui une curiosité et l’envie t’entendre dire cette nouvelle qui allait probablement l’émerveiller.

A la suite de ses mots le jeune homme ne put qu’offrir un merveilleux sourire à son amant, heureux à la fois de pouvoir venir caresser librement à nouveau le corps de son amour. Venant frissoner à son tour, sentant les doigts de Yano venir caresser son torse doucement au travers de ses vêtements. Heureux, il vint répondre au doux baiser de Yano, gémissant de frustration alors qu’il quittait ses lèvres pour murmurer à nouveau des paroles. Il comprenait au travers de cet acte, la frustration qu’avait dû ressentir Yano quelques instants auparavant alors qu’il avait quitté ses lèvres pour venir lui déclarer sa flamme pendant tant de secondes.

Il ne put que l’écouter attentivement alors qu’il poursuivait ses propos à propos de cette nouvelle, une nouvelle qui allait le rendre ivre de bonheur comme cette dernière avait empli doucement son être d’une félicité extrême, venant le taquiner, sans aucun doute, lui demandant s’il ne souhaitait plus l’entendre…

Comme pour le taquiner, Yano était venu caresser son torse avec amour n’arrêtant jamais de lui lancer un regard ô amoureux, avant de venir l’embrasser avec amour. Dans un merveilleux baiser qui le fit perdre raison alors qu’il venait embrasser ses compères, venant répondre à son désir d’embrasser les lèvres de son amour, de son Yano qui lui promettait tant de féliciter dans les prochaines minutes. Ö diable sa surprise, il s’en fichait à présent, à défaut de ne pas la réaliser en ce jour, rien ne l’empêchait dès le lendemain lorsque Yano ne s’y attendrait pas de venir vers lui pour lui procurer ce doux massage qu’il souhaitait lui faire. Une surprise qui n’aurait qu’un jour de retard, une surprise qui lui semblait à présent bien fade comparé à celle que Yano lui promettait. Un massage ne pouvait nullement apporter une félicité telle que semblait lui promettre Yano au travers de ses mots, il avait tant envie de connaitre cette nouvelle qu’il oubliait peu à peu sa surprise, ne pouvant plus que se concentrer sur les mots prochainement de Yano. Ainsi, séparant leurs lèvres il vint murmurer d’une voix ô enchantée et désireuses de connaissance ses quelques mots : « Mon amour… ô comme si tu savais que je rêve d’entendre ces mots, ces mots qui devraient me rendre heureux, ces mots qui devraient m’émerveiller … comme tu l’as promis dans tes lettres… Je veux entendre ces mots et devenir l’homme le plus heureux qu’il puisse exister, dis-moi mon amour… »

Souriant à ses mots et ne cessant ô grand jamais de lui lancer un regard empli d’amour et envieux pour sa personne, il vint attraper les lèvres de Yano pour l’embrasser à nouveau et les dévorer dans un baiser qui se voulait ô passionné, laissant ses mains se diriger vers les reins de son tendre et cher. L’une de ses mains venant remonter son dos, venant effleurer sans qu’il ne s’en rende compte le bord du pansement de la grande blessure de Yano, sa cicatrice qui ne pouvait nullement être caché bien longtemps à ses yeux. Croyant simplement qu’il s’agissait d’un pansement simple d’une petite blessure il s’inquiéta certainement mais moins que cela pouvait être s’il avait eu connaissance de la vraie nature de ce pansement. Relâchant ses lèvres quelques instants il vint offrir un doux sourire à Yano, bien qu’un peu inquiet avant de murmurer : « Dis-moi cette douce nouvelle mon doux amant, mon tendre aimé, mon Yano… je veux entendre cette nouvelle. » Au travers de ses mots il aurait en quelque sorte abordait ce pansement, seulement il avait préféré taire ce fait, si Yano n’abordait nullement ce sujet, c’était qu’il devait s’agir d’une blessure anodine… sinon il lui aurait dit en arrivant. Si Yano se consacrait uniquement à cette nouvelle, c’était bien qu’elle se trouvait plus qu’intéressante et qui méritait peut-être plus d’attention, même si une blessure en soit ne se trouvait nullement anodine et non dangereuse. Il laissa sa main revenir sur le devant du corps de Yano, venant caresser son torse avec délice et attention. Il vint descendre ses baisers sur sa nuque, venant la suçotter à nouveau, venant caresser ses reins de sa main libre. Il susurra alors contre sa nuque ces derniers mots : « Mon amour... ma surprise attendra … je suis trop impatient et désireux de connaitre ta si délicieuse nouvelle… »
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:44

Il n’y avait rien à ses yeux de plus exquis que la texture si douce des lèvres de son ange. Des lèvres qui avaient la faculté de provoquer en son être un océan de bonheur dont il était inéluctablement prisonnier à tout jamais. Dieu seul au monde pouvait savoir ô combien son être n’avait de cesse de réclamer son contact. Un contact plus que vital tant ce dernier lui semblait indispensable. Cette longue semaine lui avait semblée bien pire que l’enfer, tant son être avait souffert de l’absence de la personne de Ki Suk. Il lui avait été tellement pénible d’être dans l’incapacité flagrante de pouvoir assouvir son désir de sentir la chair de son ange contre la sienne, de pouvoir laisser pleinement ses sens s’enivrer de l’être de son amour. Il avait été cruellement en manque et son agissement à l’heure actuelle allait parfaitement en adéquation avec cela tandis qu’il se laissait pleinement aller à ce merveilleux baiser qu’ils étaient en train de partager. Sentir les lèvres de son Ki Suk venir se mêler à la sienne, laisser cette exquise chaleur réveiller ses sens était résolument merveilleux. Jamais ô grand jamais, il ne pourrait se lasser de les embrasser, les caresser des siennes. A leur contact, il se sentait tout simplement vivre comme lorsqu’il se trouvait aux côtés de son ange. Dieu que les battements de son cœur si effrénés lui avaient manqué au cours de ses derniers jours. Il était résolument étonnant de voir ô combien son être pouvait être dépendant de cette personne. Quand bien même cette idée avait depuis longtemps fait sa place dans son esprit, il y a bien des années, Yano ne pouvait que s’intimer encore plus à croire en cette pensée, que sans Ki Suk, il n’était plus rien. Son cœur ne pouvait se résoudre à l’idée de perdre le moindre contact avec lui, cela signifiant tant la mort, la perte qu’il pourrait à avoir à vivre. Il ne voulait en aucune façon se retirer de sa vie et il était intimement persuader qu’il était prêt à tout pour ne jamais laisser une telle chose se produire.

Ce camp avait été la cruelle conséquence de sa passion, de la folie qui l’habitait à chaque instant que quelque chose touchait de près ou de loin son ange. Il avait encore une fois manqué de perdre son ange et son âme n’avait pu le supporter, révélant à sa pauvre victime le côté le plus sombre de sa personnalité. Il n’avait pas vu son geste arriver quand bien même son ange avait voulu l’en empêcher, le calmer. Oui, il n’avait pu se résoudre à laisser cet acte irresponsable restait impuni. Cet être abject avait failli les tuer, les obliger à rester prisonnier d’une galerie inondable et tueuse. Son acte avait plus d’autodéfense que d’attaque. Il avait voulu anéantir une menace et quand bien même Sasha, se trouvait être un élève tout comme lui, il l’avait considéré comme une menace très dangereuse avec laquelle il n’avait été sans pitié. Oh bien entendu après avoir blessé ce dernier, Ki Suk était parvenu à lui faire reprendre ses esprits, l’ayant pris dans ses bras pour qu’il cesse de s’acharner sur le coupable de toute cette histoire. Peut être avait-il été idiot de réagir de la sorte, d’avoir manqué à ce point de discernement ou de maitrise sur soi mais il ne regrettait rien, si Sasha avait fini blessé, ce n’était qu’à lui qu’il devait s’en vouloir et il n’avait en aucun cas modifié sa version des faits. Un fait qui venait s’ajouter à son précédent accident et qui lui avait fallu une semaine d’éloignement dans un camp d’entrainement comme mise à pied. Une semaine terriblement pénible mais même à l’heure actuelle, il ne regrettait toujours rien, si ce n’est d’avoir été si loin de cet être auxquelles ses lèvres étaient en train de se mêler avec tendresse, amour et désir. Le désir était cruellement puissant, il ne pouvait le nier. Il avait cruellement envie de rendre ses baisers plus passionnées tout comme ses caresses. Il lui était pleinement difficile de ne pas se laisser complètement aller à cette luxure que ce corps, cette chair lui intimait si profondément. Il avait tant passé ses nuits à vouloir ressentir son contact contre sa chair qu’il ne pouvait que profiter pleinement de ce que son ange lui offrait. Il frissonnait de bonheur sous la pulpe de ses doigts, sentait son cœur bondir au creux de sa poitrine tant la félicité qui l’habitait se trouvait puissante. Assis au dessus de lui, au sein de ce fauteuil, leurs corps s’entrelaçaient, se mouvaient avec émoi et passion.

Ils tentaient d’atténuer le moindre manque qu’ils avaient éprouvé au cours de ces derniers jours et il s’agissait toujours d’une pénitence de quitter la peau, les lèvres de l’autre si ce n’est pour soupirer d’aise et de bonheur tant ce dernier se trouvait fulgurant depuis ses dernières minutes alors qu’ils s’étaient retrouvés pour leur bien être le plus total. Seulement, quand bien même son inconscience l’intimait à suivre ses pulsions quelque peu primaires en se laissant pleinement dévorer par la luxure que cette étreinte lui apportait, il ne pouvait oublier qu’il devait lui dire quelque chose. Une chose qui l’exaltait et le rendait si euphorique à cette idée. En effet, Aika et Eichii atteignant sous peur leur majorité, Yano avait prit la décision de rompre ses fiançailles avec celle qu’on avait choisi pour lui. Avant son départ, il lui avait écrit une missive à laquelle cette dernière lui avait répondu favorablement en acceptant de le rencontrer. Il ne pouvait nier que la situation était quelque peu complexe en soi, que cela se trouvait être quelque peu délicat pour lui, qui avait plus ou moins conscience que les sentiments de la jeune femme à son égard n’étaient en aucun cas les mêmes qu’il pouvait éprouver pour sa personne. Lors de leur dernière confrontation, il avait pu prendre conscience de ce fait, du plaisir que cette dernière avait éprouvé d’être présenter à sa famille. Cela lui conférait une place plus profonde, concrète dans son existence et il n’avait pu que s’en sentir gêné tant ce plaisir, il ne pouvait l’éprouver pour sa part. Toute leur relation n’avait rien de naturelle, elle avait été engagée par leurs parents et la seule conversation digne de véritable sens et de franchise avaient été celle qu’ils avaient eu lors des vacances de Noël au début de leur fiançailles, où ils avaient abordés le sujet. Leur relation s’était souvent cautionnée aux commodités usuelles qu’ils se devaient d’avoir en public et Yano ne pouvait pas résolument la considérer comme une amie parmi tant d’autres.

Seulement, il ne pouvait nier que cette discussion le préoccupait quelque peu, il n’aimait nullement l’idée qu’il allait la faire souffrir dans une certaine mesure. Il n’avait nullement cherché son affection et il l’avait reçu sans réellement y avoir fait résolument attention. Il l’appréciait mais n’était résolument pas prêt à lui laisser une place dans son existence, du moins tant qu’elle était et restait sa fiancée. Ainsi, il souhaitait être franc avec elle, lui en parler personnellement avant d’entreprendre la moindre démarche officielle vis-à-vis de leur famille. Il prenait pleinement conscience que l’avenir qui se traçait devant lui allait résolument être chaotique, mais il était pleinement heureux de pouvoir alors être en mesure d’affirmer que son ange, cet être qui se trouvait sous ses yeux, était la seule personne qui pouvait le rendre heureux. Il ne pouvait alors que se sentir exalter de l’entendre lui murmurer qu’il ne pouvait savoir ô combien il rêvait d’entendre ses mots, ses mots qui devraient lui procurer un bonheur sans nom comme il lui avait promit au sein de sa lettre, qu’il le désirait plus que tout. Il était résolument si beau en souriant de cette façon en le dévorant ainsi de son regard empli d’un amour et d’un désir sans nom. Sentir les lèvres de Ki Suk venir violer ses lèvres ne pouvait qu’exalter d’autant plus son être alors qu’il frissonnait avec douceur sous les caresses que ce dernier lui prodigué sur ses reins, ne venant faire qu’accroitre son désir pour sa personne. Ces caresses lui avaient tant manqués qu’il ne pouvait nier que dans d’autres circonstances, il se serait laissé aller à lui murmurer qu’il avait envie de lui, de venir atténuer tout cette frustration qu’il avait éprouvé de ne point assouvir ses pensées lubriques. Seulement ce n’était point possible, d’autant plus à cause de sa blessure, l’abstinence allait donc être de mise pour une période indéterminée. Il se contenta alors seulement de gémir délicatement d’aise, ne pouvait qu’approuver ses caresses alors qu’il le sentait relâcher ses lèvres pour l’entendre lui intimer de lui parler de cette nouvelle. A ces mots, il ne pu que sourire tendrement alors qu’il sentait les doigts de son ange venir caresser son torse tandis que ses lèvres venaient baiser sa nuque, ne faisant qu’accroitre son envie de sa personne. Soupirant d’aise à ce fait, il ne pouvait que se sentir pleinement accompli par ce acte alors que son amour lui demandait plus d’informations au sujet de cette nouvelle, ne faisant qu’approfondir le sourire qui s’était figé à ses lèvres.

