" Tonight, you'll be mine, my love."
Yoon Ki Suk & Wada Yano



Le bonheur était résolument un sentiment bien vivifiant pour toute personne qui était habité par ce dernier. Comme tout autre, le jeune homme qu’il était ne dérogeait nullement à cette règle, tant et si bien qu’il avait énormément du mal à contenir tout cette joie qu’il ressentait au fond de sa poitrine depuis ce fatidique jour où il avait fait face à ces sentiments. Des sentiments qui s’étaient pleinement dévoilés face à la déclaration déconcertante de son meilleur ami. Un meilleur ami pour qui il ressentait alors des sentiments si contradictoires qu’il avait l’impression que seul cet être pourrait lui donner la clé de cette énigme. Cette énigme qui avait tant tourmenté ses nuits qu’il en était encore tout tremblant en prenant conscience de la réalité qu’était sienne désormais. Ensemble, aussi irréelle qu’aurait pu être cette idée à ses yeux, il ne pouvait dorénavant nier qu’il avait toujours escompté la chose. Oui, quelque part, tout au fond de son être, depuis des années somnolait en lui ce besoin qu’il avait de s’approprier cette personne qui par son sourire, son contact et son odeur plongeait son être dans un bien être des plus totaux. Une euphorie telle qu’il ne pouvait plus s’en passer depuis qu’il y avait une première fois succombé, tout comme il l’avait fait avec ces lèvres.

Des lèvres qui commençaient cruellement à créer un manque au sein de son être alors qu’il n’avait point eu la félicité d’y céder depuis le matin même. Une journée longue durant laquelle il s’était fait passé malade auprès de l’école pour être en mesure de confectionner cette surprise qu’il souhaitait tant lui faire de tout son cœur. Un mois, cela faisait précisément quatre semaines que leur relation avait prit un tout autre chemin. Alors que ce dernier aurait du se rompre en deux routes distingues, elle se trouvait désormais condamnée à n’en former qu’une parfaitement droite qui allait être la leur à tout jamais. Il ne pouvait que se sentir pleinement heureux à cette idée tant il s’était senti tourmenté d’avoir un jour à se séparer de lui. Il était donc indéniable que Ki Suk allait trouver son geste quelque peu maladroit, trop romantique peut être mais les battements effrénés de son cœur ne pouvaient se résoudre à en faire autrement. Il souhaitait de tout son être lui offrir cette soirée. Une soirée durant laquelle il serait son convive, son invité d’honneur qu’il allait traiter comme une personne exceptionnelle. Un être incroyablement important à ses yeux tant il l’aimait passionnément.

Il avait donc passé toute sa journée à préparer cette surprise, sortant en ville pour acheter quelques articles qu’ils ne possédaient point au sein de cette maison : Des bougies, des ingrédients pour le repas qu’il comptait confectionner et plus que tout, un bouquet de rose. Un magnifique bouquet, aux roses magiques qui ne faneraient jamais, laissant pleinement leurs couleurs si vives égayer le regard de tout être qui aurait à poser son regard sur lui. Ainsi chargé, il était rentré chez eux pour tout préparer, prenant soin à disperser au sein de la pièce des pétales de roses aussi chatoyantes. Il remplaça les lumières naturelles du salon par des bougies flottantes qui rejetaient des lueurs tamisées, donnant un aspect « cocoon » à la pièce qui convenait parfaitement à leurs deux êtres. Pour repas, il avait confectionné un délicieux menu qui plairait résolument à son ange avant d’aller prendre une douche et revêtir sa tenue pour la soirée. En avance sur son planning initial, il avait une nouvelle fois vérifié tous les détails avant de s’installer sur le canapé, lisant en silence un livre sur les créatures magiques, auquel il n’avait pu résister lors de ses achats. Sur le qui vive quand bien même il ne pu que sourire tendrement en voyant la porte de l’appartement s’entrouvrir doucement alors qu’il refermait son bouquin pour le poser sur la table pour observer son jeune aimé pénétrer dans ce dernier. Le sourire doux sur le visage alors que son regard pénétrait son être avec une lueur quelque peu passionné, il murmura tendrement :

« Bonsoir mon amour… j’espère que ta journée s’est bien passé ? Désolé de t’avoir inquiéter, mon cœur, je ne voulais pas.... »

Inquiet, le jeune homme n’avait pu que l’être lorsque l’après-midi, pendant le cours de langues magiques, le seul cours qu’il avait en commun avec son tendre amour, il ne l’avait pas vu parmi les élèves présents. Lorsque leur professeur avait fait l’appel de son nom dans la salle de cours et que l’un de ses camarades de classes disait que Yano n’était venu à aucun cours de la journée, s’étant fait passer pour malade en ce jour. Ainsi, le jeune homme ne put que s’inquiéter pendant le cours de langues magiques, bien trop préoccupé par le sort de son doux amour, il lui avait été bien impossible de suivre le cours paisiblement et ce fut donc avec vitesse qu’il s’enfuit de la salle de classe, faussant compagnie à ces camarades rapidement alors qu’il se dirigeait vers la volière écrivant déjà dans sa tête qu’il avait l’intention d’écrire dans une petite missive pour lui. Se servant de l’un des hiboux pour envoyer une lettre inquiète à son amour, lui demandant s’il allait bien et s’il lui était arrivé quelque chose de grave pour qu’il ne vienne pas en cours, qu’il espérait au plus profond de lui qu’il n’avait rien attrapé de grave et que s’il ne se sentait vraiment pas bien, il pouvait le rejoindre et rater ses heures de cours pour lui, s’il en avait besoin. Il ne fallut que peu de temps avant qu’il ne reçoive une missive de Yano alors qu’il était sorti quelques instants dehors le temps d’une pause, attendant impatiemment la réponse de Yano. Le hibou qu’il avait alors emprunté c’était dirigé vers lui alors ayant la lettre entre ses pattes, une lettre qu’il saisit rapidement avant de venir lire avec angoisses chacun des mots de son tendre amour. Dans cette lettre celui-ci lui signifiait qu’il était désolé de l’avoir inquiété mais qu’il n’avait rien eu de grave. En se levant il avait été pris d’une forte migraine, qui heureusement s’était estompée et avait préféré tout de même se reposer puisqu’il travaillait le lendemain. Sa peur s’était alors un peu envolée, même si à ses yeux tant qu’il ne verrait pas Yano en pleine forme il ne pouvait nullement s’empêcher encore de s’inquiéter.

