Profiter de l’été aux côtés de sa famille et de son amant, n’y avait-il pas un meilleur été possible ? Aux yeux de Ki Suk non, tout particulièrement alors que son amant était devenu son mari, même s’il ne s’agissait que d’un fait officieux. L’alliance qui était accroché à son doigt en était bien la preuve de leur union, le rendant ô combien heureux et comblé. Son amant se trouvait si merveilleux, si séduisant, si charmant, si romantique qu’il lui était bien impossible de ne plus l’aimer de se détourner de lui tant il avait l’impression d’être chaque jour toujours plus amoureux de lui. Sans aucun doute que ces parents avaient dû se rendre compte lors de ces jours en vacances à Busan, dans le monde moldu d’où il était originaire, que leur fils se trouvait totalement épanoui dans la relation qu’il vivait avec Yano. Ces derniers n’avaient pu qu’être ravis lorsque Ki Suk leur avait annoncé dans un courrier peu après la Saint Valentin que lui et Yano avaient échangé leurs alliances se mariant même officieusement. Une union qui n’avait pu que les ravir se rendant compte que ces deux jeunes hommes s’aimaient résolument, même son frère Il Hun qui d’habitude se trouvait froid avec Yano l’avait félicité.  Un fait qui n’avait pu que l’enchanter alors que ces parents les avaient alors invités à venir une quinzaine de jours cet été, une invitation qu’ils avaient accepté passant alors une partie du mois d’août au côtés de sa famille qui avait été ravi de les voir.

C’était l’une des raisons pour lesquelles les deux amoureux se trouvaient en ces lieux et à présent au bord de la plage, après avoir passé une journée séparée. Ki Suk avait consacré une partie de la matinée avec son frère cadet Kyang Ja qui voulait absolument assister en sa compagnie à une exposition d’un photographe moldu. Ki Suk y était allé alors, laissant son tendre mari entre les mains de son père, sa mère s’étant absenté pour la journée avec ces deux autres frères dans une ville proche. Il savait que le contact entre les deux hommes était bon alors il avait pu partir l’esprit tranquille, même si la présence de Yano lui avait manqué.  Ainsi, à présent seul à seul, après avoir mangé avec les membres de sa famille présents, les deux amoureux étaient partis en direction de la plage, dans une zone où il avait toujours eu l’habitude d’aller depuis qu’il était enfant. Arrivés sur la plage, ils s’étaient déshabillés et s’était retrouvé avec un short de bain noir, prêt à plonger dans la mer. Bien entendu profitant de ces instants pour venir étaler sur le corps de son amant la crème solaire de manière peut-être un peu trop longue pour que cela ne soit pas fait exprès, tout comme Yano, ils s’étaient retrouvés à aller prendre un bain dans la mer, lançant un regard noir aux demoiselles qui lançaient des regards intéressés vers son amant. L’alliance qu’il portait ne signifiait-il pas qu’ils se trouvaient déjà unis à une autre personne ? Ces filles devaient faire exprès pour le rendre fou et extrêmement jaloux. Alors, bien entendu, il était venu embrasser son amant, le prenant dans ces bras dans cette eau, profitant de la vision ô enchanteresse de ce corps ô désirable. Yano se trouvait si désirable torse nu, seulement vêtu d’un short de bain. Magnifique, il l’était sans aucun doute alors qu’il n’avait cessé de lui dire au creux de ces oreilles dans de doux murmures. Des mots que Yano lui avait aussi adressé, son corps quasi nu ne le laissant ô grand jamais insensible. Peut-être étaient-ils fous mais le jeune homme était sûre d’une chose, jamais ô grand jamais, aucun des deux ne viendraient se lasser du corps de l’autre.

C’était Ki Suk qui fut le premier à quitter l’eau pour rejoindre leur place, s’asseyant sur leur serviette, attendant que le soleil vienne sécher son corps et fasse disparaitre chaque goutte d’eau qui s’était échoué sur celui-ci. Il se servit alors de la bouteille d’eau pour s’hydrater, s’étouffant presque alors qu’il voyait Yano remonter lui aussi. La vision que lui offrait Yano se trouvait tout simplement splendide, le corps encore mouillé et un torse absolument parfait, agrémenté de gouttes s’échouant sur ces muscles. Yano était absolument magnifique à ces yeux, sans aucun doute le plus beau des hommes. Ainsi il n’avait pu que le dévorer du regard jusqu’à qu’il vienne à sa hauteur, lui offrant un merveilleux sourire qui ne pouvait que le ravir, se persuadant que dès qu’il en avait la possibilité cette après-midi il réaliserait un des fantasmes que son amant lui avait avoué il y avait quelques mois. Un fantasme soigneusement préparé dont Yano ignorait le fait que Ki Suk allait le réaliser aujourd’hui. Tendant la bouteille à son aimé, prêt à lui voler un baiser, il fut quelque peu surpris de voir apparaitre dans son champ de vision une silhouette féminine qui allait à la rencontre de son amant.  La demoiselle non sans gêne vint sourire à son amant d’une manière trop intéressée à son goût, venant lui demander si son cœur était libre. Lançant un regard ô noir à la demoiselle, la fusillant du regard de manière particulièrement agressive le jeune homme vint se rapprocher de son amant, l’allongeant subitement sur sa serviette avant de le surplomber et de l’embrasser d’une manière particulièrement possessive et langoureuse. Peu importe qu’on le regardait, peu importe que la demoiselle ait un regard choqué, peu importe ces mots, il se plaisait ainsi à embrasser son tendre amant et montrer à toutes ces filles qui le regardaient qu’il était pris, qu’il se trouvait marié à lui et qu’il ne partageait pas son amant avec quiconque. C’était sans doute l’une des raisons pour lesquelles il avait pris dans sa main la main de son amant, mettant bien en avant l’alliance qu’ils portaient tous les deux. Souriant malgré lui au fait que la demoiselle avait fait demi-tour, marmonnant qu’ils étaient sur une plage publique et n’avaient pas à s’embrasser aussi passionnément devant le public. En cet instant Ki Suk, s’en fichait vraiment du regard des autres, seul ces lèvres comptaient pour lui, comme ces muscles qu’il caressait de sa main libre. Cela faisait déjà plusieurs heures qu’ils n’avaient pas pu s’embrasser ainsi, dans un baiser langoureux et le jeune homme comptait bien en profiter en ce jour. Seulement, le jeune homme vint arrêter le baiser, souriant de manière particulièrement séduisante à son amant avant de murmurer au creux de ces lèvres : « Tu crois qu’elle a compris que tu es à moi ? Il me semble qu’il faudrait que je te ré-embrasse au cas où… »

Le jeune homme vint alors terminer ces mots en venant capturer à nouveau ces lèvres dans un baiser ô langoureux, faisant rencontrer leurs langues d ans un ballet ô gracieux, profitant de sa position pour caresser ce haut de torse ô séduisant. Sans doute jouait-il le feu avec son amant ainsi mais cela ne l’importait que peu, il savait de toute manière que Yano ne pourrait nullement dire non à la surprise qu’il lui avait préparé avant de venir. Yano ne pourrait qu’accepter un massage avec une huile volontairement aphrodisiaque, même s’il l’ignorerait jusqu’à sentir l’odeur de celui-ci. L’odeur du gingembre n’était nullement une odeur inconnue pour tout amant, pour cette plante asiatique qui réveillait les sens. Sans doute était-il coquin mais Yano ne pourrait qu’apprécier son choix, celui-ci se trouvait déjà réactif à ces baisers, y participant avec une envie certaine. Ce baiser dura plusieurs minutes avant qu’il ne vienne séparer leurs lèvres, venant embrasser sa nuque dans un doux baiser, ne détachant nullement leurs corps d’une quelconque manière. Souriant il vint à nouveau murmurer : « Il me semble que cela est suffisant… qu’en penses-tu mon amant ?». Ces mains arrêtèrent de caresser son torse, venant s’échouer sur ces bras de manière plus douce et délicate. Sans aucun doute que Yano le traiterait d’idiot mais il ne s’en inquiétait pas, si la situation avait été inverse le jeune homme en aurait tout ravi de voir son amant si possessif envers lui.

Tenue de Ki Suk

Passer les vacances d’été en compagnie de l’être qu’on aimait du plus profond de notre cœur, n’avait résolument pas de prix. Pour la première fois après de nombreuses années, il avait eu la félicité d’être accueilli de nouveau au sein de la demeure de son ami. Une demeure chaleureuse et agréable qui dénotait totalement avec la froideur du manoir de ses propres parents tant cette dernière était vivante et toujours en mouvements. Les membres de cette dernière se trouvaient être des personnes agréables et plaisantes, le sourire toujours aux lèvres même si certains dérogeaient parfois de cette règle. Il avait été sincèrement touché par leur accueil et leur réaction vis-à-vis de l’union secrète que leur fils ainé et lui-même avait formulée quelques mois plus tôt. Chaque membre avait célébré cette nouvelle par des félicitations sincères, qui lui avaient donnés chaud au cœur au point d’être certains qu’ils les soutenaient dans leur relation. Un soutien qu’il aurait aimé avoir de sa famille mais qui semblait encore bien utopique à l’heure actuelle. Il avait préféré omettre ce détail pour ne pas amoindrir son bonheur, ne souhaitant nullement songé à des choses bien noires. Après tout, n’avait-il pas prit en main son destin en ayant pleinement conscience des conséquences ? Désormais, il savourait cette allégresse qu’apportait cette liberté qu’il pouvait avoir vis-à-vis de son destin, d’être avec la personne qui était chère à son coeur.

Il profitait donc de cette chance que la vie lui permettait de vivre cette félicité auprès de son amant sans n’avoir nul besoin de camoufler son inclinaison aux yeux de sa famille. Libéré, sans tabous, ils se montraient à leurs yeux comme un couple totalement obnubilés et amoureux, n’ayant de cesse de s’embrasser tendrement ou s’enlacer avec douceur dès qu’il leur était permit de le faire. C’était résolument plaisant cette sensation d’être accepté par ce qu’il était réellement, que Yano se comportait de façon naturelle et aimable en leur compagnie, permettant enfin à la famille de le découvrir tel que leur fils l’avait toujours connu. Sa timidité, cette réserve naturelle qu’il avait toujours gardé avec eux avait volé en éclat désormais qu’il les considérait comme des membres de sa famille. De ce fait, il n’avait nullement eu de gêne de venir à la rencontre du père de son amant, lui demandant s’il pouvait s’entretenir avec lui afin de lui parler d’un sujet qui lui tenait très à cœur.