Soupirant de nouveau à ses attentions, il laissa pleinement ses doigts se mouvoir sur le tissu de sa chemise pour remontrer à sa nuque, le caressant avec volupté alors qu’il venait à son tour baisser sa nuque avec délice. Réduisant à néant l’espace qu’il y avait entre leurs deux chairs, il pouvait sentir le rythme cardiaque quelque peu rapide de son amour sous la pulpe de ses lèvres qui ne pouvait que dévorer sa nuque. Il se sentait si bien ainsi, qu’il murmura plusieurs fois le prénom de son ange dans une voix résolument fébrile alors qu’il ne pouvait que profiter de cette étreinte qui le rendait si avide de plus de contact alors qu’il remontait à son oreille pour lui murmurer.

« Mon amour… ô mon Ki Suk, si tu savais ô combien cette nouvelle me rend fou d’un bonheur sans nom… bientôt… très bientôt, notre enfer quotidien sera terminé… »

Riant fébrilement avec douceur à ses mots, il baisa tendrement son oreille avec douceur, la mordillant tendrement alors que ses phalanges étaient redescendues sur son torse pour tenter t’atténuer tout le désir cuisant qu’il éprouvait pour sa personne.

« Très bientôt, mon amour… tout le monde saura que tu m’appartiens, tout comme je suis à toi… à toi et personne d’autres…. Oui, d’ici quelques semaines, je n’aurai plus à taire ce fait, garder cela ancrer dans mon cœur… oui je pourrais enfin crier au monde entier, que je suis fou de toi et que rien au monde… ô oui, que rien au monde ne peut changer ce fait. Si tu savais à quel point je t’aime mon amour et ô combien je peux me trouver fébrile à ces mots… j’ai tant envie d’être à ce jour pour enfin laisser pleinement mon cœur et mon corps t’exprimer à toi tout comme aux autres, tout ce cuisant amour que je ressens pour toi. »

Il avait murmuré ses paroles avec fébrilité, émoi alors qu’il était venu à plusieurs reprises embrasser son oreille, descendant sur sa nuque pour la dévorer de ses lèvres. Avides et cupides, ses phalanges avaient doucement relevées le tissu de sa chemise et de son T-shirt pour caresser sa peau avec délice. Soupirant à ce bonheur sans nom qui le transperçait totalement de toute part à ses mots, il vint délicatement glisser ses lèvres sur sa mâchoire, ses lèvres qu’il vint violer avec passion des siennes. Gémissant tout simplement à ce geste, il l’embrassa avec fougue et passion, relâchant simplement ses lèvres quelques secondes pour le dévorer de son regard ô passionné et fébrile pour murmurer dans un doux sourire, comblé de bonheur.

« Mon amour… je suis intimé que tu comprends pleinement où je veux en venir, ne ? »
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:45

La surprise de Yano, cette surprise qu’il lui avait préparée pour son retour se trouvait à présent bien obsolète dans l’esprit de notre jeune homme. Son esprit se trouvait seulement obnubilé par les baisers et caresses de son tendre amant, ses baisers qui lui avaient particulièrement manqué pendant ses longues journées, qui lui avaient paru des semaines. A présent qu’il avait la chance de pouvoir avoir près de lui son tendre amant, il ne souhaitait pour aucune raison devoir se séparer de lui. En ce jour de félicité, ils devaient seulement rester ensemble dans leur petit cocon, sans qu’ô grand jamais une autre personne n’entre pour venir troubler ces doux instants de bonheur, uniquement réservé à eux deux. L’amour rendait égoîste, Ki Suk s’en était rendu compte depuis bien longtemps et ce fait ne le dérangeait d’aucune façon, pour lui qui souhaitait n’avoir Yano que pour lui en ce jour, après tant de jours de séparations. Yano se trouvait être son amant, son tendre amour… il détenait le droit de ne pas le partager, n’est-ce pas ? Il n’y avait que lui qui avait le droit d’être fou de ces baisers ô envoutants, d’être attiré par chacune de ses formes ô tentatrices, de caresser ses muscles saillants avec envie, tout comme le fait qu’il était l’unique qui pouvait l’aimer autant qu’il le faisait. Ainsi, ses baisers en ces instants pouvaient se trouver bien possessifs envers la personne de Yano, tout comme ses caresses qui s’égaraient peu à peu sur le corps de Yano, avide de contact avec lui. Si Yano se trouvait en manque de contact avec sa chair, la réciprocité se trouvait aussi avéré pour l’être du bulsajo. Il lui semblait revivre à ses côtés et pouvoir enfin être heureux, réellement heureux de l’avoir retrouvé, ces lettres aussi magnifique fut-elle, ne pouvait nullement ô grand jamais remplacer le contact charnel entre leur deux corps, un contact qui l’avait toujours laissé avide de contact avec lui. Sentir les lèvres de Yano sur les siennes se trouvait être un contact ô enchanteur, tout comme ses lèvres qui embrassaient à l’instant même sa nuque qui ne pouvait nullement rester insensible, le faisant frissonner de plaisir, faisant naitre en lui un plaisir malsain, un plaisir empli de luxure pour ce doux être. Rien ne l’empêchait après tout à céder à ce doux plaisir en cette soirée, rien ne pouvait l’empêcher de le faire… il ne doutait nullement du fait que Yano souhaiterait tout comme lui céder à celui-ci après tous ses jours loin l’un de l’autre. Yano se trouvait tout autant dépendant que lui de ses contacts charnels entre les deux et ne pourrait opposer aucune résistance à ses envies secrètes. Le jeune homme en était bien persuadé.

Ainsi malgré lui, il avait laissé glisser ses mains sur le vêtement si léger de son tendre amant pour venir caresser ses formes ô plaisantes, affectionnant particulièrement son torse qui avait toujours été son poids faible lorsqu’il s’agissait du corps de son tendre amant. Yano avait bien dû s’en rendre compte depuis le premier jour où ils s’étaient déclarés leur amour, un jour ô béni où Yano n’avait pu contrôler sa jalousie et l’avait emmené avec lui dans un coin de la bibliothèque après l’avoir vu si proche d’un autre homme, qui tentait de le séduire, lui avouant son amour. Depuis ce jour, ô combien d’éléments avaient changé dans leur vie, même s’ils vivaient encore terrés dans leur cocon, ne pouvant pas encore s’afficher comme ils souhaitaient le faire, tout particulièrement dû à la situation ô complexe de son tendre amour. Un amour qui s’était retrouvé fiancé à une autre, sans qu’il ne puisse lutter contre en vue de sa situation d’héritier de la famille Wada et protecteur envers son frère et sa sœur. Le jour où ils n’auraient plus à se cacher lui tardait, tout comme à Yano, tout comme à lui. Ne plus avoir cette sensation frustrante de devoir masquer leur amour derrière une amitié profonde, ne plus avoir à retenir la moindre de ses envies au risque qu’une personne ne les surprenne… toutes ses petites choses qui les empêchaient de vivre comme un couple normal aux yeux des autres les empêchait de vivre cet amour autant qu’il le voudrait. Un jour peut-être aurait-il à ne plus se cacher… et Ki Suk ne pouvait qu’espérer que ce jour se rapproche le plus rapidement possible après avoir passé tant de mois dans la clandestinité, tel des évadés, tel des fous.

Ainsi logé contre le corps de Yano, Ki Suk ne pouvait que se trouvait complet et heureux. Comme protégé, Yano se trouvait au dessus de lui, assis et lui promettant les plus belles choses à présent. Chacun des baisers déposaient sur sa nuque le rendait fou, le rendait toujours plus dépendant de cet être qui refaisait naitre des sensations disparus il y a avait maintenant une semaine, le jour de son départ pour ce camp si terrible. Son corps se trouvait si sensible au moindre contact entre leurs chairs, le faisant frissonner à chaque instant, faisant battre son cœur à un rythme effréné, tant celui semblait ô heureux de retrouver cet être ô merveilleux. Tout particulièrement alors que Yano venait d’aborder à nouveau, tout comme dans cette qu’il devait lui annoncer une douce nouvelle qui devait le rendre particulièrement heureux, qui devait lui faire partager son être d’une félicité extrême. Curieux, le jeune homme n’avait pu que l’être alors qu’il n’avait pu qu’oublier sa surprise, la repoussant à un autre moment pour connaitre cette nouvelle qui l’impatienter chaque minute un peu plus. Il était venu lui murmurer qu’il ne pouvait ô combien il rêvait d’entendre ses mots, ses mots qui devaient lui procurer un bonheur sans nom. Il était venu l’embrasser à nouveau, l’embrassant avec une passion non dissimulés alors que ses mains s’égaraient sur son corps, venant caresser avec avidité ses reins, remontant peu à peu jusqu’à atteindre son dos ô parfait. Ki Suk en était persuadé, les doux gémissements de Yano se trouvaient être la plus belle mélodie de ce bas monde, une mélodie qui a chaque l’enchantait et faisait frissonner son corps à chaque fois un peu plus. Des douces pensées lubriques malgré lui prenait place dans son corps sans qu’il ne puisse d’aucune manière y résister, venant continuer à égarer ses mains sur ce corps ô parfait qui lui donnait tant envie. Ses lèvres ne se séparèrent de celles de Yano que dans l’unique but de lui énoncer à nouveau qu’il voulait entendre cette nouvelle qui devait le rendre heureux, les rendre si enjoués. Le doux sourire que lui rendit Yano le fit tendrement fondre, le rendant toujours plus amoureux qu’il ne l’était déjà. Il ne put résister à caresser son torse, emmenant ses doigts dessus et à caresser chacune de ses formes avant d’embrasser cette nuque ô tentatrice, qu’il ne cessait de cajoler avec tout son amour. De sa voix alors envoutée il lui demandait plus d’informations à ce sujet, avant de venir embrasser à nouveau cette nuque qui ne demandait que son attention après tant de jours sans attention de sa part.

Comme pour répondre à ces envies, Yano vint à son tour caresser avec volupté le tissu de sa chemise pour remonter à sa nuque, la caressant avec plaisir alors qu’un doux baiser sur sa nuque vint à nouveau le faire frissonner et lui faire échapper un doux gémissement de bien-être. Entendre Yano murmurait son nom d’une fois si fébrile le rendait particulièrement désireux de plus de contact alors qu’il sentait sa bouche remontait à son oreille pour lui murmurer ces mots qui devaient être si enchanteurs. Yano venait de l’appeler encore, lui susurrant si seulement il savait ô combien cette nouvelle le rendait fou d’un bonheur sans nom, bientôt, très bientôt, leur enfer quotidien serait terminé. A ses mots l’espoir qui possédait l’être du bulsajo depuis des mois refit son apparition, celle que peut-être ce jour tant attendu allait enfin arriver. Il ne put alors que continuer à frissonner alors que Yano embrassait son oreille avec douceur et venait la mordiller tendrement alors que ses phalanges étaient redescendues sur son torse, ranimant un désir puissant en lui. Très bientôt, tout le monde saura qu’il lui appartenait, tout comme il se trouvait à lui, à lui et personne d’autres. D’ici quelques semaines, Yano n’aurait plus à faire taire ce fait, garder cela ancré dans son cœur, qu’il pourrait enfin crier au monde entier qu’il se trouvait fou de lui et que rien au monde ne pouvait changer ce fait. S’il savait à quel point il l’aimait et ô combien il ne pouvait que se trouver fébrile à ces mots, il avait tant envie d’être à ce jour pour enfin laisser pleinement son cœur et son corps s’exprimer à lui, tout comme aux autres, tout ce cuisant amour qu’il ressentait pour lui.