Ainsi, à peine avait-il fini ses cours de la journée, qu’il avait presque courue dans les ruelles de l’école pour atteindre plus rapidement le lieu de transplanage avant d’atteindre le quartier résidentiel de Geolughan Dosi . Il ne lui fallut alors que quelques minutes avant d’arriver devant l’entrée de leur appartement et qu’il n’ouvre les portes d’un pas pressé. Seulement il dut s’arrêter à peine était-il rentré qu’il vit que les lueurs naturelles avaient été remplacé par des bougies flottantes, le sol étant recouvert partiellement de roses chatoyantes. Un doux sourire s’afficha alors sur son visage alors qu’il vit Yano, habillé dans un fabuleux costume, lui offrir une des plus belles visions de ce monde, l’observant avec un regard passionné et amoureux. Lui murmurant tendrement un bonsoir, espérant que sa journée s’était bien passée, qu’il s’excusait de l’avoir inquiété, il ne l’avait jamais voulu. A ses tendres mots, Ki Suk vint le rejoindre sur le canapé avec un sourire tendre et amoureux pour sa personne alors qu’il venait lui voler un doux baiser avant de l’enlacer.

« Yano… Tu m’as terriblement manqué aujourd’hui, je ne t’en veux nullement de m’avoir fait inquiété si c’est pour avoir si bien réussi cette surprise pour nos 1 mois. La seule chose pour laquelle je t’en veux c’est bien du fait de mon inquiétude je n’ai pas eu le temps de m’arrêter chez un fleuriste pour t’offrir un merveilleux cadeau aujourd’hui, je suis désolé alors mon aimé… tout ce que tu as fait est merveilleux tu le sais ? Préparer cette surprise en secret était très ingénieux de ta part. Je crois que je ne cesserai jamais te t’aimer… vraiment, tu es si parfait… Mon Yano. » dit-il alors qu’il venait embrasser les lèvres dans un doux baiser, venant lui offrir à nouveau un baiser ô amoureux.

Tenue

Yano n’était résolument pas très fier d’avoir du se faire passer pour malade alors qu’il n’était atteint d’aucun maux, seulement il n’avait pu aller contre les battements effrénés de son cœur qui lui avait dicté sa conduite. Il lui était résolument impossible de ne point songer à fêter cette journée qui se trouvait être celle-ci. Comment pouvait-il ignorer que cela faisait juste un mois qu’ils étaient ensemble, que ce fantasme qu’avait été sien était devenu une réalité ? Impossible. Il ne pouvait nier qu’il vivait un bonheur sans nom auprès de cet être qui avait toujours jusqu’à ce jour su apporter un bien être incommensurable à sa personne. Ainsi, la seule chose qu’il regrettait en ce jour, c’était bel et bien de l’avoir inquiéter. Connaissant son ange mieux que personne d’autre, il le savait très anxieux par nature, ainsi il ne s’était nullement senti surprit par sa missive. A vrai dire, il aurait souhaité être en mesure de le rassurer en premier lieu avant que toute inquiétude ne vienne frapper son être. Seulement il s’était laissé égarer, aveuglé par son ardant désir de lui confectionner ce magnifique cadeau que se trouvait être cette soirée. Il est donc évidant qu’il avait immédiatement répondu à sa missive, se réprimant de l’oubli dont il avait fait preuve mais le mal était fait et il ne pouvait que le déplorer. Ce fait l’avait alors tourmenté quelque peu en venant ternir son engouement pour préparer cette soirée. Seulement il s’était promit de s’excuser dès lors qu’il serait rentré et c’était ce qu’il avait fait. En le voyant passé le bas de la porte, il avait vu ses traits marqués et cela n’avait fait que le peiner d’autant plus. Il ne pouvait supporter l’idée de le voir ainsi mais son âme sembla s’apaiser lorsqu’il vit son tendre sourire venir se figer sur ses lèvres, le voyant venir à lui.