En effet, Yano désirait que le père de ce dernier, photographe de métier, le prenne en photo. Le but de cette démarche avait pour unique souhait d’offrir à son ange, un recueil de photos sur papier glacé, à la fois sensuelle et sexy dans lequel on ne pourrait voir ressortir que son amour à son attention. Il désirait lui offrir ce présent afin de lui donner enfin la possibilité de conserver auprès de lui, des images de sa personne lorsque dans le futur, il viendrait à s’absenter pour une certaine période. En toute sincérité, Yano possédait très peu de photo de lui-même, ayant toujours eu cette habitude de fuir l’objectif tant il n’aimait pas être prit en photo. Il est donc évident qu’il détenait pour ainsi dire que quelques photos qui étaient souvent les mêmes, que ce soit sur ses papiers officiels où dans les cadres photos de son appartement. Yano avait même prit conscience qu’ils n’’avaient toujours pas de photos d’eux deux et ne pouvait que s’en sentir quelque peu affligé même si il devait reconnaitre qu’il n’avait jamais eu besoin d’une telle photo pour être assuré de leur amour. Dans tous les cas, ce dernier avait accédé à sa demande, résolument touché qu’il ne soit venu à lui. Il lui avait promit de faire de son mieux et de faire ressortir son charisme naturel qui inondait autour de lui.

Ainsi, ils avaient profités de l’absence de son ange pour réfléchir aux styles de ses photos, prévoyant ce qu’ils allaient faire. Le professionnel étant le père de son ange, il avait écouté avec vive attention ses idées, les trouvant résolument intéressante même si il devait reconnaitre qu’il aurait du mal à rester naturel et sincère devant l’objectif du géniteur de celui qu’il avait séduit quelques années auparavant, affichant ce corps que Ki Suk devait être le seul à l’admirer de façon si libéré et passionné dans ses expressions. Pour réaliser tous les plans dont il parlait, ils devaient trouver un subterfuge pour camoufler leurs séances, comptant alors sur la complicité de sa femme pour éloigner Ki Suk de la demeure familiale. Tous les détails ayant été mis au point, ils s’étaient quittés satisfaits au moment où son ange était revenu avec son petit frère, qui lui avait proposé d’aller à la mer pour un rendez-vous. Une idée qui avait déplu à Kyang Ja, qui aurait souhaité les accompagner mais qui abdiqua lorsque son ange lui avait fait part qu’il voulait profiter seulement de Yano pour un rendez-vous amoureux. Une scène particulièrement mignonne, qui l’avait fait sourire avant de passer à table, à la suite duquel ils s’étaient préparés pour se rendre là-bas.

Une préparation que Ki Suk désira faire lui-même lui laissant la possibilité de boire un café avant d’aller enfiler son boxer de bain. Un vêtement qu’il avait acheté quelques semaines auparavant durant une de leur sortie en couple dans le monde moldu en provision de cette occasion. Il avait tronqué son jean pour un pantalon noir en coton léger qui serait parfait pour aller jusqu’à ce lieu dont lui parlait si souvent son ange. A peine étaient-ils arrivé là bas qu’ils avaient entrepris de se couvrir mutuellement de crème solaire de façon bien trop longue pour être naturelle mais aucun des deux ne se plaignaient des attentions de son amant, souriant tels deux idiots amoureux qui ne pouvaient en faire autrement. Ils s’étaient donc rendus dans l’eau afin de profiter de sa fraicheur alors que la chaleur était résolument invivable. Quand bien même n’avait-il nullement apprécié le regard de certaines demoiselles et jeunes hommes sur le corps de son amant, il n’avait point eu l’occasion de montrer sa possessivité que déjà son ange s’était dirigé vers lui pour emprisonner ses lèvres, l’enlaçant dans l’eau. Un baiser contre lequel il n’avait pu lutter, l’appréciant ô résolument alors qu’ils se murmuraient  mutuellement des mots doux. Magnifique, sans aucun doute que Ki Suk ne pouvait que l’être à ses yeux, ses formes masculines et sensuelles mises en valeur par ce simple boxer qui lui sillait merveilleusement. Yano mentirait si il n’avouait pas qu’il lui inspirait des pensées lubriques ainsi offerts à sa vue. Seulement, il n’en dit mot, le détaillant juste avec admiration, le bouffant délibérément du regard. Nulle personne ne pouvait ignorer son inclinaison à cet instant alors qu’il le voyait s’éloigner de lui pour retourner sur la plage, se retrouvant seul dans l’eau.

Il profita donc de la vue que ce dernier lui offrait en s’éloignant de lui, voyant l’eau se glisser au creux de sa colonne vertébrale pour se perdre sur ses reins. Savourant cette vision, il ne pu que sourire charmé avant de piquer une tête, appréciant la froideur de l’eau qui vint remettre de l’ordre dans ses pensées lubriques avant de s’extirper à son tour de l’eau, regagnant le bord de plage. Conscient d’offrir la même vue que ce dernier avait pu lui offrir quelques minutes auparavant, il ne pu qu’être ravi de rencontrer le regard charmé de son ange alors qu’il regagnait ses côtés, s’asseyant sur sa serviette de bain tout en acceptant la bouteille d’eau que ce dernier lui tendait. C’est à cet instant, qu’il sentit une présence féminine se trouvait à ses côtés, s’adressant même à lui. Relevant alors son regard quelque peu surprit vers cette dernière, qu’il prit conscience qu’elle lui demandait s’il était célibataire. Une question résolument déroutante alors qu’il y a encore cinq minutes, il avait embrassé Ki Suk sous les yeux de toute la plage. Seulement, il n’eut nullement le temps de répondre à cette dernière qu’il sentit le corps de son amant le surplomber venant l’allonger avec force pour lui voler un baiser. Une rencontre torride et langoureuse de leurs lèvres qui se dévorèrent totalement alors qu’il souriait tendrement, résolument ravi de le voir jaloux de la sorte. C’était la première fois que Ki Suk réagissait si fougueusement à l’une de ses plausibles rivales, quand bien même était-il le seul à occuper ses pensées. C’était si plaisant qu’il ne pu que profiter de cette embrassade, sentant son cœur se gonfler de bien être tant ce geste animait ses sens. Aux paroles de ce dernier, il ne pu que rire doucement alors que ce dernier lui demandait si il pensait qu’elle avait comprit le message mais qu’il fallait mieux recommencer au cas où. Des mots terriblement envoutants alors qu’il se laissait embrasser de nouveau avec passion, laissant sa langue découvrir de nouveau celle de son ange pour se rencontrer dans un ballet ô envoutant, sentant sa chair s’enflammer sous ses gestes. Ce désir qu’il avait su contenir quelques minutes auparavant en venant plonger dans l’eau venait de refaire surface, l’enflammant alors qu’il le sentait montait peu à peu, prendre de l’envergure dans sa chair. Plus ce baiser s’éternisait, plus il l’envoutant, rendait sa chair brulante d’une appétence profonde à tel point qu’il ne pu que se mordre doucement la lèvre lorsqu’il sentit ses bourreaux s’éloignaient de ses lèvres. La suite de ses paroles, le firent doucement sourire alors qu’il l’observait avec effusion, le détaillant avec passion.

« Je pense surtout que tu cherches à m’envouter en agissant de la sorte… et qu’il est donc de ta responsabilité désormais de venir éteindre ce feu qui m’étreins, qu’en penses-tu, mon amant ? »

Il avait murmuré ses mots très doucement, à peine audible de la personne de son amant alors qu’il venait l’embrasser à son tour, glissant à son tour sa main sur sa nuque pour se choir délicatement sur sa clavicule, rompant ce baiser de façon soudaine, comme pour frustrer son amant, il vint délicatement lui mordre la lèvre, susurrant contre elle.

« Peut être devrions nous trouver un coin plus calme, ne penses-tu pas ? »

TENUE : 01.

Jaloux, sans aucun doute l’avait-il été lorsqu’il avait remarqué cette demoiselle se rapprochait de son aimé après qu’il soit arrivé à sa hauteur. Ainsi, ne se contrôlant nullement et souhaitant marquer son territoire, celui-ci s’était presque jeté sur lui, l’allongeant sur le sable pour venir lui voler un baiser ô torride et langoureux. Peut-être était-ce trop osé dans un pays comme la Corée qui avait des traditions prudes mais le jeune homme ne s’en préoccupait que peu, seule la passion le guidait. Les lèvres de son amant se trouvaient si agréables à caresser, comme cette langue qui venait à la rencontre de la sienne dans un ballet ô délicat et sensuel. Il ne pouvait qu’être ravi de voir son amant tout aussi amusé que lui de la situation. Sans doute avait-il profité de cette occasion pour venir répondre à ces plus primaires envie mais il rejetait cette fois-ci celui-ci à cette inconnue qui avait importuné son tendre amant en cet instant sacré. Ils étaient après tout sur cette plage dans le cadre d’un rendez-vous romantique, personne n’avait à interagir entre les deux et surtout pas pour draguer l’un des deux protagonistes. A croire que les baisers qu’ils s’étaient échangé dans l’eau n’avait pas suffit à convaincre celle-ci de leur amour ou bien du fait qu’ils étaient attirés l’un par l’autre. Peut-être était-elle folle, bête ou bien aveugle pour agir face à eux mais, dans tous les cas le jeune homme avait marqué son territoire devant elle et les personnes qui ne l’avaient pas remarqué encore. Peut-être était-il vicieux en cet instant mais il aurait bien été difficile que son amant n’aime pas son attention surtout qu’il se montrait ô particulièrement fougueux. Yano d’ailleurs ne semblait d’ailleurs pas s’en plaindre, répondant avec plaisir au doux baiser de son amant. Ces mots volontairement taquins à la fin de ce baiser n’avaient que pour but d’attiser son désir, comme  ce sourire qu’il avait laissé échapper avant de reprendre ces lèvres entre les siennes. Le jeune homme à ces côtés ne semblait nullement s’en plaindre, venant répondre à son baiser avec autant de passion.

Souriant le jeune homme avait laissé ces mains venir s’échouer sur la chair, caresser ces formes ô envoutantes qui ne l’avaient jamais laissé de marbre une seule fois dans son existence. Voir son corps dans cette eau n’avait pu qu’attiser son désir pour sa personne, surtout dans ce simple maillot de bain qui ne le rendait qu’encore plus beau et séduisant. Yano se trouvait tout simplement le plus bel être ainsi vêtu, n’ayant quasi plus de couches de vêtements sur son corps qui avait le malheur de cacher ces muscles ô séduisants. Le jeune homme caressait alors son torse avec une envie certaine, collant leurs corps ensemble dans un contact  ô chaleureux et agréable, ravivant son désir en lui de mettre en œuvre sa surprise.  Celui-ci ne semblait d’ailleurs nullement s’en plaindre, à peine avait-il terminé ces baisers sensuels, prononçant des mots quelque peu taquins en son encontre. Le regard envouté que lui lançait son amant ne put que venir attiser son désir, comme ces paroles qui étaient tant signe de la vérité. Le jeune homme lui avouait qu’il pensait surtout qu’il cherchait à l’envouter en agissant ainsi et qu’il était donc de sa responsabilité de venir éteindre à présent ce feu, lui demandant son avis. Souriant tendrement à son amant il vint laisser Yano guider ces lèvres contre le siennes, dans un baiser langoureux où il crut se perdre si Yano n’était pas venu rompre ce baiser bien qu’il fut frustré, souhaitant profiter de ce baiser jusqu’au bout.  Sa réaction ne put que lui plaire alors qu’il lui demande son avis sur le fait qu’ils devraient trouver un coin plus calme pour eux deux. Une idée qui ne pouvait que le plaire tant le jeune homme avait envie de mettre en place sa surprise en cet instant, bien qu’il doutait sérieusement qu’il lui permette réellement d’attiser ce feu en lui.  

