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 Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano

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Kisuk Yoon-Wada
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MessageSujet: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeJeu 6 Nov - 18:41


Ne jamais quitter les bras de son amant et rester auprès de lui des heures durant était une parfaite idée. Telles avaient les activités du jeune coréen depuis l’arrivée de son amant à l’appartement la veille. Cela faisait de nombreuses semaines qu’il n’avait pas pu se voir véritablement, Yano étant parti en mission en forêt de Chine. Ki Suk ne demandait pas trop d’informations là-dessus, sachant qu’il risquait de s’inquiéter encore plus ! Bien qu’il faille avouer qu’il s’intéresserait un peu au travail de recherche de son amant qui finirait tout comme lui son année cette année pour enfin être jeune diplômé. Un avenir qui lui semblait particulièrement radieux, réfléchissant déjà à plusieurs possibilités pour être embauché à la fin de l’année universitaire. Néanmoins, Ki Suk ne s’en préoccupait pas en cet instant, il préférait continuer à se coller contre le corps de son amant qui devait dormir à cette heure de la journée. Il ignorait quelle heure il était exactement tant la nuit s’était trouvée occupée par des activités sensuelles et délicieuses pour l’homme qu’il était. Cela n’empêchait pas pour autant de vouloir se coller contre le corps de son amant à cette heure de la journée que l’on pouvait presque déjà considéré commencer alors qu’il pouvait observer les rayons du soleil. Le jeune coréen n’avait pu que laisser échapper un léger râle lorsque son amant s’était extirpé du lit pour aller travailler son travail de recherche, perdant de ce fait le contact de ce corps ô combien agréable contre sa chair.  Yano devait travailler en ce jour son document de fin d’études à son plus grand désespoir. Yano avait sans aucun doute bien moins de temps que lui pour le travailler lorsqu’il était en mission, n’ayant pas nécessairement la possibilité d’étudier tant il se trouvait dans l’action.

A la suite de la perte de ce corps terriblement chaud, Ki Suk s’était laissé emporter par le sommeil pendant plusieurs dizaines de minutes de plus avant de se réveiller véritablement, ou du moins émerger. Il avait pris soin de sentir le parfum de son amant sur le coussin avant de s’étirer et sortir du lit. Autant dire que cela avait pris résolument un certain temps pour qu’il s’habille, enfilant un simple boxer, pris dans l’armoire de son amant, et une chemise où il n’avait pas pris la peine de boutonner tous les boutons. Il était parti alors en direction de leur salon qui faisait office de cuisine ainsi habillé pour venir prendre un peu à manger, son estomac criant famine. Néanmoins, cela ne l’empêcha nullement qu’il vienne profiter de la vue de son amant uniquement vêtu en bas de jogging, lui permettant d’avoir une vue ô combien agréable sur son corps musclé et très attirant. Étrangement, en cet instant il n’avait plus aussi faim de nourriture, mais plutôt de ce corps, souhaitant y déposer ses lèvres.  

Avant de réaliser cela, il comptait bien taquiner son amant qui semblait concentrer sur son travail. Ainsi, il vint se rapprocher de lui et lui offrir un délicat baiser avant de se diriger vers l’une des portes de placard pour y sortir le paquet dans lequel persistaient encore des Hotteok qu’il avait préparés quelques jours auparavant avec Suk Hee. Il se servit de la magie pour faire apparaître devant lui un verre de jus d’orange et vint s’installer à côté de Yano, faisant bien attention de ne pas abîmer ou faire tomber quoique ce soit sur ses parchemins. Il vint sourire à son amant alors, étant légèrement surélevé sur un des sièges, offrant alors à Yano une vue ô combien agréable sur son torse grâce à cette chemise entrouverte. Un fait qui plaisait résolument à Ki Suk alors qu’il ne pouvait s’empêcher de dévorer du regard son amant, son regard observant son torse nu. Prenant entre ses lèvres un hotteok, il sourit et vint murmurer : « Mon Yano… tu as bien avancé depuis que tu m’as lâchement abandonné dans les draps de ce lit terriblement froid sans toi ? Ton travail de recherche avance bien ? » Ki Suk n’osait pas véritablement regarder ce qui était écrit, de peur de voir des noms de créatures magiques qui l’effraieraient à tout jamais. L’idée que Yano parte à la recherche d’un Occamy ou d’une créature aussi dangereuse l’inquiétait quelque peu. En ce qui concerne le lit froid, il exagérait sans aucun doute, mais cela avait dû l’amuser. Ki Suk ne put s’empêcher de venir murmurer : « Mais, je suppose que le fruit de tes recherches doit se porter sur une ou des créatures magiques qui risquent de me faire froid dans le dos ou bien m’évanouir, je me trompe ? » dit-il venant boire une gorgée de jus d’orange.

Le coréen posa son regard sur le visage ô combien attirant de son aimé, ne pouvant s’empêcher de le trouver merveilleusement beau, les lunettes qu’il portait lui convenant parfaitement bien. Il fallait dire qu’en tant qu’en être amoureux, il était bien rare qu’il songe que Yano n’était pas ravissant et même pour une personne totalement objective qui l’observait. Ki Suk vint accompagner ses pensées par des paroles : « C’est terrible Yano… quoique tu portes tu es ravissant… comment veux-tu que je fasse pour ne pas avoir envie de te dévorer ? D’ailleurs… si tu veux tu peux dévorer des Hotteok ou autre chose… je te laisse le libre choix de choisir si tu as envie de quelque chose. » le sous-entendu n’était résolument pas discret, mais ce n’était pas comme si Yano n’était pas au courant que Ki Suk était très pervers lorsqu’il s’agissait de son amant. Il était son mari et cela faisait presque cinq ans qu’ils étaient ensemble, Yano avait largement eu le temps de s’en rendre compte et ne s’en plaignait pas vraiment. L’inverse était aussi vrai et il songeait que peut-être Yano se saisirait de la perche qu’il venait de lui tendre. Il aurait bien été dommage de ne pas profiter de son amant, n’est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeDim 9 Nov - 19:20

Les retrouvailles avec Ki Suk étaient toujours particulièrement intenses. Ils étaient tellement en manque de l’autre qu’ils passaient des heures à s’embrasser, se câliner et faire l’amour. Il n’y avait rien d’étrange à cela tant leurs âmes avaient besoin de celle de l’autre pour se sentir entière. Yano en était persuadé, se sentant parfaitement bien qu’à ses côtés, contre lui. Il n’y avait que contre lui qu’il pouvait laisser, le sommeil l’emportait, si loin, dans des songes particulièrement agréables. La chaleur que dégageait Ki Suk n’avait pas d’égal et rien n’était mieux au monde que la texture de sa peau contre la sienne. Il avait donc passé une partie de la matinée contre lui, se satisfaisant du rythme de la respiration de son amant contre la sienne. Il l’avait baigné de douces caresses, admirant ses traits sous les rayons naissants de cette belle matinée. Il marquait ses traits dans son esprit, comme s’il pouvait les oublier, comme s’ils n’étaient pas profondément ancrés dans son cœur. Pourtant, c’était bel et bien le cas, mais Yano était si sensible à cet homme, cette âme qui le rendait si particulier, à part dans son cœur. Nulle autre personne au monde ne pouvait le remplacer. Il était son âme sœur et pour rien au monde, il n’échangerait sa place avec un autre. De ce fait, il était tout aussi troublé que pouvait l’être son amant. Ses absences répétées commençaient vraiment à se faire lourdes et il mentirait s’il n’avouait pas qu’il avait hâte d’avoir fini le travail sur le terrain. Du moins, en journée, il n’y pensait pas. C’était un véritable plaisir pour lui d’arpenter les sentiers de cette forêt en la survolant sous sa forme animale.  Le soi, c’était une autre histoire. Quand bien même appréciait-il les conversations enrichissantes qu’il pouvait avoir avec son directeur, les nuits se faisaient longues lorsque seuls, il demeurait dans des draps froids, dépourvus de cette chaleur si particulière qu’était celle de son amant.

Après de longues minutes, peut-être même une heure à le contempler, Yano s’était dégagé de ses bras pour retrouver la froideur de leur chambre. Il devait travailler avant qu’il ne se réveille pour pouvoir profiter de lui et de sa présence. Il avait donc pris une douche rapide, enfilant simplement un boxer et un bas de jogging avant de prendre un café et un morceau Hotteok. Une fois son petit déjeuner pris, il s’était installé sur un des canapés du salon en venant ouvrir d’un coup de baguette son dossier dans lequel se trouvaient tous ses documents de recherche. D’un coup de baguette, il fit glisser les documents par catégories pour les avoir à sa portée, tout en venant activer sa plume à papote. Celle-ci prit naturellement vit alors qu’il venait lui dictait ses notes comme il avait la coutume de le faire. Celle-ci ne manquait pas de gratter le parchemin qu’il lui avait remis, noircit celui-ci de sa fine écriture. Cela faisait bien des années qu’il l’utilisait et celle-ci imitait parfaitement son écriture, tant et si bien qu’il l’utilisait souvent pour les dossiers qu’il avait à rendre. Il dictait donc patiemment dans une voix calme et claire tout en lisant les diverses notes qu’il avait déjà prises. Organisé comme toujours, il n’avait pas de mal à trouver les différentes notes liées à ses observations, les commentaires qu’il avait pu faire sur le terrain. Il avait noirci rapidement un parchemin, sa plume venant chercher un nouveau parchemin vierge sans attendre son aide. Il fit cela durant près d’une heure avant que le bruit sourd de la porte de leur chambre lui fasse prendre conscience que son mari s’était éveillé. Celui-ci ne manqua pas de temps pour pointer le bout de son nez. Encore endormies, ses prunelles étaient à peine ouvertes.

Toujours concentré, du moins en apparence sur les notes qu’il lisait, sa plume vint s’échouer à côté du parchemin, par inactivité de sa part. Il le vit donc s’approcher de lui simplement vêtu d’un boxer et d’une chemise ouverte. Ki Suk lui offrait une vision particulièrement attrayante et à la fois mignonne dès le lever. Cela le fit sourire alors qu’il venait répondre à son doux baiser. « Bonjour, mon amour… » Murmura-t-il contre ses lèvres alors qu’il le voyait déjà s’éloigner pour se rendre à la cuisine américaine. Il le regarda s’exécuter, son regard observant particulièrement ce fessier qui ouvrait son appétit. Il sourit à cette pensée, glissant sa main derrière sa nuque alors qu’il tâchait de se replonger dans son travail. Une opération qui fut vaine puisque quelques minutes plus tard, celui-ci vint de nouveau à lui pour s’installer à ses côtés, lui offrant une vue plus qu’appréciable. Il faut dire que Ki Suk se trouvait particulièrement sexy dans cette tenue, ses cuisses mises en valeur par ce boxer moulant, tout comme son torse qui lui donnait cruellement appétit. Il ne se refaisait pas. Ki Suk était un véritable aimant sur sa personne. Il lui demanda dans un murmure s’il avait bien avancé depuis qu’il l’avait lâchement abandonné dans les draps de ce lit froid sans lui. Une remarque qui le fit sourire amoureusement alors que d’un coup de baguette, il venait ranger ses papiers dans son dossier, sa plume à papote retrouvant son étui qui se ferma en quelques secondes. Le coréen supposait que le fruit de ses recherches devait se porter sur une ou des créatures magiques qui risquaient de lui faire froid dans le dos ou bien s’évanouir. Il lui demandait s’il se trompait. Yano vint rire doucement alors qu’il venait le regardait avec douceur, laissant sa main glisser dans sa nuque, s’immisçant dans sa chevelure.

