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 [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI

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Yano Yoon-Wada
Yano Yoon-Wada
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MessageSujet: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:13

" Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much."
Yoon Ki Suk & Wada Yano





Perdu, il ne pouvait nier l’être alors qu’il avait l’impression que son être ne s’était jamais senti aussi désespéré qu’à l’heure actuelle. Il avait la sensation que le sol s’était totalement dérobé sous ses pieds et qu’il tombait au creux d’un gouffre sans fond qui le faisait suffoquer. Son cœur était si comprimé au fond de sa poitrine qu’il lui semblait saigner comme jamais. La peine qui l’habitait alors à cet instant précis était si intense que ses yeux ne pouvaient que se voiler d’un voile de tristesse sans fin. Devant cette porte qui abritait en temps normal son jardin d’Eden, l’être qui hantait la moindre de ses pensées, il était fébrile, dévasté par cette détresse sans nom, qu’il ne se sentait nullement en mesure de la camoufler. Son seul désir à l’heure actuelle se trouvait de pénétrer dans cette pièce et de venir prendre au creux de ses bras, la seule personne au monde qui pouvait atténuer cette douleur incommensurable qui le traversait depuis bien des heures. Une douleur qui ne cessait de désemplir tant il avait l’impression que les portes de son destin se refermaient sur lui, le retenant à tout jamais prisonnier de l’image qu’on avait toujours souhaité être sienne. Pourtant, il aurait du s’y attendre, il s’y était même déjà préparé depuis des années. Il avait conventionné son esprit à accepter d’être fiancé à une femme dont il ne connaitrait sans doute pas l’identité, ni même sa personnalité. Il s’était depuis fort longtemps résigné à cela. C’était lui qui en avait fait la promesse formelle à ses parents, il y a de cela des années alors qu’il n’était qu’un jeune enfant. Il ne devait donc pas s’étonner à ce que cette situation des plus banales pour un héritier de son rang se produise. Cela rendrait dans l’ordre des choses, après tout. Cependant, et quand bien même s’était-il déjà paramétrer à tout cela, il n’avait pu se protéger de cette terrible détresse, qui faisait désormais de lui son prisonnier. Son cœur saignait comme jamais auparavant, totalement prit à la gorge par cette nouvelle qui s’était faite sans appel, sans même qu’on ne l’est préparer à la recevoir. Il avait alors l’impression qu’on l’avait prit totalement au dépourvu comme un chasseur qui guète sa proie.  Oh bien entendu, il aurait peut être pu se douter que cette missive envoyée par son grand père maternel n’avait rien d’habituel. Après tout, il était rare que ce dernier ne prenne la peine de suivre une correspondance poussée avec sa personne. Seulement aveuglé par le bonheur qu’il vivait depuis près de six mois avec son meilleur ami, son esprit n’avait nullement fait un quelconque rapprochement. Cette lettre avait bien entendu relevée bon nombre de questions en sa personne, tout comme il avait pu voir le visage anxieux de son ange en faire de même. Tout deux avait trouvé cette lettre intrigante, surtout pour un diner le soir même… mais dans son esprit bien trop heureux, il avait seulement songé à une histoire de famille. Une banale et stupide histoire de famille, tout simplement. Si il avait pu avoir la moindre idée de ce qu’il allait arriver… oui sans doute aurait-il refusé de s’y rendre, trouvant un prétexte comme un autre pour continuer, rester prisonnier de ce bien être total qui l’habitait depuis des mois et dont il était cruellement dépendant.

Il avait tant envie de posséder à l’heure actuelle un retourneur de temps pour pouvoir revenir en arrière et ne point à avoir à vivre de nouveau cette tourmente qu’avait été de faire bonne figure devant ceux qui l’avaient pris en traitre. Découvrir cette demoiselle, aussi ravissante fut-elle au sein du boudoir où il avait été invité à les rejoindre, lui avait fait craindre le pire et cela n’avait fait que se renforcer au fil du repas. Un repas résolument pénible alors qu’il s’intimait à avaler ce qu’il y avait dans son assiette, quand bien même était-il impossible de le faire. La boule qui s’était nichée au sein de son ventre avait été alors si présente qu’il avait eu du mal à contenir ses émotions. Bon nombre de fois au cours de la soirée, il s’était absenté pour se rendre dans la salle de bain pour tenter de reprendre ses sens. Son âme semblait boire la tasse et lui réclamait tant un quelconque salut. Ses yeux s’étaient trouvés alors si blêmes, si vides de vie qu’il avait alors eu la sensation de retrouver ce Yano, qu’il avait toujours eu l’impression d’être. Un jeune homme à la coquille vide qui ne faisait que subir les choses et qui avait l’impression de n’être que la vulgaire poupée de son destin. Un destin qui ne lui appartenait décidément pas et qui finissait par lui prouver ô combien il avait pu être idiot de songer que le contraire ait pu être possible. Quelques larmes de désespoir avaient eues de nombreuses fois le loisir de venir se choir sur ses joues si froides. La désillusion de son âme était si profonde qu’il lui était alors impossible de réfléchir de façon cohérente tant il lui semblait perdre pied. A cet instant, il ne songeait plus qu’à son ange, l’être à qui son âme s’était engagée à le rendre heureux, rester à tout jamais à ses côtés. Comment allait-il pouvoir tenir cette promesse désormais alors qu’il allait être officiellement engagé auprès d’une autre ? Son cœur saignait tellement à cette idée alors qu’il envisageait sans trop de peine ô combien le désappointement de ce dernier allait être puissant. Il ne voulait pas faire face à cela, il en avait nullement la force à l’heure actuelle. Son cœur ne pouvait nullement accepter de voir les traits de son ange être marqués par un mal profond qu’il aurait lui-même provoqués en sa personne. Sa conscience ne s’en sentait pas le courage et pourtant cette dernière réclamait sa présence plus que tout au monde. Il voulait le voir, sentir sa présence tout contre sa chair et se perdre dans le bonheur de n’être qu’à lui. Son plus cher désir était alors de quitter cette demeure qui était résolument comme une prison pour son âme, qui souhaitait tant être en mesure de continuer à vivre cette félicité qu’était sienne encore bien plus longtemps. Les minutes, tout comme les heures qui s’étaient écoulées durant ce diner lui avait paru être une éternité tandis qu’il s’était refermé dans une bulle de silence, s’efforçant seulement d’échanger quelques mots avec cette dernière pour rester poli. Sans doute avait-il pu faire très mauvaise impression à cette dernière et sa conduite allait sans aucun doute lui être critiquée mais il n’avait pu faire plus pour le moment. Non, il était bien trop bouleversé pour que le contraire soit possible. Lorsque leurs invités avaient pris congés, il avait rapidement prit congés en s’excusant auprès d’eux. Il n’avait pas envie d’échanger ses premières impressions sur cette rencontre, ni même envie d’en savoir plus sur les détails de cette alliance. Il  voulait juste rentrer chez lui, retrouver ses bras qui lui apporter tout le bonheur que son être avait besoin.

Il ne savait pas depuis combien de temps il se trouvait désormais devant la porte close de leur appartement mais cela devait résolument faire bien quelques minutes. Perdu dans les méandres de son esprit, il n’avait nullement eu le courage de pousser cette dernière pour retrouver cet ange. Un ange à qui il allait devoir révéler toute la vérité par obligation, un être à qui il allait sans doute affliger une terrible souffrance alors que son âme ne souhaitait que le rendre heureux, le voir souriant aussi parfaitement et innocemment que cet être céleste à qui il le rapprochait. Il était ravagé par cette idée qui ne faisait qu’approfondir son mal être et c’est un miaulement de Shii derrière cette porte qui le décida à rentrer enfin de nouveau chez lui. Une maison où il avait enfin l’impression de revivre de nouveau alors qu’un bon chat aimant, son ami de toujours venait se coller à ses jambes pour réclamer des caresses. Des caresses qu’il se plut à le couvrir alors qu’il pouvait voir dans son champ de vision apparaitre le corps si magnifique de son ange à quelques pas de lui. Il ne savait pas quoi dire, n’avait nullement conscience s’il avait encore la force de le faire mais son regard se releva timidement vers le sien, l’observant avec mélancolie alors qu’il voyait les traits de son ange si anxieux, si marqué par cette inquiétude qui avait du habité son être durant des heures. Guidait par son besoin évident de le sentir tout contre lui, il vint alors mettre un terme à ses caresses pour se relever à sa hauteur. Sans mot, il vint délicatement poser ses phalanges si la peau si bienveillante et accueillante de son ange qui lui apporter cette chaleur dont son être semblait désormais dépourvu. Son regard quelque peu désemparé, il l’observa avec une tendresse et un amour absolu alors qu’il lui caressait sa joue avec un bonheur salutaire. C’est dans un geste empli d’amour et de légère tristesse qu’il vint délicatement attraper l’une de ses mains libre pour le mener à lui, tout contre son être qui semblait revivre à ce contact. Il avait tellement besoin de le sentir ainsi contre lui alors qu’il l’enserrait de sa main vivre en venant nicher sa tête au creux de sa nuque pour la baiser avec tendresse. Il se sentait si heureux ici, pourquoi diable devait-il être vivre cette souffrance ? Mais au fond de lui, il savait les raisons de tout ceci. Son bienveillance, un sentiment louable en soit mais qui pouvait se révéler être cruellement douloureux pour un être comme lui. C’est donc dans une voix ô combien fébrile et brisée qu’il murmura un simple : « Désolé… mon amour. »

Une demande de pardon qui englobait tout ce qu’il ressentait à l’heure présente. Il s’excusait de l’avoir inquiété, lui demandait pardon de ne point être en mesure de lui sourire, atténuer son inquiétude comme il l’implorait à la fois de lui pardonner cette souffrance. Une souffrance qu’il allait sans aucun doute lui infligeait et qui le détruisait par cette seule pensée. Il tenait tellement à lui, si seulement Ki Suk pouvait en avoir la moindre idée… Fermant délicatement ses paupières, il entreprit de baiser avec volupté et tendresse sa nuque, tentant par la même occasion d’apaiser son âme du mieux qu’il le pouvait.

TENUE : 01.
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Kisuk Yoon-Wada
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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:14

Allongé sur le canapé de leur salon, Ki Suk ne cessait de regarder avec désespoir depuis de nombreuses heures la porte de l'appartement qu'il partageait avec son tendre aimé. Depuis qu'il avait vu partir son tendre aimé quelques heures auparavant son esprit ne cessait d'être tourmenté par des peurs et des angoisses sans pareil. Ces pensées ne pouvaient qu'être dirigées vers cet homme qui se trouvait dans la maison de ses grands-parents maternel, dans cette maison où il avait grandi et était devenu une poupée qui obéissait en tant que premier héritier de la famille Wada à ses grand-parents. Seulement, les différents événements de leur vie l'avait emmené à changer et tout particulièrement avec Ki Suk, qui avait fait de lui un autre homme secrètement, un homme accompli qui se trouvait résolument heureux avec lui, dans cette relation amoureuse qu’ils vivaient depuis de nombreux mois. A ses côtés, Yano avait pu renaitre, avoir de réel désir, être tout simplement lui sans aucune contrainte ni obligations particulières que lui demandaient son rang de premier héritier. Néanmoins, Yano avait toujours gardé devant eux ; pour suivre ces obligations ; une apparence parfaite, digne d’un membre de cette famille ô parfaite. Seulement, dans cette digne famille, un repas ou une invitation n’était nullement anodin, ainsi, Ki Suk ne pouvait que s’inquiéter à propos du sujet de l’invitation de ses grands-parents à ce repas. Un nombre indéfini de fois depuis son départ il s’était imagine mille et une situations différentes, des plus graves aux plus banales, en ayant cette peur inconditionnelle que Yano revienne vers lui avec une mauvaise nouvelle pour eux. C’était sans doute ce qu’il avait le plus angoissé, d’apprendre que peut-être leur couple serait mis en cause d’une quelconque manière. Pour lui, qui ne songeait que vivre aux côté de cet homme si merveilleux à ses yeux, cet homme qu’il aimait de tout son cœur, ne serait-ce que songer qu’un jour peut-être ses grands-parents les éloigneraient le terrifiaient à chaque minute qui s’éloignait de l’heure de départ de Yano pour leur maison.