Ki Suk ne put s’empêcher de gémir de bonheur à ses mots, alors qu’il sentait les lèvres de Yano embrasser son oreille avec passion, descendant sur sa nuque pour la dévorer de ses lèvres. Se cacher, il n’aurait plus jamais l’obligation de se cacher… ils pourraient enfin vivre leur amour comme il le souhaitait, vivre comme n’importe quel couple passionné. Tout le monde saurait qu’ils s’appartenaient et qu’ils s’aimeraient à la folie, qu’ils s’aimaient et que personne ne pouvait jamais changer ce fait d’une quelconque manière. Son cœur battait si vite à cette nouvelle, le rendant encore plus fébrile alors qu’il en venait à trembler de joie, de bonheur… Il ne put que fermer les yeux un instant, face à l’afflux de plaisir qui prenait part dans son être alors même que Yano venait relever sa chemise et son tee-shirt pour caresser sa peau avec délice. Soupirant de bien-être, il vint répondre tout aussi passionnément au baiser de Yano, venant à son tour caresser son torse avec une envie plus que certaine pour cet être qui l’avait bien rendu à devenir l’homme le plus heureux sur cette terre au travers de ses mots. Yano vint lui murmurer alors qu’il était intimement persuadé qu’il comprenait là où il en voulait en venir… ô que oui, Ki Suk l’avait compris, le regard ô passionné qu’il venait de lui lancer en était bien la preuve. Ne pouvant s’empêcher de répondre à ses besoins, il vint embrasser Yano avec une passion certaine, caressant chaque centimètre de sa peau jusqu’à ne plus avoir d’oxygène. Il vint relâcher simplement leurs lèvres quelques instants, lui lançant un regard ô comblé et amoureux, se laissant quelques secondes pour reprendre son souffle avant de murmurer à son tendre amant : « Mon Yano… mon Yano… je ne peux que comprendre ces mots… je rêve depuis tant de temps… de te les entendre dire… nous pourrons enfin nous aimer librement, nous aimer comme nos cœur le veulent, sans aucune contrainte extérieure… ô si tu savais comme cela me rend heureux… je… crois que je suis … le plus heureux des hommes sur cette terre… mon Yano, mon Yano… »

Il termina sa phrase, venant capturer à nouveau ses lèvres pour échanger un énième baiser passionné alors que ses mains venaient à son tour relever le tissu si léger du haut de Yano pour venir caresser son torse avec une envie non dissimulée, une envie de découvrir ce corps… Coupé par le souffle, il vint séparer leurs lèvres avant de venir embrasser sa nuque avec envie, ne pouvant s’empêcher de gémir de bien-être tout contre son aimé. D’une voix possédé par un bonheur sans fin il vint continuer à lui murmurer : « Après tant de mois… tant de semaines… ô je suis si heureux… tellement heureux mon Yano…tout le monde saura que tu n’es qu’à moi et personne d’autres… que nous nous aimons à la folie… il me tarde ce jour… ce jour si proche qui nous rendra plus ivre de bonheur … il n’y aura plus que toi et moi… comme je l’ai toujours tant rêvé depuis tant de mois… je t’aime tant mon Yano…»

A ses mots il vint à nouveau dévorer sa nuque de baisers possédée par la passion, souhaitant lui transmettre tout l’amour qui prenait part de son être, un amour indéfinissable qui ne demandait qu’à s’exprimer toujours plus, un amour qui le rendait si heureux et qui transcendait son être chaque seconde un peu plus à la suite de cette nouvelle. Il soupira encore plus de bien-être alors qu’il sentait les mains de Yano sur son être, le rendant chaque fois un peu plus fou de cet être. Yano… lui appartenait et tout le monde le saurait, ils n’auraient plus à se cacher et ces fiançailles absurdes disparaitront tout simplement pour les laisser libre de s’aimer.

« Je suis si heureux…. Tellement heureux… toutes ses souffrances n’auront plus lieu d’être et tout le monde le saura… que nous nous aimons… à la folie. Mon Yano, mon tendre Yano, il me tarde ce jour béni à tes côtés… nous pourrons enfin nous aimer… cette nouvelle se trouve si magnifique et admirable mon aimé. Je t’aime…. Je t’aime… je t’aime tellement mon Yano… »

En cet instant, il avait tellement envie d’embrasser Yano, de cajoler cet être et de lui prouver encore et toujours son amour…
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:46

Le bonheur était sans aucun doute une drogue à laquelle on devenait résolument rapidement dépendant et dont on ne pouvait plus se passer. Cela faisait désormais plus de deux ans, qu’il vivait nuit et jour, une félicité sans nom auprès de cet ange qui se trouvait tout contre lui. Un ange qui avait fait de lui l’homme qu’il était et qui allait résolument être le seul gardien de celui qu’il allait devenir par la suite. Cela faisait bien longtemps que Yano s’était faite la douce promesse de ne jamais se séparer de sa personne tant son être ne pouvait se passer de ce dernier. Ki Suk représentait tant de choses à ses yeux, quand bien même ce fait avait dut résolument être tenu secret au cours de ses dernières années. Si Ki Suk avait cruellement souffert de ne point être en mesure de montrer son amour envers sa personne, Yano l’avait été tout autant. Il était résolument cruellement pénible de ne point être en mesure d’afficher pleinement l’inclinaison de son cœur, de devoir contenir ce fait secret car ses obligations et les convenances de son rang l’avaient empêché tout simplement de le faire. Son cœur avait tant souffert de la situation, n’avait eu de cesse de faire entendre sa raison à son esprit, en vain. Pourtant, il ne pouvait que se sentir pleinement exalté de pouvoir être dans un avenir proche capable de venir répondre aux aléas de son cœur. Il avait tant hâte de pouvoir rompre ses fiançailles qui n’avait eue aucun sens à ses yeux depuis le début. Il désirait tant être à cet instant où il s’entretiendrait avec Min Sun Hee pour lui faire part de sa décision, de la vérité. Il voulait au moins être digne avec elle, lui épargnait la décadence d’être bafouer de la sorte. Il souhaitait intimement qu’il parviendrait à la convaincre de rompre cette alliance sans avenir, lui faire comprendre qu’elle n’avait rien à gagner à rester son fiancé car il ne comptait plus se taire. Oui, il voulait enfin pouvoir déclarer à quiconque qu’il aimait ce jeune homme qui se trouvait sous son regard. Un être qu’il connaissait depuis tant d’années qu’il avait la sensation d’avoir vécu toute sa vie à ses côtés. Une personne qui se trouvait être la personne la plus importante à ses yeux, la seule sans qui il ne pouvait point vivre. Il ne désirait en aucun cas se soustraire de son emprise, venant même à souhaiter intimement d’être à tout jamais son prisonnier. Un prisonnier dont il n’aurait que l’apparence tant la félicité qui l’habitait se trouvait grande, si profonde, que rien au monde ne pourrait le faire aller à l’encontre de cette idée.

Il se sentait vivant avec lui, il suffisait de voir la fébrilité dans laquelle son cœur était plongé à chaque baiser, caresse qu’ils échangeaient. Il avait la sensation d’être dévoré tout simplement par la puissance de cette chaleur qui n’avait de cesse de s’accroitre en son sein. Une chaleur qui le rendait ivre d’une félicité sans nom, alors qu’il se laissait pleinement allé aux battements de son cœur qui l’intimait à agir de façon si séduisante, si passionnée avec son ange. Autant qu’on pouvait être accro à une drogue, le jeune homme qu’il était se trouvait être dépendant de son amant, de cet être qui faisait de lui : la pauvre victime de sa propre folie. Une folie qui faisait de lui un être particulièrement avide, empli de pensées lubriques qui n’avaient de cesse de l’attaquer à chaque instant que leurs lèvres se rencontraient, se mêlaient dans une fougue sans nom. Avide, il ne pouvait alors nier qu’il avait envie de lui, se trouvant résolument cupide de vouloir découvrir de nouveau son corps sous la pulpe de ses phalanges. Une chose qu’il appréciait plus que tout faire lorsqu’il se laissait aller à ces gestes d’une extrême sensualité. Des actes qui venaient qu’approfondir son bonheur tandis qu’il laissait pleinement son être se mouvoir, se mêler à la chair de son ange qui tout comme lui semblait réclamer ces exquises caresses. Le bien être qui résidait au sien de son être était tel qu’il ne parvenait plus à se maitriser tant ce dernier était fulgurant. La simple songée de pouvoir enfin le nommer officiellement comme sien, être en mesure de pouvoir l’embrasser dès que l’envie lui en prendrait sans avoir à craindre une quelconque conséquence, étaient autant de faits qui ne pouvait qu’approfondir cette félicité. Une félicité qui guidait le moindre de ses gestes alors qu’il avait exprimé cette nouvelle à haute voix, laissant pleinement la possibilité à son ange de prendre conscience de la portée de ses paroles comme il le faisait lui-même. Bientôt, très bientôt toute cette douleur qu’il n’avait eu de cesse d’accabler son ange allait prendre fin et cette pensée était tout simplement… jouissante.

Souriant avec ravissement au gémissement émit par son tendre amant, il ne put que se laisser pleinement dévorer par ce désir qui le transcendait alors qu’il glissait ses lèvres sur son oreille, l’embrassant avec passion pour descendre à sa nuque. Des gestes qui ne le lassait ô grand jamais alors qu’il ne pouvait que se sentir exalté de le voir si réceptif à ses baisers, caresses qui devenaient de moins en moins innocentes. Une chose qui ne le gênait nullement puisqu’il avait glissé ses doigts sous sa chemise et son pull pour profiter pleinement des courbes de son torse. Des courbes qui le rendaient terriblement désireux alors qu’il sentait ses phalanges se mouvoir sur cette chair qui lui avait tant manqué. Une peau qui le rendait ivre de désir, venant lui voler un merveilleux baiser qui le fit doucement gémir tant il se sentait laisser partir par les aléas de son cœur. Un cœur qui tout comme celui de son ange, ne cessait ô grand jamais de bondir dans sa poitrine alors qu’il se sentait fondre littéralement sous le regard de son ange. Comment pouvait-il en être autrement tandis que ce dernier lui lançait un regard profondément passionné, brillant d’un bonheur sans nom qui n’avait rien à envier au sien ? Impossible tandis qu’il se sentait de nouveau fébrile sous les caresses de son ange qui comblé de bonheur venait lui murmurer qu’il ne pouvait que comprendre ces mots, qu’il en rêvait depuis tant de temps de les entendre lui dire. Il se sentait si heureux de savoir qu’ils pourraient enfin s’aimer librement, comme ils le désireraient, sans aucune contrainte. Il avait la sensation d’être l’homme le plus heureux sur cette planète avant de venir l’embrasser de nouveau dans lequel tout son bonheur s’exprimer à travers ses caresses sur son être. Des caresses qui ne faisaient qu’approfondir son envie de lui alors qu’il continuait de caresser son torse avec fébrilité, le souffle court dans des soupirs coupés par l’émotion. Le bonheur qui l’habitait était total et rien à l’heure actuelle ne semblait pouvoir rompre ce dernier. C’était comme s’ils se trouvaient entièrement coupés du monde, qu’ils se trouvaient être le noyau central de leur univers et que rien d’autre n’avait d’importance désormais, si ce n’est l’un l’autre à leurs yeux. Seuls des âmes sœurs pouvaient ressentir cela et il était intimement persuadé que Ki Suk était la sienne tout simplement. Personne au monde ne pourrait avoir cette même complicité, complémentarité avec lui que cet ange.

Aux paroles de son ange, il ne put que le dévorer du regard avec fébrilité. L’entendre lui dire qu’il était tellement heureux par cette nouvelle, le rendait tout autant fébrile. Tout comme son ange, il lui tardait plus que désormais de pouvoir rendre leur couple officiel, quand bien même les conséquences pour lui pouvaient être terribles. Seulement ce soir, il ne souhaitait nullement y songer, préférant quoiqu’il arrive, profiter de la personne de son amour alors qu’il venait de nouveau lui voler un baiser passionné en murmurant conte ses lèvres :

« Moi aussi je t’aime mon amour, et ce du plus profond de mon cœur… bientôt tout être saura que tu es mien et… savoir qu’il ne s’agit plus qu’une question de semaines, me rend littéralement fou… bien plus que je ne le suis habituellement de toi… mon Ki Suk… Je t’aime tellement…»

Soupirant ceci contre ses lèvres, il ne put que le dévorer du regard alors que ses lèvres dévoraient sa mâchoire de baisers voluptueux alors qu’il soulevait plus intimement son pull pour pouvoir accéder à son buste. Un buste si parfait qu’il ne se lassait ô grand jamais de sentir sous la pulpe de ses phalanges, ravivant ce désir cuisant d’approfondir cet instant si unique que tous deux étaient en train de vivre. Venant suçoter sa nuque avec délice, il vint délicatement caresser biceps avec passion, venant s’attarder sur ses boutons de chair qu’il taquina avec la plus extrême fougue comme s’il ne parvenait plus à maitriser son corps, guidé par son cœur aveugle qui ne songeait qu’à anéantir ce manque qu’il éprouvait encore de sa personne. Un manque qui avait pour conséquence sa folie alors qu’il vint délicatement murmurer à l’oreille de son amour.