« Je crois qu’en effet il est mieux que tu n’en sache rien, mon amour. Je t’en parlerai un jour, une fois que tout cela sera terminé. » Le ton de sa voix se trouvait tendre alors qu’il venait embrasser sa tempe avec douceur avant de s’éloigner doucement de lui afin de bien ranger son dossier en lui lançant un sort de protection. Il n’avait rien à cacher à Ki Suk, mais il préférait le protéger de la sorte. Après tout, il s’agissait du fruit des recherches de son tuteur et de lui-même et il était évident qu’ils voulaient tous les deux gardé la main mise dessus. Il sourit de nouveau, sentant le regard particulièrement intense de son amant sur son visage. Il était vrai qu’il avait un attrait particulier pour ses lunettes qu’il portait uniquement pour la lecture et les cours. Le futur professeur lui murmura que quoi qu’il porte, il était ravissant. Ce qu’il qualifiait de terrible alors qu’il lui demandait comment il voulait qu’il résiste à l’envie de le dévorer. D’ailleurs s’il voulait dévorer des Hotteoks ou autre chose, il lui laissait le libre choix de choisir s’il avait envie de quelque chose. Le ton de sa voix soulevait pleinement le sous-entendu que cachaient ses paroles. Yano en rit tendrement alors qu’il venait se mordiller la lèvre en le fixant. C’était clairement une invitation et il devait reconnaitre qu’il ne voyait aucun inconvénient à répondre à cette dernière. Dans un sourire doux, mais un regard profond, il s’approcha de son amant, qui continuait de manger son petit déjeuner. « J’ai bien une idée en tête et je crois que celle-ci est partagée, n’est-ce pas ? » Il susurra cela au creux de son oreille, laissant ses dents mordiller son oreille avec tendresse, alors qu’il venait glisser sa main gauche sur la main de son amant pour venait lui prendre son verre, le déposant sur la table basse dans un geste sensuel. Il lui lançait un regard espiègle et coquin alors qu’il venait glisser sa coquine main sur son genou nu, s’immisçant à l’intérieur de ses cuisses pour flatter sa peau. Il souriait contre son oreille, résolument satisfait de sentir sa peau frémir sous son geste alors qu’il remontait sa menotte un peu plus sur sa chair.

« J’ai bien petit déjeuner en me levant, mais je ne serai pas contre un petit encart... Il faut dire qu’il m’est difficile de résister à ma sucrerie préférée. Je suis très gourmand, tu le sais bien… » Il avait susurré cela contre sa mâchoire qu’il embrassait avec sensualité, laissant ses lèvres parsemer sa peau de sa bouche. Sa main continuait son expédition contre sa cuisse jusqu’à retrouver la bordure de son boxer. Ses phalanges taquines venaient approfondir leur poigne sur cette chair, sentant la respiration de son amant se faire plus fort. Il le trouvait particulièrement érotique dans cette tenue et comme il se l’était lui-même avoué, il lui ouvrait l’appétit. C’est pour cela qu’il laissa ses lèvres se poser sur sa pomme d’Adam, son mentor alors qu’il laissait sa menotte glisser contre le tissu de son boxer, épousant la forme de son intimité dans une caresse coquine. « J’avoue que cette sucrerie me tente particulièrement, pas toi, mon amour ? » Il avait susurré cela dans un sourire coquin en venant rejoindre ses lèvres, le regard qu’il lui lançait se trouvait profond alors qu’il venait effectuer une nouvelle caresse. « Tout cela éveille mon appétit, je dois le reconnaitre. » Il mordilla ses lèvres, sa langue caressant celle de son mari avec sensualité avant de venir pénétrer la porte de ses commissures pour rejoindre sa comparse pour l’embrasser avec passion, son autre main en appui près de la hanche de son amant comme pour le retenir prisonnier de sa personne. Il avait envie de lui. Pouvait-il en être autrement ? Il était fou de lui.

TENUE : 01.
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeLun 10 Nov - 10:58

Kisuk n’avait pas la sensation d’être particulièrement pervers aux côtés de son amant, ni trop gourmands. À vrai dire, Yano était le premier à venir le réclamer et l’inverse était vrai alors il n’y avait aucune raison que l’un ou l’autre songe l’être excessivement. Ils étaient jeunes et fougueux, désireux à chaque rencontre du corps de l’un et de l’autre. Les semaines qu’ils passaient loin l’un de l’autre ne faisaient qu’accentuer ce fait, les deux amants se rattrapant en quelque sorte du temps perdu lors de la mission de stage de Yano. Ils étaient avides l’un de l’autre et même s’ils avaient passé la nuit à se couvrir d’amour, cela n’empêchait nullement le jeune homme de vouloir taquiner son amant de bon matin. En s’habillant de la sorte, il n’avait pas nécessairement voulu attirer le regard de son amant, mais il avait réussi à le réaliser à son plus grand plaisir. Se rendant bien comptent que son amant ne cessait de le dévorer des yeux depuis qu’il avait mis les pieds dans leur salon. Une réalité réciproque tant la vision du corps de son amant uniquement vêtu d’un bas de jogging se trouvait magnifique, lui donnant l’envie de déposer ses lèvres sur le torse de son amant, le dévorer de baisers comme il avait pu si bien le faire quelques heures auparavant. Telles étaient ses pensées alors qu’il continuait de déjeuner, attrapant un énième hotteok pour le manger avec douceur, buvant une gorgée de jus d’orange.

Il avait alors observé son amant ranger ses papiers, les différents documents qu’il avait utilisés pour poursuivre son travail de recherche. Il n’avait pas pu s’empêcher alors de supposer que le fruit de ses recherches devait se porter sur une ou des créatures magiques qui risquaient de lui faire froid dans le dos, Yano ne pouvant tout simplement pas s’intéresser à des créatures banales et mignonnes. Cela n’aurait tout simplement pas de sens. Yano avait d’ailleurs ri à cette remarque, l’observant avec douceur alors qu’il laissait sa main dans sa nuque, s’immisçant dans sa chevelure. Ce dernier lui avait alors avoué qu’il pensait effectivement il était mieux qu’il n’en sache rien. Lui promettant qu’il lui en parlerait un jour, une fois qu’il en aurait terminer avec tout cela. Ki Suk ne put qu’acquiescer, sachant qu’il ne s’agissait que d’une question de temps avant qu’ils terminent chacun leurs études. Mais, il savait qu’au fond de lui, Yano risquait s’il devenait véritablement chercheur de s’absenter autant, connaissant ces envies, un fait qui l’ennuyait quelque peu, mais dont il ne pouvait nullement reprocher à son amant de le vouloir. Il aimait Yano et il l’avait aimé ainsi depuis le premier jour, passionné par ces créatures magiques.

Ki Suk n’avait pas pu résister alors à lui faire quelques compliments sur son élégance, le trouvant ravissant lorsqu’il portait des lunettes pour travailler. Il avait alors continué ces propos, venant le taquiner quelque peu, lui proposant de dévorer ce qu’il désirait, un Hotteok ou bien autre chose. Des propos qui firent rire son amant, ce dernier lui offrant une très belle vision, ce dernier se mordillant les lèvres alors qu’il le fixait avec dévotion. Il le vit s’approcher de lui, collant leurs cuisses lui susurrant à l’oreille qu’il avait bien une idée en tête et qu’il pensait qu’elle était partagée. Il n’y avait résolument personne pour le contredire. Ki Suk ne put que venir lui offrir un doux sourire alors que ces dents venaient mordiller son oreille, la main de son amant venant se saisir du verre qu’il avait dans sa main pour le déposer avec délicatesse sur la table basse. Yano lui offrait un regard espiègle et coquin alors qu’il était venu glisser sa main coquine sur son genou nu, s’immisçant à l’intérieur de sa cuisse. Un contact qui le fit frémir doucement tant il était sensible au moindre toucher de son amant en homme amoureux qu’il était. Yano engageait un jeu terriblement tentant entre les deux, venant remontait sa main un peu plus sur sa chair, se rapprochant de son boxer. Son amant lui avouait qu’il avait bien petit déjeuner en se levant, mais il ne serait pas contre un petit encart, il fallait dire qu’il lui était difficile de résister à sa sucrerie préférée. Il était très gourmand, il le savait déjà. Des mots qui ne purent que le faire sourire tant lui-même l’était, il avait passé la nuit à se couvrir d’amour, d’attention et ne semblait toujours pas se lasser de l’un et de l’autre.  

Ki Suk se laissait faire, sans n’omettre aucune résistance à son amant, fermant les yeux alors qu’il sentait les baisers de son aimé sur sa mâchoire et la moindre parcelle de peau de son visage. Yano avait continué sa course jusqu’à atteindre la bordure de son boxer, ses coquines phalanges venaient approfondir leur poigne sur cette chair. Ki Suk ne pouvait pas s’empêcher de penser que son amant se trouvait résolument érotique ainsi, à vouloir éveiller sa chair de manière si sensuelle. Mais, de manière suffisante pour que Ki Suk sente la chaleur de son corps augmentait progressivement. Il se laissait guider par les douces sensations qui traversaient son corps, laissant de doux soupirs s’échapper de ses lèvres alors que Yano embrassait sa pomme d’Adam et son menton. Sa main coquine venait se poser sur la forme de son intimité dans une caresse. Une caresse qui put que le faire frémir alors qu’il lui avouait dans un sourire coquin que cette sucrerie le tentait particulièrement, lui demandant son avis. Ki Suk ne put que lui offrir un merveilleux sourire, appréciant le contact de ses lèvres sur les siennes.

Yano se trouvait résolument coquin en amant conquis qu’il était, effectuant à nouveau une caresser sur son aine au travers de ce boxer lui avouait que cela éveiller son appétit, il devait le reconnaitre. Des mots qui plaisaient résolument à Ki Suk alors qu’il venait répondre avec passion au baiser de son amant avec passion et envie. Yano avait su attiser son désir avec ses simples gestes sensuels, bien que la simple vue du corps de son amant lui suffise généralement pour avoir envie de le dévorer. Ki Suk lui souriait alors avec douceur, s’amusant à laisser l’une de ses mains se poser à son tour sur la cuisse de son amant, caressant cette dernière au travers de son bas de jogging qui lui semblait résolument de trop. Il aurait été beaucoup plus simple que Yano soit dévêtu ou uniquement vêtu d’un boxer. Bon, il était vrai que dans ce cas-là, Ki Suk n’aurait nullement hésité à peine aurait-il franchir les portes du salon pour venir l’embrasser avec passion, sautant le passage petit déjeuner. Il était pervers, il le savait, mais son amant de semblait pas s’en plaindre alors qu’il venait glisser sa main contre le boxer de son amant, effectuant des caresses sur son aine couverte par ces tissus. Le souffle quelque peu coupé de son amant vint lui intimer au milieu de leur baiser que cette action ne le laissât résolument pas de marbre. Un fait qu’il ne doutait certainement pas, tant son mari se trouvait sensible à son corps et ces attentions. Ki Suk vint lui continuer de partager avec lui un baiser particulièrement sensuel avant qu’il ne décide de changer leur position.