Ki Suk avait eu bon tenté pendant ses heures qui les séparaient de se changer les idées mais il n’arrivait nullement d’une quelconque manière à y parvenir. Il avait eu beau tenter de se préparer à manger, de se préparer un bon plat qui lui avait pris du temps avec un aspect agréable, il avait à peine mangé deux bouchées que son estomac s’était retrouvé noué. Il avait alors appelé l’animal de chat de Yano pour tenter de se calmer et se détendre en même temps qu’il était venu chercher son cher petit écureuil de Corée pour se changer les idées et se divertir un minimum. Il avait alors préféré une partie de son assiette à Shii avant de se diriger vers le canapé en compagnie de son Oreka, qui était venu se coller à lui et lui faire des petits bisous dans le cou avant de se faufiler comme à son habitude dans son tee-shirt. Peu à peu, il arrivait un petit peu à calmer ses angoisses, alors même que Shii était venu se loger à son tour contre lui, se posant sur son ventre, près de Oreka, comme s’il était capable de ressentir que Ki Suk ne se trouvait pas dans son état normal, comme s’il savait que son être était torturé par un bon nombre de ses angoisses. Plusieurs fois, il avait failli se lever et emprunter l’hibou de Yano pour lui envoyer une lettre pour avoir des nouvelles mais à chaque fois, il craignait de le déranger et de peut-être corrompre leur secret si la lettre allait arriver entre les mains d’un autre membre de la famille Wada. La seule chose qui pouvait lui changer réellement les idées en soit se trouvait être de ne penser qu’aux deux animaux qui se trouvaient contre lui, qui se reposaient simplement contre lui. A l’aide de l’une de ses mains, il venait caresser simplement le doux pelage de Shii alors qu’il fermait les yeux pour tenter de se calmer et de s’apaiser un minimum. Seulement, quoiqu’il puisse faire, il lui semblait ne jamais pouvoir cesser de penser à Yano… Inquiet, de nature particulièrement inquiète, il lui était tout simplement impossible de ne pas songer à Yano qui devait affronter ses grands-parents en cet instant.

Les minutes lui paraissaient s’écouler bien trop lentement à ses yeux, il fixait avec désespoir l’horloge devant lui en espérant peut-être que le temps passerait plus vite et qu’apparaitrait devant lui l’homme qu’il attendait désespérément, son doux ange qui peut-être devait souffrir à cette heure devant le comportement de ses grands-parents. Perdu dans ses pensées, il ne remarqua nullement que subitement que Shii s’était relevé de sur lui pour se diriger vers la porte de leur appartement, comme s’il avait pu sentir la présence de Yano derrière ces murs et qu’il sentait l’horrible détresse qu’émanait son corps depuis de nombreuses minutes. Ce fut le miaulement quelque peu strident de Shii qui le fit se relever doucement, en même temps que son écureuil se réveillait subitement pour s’échapper brusquement de son tee-shirt pour venir se cacher dans un coin du fauteuil. Il semblait s’être fait avoir lui aussi par la frayeur et le brusque changement de comportement de Shii. Comme par magie, en cet instant il vit enfin la porte s’ouvrir et la silhouette de Yano s’afficher devant lui. Avant même qu’il réagit, son chat vint se coller à lui pour lui réclamer des câlins, de l’affection comme s’il pouvait ressentir toute la peine de son être. Ki Suk ne pouvait s’empêcher alors de fixer presque avec désespoir et anxiété le visage si crispé de son ange, qui semblait torturé logiquement par sa rencontre avec ses grands-parents. Un évènement important s’était sans doute produit qui l’avait profondément fait souffrir, ce qui ne pouvait nullement l’empêcher de s’inquiéter plus qu’il ne l’était déjà.

Arrêtant ses caresses sur son animal, Yano vint alors relever son visage afin de se remettre à sa hauteur, à leur hauteur alors qu’il risquait de lire les traits si inquiet de Ki Suk qui ne le quittait plus depuis de nombreuses heures, depuis qu’il l’avait vu rejoindre sa famille et ce fameux diner. Un diner qui était sans aucun doute signe de nouvelles importantes qui risquaient d’influencer d’une vie d’une façon ou d’une une autre. Leur couple caché dans l’ombre risquait de souffrir, il en était persuadé mais il tentait cependant de se persuader du contraire, même si le visage si crispé de Yano ne pouvait qu’approuver ses pensées les plus sombres et secrètes. Yano vint se rapprocher de lui, raccourcissant cette distance qui les séparait en venant poser ses phalanges sur sa peau. Ne quittant nullement le regard du jeune homme, il put voir son expression désemparée tandis qu’il caressait sa joue avec tendresse, comme pour tenter d’apaiser ses peines auprès de lui. Dans un geste empli d’amour et de légère tristesse il vint délicatement attraper l’une de ses mains libre pour le mener à lui, pour le prendre dans ses bras, nichant sa tête au creux de sa nuque pour le baiser avec tendresse. En geste de bienveillance, Ki Suk ne put qu’encercler de ses bras l’être aimé avant de caresser son dos, comme pour apaiser ses tourments. Il se sentait heureux de retrouver Yano, cet être qu’il aimait de tout son cœur, de sentir à nouveau la chaleur de leurs corps se retrouvaient seulement la voix ô fébrile et brisée de Yano ne put qu’accentuer ses peur les plus secrètes. Yano s’excusait, sans aucun doute qu’il s’excusait de l’avoir inquiété pendant ses nombreuses heures mais ce qui inquiétait le plus Ki Suk se trouvait être l’attitude de Yano, son amour avait du apprendre quelque chose qui risquait de les faire souffrir les deux, sinon il n’aurait nullement eu l’air si attristé, d’aucune manière.

Les baisers sur sa nuque ne pouvaient qu’attiser ses craintes, tant il voyait que Yano se trouvait perdu dans ses émotions, tentant d’apaiser son âme au contact de sa chair et de s’éloigner de toutes ses peines et cette information qui risquait de les faire souffrir. D’une voix quelque peu anxieuse il vint lui murmurer : « Mon tendre aimé… Mon Yano… ne t’excuse pas. Tu n’y es pour rien si je me suis inquiété pendant ses nombreuses heures… » . A ses mots il vint caresser à nouveau le dos de Yano avec tendresse alors qu’il venait relever d’une de ses mains le visage de Yano pour lui voler un simple baiser, un doux baiser alors qu’il venait caresser sa joue avec sa main. « Yano… mon tendre Yano… dis-moi ce qu’il s’est passé pendant ce repas, pendant cette réunion avec tes grands-parents. Dis-moi ce qui te rend si désemparé, si souffrant… Même si je dois souffrir, je préfère connaitre la vérité… que dont t’ont donc annoncé tes grands-parents pendant ces heures qui te rend si… malheureux. »

Prenant la main de Yano dans la sienne, comme pour l’apaiser il vint simplement l’emmener avec amour se poser sur leur fauteuil pour l’y faire s’asseoir. Ne relâchant pour rien au monde cette main qu’il gardait contre la sienne, il vint l’embrasser avant de venir choir sa main sur la joue de Yano pour le caresser, comme pour apaiser sa douleur. Ce fut donc avec douceur qu’il vint lui murmurer d’une voix tendre : « Quoique puisse être cette terrible nouvelle mon amour, je ne cesserais jamais de t’aimer et désirer resté à tes côtés. . Je t’aime mon Yano… ». Comme pour appuyer ses mots il vint capturer ses lèvres dans un doux baiser avant de les laisser libre à nouveau. Il voulait tant savoir ce qui s’était passé pendant ses nombreuses minutes loin de lui, il voulait connaitre ce dont qui faisait tant souffrir Yano, même si son cœur risquait de souffrir à tout jamais et ne jamais pouvoir peut-être panser cette douleur qui allait posséder son être.



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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:15

Fiancé. Il avait encore du mal à y croire et pourtant c’était bel et bien la vérité. Une vérité cuisante qui le blessait intimement alors qu’il avait l’impression, qu’un chaos sans précédent habitait son être, résolument déterminé à faire de lui son prisonnier. Un prisonnier qui n’avait alors que pour seule possibilité de subir ce sentiment d’oppression qui n’avait de cesse de tirailler son âme. Un désarroi tel, qu’il avait l’impression que son cœur était en train de suffoquer tant il se sentait comprimer dans sa poitrine. Il saignait comme jamais il n’avait eu l’occasion de le faire jusqu’à ce jour. Pourtant il savait tout au fond de lui que cette situation était prédestinée à se produire. Il était tout à fait normal qu’un héritier de son rang soit amené à se fiancer avec une demoiselle de la bonne société. Il n’y avait rien d’anormal, son père, comme ses grands pères et ces autres ancêtres étaient passés par là et il était tout à fait cohérent qu’il soit de la sorte pour lui. Il s’y était après tout déjà conditionné à cette idée il y avait de cela bien des années alors qu’il n’était qu’un jeune enfant. A cette époque, il avait accepté de mettre de côté son destin, celui qui aurait pu être le sien pour protéger ceux qu’il chérissait de tout son cœur. Oui, il avait accepté le destin qui lui tendait gentiment les bras sans songer qu’il s’agissait d’une fatalité qui se trouvait imputée à sa personne. Il avait cru que c’était son devoir d’être à la hauteur de sa lignée…

Seulement, le discours que tenait son cœur désormais n’allait plus en adéquation avec celui qui avait pu être le sien dans un passé lointain. Au fil des années, son vrai caractère s’était affirmé, de doux espoirs étaient venus se placer en avant dans son esprit, mettant en péril tous les plans qu’il avait établis étant enfant. Il ne désirait plus être le vulgaire pantin de son destin et l’homme qu’il était devenu au fil des années, s’était construit auprès d’un seul être : Ki Suk. Cet homme au cœur si bienveillant et doux, qu’il avait facilement détruit les unes après les autres toutes les barrières qu’il tenait si fermement érigé entre sa personne et les autres. De la manière la plus exquise et naturelle qu’elle fut, Ki Suk était devenu à lui seul, le seul être auprès de qui, il se sentait enfin à sa place, si profondément heureux qu’il ne pouvait point le contenir. Seul Ki Suk avait le droit d’entrevoir la moindre de ses faiblesses, de ses blessures. Il se trouvait être l’unique être sur terre à qui il conférait ce doux droit d’être le gardien de son cœur et de son âme. En découvrant ses sentiments pour lui, il s’était pleinement offert à lui de la façon la plus passionnée et sincère qu’il soit. La moindre des paroles qu’il prononçait à son attention, était emplie d’un amour débordant, profond, qui provoquait en lui un bonheur incommensurable. Il ne mentait plus lorsqu’il disait que Ki Suk était indispensable à son bonheur, sa survie. Il était si dépendant de sa personne que l’idée de le perdre étranglait son âme d’une angoisse sans nom. Il savait ô combien cette pensée pouvait sembler désespérée pour un être de son rang mais cela ne le gênait point. Il avait seulement besoin de lui. Son âme le réclamait constamment, l’intimait inexorablement de venir le couvrir de toute sa tendresse, de l’aimait comme jamais il pourrait aimer un tout autre être.