Le laissant pleinement faire, se contentant seulement de le regarder avec amour, il accepta et savoura ô pleinement le baiser que ce dernier lui tendit. Ses lèvres lui avaient alors tant manqué au cours de la journée qu’il ne pouvait nullement s’empêcher de désirer les baiser encore et continuellement. Sentant doucement son ange venir placer ses cuisses autour des siennes et l’enlacer, il vint doucement glisser ses doigts à son tour sur son torse pour profiter de cette étreinte qu’ils s’accordaient. Il sentit alors doucement les lèvres de son ange se retirer des siennes, tandis qu’il lui murmurait qu’il lui avait terriblement manqué mais qu’il ne lui en voulait point car il lui avait fait une magnifique surprise. Lorsque ce dernier abhorra une moue boudeuse, il ne pu que le trouver adorable alors qu’il ne cessait de le complimenter et lui susurrer qu’il aimait. Dieu seul savait ô combien ses mots lui allaient droit au cœur et le rendait fou d’amour pour se dernier alors qu’il sentait de nouveau les lèvres de ce dernier se mêler aux siennes. Fermant ses paupières, il l’embrassa avec amour alors qu’il glissait ses phalanges sur son torse pour se glisser à sa nuque en approfondissant ce baiser avec tendresse. Il aimait résolument l’embrasser, cela en devenait même une douce obsession au point qu’il s’en lassait ô grand jamais tant ces derniers le rendait fou d’amour. Relâchant ses prisonnières, il soupira d’aise, le souffle court alors qu’il rouvrait délicatement ses paupières. Il vint alors doucement caresser sa nuque d’une main tandis que l’autre câliner tendrement sa joue

« Moi aussi…moi aussi je t’aime mon amour… » Murmura-t-il dans une douce voix alors qu’un sourire pleinement heureux se figer sur ses lèvres. « Tu n’as aucune raison de te sentir désavantagé ce soir, mon amour… tu es résolument le plus beau cadeau qu’il aurait été possible d'avoir… te savoir là, avec moi, si magnifique, si tendre et amoureux c’est résolument plus que je ne pourrai souhaiter. Je veux seulement te rendre heureux, ce soir, n’être qu’à toi mon tendre amour. »

Sur ses mots, ses lèvres vinrent de nouveau lui voler un doux et merveilleux baiser alors qu’il dévorait délicieusement ses prisonnières en susurrant tout contre elles d’une voix fébrile.

« Tu m’as tant manqué mon amour... »

Pardonner Yano, il n’avait fallu que peu de temps avant que Kisuk ne pardonne à son tendre amour son comportement et le fait qu’il lui avait menti, se faisant passer pour un malade. Ki Suk de nature inquiète n’avait pu alors que ressentir de la peur de voir Yano malade chez eux, même une simple migraine l’inquiétait dès qu’il s’agissait de lui. Protecteur, il l’avait toujours été alors il ne pouvait jamais de l’être au côté de cet être qui comptait tant à ses yeux. Seulement, il lui avait fallu de voir la décoration de leur appartement pour se rendre que Yano avait passé de nombreuses heures à rendre la décoration parfaite pour leur premier mois ensemble. Ainsi, souriant il n’avait pu nullement lui en vouloir alors qu’à peine rentré il s’était retrouvé assis sur ces genoux, encerclant ses hanches de ses cuisses pour échanger un merveilleux baiser avec lui. Un baiser ô électrisant alors qu’il sentait les mains de Yano sur son torse. Il l’avait ensuite murmuré qu’il lui avait terriblement manqué pendant cette journée qui l’avait pardonné, trouvant sa surprise plus qu’adorable et touchante. Le côté romantique de Yano ne pouvait que lui plaire, pour lui qui aimait particulièrement recevoir de l’amour des personnes qui lui étaient chères. Souriant alors il était venu embrasser les lèvres de son tendre et cher pour échanger un baiser, un baiser qui ne pouvait que l’enchanter, tant ses lèvres lui avaient manqué pendant ses heures qui les avaient séparés.

Souriant, il observait Yano l’observer avec un regard conquis et amoureux tandis qu’il caressait sa nuque d’une main, en même temps que l’autre main caressait tendrement sa joue, lui murmurant des mots d’amour, lui disant qu’il n’avait aucune raison de se sentir désavantagé, qu’il était résolument le plus beau cadeau qu’il lui était possible d’avoir. Le savoir là, avec lui, se trouvait être si magnifique. Il souhaitait seulement en ce soir le rendre heureux, de n’être qu’à lui. A la suite de ses mots, il était venu embrasser ses lèvres ensuite, les dévorant alors qu’il murmurait encore ses mots, qu’il lui avait tant manqué aujourd’hui. Souriant à ses mots, Ki Suk vint à nouveau se coller un peu plus à lui, murmurant : « Yano… tu m’as terriblement manqué aussi. Tu es le plus beau présent de ma vie, tu le sais ? Nous fêtons nos 1 mois ensemble, et j’aimerais que notre histoire dure pour toujours… vraiment. Je t’aime tellement mon Yano. Cette magnifique surprise que tu as organisée me semble être la plus belle qu’on aurait pu me faire. » Souriant à ces propres mots, il vint poser sa tête doucement sur sa nuque, fermant les yeux il vint tendrement souffler sur les mèches de ses cheveux qui se trouvaient à la hauteur de ses lèvres. Heureux, il lui semblait qu’être plus heureux semblait impossible tant il se sentait ravi et enchanté d’être à ses côtés. Il vint alors passer ses bras autour du corps de Yano, venant caresser les formes ô musclées et attirantes de son dos. « Je ne me lasserai jamais d’être contre toi mon prince charmant… ».