Ki Suk vint alors s’éloigner de ses lèvres dans un sourire espiègle, se relevant pour venir se poser sur les cuisses musclées de son amant, encerclant ces dernières avec son corps. Il vint lancer à son amant un regard particulièrement gourmand, laissant l’une de ses mains retracer les muscles de son torse avec attention. Ces lèvres vinrent se déposer sur la nuque de son amant, y déposant de nombreux baisers tendres et sensuels, mordillant sa chair alors qu’il murmurait contre celle-ci : « Ma friandise préférée a aussi très bon gout je trouve… et très agréable au toucher. Elle est de grande qualité, je pourrais féliciter les fabricants… ou continuer de la dévorer sans aucune retenue, qu’en penses-tu ? » termina-t-il alors qu’il venait laisser un énième suçon sur la nuque de son amant. Sa main coquin venait continuait de tracer le moindre muscle de haut de son torse de son amant, alors que sa comparse était venu se glisser sous le jogging de son amant, caressant ces fesses au travers de ce tissu. Ki Suk avait terriblement envie de son amant, il ne pouvait résolument pas lui cacher en cet instant tant il n’avait aucune raison de le réaliser de toute manière. Il vint d’ailleurs abaisser son jogging au bout de quelques secondes, lui offrant la possibilité de caresser ses fesses avec plus d’attention.

Ki Suk vint pousser quelque peu son amant en arrière pour poser son dos contre le fauteuil, lui permettant d’abaisser ces baisers sur le haut de ses pectoraux avec attention, sa main coquine ayant remonté jusqu’à rencontrer ses boutons de chairs, venant les taquiner dans de douces caresses. Ki Suk vint murmurer dans une voix sensuelle : « Tu es véritablement la plus belle et le plus délicieuse des sucreries… »
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeMar 11 Nov - 0:51


Yano s’amusait particulièrement à éveiller la chair de son amant. Après tout n’était-ce pas ce que le coréen désirait en se présentant de la sorte à ses yeux en prononçant de telles paroles ? Le regard qu’il lui avait lancé l’avait chaleureusement invité à céder à ses desseins cupides. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plus honte de se comporter de façon si taquine et perverse avec son amant. Au contraire, les deux amants y prenaient un plaisir malsain, intense, tant leurs actions et paroles n’avaient qu’une ambition : enflammer l’âme de son compagnon. Il se plaisait donc à caresser cette partie de son anatomie, ayant pleinement conscience de la chaleur que son action provoquait en la chair de son compagnon. Celui-ci ne le cachait nullement, ses paupières closes lui signifiaient qu’il profitait de ses bienfaits, frémissant sous ses baisers et caresses. Cela éveillait son désir tout comme le sien, qui n’avait de cesse de s’intensifier à ses côtés. Ki Suk était un véritable objet de fantasme. Le sien plus précisément. Il ne se passait pas une journée sans qu’il ne songe à lui, à ce corps qui le tentait inexorablement dans les méandres du plaisir. C’était une véritable œuvre vivante et ce sourire qu’il possédait ébranlait son âme plus qu’aucun autre. Il était fou de cet homme et mourrait indéniablement d’ambition de le retrouver de façon charnelle. Seulement, ils avaient tout leur temps. La fougue de cette nuit s’en était allée et ils pouvaient profiter d’un instant de plaisir coquin tout en sensualité. C’est pour cela qu’il agissait de façon friponne, se délectant d’éveiller les sens de son amant qui lui offrait un merveilleux sourire. Les prunelles du futur professeur brillaient d’enchantement. Il le savait conquis et ce sentiment se renforça au travers de ce baiser qu’il venait lui voler.

Ki Suk répondait avec passion et envie à son baiser. Il le savait gourmand et éveillé sous ses lèvres et le regard qu’il lui tendait entre deux baisers, lui faisait clairement entrevoir qu’il avait tout autant envie que lui de se laisser aller contre lui. Il souriait contre ses lèvres, l’une de ses mains s’échouant à son tour contre sa cuisse pour la caresser avec sensualité. Il exécutait la même action que la sienne, sa main glissant contre le tissu de son jogging pour rejoindre son intimité. Des actions particulièrement plaisantes qui le firent sourire charmé et sensible à ces cajoleries. Il était difficile de rester de marbre face à l’élu de son cœur, d’autant plus lorsque celui-ci agissait de façon coquine. Yano se laissait faire répondant aux baisers qu’il venait lui voler, son souffle se coupant quelque peu face aux caresses de son compagnon. Sa fébrilité semblait enthousiasmer son amant qui s’échappa de son emprise pour changer sa position. Dans un sourire particulièrement espiègle et attirant, Ki Suk s’était relevé pour venir se placer à califourchon au-dessus de lui. Yano le regardait faire, un sourire malicieux sur les lèvres alors qu’il le sentait caresser ses muscles avec attention, les commissures de son amant se posant sur sa nuque. Un contact plus que plaisant qui le fit délicatement pencher la tête sur le côté pour profiter des bienfaits de ces belles lèvres. Il se mordillait la lèvre avec amusement, sentant les mordillements de son amant flatter la chair de sa nuque. Il lui murmurait que sa friandise préférée avait aussi un très bon gout et se trouvait très agréable au toucher. Elle devait être de grande qualité tant et si bien qu’il pourrait féliciter les fabricants ou continuer de la dévorer sans aucune retenue. Il lui demandait son avis, le faisant sourire d’autant plus amusé tandis qu’il murmurait. « Je ne saurais dire, mais la deuxième option m’a l’air fortement appétissante… je ne sais pas pourquoi… » Son sourire se fit plus coquin alors qu’il sentait une des mains de son amant caresser son torse, l’autre s’aventurant sous son jogging pour caresser ses fesses.

Il sentait Ki Suk particulièrement gourmand et avide de le caresser, le dévorer de ses lèvres. Cela n’était nullement déplaisant. Au contraire, cela était même exaltant et envoutant. Il le laissait donc faire en amant soumis et curieux, savourant ses baisers et caresses. C’était grisant et les paroles que Ki Suk vint prononcer ne purent que le faire sourire davantage. « Je vois cela… Tu sembles déterminer à me dévorer… » Susurra-t-il dans une voix espiègle tandis qu’il laissait ses bras glisser contre les côtes de son amant avec sensualité. Il laissa le bout de ses phalanges glisser sur sa chair, la titillant avec espièglerie tout en descendant sur ses reins. Il souriait délicieusement, le regard taquin alors qu’il sentait le tissu de cette chemise glisser contre sa chair à son passage. Dans des caresses précises, qui se faisaient sensuelles alors qu’il laissait ses doigts frôler la chute de ses reins, la cajolant avec ambition. « Il serait bien dommage que je ne profite pas également de ma friandise, ne penses-tu pas ? » Il avait susurré cela, le regard coquin alors qu’il laissait ses phalanges glisser sur les fesses de son amant, le bout de ces dernières taquinant une partie bien précise de ses dernières, qui sembla éveiller de nombreux souvenirs à son compagnon, qu’il pouvait sentir frémir sous ses doigts. Il joua avec cette dernière, se mordillant la lèvre, également sensible aux caresses et attentions de son mari contre sa chair. Tout en poursuivant son action, une de mains vint glisser sous le tissu, le faisant rouler délicatement pour le laisser choir au creux de ses cuisses lui offrant une vue appréciable sur ce corps érotique, merveilleusement mis en valeur par cette chemise. Cela lui conférait un air particulièrement dépravé qui lui donnait faim, friand de ce style de vision. « Tu es particulièrement érotique ainsi… Tu le sais… » Dans un fin sourire conquérant, mais amoureux, il laissa sa menotte glisser contre cette intimité délicatement formée par leurs précédentes actions et caresses.

Ses doigts vinrent frôler celle-ci dans une action particulièrement lente et sensuelle. Il parcourra son extrémité, la délimitant avec satisfaction alors qu’il se sentait lui-même s’affermir sous le corps de son amant. Il ne pouvait ignorer qu’il l’excitait. Il l’envoutait totalement. Sa menotte continuait de l’explorer dans des gestes frivoles et fripons. Il sentait cette intimité sensible et brûlante sous ses doigts. Il pouvait entendre le souffle de son amant se faire plus fort contre sa chair. « Tu as l’air d’être particulièrement brûlant, mon amour… tout autant que je peux l’être rien qu’au fait de te caresser. Tu ne dois pas l’ignorer, n’est-ce pas ? » Son souffle était brulant, sa voix suave alors qu’il laissait une de ses phalanges glisser entre le fessier de son amant pour caresser sa partie sensible, y réalisant de doux cercles pour tenter d’éveiller d’autant plus les sens de son compagnon qu’il savait particulièrement sensible à ce niveau. Il jouait donc avec les parties du corps de son amant, celles qui régissaient le plaisir. Il mentirait s’il n’avouait pas qu’il avait envie d’éveiller le désir de son amant à être dominé par lui. C’était l’idée qu’il avait en tête et s’appliquait à la mettre en œuvre. C’est donc dans un geste purement frustrant qu’il laissant une de ses phalanges glisser le long de son intimité dans une caresse particulièrement légère, mais suffisante pour l’entendre soupirer. Ki Suk avait chaud et il pouvait sentir son bassin venir à la recherche de ses doigts. Il laissa donc une de ses phalanges venir appuyer plus fermement sur la partie de son fessier alors qu’il susurrait dans un ton particulièrement sensuel : « Et si tu me laissais te dévorer mon amant. Après tout, c’est moi qui a besoin d’un petit encart, qu’en penses-tu ? Cela ne semblerait pas te déplaire à première vue. Tu sembles même en avoir particulièrement envie, je me trompe ? » Sur ces mots, il laissant sa main prendre en joue son intimité pour la caresser fermement avant de la relâcher immédiatement. Coquin ? Assurément ! Il adorait rendre la chair de son amant folle de son contact et celui-ci ne semblait nullement s’en plaindre.
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Kisuk Yoon-Wada
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeSam 15 Nov - 0:13

Dévorer son amant semblait être la plus belle des activités pour Ki Suk en ce jour, ou du moins depuis qu’il était rentré la veille. Ki Suk et Yano avaient voulu rattraper le temps perdu de ces dernières semaines tout le long de la nuit, voir une partie de la journée. Un fait qui n’était résolument pas dérangeant pour chacun des deux amants qui semblaient s’y plaire. Le sourire qui était affiché sur le visage de son amant n’était là que pour le confirmer. Ki Suk à présent assis sur les jambes de son amant profiter allègrement de la vue, tout comme de cette chair qu’il venait caresser avec une envie non dissimulée cet homme. Ces mains étaient venues caresser ses formes avec attention, s’amusant à taquiner sa nuque avec ses lèvres. Il avait devant lui la plus belle des sucreries n’avait-il pas pu de murmurer à son amant, lui indiquant qu’elle avait un très bon gout et très agréable au toucher. Il se devait de féliciter les fabricants ou de continuer de la dévorer sans aucune retenue. Lui demandant son avis, il n’avait pu qu’observer et dévorer du regard cet homme. Yano venait lui avouer qu’il ne saurait dire, mais la deuxième option qu’il avait proposée lui semblait fortement appétissante, ne sachant nullement pourquoi. Ki Suk connaissait la réponse, mais ne put s’empêcher de venir lui sourire simplement, s’amusant à laisser ces mains venir caresser son torse et ses fesses avec attention, des fesses qu’il ne cessait ô grand jamais de vouloir dévorer. Ces mains résolument coquines étaient venues se poser sous son jogging.