Il s’était cru amoureux de Mi Na, peut être l’avait-il réellement été, quand bien même était-il persuadé de la chose mais en aucun cas, il ne l’avait chéri de la même façon. Ce besoin insatiable de le sentir à ses côtés, d’observer le moindre de ses sourires, d’accéder à la moindre de ses requêtes, était uniquement réservé à son ange. Un ange qu’il tenait fermement au creux de ses bras pour se persuader, que sa présence était belle et bien réelle. Perdu, il laissait alors pleinement son âme se nourrir de cette douce étreinte, qui quand bien même était-elle salvatrice pour son corps ne parvenait en aucun cas à apaiser ses tourments. Il était tellement horrifié de songer que peut être cela soit la dernière, que son ange ne puisse lui pardonnait une telle blessure qu’il allait lui infligeait. Il désirait tant pouvoir le garder à tout jamais contre son cœur, le couvrir de tout l’amour que son être provoqué en sa personne, le retenir à tout jamais prisonnier de cet amour. Un amour dont lui-même était une des principales victimes mais qu’il chérissait plus que tout au monde. Si l’amour rendait aveugle et simplet, cela lui convenait pleinement puisqu’il vivait ce dernier auprès de la créature la plus parfaite qui soit : son ange. Un ange pour qui il était prêt à tout, même à la pire folie comme leur passé le démontrait si on cherchait à lui faire du mal.

Ainsi, il ne pouvait que se sentir profondément meurtri d’être sans aucun doute le prochain responsable de sa tristesse. Songer au désarroi et à la décontenance de son ange face à cette nouvelle, transperçait son être d’une douleur si vive qu’il avait l’impression de sombrer encore plus intimement dans les abimes de son âme. Une âme qui n’en avait plus que le nom tant elle avait l’impression de dépérir chaque seconde qui le rapprochait de ce terrible moment où il allait devoir tout lui dire. Lui dire l’effroyable et cruelle situation que lui-même refusait de reconnaitre et qui pourtant été criante de vérité. Il était désormais fiancé à une autre, tout simplement. Il le couvrait donc de tout son amour du mieux qu’il pouvait enfin d’atténuer la fébrilité qui habitait son être, en vain. Il avait encore tellement du mal à croire en tout cela que cela lui était pénible d’accepter cette réalité. Elle lui semblait si cruelle, si dévastatrice qu’il ne pouvait s’empêcher d’en être cruellement malheureux. Lorsqu’il entendit la douce voix quelque peu anxieuse de son ange murmurait son prénom, il ne pu que fermer ses paupières résolument déchiré par la situation. Il l’intimait de ne pas s’excuser, qu’il n’y était pour rien s’il s’était inquiété durant ses nombreuses heures mais il ne pouvait point se pardonner. Comment pouvait-il tolérer une telle chose alors qu’il se sentait résolument condamné à lui faire du mal dans les minutes à venir ? C’était tout simplement impossible et pourtant son âme ne pouvait que se sentir heureux de sentir les doigts de son ange venir frôler son dos, tentant de lui conférer des caresses pour apaiser son inquiétude. Une inquiétude qui ne désemplissait nullement, ne faisant que le condamner à une suffocation plus qu’inévitable. Il frissonna doucement en sentant les délicats doigts de son ange venir soulever son visage pour venir lui voler un baiser. Un doux baiser qui apportait un bien être inévitable à son être qui en réclamait encore alors qu’il sentait ses phalanges caresser sa joue. Son regard devait sans aucun doute exprimer tout le mal être qui l’habitait, il en avait cruellement conscience mais il n’était pas assez fort pour jouer la comédie face à lui. Non, pas alors qu’il était si cruellement désemparé. Face aux paroles de son ange, son cœur se comprima dans sa poitrine alors qu’il baisait son regard. Lui dire ce qu’il s’était passé durant ce repas ? Il savait déjà qu’il se devait de le faire, il en avait même parfaitement conscience mais il n’y arrivait pas. Les mots se trouvaient aux bords de ses lèvres mais toute force l’avait quitté. Egoïstement, il ne voulait profiter que de sa personne, venir panser ses propres angoisses à son doux contact mais il savait ô combien cela lui était pour l’instant interdit. Ki Suk voulait cette vérité aussi cruelle pouvait-elle être pour lui car il souffrait encore plus de son silence.

Un silence qu’il ne brisa nullement tant toutes forces semblaient l’avoir désormais quitté. Tel un pantin, il se laissa guider par son ange alors qu’il se laissait choir sur leur canapé à ses côtés. Leurs phalanges entrelacées, il n’avait de cesse de les regarder, renforçant sa propre étreinte autour de ces dernières. Il ne voulait tellement pas qu’un tel contact se rompre entre eux deux. Il lui était tout acquis, il n’était réellement quelqu’un que s’il l’avait à ses côtés… sans lui, il n’avait plus l’impression d’être lui-même. Se laissant pleinement aller au baiser que ce dernier vint de nouveau lui voler en caressant sa joue, il ne pu que rester résolument désemparé face à ces mots. Des mots si doux, si emplis de cet amour débordant que lui-même ressentait pour lui. Pourquoi devait-il le blesser de la sorte ? Lui qui n’avait que pour seul souhait de faire de sa vie un doux bonheur où il serait pleinement accompli. Lorsqu’il vint de nouveau l’embrasser, il se laissa totalement aller à ce baiser, glissant ses propres phalanges sur sa nuque alors qu’il le sentait de nouveau se retirer de ses lèvres. Un geste qu’il stoppa tout simplement en venant voler à son tour ses lèvres, les dévorant avec tendresse alors que le bonheur que ce baiser provoqué en son être était à double tranchant. Il ne voulait pas quitter ses lèvres, désirant seulement profiter de leur douce étreinte qui le rendait fou de bonheur et le rendait résolument triste à la fois. Il ne les lâcha pas avant un long moment venant relâcher seulement ces dernières pour reprendre son souffle. Il avait alors pour unique souhait que de trouver un quelconque salut dans ce dernier.

C’est à bout de souffle qu’il relâcha ses lèvres, les yeux embrumés par toute cette fébrilité qui était sienne. Caressant de ses doigts sa nuque, il vint porter leurs mains jointes à ses lèvres, les baisant dans une exquise douceur alors qu’il réfléchissait à ce qu’il allait lui dire. Il n’avait aucune idée des mots qu’il pouvait employer pour lui épargner une quelconque tristesse. Si seulement il pouvait avoir conscience que c’était à cause de lui qu’il se sentait si malheureux. Il ne voulait pas que la tristesse habite son ange, il ne parvenait point à se résoudre à cela tant son cœur mourrait peu à peu à cette idée mais pourtant il se devait de parler.

Laissant glisser sur sa joue, une larme qui démontrait ô parfaitement ces sentiments chaotiques, il l’obligeant alors à rejoindre ses bras vivement mais avec douceur alors qu’il se laissait doucement aller contre sa nuque. Ses larmes si longtemps contenues vinrent alors perler sur ses joues tandis qu’il se sentait si coupable, si cruel que jamais. C’est dans une voix résolument brisée qu’il l’enserra de ses bras, murmurant simplement.

« Je… J’ai rencontré ma fiancée… ô si tu savais comme... j’ai peur… mon amour… pardonne moi mon amour, je t’en conjure… je ne veux pas te perdre... »

Ce fut les seuls mots qu’il trouva la force de prononcer à cet instant alors que ses larmes redoublèrent d’intensité. Il se sentait si accablé, si horrible et pourtant il ne pouvait se tolérer de relâcher son étreinte, la renforçant d’autant plus avec désespoir. Il avait si peur de le perdre… Ki Suk en avait-il la moindre idée.
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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:17

L’inquiétude avait été maitre de son destin depuis de nombreuses minutes, depuis qu’il avait vu quitter Yano leur domicile pour atteindre la maison des grands parents maternel de son tendre et cher. Les minutes s’étaient écoulées lentement, trop lentement pour le jeune homme qui attendait désespérément sur son canapé la venue et l’apparition de Yano dans son champs de vision, ou du moins que la porte s’ouvre pour qu’il puisse le voir apparaitre et qu’il n’est plus à s’inquiéter en partie sur le déroulement de la soirée et de sa signification. Une signification qui l’inquiétait particulièrement et qui l’empêchait de se retrouver dans un état relativement normal en cette heure. Se concentrer sur une autre chose il se trouvait bien incapable de le faire, ses pensées se trouvaient seulement dirigées vers Yano, vers cet être qu’il aimait et qui se trouvait auprès de sa famille. S’il s’agissait d’un repas ordinaire, quelconque il ne se serait nullement inquiété seulement dans la famille Wada, les repas de famille se trouvaient rares et rempli de signification. S’il s’agissait d’un repas annuel, sans aucun doute qu’il ne se serait nullement inquiété mais l’invitation des grands-parents avaient été si soudaine que cela ne présageait surement rien de bien enjoué pour la personne de Yano. Sur l’invitation qu’ils avaient reçu, les grands-parents n’avaient nullement précisé le contexte du repas ni les raisons de l’invitation, ceux qui n’avaient pu que les rendre particulièrement anxieux en ce jour. Ainsi, pendant le fameux repas, Ki Suk, allongé sur leur canapé n’avait pu que songer que peut-être la famille de Yano avait été mis au courant de leur relation ambigüe et peut-être étaient-ils en train de lui demander des détails à ce propos, pour cet homme qui se trouvait parfois trop proche d’un né moldu aux yeux de certaines personnes et de sang-purs.

Seulement, ces pensées furent rapidement arrêtées alors qu’il vit Shii se lever subitement et miauler vers la porte de leur appartement, un miaulement qu’il l’avait surpris, tout comme son cher animal qui était parti se cacher dans le canapé. Il s’était alors levé avec empressement et anxiété pour se diriger vers l’être aimé qui le prit dans ses bras, satisfaisant son manque et son besoin de sa personne alors qu’il pouvait lire dans ses yeux un désespoir particulier qui était à l’origine de ce repas. Vainement, il tentait de calmer cette peur qui possédait son être, Yano semblait si désespéré en cet instant, tellement dépendant de lui qu’il ne souhaitait nullement perdre un seul contact avec lui, venant caresser son dos comme pour l’apaiser alors que celui-ci lui demandait de l’excuser, de lui pardonner. A ses mots il était venu déposer de tendres baisers sur sa nuque qui le faisaient tendrement frissonner de bien-être et à la fois de crainte, cette crainte qui le rongeait depuis tant de minutes et particulièrement depuis l’entrée de Yano dans leur appartement lorsqu’il l’avait vu si perdu et crispé. Murmurant alors qu’il n’avait aucune raison de s’excuser, tout particulièrement alors qu’il n’y était pour rien s’il s’était inquiété, la faute ne pouvait être qu’attribuer à ses grands-parents, ces personnes qui avaient emmené Yano à se retrouver si faible devant lui, si torturé. Venant relever l’une de ses mains sur le visage de Yano, il vint lui voler un doux vaiser alors qu’il venait caressait sa joue tendrement comme pour l’apaiser, un geste qu’ils avaient eu pour habitude de prendre depuis le début de leur rencontre et qui avait le don de calmer la plupart du temps leur crainte.