« Si tu savais ô combien ses jours loin de toi m’ont été pénibles, mon cœur… tu manquais si cruellement à mon échine… ses nuits étaient une pure pénitence pour mon âme… qui n’avait de cesse de te réclamer comme une drogue… j’avais tant envie de toi… te serrer dans mes bras mon amour… »

A ses mots, ses lèvres vinrent doucement baiser son oreille avec amour, laissant son souffle brulant frôler cette dernière qu’il entreprit de mordiller. La folie habitant de plus en plus son être, il vint avec douceur bloquer encore plus son ange contre le dossier de son fauteuil, venant caresser son torse avec douceur mais passion alors qu’il susurrait doucement à peine audible qu’un murmure.

« Ki Suk… Mon Ki Suk… je crois que j’ai cruellement envie de te dévorer ce soir… tu crois que c’est tolérable de le désirer autant à ce point ?...mm… ne ? »

A cela, il vint tout simplement baiser passionnément son oreille continuant inlassablement à susurrer le doux prénom de son ange.
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:47

Heureux, le jeune homme ne pouvait que l’être à présent que l’être aimé venait de murmurer au creux de son oreille ses mots, qu’il avait tant rêvé de pouvoir un jour entendre. Des mots qui allaient faire enfin faire taire chacune des souffrances qui avaient possédé leurs êtres pendant ses longues semaines silencieusement. Se cacher lui avait paru tellement difficile, tout particulièrement lorsque Yano lui avait annoncé que sa famille lui avait présenté officiellement sa fiancée, une fiancée d’apparence qui n’avait nullement raison d’exister lorsqu’on prenait en considération le fait qu’ils étaient ensemble déjà depuis de nombreuses semaines et qu’ils se trouvaient amoureux. Cette relation n’avait pas de légitimité, ni cette mascarade… seulement ils se devaient de masquer la nature de leurs sentiments aux parents de Yano, à la famille Wada, à chacun de ses membres. Le jour de la majorité de son frère et de sa sœur approchait… ce qui signifiait tout simplement que leur calvaire se terminerait et l’amour et la passion prendraient la place de cette terrible angoisse. Ki Suk pourrait enfin aimer l’homme qu’il aimait comme il le souhaitait, sans n’avoir jamais à se contrôler devant une quelconque personne et vivre une relation de couple normale aux côtés de l’être qui le rendrait plus heureux qu’il ne le pouvait déjà. Chacun des moments qu’ils avaient partagés ensemble pendant ces deux années s’étaient déjà trouvé merveilleuses, même s’ils ne quittaient que rarement les murs de leur logement. Le seul fait de pouvoir se réveiller aux côtés de son amour chaque jour se trouvait être bien fabuleux pour le jeune homme amoureux qu’il était. Tout comme le fait d’avoir la chance de recevoir ces baisers en guise de réveil chaque jour… Recevoir tout simplement l’amour et la tendresse de Yano entre les murs de leur logement lui suffisait amplement à ce jour, tant il se sentait comblé à chaque fois que Yano se trouvait être à ses côtés. Si Ki Suk se trouvait être un ange aux yeux de Yano, ce sentiment et cette impression se trouvait réciproque pour le jeune bulsajo qui ne cessait ô grand jamais de se sentir pleinement heureux aux côtés de Yano. Une personne qui le rendait chaque jour un peu plus heureux, ce jour en était bien la preuve alors qu’il lui murmurait enfin qu’il n’aurait plus à se cacher, que leur calvaire serait enfin fini.

Guidé par ses émotions, il ne cessait ô grand jamais de venir embrasser les lèvres de Yano, ni de venir caresser son être avec douceur et plaisir. Ses longs jours loin de Yano lui avaient semblé particulièrement long et il n’avait pu que ressentir un manque croissant de sa personne à chaque jour qui les séparaient, ces jours purent-ils être courts pour bon nombre de personnes. Sentir contre sa chair, celle de l’être aimé se trouvait être le plus merveilleux des contacts pour le jeune bulsajo. Son cœur battait à un rythmé effréné alors qu’il lui semblait fondre à chaque baiser sur sa peau de son tendre aimé qui cherchait à le rendre frou à chaque instant selon lui. Ainsi, il n’avait pu que gémir de bien-être à cette annonce et ses lèvres qui descendaient de ses oreilles à sa nuque, un point délicat qui avait pour mérite de le faire frissonner et gémir à nouveau, murmurant le doux nom de son amant. Ces caresses de moins en moins innocentes ne le laissaient nullement insensibles, ses doigts étaient venus se mouvoir sur sa chair outrepassant sa chemise et son pull pour l’aimer, le cajoler tout simplement. Ki Suk se trouvait si conquis en cet instant qu’il ne pouvait qu’offrir à Yano un sourire resplendissante et un regard totalement envouté pour sa personne. Son amour pour cet être ne pouvait que s’accentuer jour après jour à ses côtés tant il lui semblait vivre jour après jour dans un paradis terrestre, protégé par l’amour de Yano. Ki Suk ne pouvait que comprendre ces mots, le contraire aurait été bien difficile pour lui. Ils avaient enfin pouvoir la chance de pouvoir s’aimer librement, comme ils le désiraient, sans aucune contrainte. Suivant ses envies le jeune homme était alors venu accentuer ses caresses sur ce torse si désirable, alors qu’il ne cessait ô grand jamais de venir embrasser ses lèvres qui l’avaient tant manqué pendant ces derniers jours. Ses mains s’étaient dirigées alors vers ce torse si désirable, venant remonter son haut suivant ses envies intérieures. Ses lèvres étaient venues alors s’échouer sur le haut de sa nuque, l’embrassant avec une passion non dissimulée, ne pouvant s’empêcher de gémir à nouveau contre cet être si parfait à ses yeux. Les mots qu’il venait alors de prononcer contre cette nuque ne lui semblait nullement assez fort pour exprimer chacun des sentiments qui le traversaient, comme le bien-être qu’il lui transmettait au travers de ses nombreux baisers et caresses sur son être. Peu importe le monde extérieur en cet instant, seul l’importait ses lèvres ô merveilleuses et le corps si parfait de son Yano, l’homme qui lui permettait de se sentir si satisfait et qu’il ne souhaitait nullement quitté, même pour l’or du mondu. Yano se trouvait être l’homme de sa vie et personne n’avait le droit à présent de l’éloigner de lui ou de se l’accaparer d’une quelconque façon. Tout le monde le saurait à présent, tout le monde saurait qu’ils s’aiment et que chacun d’eux s’appartenaient mutuellement.

Ces mots si enchanteurs à l’adresse de Yano ne semblaient nullement le laisser de marbre, il lui suffisait d’observer le regard si fébrile qu’il lui envoyait en cet instant pour s’en rendre compte. Yano vint alors à nouveau l’embrasser avec passion, répondant à son désir pour sa personne et venant lui murmurer des mots doux alors contre celles-ci, une fois celui-ci coupé. Yano venait lui murmurait que lui aussi l’aimait, qu’il l’aimait du plus profond de son cœur et que bientôt tout le monde saurait qu’il se trouvait sien. Savoir que ce moment n’était à présent qu’une question de semaines le rendait littéralement fou, bien plus qu’il ne pouvait l’être habituellement de lui. Il lui murmurait alors à nouveau qu’il l’aimait tellement… Yano laissa alors échapper un doux soupir de bien-être alors qu’il ne cessait pas de le dévorer d’un regard pénétrant avant de venir dévorer sa mâchoire de baisers si somptueux se sentant frissonner, tandis que Yano relever son pull pour pouvoir accéder à son buste. Le contact de ses mains sur cette partie de son corps le fit à nouveau frissonner et se sentant pleinement complet à présent, cela faisait tant de temps que celui-ci s’était retrouvé sans contact avec ses mains si gracieuses… bien trop de temps à ses yeux. Laissant échapper un doux gémissement, il sourit tendrement alors que Yano venait suçoter la peau de sa nuque, faisant naitre en lui des pensées lubriques pour cet être si parfait à ses yeux, tout particulièrement alors que celui-ci venait caresser ses biceps avec passion et venait frôler ses boutons de chair avec taquinerie. Yano souhaitait le rendre fou après tant de jours de séparations, Ki Suk en était persuadé alors qu’il fermait les yeux face à l’afflux de plaisir qui prenait part de son être. Yano lui avait tant manqué pendant ces derniers jours…. Son manque de sa personne s’apaisait peu à peu, à chacune des caresses faisant naitre en lui des pensées particulièrement érotiques pour cet être qui le rendait si dépendant.

Yano vint murmurer au creux de son oreille alors qu’il ne pouvait pas imaginer à quel point ses jours loin de lui avaient été si pénible, il avait manqué si cruellement à son échine, ses nuits avaient été une pénitence pour son âme qui n’avait jamais cessé de le réclamer comme une drogue. Il avait tant envie de lui, de le serrer dans ses bras. Des mots qui pouvaient ô combien être prononcé par Ki Suk qui avait tant eu du mal à vivre loin de son aimé pendant le temps de leur séparation, une si longue semaine qui avait mis à l’épreuve leur amour. Soupirant à ses mots, il voulut venir embrasser les lèvres de son Yano, seulement cela avait été bien impossible puisque déjà Yano venait doucement embrasser son oreille avec amour, laissant son souffle frôler son oreiller tandis qu’il la mordillait, le faisait doucement frissonner. Ses mains se dirigeaient alors vers le torse de Yano, venant caresser celui-ci avec une envie certaine, ne pouvant pas rester de marbre face à toutes ses attentions. Ki Suk laissa échapper un doux gémissement alors que Yano venait le bloquer contre le dossier du fauteuil, venant caresser avec plus de douceur torse dans un geste remplie d’amour. Les mots prononcés par Yano le firent à nouveau frissonner alors qu’il venait embrasser son oreille passionnément… Il lui murmurait qu’il croyait qu’il avait cruellement envie de le dévorer, lui demandant même si cela se trouvait tolérable de le désirer autant à ce point, susurrant son nom à maintes reprises.

Ki Suk ne put alors que venir répondre à ses mots avec envie, venant frôler à nouveau son torse, s’égarant quelques instants sur ses bouts de chairs venant éloigner quelques instants le visage de Yano du sien pour venir embrasser à son tour avec envie sa nuque : « Mon amour… tout cela n’est que normal d’avoir tant envie l’un de l’autre, j’en suis persuadé. Tout particulièrement alors que nous n’avons pas pendant ses longs jours pu répondre à chacun de nos besoins… et ces mots enchanteurs que tu as prononcé ne peuvent que nous rendre heureux. L’amour contrôle chacun de nos gestes et nous emmène à avoir tant envie l’un de l’autre… Il est bien trop difficile de lutter je crois mon amour… nous n’avons aucune raison de ne pas répondre à nos envies… tu ne crois pas ? »

A ses mots, il vint ré-embrasser cette nuque avec passion, n’hésitant pas à remonter le haut de Yano, jusqu’à lui enlever avec douceur son haut pour pouvoir admirer chacune de ses formes qui lui avaient tant manqué et qui était à présent toute à sa disposition. Il remarqua bien entendu que Yano se retrouvait avec un pansement sur le dos qui recouvrait celui-ci, seulement il était bien loin de se douter de quelle genre se trouvait la nature de sa blessure. Il souhaitait uniquement faire ressentir à Yano tout l’amour qu’il ressentait et le besoin de leurs deux chairs à se retrouver enfin. Il vint murmurer cependant un à son oreille quelques mots : « Yano… ta blessure … ton pansement… ce n’est rien de grave, ne ? » Inquiet, le jeune homme ne pouvait que l’être même s’il ne pouvait jamais cesser de vouloir embrasser son Yano et profiter de lui, après avoir tant passé de temps loin de lui. Se laissant guider par sa passion, il vint alors diriger ses baisers vers sa nuque et sa pomme d’adam, déposant de milliers de baisers passionnants sur chaque part de corps qui lui était possible de dévorer.