Lui souriant d’un air résolument coquin, le jeune homme vint murmurer au creux de ces lèvres : « Je connais non loin d’ici un endroit idéal pour cela… bien que j’ai une autre idée en tête, une douce surprise à te proposer, tu n’auras plus qu’à fermer les yeux et t’allonger sur le ventre… cela te convient-il ?  De toute manière je ne te laisserais nullement le choix… » Termina-t-il dans un doux baiser, faisant rencontrer leurs lèvres quelques instants. Lui offrant un merveilleux sourire ô empli de tentation, le jeune homme vint tendre sa main et recueillir leurs affaires en quelques mouvements. Un sourire quelque peu espiègle, ignorant les regards des personnes sur la plage, il vint le guider vers une zone de la plage peu connu dans laquelle il avait l’habitude d’aller lorsqu’il se trouvait encore enfant avec ces amis moldus. Ils marchèrent ainsi un certain temps avant d’y accéder, se retrouvant presque au creux d’une grotte, heureux de voir que l’endroit semblait déserté et toujours aussi agréable. Le sol était couvert de sable, la mer se jetant seulement à quelques mètres d’eux et le soleil pénétrant les lieux de manière partielle leur laissant une intimité parfaite.

Se saisissant de sa baguette, il lança un sort d’intimité et empêcher toute intrusion dans cette partie de la plage. Souriant, celui-ci vint alors demander dans un doux baiser à son amant de venir s’allonger sur le ventre sur le sable avec l’interdiction d’ouvrir les yeux, sans doute avait-il attisé sa curiosité mais souhaitant garder sa surprise, il n’avait pas voulu lui avouer le moindre indice. Ouvrant alors son sac, il vint se saisir délicatement du flacon de l’huile de massage qu’il avait acheté il y a quelques jours pour la préparation de sa surprise. Venant s’asseoir alors sur les cuisses ô musclées de son amant qui s’était simplement allongé, le jeune homme s’amusa à verser quelques gouttes d’huiles dans sa main, la réchauffant ainsi en les frictionnant et posant ces mains sur son dos. Souriant, il vint placer ces mains alors sur le haut du dos de son amant avec une sensualité certaine ne souhaitant qu’accentuer son désir pour sa personne, appréciant le contact avec sa chair ô sensuelle et musclée.  Dans un murmure ô sensuel le jeune homme prononça au creux de sa nuque, accentuant le contact entre leurs chairs : « Il y a quelques jours j’ai eu cette idée… qu’en penses-tu ? » Dans un doux sourire contre sa nuque, le jeune vint continuer son massage de manière particulièrement sensuelle alors qu’il laissait ces mains descendre sur ces chutes de reins, prononçant le doux de son amant.  Son souhait en ce jour n’était après tout que de venir répondre avec sensualité au doux fantasme de son amant.

Huile de massage sensuelle

Se faire embrasser de la sorte était résolument exaltant. Quand bien même la situation actuelle était quelque peu coquasse, il ne pouvait aller contre son amour et ses désirs ô cupides. Pourtant, Yano était résolument de nature pudique. Jamais jusqu’à ce jour, il n’avait consenti à offrir sa vie privée de la sorte aux yeux de parfaits étrangers. Seulement, il lui était tout simplement impossible de résister au charme et aux courbes de son ange, qui possessif et jaloux était venu l’embrasser fougueusement afin de faire fuir une potentielle rivale. Une adversaire qui n’en avait que le pseudonyme tant il se trouvait profondément amoureux de cet homme, qui se trouvait au dessus de lui, si terriblement tentant et passionné. Faible, il ne pouvait alors que l’être face à son regard, ses gestes, ses sourires tant ce dernier semblait déterminé à se montrer sensuel et plus tentateur que jamais en agissant de la sorte. Cependant, il ne pouvait le laisser poursuivre de la sorte tant la jalousie commençait également à l’envahir. Il n’aimait résolument pas l’idée qu’on le voit si sensuel, qu’on puisse admirer cette facette de sa personnalité. Il était le seul qui devait profiter de cette vision, l’unique être à pouvoir réveiller cet aspect si envoutant et en savourer sa texture. C’est pour cette raison évidente, qu’il n’avait pu s’empêcher de le taquiner en lui murmurant qu’il pensait surtout qu’il cherchait à l’envouter en agissant de la sorte. Après tout, n’était-ce-pas ce qu’il cherchait en agissant de manière si passionnée, le caressant de cette façon pour l’émoustiller d’autant plus ? Il était donc de son devoir de venir éteindre ce feu qui l’étreignait, il en était même formel bien que ses mots avaient pris une forme interrogative. Il était donc venu l’embrasser de façon frustrante comme pour éveiller son désir également, ajoutant qu’il serait peut être judicieux de trouver un endroit plus calme pour poursuivre ce genre d’attention.

Une requête qui fut accueillit avec plaisir par la personne de son doux amour, ce dernier arborant un air résolument coquin pour murmurer au creux de ses lèvres qu’il connaissait un endroit idéal pour cela. Il avait cependant une autre idée en tête, une surprise à lui proposer durant laquelle il n’aurait plus qu’à fermer les yeux et s’allonger sur le ventre pour en profiter. Une surprise qui vint résolument l’intriguer alors qu’il lui demandait si cela lui convenait même s’il ne lui laissait nullement le choix. Voir son ange agir de façon si enjôleuse à cet instant se trouvait particulièrement captivant et merveilleux. Ce sourire empli de tentation se trouvait juste terriblement désirable et il se trouvait bien trop cupide pour y résister un seul instant, venant prendre au creux de sa main, celle de son ange qui s’était déjà affairé pour ramasser leurs affaires. Curieux, il ne pouvait que l’être face à ce sourire espiègle et taquin que son amant lui tendait, le guidant vers une zone de la plage peu connue. Cette dernière se trouvait pour ainsi dire déserte et offrait un merveilleux panorama. C’était résolument un miracle que cette dernière soit si peu connu mais peut être était-ce plus vis-à-vis de la sécurité que cette dernière se trouvait délaissée ? Après tout, ils n’étaient plus dans la zone de nage protégée et les sauveteurs ne se préoccupaient nullement de cette dernière. Quoi qu’il en soit, cet endroit semblait parfaitement convenir à son ange car ce dernier vint se saisir de sa baguette, lançant autour d’eux un sort de protection qui éviterait toute intrusion dans leur petit moment d’intimité. Une vérité qui ne pu que le faire sourire d’autant plus alors qu’il sentait les lèvres de son amant se fendre sur ses lèvres, lui demandant de prendre place sur le sable avec l’interdiction de regarder ce qu’il faisait. Soumis et résolument intrigué, il vint s’exécuter simplement, pensant simplement à un massage en vue de sa position.

C’est ainsi qu’il l’entendit prendre quelque chose dans son sac avant de venir s’asseoir sur ses cuisses. Une position qui confirma ses suppositions alors qu’une odeur quelque peu agréable emplissait ses sens, sentant les mains de son ange se poser sur le haut de son dos pour masser chacun de ses muscles avec sensualité. Un geste qui vint le faire délicatement sourire alors qu’il gardait les paupières closes, son être appréciant ce doux contact envoutant qui frôlait sa chair, exaltait ses sens. L’odeur qui se dégageait des mains de son amant se trouvait résolument plaisante alors que sa peau se trouvait peu à peu victime de légers frisons de bien être tant les caresses de son amant se trouvaient ô divertissantes et séduisantes. Il ne pu d’ailleurs que soupirer d’aise à son murmure au creux de sa nuque, sentant la peau du torse de son amant se mouvoir contre sa chair exaltée. Ces actions se trouvaient particulièrement sensuelles et captivantes, éveillant résolument son désir alors qu’il sentait les phalanges de son amant, se choir sur la chute de ses reins en murmurant son prénom. Un fait qui ne pu que le faire soupirer d’autant plus alors qu’il se sentait particulièrement sensible à ses attentions, soupirant doucement dans une voix ô enchantée.

« Cette idée est plus que plaisante, mon amour… C’est résolument très envoutant… J’aime la chaleur de tes doigts sur ma chair… Tu peux poursuivre autant que tu le souhaites… jusqu’où même tu le désires… je suis ta modeste marionnette aujourd’hui… »

C’est ainsi qu’il vint soupirer de nouveau en sentant les doigts de son ange poursuivre leurs exercices, laissant sa voix s’exprimer délicatement en murmurant le prénom de son amant. Son but en faisant cela ? Faire plaisir à son amant et que ce dernier le récompense en lui faisant d’autant plus du bien. Après tout, n’était-ce pas ce qu’il cherchait en agissant de façon si sensuelle avec sa personne, le laissant à sa merci ?

Réaliser un des fantasmes de son tendre amant avait l’unique raison de cette petite surprise, bien qu’il faille avouer que ce fantasme plaisait résolument au jeune homme. Il se rappellerait toujours de ce jour où son amant lui avait avoué une partie de ces fantasmes et digne mari qu’il l’était, il n’avait pu que les noter dans son esprit pour ne jamais les oublier et les réaliser.  Bien que son fantasme réel n’était à l’origine pas le fait d’être la douce victime des massages de son amant mais plutôt la suite des évènements. Néanmoins, un massage n’était nullement désagréable comme préliminaires pouvait-on dire, surtout pas alors que l’huile de massage se trouvait volontairement aphrodisiaque.  Le jeune homme n’avait pu alors qu’avoir l’idée de venir en ces lieux discrets pour réaliser sa surprise. Personne n’avait à les regarder, personne n’avait à dévorer du regard son amant hormis lui si peu vêtu. La vision de ce corps ô enchanteresse lui était seulement réservée, surtout lorsqu’il ne portait que ce simple boxer de bain qui mettait tant en avant le corps de son amant. Il avait intercepté les regards intéressés des femmes vers sa silhouette, le rendant incroyablement jaloux. A présent qu’il voulait lui administrer ce merveilleux traitement, ce coin de plage se trouvait résolument plaisant.  Yano une fois sur les lieux ne chercha nullement  à contrecarrer ces plans, s’allongeant de lui-même sur l’une de leurs serviettes.