Ki Suk à ses mots était venu continuer ses mots, lui demandant alors de lui dire ce qu’il s’était passé pendant ce repas, pendant cette réunion avec ses grands-parents puisque même s’il devait souffrir de cette nouvelle, il préférait connaitre la vérité, quitte à souffrir plutôt que rester dans l’ignorance et le voir souffrir seul, ce qu’il ne souhaitait pour rien au monde. Voir l’homme qu’on aimait, l’homme qui nous permettait de vivre réellement souffrir était bien trop source de douleurs. Si au moins parler avec son tendre et cher aurait pu lui permettre de se sentir léger… seulement au regard de la situation, Ki Suk ne pouvait que douter de ce fait qui semblait presque impossible. Lorsque Yano prononcerait ses mots, il était malgré lui persuadé qu’il risquait de souffrir mais il préférait savoir. Ne lui laissant nullement le choix d’agir d’une quelconque manière, il était venu prendre sa main, ne la relâchant pas avant de venir le guide vers le canapé avec tendresse. Il était venu alors embrasser sa main avant de venir la placer sur sa joue pour la caresser en murmurant à nouveau que quoique puisse être cette terrible nouvelle, qu’il ne cesserait ô grand jamais de l’aimer et de désirer rester à ses côtés, il l’aimait trop pour l’abandonner. Cessant ces paroles, il venait capturait ses lèvres dans un doux baiser avant de les laisser libre à nouveau, n’arrêtant nullement de quitter du regard son amant, son tendre aimé.

Ses lèvres ne furent que peu de temps séparées des siennes avant que Yano ne reviennent les embrasser à nouveau, en même temps qu’il glissait ses phalanges sur sa nuque pour approfondir ce baiser. Il lui semblait en cet instant que Yano ne souhaitait nullement les relâcher par désespoir, comme s’ils avaient peur de ne jamais pouvoir les ré-embrasser dans le futur ce qui lui semblait totalement irréaliste. Ki Suk, ne put que soupirer de bien-être alors que Yano continuait de l’embrasser, heureux de les retrouver, de retrouver le contact avec son tendre amant après plusieurs heures de séparation qui les avaient fait terriblement souffrir. Seul le manque d’air leur fit séparer leur lèvres, alors qu’ils voulaient lire dans leur yeux un regard empli de fébrilité et de contentement, même l’angoisse ne se trouvait non loin. La passion de l’instant leur avait permis quelques secondes, quelques minutes de s’éloigner de leurs angoisses avant d’affronter cette terrible annonce qui émouvaient Yano, le rendant si triste.

Caressant de ses doigts sa nuque, Yano vint porter leurs mains jointes à ses lèvres, les baisant dans une exquise douceur alors qu’il continuait de le regarder avec ce regard tant peiné. Surpris, il ne put que l’être alors qu’il vit une larme glisser sur sa joue, faisant naitre en lui une crainte et une peur sans pareille. Yano ne pleurait pas, Yano n’avait pas pour habitude de pleurer… si celui-ci pleurait cela voulait dire que quelque chose de grave allait se passer. Une peur sans pareille se vit alors dans les yeux de Ki Suk, celle de peut-être perdre Yano à cette annonce qui risquait de le dévaster. Guidé par une terrible frayeur et par son amant, il vint s’asseoir sur ses genoux, rejoignant ses bras avec douceur alors qu’il sentait à nouveau des larmes s’écoulaient.

Alors qu’il allait tendrement répondre à l’affection de Yano en venant caresser affectueusement son dos, il entendit Yano commençait à parler et les premiers mots de sa phrase ne purent que faire suspendre son geste tant il se trouvait surpris et désemparé. Yano, son amant, l’homme qu’il aimait, l’homme avec lequel il se sentait si heureux, se sentait totalement libre, la personne qu’il aimait à mourir venait de rencontrer sa fiancée pendant ce repas. La suite des mots de Yano il fut bien incapable de les entendre, tant son esprit semblait bloquer sur ceux-ci. Réagir, il ne savait nullement comment réagir en cet instant alors même qu’il sentait Yano resserrait sur son étreinte en même temps qu’il venait pleurer contre lui. Yano se trouvait être l’héritier principal de la famille Wada, il se devait donc logique qu’un jour on lui présente une potentielle femme dans un mariage arrangé… il aurait du se douter qu’un jour cela arriverait plutôt que s’aveugler derrière cet amour. Yano se retrouverait fiancé, bientôt marié à une femme avec qui il aurait des enfants, une vie de couple comme avait eu tous ses ascendants. Des larmes vinrent peu à peu s’écouler sur son visage alors qu’il se sentait incapable de parler tant il lui semblait que son cœur saignait face à cette douleur qu’il le terrassait. Si Yano se trouvait fiancée, cela voulait-il dire que leur couple n’avait plus de signification même s’ils s’aimaient véritablement ? Cela voulait-il dire que Ki Suk n’avait que pour destin de souffrir à ses côtés ? De ne pouvoir plus croire qu’un jour ils pourraient vivre ensemble heureux jusqu’à la fin de leur jour ? A chaque pensée, son cœur ne cessait de saigner, de comprimer sa poitrine… Les seuls mots qu’il réussit à prononcer furent ceux-là avant de se serrer plus fortement à Yano : «... et… nous … nous deux ?» Il ne pouvait pas vivre loin de Yano, il avait besoin de lui chaque jour pour avancer, personne n’avait le droit de lui retirer l’homme qu’il aimait. Il aimait tellement Yano, il souhaitait vivre sa vie auprès de lui… alors si à présent il lui était impossible de le faire, que deviendrait-il ? Une vie sans Yano n’aurait plus de sens, pas après tous ses mois de souffrances en silence, pas après toutes ses semaines de bonheur qu’il avait vécut avec lui dans cette magnifique histoire.

Les larmes s’écoulaient sans qu’il ne puisse arriver à les contrôler, son être se trouvant bien trop souffrant pour qu’il arrive à se calmer. Il détestait la famille de Yano, il détestait ce monde qui leur empêchait de vivre leur amour alors que tout était si beau entre eux. Pourquoi devaient-ils souffrir toujours alors qu’ils ne demandaient qu’à s’aimer : «... Je… refuse… je… refuse… Tu… es … à moi. Je… ne...veux… pas … vivre… loin… de… toi… mon… Yano…. Je.. refuse…» Non, il refusait de le partager, de le voir s’éloigner de lui d’une quelconque manière. Yano n’avait pas le droit de se trouver promis à une autre personne que lui, c’était lui qu’il aimait, ils s’aimaient les deux véritablement d’une passion ô dévorante et puissante. Personne n’avait le droit de les séparer, personne. Ils avaient tellement souffert pour arriver enfin à être heureux… et maintenant, on souhaitait détruire leur bonheur. La vie était tout simplement injuste envers eux, eux qui ne demandaient rien si ce n’était de vivre heureux ensemble. Il continuait alors de serrer plus fortement Yano contre lui, pour se raccrocher à lui et ne pas le lâcher, il ne souhaitait jamais se séparer de lui. « Mon … Yano» murmura-r-il d’une voix étranglée par l’émotion.
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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:20

La blessure qui se trouvait présentement ancrée à sa chair était telle qu’il avait l’impression de sombrer dans un chaos total. Il se sentait si déchiré d’être ainsi balloté par ses sentiments, qui cruels venaient s’unir à ses angoisses pour lui faire vivre le plus cruel instant de tout son existence. Il se sentait si profondément meurtri qu’il n’arrivait point à trouver de fin au mal être qui le retenait prisonnier. La seule pensée de devoir parler étranglait son être dans une confusion des plus totales alors que son âme ne souhaitait qu’une chose : profiter de cette étreinte. Ce contact qu’il possédait avec son ange et qui dans une certaine mesure parvenait quelque peu à éclairer son esprit sur toutes les émotions qu’il ressentait actuellement. Il avait tant besoin de lui à ses côtés, être en mesure de pouvoir profiter de sa bienfaitrice âme pour tenter d’atténuer ses craintes. Ki Suk avait toujours eu cet impact sur lui et en l’embrassant, en repoussant cette cruelle fatalité, il s’était efforcé de profiter de lui, de cette étreinte. Le baiser qu’il lui avait alors tendu était empli de désespoir comme un amoureux transi, qui avait l’impression que le sol se dérobaient sous ses pieds et l’entrainer ô loin de l’être aimé. Un être dont il ne voulait à jamais être séparé, tant son cœur saignait à cette pensée. Il ne voulait, voyait plus que lui, pourquoi désirait-on lui infligeait une telle peine. La vie était-elle si cruelle ou avait-il été si cupide pour songer qu’il puisse un jour être maitre de son destin ? Peut être que la vérité était un sadique mélange de ces dernières et qu’il semblait encore bien trop déboussolé pour songer à voir la situation sous un angle plus raisonné, moins défaitiste sur la fatalité de ces fiançailles.

Des fiançailles qu’il avait toujours eu conscience qu’elle finirait par arriver. Une alliance qu’il avait prémédité depuis des années, s’y préparant psychologiquement mais qui pour des raisons totalement inhérentes de sa volonté l’avaient totalement désorienté, le plongeant dans cette détresse qui était sienne depuis des heures. Un désespoir qui le rendait si fébrile que pour l’une des rares fois de toute son existence, il en venait à laisser se répandre sur ses joues, ces perles d’eaux qui par leur rareté démontrait ô combien son mal était intime et ô puissant. Totalement obnubilé par l’idée d’être sans aucun doute le prochain responsable des larmes de son aimé, il n’arrivait point à reprendre contenance. L’idée de le perdre par ces mots, cette réalité le détruisait plus que tout au monde et il ne parvenait pas à se déroger de cette pensée. Ki Suk était résolument tout pour lui, il le savait plus que tout au monde et se rendait pleinement compte que dans une certaine mesure, il venait mettre totalement à mal, l’image si parfaite qu’était sienne. Seulement, ce soir, il ne pouvait plus mentir, il ne parvenait plus à jouer la comédie, paraitre fort comme un héritier de son rang se le devait. Un rôle qu’il avait cruellement du mal à tenir au sein de l’enceinte de la demeure de ses grands parents et qu’il abandonnait complètement face à son petit ami tant son être lui demandait un quelconque salut. Un salut qu’il recherchait cruellement contre cette nuque, s’enivrant de ce parfum si délicat qui s’en retirait alors qu’il se laissait pleinement allé.