Ses mains se dirigeaient alors vers ses abdos alors à présent libre de vêtements, pour venir caresser chacune de ses formes avec une envie certaine pour lui. Le corps de Yano se trouvait si désirable… il ne demandait qu’à le dévorer lui aussi même si l’idée d’être dévoré par Yano en ce jour lui semblait tout à fait appréciable et envoutant. Il vint alors murmurer au creux de son oreille d’une voix suave : « Tu as l’entier droit de me dévorer mon tendre Yano… tu es bien le seul à pouvoir le faire alors ne t’en prive jamais mon doux Yano… » dit-il alors qu’il venait attraper à nouveau les lèvres de Yano dans les siennes, pour échanger un doux baiser.
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:49

Cette semaine avait été particulièrement éprouvante pour le jeune homme qu’il était. Tant habitué à s’endormir en tenant au creux de ses bras l’être qu’il chérissait et désirait plus que tout au monde, Yano avait résolument eu du mal à le faire au cours de la dernière semaine. C’était comme si son être s’était refusé de le faire tant l’être de Ki Suk avait manqué à son échine et qu’il ne pouvait plus se passer de lui, telle une drogue à laquelle on était accro. Un manque si profond qu’il avait eu la sensation de périr comme une âme à la dérive tant il se trouvait cruellement dépendant de l’échine de son ange. Une chair si brulante, si douce et si attirante que son âme, son cœur et son corps n’avait de cesse de réclamer jour et nuit, comme il avait besoin d’air pour respirer. Pour cela, il suffisait de voir ô combien, il avait la sensation de nouveau revivre à ses côtés. Le contact des doigts de son ange sur son être, tout comme les baisers que ce dernier lui offrait, lui donnait la terrible impression que son corps se consumait face à un feu incandescent, terriblement envoutant. Il se sentait tellement bien tout contre lui, laissant leurs êtres se mouvoir l’un contre l’autre, se découvrir comme s’il s’agissait de la première fois. C’était comme s’ils étaient incapable de lutter contre cette force invisible qui les intimait à se mêler l’un à l’autre, à laisser leur cœur battre à l’unisson pour ne former qu’un seul être. Si Ki Suk pouvait se rendre compte ô combien cette semaine avait été cruellement dure pour lui, si il avait seulement conscience que son être n’avait eu de cesse de le vouloir tout contre lui, sans doute qu’il comprendrait pourquoi il agissait de la sorte.

Son être avait tant envie de profiter de lui, besoin de venir à néant ce manque cruel qu’il avait ressenti, qu’il ne pouvait ô grand jamais se lasser de venir baiser de ses lèvres la moindre de ses courbes, tout comme il ne pouvait s’empêcher de l’explorer du bout de ses phalanges. Le simple contact entre leur deux corps l’électrisait totalement et lui venait nourrir le désir qu’il avait de se laisser une nouvelle fois contaminer par cette luxure qu’il ne pouvait connaitre qu’au creux des bras de cet homme si somptueux, si parfait, qui se trouvait sous son regard. Un regard qui n’avait de cesse de dévorer sa proie tant ce dernier n’avait de cesse d’être brulant d’un bonheur, d’une passion sans nom. Le moindre de ses mots, de ses gestes allaient dans ce sens alors qu’il pouvait sentir si paisiblement battre au fond de sa poitrine son cœur. Un cœur qui semblait tout simplement revenir à la vie tel un tournesol qui voit apparaitre de nouveau son cher soleil. Ki Suk se trouvait être son soleil, le seul être qui pouvait sur cette planète terre faire naitre en lui, un tel état de plénitude totale. Laissant alors ses lèvres dévorer sa chair, il se laissait doucement mener par ses sens qui faisaient tout le travail et lui procurait cette délicieuse félicité qu’il ne pouvait connaitre nullement auprès d’une autre personne que lui. Soupirant avec délice, il ne pouvait que se sentir pleinement bienheureux d’apercevoir les frissons parcourir l’échine de son ange, tandis que ce dernier se laissait allé également à ces caresses résolument bienfaitrices, qui ne faisaient qu’augmenter un peu plus les températures de leur corps. Au contact des lèvres de son ange contre sa nuque, il ne put qu’à son tour soupirer de nouveau alors qu’il entendait ce dernier lui murmurer qu’il était persuadé que ce désir était tout à fait cohérent, tout particulièrement alors qu’ils n’avaient point pu répondre à leurs besoins de contact durant cette semaine. Oui, le bonheur qui les habitait était si puissant que l’amour qui les possédait ne pouvait point être contrôlé et que le désir coulait de source. Il lui était tout aussi difficile de lutter car ils n’avaient aucunes raisons de le faire tant leurs souhaits allaient dans le même sens.

Il apprécia alors ô grandement les baisers que ce dernier déposa sur sa nuque tandis qu’il laissait son souffle brulant continuer de frôler l’oreille de son ange dans de délicieux petits gémissement de plaisir. Il laissa donc son ange le dévêtir de son haut alors qu’il ne cessait de le dévorer du regard. Sa blessure ? Il l’avait complétement oubliée, la douleur n’étant rien face au bonheur résolument vital qui l’habitait et duquel il ne voulait ô grand jamais se détacher. Ce furent les paroles de son ange, qui lui rappela ce fait alors qu’il l’entendait lui murmurer au creux de son oreille, si sa blessure n’était rien de grave, la voix résolument inquiète. Une chose qu’il comprenait aisément tandis qu’il sentait les lèvres de son ange se diriger vers sa pomme d’Adam pour la dévorer de ses lèvres, l’intimant à soupirer plus intimement alors qu’il répondait dans une voix résolument brisée par le bonheur qui l’étranglait.

« Ce n’est rien, mon amour… juste, une blessure qui partira sous peu, il faut juste la laisser cicatriser… tout ira bien… »

Sous les caresses et baisers de son ange, il sentait son cœur bondir au creux de sa cage thoracique alors qu’il avait la douce impression de sombrer sous un feu incandescent, qui n’avait de cesse de le dévorer au moindre baiser ou caresse de cet homme, qui le rendait tout simplement fou. C’était fou de voir ô combien il se trouvait fébrile et désireux face à cet homme, qui était résolument le seul être au monde à pouvoir le voir réagir si favorablement à ces caresses. Sentir le doux souffle brulant de son ange venir frôler son oreille pour lui susurrer qu’il avait tous les droits de le dévorer car il était bien le seul à pouvoir le faire, il crut totalement défaillir alors qu’il gémissait profondément à cela, venant se serrer plus intimement contre son ange. Entendre son amant dire qu’on n’avait pas de raisons de se priver de le faire, était résolument quelque chose d’exaltant et il ne pouvait que l’être étant donné les circonstances. C’est donc dans un soupir ô profond qu’il accepta avec grand plaisir les lèvres de son ange qu’il dévora avec un bonheur sans nom. Il aimait tant être à leur contact, les dévorer des siennes. Rien n’était plus érotique et attirable que les lèvres gonflées de son ange d’être trop baiser des siennes. C’est donc avec douceur qu’il vint les relâcher pour les mordre légèrement en remontant son regard ô pénétrant dans celui si brillant de son ange.

« M’en priver?… comment pourrait-il en être possible alors qu’il est résolument évident que tu me désires tout autant mon amour…ah… » Susurra-t-il tout tendrement alors qu’il venait se coller plus intimement à lui pour le caresser avec désir, laissant pleinement ses phalanges découvrir inlassablement les courbes si somptueuses de cet ange qui était en train de l’intimer à le dévorer.

Glissant l’une de ses mains sur sa nuque, il l’entreprit de la caressant venant mouvoir ses lèvres jusqu’à cette dernière pour l’embrasser, la suçoter avec désir alors qu’il n’avait de cesse de susurrer son prénom dans une voix ô profondément suave. Son autre main quant à elle vint se nicher sur ses reins, les caressant avec convoitise avant de se glisser sous le tissu de son jean pour frôler un instant ses fesses avant de revenir sur le bas de son dos. Souriant avec volupté, il vint délicatement mouvoir ses lèvres sur ses clavicules, le haut de son torse. Ses doigts suivant le même chemin que ses lèvres, il continua inlassablement de susurrer son doux prénom, il vint délicatement prendre entre ses lèvres, un de ces bouts de chair, le suçotant avec un exquis bonheur tant il pouvait sentir sous la pulpe de ses doigts, sa bouche, l’endiablé rythme cardiaque de son ange, qui résolument fébrile, n’avait de cesse de se cambrer pour profiter pleinement de ses caresses. Il était tellement envoutant de le voir ainsi après tant de jours passés loin l’un de l’autre. Comment pouvait-il seulement escompter qu’il s’arrête alors qu’il n’avait eu de cesse de rêver de le couvrir de toute ces attentions, de le voir fondre sous ses doigts, son corps. Résolument conquis, désireux, il vint délicatement desserrer la ceinture de son ange pour glisser l’une de ses mains sous le tissu de son pantalon. Soupirant de bonheur de sentir l’intimité de son ange être quelque peu bombée sous ses doigts,, il ne pouvait que sourire de bonheur alors qu’il la caressait avec douceur, désir, abandonnant quelques instants ses boutons de chair pour glisser ses lèvres à son oreille.

« J’ai terriblement envie de toi mon amour… te dévorer, faire de toi mon amant, la douce proie de mon amour… me concèderais-tu ce droit de te faire mien, mon Ki Suk… ? » Susurra-t-il avec fièvre alors que son souffle n’avait de cesse d’être de plus en plus brulant, court.

Résolument cupide et désireux, c’est poussé par un désir résolument dévorant, qu’il vint délicatement glisser ses doigts sous le tissu de son boxer pour découvrir enfin de nouveau, la forme si parfaite de sa proie, dont il se contenta seulement de suivre les courbes du bout de ses phalanges, venant délicatement mordre son oreille pour y susurrer continuellement son prénom alors qu’il n’avait plus qu’une obsession : le faire sien, tout simplement. Il avait tant envie de le découvrir, d’être enfin à mesure d’être à la hauteur de tout ce bonheur que ce dernier lui offrait à chaque fois qu’ils faisaient l’amour, qu’il lui prouvait ô combien son amour à son attention était puissant. Quand bien même était-il arrivé plusieurs fois qu’ils mènent leur ébats comme à l’instant présent, Ki Suk reprenait toujours le contrôle, résolument guidé par son esprit de domination qui soyons honnête le séduisait plus que de raison. Il était tout simplement trop vivifiant de voir son amant être si désireux, avide de sa personne et en être résolument amoureux et conquit, il n’avait jamais cherché à s’imposer d’aucune façon, appréciant toujours avec une félicité immense le fait de recevoir son amour.

Seulement ce soir, tout était différent. Son âme résolument quémandeuse de son ange, il ne pouvait s’empêcher de vouloir le caresser, le dévorer de ses lèvres, savourer la moindre de ses courbes alors que ses mains libre venait glisser la fermeture éclair du jean de son ange pour lui offrir un champ d’action plus grand, intimant son amour à soulever ses reins pour faire glisser doucement son vêtement sous ses fesses. Venant dévorer ses lèvres avant que ce dernier ne puisse répondre à son caprice, il gémit doucement en sentant sous ses doigts la virilité de son ange se gonflait un peu plus sous ses caresses, qui tout comme lui ne pouvait nullement cacher son désir. Un désir qui ne cessait de s’accroitre alors qu’il glissait de nouveau ses phalanges sur son membre éveillé pour un énième passage fictif. Relâchant ses lèvres dans un doux sourire brillant de malice et de passion, il l’embrassa de nouveau plusieurs fois dans des micros baisers alors qu’il susurrait enfin.

« Je te veux… laisse-moi te faire l’amour ou alors empêche moi car ce soir, je ne veux et ne désire que cela. »

Se mordant délicatement la lèvre, le regard qu’il lui offrait se trouvait brulant, profond et cruellement cupide, tandis qu’enfin de bout de ses doigts, il réalisait un premier mouvement de va et vient pour continuer de l’admirer si fébrile sous son regard. Un acte résolument pervers en soi mais qui le rendait fou alors qu’il se sentait tout simplement soupirer de bonheur de le voir si réceptif, avant de venir de nouveau violer ses lèvres avec fougue et passion, laissant pleinement son corps et ses sens faire tout le travail…
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:49

Si le paradis sur terre pouvait exister, celui-ci se trouverait sans aucun doute dans cet appartement, au creux des bras de son tendre amant ; Ki Suk en était bien persuadé à présent. Il lui suffisait simplement d’observer chacun des traits du visage de Yano, contempler le si beau sourire de son ange à son adresse pour s’en persuader. Dans chacun de ses actes, Yano se trouvait à chaque fois un peu plus charmeur et aimant envers sa personne, le rendant à chaque fois plus dépendant de sa personne. Yano se trouvait être un ange à ses yeux et cette perception ne changerait nullement, il en était bien persuadé. Un ange qui chaque jour le rendait toujours plus heureux. A chacune de ses attentions, chacune de ses paroles, il lui semblait que son cœur battait plus rapidement et plus fortement pour cet homme. Un homme qui ne cessait ô grand jamais de le rendre heureux à chaque seconde à ses côtés, même s’il lui arrivait malgré eux de souffrir de la situation qu’ils vivaient depuis de nombreux mois. Tous ces instants de bonheur qu’il vivait à ses côtés se trouvaient bien plus abondant à son grand plaisir… et il ne pouvait qu’en être particulièrement heureux. L’instant qu’il était en train de vivre à ses côtés, en était bien la preuve. Les mots qu’avait prononcés son cher amant lui avait fait presque oublier chacune des instants des souffrances de ces derniers mois, le faisant devenir sans doute l’un des hommes les plus heureux de cette terre. Yano serait à présent entièrement à lui, une information en laquelle il n’avait jamais douté, mais à la différence qu’à présent, il n’y aurait pas qu’un petit cercle de personne qui serait au courant… l’ensemble des étudiants de Sinseonghan Jolyu serait informé, sans oublier le monde magique qui risquait d’apprendre cette relation avec surprise et peut-être dégoût pour certains, mais nullement pour lui. Si leur secret ne serait plus caché, ils pourraient profiter de leur journée à flâner dans les rues de la ville, à s’aimer librement comme ils le souhaiteraient. Ki Suk pourrait même organiser des rendez-vous surprises sans jamais n’être limité au monde moldu ou à leur petit cocon.