Le jeune homme n’avait pu alors que venir se saisir de l’huile de massage dans son sac, avant de venir sur ces cuisses de manière presque coquine. Ouvrant alors le flacon, il s’était enduit ces mains de ce délicieux liquide posant alors enfin ces mains sur ce corps au contact de haut de son dos. Ki Suk ne caressait nullement son corps de manière purement objective, surtout pas alors qu’il insistait peut-être un peu trop sur certaines zones de son corps qu’il savait particulièrement sensible. Cela faisait plus de deux ans qu’ils étaient ensemble, il aurait dommage de ne pas connaitre encore les points faibles de son amant. Entendre les gémissements de son amant était résolument plaisant, comme le fait de sentir son corps  frémir sous ces doigts. C’était avec un plaisir malsain qu’il avait murmuré le nom de son amant, faisant rencontre leurs torses avec envie.  Ces mains s’amusant à le rendre fou était venu se choir sur la chute de reins de son amant,  les caressant avec une envie non dissimulée, bien trop heureux d’entendre le soupir enchanté de son amant.  Dans une voix tout aussi sensuelle, Yano lui indiqua que cette idée était résolument plaisante. Le jeune homme aimait la chaleur de ces doigts sur sa chair, il pouvait poursuivre autant qu’il le souhaitait, jusqu’où il le désirait, il n’était que sa modeste marionnette aujourd’hui. Des mots qui ne pouvaient que lui plaire alors que des idées quelque peu perverses venaient prendre possession de son être. Yano n’était après tout que sa modeste victime, il ne pourrait nullement se plaindre nullement du sort qui lui réservait.

Souriant, le jeune homme vint laisser ces mains continuer leurs exercices, caressant avidement les reins de son amant. Reprenant du liquide, le jeune homme vint déposer ces mains sur le haut de son dos à nouveau, caressant ces formes ô délicieusement musclé alors qu’il venait murmurer au creux de son oreille d’une voix très sensuelle : « Mmm… ma marionnette… quelle image agréable. Cela ne me donne qu’une seule envie : celle de réaliser tes fantasmes et les miens… il serait bien dommage de ne pas les réaliser alors que nous avons devant nous une formidable occasion… » Le jeune homme vint terminer ces paroles dans un baiser au creux de sa nuque, venant la suçoter quelques instants, y déposant sa marque dans un geste de possessivité avant de se relever et d’abandonner ces cuisses pour installer ces jambes autour de son corps. Reprenant son massage, il vint laisser ces mains effleurer son dos, remontant doucement vers ces épaules et le long de ces bras. Avec sensualité, ces phalanges vinrent se perdre jusqu’à atteindre à nouveau ces reins, ces fesses ô particulièrement musclé qui l’attirait, tout comme ces cuisses particulièrement désirable. Des contacts légers qui n’avaient que l’unique but de le rendre particulièrement fou de lui, aimant tant le voir dominé par son être.  

Souriant devant cette vision ô agréable le jeune homme se saisit à nouveau de l’huile de massage, frottant ces mains pour la réchauffer. Satisfait de l’odeur ô exaltante qui s’échappait, Ki Suk prononça le doux nom de son amant avec sensualité alors qu’il venait massez ces jambes commençant par ces mollets en faisant des mouvements de balayage, une main après l’autre, avec lenteur et intensité pour le faire fondre. Souriant, il vint caresser avec plus de ferveur ces cuisses, laissant ces lèvres embrasser ces cuisses, ces phalanges malaxant ces mollets au même instant. Chacun de ces touchers semblaient plaire au jeune homme qui frissonnait à chaque contact à son plus grand plaisir. Prononçant à nouveau son nom, le jeune homme continua ces baisers jusqu’à atteindre la limite du short de bain de son amant,  murmurant alors : « Il est bien dommage que tu sois encore un minimum vêtu… qu’en penses-tu ? »

Il laissa à cet instant son souffle atteindre ces fesses, les abandonnant pour s’asseoir sur ces cuisses à nouveau et venir caresser avec sensualité cette si belle chute de rein.  Pétrissant volontairement cette zone, ces doigts vinrent remonter sur son dos, avec lenteur, venant laisser son corps se coller à au sien, faisant rencontrer son torse et son dos avec amusement. Ces phalanges venaient s’égarer à présent à nouveau sur ces reins alors qu’il déposait ces lèvres avec sensualité contre sa nuque, dans de nombreux baisers. Soufflant contre sa chair, il prononça alors d’une voix tout aussi sensuelle à son amant : « Est-ce que ton mari te comble suffisamment ou faut-il qu’il se perfectionne encore ? As-tu une suggestion pour améliorer ce traitement ? » Il continua son action en venant embrasser le haut de son dos, se redressant pour quitter ces cuisses et se poser entre ces jambes. Dans un doux sourire, il vint à nouveau diriger ces baisers vers le bas de ces reins, s’arrêtant volontairement à la limite de son short de bain. Il n’attendait après tout que les suppliques de son amant pour lui enlever et réaliser une partie de ces fantasmes.

Être la douce victime des caresses de son tendre amant était résolument un fait qu’il appréciait ô profondément. Après tout, n’était-il pas fort plaisant pour un amoureux d’être la proie de toutes les attentions et cupidités de son compagnon ? Si, en effet et Yano ne dérogeait nullement à cette règle, d’autant plus lorsque ce dernier semblait déterminé à lui faire du bien tout en réalisant un de ses fantasmes. Il était plus qu’évident qu’en achetant une huile à l’odeur si aphrodisiaque, Ki Suk semblait déterminé à le voir fondre sous ses doigts, réclamer ses caresses qu’il prenait tant de plaisir à lui administrer. Des cajoleries qu’il goûtait avec effusion, savourant la texture si parfaite et brulante des phalanges de son doux époux qui s’échouaient sur ses formes. Le manque de contact entre leurs deux chairs ne pouvaient qu’affermir cet abandon tant ce dernier se trouvait cuisant. Cela faisait près d’une semaine qu’ils n’avaient pu gouter pleinement au plaisir de la chair. Un fait résolument étrange pour les deux amants fougueux et désireux qu’ils se trouvaient être en temps normal. Cette contenance avait manqué à plusieurs reprises d’être rompue mais ils n’étaient point parvenus à consommer leurs désirs, se faisant presque interrompre aux moments les plus inappropriés. Ils n’avaient pu que s’embrasser, s’échanger quelques caresses qui étaient restées sans suite. Il ne pouvait nier son désir qu’il avait pour son être, se trouvant bien trop faible face à sa cupidité qui l’intimait de profiter de cet après-midi pour se laisser aller à ses côtés. Au travers des cajoleries que lui offrait son ange, il se laissait complètement allé à son contact, gémissant faiblement pour accroitre l’excitation que son acte pouvait engendrer en la personne de son amour. Il sentait ce dernier s’enflammer tout autant que lui, renforçant ses caresses dans des gestes plus cupides et enflammés. Cette réalité ne pouvait que le satisfaire, n’hésitant pas à intensifier la chose pour augmenter la douce chaleur qui s’initiait au creux de ses reins. Il était évident que ce dernier, tout comme lui cherchait juste un moyen de consommer leur amour en cette journée et il n’était nullement disposé à aller contre ses souhaits. Il avait donc murmuré des paroles à son attention, empreint de sous entendus que seul son mari pouvait comprendre. Il fut donc satisfait de le voir agir en conséquence, sentant les doigts de ce dernier poursuivre leurs exercices en massant avidement ses reins. Des gestes qui ne purent que l’électriser d’autant plus tandis qu’il le sentait prendre de nouveau de l’huile entre ses doigts, venant les mouvoir sur le haut de son dos avec envie. La douce voix ô sensuelle de son amant ne pu que l’enchanter tant cette dernière se trouvait plaisante. Son murmure susurré au creux de son oreille, ce dernier l’informait que l’image d’être sa marionnette lui plaisait énormément, lui donnant qu’une seule envie : celle de réaliser ses fantasmes et les siens. Après tout, il serait bien dommage de ne pas les réaliser alors qu’ils avaient devant eux une telle occasion de les concrétiser. Des mots qui ne purent que l’enflammer d’autant plus alors qu’il sentait les lèvres de son amour se choir au creux de sa nuque, la suçotant avec délice, sentant le buste de son amant frôler ses courbes.

En simple dominé, Yano appréciait cela, souriant dans de légers soupirs tout le bien être que son amant provoqué en sa chaire, le rendant plus impatient de ressentir d’autant plus de bien être, voir jusqu’où ce dernier pourrait aller. Il le sentit donc l’abandonner à son plus grand déplaisir pour venir se positionner sur ses fesses. Ce contact ne pu que le faire sourire d’autant plus de pouvoir sentir les formes de son ange tout contre son fessier, tandis qu’il poursuivait ses caresses sur son dos, ses bras, ses reins, ses fesses. Tant de délicieux contacts qui ne pouvaient qu’accroitre son bien être qu’il ne manquait nullement d’exprimer par de désirables soupirs qui semblaient éveiller les sens de son amant qui poursuivaient ses dernières. Il vint alors se détacher de lui pour laisser ses phalanges se mouvoir sur ses mollets, ses cuisses que ses lèvres venaient embrasser. Ces simples baisers vinrent le faire délicatement gémir tant leurs contacts se trouvaient dévorants et envoutant. Il commençait délicatement à avoir chaud tant ces derniers se multipliaient, venant se mouvoir tout contre la limite de son boxer de bain. il mentirait s’il n’avouait pas qu’il désirait en recevoir d’autant plus et sur une partie bien moins habituelle pour en recevoir mais n’était-ce pas la vocation également de son amant de vouloir faire dire afin d’avoir son consentement ? Si bien évidement. Yano connaissait son amant par cœur et cette demande, ces paroles lui intimait de les dire. Des mots qu’il était enclin à lui offrir quand bien même n’eut-il point l’occasion de le faire immédiatement, le voyant quitter ses fesses pour caresser sa chute de rein, son dos, sentant son corps se mouvoir contre le sien. Un fait qui ne pouvait que l’exalter alors qu’il souriait enchanté en prononçant son prénom. Ses baisers contre sa nuque, tout comme ses caresses et ses paroles ne pouvait accroitre que son effusion tant ce dernier lui demandait s’il le comblait suffisamment ou s’il devait se perfectionner encore. Une remarque qui ne pu que le faire rire doucement, gémissant de sentir ses lèvres se mouvoir sur son dos, l’arrête de sa colonne vertébrale pour se choir au bas de ses reins, tout contre son boxer de bain. Une limite qu’il ne semblait point dépasser, ce qui rendait la situation d’autant plus plaisante tandis qu’il susurrait enfin dans un profond soupir d’aise.