Ses larmes avaient un gout amer et démontraient cruellement ô combien son cœur saignait et ô combien il avait besoin de lui. Ki Suk était résolument le seul être capable au monde à pouvoir le voir ainsi, sous toutes les facettes de sa personnalité, quand bien même celle-ci n’était résolument pas la plus glorieuse. Sa poitrine se trouvait si comprimée à l’heure actuelle qu’il peinait à trouver son souffle, tout comme à exprimer ouvertement les raisons d’une telle réaction de sa part. Seulement, il ne pouvait rester silencieux plus longtemps alors que son amant était sans aucun doute aussi angoissé que lui, s’imaginant le pire comme il le savait ô bien le faire. Mais après tout, n’était ce pas ce qu’il venait de se produire ? Perdu, complètement désespéré par tout ce qu’il avait sur le cœur, il avait prit la parole aussi clairement que sa voix lui avait permise. Elle se trouvait si faible, si brisée tandis qu’elle lui avouait la vérité aussi brutalement qu’elle s’était abattue sur lui quelques heures auparavant. Il lui était si pénible de lui dire cela de cette façon, de ne point être en état de lui en faire part autrement alors qu’il le serrait plus fortement dans ses bras pour l’empêcher de s’en retirer, comme s’il était cruellement tiraillé par l’idée qu’il puisse s’en dégager. Il avait si peur de sa réaction alors qu’il prenait conscience de la blessure qu’il venait sans aucun doute de lui infliger.

Le silence qui suivit ses mots, fut le plus long de toute son existence. Ki Suk sans doute totalement déboussolé par ses paroles semblait s’être figé tout contre lui. Il osait à peine relever son visage vers le sien tant il se rendait compte que sa vision pourrait anéantir à tout jamais son cœur. Il imaginait sans trop de mal les émotions de son ange à l’heure actuelle. Sans doute que ce dernier songeait que leur amour avait alors aucun avenir, qu’il était condamné à s’arrêter de façon si soudaine, cruelle alors qu’ils s’aimaient comme des êtres dépourvus de toute raison. Pourtant c’était ce que ces fiançailles devaient signifier mais cette idée n’effleurait nullement son esprit. Pour lui, il était clairement défini que cette femme ne porterait que le nom de « fiancée », il n’avait rien ressenti pour elle et ne pourrait sans aucune doute jamais l’aimait autant qu’il aimait son ange. Son cœur avait décidé pour lui et il s’en remettait pleinement à son choix, satisfait du choix qu’il avait fait. Jamais personne au monde ne pourrait retirer Ki Suk de son cœur, il était le seul maitre de son destin. Cependant cela, Ki Suk n’en avait nullement conscience et lui non plus tant cette nouvelle avait créé un chamboulement total en son être. Lorsque la voix si brisée de sanglots de son ange vint lui murmurait ce qu’il allait advenir d’eux deux, en se collant plus fermement à lui, il ne pu que laisser d’autant plus son être déverser sa peine. Une peine qui s’intensifier à cause de la tristesse de son ange alors qu’il serrait entre ses doigts le t-shirt de son ange, terriblement navré. Son cœur souffrait tant de lui infliger une telle souffrance d’autant plus lorsqu’il lui murmurait brisé qu’il refusait, qu’il n’acceptait nullement cela car il était à lui, qu’il ne désirait pas vivre loin de lui. Non, cela était trop lui demandé.

A ses mots, le cœur de Yano sembla se figer quelques instants comme si les paroles de son ange électrocutaient totalement son corps le sortant de cette léthargie dans laquelle son être était plongée depuis des heures. Une torpeur qu’il lui avait perdre tous ses sens mais qui désormais se dissipait face à la détresse de son ange. L’entendre murmurer son doux prénom dans une voix si brisée, lui faisait tellement mal alors que ses propres larmes avaient cessées de se fondre sur ses joues. Son âme saignait de le voir ainsi et c’est pour cela qu’il était venu baiser sa nuque par de doux baisers alors qu’il susurrait son prénom avec cette voix tout aussi étranglée que celle de son ange.

« Ne pleures pas, mon amour… je t’en prie… » Murmura-t-il alors qu’il relevait son regard empli de tristesse vers le sien pour venir baiser de ses lèvres, ces délicates perles d’eaux qui s’écoulaient sur ses joues avec une tendresse infinie. Ces phalanges caressaient les traits de son visage avec amour alors qu’il le dévorait de son regard, résolument inquiet en poursuivant.

« Je… Tu m’as mal compris mon amour… ô grand jamais je t’abandonnerai… mon cœur t’appartient à tout jamais… et cette demoiselle… qu’on a choisi pour moi… ne deviendra jamais ma femme… mon amour… »

Venant sécher ses larmes de ses lèvres, il vint délicatement lui voler un doux baiser dans lequel il lui démontra tout son amour alors que leurs lèvres se mêler avec douceur. Il espérait tant que ses lèvres lui apportent un quelconque salut, tout comme il se sentait résolument soulagé de pouvoir continuer à l’embrasser. Rompant cet exquis baiser par obligation, ses phalanges vinrent alors dessiner ses lèvres du bout des doigts alors que son regard troublé venait rencontrer celui de son amour.

« Je suis fou de toi… et nul être au monde ne pourra changer cette vérité… mon cœur s’y refuse… Tu m’appartiens et jamais au monde, je lâcherai cette main que je tiens si profondément au creux de la mienne… Je ne veux et ne vois plus que toi … mais c’est juste que… que je ne peux pas les abandonner maintenant… non pas après tant d’années passées à les protéger de toute cette pression, de ces chaines qui sont miennes… Ki Suk… tu es le seul être avec qui je veux faire ma vie… mais je t’en prie, comprends moi… je ne puis me déroger de cette alliance… au du moins, pas tant qu’ils ne puissent eux même pas être en mesure de s’en déroger… ahh… pardonne moi d’être tant égoïste, j’avais tant espéré que tout ceci arrive bien plus tard, mon amour…»

Résolument perdu par ses propres paroles, c’est avec douceur qu’il vint poser son front contre celui de son ange, continuant inlassablement de caresser ses traits alors qu’il susurrait son doux prénom contre ses lèvres avant de les baiser de nouveau avec passion. Il n’avait pas pleinement conscience de la demande qu’il était en train de lui formuler, ni même du poids que pouvait avoir ses paroles. Il s’était efforcé de le rassurer mais était-il réellement parvenu… Il le souhaitait tellement.
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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:21

La connaissance parfois se trouvait bien plus blessante que l’ignorance, ignorer le fait que Yano se trouvait fiancé à une autre femme lui aurait été peut-être plus profitable et acceptable pour son être. Ce n’était pas comme s’il n’avait pas pu le prévoir le fait que Yano un jour doive se fiancer à une femme choisie par sa famille de son rang. Yano se trouvait être l’héritier d’une des plus grandes familles de la région et sang-pur du monde magique asiatique, pour sa famille il devait se marier à une femme lors d’un mariage arrangé, une femme qu’ils auraient soigneusement choisie parmi des dizaines de fiancée potentielle parfaite pour leur rang. Il leur été impossible de penser que leur fils vivait une relation cachée avec son meilleur ami, un né moldu qui venait d’un milieu quelque peu quelconque, différent du leur qui ne risquait nullement d’un jour pouvoir faire parti de cette famille si ce n’est en ami de leur fils. La famille Wada n’était nullement connue pour son intolérance avec les nés moldus et sang-mêlé, c’était plutôt même le contraire, la tradition familiale voulait que chaque ainé de cette famille se trouvait être auror et un défendeur de la cause moldue, sans pour autant vouloir que l’un d’eux devienne un potentiel mari ou potentielle femme pour leur descendance. Ainsi, alors que les deux jeunes hommes cachaient leur relation aux yeux de tous, même si cela leur paraissait particulièrement difficile pour chacun d’entre eux de masquer leur émotion et leur geste d’amour, derrière de l’affection purement amicale. La famille Wada n’aurait pu nullement se douter de leur véritable sentiment, personne d’ailleurs qui n’était pas au courant de ceci, même si leurs gestes se trouvaient particulièrement affectueux. Alors, il était presque normal d’apprendre qu’un jour Yano ait une fiancée, une fiancée digne de leur rang, bien différente de l’être qu’il était qui ne montrait nullement sur lui une apparence qui masquait chacune de ses émotions, Ki Suk se trouvait tellement différent des idéaux de cette famille.

Seulement, le fait que Yano ait une fiancée le terrifiait totalement, lui faisait perdre ses moyens et le rendait bien incohérent. Pour lui, qui n’était nullement au courant des mœurs sorcières et de la véritable signification d’une fiançailles sorcière… pour lui un simple né moldu, fiançailles était signe d’une promesse de mariage qui se trouvait presque définitive en compromis des deux personnes impliquées dans la relation nouvelle créée. Ce qui signifiait que cette relation qu’il entretenait avec Yano n’avait peut-être plus aucun sens, n’avait plus aucune légitimité même si l’amour qu’ils ressentaient pour chacun se retrouvait totalement véritable, Ki Suk ne pouvait pas en douter. Yano l’aimait de tout son cœur, le considérer comme son âme sœur depuis bien des mois, le chérissait de tout son amour depuis qu’ils avaient enfin pu s’aimer et s’avouer leurs sentiments. Il le savait ô combien que Yano était totalement dépendant de lui comme lui l’était pour sa personne, il aimait désespérément cet homme qui le rendait si heureux. Se réveiller au creux des bras de l’être cher se trouvait être sans doute l’un des moments les plus heureux de notre existence, sentir les baisers de Yano sur sa nuque, sur son être le rendait à chaque fois bien fébrile et toujours plus dépendant de cet homme qui le rendait réellement enchanté. Attendre Yano le soir alors que celui-ci finissait sa longue journée au ministère de stage d’auror chez eux, sur le canapé et l’accueillir en venant l’embrasser à la porte d’entrée lui semblait représentait un moment merveilleux. Même lorsqu’il lui préparait le repas en l’attendant, voir sa mine si heureuse et enjouée lorsqu’il mangeait ses plats le rendait particulièrement enchanté. Chaque instant de vie auprès de cet homme lui donnait l’impression au fond d’être sans doute l’homme le plus heureux sur cette terre tant son cœur semblait battre presque que pour Yano. L’amour l’aveuglait, le rendait totalement dépendant de sa personne et le perdre lui paraissait tout simplement inimaginable, si ce n’était qu’il ne pourrait le supporter, tombant dans une dépression ou un état de mal-être des plus total dont il aurait du mal à s’en remettre, peut-être jamais. Vivre sans Yano lui paraissait tant difficile, bien insurmontable et il ne souhaitait jamais le vivre, véritablement.