Désirer le corps de Yano, pouvoir embrasser chaque parcelle de cette peau lui paraissait être l’un des plus beaux cadeaux. Tout particulièrement alors qu’il se sentait lui-même électriser à chaque baiser, chaque caresse, chaque mot prononcé faisant échapper un doux gémissement de bien-être… son corps se trouvant bien trop en manque de Yano pour ne pas qu’il réagisse et qu’il reste insensible à ce corps si plaisant. Depuis le début de leur relation, il n’avait jamais réussi à maitriser ses ardeurs et ce jour ne semblait nullement être possible selon lui. Son coeur battait pour lui et le rendait à chaque fois plus vivant, comment aurait-il voulu ne plus vouloir cet homme qui le rendait si heureux ? Chacun des mots qu’il prononçait à l’encontre de Yano, venant murmurer au creux de sa nuque que ce désir se trouvait tout à fait cohérentn tout particulièrement alors qu’ils n’avaient point pu répondre à leur besoin de contact durant cette semaine. Le doux soupir de Yano contre sa nuque le rendit heureux et le fit sourire avec bonheur. Suivant ses instincts, il était venu alors déposer à nouveau de merveilleux baisers sur la nuque de Yano alors qu’il était venu enlever son haut, remarquant cette blessure, murmurant au creux de son oreille si sa blessure n’était rien de grave. Seulement, il était venu finir ses mots venant embrasser sa pomme d’Adam avec un plaisir certain, Yano laissa échapper un doux gémissement alors qu’il venait rassurer ses inquiétudes, cette blessure n’était rien, juste une blessure qui partirait sous peu, qu’il fallait seulement la laisser cicatriser… tout irait bien alors.

Ses mains étaient venues se diriger vers ses abdos à présent libre de vêtements et c’était avec plaisir qu’il venait embrasser son Yano, sa nuque avant de venir murmurer qu’il avait l’entier droit de le dévorer et étant bien le seul à avoir le droit de le faire, lui intimant bien qu’il n’avait aucune raison de s’en priver. A ces mots, il était venu embrasser son Yano qui ne s’empêcha nullement de venir dévorer les siennes, le faisant doucement gémir à nouveau face à l’afflux de plaisir qui le possédait et ne cessait de le rendre fou de cet être. La morsure de Yano sur ses lèvres le firent doucement geindre de bonheur alors que Yano remontait son regard ô pénétrant dans le sien, un regard particulièrement brillant de désir. Il susurra des mots tout aussi électrisant, il lui était tout simplement impossible qu’il ne puisse s’en priver alors qu’il était tout autant évidant qu’il le désirait tout autant. Yano était venu alors coller plus intimement à lui pour venir le caresser avec désir, le faisant doucement frissonner alors qu’il venait explorer ces courbes avec ses phalanges. Ki Suk à chaque caresse semblait ne plus pouvoir se contrôler tant son désir se trouvait à chaque instant plus important.

Yano de l’une de ses mains était venu glisser sa main sur sa nuque, ses lèvres s’égarant sur sa nuque pour venir la suçoter avec plaisir et désir le faisant frissonner, et venir demander inconsciemment plus de contacts entre leurs chairs. La voix si suave de Yano était si exquise pour son être, pour lui qui ne cessait de voir que cet être, qui ne cessait d’aimer cet ange déchu qui le faisait tomber dans le péché de la luxure. Son autre main était venue caresser ses reins avec convoitise, avant de venir se glisser sous le tissu de son jean pour frôler ses fesses, le faisant gémir à nouveau alors qu’il les délaissait pour le bas de son dos. Gémissant de frustration il était venu alors murmurer le doux nom de son amant, cet amant qui le rendait si fou de désir pour sa personne. Ses lèvres déposaient de merveilleux baisers sur ses clavicules, le haut de son torse jusqu’à atteindre un de ces bouts de chairs, la suçotant le faisant se cambrer bienheureux de ce contact, murmurant des mots désireux envers sa personne. Ki Suk vint alors faire glisser ses mains sur le haut du dos de Yano doucement pour ne pas le blesser ou toucher son pansement, jusqu’à atteindre le haut de ses épaules, caressant avec envie ses muscles. Fermant les yeux, Ki Suk venait se laisser aller au doux plaisir et n’écoutait que cette douce voix suave qui ne cessait de susurrer son nom d’une manière si exquise. Gémissant malgré lui de bien-être, il ne put que frissonner alors que Yano venait desserrer sa ceinture pour glisser l’une de ses mains sous le tissu de son pantalon. Il effectua malgré lui un petit sursaut alors Yano venait caresser son intimité avec douceur au travers de son sous-vêtement.

Ki Suk laissa échapper alors un doux gémissement de mécontentement alors que Yano abandonnait quelques instants ses boutons de chair pour venir glisser ses lèvres à son oreille. Yano allait le rendre fou, il souhaitait même le rendre fou. Il ne pouvait nullement en douter alors que Yano venait lui murmurer qu’il avait terriblement envie de lui, de le dévorer, faire de lui son amour, sa douce proie. Ajoutant s’il lui concédait le droit de le faire sien alors que son souffle se trouvait particulièrement chaud contre son oreille, rendant le jeune bulsajo encore plus fébrile. Ki Suk avait alors l’intention de lui répondre, de lui répondre qu’il ne voyait aucun inconvénient et qu’il acceptait simplement, lui accordant ce droit de faire de lui son amant, de le faire sien. Seulement, Yano était déjà venu glisser ses doigts sous son boxer pour venir frôler son intimité, le faisant gémir et fermer les yeux face à ce doux plaisir qui le prenait. Il laissa échapper une autre plainte alors que Yano était déjà en train de mordre son oreille, murmurant continuellement son nom d’une voix ô suave. Offrir son corps à Yano lui semblait être totalement une bonne idée, tout particulièrement alors qu’il allait lui offrir d’une manière inconditionnelle un bonheur incomparable. Appartenir à Yano, devenir son amant et le recevoir en son être devait être si exquis… tout particulièrement alors qu’il ne cessait de le rendre totalement fou de lui à chacun de ces gestes. Le contact de la main de Yano sur son intimité, même léger le rendait si désireux de plus contacts entre leurs deux chairs. Changer de rôle lui semblait particulièrement plaisant et n’être plus qu’une douce victime, une poupée gémissante dans les bras de Yano ne pourrait que le faire mourir de plaisir entre ses bras.

Gémissant à nouveau au baiser que Yano l’embrassait sa nuque sans cesse, venant l’embrasser, le faisant frissonner à chaque instant. Il laissa échapper une douce plainte alors que les mains de son amant, se diriger vers la fermeture éclair de son jean pour l’aider à lui enlever. Ki Suk, en digne amant obéit, bien trop envieux du contact de son corps avec celui de Yano. Ki Suk vint soulever ses reins pour glissement doucement son pantalon et son sous-vêtement, se retrouvant à présent presque nu sous ses yeux si désireux de sa personne. Soupirant de bien-être de se sentir libre, il frissonna à nouveau alors que ses doigts venaient se diriger vers sa virilité qui ne cessait ô grand jamais de cesser de se gonfler à chacune de ses attentions. Yano allait l’achever, le faire devenir une poupée gémissante en seulement quelques minutes, il en était bien persuadé. Un dernier passage fictif sur son intimité le fit doucement gémir et il ne put que vouloir plus de contacts alors que Yano venait embrasser ses lèvres en plusieurs baisers.

La dernière phrase finit par l’achever, faisant tomber chacune de ses barrières, si cela se trouvait-il encore possible après tant de minutes intenses pendant lesquelles il lui avait semblé ne jamais cesser désirer son amant. Yano était venu lui murmurer qu’il le voulait, qu’il le laisse faire l’amour car ce soir, il ne voulait et ne désirer que cela… le dévorer. Il laissa échapper un énième gémissement alors que Yano venait effectuer un premier mouvement de va et vient sur son intimité, le faisant fermer les yeux, le visage possédé par un plaisir sans fin, se laissant guidé et emmené par le plaisir qui le possédait. Il ne put que céder aux douces lèvres de Yano et vint répondre avec autant de passion au baiser de Yano, venant mordre ses lèvres avec un désir plus que cuisant pour sa personne.

Soupirant de bien-être à nouveau, il vint faire glisser ses mains sur le torse de Yano, venant effleurer ses bouts de chairs alors qu’il ne cessait de suspendre certains de ses actes malgré lui alors que Yano effectuait un deuxième va-et-vient sur son intimité, le faisant geindre pour sa personne. Il éloigna quelques secondes leurs lèvres et ce fut avec un regard possédé par le désir et la passion qu’il murmura à l’adresse de Yano : « mon amour… mon doux amant… comment pourrais-je vouloir… t’arrêter. Cela est bien impossible… oh que oui… fais-moi l’amour, autant que tu le souhaites… je te désire tant… mon tendre aimé… rends-moi fou… je veux mourir de plaisir dans tes bras… cette semaine a été si longue… je te désire tellement mon aimé… fais-moi devenir cette poupée gémissante… cette personne gémissante qui ne demande qu’à être tienne… »

A ses mots, il vint à nouveau embrasser les lèvres de Yano, les violer, d’une passion particulièrement forte alors qu’il venait faire glisser ses mains sur poches arrières de Yano, effleurant ses fesses avec passion. Ki Suk vint alors détacher à son tour la ceinture du pantalon de Yano pour lui permettre un meilleur accès sur celles-ci alors qu’il passait ses mains sous son jean pour venir les caresser à son tour. Obéissant à son plus grand désir, il vint alors se pencher en arrière, pour venir s’allonger sur leur canapé et laisser Yano dominer la situation, celui-ci se retrouvant alors au dessus de lui. Soupirant au contact de leur deux corps, Ki Suk vint faire glisser ses mains sur le jean de Yano pour venir à son tour faire descendre la fermeture de son pantalon pour le faire descendre et tomber avec l’aide de son amant. Leurs lèvres ne cessaient cependant jamais de s’embrasser et de se rencontrer, alors qu’à présent Yano se retrouvait seulement vêtu d’un boxer qui laissait entrevoir son intimité aussi demandeuse que la sienne. Il gémit à ce contact alors que ces mains venaient caresser le dos de Yano, tentant malgré lui de calmer ses envies et sa passion, il ne devait pas toucher sa blessure au risque de peut-être aggravé la situation ce qu’il ne souhaitait nullement.

Le jeune bulsajo ne cessait jamais de venir embrasser son doux amant, de venir embrasser ses lèvres avec un plaisir non dissimulé alors que ces mains continuaient leur chemin sur leurs corps. Il venait coller leurs corps avec plaisir, se plaisant à sentir l’intimé de son amant si désireux de son corps. Ses mains vint alors à nouveau venir caresser les fesses ô musclées de son ange, ces fesses qui ne cessaient ô grand jamais de vouloir le posséder malgré lui et de faire apparaitre son côté dominateur en sa personne. Seulement, même s’il avait quelques instants plus tôt dit à Yano qu’il souhaitait devenir cette poupée gémissante, son instinct dominateur ne pouvait nullement s’empêcher d’être présent et son envie pour cet être pouvait se remarquer alors qu’il caressait sans aucune envie masquée les fesses de Yano.