Ne souhaitant nullement quitter ses bras, il sourit tendrement continuant de caresser cet homme dont il était amoureux depuis de nombreux mois, sans jamais pouvoir s’en lasser et pouvoir taire ses sentiments. Rouvrant les yeux, il vint attraper avec l’une de ses mains un pétale de rose qui s’était posé sur le canapé, continuant de sourire et venant murmurer au creux de son oreille, se redressant légèrement. « Tu sais qu’un des côtés qui me plait le plus chez toi se trouve être ton romantisme ? J’ai l’impression à chaque seconde de tomber plus amoureux de toi… tu es si parfait, si charmant. Tu dois être définitivement le prince charmant qui m’était destiné. Toutes tes attentions me rendent toujours plus addictifs à toi… j’espère alors que pour toi je suis aussi le parfait prince charmant que tu attendais depuis de longues années. Je fais de mon mieux pour l’être en tout cas mon tendre aimé… » dit-il alors qu’il venait embrasser son cou de tendres baisers.

Aux contacts des lèvres de son ange, il avait alors tout simplement l’impression de revivre, de sentir son être reprendre goût à la vie comme si ce dernier tombait tout simplement en hibernation à chaque fois que ce dernier s’éloignait trop de lui. La vérité n’était en fin de compte pas si éloignée de la réalité et il en avait pleinement conscience. En l’espace de quelques mois, quelques années, Ki Suk était résolument devenu une présence dont il ne pouvait point se passer. Lui enlever cette place si inestimable à ses yeux, n’était point tolérable et savoir que désormais il n’avait plus à s’intimer à agir de la sorte, le rendait si cruellement heureux que cela se dépeignait malgré lui. Savourant les courbes si parfaites de son ange que ses phalanges avaient le loisir d’explorer, il le dévorait du  regard avec douceur et amour tandis qu’il ne pouvait s’empêcher de fondre face à ce sourire angélique que son amour lui tendait. Il était si parfait ainsi, si merveilleusement attirable qu’il ne pu que frissonner doucement lorsqu’il le sentit se serrer plus fermement contre lui alors qu’il lui susurrait à son tout qu’il lui avait cruellement manque aussi.

L’entendre lui murmurer qu’il était le plus beau présent de sa vie, le transcendant totalement alors qu’il ajoutait qu’il voulait que leur histoire dure pour toujours. Yano n’avait nullement l’intention de lui laisser la possibilité de le quitter, de rompre à jamais cette relation si précieuse qu’ils entretenaient depuis toujours. Il était désormais indispensable à son bonheur et aujourd’hui bien plus qu’auparavant. Il le sentit poser sa tête doucement sur sa nuque alors qu’il frissonnait sous le souffle de son ange qui s’amusait sur cette dernière. Il vint faire de même que son ange en glissant à son tour ses mains autour de son dos, le caressant tandis que son être semblait pleinement heureux. Lorsque ce dernier lui murmura qu’il ne se lasserait jamais d’être contre lui, qui se trouvait être son prince charmant, il ne put que sentir son être s’emplir d’une chaleur plus intense alors qu’avec tendresse ses lèvres venaient baiser sa  nuque avec amour en murmurant à son tour.

« Moi non plus, mon ange… »

Il ne mentait pas, il ne pouvait plus se passer de sa personne. Il était ce qu’il possédait de plus cher au monde et si la chance lui était donnée, oui sans aucun doute qu’il pourrait passer ses journées entières à le câliner et l’embrasser ainsi. Souriant tendrement aux murmures fais au creux de son oreille, il ne pu que rire avec douceur de ces derniers. Il était si heureux de l’entendre dire cela alors qu’il glissait ses phalanges sur son torse pour venir lui caresser la nuque alors qu’il frissonnait doucement à ses baisers sur sa propre nuque.

« Baka. » murmura-t-il doucement au creux de son oreille alors qu’il resserrait son étreinte autour de son torse.

« Je ne puis qu’être enchanté par les mots ô enchanteurs que tu me tends… mon amour. Ils sont si parfaits et me rendent si heureux, tu sais ? Si je suis ce prince si charmant et si parfait que tu attendais, je ne peux que m’en sentir pleinement satisfait car je représente alors l’idéal pour l’ange auquel je tiens le plus au monde. Un ange si parfait que je ne puis escompter passer la moindre journée sans sa compagnie, sa présence. Un ange si inestimable à mes yeux que mon être sombrerait à jamais dans la démence si on le lui retirait. Je t’aime comme un fou mon amour et je ne peux t’exprimer ses sentiments qu’à travers de mes gestes, mes actes, mes mots, que je trouve pourtant ne sont malheureusement pas assez forts pour te montrer leur profondeur. Tu es le seul que j’aime et que je désire plus que tout au monde et jamais je n’accepterai que tu t’éloignes de moi.  »

Quelque peu fébrile par les mots qu’il venait de prononcer c’est avec un besoin salutaire pour son âme, qu’il vint délicatement baiser la nuque de son ange avec volupté et amour, dévorant cette dernière de ses lèvres comme pour tenter d’atténuer une soif insatiable qu’il avait de sa personne.