« Tu es parfait comme toujours, mon amour… Que pourrais-je escompté de plus que d’être ainsi cajoler par tes doigts si experts, si désireux de me découvrir. Mais puisque tu es déterminé à réaliser mon fantasme, celui que je t’ai susurré au creux de l’oreille un soir… que dirais-tu de le poursuivre en devenant le vil pervers ô désirable que j’aime tant te voir devenir… Après tout, ne suis-je pas ta marionnette ? Fais ce que tu veux de mon corps… Il t’est tout acquis aujourd’hui et s’offre à te disposition. »

Des paroles ô coquines et sensuelles, tandis qu’il soupirait de nouveau avec émoi, susurrant son prénom comme pour l’inviter à poursuivre, arrêter ce jeu malsain dont il semblait vouloir être le dominant mais en n’en ayant que le titre. Ki Suk mourrait d’envie de lui retirer ce boxer, voir son bas ventre s’offrir et s’affermir sous ses yeux. Après tout, son fantasme initial n’était-il pas de le faire jouir rien qu’avec ses lèvres avant de s’unir à lui ? Même s’il s’agissait de son fantasme à lui, il ne serait nullement étonnant que son amour ressente le désir de le vivre également, en étant cette fois ci le dominant.

Réaliser le fantasme de son amant, Ki Suk ne souhaitait que cela en ce jour bien que la situation se retrouvait alors inversée. Le fantasme initial de Yano était quelque peu différent de celui qu’il vivait actuellement, leurs positions s’inversant presque mais à l’écoute de ces gémissements, il ne semblait nullement s’en plaindre. Après avoir passé tant d’heures sans avoir pu réellement goûter au plaisir de la chair, le jeune homme ne pouvait qu’être ravi d’enfin pouvoir goûter et dévorer son amant de ces lèvres et de ces doigts.  Sans doute que la situation aurait pu être différente, moins passionnée, moins forte s’ils avaient pu profiter du corps de l’un et de l’autre lors de ce séjour dans la demeure familiale des Yoon. Un fait qui ne les rendait que plus fébrile en cet instant bien qu’il savait que le corps de Yano aurait tout autant apprécié ce châtiment, même s’ils avaient pu goûter à ce plaisir quelques heures auparavant. Yano était un être tout aussi cupide lorsqu’il s’agissait de son corps, comme il l’était avec ce corps qui n’avait pu que le rendre fébrile. Combien de fois n’avait-il pas souhaité prolongé  le contact de leur chair lorsqu’il se trouvait dans sa chambre ? Pour Ki Suk qui n’avait jamais eu une quelconque retenue lorsqu’ils partageaient le même lit dans leur appartement, cette semaine avait été résolument difficile. A présent qu’il avait enfin l’occasion de pouvoir profiter d’un moment d’intimité, le jeune homme comptait bien évidement profiter de ces instants pour enfin goûter à ce plaisir de la chair, souhaitant dévorer cette homme, cette chute de rein qu’il trouvait absolument parfaite depuis le point de vue qu’il disposait.

Suivant ces instincts d’amant, le jeune homme ne cessait de caresser et de dévorer cette chair, la malaxant avec délice. L’huile aphrodisiaque ne le laissait nullement de marbre, sentant son propre corps se réchauffait progressivement à chacune de ces caresses sur son corps. Il lui était bien difficile de résister à ce corps allongé sur cette serviette, l’emmenant à avoir des pensées ô combien lubriques. Il ne pouvait qu’être ainsi alors qu’il dévorait de baisers cette chute de rein tout près de ce boxer de bain qui moulait si bien ces fesses particulièrement attirantes de son amant. Ces mots avaient été volontairement taquins, souhaitant tant entendre des mots appréciateurs de son amant et la demande d’enfin enlever ce bout de tissu qui lui paraissait être de trop.  Embrasser ces fesses lui semblait être une agréable activité en cet instant.  Les mots de Yano ne pouvaient que lui plaire, tout particulièrement alors qu’il lui avouait qu’il était parfait comme toujours, susurrant son doux surnom. Yano ne pouvait nullement escompter plus ainsi cajolé par ces doigts si experts, si désireux de le découvrir. Yano se rendit bien compte alors qu’il avait l’intention de réaliser son fantasme, celui qu’il lui avait murmuré au creux de l’oreille un soir. Lui demandant alors de le poursuivre en devenant ce vil pervers qu’il aimait  tant le voir devenir.  Après tout, il était sa marionnette  et pouvait faire ce qu’il voulait de son corps. Il lui était tout acquis et s’offrait à lui. Des mots qui ne pouvait que le ravir, l’emmenant à désirer enlever ce maudit tissu et rendre fou son amant de ces lèvres et de lui faire atteindre la jouissance.

Souriant aux mots de son amant, il vint alors embrasser ces reins à nouveau jusqu’à atteindre le haut de son boxer de bain. Mordillant sa chair avec amusement et envie, le jeune homme vint enfin descendre doucement, relevant alors un instant le corps de son amant. A chaque centimètre de peau révélé au fur et à mesure de la descente du boxer, le jeune homme embrassait cette chair qu’il aimait tant. Les fesses musclées du jeune homme ne pouvaient que l’attiser.  Ces mains n’étaient nullement inactives à présent que son boxer de bain était enlevé de ces fesses, celles-ci venaient caresser avec une envie certaine celles-ci, les malaxant alors qu’il continuait de les embrasser. Venant sourire, il vint stopper ces baisers, ces caresses, se relevant un instant sur ces mains pour murmurer d’une voix ô charmée et tentatrice : « Mmmm… t’ais-je déjà dis que tu avais un très beau fessier mon amour ?  »  Souriant en vil pervers qu’il l’était, il vint mordiller la nuque de son amant, laissant l’une de ces mains caresser ces fesses avec envie.  

Surplombant son amant ainsi, celui-ci vint murmurer alors d’une voix suave : « Mmmm… que dirais-tu de te retourner pour que je réalise ton fantasme mon doux amant ? »   Souriant à ces mots, il n’eut à attendre que peu de temps pour voir son amant se retourner et lui offrir une vision ô enchanteresse, celle de ce corps nu, son aine en forme bien qu’encore moindre. Il vint alors s’allonger sur le corps de son amant, faisant rencontrer leurs intimités bien que la sienne se trouvait encore infortunée par son sous-vêtement. Néanmoins, avant de penser à lui, il devait penser à ce doux fantasme et son amant, celui qui deviendrait fou grâce à ces lèvres.

Plaçant ces mains à présent autour du visage de Yano,  il embrassa ces lèvres tentatrices dans un baiser volontairement langoureux et frustrant, s’éloignant déjà de celles-ci.  Avec amusement, le jeune homme vint embrasser sa nuque, la mordillant avec une envie certaine, laissant ces lèvres se choir progressivement vers ces pectoraux dans de multiples baisers, jouant avec ces bouts de chairs quelques instants. Ces mains, loin d’être inactives, venaient caresser ces reins avec passion, frôlant à nouveau ces fesses musclées jusqu’à atteindre ces cuisses. Souriant dans ces baisers, évitant volontairement l’aine de son amant, il vint attiser encore pendant de nombreuses secondes ces bouts de chairs avant de s’attaquer à ces abdominaux.  Il resta de nombreuses secondes ainsi, embrasser ces muscles dessinés, caressant ces cuisses avec plus d’envie, frôlant son aine un instant. Les gémissements de son amant ne pouvaient que le rendre heureux, attisant son désir pour lui, se sentant résolument à l’étroit dans son maillot de bain.  Cessant son manège, Ki Suk vint susurrer le nom de son amant alors qu’il embrassait la base de son aine, ces mains caressant ces fesses. Il s’amusa alors simplement à venir embrasser à nouveau son aine, remontant progressivement sur cette colonne de chair qui prenait de plus en forme au creux de ces lèvres. Stoppant un instant ces baisers il vint alors murmurer : « Tu es véritablement l’homme le plus séduisant de cette planète mon amant… »

En le voyant agir de la sorte, il était bien sûr évident que Yano avait compris où son amant souhaitait en venir au travers de ses actes. Cela faisait bien quelques mois qu’il lui avait susurré au creux de son oreille, un de ses fantasmes afin de répondre à l’une de ses questions. Une scène dont il avait rêvé de nombreuses fois dans des fantasmes qu’il n’avait jamais avoué jusqu’à ce soir là où son ange lui avait murmuré au travers d’un jeu coquin, s’il possédait un fantasme qu’il n’avait pas encore réalisé à ce jour avec lui. Il lui avait donc fait part de ce dernier dans une voix sensuelle, remarquant aisément que cette idée rendait fébrile et désireux son amant, dont les prunelles s’étaient mises à pétiller, résolument enchanté par la perversité de ce dernier. Cette idée avait eu l’effet voulu et il avait été persuadé que son amour n’hésiterait pas à lui donner l’occasion de profiter de ce rêve secret. Il mentirait bien entendu s’il avouait qu’il avait pensé réaliser ce dernier en cette journée. Il n’avait nullement su être clairvoyant avec les pensées malsaines de son amant lorsqu’il lui avait proposé de se rendre sur la plage. Ce n’était que depuis qu’il l’avait intimé à s’allonger sur cette serviette, qu’il avait cerné les desseins de son amant, qui semblait déterminé à lui faire vivre ce fantasme mais dans des positions inversées. Une idée qu’il ne pouvait nullement refusée tant cette dernière se trouvait toute aussi plaisante que la pensée originelle. Être totalement dévoré, caressé par les phalanges, les lèvres, le corps de son doux époux, n’était-ce pas là, la plus douce des  pénitences ? Si assurément et il comptait bien profiter de cette position de dominé pour admirer son amant sous toute ses formes, cruellement cupide à malmener sa chair, son corps et son cœur.

Il se laissait alors simplement faire sans opposer la moindre résistance, ne cachant même pas ses soupirs d’aise, désireux de faire partager son plaisir. Il savait ô combien ces derniers pouvaient rendre aliéné, cupide, son amant qui y trouvait dans ces derniers, une véritable source d’effusion. Un fait qu’il ne pouvait nullement réfuter,  le souffle chaud de ce dernier frôlant sa chair, ses phalanges, ses lèvres plus désireuses de le dévorer que jamais. Il le sentait mourir de désir de lui retirer son boxer de bain, afin d’admirer son corps découvert de tout vêtement, montrant sans aucune gêne le plaisir qu’il lui offrait au travers de ses gestes. Des pensées malsaines, perverses même mais qui aurait su totalement l’envouter si leur position était inversée. Il n’avait pu alors qu’attiser son désir au travers de ses paroles, ces dernières se trouvant cupides et érotiques comme pour s’assurer de le rendre fou, tout autant qu’il le faisait avec sa chair. Des mots qui semblèrent ravir son amant qu’il sentait sourire contre la chute de ses reins, qui vint embrasser cette dernière de nouveau jusqu’à descendre à la bordure de son boxer, mordillant sa chair avec amusement et désir. Un acte qui ne pu que l’électriser, son excitation se formant délicatement au creux de ce vêtement, qui semblait résolument de trop, cette frustration s’exprimant par un léger soupir, sentant déjà les mains expertes de son amant relever ses reins pour lui soutirer ce sous-vêtement encombrant. Une action qu’il fit trainer dans le seul but d’accroitre sa fébrilité, sentant ses phalanges descendre très délicatement  le tissu, ses lèvres embrassant, dévorant de leur chair toute parcelle de son fessier. Des baisers brulants et ô envoutants, qui ne faisaient qu’approfondir ses soupirs, se retrouvant enfin nu, ses reins s’offrant à la vue ô lubrique de son amant. Un amant qui n’avait de cesse de les dévorer de ses lèvres, ses caresses, déterminé à le rendre fou avant de stopper tout châtiment de sa part, l’amenant à gémir doucement d’insatisfaction. Une plainte brève puisqu’il sentait de nouveau le souffle brulant de son amant lui murmurer au creux de l’oreille s’il lui avait déjà dis qu’il avait un très beau fessier. Une question qui le fit délicatement sourire alors qu’il fermait ses paupières savourant pleinement sa morsure comme ses caresses, murmurant dans une voix ô suave.