Ki Suk vint alors faire descendre de quelques centimètres le boxer de Yano, pour pouvoir avoir accès plus facilement à celles-ci alors même qu’il se sentait gémir et défaillir à chacun des attentions de Yano sur son corps. Soupirant de bonheur, il vint murmurer au creux des lèvres de Yano quelques mots : « Tu es si désirable mon Yano… tellement… je crois que jamais je ne pourrais me détourner de toi… tu es si magnifique, si aimant … oh oui, je veux t’appartenir à tout jamais et jamais ne devoir me séparer de toi maintenant que nous le pouvons sans n’avoir à se masquer… fais-moi tien, oh oui, fais-moi devenir encore plus dépendant de toi et ne me quitte jamais… je suis tellement dépendant de toi. »
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:51

Fou. Il semblait sans aucun doute le devenir de nouveau alors qu’il se laissait délicatement dévorer par cette douce drogue, que se trouvait être la luxure. Un péché, qui se trouvait résolument être sien depuis des années et auquel il avait cruellement du mal à résister. Tellement que cette semaine lui avait semblé pire que la pénitence. En l’éloignant si loin de son ange, en instaurant entre leurs deux êtres une distance si profonde, le corps enseignant avait trouvé en soi, la meilleure solution qu’on pouvait trouver pour le punir. Le punir d’un acte qu’il ne regrettait pour rien au monde, un fait qu’il lui avait semblé pourtant si juste mais pour lequel on l’avait de nouveau blâmé. Qu’importe si il était allé trop loin en fin de compte, tout ceci lui importait peu en soit. La seule chose qui avait préoccupé son esprit à cet instant, avait été la santé de ses amis, de son ange et sans aucun doute pas celle de cet être abject, qui était la raison de cet exil forcé, si cruellement loin de l’être qu’il aimait du plus profond de son âme. Un être pour qui son corps n’avait de cesse de fondre comme neige au soleil, un homme, qui à l’origine se trouvait être celui qui avait fait de lui, l’homme qu’il était. Il lui arrivait encore parfois de songer à ce qu’il aurait pu devenir si sa route n’avait pas croisé celle de son amant, si leurs âmes ne s’étaient point trouvées. Cette idée lui semblait alors terriblement déroutante, tant il avait la sensation qu’il serait resté cet être perdu, insensible, replié dans un monde qui ne le comprend pas et auquel il n’est pas sensible. Un monde qui n’aurait eu que très peu de saveur tandis qu’il avait dorénavant l’intime conviction d’être l’homme le plus heureux du monde. Un homme comblé, qui ne pouvait avoir que pour convoitise, le fait de vivre et rester auprès de la personne qu’il aimait. Un homme qui avait les traits d’un ange, un être innocent, qui à son doux contact se transformait en une créature divine, si parfaite qu’il ne pouvait que céder à cette dernière. Il aimait tant le voir devenir ainsi, si fébrile, si sensuel, si demandeur de sa personne.

Lui-même avait l’intime conviction que cela faisait de lui, un être cruellement cupide mais que pouvait-il faire contre cela ? Comment pouvait-il en son âme et conscience rester de glace face à cet être, qui le rendait fou au moindre de ses mouvements, de ses baisers, de ses caresses ? Impossible, du moins à ses yeux. Son être cruellement en manque de pouvait que se laisser pleinement aller au contact de son ange, se laissant plus que dévorer par cette passion qu’il avait dû tant contenir au cours de ses derniers jours. Une passion qui monopolisait tous ses sens, le rendait ivre d’une félicité sans nom alors qu’il n’avait de cesse de le dévorer de ses lèvres, de ses doigts. La peau de cet être lui semblait si parfaite, si désirable sous la pulpe de ses doigts, son cœur n’avait de cesse de bondir dans sa poitrine face aux réactions si envoutantes de cet ange. Il se laissait tout simplement aller, murmurant toutes les pensées lubriques qu’il avait, qu’il continuait encore d’éveiller en lui alors que le bonheur n’avait de cesse de l’enivrer. Il le voulait plus que personne d’autre au monde, il désirait du plus profond de son âme, le découvrir, le savourer de la façon la plus naturelle qu’il soit. Oui, pour cette fois ci, pour cette nuit si exceptionnelle, il le voulait tout simplement. Qu’il soit à lui comme il ne pourrait jamais l’être à une autre personne, qu’il fasse de lui, l’homme le plus comblé au monde, tout simplement. Ainsi, il laissait seulement ses sens faire le travail, dévorant inexorablement les lèvres si voluptueuses de son ange, des siennes, savourant avec un exquis bien être les plus naturelles de ses réaction. Il était si exaltant de le sentir si fébrile sous ses doigts, ses lèvres, son corps. Le spectacle que ce dernier lui offrait était digne d’une symphonie d’un des plus grands compositeurs. Le sifflement de ses gémissements était autant de notes de musique d’une partition, qu’il ne pouvait que se laisser envouter par ses derniers, y puisant une source de satisfaction si intense qu’il ne pouvait que s’en sentir tout simplement excité, désireux d’en découvrir toujours plus. Une cupidité si partagée qu’elle ne pouvait ne point avoir de fin, ils se désiraient si fortement et si passionnément l’un et l’autre, qu’aucun des deux n’était en mesure d’atténuer les ardeurs de l’autre. Tels des êtres cruellement cupides, la seule solution que tout deux disposait se trouvait de céder. Céder de la façon la plus merveilleuse qui soit, afin de pouvoir être en mesure de marquer cet instant d’une croix rouge au sein de son existence.

Ce soir, n’était résolument pas une soirée comme une autre et tout deux le savait. La passion tant contenue avait besoin d’être savourait, il ne pouvait point en être autrement alors qu’il se sentait frissonner sous les gestes tout autant désireux de son ange, qui en amant conquis explorer avec la même ardeur, sa chair. Une peau qui ne pouvait que savourer avec félicité ce bonheur d’être touché. Durant ces jours sans lui, il avait tant rêvé de sentir sa chair contre la sienne, de sentir leurs corps se mélanger tout simplement alors qu’il se laissait tout simplement aller, embrassant inexorablement ses lèvres qui étaient une telle obsession pour lui, le caressant pour être en mesure de le voir encore plus sensuel, érotique. Il était si vivifiant de le voir fermer ses paupières face à l’afflux de son excitation, de le voir si réceptif à ses caresses alors qu’il ne pouvait point quitter ses formes de ses yeux. Excité ? Il ne pouvait que l’être, son appétit de sa chair était si intense qu’il avait du mal à se contenir, alors que son amant se trouvait tout simplement nu sous son regard pénétrant. Pervers, cruellement désireux, il vint exercer un premier va et vient sur son intimité si formée au creux de ses bras, venant l’embrasser avec fougue tandis qu’il le sentait gémir contre ses lèvres. Il était si ferme, si excité, si désireux entre ses phalanges qu’il ne pu s’abstenir de réitérer la chose, frissonnant tout simplement de l’entendre de nouveau gémir alors qu’il sentait de nouveau ses doigts caresser sa chair alors qu’il le sentait se retirer de ses lèvres. Entendre son amant susurrer qu’il lui était bien impossible de vous arrêter, vous suppliant même de céder à la plus cupide de toutes vos pensées, était résolument envoutant. La voix de son ange se trouvait être si grave, si brisée par le plaisir qui le possédait que Yano n’avait de cesse de le dévorer de son regard cuisant, savourant ses paroles avec une exquise convoitise. Il lui disait qu’il pouvait lui faire l’amour, autant qu’il le souhaitait, le rendre tout simplement fou, le faire mourir de plaisir dans ses bras. Ces paroles eurent l’effet de le faire geindre d’un désir incommensurable alors qu’il sentait d’autant plus son excitation prendre de l’importance. Il devenait fou également, lui aussi le désirait, souhaitait devenir sa poupée gémissante, qui ne demandait qu’à être dévorer par lui.

C’est donc dans un gémissement des plus évoquant qu’il accueillit de nouveau les lèvres de son ange avec fougue, se laissant tout simplement dévorer les lèvres alors qu’il sentait les phalanges de son amant se glisser, sur les poches arrière de son jean, pour les caresser. Des caresses qui l’électrocutèrent tout simplement, sentant doucement ses dernières se mouvoir sur sa ceinture, la détachant dans le but de retirer à son tour un de ses vêtements. Obéissant, il le laissa tout simplement faire en continuant d’exercer des mouvements de va et vient sur son intimité si gonflée, si envoutante et désirable alors qu’il sentait les doigts de son ange, imposer leur présence sur son corps. Souriant à cela, il ne pouvait que se sentir pleinement exalté, heureux de le voir si désireux vis-à-vis de ses fesses, sachant ô combien ses dernières se trouvaient être un de ses points faibles, une de ses obsessions. Le voyant sagement s’allonger sur le canapé, c’est avec plaisir qu’il se positionna au dessus de lui sans pour autant quitter ses lèvres une secondes. Le contact entre leurs deux chairs le fit doucement frissonner tandis qu’il sentait les doigts de son ange venir faire descendre sa fermeture éclair pour le dévêtir de son jean, se retrouvant pour ainsi dire en boxer sous les doigts si désireux de son ange. Un ange dont l’obsession n’était plus inconnue tant ce dernier prenait plaisir à explorer cette partie, le faisant sourire tout contre ses lèvres, tant il se sentait fondre à son tour. Il devait fou sous ses doigts, sous son corps, qu’il en avait le souffle coupé, alors qu’il sentait les phalanges de son ange lui retirer la dernière paroi de ses vêtements pour murmurer tout contre ses lèvres qu’il était si désirable, tant qu’il ne pourrait jamais se détourner de lui. Oh oui, il voulait lui appartenir à tout jamais et ne pas devoir se séparer de lui. Ses mots étaient si envoutant, qu’il ne pu que gémir de les entendre dans un râle ô profond tandis qu’il susurrait tout simplement à son tour.

« Comment veux-tu mon amour…que je reste sage après de telles paroles. Tu as tellement envie de moi… tes doigts sur mes fesses, si présents, si désireux ne cessent de me dire que tu me désires tout autant que j’ai envie de te voir défaillir sous mes yeux… oh oui, ce soir je ferai de toi ma douce et délicieuse victime… une victime qui ne pourra plus jamais se détacher de ma personne, j’ai tant envie de sentir mon corps se mouvoir tout contre ta chair mon amour… tu es si désirable mon Ki Suk… »

Désormais nu, il vint délicatement se mouvoir contre le corps de Ki Suk, épousant ses formes avec une infinie perfection. Sentir tout contre son membre, celui si excité de son amant, le rendait fou alors qu’il s’amusait à se mouvoir doucement tout contre lui, embrassant ses lèvres avec une fougue déraisonnée. Le souffle court, le membre si désireux, il entreprit un long ballet échelonné de gémissements de leur part, alors qu’il sentait leurs intimités se frôler, se mouvoir, s’embrasser l’une et l’autre. Il était si excitant de le sentir si ferme tout contre le sien, que guider par sa passion, l’une de ses mains vint se glisser sur leurs membres, les caressant tout deux alors qu’il sentait la main de son ange faire de même dans un râle ô profond. Exalté, cruellement désireux, il exerça de merveilleux vas et vient ponctués par des râles désirables entre deux baisers. Son cœur battant à un rythme effréné, il avait l’impression de perdre la tête à chaque instant alors qu’il n’avait de cesse d’être parcouru par de violents frissons, l’obligeant à s’éloigner des lèvres de son ange pour gémir. Des lèvres qu’il venait sauvagement plaquer sur la nuque de son ange, la mordant avec volupté, alors que son autre main caresser ses fesses, les explorant inexorablement avec un désir bien loin d’être innocent, laissant ses douces phalanges se mouvoir entre ses dernières pour frôler cet objet tant convoité.

« Mon amour… c’est si dévorant… notre amour… ce fougue me rend cruellement fou… j’ai tant envie de te sentir, de te faire l’amour…mm… si je me retenais pas, je te ferai mien immédiatement, viendrait abréger mes souffrances dues à cet inexorable désir que j’ai de te dévorer…ahh…je crois que tu m’envoute tel un ange déchu, mon amour… » Murmura-t-il tout contre son oreille qu’il entreprit de mordiller, le souffle résolument saccadée.