Le plus bel présent de sa vie, Yano l’était véritablement aux yeux de Ki Suk. Il lui suffisait de sentir son cœur battre dans sa cage thoracique pour s’en rendre compte, de sentir son souffle se couper à chaque fois qu’il avait Yano dans sa vision. Il lui suffisait seulement d’apercevoir la silhouette de son tendre aimé chaque jour pour se sentir pleinement heureux, de se sentir vivant et de revoir sur son visage un doux sourire qui lui était simplement impossible de quitter dès lors qu’il se trouvait près de l’être aimé. Cette soirée en était bien la preuve alors qu’il avait retrouvé le sourire à la vue de Yano sur le canapé, sagement installé dans le fauteuil qui l’attendait depuis de nombreuses minutes, qui attendait sa venue depuis de nombreuses minutes. Yano était décidément le meilleur des petits amis de ce bas monde, il en était persuadé alors qu’il ne pouvait s’empêcher de regarder la décoration avec amour tout en regardant toujours son aimé qui se trouvait être entre ses bras. Appartenir à cet être, appartenir totalement à cette personne ne le dérangeait nullement… appartenir à cet être ne pouvait molester aucune personne sur cette terre et encore moins lui. Pour lui qui songeait finir ses jours à ses côtés, lui appartenir lui semblait être la meilleure chose qui pouvait lui arriver dans ce bas monde. Il souhaitait tellement que leur histoire dure jusqu’à la fin de leurs jours jusqu’à ne plus se séparer. Un prince charmant, un doux prince charmant, Yano se trouvait à ses yeux l’incarnation de cet homme dont rêver les jeunes femmes… et Ki Suk espérait et désirait ne le garder que pour lui à tout jamais. Il se trouvait bien trop amoureux de cet homme pour ne serait-ce que songer à le quitter et vivre au côté d’un autre homme.

Ki Suk se mit doucement à sourire et soupirer de bien-être à nouveau alors que Yano venait simplement embrasser sa nuque avec tendresse en murmurant que lui aussi ne se lasserait sans doute jamais de se retrouver dans ses bras, comme en cet instant. L’endroit le plus sûr de ce bas monde se trouvait être dans les bras de l’être aimé, Ki Suk n’en doutait nullement tant les sensations dans ceux-ci se retrouvaient tant agréables. Le jeune bulsajo ne put alors que sourire alors qu’il embrassait sa nuque tout en murmurant des mots si enchanteurs pour la personne de Yano. L’effet ne fut pas sans résultat, yano réagit positivement et vint glisser ses phalanges sur son torse pour venir lui caresser la nuque à son tour. Le léger Baka qui sortit simplement de la bouche de Yano le fit doucement rire alors qu’il venait resserrer son étreinte autour de son torse. Il vint alors lui murmurer contre son oreille qu’il était ravi de ses mots et le rendaient particulièrement heureux, ravi d’être son prince charmant, se sentant satisfait qu’il représentait un homme parfait pour l’homme qui était son idéal, un ange, un être si parfait pour lui.

Souriant tendrement, il vint alors gémir tendrement alors que Yano venait embrasser sa nuque avec volupté et amour à la suite de ses mots avant de murmurer : « ô grand jamais je ne souhaite prendre une autre route si je suis loin de toi mon tendre aimé, je souhaite seulement rester à tes côtés et ne jamais te quitter, peu importe ce que l’on vivra et devra affronter, je veux seulement vivre avec toi pour toujours » dit-il avant de frissonner à nouveau au baiser que Yano venait à nouveau de poser sur sa nuque, un des point sensibles de Hu Jun qui le faisait simplement soupirer de bien-être. Un point que Yano n’hésita nullement à baiser de ses lèvres à nouveau alors qu’Hu Jun ne pouvait encore s’empêcher de frissonner alors même qu’il penchait simplement la tête comme pour sentir ce plaisir à nouveau qui parcourait son cœur. Ainsi, il laissa échapper quelques mots à son aimé: « Yano… tes baisers sont particulièrement agréables, tu le sais ? Surtout n’arrêtes pas mon tendre amour… » dit-il alors que ses mains se perdaient simplement dans le dos de Yano, venant caresser ses formes qui lui plaisaient tant, n’hésitant pas à venir passer ses mains sous la chemise de Yano pour les frôler de plus près.

Il vint alors relever la tête doucement pour venir lui murmurer au creux de son oreille quelques mots : « Tu es absolument magnifique dans ce costume mon tendre amour, tu le sais ? Cette chemise légèrement entrouverte te rend incroyablement attirant… même si tu l’es toujours à mes yeux, peu importe la situation. Tu es le plus beau prince charmant de ce monde, tu le sais ? » dit-il alors qu’il venait à son tour baiser la nuque de son cher et tendre, remontant ses mains pour les placer vers le haut du dos de Yano, heureux de le sentir frissonner à chacun de ses baisers et de ses caresses. Sentir Yano si sensible contre lui ne pouvait que lui faire plaisir, pour lui qui se trouvait tant dépendant de ses baisers à chaque instant.

Suivant son instinct, il vint tendrement descendre son visage jusqu’à atteindre l’ouverture de la chemise pour déposer de doux baisers sur le haut de son torse dévoilé, en souriant alors que ses mains ne restaient nullement inactives, caressant avec plus de ferveur son dos. Il se recula alors de quelques centimètres pour embrasser avec plus de ferveur le haut de son torse.

Fébrile, son être ne pouvait que l’être alors qu’il prenait conscience peu à peu de la portée des mots ô enchanteurs que venaient de prononcer son ange. Apprendre qu’il était résolument aux yeux de ce dernier, le meilleur des princes charmant qu’il avait souhaité avoir, était source d’un bien être incommensurable. Il se sentait tellement comblé par ces paroles ô merveilleuses pour son être, qui se nourrissait de ces dernières pour ne cesser de faire accroitre sa jauge de bonheur aux côtés de cet ange. Un ange qui lui faisait résolument perdre la tête alors qu’il se sentait doucement être la victime du fulgurant amour qui le possédait depuis un mois. Un amour qui s’était révélé comme un miracle tant attendu pour sa personne et qui lui permettait pleinement de profiter de cette félicité qu’était désormais son lot quotidien. Niché au creux de cette douce et délicate nuque qu’il baisait de ses lèvres, il s’efforçait du mieux qu’il pouvait de lui transmettre alors tout ce désir incommensurable qu’il provoquait en son âme de le couvrir de son affection. Une affection passionnée qui désirait envers et contre tout apporter une certaine félicité à ce dernier afin qu’ils vivent, touchent ce bout de paradis ensemble.