« Oh oui, tu n’arrêtes pas de céder à tes pulsions perverses dès que tu les vois… ce qui m’enchante d’ailleurs très grandement…t’es tellement érotique lorsque tu as envie de moi. »

C’est ainsi que son amant vint lui demander de se retourner pour réaliser son fantasme. Une requête à laquelle il vint se plier, voyant le magnifique corps de son amant s’offrir sous ses yeux, tout aussi désireux que le sien. Un fait qui ne pouvait que le ravir même s’il ne fit aucun geste pour approfondir cette appétence qui grondait en ses reins. Après tout, n’était-il pas supposé atteindre l’orgasme rien qu’au travers de ses baisers, ses caresses et lui de désir de lui faire passionnément l’amour ? Ce fantasme se trouvait résolument pervers mais incroyablement attrayant tout autant l’un que pour l’autre. C’est donc dans un sourire exulté qu’il eu le plaisir de sentir son corps se superposer au sien, sa chair rencontrant la sienne dans des mouvements qui le firent délicatement soupirer de bien être. Le sourire ne quittant pas un instant ses lèvres, il se laissa embrasser de façon volontairement langoureux et frustrant, sentant déjà ses dernières l’abandonner violement. Un baiser qui le laissa sur sa faim tant il aurait souhaité en profiter plus pleinement de ses bienfaits, quand bien même la suite ne pouvait que combler ses espérances. Ce dernier vint alors embrasser sa nuque, la mordillant avec une envie certaine tandis que ses lèvres poursuivaient leurs descentes sur sa clavicule, ses pectoraux, ses bouts de chairs. Autant de baisers exaltés ses sens alors que ses cupides mains caressaient, ses reins, ses fesses, le haut de ses cuisses pour doubler cette exaltation, avide de le rendre fou. Ce qu’il parvenait résolument à faire, sa langue cupide venant humidifier ses lèvres tandis que sa comparses, n’avait de cesse de taquiner ses boutons de chairs. Le souffle court, ce dernier se trouvait peu à peu brulant, gorgé de ce désir qui grandissait au creux de ses reins, les lèvres de ce dernier quittant son buste pour descendre à ses pectoraux, caressant ses cuisses avec plus de détermination, frôlant son aine. Un feu ardent qui prenait place au creux de ses reins, soupirant fortement lorsqu’il sentit enfin ses tortionnaires se poser à la base de son intimité, l’embrassant. Ce simple acte vint délicatement réveiller la victime de cette attaque, bien trop heureuse d’être ainsi désirée, se gonflant de joie à chaque baiser dont elle était la proie. Un bien être qui s’exprimait de façon franche au travers de ses plaintes qui n’avaient de cesse de l’intimer de poursuivre. Ses paroles ne purent que le faire sourire d’autant plus alors qu’il ouvrait ses paupières pour le regarder, s’appuyant sur ses coudes pour adopter une position semi-assise, l’admirant dans cette position qui ne pu qu’accroitre son appétence. Il le trouvait magnifique ainsi lotit contre son intimité qu’il était sur le point de dévorer. Une vision qui ne pu qu’accroitre son excitation tandis que sa main venait caresser la joue, la mâchoire de son amant avant de se choir sur sa nuque, mêlant ses phalanges aux cheveux de ce dernier. C’est ainsi qu’il eut le plaisir malsain de sentir ses lèvres embrasser l’extrémité de son aine, désireux de l’entendre gémir alors qu’il la relâchait de nouveau, résolument taquin. Un geste qui ne pu que le faire gémir profondément, se mordant les lèvres tant il le trouvait pervers et ô désirable ainsi. Il laissa échapper son prénom de sa bouche, venant renforcer son étreinte autour de ses cheveux tandis qu’il le sentait de nouveau taquiner son aine, approfondissant de nouveau son baiser, le relâchant aussitôt. Désireux de l’entendre gémir, ce dernier vint réitérer son geste, le prenant plus fermement entre ses lèvres pour l’abandonner de nouveau. Une frustration qui l’excitait grandement tandis qu’il souriait résolument pervers et enchanté de le voir agir si cupidement avec lui, murmurant simplement.

« Continue mon amour… C’est résolument exquis… Tes lèvres me rendent fou… continue autant que tu le souhaites… Je suis résolument prêt à subir cette pénitence autant que tu le voudras, c’est parfait… »

Des paroles ô cupides qu’il vint finir dans un gémissement profond alors qu’il sentait enfin les lèvres merveilleuses de son amant dévorer son aine dans un mouvement ô langoureux, qui le fit délicatement bomber du torse, son corps savourant ce courant électrique qui le parcourait. Ainsi dominé, il savourait ce bien être cupide que son époux lui offrait, si désireux de fondre sous ses doigts, le rendre cruellement envieux de le rendre fou tant il aimait se trouver à sa merci.

Résolument pervers, le jeune homme l’était lorsqu’il se trouvait en compagnie de son amant. Le jeune homme ne se laissait ô grand jamais reprendre ou guider par sa conscience lorsqu’il était avec son amant et surtout lorsqu’il s’apprêtait à goûter à nouveau au plaisir de la chair. Seule la luxure importait en ces instants, bien plus que n’importe quel autre élément. Le contraire aurait bien était étonnant alors qu’il avait cette vision ô enchanteresse du corps nu de son amant sous ces yeux.  Pervers comme il l’était, il ne pouvait que se plaire et venir goûter de ces lèvres et de ces doigts cet amant qui attendait désormais de pouvoir voir l’un de ces fantasmes se réaliser. En digne époux,  il s’était donné la mission de réaliser chacun des fantasmes de son amant, bien heureux lui aussi de pouvoir céder à ces pulsions et à ce corps qui lui donnait tant envie à chaque instant. Ainsi, il n’avait pas pu s’empêcher de prononcer  des mots quelques peu coquins à son amant, dans l’unique souhait d’attiser le désir de son amant.  Même s’il avait fait rire son époux lorsqu’il lui avait demandé s’il avait déjà complimenté ces fesses, il ne pouvait qu’être ravi de sa réponse, des mots criant de vérité dans lesquels il lui indiquait qu’il ne cessait pas de céder à ces pulsions perverses lorsqu’il les voyait, un fait qui ne pouvait que lui plaire, tellement il se trouvait érotique lorsqu’il avait envie de lui. Des mots qui ne pouvaient que le faire sourire lui aussi alors qu’il s’apprêtait à réaliser véritablement son fantasme. Ces lèvres étaient venues s’échouer sur ces lèvres, sur son torse, ces boutons de chair, ses abdominaux et enfin atteindre cette aine qui ne demandait qu’à recevoir tant d’amour de sa part.

Bien entendu, le jeune homme s’amusait certainement à rendre fou son amant en venant embrasser son aine de manière discontinu, se plaisant d’entendre les gémissements de bien-être de son amant, comme chacun de ces râles qui ne cessait de lui avouer qu’il désirait plus de contact entre leurs corps. Chacun de ces râles avait le don de réveiller en lui son excitation, venant le troubler alors qu’il s’appliquait à embrasser  l’aine de son amant.  Ki Suk ne put que se mordre les lèvres, relevant alors ces yeux sur son amant, il eut un certain ravissement de voir son amant se mettre en position semi-assise, prêt à recevoir toute son affection. Un fait qui le fit sourire, regardant son amant de manière particulièrement coquine alors qu’il sentait ces phalanges venir caresser la joue,  sa mâchoire et enfin atteindre sa nuque, mêlant ces doigts à ces cheveux, comme pour l’inciter à enfin embrasser cette aine.  Un fait qui avait sourire Ki Suk, l’emmenant à prendre enfin entre ces lèvres l’extrémité de son aine la relâchant au bout de quelques instants de manière ô combien taquine. Entendre son nom sortir de la bouche de son amant était résolument exaltant pour sa personne, ne l’incitant qu’à continuer son petit amusement, tant appréciateur de son traitement. Il ne souhaitait qu’au final qu’à le rendre fou, totalement accro à ces lèvres et à son corps qui l’emmenait à ressentir tant de sensations agréable. Le jeune homme accueillit avec délice les mots de son amant qui lui murmurait de continuer son traitement, celui-ci se trouvant résolument exquis. Ces lèvres le rendaient fou, lui intimant de continuer autant qu’il le souhaitait. Il était résolument prêt à subir à cette pénitence autant qu’il le voudrait.

Des mots qui avaient eu le mérite d’exalter Ki Suk, l’emmenant résolument à  se sentir particulièrement étroit dans ce short de bain. Néanmoins, il n’avait pas à s’occuper de lui en ce jour, il se devait seulement de s’occuper de son époux, l’emmener au paradis de la luxure.  Ainsi, souriant il vint enfin prendre véritablement entre ces lèvres cette aine dans un mouvement lent et ô combien langoureux.  Ces doigts pour leur part ne restaient nullement sans agir, ceux-ci venant s’égarer sur les cuisses plaisantes et musclés de son amant, les caressant, les malaxant avec intérêt. Cependant, ces phalanges vinrent progressivement se rapprocher des fesses de son amant, laissant ces doigts les caresser, les malaxant avec délice.  Ces doigts venaient au même moment se glisser entre celles-ci frôlant avec taquinerie son intimité, au même moment que ces lèvres venaient prendre avec plus de ferveur son aine. A chaque seconde qui s’écoulait, l’entrejambe de son amant prenait plus de vigueur, celui-ci gémissant à chaque instant l’emmenant à ressentir des sensations ô agréables. Il n’y avait sans aucun doute rien de plus merveilleux pour un homme que de voir son amant, son époux gémir son nom et apprécier son traitement de manière si agréable. Le jeune homme comptait résolument atteindre le fantasme de son amant en ce jour, le voir atteindre l’extase avec seulement ces lèvres et ces doigts. Un moment qui se rapprochait pour son amant qui ne cessait de geindre son bien-être.