Ainsi, l’annonce de cette fiancée ne pouvait que le terrasser au plus profond de son être tant celui-ci se trouvait perdu dans ses mots. Il lui avait semblé que son cœur avait arrêté de battre à cet instant un instant, comme si son cœur lui signifiait qu’il n’avait plus raison de battre si Yano le quittait, l’abandonner pour cette femme. Ki Suk avait peur, peur de voir Yano s’éloigner de lui à tout jamais et rejoindre les rangs, tels ses ancêtres avaient pu le faire il y avait de nombreuses années. Sans aucun doute que dans la famille Wada, bon nombre d’entre eux avait du sacrifier leurs cœurs et leurs amantes et amants pour plaire à leur famille et rentrer dans les rangs de cette famille si traditionnelle. C’était sans aucun doute ce qui effrayait le plus notre jeune homme, de voir peut-être s’éloigner ce magnifique être dans les bras d’une autre, avec une femme qui lui ferait des enfants et dont il tomberait peut-être amoureux avec le temps, au fur et à mesure du temps. Seulement cela lui ne le voulait pas, son égoïsme et son amour suppliait son être de ne pas le laisser, de ne pas le laisser partir, de ne pas le laisser s’échapper loin de lui. Si son corps resserrait son étreinte autour de la personne de Yano cela s’expliquait simplement par ce fait, tout son être ne souhaitait nullement qu’il parte, qu’il l’abandonne. Les sanglots qui le prenaient, ses larmes qui s’écoulaient sur ses jours en étaient bien la preuve. Il aimait Yano, il ne désirait le partager avec quiconque et encore moins cette femme qui n’avait jamais existé dans la vie de Yano et qui n’avait aucun droit d’en faire partie. Ainsi ses mots remplis par cette peine et cette volonté avait pris par de son être l’emmenant à prononcer ses mots, ses mots où ils se demandaient ce qu’il adviendrait de leur amour, d’eux deux, lui murmurant encore qu’il ne voulait pas le quitter, qu’il refusait que leur relation se termine ainsi, qu’il refusait de devoir le partager avec quiconque. Yano lui appartenait, il était son amant, son amour, l’homme dont il était amoureux et le rendait si heureux, personne n’avait le droit de lui voler cet être, non personne et encore moins une inconnue qui ne connaitrait pas le vrai Yano, celui qui le rendait si amoureux.

A ses mots, à son comportement, Yano comme pour le rassurer venant embrasser sa nuque de ses baisers tendrement alors qu’il entendait son nom murmuré d’une voix particulièrement étranglée, comme celle qu’il avait en cet instant, torturée par l’émotion. Il lui murmurait de ne pas pleurer, une chose bien difficile en soit pour cet homme qui se semblait tant désemparé par cette nouvelle qui le terrassait. Les baisers de Yano sur ses larmes le calmaient légèrement, un petit peu alors que ses doigts venaient caresser ses traits si torturés par ces peurs, par ces angoisses. Il releva doucement les yeux lorsque Yano vint reprendre la parole, lorsqu’il murmurer d’une voix douce qu’il l’avait mal compris, qu’ô grand jamais il ne l’abandonnerait, que son cœur lui appartenait à tout jamais et cette demoiselle ne deviendrait jamais sa femme. Il n’eut nullement le temps de comprendre ses mots qui lui paraissaient tant abstraient, tant incompréhensible que Yano vint vers lui pour venir l’embrasser dans lequel il lui transmettait tout son amour alors que leurs lèvres se mêler avec douceur. Un baiser qui lui permit en quelque sort d’alléger ses peines, comme si Yano tentait de le convaincre qu’il ne laisserait jamais seul, qu’il serait toujours là pour lui et qu’ô grand jamais il ne se marierait avec cette demoiselle qui avait pris cette place de fiancée.

Il sentit alors les lèvres de Yano quitter les siennes, il ne put alors que geindre presque de mécontentement face à cette disparition, de ces lèvres sur les siennes. A nouveau il lui murmurait qu’il se trouvait fou de lui, qu’aucun être au monde ne pourrait changer cette vérité, son cœur s’y refusait. Il lui appartenait et jamais au monde il ne lâcherait cette main qu’il tenait au creux de la sienne. Yano voulait et ne voyait plus que lui… Seulement il ne pouvait pas abandonner son frère et sa sœur à présent, pas après les avoir protégé de toute cette pression, de ces chaines qui étaient les siennes. Il était l’unique être avec qui il voulait faire sa vie, il lui demandait, lui suppliait presque de tenter de le comprendre, qu’il ne pouvait déroger à cette alliance, ou du moins pas tant qu’ils ne puissent eux même être eux-mêmes être en mesure d’y déroger. Il lui demandait pardon alors d’être si égoïste, il avait espéré qu’il se retrouve fiancé bien plus tard…

Ces mots eurent certainement pour mérite de calmer quelques secondes sa peine, quelques secondes ses angoisses malgré le fait qu’il fut toujours et encore inquiet pour leur avenir… ces peurs ne s’étant que peu atténués tant il lui restait de questions sans réponses. Ki Suk ne peut qu’accueillir avec joie le contact de leur front, tout comme ses lèvres qui vinrent prononcer son doux nom avant de les embrasser à nouveau avec passion, une passion qui était l’élément déclencheur de tout leur tourment, cette passion qui les avait guidés à s’aimer dans le souhait d’ô grand jamais de ne séparer ses deux êtres qui s’aimaient à la passion. Venant répondre à son baiser, il vint à son tour caresser la nuque de son tendre amant, pour approfondir ce contact alors que ne desserrer jamais leurs corps, quasiment emmêlé pour jamais ne se séparer.

Seulement, guidé par cette douce peur et peine, il vint séparer leurs lèvres avant de venir caresser les traits de visage de Yano, tandis que ses larmes qui s’écoulaient sur son visage semblaient un peu plus rare, comme si les mots de Yano l’avaient quelque peu calmé. Néanmoins, il eut le besoin de poser sa tête contre sa nuque, fermant les yeux alors qu’il resserrait ses bras autour de lui, comme pour se protéger de ses peines, il avait besoin de Yano pour avancer, pour tenter de comprendre ceux qui leur arriver. Il vint murmurer d’une voix remplie encore d’émotion à Yano : « Je… Yano… je t’aime tellement… tellement. J’ai peur… terriblement peur de ce qu’il va nous arriver tu sais… peur que cette alliance nous sépare… et je refuse ça, vraiment. Tu veux protéger ton frère et ta sœur, je le sais… depuis le tout début. Seulement… égoïstement moi aussi … je ne voudrais pas que tu nous sacrifies pour eux… cette alliance j’ai peur… qu’elle aille jusqu’au bout… je refuse de te voir marié à cette femme… et si ce mariage… a lieu… avant… qu’ils puissent… eux-mêmes diriger leur destin… j’aurais tellement mal… je suis perdu Yano… tellement perdu…»

A ses mots il vint simplement resserrer leur étreinte, laissant échapper une larme sur son visage, perdu, totalement perdu. Ki Suk ne savait plus vraiment quoi penser… réellement pas. Ils se devaient de se cacher, il le savait… seulement, si jamais, Yano aurait jusqu’à se marier devant l’autel avant qu’ils soient majeurs, comment pourraient-ils tenir ? Voir Yano embrasser cette femme, lui dire « oui » devant l’autel, devant toute sa famille lui paraissait tant cruel à voir, il ne pouvait tout simplement pas imaginer une telle scène sans avoir le cœur totalement brisé. Ki Suk était terrorisé, il avait peur de leur futur, peur de voir ses scènes se réaliser malgré eux, ils se retrouvaient tant impuissant face à leur futur, comme si quoiqu’il fasse, ils souffriraient, ils souffriraient sans jamais pouvoir calmer leur peine. Ainsi, après plusieurs secondes, minutes peut-être il ne savait plus il prit la parole d’une voix saccadée : « et si la date… et si tu te dois te marier… avant… avant… et si… j’ai peur… j’ai peur… Yano… mon amour… je veux…que tu n’appartiennes … à personne d’autres… j’ai peur … du futur… peur de souffrir… peur de tout… » Malgré sa tentative de contenance, il vint à nouveau verser quelques larmes. Si seulement tout ça n’était qu’un simple cauchemar… si seulement il pouvait se réveiller dans les bras de Yano, si seulement cette fiancée n’avait jamais existé…

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Yano Yoon-Wada
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MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:24

Quelque peu perdu dans les méandres de son esprit malmenés par ces émotions si contradictoires, le jeune homme qu’il était n’avait nullement connaissances si ces paroles avaient pus apaiser l’âme si tourmentée de son ange. Il s’était efforcé d’être rassurant, d’être en mesure de panser avec une certaine efficacité, les blessures et craintes qu’il avait lui-même fait naitre au creux de l’être de son ange. Il avait été si désarçonné par cette nouvelle, décontenancé par le fait que sa destinée lui tombe ainsi sur les bras par surprise, qu’il n’avait pu faire abstraction de ce qu’il éprouvait. Il s’était senti si cruellement prisonnier face à cette attaque traitre de sa famille, son être si déçu l’avait alors contraint à vivre les plus pénibles heures de toute son existence. Il avait alors tellement l’impression qu’il allait devenir fou, résolument détruit par cette nouvelle qui terrassait tout sur son passage. En l’espace d’une seconde, son esprit avait prit conscience que la dernière pierre de l’édifice, qu’avait construit sa famille pour lui, venait d’être posée et que ce dernier lui était définitivement attribué comme si on l’enchainait pour toujours. Il avait alors senti son être saignait comme jamais et criait pour avoir un quelconque salut. Un salut, une plénitude d’âme qu’il ne pouvait avoir qu’auprès de cet ange qui faisait de sa vie un rêve éveillé. Son être avait alors eu tant besoin de lui, il avait souhaité plus que tout au monde pouvoir se nicher au creux de ses bras, s’enivrer de son parfum, tandis que son être profiterai pleinement de cette chaleur si bienveillante et vivifiante que seule la chair de son ange pouvait lui apportait, qu’il n’avait pu que se sentir d’autant plus être la proie de ses émotions.

La crainte de le blesser s’était ajoutée à son mal être si profond, qu’il avait eu l’impression de suffoquer. Son être semblait être résolument condamné à être tiraillé de la sorte et quand bien même s’était-il efforcé de reprendre ses esprits, il n’y était point parvenu. Il avait alors tâché de dire la vérité à son ange, expliquer les raisons d’une telle décontenance de sa part. Lui, qui avait toujours pour habitude de masquer ses craintes, ses doutes et ses peines, cela devait sans aucun doute être pour son ange une angoisse des plus profondes de le voir ainsi, si perdu, si fébrile qu’un enfant qui était malade. Un enfant qui s’était refugié aux creux de ses bras, qui réclamait toute son affection et attention, un être qui avait besoin de lui plus que tout au monde à l’heure actuelle. A ce moment là, il lui était tout simplement impossible de faire autrement, son âme ayant tout simplement besoin de ce petit salut que l’être de son ange lui avait apporté. Lui murmurer la vérité avait été un enfer pour lui, tant parce que cette réalité le blessait, lui lasserait tant le cœur qu’il avait l’impression de mourir, que parce qu’il savait cette vérité destructrice pour son amour. Tout au fond de son être, il savait que cette histoire ne serait qu’une épreuve de plus à surmonter pour leur couple. Son choix s’était arrêté depuis près de six mois désormais. Son destin ne pouvait se faire qu’en suivant les mêmes pas que son ange, il en avait l’intime conviction. Cette alliance n’avait que des airs de promesse, un simple mensonge dans son existence comme bien d’autres, seulement son esprit bien trop décontenancé l’obligeait à connaitre cette tourmente sans égal. Son cœur devait sans aucun doute tout simplement avoir cette crainte terrible de le voir le quitter, de mettre un terme à cet amour qui depuis de si longs mois faisait son bonheur. Son âme était si terrifiée à l’idée de le perdre, qu’il ne l’abandonne à son triste sort quand bien même savait-il leurs sentiments si réciproque. Il avait craint sa réaction mais n’avait pu qu’être comblé par cette dernière, tant elle l’apaiser. Il ne voulait pas le quitter, ne souhaitait nullement que leur route se sépare pour toujours.