Il ne pouvait se sentir résolument qu’accompli de le sentir renforcer leur étreinte en laissant ses délicates phalanges venir flatter son dos avec un exquis désir, qui conférait à son être une chaleur terriblement additive de laquelle il avait résolument du mal à s’en retirer. Une exquise chaleur qui prenait naissance dans son doux besoin de contact avec son ange. Que ce soit de le prendre dans ses bras, de lui caressait doucement de ses doigts son visage ou de venir sceller ses lèvres des siennes, il avait besoin de tout cela, son être n’avait de cesse de le réclamer et en vouloir toujours plus. Quand bien même n’avaient-ils jusqu’à ce jour point poussés plus loin leurs douces caresses, il ne pouvait nier qu’une partie de son être désirait bien plus que cela. Tout au fond de sa personne se développait un profond et cupide désir de dépasser outre les  frontières de cette douce amitié poussée. Une amitié qui n’en avait plus que le nom officiellement car officieusement, c’était bel et bien un amour puissant et terriblement bienfaiteur qui les liaient désormais l’un à l’autre. Tout comme son ange, il savait ô combien il allait leur être pleinement difficile de résister à l’appel de la chair de l’autre. Au cours de ce mois, bien que très maladroit, ils avaient faillis de nombreuses fois se lancer sur ce terrain glissant. S’ils ne l’avaient point dépassé c’est avant tout pour ne point brusquer leur relation qui était tout simplement officielle. Cela n’avait aucun sens de vouloir bousculer les choses et il prenait un grand plaisir à savourer leur amour tel qu’il était. Durant ce doux mois, il s’était contenté aisément de ses simples baisers, caresses, susurres murmurées à l’oreille de l’autre.

Mais ce soir, il ne pouvait nier ô combien il lui était résolument difficile de ne point s’enflammer, d’autant lorsqu’il le sentait gémir tendrement face à ces baisers et caresses en murmurant  qu’il ne savait pas ô combien il ne souhaitait nullement prendre une autre route que la sienne tant il désirait rester à ses côtés et ne jamais le quitter. Oui peut importe ce qu’ils devraient vivre et affronter il voulait seulement être avec lui pour toujours. Ces mots délicieux n’avaient de cesse de venir apporter un peu plus de combustible à ce feu incessant qui résidait au creux de son être. Il ne se laissait nullement de voir le corps de son aimé être transcendait par ses frisons d’exquis bonheur comme de le voir pencher la tête pour profiter de ses baisers. Lorsque ce dernier lui murmura qu’il trouvait ses baisers particulièrement agréable et qu’il ne souhaitait pas qu’il s’arrête, il ne pu que sourire de plaisir alors qu’il sentait délicatement les phalanges de son ange se glisser sous le tissu de sa chemise pour venir flatter son dos. Le doux contact charnel de leurs deux chairs le fit soupirer délicieusement contre la chair de son ange alors qu’il fermait délicatement les paupières. Il avait l’impression qu’il se laissait délicatement dévorer par ce monstre qu’était la luxure mais il était bien trop fébrile et faible pour lutter contre ce dernier. D’autant plus difficile lorsqu’il sentit délicatement son ange se comporter de façon sensuelle à son égard en proférant des paroles qui ne pouvait qu’éveillait son désir.

Un désir qui ne faisait que de s’accroitre alors qu’il gémissait doucement en sentant les douces lèvres de son ange se poser sur le haut de son buste, le dévorant avec douceur et envie. Ki suk ne pouvait dans cette position ignorait ô combien les palpitations de son cœur se faisait à une vitesse étourdissantes sous la pulpe de ses lèvres. Il commençait à avoir chaud, laissant son être se laisser quelque peu emporté par cette délicieuse chaleur qui l’habitait de plus en plus intimement. Poussé par son instinct et son désir, il vint délicatement glisser ses doigts sur son gilet pour entreprendre à le lui retirer avant de mouvoir ces derniers sous le tissu de son t-shirt pour enfin frôler cette chair tant désirée et aimé. Aux contacts de ses phalanges sur sa chair, il laissa échapper un léger soupire de bonheur, se mordant tendrement les lèvres alors qu’il l’explorer avec timidité, savourant pleinement ses formes comme s’il s’agissait d’un merveilleux cadeau qu’on lui offrait. Il appréciait ô grandement ce contact comme il se sentait doucement consumer par le désir. C’est donc dans une fébrilité intense et passionnée qu’il laissa échapper ces quelques mots :

« mon amour, c’est si délicieux… j’ai l’impression de me consumer face à tant de chaleur étourdissante... Tu sembles… est si parfait sous mes doigts, que je me sens cupide de vouloir te découvrir encore plus et pourtant… mon amour… je t’en prie, donne-moi cette chance de pouvoir le faire. J’ai tellement envie de te toucher. »