Son amant confirma les propos qu’il avait prononcés dans une voix espiègle, lui avouant qu’il observait cela, qu’il semblait déterminer à le dévorer. Ki Suk ne put qu’apprécier les caresses sensuelles de son amant sur ces côtes, savourant le contact de ses phalanges sur ses reins, cajolant ces derniers dans de douces caresses. Ces caresses avaient le don de le séduire, le rendre particulièrement fébrile, tout comme ses mots dans lesquels il lui avouait qu’il serait bien dommage qu’il ne profite pas également de sa friandise. Il avait terminé ses mots dans un regard coquin, l’emmenant à sourire délicatement alors qu’il sentait ses phalanges glisser sur ses fesses, le bout de ces dernières taquinant cette zone résolument érogène, éveillant de nombreux souvenirs, l’amenant à frémir sous ses doigts. Yano semblait s’amuser de ses réactions, insistant pendant de nombreuses secondes sur cette zone, l’amenant à soupirer alors qu’il venait glisser le tissu de son boxer sur ces cuisses. Sans aucun doute qu’il donnait une image particulièrement dépravée, presque nu avec seulement cette chemise entrouverte comme vêtement. Un fait qui ne pouvait que le ravir sentant le regard conquis de son amant sur sa personne. Ce dernier semblait se plaire à cette vue, tout comme celle de Ki Suk qui ne cessait d’admirer son amant, lui adressant un sourire quelque peu coquin. Les mots de son amant ne pouvaient que le faire frémir, tout particulièrement alors qu’il lui indiquait qu’il le trouvait particulièrement érotique ainsi, lui affirmant qu’il le savait.

Ki Suk ne put que lui sourire, fermant les yeux délicatement alors qu’il sentait la main de son amant se posait sur son intimité quelque peu réveillée. Cette dernière n’était pas ferme, mais Yano pouvait se rendre compte que chacune de leurs actions avait éveillé son aine. Yano semblait d’ailleurs s’en amuser, venant frôler cette dernière dans une action particulièrement lente et sensuelle. Ce dernier laissait ses doigts parcourir son intimité. Ki Suk ne pouvait nullement s’empêcher de laisser échapper de doux soupirs, susurrant le nom de son amant. Ce dernier lui indiquait qu’il avait l’air d’être particulièrement brulant, tout autant qu’il pouvait l’être rien qu’au fait de le caresser. Ki Suk ne devait d’ailleurs pas l’ignorer. Ki Suk ne put qu’approuver ses mots alors qu’il continuait de garder les yeux fermés, savourant chacun de ses gestes, de ses mots avec délice. Son amant souhaitant le rendre encore plus fébrile avait laissé une de ses phalanges glisser entre ses fesses, réalisant de doux cercles, lui communiquant alors son envie de venir le dévorer à son tour. Une envie qui se trouvait partagée tant l’idée de laisser Yano domptait en quelque sorte leur relation était désirable et très excitante pour sa personne, l’un de ses nombreux fantasmes. Bien qu’il aimait particulièrement sa position de dominant, il avouait sans aucune crainte que voir son Yano ainsi était tout aussi plaisant.

Il sentait la température de son corps augmenter progressivement, l’empêchant de penser à autre  chose qu’à cet homme particulièrement sensuel et désirable. Il se laissait guider par chacune de ses sensations, trouvant son amant résolument frustrant alors qu’il se contentait de caresser légèrement son intimité. Cupide, Ki Suk ne pouvait que l’être alors qu’il demandait silencieusement un contact bien plus prolongé entre leurs deux corps, venant réclamer ses doigts sur son aine. Si Yano avait commencé à le chauffer, c’était à lui de venir répondre à présent à son plus grand souhait. Néanmoins, Yano ne cessait ô grand jamais d’attiser son désir pour sa personne, lui donnant envie de découvrir à nouveau ces sensations qui l’emmèneraient à atteindre ce paradis terrestre. Ces doigts qui insistaient sur cette zone ô combien érogène de tout être, attisait la flamme du désir pour cet être. Yano venait alors susurrer dans une voix sensuelle s’il le laissait le dévorer ? Après tout, lui aussi avait besoin d’un encart. Il lui demanda son avis, lui semblant que cela ne semblait pas lui déplaire à première vue, en ayant particulièrement envie même. Ki Suk ne pouvait nullement le contredire, le contraire serait mentir alors que son aine prenait progressivement forme entre les doigts de son amant, même si celui-ci se trouvait particulièrement frustrant. Le jeune homme vint susurrer dans une voix quelque peu suave et coquine à son amant : « Je ne peux pas te contredire à ce propos mon amant… mon corps me trahit bien trop facilement pour te mentir. Bien qu’il m’est tout simplement impossible de te mentir dès lorsqu’il s’agit du plaisir que je ressens à chacune de nos étreintes. Je veux bien être dévoré par les lèvres par mon amant, n’être plus qu’une simple poupée entre tes lèvres et tes caresses, ton corps qui n’est là que pour venir répondre à mes exigences d’amant et de mari. Il me semble qu’en tant que mari, tu réponds très bien à tes devoirs… »

Terminant ses mots il avait laissé sa main venir se poser à son tour sur le jogging de son amant, se faufilant contre celui-ci pour caresser au travers du boxer l’entrejambe de son amant. Il fut particulièrement ravi de la sentir légèrement ferme, remarquant que chacun des mots qu’il avait pu prononcer tout comme ces caresses l’avait éveillé. Ki Suk ne pouvait qu’en être heureux, souriant au contact de cette chair si désirable. Une idée lui vint alors dans son esprit particulièrement pervers et coquin. Sans laisser un quelconque choix à son amant, il vint laisser sa main se faufiler à son tour dans le boxer de son amant, pour abaisser son sous-vêtement et se saisir de son aine avec sensualité. Il ne put que sourire à l’attente du soupir de son amant alors que ses doigts découvraient son entrejambe dans des caresses lentes. Il venait caresser toute sa longueur avec lenteur, souhaitant faire naitre dans le corps de son amant encore plus de désir pour sa personne. Ki Suk vint alors murmurer au creux de l’oreille de son amant dans une voix taquine : « Mon Yano… est-ce que tu aimerais sentir mes lèvres à la place de mes doigts ? Est-ce que tu voudrais me voir encore plus pervers ? J’ai très envie de toi mon amour… et si jamais, tu as un fantasme que tu veux réaliser je suis à ton écoute… est-ce tu préfèrerais que je vienne te réclamer comme tu aimes tant ? »

Ki Suk se rendait bien compte que chacune de ces paroles était résolument coquine, sentant son amant frémir à chacune d’entre elles à son plus grand plaisir. Le jeune homme ne pouvait que s’en féliciter alors qu’il soupirait au creux des oreilles de son amant, les mains de son amant insistant continuellement sur chaque zone érogène de son corps. Ki Suk avait envie de son amant et comptait bien ne jamais le lui cacher, son aine qui devenait de plus en ferme était bien là pour le prouver. Il vint susurrer dans une voix coquine : « Que préfères-tu mon amant ? Une chose est sure… j’ai très envie de toi… très envie »

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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeSam 15 Nov - 19:34


Il était bien difficile de résister à l’érotisme qui se dégageait de l’échine de Ki Suk. À vrai dire, le métis en était dépendant, résolument envoutant tant il le trouvait désirable. Le voir ainsi, dans cette tenue dépravée, résolument excité par ses actions qui se voulaient sensuelles et frustrantes ne pouvait qu’éveiller sa propre ambition. Il était si magnifique, sensible et désireux d’être choyé par sa personne qu’il ne pouvait qu’être admiratif et gourmand de le voir ainsi. Il avait envie de le rendre dingue, d’embraser la chair de son amant de son contact, que ce soit par ses lèvres, ses doigts ou son corps. Il en devenait coquin et frustrant, jouant avec les pulsions de son amant avec une aisance qu’il avait développé au fil de ces dernières années. Il adorait le pouvoir qu’il avait sur ce corps, la manière avec laquelle Ki Suk succombait à ses caresses, ses baisers. C’était si merveilleux de le voir s’enflammer de la sorte. Yano s’amusait souvent à l’échauffer de la sorte, sachant quel endroit embrasser pour éveiller l’ambition de son amant. Un pouvoir que le coréen possédait également sur son être. Il était le seul à pouvoir éveiller si cruellement son désir, sa perversité. Il était tellement difficile de résister à l’appel de ce corps, de cette âme. Il en était cruellement dépendant, ne le désirant comme personne d’autre. Pourquoi résister ? Ki Suk était celui qui avait initié ce petit jeu cocasse et coquin entre eux deux. Yano s’appliquait donc à satisfaire ses desseins, les siens également, s’enivrant délicieusement de l’effet qu’il lui faisait. Il s’enivrait des frisons qui parsemaient la chair de son mari, la cadence de ses respirations qui se faisaient plus vives, plus forte. Il embrasait son corps d’un feu incommensurable, comme celui qui commençait à naitre dans ses entrailles. Il n’y avait qu’avec lui qu’il pouvait avoir cette liberté, cette dépravation.  

Il observait donc son amant avec cette pointe d’espièglerie dans le regard. Il le dévorait de ses prunelles, savourant l’expression de son compagnon comme le frôlement de son souffle contre son visage. Il lui donnait chaud, cruellement au travers de ce petit jeu coquin qu’initiaient ses phalanges près de la partie sensible du corps de son compagnon. Ki Suk ne pouvait le contredire et se garda bien de le faire. Son corps comme lui-même l’avouait le trahissait trop facilement pour le faire, tout comme de cacher le plaisir qu’il ressentait à chacune de leur nuit ensemble. Il voulait bien être dévoré par ses lèvres, n’être plus qu’une simple poupée entre ses doigts, ses lèvres, son corps qui savaient si bien répondre à ses exigences d’amant. Il lui semblait bien doué dans le domaine. Des aveux qui ne pouvaient que le ravir alors qu’il venait souffler de plaisir contre le visage de son compagnon. Il n’avait pu contenir son soupir à l’action coquine de son amant qui avait glissé à l’intérieur de son jogging pour se faufiler contre son intimité au travers du tissu. Ce contact était délicieux, plaisant. Ki Suk semblait déterminer à lui rendre la monnaie de sa pièce en venant agir avec détermination sur sa chair. Il le sentait poursuivre son action en s’infiltrant sous le tissu de son sous-vêtement pour en extirper et mettre à sa vue sa virilité qui ne se plaignait nullement de ce contact. L’air ambiant de la pièce lui semblait bien frais en comparaison de la peau de son amant, qui par son frôlement éveiller son intimité, déjà bien titillée par la vision luxuriante de ce corps qui se tendait sous ses yeux. Il sentait sa virilité s’affermir sous les cajoleries des phalanges de son amant. Il se mordit la lèvre en inspirant profondément, sensible, terriblement envouté par ces actions de la part de son mari.

Il sentit le souffle de ce dernier frôler son oreille tandis qu’il continuait ses propres caresses frustrantes sur la chair de celui-ci. Ils s’enflammaient tous les deux, sensibles aux actions cocasses de son compagnon qui savait si bien éveiller ses sens. Son amant se trouvait tout aussi brûlant et cupide qu’il ne l’était. Il lui demanda s’il aimerait sentir ses lèvres à la place de ses doigts. Cette simple idée le fit mordre ses lèvres, il était résolument envouté et fantasmait déjà à cette éventualité. Il sentait sa virilité s’affermir à cette idée, sa respiration se faire plus fort. Il était charmé par cette idée, la désirant au cas où son amant pouvait en douter. La suite de ses propositions se fit encore plus envoutante, tant et si bien qu’il souffla contre son oreille à son tour en susurrant son prénom. Que répondre à tout cela, si ce n’est qu’il mourrait d’envie de le voir encore plus pervers et qu’il vienne le réclamer comme il l’aimait tant. Des fantasmes, il en avait des centaines avec lui et celui qu’il lui proposait en faisait partie. Des rêves érotiques qu’ils avaient déjà expérimenté à mesure de leur étreinte et il devait reconnaitre que les semaines de séparation les rendaient d’autant plus passionnés et pervers qu’auparavant. Il savourait les soupirs de son amant contre son oreille alors qu’il continuait ses actions sur cette partie sensible de son anatomie et son intimité qu’il frôlait avec sensualité. « Ce que je veux… Je suppose que tu le sais fort bien en vue de mon excitation à l’entente de toutes ses propositions si exquises, mais je suis sûr que tu veux m’entendre les exprimer. » Il avait susurré cela contre son oreille qu’il venait mordiller, sa main se faisant plus présente contre l’intimité de son amant.