Cruellement excité, il ne pouvait pas en être autrement alors que leurs corps n’avaient de cesse de se mouvoir l’un contre l’autre, le faisant gémir alors que sa main libre poursuivait ses caresses sur ses fesses, sa future victime. Animé par une force inconnue, c’est dans une voix ô sensuelle qu’il se sentit tout simplement susurrer : « Jusqu’ou es-tu prêt à aller pour m’achever mon amour, montre-moi tout simplement ce que tu désires de moi, ce soir… dis et je ne serai que l’esclave de tes désirs »

Laissant ses lèvres se mouvoir sur son oreille, il gémit tout contre cette dernière dans un souffle ô cruellement brulant, laissant ses lèvres mordiller cette dernière pour s’échouer sur sa mâchoire et rejoindre ses lèvres. Perdu dans ses fantasmes ô cuisant, c’est dans une fougue sans nom qu’il dévora ses lèvres alors que son corps se collait plus intimement à celui de son ange, laissant ses mains se choir sur ses fesses, ses cuisses qu’il caressait avec un désir inconcevable.
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MessageSujet: Re: Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano.   Me has echado de menos mi amor… | PV Wada Yano. Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:54

La vision du corps nu de Yano avait peuplé bon nombres de ses nuits depuis le jour de leur séparation, il ne s’était sans doute pas passé une nuit sans qu’il ne rêve de lui d’une quelconque manière. Plusieurs fois par nuit il s’était réveillé, ne pouvant nullement dormir paisiblement sans n’avoir à ses côtés son tendre aimé. L’absence de Yano pesant chacune de ses nuits et journées… Quelques fois, il s’était réveillé après avoir eu des rêves quelques peu érotiques en la compagnie de Yano, son corps se trouvant bien en manque du contact de leurs deux chairs. S’il lui avait été bien difficile, voire impossible de ne pas céder au corps de Yano, ses nuits agitées par le besoin de sentir contre lui son tendre aimé en était bien la principale cause. Résister à Yano lui semblait alors particulièrement pénible, le regard ô désireux de Yano sur son corps ne pouvait nullement le laisser de marbre tandis que lui-même ne cessait pas le dévorer du regard. Le corps de son amant se trouvait si bien fait, si musclé qu’il ne pouvait qu’agir de la sorte. Ses mains qui s’égaraient sur chacune de ses formes ravivait son désir pour lui à chaque caresser, chaque effleurement, ne pouvant le rendre toujours plus dépendant de lui. Les mains de Yano sur son corps ne pouvaient que le rendre ivre de désir alors qu’il sentait son intimité se durcir malgré lui aux mouvements de l’une des mains sur son intimité, l’emmenant droit vers le paradis à chaque va-et-vient. Fermant les yeux, à chaque fois, il se laissait pleinement aller au contact de cette main qui comblait progressivement son besoin véritable pour cet homme qui le rendait fou d’amour et de désir. Sa voix s’élevait face à l’afflux de plaisir, Ki Suk ne se retenant nullement de montrer à son cher et tendre amant à quel point chacune de ses attentions l’emmenaient droit vers un afflux de sensation ô agréables.

Chacun des mots qu’il prononçait se trouvait bien véridique, il lui semblait bien impossible de l’arrêter, bien impossible et incitant même à Yano de céder à ces pensées les plus cupides. Le contact de leur chair se trouvait si plaisant, tout particulièrement ses lèvres qui ne cessaient ô grand jamais les siennes plus de quelques secondes, leur manque se faisant bien ressentir chaque seconde. Lui faire l’amour, il pouvait le faire autant qu’il le souhaitait, il ne demandait après tout qu’à mourir de plaisir dans ses bras : devenir cette poupée qui n’attendait qu’une chose, être dévoré par leur amour et leur passion commune. Leur passion l’emmenait alors à suivre ses pensées les moins catholiques. Ses mains découvraient à nouveau les formes de Yano et particulièrement ses fesses qui le tentaient particulièrement, son plus grand point faible sans doute dès qu’il s’agissait de son tendre amant. Sa ceinture avait rapidement échouée sur le sol, la détachant dans le but de retirer chacun de ses vêtements. Ne pouvant que gémir, il était venu prononcer le nom de Yano d’une vois suave et désireuse de plus d’attention de sa part.

Embrassant ses lèvres avec envie, il était venu les mordre, en les embrassant presque sauvagement alors que ses mains venaient caresser avec une envie certaine ces fesses, des fesses qui ne demandaient qu’à être choyée par son amour et son désir pour sa personne. Venant s’allonger en entrainant Yano dans sa chute, ce fut avec plaisir qu’il vit Yano se positionner au dessus de lui, le dominant de sa hauteur, une vison qui le rendait particulièrement attirant. Habituellement, c’était Ki Suk qui avait toujours dominé leur relation sexuelle, son côté dominateur reprenant souvent les reines au plus grand plaisir de Yano. Progressivement, Ki Suk vint descendre la fermeture de son pantalon pour le dévêtir de son jean, tout comme son boxer pour le laisser en son plus simple appareil. Une vision ô enchanteresse qui ne pouvait nullement le laisser de marbre après avoir passé tant de jour éloigné de lui. Ses mains étaient venu le dévêtir et caressait avec envie ses fesses, ses fesses qui étaient source de bien-être et de rêveries, de fantasmes pour lui. Il était venu murmurer contre ses lèvres alors qu’il se trouvait particulièrement désirable et qu’ô grand jamais il ne détournerait de lui. Il sourit à son tour alors qu’il entendait Yano gémir à ses mots, laissant échapper un râle o profond.


Gémissant à son tour, malgré lui, il écouta attentivement les propos de son tendre amant. Celui-ci lui murmurait comment pouvait-il espérer qu’il reste sage après tant de paroles. Ki Suk avait tant envie de lui, ses doigts sur ses fesses ; si présents, si désireux ne cessaient de le dire, qu’il le désirait autant qu’il le désirait qu’il avait envie de le voir défaillir sous ses yeux. Ce soir il ferait de lui sa douce et délicieuse victime, une victime qui ne pourrait plus jamais se détacher de sa personne, il avait envie de sentir son corps se mouvoir tout contre sa chair… Ki Suk se trouvait si désirable. Chacun de ses mots électrisa son propre corps alors qu’enfin leurs deux corps se trouvaient nus, l’un contre l’autre, vibrant alors qu’il sentait leurs intimités se rencontraient après tant de jours sans contact. Les baisers que Yano lui adressaient lui semblait tant agréable, tant électrisant qu’il ne pouvait qu’y répondre avec un plaisir non dissimulé. Suivant sans aucune peine son tendre amant, il ne put que gémir à nouveau alors que celui-ci avait glissé l’une de ses mains sur leurs membres, les caressant, faisant naitre encore plus de désir pour la personne de Yano. Sa soif de plaisir vint l’emmener à vouloir plus de contact avec lui et ce fut avec une joie, une perversité certaine qu’il vint à son tour porter sa main venir cajoler leur intimité sans aucune retenue. Ki Suk avait envie de cet être, avait envie de n’être plus que cette simple poupée gémissante qui n’aurait que pour seul mot le nom de son amant, il souhaitait tant lui appartenir et lui faire partageait le bonheur qu’il ressentait à chaque fois qu’ils faisaient l’amour ensemble. N’appartenir qu’à Yano, ne dépendre plus que lui et son corps, Ki Suk ne convoitait que cela. Gémissant entre les baisers sauvages de Yano, il n’hésita nullement à son tour à accentuer le contact de sa main sur leurs intimités pour faire partager cet afflux de plaisir. L’image du visage du corps de Yano prit par le plaisir se trouvait si plaisant, si agréable à observer… l’une des plus belles images que Yano pouvait bien lui offrir.

Ki Suk ne put que gémir de frustration alors que Yano vint séparer leurs lèvres, coupant l’agréable contact entre leurs deux chairs. Seulement, son amant avide de contact, vint plaquer ses lèvres contre sa nuque, la dévorant avec un plaisir non dissimulé. Ses morsures le firent tendrement gémir alors qu’il sentait l’autre main de Yano caresser ses fesses avec envie, les explorant avec un plaisir non innocent, frôlant cette zone que Yano convoitait tant, qui serait source de bien-être et de plaisir pour chacun d’eux.

Yano vint alors murmurer au creux de son oreille quelques mots bien envoutant selon lui. Il l’appelait encore, lui murmurant que tout était si dévorant, que sa fougue le rendait cruellement fou… qu’il avait tant envie de le sentir, de lui faire l’amour… s’il ne se retenait pas, il le ferait sien immédiatement, il viendrait abréger ses souffrances avec cet inexorable désir de le dévorer. Il l’envoutait tel un ange déchu… Ki Suk ne put nullement résister à gémir à ses mots, promesse de plaisir et de bien-être alors qu’il entreprenait de mordiller son oreille, sentant son souffle chaud contre celle-ci. Seulement alors qu’il s’apprêtait à répondre d’une voix particulièrement suave à Yano, celui-ci vint coller à nouveau leurs corps, l’un contre l’autre alors qu’il lui semblait être possible de mourir au moindre contact de leurs deux corps. Sa main ne cessait ê grand jamais de venir caresser ses fesses avec envie…

Ses pensées, ses gémissements furent coupés par les mots à nouveau susurré au creux de son oreille. Yano lui demandait jusqu’à où il était prêt à aller pour l’achever, il devait lui montrait ce qu’il désirait de lui ce soir, qu’il lui dise et il ne serait alors que l’esclave de ses désirs. Des mots remplis d’amour, de désir, de passion auxquels son esprit ne pouvait résister tant le besoin du corps de Yano lui semblait évident. Il souhaitait qu’enfin Yano prenne possession de son corps, qu’il le rende fou, qu’il ne le transforme qu’en une masse gémissante qui serait totalement dépendante de lui, souhaitaient toucher le bonheur entre ses bras.

Les baisers de Yano se firent alors bien plus envoutant, bien plus possessifs, contre son oreille, le faisant frissonner et gémir malgré lui. Ses lèvres vinrent s’échouer quelques instants plus tard contre sa mâchoire, venant rejoindre ses lèvres qui ne demandaient que plus de contacts alors qu’il se sentait défaillir, répondant au baiser avec passion gémissant alors que Yano venait caresser ses cuisses et ses fesses avec toujours autant d’envie pour sa personne. Le contact de leurs deux chairs le faisaient tendrement gémir alors que ses mains venaient à son tour caresser le corps de Yano, venaient caresser lui aussi ses fesses avec envie… son plus grand point faible dès lors qu’il s’agissait de son tendre amant. Un fait qui amusait toujours celui-ci, s’amusant à le rendre plus dépendant à chaque fois. Sauf que cette fois-ci les rôles s’inversaient à son plus grand plaisir, n’être que la poupée gémissante de son amant se trouvaient bien plaisant… Seulement, son côté dominateur risquait bien de vouloir apparaitre malgré sa position et il n’irait nullement la taire, faisant naitre en lui des idées quelque peu perverses qui ne pourraient que ravir son amant.

Le jeune bulsajo vint alors interrompre leur baiser pour venir murmurer d’une voix suave ses mots au creux de l’oreille de son amant, venant la mordiller quelques instants : « Ce que je désire… tu dois le savoir ô combien mon amant puisque jusqu’à ce jour tu as pu expérimenter toutes les nouvelles sensations que je vais découvrir avec toi… je ne veux qu’être tien, je veux t’appartenir et que tu me fasses tien en cette nuit. Je n’ai d’envie que de cela… je veux découvrir toutes ces sensations qui t’ont toujours ravi, qui ont fait apparaitre sur ton visage tant de fois un visage plein d’extase et de bien-être… je veux atteindre ce doux Eden à tes côtés, grâce à ton désir, grâce à ton amour pour moi. Il n’y a que toi qui es bien capable de me rendre ainsi, de me rendre si dépendant de toi…. Tu le sais ? Fais-moi tien, oh oui, je ne demande que ça mon amant… Fais de moi tout ce que tu veux, oh oui… » A la fin de ses mots, il vint soupirer de bien-être alors qu’il entendait Yano gémir contre lui, venant passer ses mains avec plus d’envie sur son corps, sur ses fesses qui ne demandaient qu’à être siennes et lui faire découvrir un plaisir qu’il n’avait jamais connu.

Soupirant au doux contact de leurs chairs, Ki Suk vint caresser de sa main libre à nouveau l’entrejambe de son amoureux avec un plaisir certain, s’amusant à effectuer de doux va-et-vient alors que Yano venait continuer son traitement sur son corps avec un plaisir non dissimulé. Ki Suk voulait rendre fou son amant, qu’il n’est pas plus aucune résistante et qu’il fasse de lui son amant, qu’il le possède de toute son être sans n’avoir à se contrôler… leur désir se faisait si fort qu’il ne pouvait nullement résister lui-même devant cet aspect ô dominateur de yano qui faisait naitre en lui des idées particulièrement perverses. Comme pour faire céder à ses pulsions il vint coller leurs corps à nouveau ensemble, rapprochant leurs corps et effectuant de doux va-et-vient sur lui. Ki Suk vint gémir tendrement alors qu’il venait murmurer entre deux baisers des mots empli d’envie : « mon Yano… j’ai tant envie de toi… tu le sais ? Mmm… je t’en supplie… fais-moi tien…je ne demande que ça, t’appartenir à tout jamais… mon amour… »

FIN.
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