Des mots qui exprimaient ô pleinement le désir qui l’habitait alors qu’il continuait de caresser ses abdos remontant délicatement ses doigts jusqu’à ces biceps, qu’il flatta avec volupté alors qu’il se laissait délicatement soupirer de nouveau. Il se sentait si délicieusement bien à cet instant…

Cela faisait en ce jour un mois que les deux jeunes hommes s’étaient déclarés leur amour, un jour qui resterait dans leur mémoire comme l’un des jours le plus heureux de leur vie. Un jour où ils avaient enfin pu dévoiler leurs plus secrètes pensées, sentiments pour leur personne. Des sentiments d’amitié qui avaient depuis bien des mois disparu pour laisser naitre de doux sentiments d’amour, qui à présent ne pouvait que les rendre heureux et lui donner l’impression d’être l’homme le plus chanceux de ce monde. Il vivait une réelle idylle à ses côtés et ne souhaitait pour rien au monde l’arrêter. Ses jours lui avaient tant paru si parfaits à ses côtés qu’il se sentait peu à peu toujours plus amoureux de cet être ô splendide qui ne cessait ô grand jamais de le séduire chaque jour à travers ses gestes, à travers ses mots, ses attentions. Leur relation avait aussi quelque peu évolué au cours de ce mois même s’ils n’avaient pas encore à ce jour dépassé un certain cap, ils s’étaient seulement pendant ses dernières semaines contentaient de nombreux baisers et de caresses, entre des murmures prononcées au creux de leurs oreilles. Une étape n’était pas encore franchie dans leur relation et cela ne dérangeait nullement Ki Suk qui prenait plaisir peu à peu à découvrir les nouvelles facettes de son ange, et le plaisir d’une relation d’amour pure. Ki Suk n’avait nullement au cours de son existence eu l’occasion de découvrir une vraie relation d’amour avec une personne, sa pseudo relation amoureuse avec ce jeune moldu il y avait plusieurs mois se trouvaient bien factices à ses yeux. Heureux, il l’était de n’avoir nullement cédé au plaisir de la chair avec une quelconque personne autre que Yano, ainsi il pouvait ressentir toutes émotions, toutes ses envies au creux des bras de l’homme qu’il aimait de tout son cœur. Il n’aurait pu nullement s’en plaindre d’une quelconque manière.

Ce fut sans aucun doute ces sensations ô nouvelles pour lui qui lui permirent de peu à peu se laisser guider par ses désirs, son envie, de céder et venir embrasser la nuque de son cher et tendre tandis que ses mains s’étaient dirigées seules ver les dos de Yano, se faufilant sous son tee-shirt pour caresses ses formes qu’il avait tant désiré pendant ses derniers mois. Les mots qu’il prononçait en cet instant trahissaient alors toutes les émotions qui transcendaient son être. Chaque baiser déposé au creux de sa nuque le faisait doucement frissonner, venant murmurer à nouveau qu’il ne cesse ô grand jamais de l’embrasser. Seulement, comme s’il se trouvait las de ce simple contact, Ki Suk vint tendrement poser ses lèvres sur le haut du torse de Yano, effleurant de ses lèvres la peau qui lui était permis d’observer et de goûter, guidé par une légère passion et une envie de découvrir ce corps ô magnifique.

Yano ne resta nullement inactif, il laissa échapper un doux sourire alors qu’il sentait ses doigts se glissaient sur son gilet pour entreprendre de lui enlever, laissant ses doigts venir frôler sa chair. Au contact de ses doigts, il laissa échapper un doux gémissement contre son torse, sentant ses doigts découvrir sa peau avec timidité, pour la première fois ainsi. Souriant il entendit Yano soupirer avec fébrilité qu’il trouvait cet instant particulièrement délicieux, qu’il avait la secrète impression de se consumer face à tant de chaleur étourdissante. Il lui semblait qu’il se trouvait si parfait sous ses doigts, se sentant bien cupide de vouloir découvrir son corps encore plus. Cependant il lui demandait alors en cet instant s’il lui donnait la chance de pouvoir le faire, il avait tellement envie de le faire, de le toucher… Souriant à ses mots et aux caresses sur son corps, sur ses abdos alors que ses doigts remontaient sur ces biceps avec volupté. A ces mots le jeune bulsajo vint doucement sourire, alors qu’il déposait à nouveau des baisers sur le haut de son torse, venant souffler sur sa peau alors qu’il remontait ses lèvres vers sa nuque tout en murmurant contre lui ; « Ne te sens nullement cupide mon tendre aimé… tu n’as aucune raison de le faire. Surtout pas alors que je désire tout autant que toi découvrir ton corps, ce corps qui me fait tant rêver depuis tant de mois à tes côtés…» continua-t-il alors que ses mains caressaient encore son dos avec ferveur jusqu’à les détacher de ce corps et les apposer sur ses reins, par-dessus sa chemise.

Guidé par une nouvelle passion qui possédait peu à peu son être, comme pour soulager Yano et ne pas qu’il se sente peut-être cupide de ses envies, il vint lui voler un doux baiser avant de venir remonter lui-même son tee-shirt pour le poser ensuite non loin d’eux. Souriant, il vint embrasser à nouveau la nuque de son tendre et cher amour, heureux de pouvoir répondre à son tour au souhait de Yano, celui de lui permettre de découvrir son corps, lui offrant alors une vision ô enchanteresse de ce corps qu’il l’aimait tout particulièrement. Souriant tendrement venant embrasser à nouveau le haut de son torse, il vint, guidé par cette nouvelle passion et curiosité, enlever avec délicatesse les quelques boutons de sa chemise, avec peut-être maladresse mais il suivait simplement son envie de découvrir le corps de son tendre et cher amour.