Si Ki Suk pouvait savoir ô combien ces mots avaient apaisés ses craintes les plus obscures, lui permettant de reprendre contenance malgré la fébrilité ô présente au sein de son être, il pourrait qu’être rassuré dans ses propres craintes. Seulement les larmes, qui s’étaient écoulées sur les joues si douces de son ange, qui terriblement meurtri était venu renforcer sa propre étreinte autour de lui, avait d’autant plus accroitre sa douleur. Il souhaitant tant ne pas lui faire du mal mais c’était sans aucun doute du au fait que son ange devait se méprendre sur ses paroles. Il avait alors tenté de l’éclairer plus sur le sujet, puisant dans ses propres forces pour tenter de lui expliquer la situation comme elle se trouvait être, ne point l’inciter à se vouvoyer sur la signification de tout ceci. La fébrilité de son être ne l’aidait nullement à travers cette tâche mais il avait fait ce qu’il pouvait, y trouvant son propre bien être dans ces baisers qu’il était venu lui voler. Cela était tellement bienfaiteur pour son âme de sentir ses lèvres se mêler aux siennes, d’être en mesure de se laissait pleinement aller à leur doux contact. Seuls ces baisers échangés avec son ange, le rendait si cruellement bienheureux, certains de l’avenir de leur relation. Il ne mentait point dans ses mots, il n’aimait, ne chérissait et ne désirait que lui dans sa vie. Il était le seul être au monde à lui donner cette sensation d’être lui-même, d’être heureux. Il avait été le tout premier être à avoir su toucher si profondément son âme et son cœur était résolument déterminé à ne jamais le laisser s’enfuir de lui. Il était son tout, son oxygène, la seule personne qu’il ne voulait en aucun cas voir quitter son champ de vue comme s’il risquait à tout instant de s’enfuir si loin de lui. Il désirait tant être en mesure de le rendre heureux, lui épargnait toute peine et pourtant il semblait être condamné à le blesser en suivant égoïstement pour quelque temps, le destin rattaché à son rang. Pourtant il savait qu’il finirait par se déroger de ces fiançailles, qu’au moment venu, il finirait par abandonner son statut, son rang pour vivre sa vie. Cette vie qui se présentait sous ses yeux, qui avait pour trait cet homme face à son cœur, cet être qui se trouvait être sa raison de vivre et le sujet de tous ses projets et angoisses. En murmurant son prénom à travers des multiples susurres, il s’efforçait d’envelopper son être de toute sa tendresse possible avant de venir l’embrasser avec passion. Il était si dépendant de lui, de cette chair contre la sienne, qu’il ne pu que frissonner avec délice en sentant les phalanges de son ange venir se choir sur sa nuque pour profiter de ce baiser qu’il lui offrait. Un baiser si cruellement merveilleux qui emplissait son être d’exaltation. Ki Suk ne devait en aucun cas doutait de lui, il lui était tout acquit et rien au monde ne pourrait modifier cette vérité inéluctable.

Sentant son ange venir rompre doucement ce baiser, il rouvrit délicatement ses paupières pour plonger son regard dans celui si tourmenté de son ange. Profitant pleinement du contact des phalanges de son ange sur les traits de son visage, il ne pu que lui lancer un regard empli d’amour, de dévotion alors que ses yeux l’intimait de le croire. Cependant, son ange vint rompre ce doux contact visuel pour venir nicher sa tête contre sa nuque en l’enserrant avec d’autant plus de force. Il semblait si tourmenté qu’il prit conscience que ses mots n’avaient peut être pas eu l’effet voulu. C’est donc résolument dans un silence quelque peu tétanisé par la peur, qu’il l’écoutait s’exprimer. Il l’aimait tellement qu’il avait cruellement peur de ce qui allait leur arriver. Il était terrifié par l’idée que cette alliance ne les sépare car il refusait cela. Il savait qu’il voulait protéger son frère et sœur depuis le tout début, seulement égoïstement lui aussi ne voulait pas qu’ils les sacrifient pour eux. Il était si cruellement terrifiée que cette alliance se concrétise par un mariage, qu’il se mari à cette femme, avant même que ces derniers puissent diriger leur destin. Il aurait tellement mal si c’était le cas, qu’il se sentait terriblement perdu. Si perdu qu’il le sentit renforcer d’autant plus son étreinte avec force alors qu’il venait glisser ses mains sur son dos pour tenter de l’apaiser. Il sentit de nouveau des larmes venir se choir sur sa nuque tandis qu’il écoutait la fin des paroles de son ange. Des paroles si chaotiques, amplis d’une tristesse profonde alors qu’il lui murmurait qu’il voulait qu’il n’appartienne qu’à lui et personne d’autre. Il était si tétanisé à l’idée du futur tant il était habité par cette crainte sans fin.

Quelque peu déstabilisé par les mots de son ange, il glissa longuement ses phalanges sur son dos avec douceur tandis que ses lèvres baisaient avec amour la clavicule de son ange. Il était si désemparé par sa douleur, qu’il ne savait point quoi lui répondre. Il désirait tant que ce dernier croit en lui et cesse de s’inquiéter de ce plausible avenir qui n’avait aucun sens. Jamais, il n’irait jusqu’à se marier à cette femme, peut être pourrait-il être amené à poursuivre cette alliance aussi loin que possible mais en aucun cas, il ne lierait son âme à cette dernière. Avec douceur, ses doigts vinrent le câliner avec douceur alors qu’il glissait ces dernières jusqu’aux traits de son visage pour les caresser, le relevant pour qu’il le regarde. Il désirait qu’il prenne pleinement conscience de chacun des mots qu’il allait désormais prononcés, il était à lui, rien et personne ne pourrait lui voler la place qu’était sienne. Il se devait de le savoir, d’en éprouver même une certaine vanité, fierté à ce sujet car jamais au grand dieu, il n’allait les sacrifier pour quiconque. Son âme était bien trop dépendante de son être pour accepter le contraire possible. C’est donc avec tendresse que ses yeux le dévorèrent du regard, laissant pleinement ses phalanges venir essuyer la moindre trace de ses larmes alors qu’il venait une nouvelle fois l’embrasser en murmurant éternellement son doux prénom. Un prénom qui semblait être fait pour être susurrer par ses lèvres, un doux pseudonyme qui était source d’euphorie pour son être alors qu’il l’embrassait avec amour et douceur dans de délicieuses étreintes.

« Mon amour… tu n’as aucune raison d’être terrifié par notre futur… jamais je te sacrifierai, jamais je ne pourrais mettre un terme à notre amour car tu représentes à toi seul, le seul et unique sujet de mes pensée… cesses donc d’imaginer un tel avenir si funeste, je t’en prie mon amour… »

Reprenant son souffle, il vint délicatement de nouveau poser son front contre lui alors que ses doigts continuaient leur expédition sur sa chair, se glissant sur sa nuque dans de douces caresses qui faisaient délicieusement frissonner l’être de son ange, alors qu’il reprenait.

« Je te suis tout acquit mon amour, n’en doute ô grand jamais… et épouser ma fiancée… me lier à jamais à elle, il me serait résolument impossible de le faire… Jamais, ô grand dieu, je ne pourrais lui promettre une telle chose et je ne le souhaite pour rien au monde. Il me serait résolument impossible de la proférer tant mon être serait à tout jamais perdu. Alors cesses de songer à cet avenir improbable… je ne le laisserai jamais se produire… puis, ils ne souhaiteront sans aucun doute nous marier que lorsque j’aurai terminé mes études d’auror, lorsque je serai en mesure de subvenir aux besoins d’un ménage. Elle est de toute façon encore étudiante. Un mariage d’ici moins de deux-trois ans seraient une folie. Si les projets de ma famille sont tels que je le pense, Eichii et Aika seront majeurs d’ici là et pourront alors vivre leur propre voie. A ce moment là, je te fais la douce promesse de rompre cette promesse de vœux que je n’ai jamais formulés… même dans le cas contraire… »

Cela lui faisait mal de savoir que son ange pouvait songer un seul instant qu’il puisse les sacrifier pour sa famille. Quand bien même cela le tiraillait au fond de son être, son cœur guidait la moindre de ses paroles. Il ne mentait pas, ne le pouvait plus désormais. Il ne désirait et ne voyait plus que cet ange, qui se trouvait sous son regard quelque peu intense mais doux alors qu’il venait l’embrasser de nouveau en murmurant :

« Ki Suk… mon amour… je t’en conjure… cesses d’imaginer que je pourrais nous faire passer après si une telle mésaventure devait nous arriver… mon bonheur se trouve à tes côtés, mon avenir également… mon cœur ne pourrait nullement envisager un autre destin. Tu m’appartiens aujourd’hui bien moins que demain et cette appartenance est réciproque…. N’en doute ô grand jamais. »

Venant résoudre à néant l’espace entre leurs deux lèvres, il l’embrassa avec amour et passion alors qu’il se laissait pleinement à ce baiser, empli de promesse et de dévotion. Si seulement Ki Suk pouvait en prendre conscience.
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Kisuk Yoon-Wada
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[FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Empty
MessageSujet: Re: [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI   [FLASHBACK] Sorry that I hold you tight, but i'm sorry, i love you so much. | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:27

Douter en l’amour de Yano, Ki Suk ne le pouvait nullement, d’aucune manière en ce jour si funeste. Il se trouvait bien inconcevable de songer ne serait-ce qu’un seul instant que leur amour se retrouvait remis en question lorsque Yano lui avait annoncé l’existence de cette fiancée. Yano l’aimait d’un amour profond, d’un amour véritable… il lui avait prouvé de nombreuses fois depuis le jour où ils s’étaient avoué leur amour dans cette bibliothèque. L’arrivée de cette jeune femme dans leur vie n’allait nullement corrompre leur amour. Seulement, l’annonce de l’existence de cette demoiselle était signe de souffrance pour les deux jeunes hommes, qui se devaient encore d’affronter un obstacle à leur amour. Un obstacle qui paraissait ô combien difficile pour notre jeune homme qui tentait vainement de se convaincre que ses fiançailles n’étaient que fictifs, qu’ils ne mèneraient à aucun mariage, que jamais Yano n’allait devoir se marier avec elle, comme sa famille le lui demandait en ce jour si funeste. Yano se trouvait être l’enfant modèle, l’enfant qui suivait depuis sa plus jeune enfance chacun des ordres et désirs de sa famille. Aux yeux des parents de son cher amant, il n’était rien, si ce n’était son meilleur ami, ô grand jamais il ne verrait en lui l’homme de sa vie ou quoique soit d’autre qui pourrait faire penser qu’il y avait plus que de l’amitié qui les liait. Sa famille organiserait alors ce mariage qui pourrait arriver à tout moment, lorsque leurs parents le décideraient, les laissant alors vivre un des moments les plus difficiles de leur vie. En tant que né moldu il ne connaissait nullement les coutumes des sorciers et ce mariage pour l’instant ne pouvait que lui paraitre bien difficile à comprendre et à l’origine de chacune de ses souffrances qui possédaient son être.