Alors comme pour le taquiner, comme pour l’emmener à atteindre ce bien-être plus rapidement ou plus intensément, le jeune homme sourit alors qu’il abandonnait son aine quelques instants. Il murmura d’une voix résolument suave, si près de cette aine : « Mon seul souhait en cet instant est de réaliser ton fantasme mon amant… et je vais faire de mon mieux pour que tu l’atteignes… n’est-ce pas le rôle d’un époux ? » Terminant ces mots dans un doux sourire, le jeune homme vint reprendre entre ces lèvres l’intimité de son amant, prodiguant de langoureux va-et-vient. Résolument coquin et pervers, le jeune homme vint glisser ses phalanges à nouveau autour de son intimité, laissant un de ces doigts pénétrer cette zone ô combien sensible de son amant. S’il devait permettre à son amant d’atteindre la luxure, il le ferait de la meilleure manière qu’il soit, il le souhaitait en tout cas. Laissant ces doigts découvrir cette zone à nouveau dans l’unique but de trouver cette zone ô combien fébrile qui le rendait fou à chaque fois que son corps la touchait.   Le bulsajo vint alors continuer s’embrasser cette colonne de chair avec plus de vigueur, plus d’envie, ne souhaitant qu’entendre les gémissements de son amant, sentir son corps frissonner entre ces lèvres, entre ces doigts.  Ainsi progressivement le jeune homme vint laisser un deuxième doigt pénétrer son amant, lui laissant alors le temps de s’habituer à ces doigts avant d’explorer cette zone. Ces baisers se faisaient alors plus intenses alors qu’il laissait l’une de ces mains venir accompagner ces lèvres, effectuant de doux va-et-vient sur son aine dans de langoureux mouvements.

Il ne sut exactement combien de temps il resta ainsi mais, un instant il toucha enfin cette prostate de ces doigts, souriant alors qu’il entendait son amant gémir subitement. Souriant, celui-ci vint alors continuer de toucher cette zone, laissant ces lèvres embrasser cette aine, si heureux et fièr de la sentir devenir de plus en plus ferme. Il n’avait rien qui pouvait le rendre plus heureux que de voir son amant ainsi, si dépendant de ces caresses, de ces baisers et de l’entendre gémir son nom.

Le souffle court, le cœur au bord des lèvres, le jeune homme profitait pleinement du bien être vital que lui offrait son amant. Après une semaine d’abstinence, il ne pouvait nier que cet intermède coquin entre eux lui plaisait résolument, d’autant plus que son époux se trouvait déterminer à réaliser un de ses plus doux fantasmes. Quand bien même n’était-il pas la victime originelle de ce fantasme, il ne pouvait qu’apprécier l’idée coquine qui avait envahi l’esprit pervers de son amant, de faire de lui son captif. Il profitait donc pleinement de cette position de dominé que l’obligeait à subir son amant, sentant son corps appréciait la pénitence de ses actions. Être ainsi dévoré par les phalanges et lèvres si cupides de son amant était résolument érotique et exaltant au plus haut point. Son aine tendue tout contre les lèvres de son amant, ces dernières n’avaient de cesse de la taquiner avec ambition, accroissant sa fébrilité secondes après secondes. Il l’excitait profondément, à tel point qu’il n’avait pu qu’adopter une nouvelle position pour profiter du spectacle que son amant lui offrait, dévorant du regard cet être merveilleux qui le rendait tout simplement fou. Ses doigts venant caresser sa mâchoire pour se mouvoir contre sa nuque, il n’avait pu retenir ce geste de sa part qui n’avait que pour seul objectif de l’intimer à poursuivre. Ses phalanges se mêlant aux cheveux de son ange, il venait délicatement les attraper lorsqu’il se trouvait trop taquin avec son intimité, ses lèvres murmurant son prénom. Il savait ô combien ces gestes rendait fou son amant à chaque seconde, le rendant plus pervers que jamais. Ses paroles n’avaient eu que pour seule ambition de satisfaire les aspirations lubriques de son amant pour qu’il poursuive son traitement en l’intensifiant.

Des mots qui eurent l’effet souhaité, sentant enfin ses tortionnaires dévorer son aine entièrement dans un mouvement ô lent et langoureux, qui le fit gémir profondément. C’était si délicieux, si exceptionnelle cette expérience qu’il lui offrait que son abstinence n’avait de cesse de devenir faible face à tant de luxure. Mais n’était-ce pas l’ambition première de son amant ? Cela semblait être le cas. Il se laissait donc malmener langoureusement par ses tortionnaires, sentant son corps approuver la moindre de ses attentions tant il n’aspirait qu’à une chose : connaitre ce bien être envoutant qu’il ne pouvait vivre qu’à ses côtés. C’est donc dans un soupir de plaisir qu’il sentit les phalanges de son amant de fendre sur ses fesses, les caressant avec ambition et désir, frôler une partie de son anatomie qu’elle ne connaissait que trop bien. Sans même dire le moindre mot, il avait pleinement conscience des prochains gestes de son amant qui venait dévorer son aine avec plus de ferveur. Un contact incongru mais nullement désagréable qu’il vint accueillir dans un léger soupir satisfait, susurrant son prénom alors que ce dernier vint abandonner un instant son aine pour murmurer des mots ô coquin. C’est ainsi qu’il sentit ses reins se mouvoir malgré lui au creux de ses lèvres si merveilleuses, qui vinrent dévorer son aine langoureusement, tandis qu’une des phalanges de son amant s’immiscer en lui. A ce merveilleux contact, il sentit sa gorge émettre un gémissement rauque, se mordant les lèvres tant le plaisir était intense. Tel un amant conquis, il se laissa pleinement aller à ce bien être, se léchant délicatement les lèvres du bout de sa langue pour atténuer l’extase que son corps vivait. Les attentions de son amant n’avait de cesse d’accroitre cette fébrilité, la multipliant dès lors qu’il ajoutait une de ses phalanges dans ses reins pour venir taquiner une partie ô sensible de son anatomie, qu’il ne manqua nullement de trouver à l’instant où ses baisers sur son aine se faisaient plus intense. Ses lèvres n’exprimaient plus que le plaisir malsain et profond que son corps ressentait sous ses cajoleries, sentant ce dernier s’accentuer dès lors qu’il sentit une des mains de son amant se choir sur son membre pour accompagner ses lèvres. Sa voix se fit donc rauque alors que ses phalanges griffaient délicatement la nuque de son amant à l’instant même où les doigts taquins de son amant vinrent frôler sa prostate.

Un bonheur si intense qu’il se sentit grogner de bien être, sentant son amant si heureux et fier d’être en mesure de le rendre si excité, si dépendant de ses actions qu’il ne vint nullement arrêter, les intensifiant même jusqu’à le rendre fou. Son aine si fermement tendue sembla peu à peu montrer des signes de faiblesse, si enchanté des attentions dont elle était la douche victime. Des caresses si passionnés et langoureuses, que sa bouche n’exprimaient plus que des gémissements rauques et profonds pour l’intimer à poursuivre sa délicieuse torture. Ses doigts plongés dans sa chevelure, il la caressait avec passion, sentant son torse se bomber, se mordant fortement les lèvres dès lorsque qu’il le caressait trop farouchement. Le souffle court, les yeux embrumés par le plaisir, c’est dans un râle ô profond qu’il vint atteindre le paradis terrestre au creux de ses lèvres, murmurant son prénom. Un bien être si intense, qu’il en eut le souffle coupé, sentant son aine s’épanouir pleinement au sein de ses tortionnaires qui vinrent la libérer pour la laisser pleinement profiter de cet extase, ses doigts poursuivant leurs caresses.

C’est ainsi aveuglé par son plaisir, qu’il sentit son ange venir de nouveau à ses lèvres pour les embrasser avec fougue, ses doigts venant se choir sur sa nuque pour approfondir ce baiser avec appétit. Sans doute se sentit-il cruellement excité et glorieux d’avoir pu lui faire atteindre l’orgasme que par ses lèvres. Une félicité qu’il ne pouvait que comprendre, ayant toujours eu pour ambition de la connaitre également. Il se laissa donc embrasser avec plaisir, souriant au travers de ce baiser au gout particulier, sa main libre venant directement se diriger vers le bas-ventre de son amant pour savourer sa forme. Il fut plus que ravi de la sentir si ferme, venant la caresser au travers de son sous-vêtement, résolument demandeuse d’attention. Des attentions qu’il vint immédiatement lui offrir en glissant ses phalanges sous le tissu de son boxer de bain, venant la caresser délicatement avant de venir la taquiner. Son amant se trouvait si émoustillé qu’il le sentit grogner délicatement sous ses lèvres, ce qui ne pouvait qu’accroitre son plaisir de le trouver si excité. C’est donc dans une toute petite voix qu’il se sentit se décaler de ses lèvres, murmurant faiblement dans un ton ô coquin et court.

« Tu me sembles terriblement désireux dans ce boxer de bain si moulant, ton corps demandant à son tour tant d’attention de ma part après m’avoir tant choyé, je me trompes ? »

A ses mots, il vint délicatement mordre ses lèvres des siennes dans un regard coquin, venant caresser tendrement son aine alors qu’il le sentait frissonner, cupide et impatient d’être touché à son tour. Un état de fait qui ne pu que le faire sourire d’autant plus alors qu’il venait embrasser sa mâchoire avec cupidité, sentant sa propre aine reprendre un peu de vigueur malgré l’extase qui n’avait toujours pas quitté son être. Il se sentit de nouveau gémir sous les caresses de son amant alors qu’il venait le cajoler à son tour de façon plus possessive, déterminé à le faire atteindre l’orgasme, venant au creux de son oreille pour lui murmurer des petits mots pervers afin de le rendre fou par ses doigts et sa voix, qui ô rauque était encore empreint de l’extase qu’il avait connu grâce à lui.

Il n’y avait rien de plus merveilleux pour le jeune homme que de pouvoir réaliser l’un des fantasmes de son amant. En digne époux, il s’appliquait véritablement pour que son aimé puisse goûter aux prémices du plaisir avec uniquement ces lèvres et ces doigts. Connaissant par cœur le corps de son amant, chacun de ces points faibles, il savait exactement comment faire fondre son amant et lui permettre d’atteindre ce paradis terrestre. Ainsi, il ne lui avait fallu que peu de temps avant de réussir à toucher directement  cette zone ô sensible du corps de son amant qui aimait tant être cajolé par son époux. Ces lèvres n’étaient nullement resté inactivités, embrassant avec ferveur cette aine qui ne cessait de montrer des signes de faiblesse en devenant si ferme au creux de ces lèvres. Chacun des gémissements de son amant ne cessait d’accroitre son désir pour sa personne. Ecoutant alors chaque demande de son amant, il le rendit plus fébrile à chaque seconde, caressant cette chair ô délicieuse qui n’avait jamais réussi à le rendre insensible d’une quelconque manière. Il le sentait progressivement se rapprocher de cette extase, sentant ces mains tirer sur sa chevelure un peu plus intensément.  Ce fut donc avec un plaisir certain qu’il le sentit enfin défaillir, prononçant son nom de manière presque magique, le sentant ressentir ce bien-être si profond.  Le jeune homme ressentit avec extase son frémissement et reçut dans sa bouche ce délicieux trésor, l’avalant sans rechigner aussi étrange pouvait-être sa texture. Le jeune homme ne pouvait que sourire simplement alors qu’il détachait ces doigts de ce corps, savourant le fait d’avoir une vue ô agréable et ô combien enchanteresse de son amant.