« Cela devrait même cruellement t’exciter de les entendre, mon doux pervers, mais je lui suis tout autant. » Il soupira à cet aveu, lui mordillant l’oreille de nouveau alors qu’il susurrait. « Je veux que tu laisses tes lèvres dévorer ce que tes doigts savent si bien éveiller. Je veux que tu me rendes fou, dingue du contact de ta bouche contre cette partie, mais surtout que tu te monstres frustrant, que tu me fasses geindre de plaisir et que ça t’excite, te rende aussi aliéné que moi, au point que tu veuilles, que tu réclames que je te fasse l’amour, te possède entièrement comme j’aime tellement le faire avec cette partie de ton corps. » Il avait murmuré cela en appuyant de sa voix suave et taquine chacun de ses mots pour augmenter la chaleur du corps de son amant qu’il sentait si ferme et brulante sous ses doigts. Du bout de son index, il vint appuyer sur la partie sensible de l’anatomie de son amant, s’enfonçant légèrement dans celle-ci dans un léger et faible mouvement. Ses actions semblaient commencer à dilater cette partie qu’il mourrait d’envie d’explorer et il ne se cacha pas de l’avouer à son amant, susurrant dans une voix très faible comme si c’était un secret inavouable.

« J’ai cruellement envie d’explorer cette partie de ton corps, sentir tes reins dévorer mon intimité pour atteindre cette jouissance que j’aime tant découvrir à ta compagnie… Alors, fais-moi rêver, mon amour. Je sais que tu n’attends que cela. » Il essayait de le rendre fou par ses mots et ses gestes. Il savait son amant incroyablement réceptif à tout cela. Il le sentait frémir, résolument excité par ce qu’il disait, les actions qu’il réalisait sur son corps. Il voulait le tenter, le voir agir de façon perverse et déterminée pour le rendre fou, mais surtout il désirait qu’il fasse tout cela dans le but de se frustrer lui-même et réclamer qu’il ne lui fasse l’amour. Ki Suk était particulièrement érotique dans ses instants et un véritable objet de fantasme. Il avait cruellement envie de lui et ne le cachait pas.
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeMar 25 Nov - 12:00

Le coréen se trouvait résolument faible face au corps qu’il avait sous ses yeux, particulièrement fébrile à chaque fois qu’il avait l’opportunité de l’admirer. Comment pouvait-il seulement ne pas être fébrile face à ce dernier alors qu’il venait le caresser ? Les mots que Ki Suk prononçait avait le souhait d’éveiller la chair de son amant, sachant ô combien Yano se trouvait fébrile lorsqu’il s’amusait à lui susurrer chacune de ses envies perverses. Il s’agissait d’un petit jeu qu’il avait mis en place il y avait de longs mois qui ne semblait nullement avoir de fin tant les deux se plaisaient en cet instant. Comment Yano ne pourrait-il pas être fébrile alors qu’il lui demandait s’il souhaitait sentir ses lèvres à la place de ses lèvres contre son intimité ? Il était bien difficile de résister à son plus grand plaisir alors qu’il sentait cette dernière prendre un peu plus forme entre ses lèvres. Le coréen n’avait pu que se montrer qu’encore plus pervers, lui proposant de réaliser l’un de ses fantasmes qu’il n’avait jamais eu l’occasion de réaliser. Les réactions de son amant ne pouvait que lui plaire alors qu’il l’entendait souffle son nom contre son oreille, le rendant tout autant fébrile alors que Yano continuait à le rendre particulièrement fébrile, ces mains venaient frôler chacune des zones érogènes de son corps. Son amant vint lui susurré tout contre son oreille que ce qu’il voulait, il supposait qu’il le savait déjà fort bien à l’entente de toutes ses propositions si exquises, mais il était sûr qu’il voulait l’entendre les exprimer. Ki Suk ne put résolument pas le contredire tant il trouvait cela particulièrement sensuel d’entendre les mots de son amant, tout particulièrement alors qu’il continuait ses caresses avec sensualité, mordillant la chair de son oreille.

Son amant vint soupirer au creux de son oreille que cela devait cruellement l’exciter d’entendre ces mots, le traitant de son doux pervers, bien qu’il le soit tout autant. Son amant murmura alors dans une voix particulièrement taquine et suave qu’il voulait qu’il laisse ses lèvres dévorer ce que ces doigts savaient si bien éveiller. Il voulait qu’il le rende fou, dingue du contact de sa bouche contre cette partie qu’il venait taquiner de ses doigts. Son amant souhaitait surtout qu’il se montre particulièrement frustrant, qu’il le fasse geindre de plaisir et que cela l’excitait lui-même, que cela le rende tout aussi aliéné que lui, au point qu’il veuille, qu’il réclame qu’il lui fasse l’amour, qu’il le possède entièrement comme il aimait tellement le faire avec cette partie de son corps. La température de la pièce semblait être subitement augmenté ne cessait de penser Ki Suk tant ces mots avaient éveillé chaque pore de sa peau tant son amant savait le rendre fou avec de simples mots. Le coréen avait résolument chaud contre son amant, étant particulièrement sensible à chacune des caresses de son amant sur son corps, tout particulièrement alors que Yano venait enfoncer le bout de son index tout contre son rectum, dans des mouvements léger et faible, comme pour lui intimer de se rappeler de toutes les douces sensations qu’il ressentirait lorsqu’il viendrait le posséder, lorsqu’il viendrait le réclamer.

Ki Suk ne put qu’avoir envie de sentir aine dévorer ses reins, à cet instant même alors qu’il l’entendait susurrer qu’il avait cruellement envie d’explorer cette partie de son corps, sentir ses reins dévorer son intimité pour atteindre cette jouissance qu’il aimait tant découvrir en sa compagnie. Il lui demandait de le faire rêver tant il savait qu’il n’attendait que cela. Comment Ki Suk était-il censé résister à son amant alors qu’il se trouvait si sensuel tout contre lui ? Ki Suk ne pouvait résolument pas résister à son amant, son corps se réchauffant si aisément tout contre lui à l’entente de ses paroles. Ki Suk ne put alors que venir murmurer au creux de l’oreille de son amant ces derniers mots : « Mon amant… il n’y a pas à dire, chacun de tes mots me rend toujours plus fébrile… je n’ai qu’une seule envie : celle de réaliser ton fantasme, voir mes lèvres te dévorer et faire en sorte que tu veuilles réaliser les actions que tu m’as si bien décrites que j’ai cruellement envie de ressentir toutes ses sensations que tu m’as si bien décrite… » termina-t-il dans un doux susurre, venant mordiller l’oreille de son amant alors qu’il laissait échapper un doux soupir sentant son amant retirer son doigt de cette zone qui n’attendait qu’à être malmené.

Yano dut arrêter ces caresses à son tour, tout comme Ki Suk alors qu’il venait se redresser quelque peu. Il en profita d’ailleurs pour se séparer définitivement de son boxer, le posant à même le sol alors qu’il lançait un clin d’œil à son encontre. Il faisait bien attention à ne pas faire tomber sa chemise, la portant sur lui. Ki Suk vint offrir un doux sourire à son amant alors qu’il venait s’agenouiller à ses pieds, profitant de cette vue résolument attirante. La vision du corps de son amant quasi nu était très excitante en cet instant. C’est pourquoi il laissa l’une de ces mains rencontrer l’aine de son amant dans des caresses particulièrement sensuelle, venant avec son autre main abaisser quelque peu son boxer et son pantalon qu’il vint simplement lui enlever alors, le laissant totalement nu sous ses yeux. Autant dire qu’il s’agissait d’une situation résolument intéressante pour le coréen. Ki Suk vint alors arrêter ces caresses, souhaitant frustrer son amant alors qu’il laissait ses lèvres embrassaient avec sensualité ces cuisses à partir de son genou. Il vint l’embrasser avec lenteur, il resta de longues secondes à les embrasser remontant progressivement jusqu’à se rapprocher de l’intérieur de ces cuisses qui s’ouvraient ses baisers. La vision de la débauche était résolument plaisante alors qu’il continuait de l’embrasser avec une envie non dissimulée, laissant l’une de ses mains taquiner quelque peu l’intérieur de ces dernières, frôlant son entrejambe. Il avait cruellement envie de lui et ne le cachait pas, sa propre aine ayant déjà commencé à prendre forme quelques minutes auparavant. Il se sentait brûlant et avait cruellement envie de dévorer cette dernière pour entendre son amant gémir son nom, ô combien ce qu’il réalisait lui faisait attendre ce paradis terrestre.

Le coréen résolument pervers vint laisser ces lèvres rencontrer enfin son entrejambe, s’amusant à ne laisser que ces lèvres la frôler, ne s’y posant que quelques instants avant de s’éloigner pour recommencer son petit jeu. Pour attiser la chaleur dans le corps de son amant, Ki Suk vint murmurer dans une voix particulièrement sensuelle : « Tu sais… mon tendre amant… je vais te dévorer de mes lèvres, te frustrer, te taquiner pendant de très longues minutes jusqu’à la limite de la raison… et frustrer à ce moment-là, arrêtant tous mes gestes pour te voir si dépravé, si excité, une vision qui ne pourra que me donner envie d’être la victime de ta fougue et de ton amour.. » termina-t-il alors qu’il venait dans des baisers très brefs embrasser la colonne de chair de son amant, s’amusant à dévier volontairement son extrémité.  Il vint progressivement substituer ses lèvres par sa langue, lapant cette colonne de chair avec sensualité pendant de longues minutes, mais brièvement, savourant chacun des gémissements de son amant. Ces mains n’étaient pas en reste, se glissant dans l’intérieur de ses cuisses, les caressant avec sensualité et tendresse, les griffant quelque peu pour attiser le désir de son amant. L’une de ces mains étaient venus se poser sur les fesses ô combien attirantes de son amant, s’amusant à les malaxer avec douceur, mais envie.

Le coréen vint alors atteindre cette extrémité et ne put que sourire au gémissement de son amant, s’amusant certainement de la situation alors qu’il sentait son propre corps si échauffé, si brûlant au contact de cette chair, une extrémité qu’il vint abandonner rapidement pour continuer à laper la peau de la colonne de chair de son amant. Il voulait attiser le désir de son amant, savourant tant de le voir si excité contre sa chair
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeMar 25 Nov - 23:15


La chaleur de la pièce n’avait de cesse de croitre. Du moins, c’était l’impression qu’il pouvait avoir tant il sentait sa respiration se faire plus fort tant il sentait cet embrasement s’immiscer dans ses veines. La température de son corps devenait anormalement élevée, quand bien même provoquait-elle de merveilleux frisons dans sa chair. C’était avec un bien être exquis qu’il se laissait charmer, envouter par les actions de son amant, qui savait si bien éveiller son âme. Il avait envie de lui, les paroles que ce dernier avait susurré au creux de son oreille avaient obtenu toute son attention. Il avait envie de profiter de ses bienfaits, d’être la proie des desseins pervers et envoutants de cet homme. Comment pouvait-il souhaiter y résister ? Cela lui offrait tant de merveilleuses perspectives de luxure en cette si belle matinée. Il n’avait pas hésité à répondre affirmativement à toutes ces questions, cherchant au travers de ses mots à allumer cette mèche que son amant avait embrasée quelques minutes auparavant. Il le savait tout aussi réceptif à ce jeu qu’il ne l’était lui-même. Il pouvait entendre son cœur battre vivement dans sa cage thoracique. La respiration du coréen se fit plus forte, plus envoutée que jamais au contact de ce bout de phalanges dans son entrée secrète. Son corps semblait prêt à être préparé, cette partie terriblement attirante se dilatait sous les caresses de ses doigts qu’il n’avait de cesse de lui prodiguer. Il sentait Ki Suk si brûlant au-dessus de son corps, son intimité se durcissant sous la texture de ses doigts. Celui-ci ne manqua pas de lui signifier dans un murmure au creux de son oreille. Chacun de ses mots le rendait toujours plus fébrile. Il n’avait qu’une envie : réaliser son fantasme, voir ses lèvres le dévorer et faire en sorte qu’il veuille réaliser les actions qu’il lui avait si bien décrites.