L’amour allait le faire souffrir, le torturer au plus profond de son être… il lui suffisait de penser à ne plus pouvoir se réveiller au creux de ses bras pour ressentir cette profonde peine au creux de lui. Sans aucun doute qu’il devrait lui aussi dans un temps peut-être exigé par ses parents former une réelle famille et avoir des enfants avec cette femme, vivre avec elle bon nombres des moments de sa vie et devoir avoir une bonne figure devant eux, gardant l’image d’une famille unie. Cette inconnue allait prendre sans qu’il ne puisse agir d’une quelconque manière cette place qu’il espérait tant avoir depuis de nombreux mois, une place qu’il avait tant chéri depuis quelques mois, d’être l’unique personne à pouvoir être l’heureux élu pour la personne de Yano. Pouvoir se réveiller à ses côtés, l’accueillir chaque soir, pouvoir profiter de chacun de ses instants à côtés dans sa vie allait être peut-être interdit pour lui, si ce n’était rester dans l’ombre, à regarder grandir cette famille qui se devait d’être parfaite. Leur amour resterait à tout jamais un doux secret, un amour qui peut-être allait se trouvait toujours caché dans l’incapacité d’exister réellement, un amour qui resterait à tout jamais cloitré entre les murs de leur appartement, ne serait-ce qu’un simple rendez-vous romantique dans un restaurant serait simplement impossible… Souffrir, il ne connaitrait que ce mot et sans aucun doute que jour après jour, il dépérirait s’il se trouvait seul. Il aimait Yano d’un amour profond et pour rien au monde il ne pourrait aimer une personne aussi fortement, il en était persuadé malgré son jeune âge. L’amour véritable ne pouvait nullement être remplacé par un quelconque amour pour une autre personne, Yano se trouvait être l’homme de sa vie et ô grand jamais personne ne pourrait prendre sa place dans son cœur, aussi charmante pouvait se retrouver être cette personne.

C’était pourquoi il avait prononcé ces mots si durs en l’encontre de Yano, des mots sans doute blessants mais qu’il ne pouvait taire tant la souffrance qu’il habitait se trouvait forte. Les larmes qui coulaient sur ses joues en étaient bien la preuve alors même qu’il serrait fortement contre lui le corps de son tendre amant, un amant qu’il ne voulait et qu’il ne pouvait nullement partager avec quiconque et encore moins cette femme qui n’avait aucune raison d’exister au sein de la vie de Yano. Une femme qui n’importait que peu aux yeux de son tendre amant tant elle lui était indifférente, Yano en cet instant ne se préoccupait que de lui et de la peine qui possédaient leurs êtres. Au travers de ses mots, Yano avait tenté comme il pouvait de rassurer, de calmer la peine et la tristesse qui n’avait jamais cessé de le quitter depuis cette terrible annonce. Cette peine qui ne semblait pouvoir se calmer sans l’aide de Yano, sans ses mots qui se voulaient bien réconfortants, sans ses lèvres qui venaient embrasser leurs compères dans de merveilleux baisers pour l’apaiser. Ki Suk était terriblement effrayé, il avait peur de leur futur, de ceux qui leur étaient possiblement capable d’arriver. Yano voulait protéger sa sœur et son frère, un fait qu’il comprenait totalement… Seulement en être inquiet qu’il était, le jeune homme avait toujours peur de perdre Yano suite à cette nouvelle, de devoir se séparer de l’être qu’il aimait du plus profond de son cœur. Vivre sans Yano lui semblait bien impossible… il ne connaissait nullement à ce jour l’identité de cette femme et préférait l’ignorer, laissant une image inconnue à cette femme, qui n’était au fond nullement coupable de ces fiançailles, tout comme son tendre amant, elle se trouvait piégé dans ces fiançailles sans pouvoir y échapper. Seulement, malgré ce fait, il ne pouvait s’empêcher de vouloir détester cette femme, cette femme qui était aux yeux des parents de Yano sa potentielle épouse et qui pouvait l’être à tout moment, dès lors que leurs parents le décideraient.

Les baisers sur sa clavicule eurent le don de calmer notre jeune homme quelques instants, comme le contact de ses phalanges sur les traits de son visage, relevant son visage pour affronter Yano du regard, pour peut-être voir ses larmes qui s’écoulaient sur ses joues. Il accueillit avec délice les lèvres de Yano dans un baiser ô doux qui lui permettait de se sentir mieux. Entendre Yano prononcer son prénom se trouvait particulièrement plaisant malgré la peine et la douleur qui le tiraillaient en cet instant. Il releva les yeux pour affronter le regard de Yano et entendre ces mots qui se devaient de calmer et soulager ses plus grandes craintes. Yano lui murmurait qu’il n’avait aucune raison d’être terrifié par leur futur, qu’ô grand jamais qu’il ne pourrait mettre un terme à leur amour, qu’il ne le sacrifierait jamais. Il se trouvait être le seul et l’unique être de ses pensées, il se devait de cesser d’imaginer un tel avenir si funeste, le lui suppliant. Ces mots eurent le mérite de calmer légèrement ses angoisses… Yano lui assurait qu’ô grand jamais leur amour, tout come sa personne ne se sacrifierait, que leur amour ne cesserait jamais d’exister. Un fin sourire s’afficha alors sur ses lèvres alors que Yano venait caresser sa nuque de légères agréable, le faisant tendrement frissonner.

Yano vint reprendre la parole lui murmurant à nouveau qu’il se trouvait acquis à tout jamais et épouser cette fiancée, il lui serait bien impossible de le faire. Ô grand jamais il ne pourrait promettre une telle chose qu’il ne souhaitait pour rien au monde. Il lui serait résolument impossible de la proférer tant son être serait à tout jamais perdu. Il lui suppliait à nouveau de cesser de penser à cet avenir improbable qu’il ne laisserait jamais se produire. Il argumenta ses propos en lui énonçant que ses parents ne souhaiteraient nullement les marier avant qu’il ne termine ses études d’auror, lorsqu’il serait en mesure de subvenir de répondre aux besoins d’un ménage. Sa fiancée se trouvait encore être une étudiante. Un mariage d’ici moins de deux trois ans lui paraissait être de la folie. Si les projets de sa famille étaient tels qui le pensait, son frère et sa sœur seraient majeures d’ici là et pourront vivre leur propre vie. Ainsi, à ce moment-là il demanderait l’annulation de la promesse, cette promesse de vœux qu’il n’aurait jamais formulés, même dans le cas contraire. Il ne put alors qu’accueillir avec joie le merveilleux baiser de Yano avant de l’écouter finir ses propos qui se trouvaient si reposant à ses yeux, ses propos qui effaçaient peu à peu chacune de ses craintes. Il lui murmurait de cesser d’imaginer qu’il pourrait les faire passer après si une telle mésaventure devait leur arriver, son bonheur se trouvait à ses côtés, son avenir également. Son cœur ne pourrait nullement envisager un autre destin. Il lui appartenait aujourd’hui bien moins que demain et cette appartenance se trouvait réciproque, lui demandant de ne jamais en douter. Ses mots ô chaleureux et remplis d’amour ne purent qu’atténuer ses peines, un fin sourire était venu s’afficher sur son visage alors que Yano venait cueillir ses lèvres dans un doux baiser, empli d’amour et de passion.

O grand jamais Yano ne les sacrifierait, jamais il n’irait jusqu’à se marier avec cette femme même si ce mariage se trouvait malheureusement avancé, ses parents n’accepteraient jamais un mariage avant de deux à trois années, avant qu’il ne finisse ses études. Son avenir, son présent, son bonheur se trouvait être à ses côtés … son cœur ne pouvait nullement envisager un autre destin… chacun de ses mots eurent pour mérite d’atténuer chacune de ses peines, venant faire naitre en lui des sentiments ô agréables et enchanteurs. Traversé par ses mots, il quitta ses lèvres quelques instants alors avant de venir murmurer à quelques centimètres de ces compères : « Yano… Mon Yano … je t’aime tant, tu le sais ? … je suis… je suis désolé… d’avoir pu penser que tu aurais pu faire passer notre amour après ces fiançailles. Je suis vraiment désolé… je ne douterai jamais de tes sentiments, cela m’est bien impossible… tu m’aimes, nous nous aimons, cela est un fait irrévocable, un fait que personne ne pourra jamais remettre en cause. Seulement… j’ai eu peur, tellement peur… peur de te perdre à tout jamais. Cela est terriblement déchirant de le penser… je t’aime mon Yano, je t’aime pour toujours… et… je suis prêt à attendre encore, à nous cacher dans notre cher cocon qui est le seul témoin de notre amour véritable. Je ne peux nullement douter en tes mots, cela m’est bien impossible. » Il termina ses mots tendrement, venant l’embrasser à nouveau dans un doux baiser, venant caresser ses doux qui lui appartenaient à tout jamais. Cet être n’était qu’à lui et il n’aurait à le partager avec personne d’autre, un fait qui ne pouvait que le réjouir et le rendre heureux.

Il profita de ces quelques instants de tendresse pour venir avec l’une de ses mains venir caresser son dos ô musclé qui l’enchantait toujours autant, venant embrasser sa nuque d’un doux baiser avant de murmurer à nouveau : « Je t’appartiens comme tu m’appartiens… mon tendre et aimé Yano. Je m’excuse d’avance alors de mes actions futures … si… je peux paraitre froid avec… elle ou peu chaleureux si un jour… je la vois. Tu me pardonneras, ne ? » Dit-il venant le serrant dans ses bras plus fortement, ces larmes s’étant arrêtées de s’écouler sur son visage, laissant encore des traces de sa tristesse passée, une tristesse qui l’avait quelque peu quitté au fur et à mesure des mots de son tendre et cher amant. Il laissa échapper un doux sourire avant de venir prononcer d’une voix quelques peu envieuse et désireuse contre lui : « Il me tarde ce jour… tu le sais ? Ce jour où je pourrais enfin t’embrasser quand je le voudrais, t’enlacer quand mon cœur en ressentira le besoin, peu importe l’endroit, peu importe les personnes qui se trouveront à nos côtés. Je veux seulement vivre notre amour à tes côtés et pour toujours… partout, sans jamais avoir à se cacher. Il me tarde ce jour mon amour… je veux t’aimer comme n’importe quel autre couple sur cette terrer, t’aimer librement… peu importe ce qui les gens pourront penser. Tu es l’unique à mes yeux et tu le resteras à tout jamais… » finit-il de murmurer avant de venir rapprocher leurs lèvres pour l’embrasser à nouveau, venant cueillir ses lèvres dans un baiser ô doux.

Au creux de ses bras, pleinement rassuré, il n'avait pas meilleure place en ce bas monde et pour rien au monde, il n'aurait souhaité s'extirper de ces derniers. Ils passèrent donc le reste de la soirée à se susurrer des mots doux, nichés dans les bras l'un de l'autre comme pour tenter d'atténuer la moindre trace de tourment de leurs êtres. Après tout, ensemble, rien ne pouvait les séparer désormais...peut être même pas la mort elle même.

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