Délaissant alors le bas du corps de son amant, celui-ci vint remonter ces lèvres sur ces compères, venant les embrasser après tant de temps loin l’unes de l’autre. Ki Suk ne pouvait qu’apprécier ce contact, soupirant de bien-être, posant ces doigts sur sa nuque en cherchant à approfondir leur baiser. Faible face à son amant, il ne put que laisser échapper un doux soupir sentant  sa main venir s’égarer sur son torse, ces abdominaux et enfin caresser son aine au travers de son boxer de bain. Ces caresses étaient résolument envoutantes pour le jeune homme qui n’avait pas encore l’occasion de s’occuper de cette partie de son corps ô combien attisé par chacun des gémissements de son amant. Son amant bien conscient de l’état dans lequel il se trouvait, ne résista nullement guère longtemps avant de laisser ces doigts glisser sous le tissu de son boxer, caressant délicatement son aine avant de la taquiner. Un contact ô combien plaisant qui le fit grogner simplement tant le bien-être qu’il ressentait était fort entre ces doigts.  Le regard ô combien coquin que lui lançait son amant ne pouvait résolument pas le laisser de marbre, tout comme ces mots dans lesquels il lui avouait qu’il semblait résolument désireux dans ce boxer de bain si moulant, son corps demandant à son tour tant d’attention de sa part après l’avoir tant choyé ces dernières minutes. Des mots ô combien véridique qui ne cessait de décrire la vérité sur son état actuel.

Le regard taquin de son amant ne put alors qu’accentuer son intéressement, tout comme sa morsure ces lèvres. Le jeune homme vint doucement sourire à son amant, penchant sa tête pour apprécier chaque baiser qui lui offrait, soupirant de bien-être, fermant les yeux en réaction à l’afflux de plaisir qui prenait part de son être. Souriant, Ki Suk continua son traitement, caressant la chair de son amant, ces reins tout particulièrement comme pour attiser son amant. Yano vint très rapidement continuer son traitement, embrassant et murmurant des mots ô combien coquins à son oreille alors que ces mains étaient venus descendre complètement son boxer de bain, caressant à présent son aine ô combien excité par ces dernières minutes. Fermant les yeux, il laissait ces mains griffaient le corps de son amant malgré lui, sentant son aine faiblir à chaque instant tant les sensations qu’il ressentait étaient agréables. Sans s’en rendre compte, il venait soupirer de bien-être le doux nom de son amant, frissonnant à chaque instant un peu plus. Le jeune homme ne pensait plus à rien si ce n’était à ces lèvres, ces mots et ces phalanges qui avaient le don de le rendre fou et particulièrement accro à sa personne.  Yano le connaissait bien trop pour ne pas savoir comment le rendre fou, comme l’emmener à être si faible face à lui. Chaque mouvement de main sur son aine l’électrisait véritablement, l’emmenant à gémir son nom un nombre incroyablement de fois, se mordant les lèvres en raison de ce contact ô combien agréable entre leurs deux corps. Le jeune homme ne sut exactement combien de temps il resta ainsi mais il ne put s’empêcher de venir murmurer d’une voix ô combien exaltés ces mots : « Ah… Yano… c’est si bon… »

Se laissant guider par émotions de son corps, il ne resta nullement guère longtemps ainsi son aine appréciant bien trop son traitement. Ainsi, il ne lui fallut que quelques minutes de plus pour atteindre ce paradis terrestre, gémissant d’extase le nom de son amant en raison de ce plaisir soudain. Le souffle coupé alors par le bien-être qui l’avait possédé, ces yeux embués par le plaisir et l’envie, il vint simplement poser son corps contre celui de son amant, s’échouant sur lui. Ainsi, il ne lui laissa nullement le temps de réagir alors que déjà ces lèvres étaient venues recueillir celles de son amant avec délice, lui transmettant toute la passion qui possédait son corps. Approfondissant ce baiser, il vint attraper les mains de son amant avec les siennes, les plaçant au dessus du visage de son amant. Appréciant le contact entre leurs chairs, il vint stopper ce baiser, éloignant son visage du sien pour murmurer simplement : « Je confirme à nouveau mon amant… tu es résolument l’amant le plus merveilleux de ce monde. Je suis résolument fou de toi, tel un désespéré… je resterai ton époux à tout jamais.   Cela te convient-il ? »  Souriant à ces mots, il vint voler un doux baiser à son amant, l’une de ces mains quittant celle de son amant pour venir caresser les traits du visage de son amant qu’il trouvait résolument parfait. Il ne cessait de lui envoyer un regard ô conquis par sa personne, amoureux et fou de sa personne.  Le jeune homme ne regrettait nullement d’avoir cédé à ces pulsions en ce jour et d’avoir emmené son amant en ces lieux après tant de jours sans avoir pu le dévorer réellement. Souriant, il vint murmurer : « Ai-je réussi ma surprise mon doux amant ? »

Exalté, il ne pouvait que l’être tant son amant s’était trouvé merveilleux envers sa personne. Connaitre ce bien être profond à ses côtés, de cette façon si intime qu’il n’avait jamais connu avec sa personne ne pouvait qu’éveiller et enchanter ses sens. Ki Suk se trouvait tout simplement parfait à ses yeux, un véritable dieu vivant qui lui permettait de vivre pleinement des expériences enrichissantes et envoutantes, laissant pleinement son aspect passionné et pervers prendre vie sans n’avoir à ressentir aucune honte. Ils se complétaient en tout point et la profondeur de leur amour, de leur affection mutuelle ne semblait résolument point s’amoindrir, s’intensifiant jour après jour. Leurs êtres inondaient de passion et de désir pour l’autre, à tel point qu’un manque cuisant et destructeur les tourmentait dès l’instant où il s’éloignait trop longtemps de l’échine de l’autre. Cet intermède passionné et fougueux de leur part n’était que le résultat sadique de cette semaine d’abstinence qui s’était déroulé au cours de ces derniers jours passés au sein du foyer des Yoon. Il est donc évident que leur corps et leurs âmes avaient besoin de se dévorer, se consumer pour fusionner tout simplement l’un avec l’autre.

La réalisation de ce fantasme ô paradisiaque n’était que l’excuse utilisée pour qu’ils soient en mesure de se retrouver. Il comprenait mieux pourquoi son amour avait insisté auprès de son jeune frère pour qu’ils restent ensemble. Il avait été aussi désireux que lui de se ressourcer à ses côtés, atténuer son manque de sa chair pour connaitre une certaine félicité de partager avec lui un instant passionné. Il ne pouvait donc que s’atteler à faire de ce souhait une réalité, ses phalanges ayant retrouvé son fruit défendu pour le malmener avec la même passion qu’il avait pu exercer sur sa chair. Une attention qui semblait résolument plaire à son amant qui résolument fébrile n’avait de cesse d’exprimer son enthousiasme, penchant ouvertement son visage pour sentir ses lèvres dévorer sa nuque, atteindre son oreille. Il était si envoutant de le trouver désireux, son aine si fermement formée sous la pulpe de ses doigts qui n’avaient de cesse de l’explorer, venant délicatement descendre ce boxer de bain ô gênant, l’intimant à adopter à son tour, une position ô enchanteresse. Au travers de ses baisers, de ses attentions et de ses paroles ô taquines, Yano n’avait qu’une seule aspiration : permettre à son époux d’atteindre ce paradis qu’il était le seul en mesure de lui offrir.

Un paradis terrestre qui semblait peu à peu s’approcher à mesure des secondes qui s’écoulaient. Les gémissements qui s’extirpaient des lèvres de son amant ravivait son être qui semblait peu à peu se réchauffer à ses susurres si envoutants. Entendre son amant chuchoter son prénom dans une voix ô désirable ne pouvait que le satisfaire d’autant plus lorsque ce dernier vint lui affirmer qu’il lui faisait cruellement du bien, s’offrant totalement à lui. Il le sentit alors se laisser guider par les émotions, frisons que lui intimaient de vivre sa chair au travers de ses cajoleries qui lui permirent bien rapidement de parvenir à cette extase que sa chair ne désirait que savourait pleinement, gémissant profondément, le souffle coupé par le bien être qui le possédait, ses yeux embués par le plaisir et l’envie. A bout de force, il le sentit se choir contre son corps pour venir l’embrasser passionnément, lui transmettant toute la fougue qui possédait son corps. Un baiser qui ne pu que le faire gémir d’effusion à son tour alors qu’il sentait les mains de son ange capturer les siennes pour les mener au dessus de leurs visages. Les paroles de son amant ne purent que le faire sourire de joie alors qu’il lui confirmait à nouveau qu’il était l’amant le plus merveilleux de ce monde. Il se trouvait résolument fou de lui, tel un désespéré, désirant rester à jamais son époux. Ce dernier vint lui demander si cela lui convenait. Une question qui vint le faire rire doucement alors qu’il se laissait embrasser, caresser par les phalanges de son ange contre qui il murmura simplement.

« Je ne demande que ça. Te rendre fou de mon être, m’assurer de sa fidélité, sa dépendance… tu m’appartiens à tout jamais, tu n’as pas d’autres options à ta disposition… »

Des paroles ô éhontées qui exprimaient pleinement la vérité de leur relation, se laissant délicatement dévorer du regard par son amant alors qu’il venait délicatement glisser ses bras désormais libre sur la chair de son ange, frôlant ses côtes pour se mouvoir sur ses reins, ses fesses qu’il vint délicatement caresser du bout de ses phalanges. Dans un sourire ô enjôleur, c’est avec douceur qu’il vint surplomber à son tour son amant, le faisant rouler sur le bord de la serviette. C’est donc avec douceur qu’il vint se coller à lui pour l’embrasser à son tour, sentant ses phalanges caresser le creux de ses fesses pour descendre à ses cuisses murmurant tout simplement.

« C’était parfait… Je n’y ai vu que du feu… Mon seul regret est bien celui de ne pas avoir pu te rendre fou en caressant et embrassant la moindre parcelle de ton corps mais, c’était merveilleux, à réitérer quand tu le désires. »

Souriant dans un regard ô exalté et coquin, c’est avec douceur qu’il vint l’embrasser, volant ses délicieuses lèvres au creux des siennes pour les découvrir de nouveau avec douceur, murmurant tout contre ses dernières :

« Je suis fou de toi, nul être au monde peut me faire connaitre un tel bonheur, tu es le plus magnifique époux qu’on peut escompter d’avoir et pour rien au monde, je te laisserai à quiconque, je passerai ma vie à te séduire… ce qui ne risque sans doute pas de te déranger, n’est-ce pas, mon amour ? »