Yano se mordit la lèvre, savourant le contact des dents de son amant contre son oreille tout comme ce soupir de frustration qui s’extirpait de ses lèvres, au retrait de son doigt sur cette partie particulièrement attrayante. La suite qui s’annonçait se trouvait particulièrement plaisante et il ne fut nullement déçu de le voir s’éloigner de lui. Son action se trouvait sensuelle et envoutante tandis qu’il venait retirer son boxer qui s’échoua sur le sol. Yano souriait, charmé par l’expression enjôleuse de son compagnon. Sans doute que lui aussi offrait une vue particulièrement attrayante à son époux qui venait s’agenouiller à ses pieds. Yano le suivait du regard, les prunelles sombres, admirant cet homme qui lui donnait si chaud et faim à la fois. Il se mordit la lèvre sensuellement, sentant une des menottes de son amant glisser sensuellement contre son intimité. Elle se trouvait délicieusement fière. Elle se dressait avec plaisir sous les doigts cocasses du coréen, lui prouvant ô combien il parvenait à l’attirer, l’exciter par ses actions. Yano avait du mal à contenir ces légers gémissements qui désiraient s’exprimer. Il se laissa faire, soulevant doucement ses reins pour aider son amant dans l’effeuillage qu’il faisait sur lui. Il était résolument en désavantage à ce sujet, entièrement nu sous le regard envouté et excité de son tendre époux. De plus, ce dernier vint stopper sa caresse plaisante sur sa fierté, le faisant soupirer malgré lui d’impatience alors qu’il le voyait descendre ses cuisses. Il souriait au coréen, connaissant l’esprit taquin de son compagnon et ce ne fut sans surprise qu’il sentit les lèvres de son amant se poser contre son genou, remontant de façon lente et sensuelle sa cuisse.

Yano l’observait, sans bouger, savourant le contact humide de ces commissures se mouvoir sur sa peau, la parsemant de légers frissons. Ces contacts se firent plus pressants à l’intérieur de ses cuisses, qui s’ouvrirent obligeamment pour en profiter davantage. Le métis le fixait avec attention, sa fierté se tendait de plus en plus fermement, impatiente et à la fois frustrée de ne pas être la victime de ses commissures. Après tout, n’était-ce pas ce qu’il lui avait promis de faire : le bénir de ses lèvres ? Malheureusement, ou du moins dans une certaine mesure, il avait mentionné cette frustration. Une frustration utile qui saurait intensifier les effets que lui procureraient ses lèvres. La respiration de Yano se faisait de plus en plus fort tandis qu’une des mains de son amant s’invitait au creux de ses cuisses, venant frôler de façon cocasse cette fierté si délaissée. Yano souriait de façon charmeuse, le regard brillant face à ce jeu coquin qui s’installait entre eux. Un gémissement se fit délicieusement connaitre au contact de ces commissures sur cette partie qui les attendait tellement. Il laissa une de ses mains glisser dans la chevelure de son compagnon qui s’éloignait déjà d’elle. Il ne faisait que la frôler par intermittence. C’était délicieux. Ces petits courants électriques qui le traversaient le rendaient d’autant plus gourmand et impatient d’en découvrir plus. Les paroles coquines de son amant lui promettaient mont et merveilles et il était tout disposé à y croire. « Je n’en doute pas un seul instant, mon amour… » Susurra-t-il en se mordillant la lèvre. « Tu es très doué pour me rendre fou, me frustrer pour mieux me satisfaire. » il soupira ses mots alors qu’il sentait les lèvres de son amant déposer des baisers très brefs sur sa fierté si ferme. « Continue… J’adore le contact de tes lèvres… c’est délicieux… »

Il glissa sa langue sur ses lèvres tant il sentait ses baisers divins. Il trouvait cette chaleur envoutante et merveilleuse. Il avait la gorge sèche comme si elle se trouvait assoiffée depuis des heures. Il se cala contre le dossier du canapé, ses cuisses ouvertes pour être bénies de ces merveilleuses lèvres qui éveillaient tant de désir en lui. La tête calée contre le dossier, il le dévorait du regard, voyant cette langue taquine laper son intimité avec sensualité, mais brièvement. « Merveilleux… » Soupirait-il comme pour l’inciter à poursuivre, ses doigts glissant dans la chevelure de son amant avec douceur et sensualité. Il était sous le charme de son amant, sa fierté si tendue et déterminée à profiter de ces commissures qui se montraient pourtant bien frustrantes. Il devait résolument offrir une vue dépravée à son amant, mais cela ne le dérangeait pas. Il avait trop envie de sentir ses lèvres le prendre. Il soupira de nouveau, sentant le souffle brulant de son amant frôler l’extrémité si impatiente de sa virilité. Il susurra son prénom, conscient de l’amusement de son compagnon à cette vue si soumisse. « Continue mon amour… » Sa voix était à peine un murmure tant il avait envie de sentit cette langue, cette bouche envelopper sa fierté. Seulement, il n’eut droit qu’au contact bénéfique de cette langue avant qu’elle ne fuie de nouveau. Yano souriait, gémissant, appréciant résolument cette brûlure qui s’intensifier dans ses entrailles. Il sentait cette langue continuer son expédition sur sa chair tendue, brûlante et impatiente. Il se mordilla la lèvre de nouveau, venant déglutir difficilement alors qu’il sentait de nouveau cette langue lapait l’extrémité de son membre. Il laissa sa poigne se refermer contre la chevelure de son amant, l’invitant à poursuivre. Il n’avait de cesse de donner de légers coups de langue sur cette partie si sensible. Cela lui faisait perdre la tête.

« Tu me rends fou, mon amour… continue… je t’en prie. » C’était tellement délicieux cette frustration mêlée à cette excitation. Sa fierté n’avait de cesse de gonfler sous les traitements de son amant, qui après de longues minutes de frustration, vint laisser ses lèvres recouvrir son intimité. Il grogna délicieusement de plaisir, sentant un courant électrique traverser sa colonne vertébrale avant qu’il ne sente ses lèvres l’abandonner lâchement. Il vint gémir son mécontentement, riant doucement à cette merveilleuse sensation de bien-être qui grimpait en lui. « Je crains de devenir accro à ce genre de traitement de ta part. Tu m’excites cruellement. Tu sens combien mon corps réclame tes bienfaits. Rends-moi fou, mon amour, tu es plus doué que personne pour cela. » Il lui avait murmuré cela dans un doux gémissement alors qu’il le sentait le reprendre en bouche pour un bref instant, qu’il réitéra de nombreuses fois pour le rendre dingue de désir, puis comme s’il n’avait attendu que ses mots d’abandon, il sentit ses lèvres et cette langue, le bénir véritablement, profondément, sans lui offrir la possibilité de retenir son excitation. Il le prit entièrement entre ses lèvres dans un mouvement ô lent et langoureux. Cela le fit geindre doucement, sa tête s’enfonça d’autant plus dans le dossier du canapé alors qu’il laissait ses sons érotiques s’extirper de ses lèvres. Les yeux clos, il profitait de cette caresse et des bruits humides et sourds qui s’extirpaient de cette rencontre. Il sentit ses cuisses s’ouvrir d’autant plus alors qu’il gémissait de plus en plus fort au rythme langoureux et parfois vif de ces lèvres et de ces doigts. C’était si merveilleux. Il fondait totalement sous ses actions. « Continue, mon amour… C’est si bon… mm… » Susurra-t-il alors qu’il sentait sa gorge grognait de bien-être et de frustration à ses lèvres qui venaient désormais l’abandonner pour le caresser précipitamment de ses mains. C’était divin. Comment qualifier autrement ce traitement qui le rendait si brûlant et impatient ? Y’avait pas d’autres mots. Il voulait qu’il continue. Il était totalement à sa merci.

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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeSam 6 Déc - 0:20

Rendre fou Yano était sans aucun doute la plus belle des activités pour Ki Suk qui s’amusait particulièrement à rendre fou ce dernier. Yano se trouvait résolument être le plus merveilleux des maris ne cessait-il de croire alors qu’il avait l’opportunité de pouvoir le dévorer de ses lèvres. Il n’y avait résolument pas d’autres sons plus agréables que ces derniers à son oreille, si ce n’était les compliments et les mots doux qu’ils ne cessaient ô grand jamais de s’attribuer l’un et l’autre. Alors, fou amoureux et fou de désir pour cet homme, il n’eut aucun mal à répondre au désir de son amant qui se trouvait être lui aussi le sien. Ki Suk se plaisait résolument dans chacune de ces actions, s’amusant à taquiner son amant tant par ses paroles que par ses gestes. Ainsi, il ne put que sourire à l’entente des mots de son amant dans lesquels il lui indiquait qu’il ne doutait pas un seul instant qu’il réaliserait ses merveilles, lui susurrant qu’il était très doué pour le rendre fou le frustrer pour mieux le satisfaire. Des mots qui n’avaient pu que l’amuser alors qu’il lui intimait de continuer, qu’il adorait le contact de ses lèvres, trouvant cela délicieux. Des mots qui ne pouvaient résolument que lui plaire alors qu’il était venu taquiner son aine de ses lèvres dans des gestes coquins et langoureux.  

La vue du corps offert de son amant ne pouvait résolument que lui plaire, ces cuisses ouvertes n’attendant que ses lèvres, que son corps pour atteindre ce délicieux pécher de la chair. Chacun des mots de son amant ne pouvait que lui plaire, l’amenant à vouloir le taquiner d’autant plus alors que sa langue avait remplacé sa main, lapant cette chair avec une extrême sensualité. Ki Suk n’avait pu qu’être fier, savourant de voir cette aine si formée, si ferme, juste par ces actions qui ravivaient l’envie de son amant. Son amant avait envie de mourir de frustration et de plaisir sous ses lèvres, Ki Suk ne manquerait résolument pas de le réaliser tant son propre corps mourrait d'envie de celui de son amant. Il le taquinait sans cesse, s'amusant à effectuer des mouvements brefs et rapides, frôlant l'extrémité de celle-ci pour l'abandonner aussitôt. Un comportement qui semblait avoir attisé encore plus son amant qui avait resserré sa poigne contre sa chevelure, tirant ses cheveux pour venir lui supplier de prolonger son acte.

Yano venait d'ailleurs lui avouer qu'il le rendait fou, lui suppliant de continuer son traitement. Ainsi, pour répondre partiellement à la demande de son amant, Ki Suk avait laissé ces lèvres recouvrir l'extrémité de son intimité pendant plusieurs secondes avant de s'éloigner à nouveau, savourant le gémissement de mécontentement de son amant. Celui-ci lui murmura alors qu'il craignait de devenir accro à ce genre de traitement de sa part, l'excitant cruellement. Ki Suk devait résolument se rendre compte combien son corps réclamer ses bienfaits, lui demandant de le rendre encore plus fou, étant plus doué que quiconque pour cela. Le coréen espérait résolument pouvoir être le seul être sur terre à être si doué, il ne supporterait résolument pas le contraire, souhaitant sans aucun doute tuer l’homme qui oserait s’approcher de son amant. Néanmoins, il comptait bien prouver à son amant qu’il serait le seul à pouvoir le rendre si fou de sa personne.

C’est pourquoi, particulièrement coquin, il n’avait pas pu s’empêcher de venir dévorer cette aine avec délice tel un bonbon, s’amusant à l’embrasser dans des mouvements langoureux et sensuel. Il voulait rendre fou son amant et comptait bien le réaliser en ce jour. Ki Suk se plaisait à le dévorer, gourmand du corps de son amant. Bien qu’il ne put résister guère longtemps de plus avant de venir prendre entre ses lèvres l’extrémité de son amant dans un mouvement lent et langoureux. La réaction du corps de son amant n’avait pu résolument que lui plaire, bien qu’il lui soit impossible de profiter de la vue. Il avait seulement pu entendre le bruit du corps de son amant que s’affaissait dans le dossier du canapé, entendre ces gémissements. Un son ô combien exaltant alors qu’il voyait ces cuisses s’entrouvrir, quémandant bien plus de traitement de ce type. Ces paroles n’étaient là que pour confirmer cela alors qu’il lui indiquait de continuer. Seulement, une autre idée lui vint, cruellement cupide, et son corps si désireux de connaitre à son tour toutes ses agréables sensations.

Il vint abandonner son aine, laissant ces mains la caresser, la prendre avec plus de vigueur alors qu’il dévorait du regard son amant qui se trouvait dans un état si dépravé sous ses yeux. Particulièrement pervers, Ki Suk vint se redresser, venant se glisser sur les cuisses de son amant pour venir le surplomber. À vrai dire, il ne lui avait guère laissé le choix, lui demandant alors que l’une de ses mains caressait dans un mouvement sensuel et long l’extrémité de son amant, aimant tant entendre cette voix exprimer son ressenti. Ki Suk ne put nullement s’empêcher de laisser leurs aines se rencontraient, l’amenant à soupirer de bienêtre, accompagné par l’une de ses mains qui les caressaient mutuellement. Le coréen mourrait d’envie pour cet homme tant qu’il ne chercha nullement à résister à ses plus grands dessins, susurrant à son amant dans un gémissement : « Mon Yano… j’ai cruellement envie de toi… envie de sentir ton corps contre le mien… te sentir me posséder… tu es tellement magnifique et séduisant. Chacun de tes gémissements ne peut que me rendre fou, tu le sais ? »

Ne souhaitant nullement prolonger ces instants de frustration bien qu’il savait qu’il risquait de souffrir, il n’en fit qu’à sa tête ou à son plaisir de la chair. Ainsi, le coréen vint soulever son corps pour venir laisser l’aine de son amant rencontrer cette zone hétérogène que Yano avait merveilleusement taquinée une dizaine de minutes auparavant, une zone qui ne pourrait qu’être source de bienêtre. A cette pensée, la température de son corps ne put qu’augmenter tout comme son désir alors qu’il continuait de caresser cette partie qui viendrait le posséder. Ki Suk n’attendit guère longtemps, sachant ô combien cette situation les impatientait chacun. Ce fut alors en fermant les yeux, basculant sa tête un instant en arrière qu’il vint de lui-même se laisser posséder par l’aine de son amant. Un instant quelque peu douloureux, mais qu’il savait bien court comparé au bienêtre qui possèderait ces reins. Même si le contact de cette chair se trouvait résolument douloureux, sentir dans son propre corps son amant le posséder était quelque chose qui se trouvait être résolument enchanteur. Malgré tout, ce fut avec envie qu’il laissa échapper un soupir le temps que son corps accepte cette intrusion. Une intrusion qui ne l’empêcha nullement de venir se soulever, posant ses mains sur ces épaules, gémissant presque de désespoir avant de venir à nouveau s’empaler sur son aine. Ki Suk ne put que gémir à ce contact, susurrant dans une voix suave à son amant : « Je crois bien qu’il faudrait me tuer pour te laisser à un autre… ». La douleur se faisait tout aussi présente mais, il ne pouvait que soupirer, tout particulièrement alors qu’il sentait l’une des mains de Yano venir se glisser sur son aine pour atténuer cette souffrance et accentuer ce désir qui prenait déjà part de son corps. Un désir et des envies qui ne purent que s’exprimer alors qu’au bout de plusieurs minutes, sous le regard envieux de son amant il était venu gémir le nom de son amant, sa prostate étant touchée par l’aine de Yano. Ki Suk crut défaillir à cet instant, soupirant à son amant : « Yano… c’est, si… bon… ». Malgré la présence de cette douleur, il lui était tout simplement impossible de ne pas vouloir prolonger tant ces sensations de bienêtre venait se développer.  
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L’absence de ces lèvres contre son intimité créait une frustration particulièrement intense au creux de ses reins. Il avait la gorge sèche, cruellement assoiffée par ce plaisir profond que son amant lui offrait si obligeamment. Il n’était plus qu’une masse gémissante, appréciant particulièrement l’être tant il savait son amant réceptif à cela. Il devait être vivement cupide à l’idée de le faire fondre de la sorte, de le voir adopter une posture si dépravée, dévoré par le désir. Il ne cherchait nullement à se retenir, exprimant chacun des gémissements que les actions cocasses et sensuelles de son mari provoquaient en son être. Il se trouvait soumis à ce dernier, éprouvant un plaisir monstre à l’être tant ce que son amant lui offrait se trouvait addictif. Il l’incitait à poursuivre, adorant cette merveilleuse chaleur qui s’immisçait si insidieusement dans la moindre de ses veines. Il avait beau se mordiller la lèvre, déglutir pour tenter d’épancher sa soif, elle n’avait de cesse de croitre, d’autant plus lorsque son amant l’avait abandonné de la sorte. Il avait gémi fortement, dans un râle bien masculin quand bien même les doigts de son amant se plaisaient à accroitre son bienêtre.

Yano l’observait avec attention, son regard perçant, empli de désir pour lui. C’était tellement divin et érotique. Il savait comment lui faire perdre la tête, abandonner toute contenance et prestance. Il n’était plus qu’une poupée entre ses doigts et le métis adorait cela, sachant ô combien cette vérité était commune. Ils étaient follement soumis l’un à l’autre, parfaitement en symbiose tant leur amour était profond et indestructible. Ki Suk était dans le même état que lui. Il pouvait l’entrevoir au fond de ces prunelles si brillantes d’ambition. Il profitait de la vue qu’il lui offrait, s’en trouvait glorifier, particulièrement excité tant cela devait lui procurer un bonheur sans nom. Après tout n’y avait-il rien de plus merveilleux que de savoir son amant à sa merci, terriblement tenté et sous les effets de cette luxure qui pourrait faire perdre la tête à l’être le plus rationnel au monde ? Yano n’avait aucun doute sur l’effet qu’il lui procurait, il le savait tout aussi envouter qu’il ne pouvait l’être et il lui prouva. Yano le contemplait avec convoitise tandis qu’il se redressait pour venir glisser sur ses cuisses, lui offrir la vision de son corps si excité par la gâterie qu’il lui avait offerte.

Yano laissa ses doigts suivre le déplacement de son amant, ses doigts glissant sur ses bras pour rejoindre ses côtes, ses reins. Il laissa ses phalanges profiter de la chaleur de cette peau si envoutante dont le propriétaire savait tant alimenter son désir. Il gémit de nouveau, la tête calée contre le dossier alors qu’il sentait ces frisons s’intensifier dans sa colonne vertébrale sous l’action de ses doigts cupides. La sensualité et la langueur avec laquelle ils s’activer sur son intimité n’avait de cesse d’accroitre son appétit. « Tu me rends dingue mon amour… » Souffla-t-il près de son visage alors qu’il sentait son intimité se coller à la sienne. La fermeté de celle-ci contre la sienne tout aussi tendue était électrisant et endiablant. Il se mordilla la lèvre, se l’humidifiant du bout de la langue tant il lui donnait cruellement faim. Il laissa son regard se perdre sur les formes divines de son amant, rejoignant leurs parties intimes qui se frôlaient, se caressaient, impatientes et gonflées de désir. Il avait envie de lui, désirait ardemment le pénétrer, le faire sien pour atteindre cette apothéose qui savait tant les rendre fous et dépendants de l’autre. Le paradis terrestre avait un gout si unique avec cet homme.

Il ne laisserait personne profiter de ce corps qui lui appartenait. Une pensée bien possessive qu’il ne refrénait pas, se sachant particulièrement en droit de l’avoir. Ki Suk en avait tout autant envie, le lui susurrant dans cette voix si emplie d’ambition. Yano adorait le ton de cette voix, si fébrile, si emprunte d’un désir non dissimulé. Il voulait sentir son corps contre le sien, être possédé par lui tant il le trouvait magnifique et séduisant. Ses gémissements le rendaient fou. Cet aveu ne pouvait que lui plaire alors qu’il le dévorait du regard, gémissant au contact de leurs intimités si fières et tendues qui se frottaient l’une contre l’autre. « Je le sais… tout comme je meurs d’envie de tout ce que tu viens de me dire. J’ai tellement envie de te faire l’amour… Tu es mon plus grand fantasme… je te veux… » Souffla-t-il contre son visage alors qu’il sentait son amant bouger, déplacer son bassin pour permettre à son intimité de se placer contre ses fesses musclées qu’il avait tant pris plaisir à caresser, taquiner précédemment. Yano soupira à cette action, savourant ce contact tout en sachant ce que son amant allait réaliser. Il gémit à cette pensée comme à ces caresses qu’il prodiguait sur sa fierté qu’il guidait entre ses fesses. Il s’impatientait d’avance de cette nouvelle caresse, la désirant ardemment tant il la savait bienfaitrice.

Celle-ci ne manqua pas de se faire connaitre dans ton son organisme. L’étroitesse de son bassin était une caresse envoutante pour son corps qui la savoura avec bien-être. Il grogna de plaisir à cette union, sentant sa fierté s’affermir d’autant enveloppé par le bassin de son amant. Son regard se trouvait tremblant, son être terriblement émoustillé par cette rencontre tant attendue. Il savait ce sentiment mutuel, le comprenait dans le gémissement empli de bien-être et de douleur de son amant. Il n’était nullement préparé à le recevoir, mais cette impatience démontrait particulièrement ô combien ils étaient excités et désireux de se retrouver ainsi. Il laissa ses doigts glisser contre les fesses de son amant, les écartant pour sentir son intimité s’immisçait dans les profondeurs de ce corps. C’était merveilleux. Il prenait tant de félicité d’être en lui, son intimité si tendue au sein de cet homme. Un bonheur partagé, tant il voyait le visage de son amant se diviser entre bien-être et douleur. Ce n’était qu’une question de minutes pour que son corps s’habitue à lui. Ce n’était pas la première fois qu’ils sautaient les préliminaires pour savourer le bien-être de s’appartenir. Ki Suk ne semblait pas en douter et vint même en redemander. Il laissa son bassin se relever sensuellement, réaliser un nouveau mouvement pour habituer son corps à sa présence.

Une action tout aussi électrisante que la précédente alors qu’il laissait ses phalanges griffer délicieusement la peau brulante de ces fesses. C’était si délicieux. Yano en devenir fou de ce frôlement, s’en abreuvant autant qu’il ne pouvait le faire. C’était résolument ces instants-là qui lui manquaient le plus lorsqu’il se trouvait à l’autre bout du monde. La chaleur de cette échine était une drogue dont il avait tant de mal à se passer. La tête toujours enfoncée dans le dossier du canapé, il laissait ces frisons de plaisir parcourir ses pores avec enthousiasme alors qu’il laissait les reins de son amant enthousiasmer sa fierté si bien lotie dans ses entrailles. Il l’accompagnait dans ses actions, sentant son intimité s’immiscer plus profondément dans ce corps magnifique. Il pouvait sentir son amant soupirer, tâchant de s’habituer à sa présence en lui. Yano s’efforçait d’être bienveillant et doux, laissant une de ses mains glisser contre sa hanche, son aine pour rejoindre son intimité. Il laissa sa main recouvrir sa fierté, flattant sa peau brulante tandis que Ki Suk lui susurrait qu’il faudrait le tuer pour le laisser à un autre. Un aveu qui ne put que le faire sourire amoureusement alors qu’il venait embrasser sa mâchoire avec sensualité. « Je tuerai quiconque prendrait ma place. Tu m’appartiens… » Susurra-t-il contre son oreille qu’il mordilla, cherchant à intensifier le plaisir dans l’échine de son amant. Il laissa ses doigts glisser sur sa fierté au même rythme que ses reins venaient le dévorer, cherchant le point central de son plaisir.

Son bassin semblait s’acclimater à sa présence et ce ne fut plus qu’une question de secondes avant que sa virilité ne frôle sa prostate, provoquant un léger râle et courant électrique dans le corps de son amant. Ki Suk soupira son prénom, le cœur et le corps en feu alors qu’il accélérait la cadence. Il soupira à son tour, murmurant le prénom de son amant alors qu’il venait s’immiscer profondément en lui dans des mouvements lents et langoureux. Il gémissait contre son oreille, lui mordiller ce bout de chair avec une passion et un appétit non camoufler. « C’est si bon de se sentir en toi, mon amour. C’est ce qui me manque le plus, te faire l’amour, ça me rend dingue chaque nuit lorsque je me retrouve dans cette tente vide de ta présence. » Il souffla cela dans un grognement alors qu’il sentait son amant prêt à recevoir sa fougue. Il ne chercha plus à se contenir lorsqu’il entendit réellement le gémissement de plaisir de son amant. Il vint cueillir ses lèvres dans un baiser langoureux, alors qu’ils venaient accélérer la cadence entre leurs deux bassins, sa main libre continuant de caresser ses fesses qui semblaient tellement bien accueillir son intimité si gorgée de désir, d’appétit pour cet homme.

« Tu es si érotique mon amour… J’aime tellement sentir tes reins m’accueillir, chercher à me rendre dingue. Fais-moi, jouir mon Ki Suk. Laisse-moi découvrir ce paradis terrestre dans tes reins, te combler également. J’en meurs cruellement d’envie. Tu me rends si brulant… je pourrais passer mes journées à te rendre aussi fou. Tu es tellement magnifique pris par le plaisir. » Il avait susurré cela contre ses lèvres avant de les embrasser, les cueillir de nouveau dans un baiser langoureux. Il était si brulant, si désireux de le rendre dingue qu’il grognait délicieusement contre ses lèvres, déterminé à le rendre fou, n’ayant qu’une ambition : le satisfaire comme personne ne pourrait le faire.
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Kisuk Yoon-Wada
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MessageSujet: Re: Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano   Hoy lo miro y en un suspiro, se despierta de nuevo el delirio en nuestra piel | PV Wada Yano Icon_minitimeMer 17 Déc - 0:10

Il n’y avait résolument rien de plus plaisant de voir son amant être si passionné et si désireux de sa personne. Le regard particulièrement fébrile de son amant était là pour le ravir, tout comme les mots qu’il avait prononcé précédemment alors qu’il lui soufflait qu’il ait terriblement envie de lui faire l’amour, qu’il était son plus grand fantasme, le voulant. Ki Suk n’avait nullement guère longtemps avant de venir réaliser leur fantasme, celui d’enfin être possédé par le corps de son amant. La douleur n’avait pu qu’être présente, mais le contraire aurait été tout simplement impossible tant il savait qu’il n’était suffisamment préparé, mais il préférait ignorer cette dernière bien que cela était difficile. La douleur disparaitrait dans quelques minutes et c’était son unique pensée. Se faire posséder par Yano, être la victime de l’amour et la passion de Yano, il y avait sans aucun doute bien pire que cela dans sa courte vie. Sans aucun doute qu’inverser leurs rôles dans cette relation ne serait sans doute pas désagréable, bien que son côté dominant dès lorsqu’il s’agissait de Yano. Enfin, la question ne se posait pas vraiment, Ki Suk se contentait en cet instant de savourer les grognements de plaisir de son amant, tout comme les siens d’enfin sentir cette aine le posséder. Cela était quelque peu pervers, mais il n’en avait nullement honte tant il savait que son amant l’était tout autant, n’ayant aucune honte de ressentir de telles envies lorsqu’il s’agissait de lui. Il se laissait aller tout contre lui, frémissant au contact de ces doigts qui venaient écarter ses fesses pour faciliter le passage de son aine. Son visage exprimait chacune de ces émotions, de ses sensations de bienêtre et de douleurs. Il n’y avait tout simplement plus de raison de son contrôler et il avait laissé son corps s’habituer sans doute trop rapidement, venant effectuer un nouveau mouvement de pénétration. Ki Suk ne pouvait qu’apprécier ces pénétrations, tout particulièrement alors qu’il sentait son amant griffer sa chair. Les secondes s’enchainaient et il avait pu sentir que son corps s’habituer à sa présence. Son amant n’était pas non plus insensible à tout cela, ces gémissements étaient là pour le prouver et les caresses qu’il effectuait à présent sur son aine ne pouvait que le ravir. Si ses aveux avaient été résolument envoutants, ceux de son amant l’était tout autant. Ce dernier venait lui avouer qu’il tuerait quiconque prendrait sa place, il lui appartenait. Des susurres ô combien ravissant alors qu’il avait les accompagner d’une caresser ô combien agréable sur sa fierté masculine.

Comme à chaque fois, cette douleur ne put paraitre que secondaire lorsqu’il sentit Yano venir frôler sa prostate. Un fait qui ne put que le faire fermer les yeux, soupirer le nom de son amant alors qu’il sentait son amant venir effectuer des mouvements lents et langoureux. Son amant se trouvait particulièrement sensuel, venant gémir et mordiller son oreille. Yano venait lui avouer qu’il était si bon de le sentir en lui, c’était ce qu’il lui manquait le plus : lui faire l’amour. Cela le rendait dingue chaque nuit lorsqu’il se retrouvait dans cette tente vide de sa présence. Des mots qu’aurait pu prononcer Ki Suk tant il se trouvait dans la même situation que son amant, en manque de sa présence lorsqu’il retrouvait son pauvre lit. Ki Suk vint prononcer son vrai premier gémissement de plaisir, oubliant toute douleur lorsqu’il vint toucher à nouveau cette zone avec fougue, avec plus d’intensité. Son corps était brulant, son souffle quelque peu coupé par le baiser langoureux qu’ils partageaient. Son amant venait accompagner ces mouvements de va-et-vient avec attention, sa main continuer de caresser ces fesses qui étaient si bien malmenées par l’aine de son amant. Ki Suk se contentait alors d’être la douce victime de son amant, venant accompagner chacune de ces venues en son sein dans de délicieux gémissements.

Yano vint susurrer contre ses lèvres qu’il le trouvait très érotique, aimant tellement sentir ses reins l’accueillir, cherchant à le rendre dingue. Il lui demandait de le faire jouir, de lui laisser découvrir ce paradis terrestre dans ses reins, le combler. Il en mourrait cruellement d’envie, le rendant si brulant, pouvant passer ses journées à le rendre aussi fou. Il était si magnifique pris par le plaisir. Des mots qui n’avaient qu’attisé son désir pour sa personne et son envie de découvrir ces instants à ses côtés. Ki Suk était cupide et ne pouvait nullement le masquer à son amant, particulièrement alors que ce dernier l’était tout autant. Ainsi, il était venu partager avec son aimé un baiser langoureux, mordillant ces lèvres alors qu’il venait à nouveau se faire posséder par son amant, relâchant un énième gémissement. Ki Suk ne ressentait plus à présent que du plaisir, la température de son corps ne cessant d’augmenter alors qu’il serrait les épaules de son amant, continuant à chevaucher cette aine qui prenait possession de son corps. Son corps était pris par de nombreux frissons, si fébrile face à son amant. Yano se rendait-il compte qu’il était un si bon amant ? Sans aucun doute que oui en vue de chacun des gémissements qui s’échappaient de ces lèvres à la suite de ces mouvements de reins qui se voulaient bien plus pénétrant. Ki Suk ne savait plus quoi trop penser si ce n’était de profiter de ces instants. A chaque instant, il se sentait particulièrement bien contre son amant, venant gémir au creux de ses lèvres : « Mon Yano... je me sens si complet en ta présence, tellement. Je n'ai qu'un souhait : découvrir et ressentir ce bonheur terrestre à tes côtés, toi mon si bel amant. »

Ki Suk avait alors terminé ces mots dans un doux sourire, venant continuer ces mouvements si délicieux. Il lui semblait tout simplement mourir de bonheur et bienêtre grâce à son amant. Après avoir passé tant de temps éloigné loin l'un de l'autre, pouvoir profiter de cet amant était résolument le plus beau des cadeaux. Son corps se trouvait si dépendant de celui de son amant, qu'il lui semblait impossible de vivre sans lui, étant persuadé qu'aucun homme ne pourrait le remplacer d'une quelconque manière. Telles étaient ces pensées alors même qu'il sentait son corps si fébrile, sentant malgré lui qu'il risquait d'atteindre cette luxure rapidement. Il ignorait depuis combien de minutes ils se trouvaient dans cette position, mais la seule chose dont il était sûr était qu'il profitait de chaque minute de ces instants. La luxure était résolument l'un de ces plus grands péchés en la compagnie de Yano, ne se lassant jamais de ce corps qui lui faisait redécouvrir à chaque instant tant de sensations agréables.

Ki Suk vint murmurer dans une voix éprise par le plaisir à l'oreille de son amant : « Je vais bientôt... tu es si doué comme amant ! » ne put-il s'empêcher de prononcer alors qu'il venait capturer les lèvres de son amant dans un merveilleux baiser, sentant son amant atteindre à nouveau cette prostate si malmenée. Ainsi, Ki Suk laissa échapper un énième gémissement, un râle de bienêtre alors qu'il sentait son amant devenir plus taquin envers sa personne. Le contact des mains de Yano sur son corps était résolument agréable accompagné par ces baisers et ces pénétrations tant qu'il vint attendre ce point de libération aux côtés de son amant. Il se relâcha alors, venant gémir le nom de son amant dans un dernier, râle, le souffle coupé, restant tout contre le corps de son amant, sentant ce dernier rendre les âmes à son tour. Un fait qui ne pouvait que le ravir, se sentant si bien ainsi. Ki Suk resta ainsi, posant son visage contre la nuque de son amant, laissant ces doigts dessiner les muscles de son amant avec douceur. Ki Suk vint murmurer dans une voix résolument essoufflée : « Je crois que je suis le plus chanceux des hommes sur terre mon tendre et fougueux mari... tu le sais ? Je pense qu'il n'y a pas meilleur déjeuner... ». Terminant ces mots dans un doux rire il vint encercler le dos de son amant, reprenant son souffle après avoir tant profité de ces minutes de plaisir..
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