Souriant et venant embrasser sa nuque à nouveau, il vint placer ses mains sur son torse à présent découvert, venant effectuer quelques caresses timides pour la première fois. Caresser ce torse ô parfait lui semblait réellement plaisant, même si son inexpérience risquait de se voir et de se faire remarquer par Yano. Il vint alors souffler au creux de l’oreille de Yano ces mots : « Yano… tu es parfait, tu le sais ? »

Au contact de sa chair, il ne pouvait que se sentir de plus en plus cupide d’autant plus lorsqu’il se retrouvait face à un Ki Suk si passionné, qui tout comme lui semblait plus que tout découvrir son corps du bout de ses doigts, de sa chair. La douce chaleur envoutante qui l’habitait alors, animé par tant de caresses voluptueuses de la part de son ange, le transcendait totalement. Il avait alors l’impression de bruler sous la chaleur d’un feu incandescent qui prenait de plus en plus possession de sa chair et qui le laissait être le simple pantin de sa convoitise, qui se trouvait être de le découvrir. Il avait pour aspiration de découvrir le corps si sculpté de son aimé sous la pulpe de ses doigts, de ses lèvres. Tout comme ce dernier avait le loisir de baiser la chair de sa clavicule, il avait pour intime souhait de faire de même et ses mots allaient en ce sens. Cette supplique, qui n’était alors que le résultat des caresses ô dévorantes et planantes de son amour, lui intimait de lui donner ce merveilleux droit qu’il désirait être sien. Le doux soupir d’aise qui s’était échappé des lèvres de son ange, le captivait totalement tant il trouvait ça merveilleux. Découvrir son torse sous ses doigts, envisager la moindre de ses courbes ne faisait qu’augmenter la température élevée de sa chair tant ce désir de l’autre ne cessait de s’accroitre. Il appréciait cet instant empli de sensualité alors qu’il sentait la pulpe des lèvres de son ange continuer leur expédition sur sa chair dans un doux sourire, remontant sur sa nuque, qui se trouvait fort fébrile à ce genre d’attention.

Laissant un énième soupir de bien être franchir ses lèvres, il ne pu que sentir son cœur bondir au creux de sa poitrine à cet exquis frison qui le traversa alors que son ange lui susurrait de ne point se sentir cupide. Il n’avait aucune raison de le faire d’autant plus qu’il désirait tout autant que lui découvrir son corps. Un corps qui tout comme lui, le faisait rêver depuis tant de mois. Il soupira légèrement en sentant les phalanges de son ange quitter sa chair et sa chemise. Son être semblait totalement désapprouver ce geste alors qu’il pouvait de nouveau les sentir sur ses reins, déterminés à faire intensifier cette douce euphorie tandis qu’il se perdait dans le baiser que ce dernier lui tendait. Ki Suk était si magnifique et sensuel à cet instant alors qu’il le sentait de nouveau quitter ses lèvres pour enlever lui-même son t-shirt, lui laissant pleinement le loisir de le dévorer du regard. Chose qu’il ne se gêna nullement de le faire alors que ses doigts exploraient librement sa chair avec voluptée et désir alors qu’il sentait doucement son ange le dévêtir à son tour de sa chemise, l’entrouvrant pleinement pour lui donner la possibilité de le découvrir. Les doux mots de Ki Suk, le firent doucement soupirer d’aise alors qu’il lui murmurait au creux de l’oreille qu’il était parfait à ses yeux. Souriant avec douceur à ces derniers, il vint délicatement à son tour baiser la nuque de son amour avec appétit, glissant ses lèvres sur la pulpe si exquise et additive de sa chair, susurrant son délicieux prénom. Ses doigts quant à eux dessinés le moindre de ses muscles, glissant sur ses reins alors que ses lèvres explorer le haut de sa nuque. Il lui semblait si parfait sous ses gestes et baisers. Voir le corps de son ange réagir favorablement à ses derniers l’exaltait totalement alors qu’il glissait doucement ses lèvres sur sa clavicule pour se sentir pleinement comblé de sentir son rythme cardiaque incessant venir rythmer ses baisers. Dessinant la ligne menant à son cœur, ses lèvres vinrent baiser cette douce cicatrice, qui se trouvait être l’unique trace d’une tragédie. Une tragédie qui lui avait fait connaitre la pire des tourmente et qui avait fait sombrer dans un chaos des plus cuisant. C’était grâce à elle, qu’il avait pu prendre conscience de l’importance que son être avait concédé à Ki Suk et ce soir, en baisant cette cicatrice, unique vestige de cet évènement, il souhaitait intimement lui en faire part, glissant ses phalanges jusqu’à cette dernière pour la frôler avec douceur. Son regard quant à lui, si brillant et empli d’un amour débordant vint se plonger dans celui de son amour alors qu’il lui souriait avec douceur, dessinant cette dernière  en murmurant.

« Toi aussi mon amour… Tu es résolument l’être le plus parfait que je connaisse… même cette cicatrice aussi cruelle puisse-t-elle être pour toi, elle est le dernier vestige de ce jour ô combien pénible où j’ai eu la sensation de mourir tant mon être semblait se décomposer à l’idée de te perdre… je ne te l’ai jamais dis jusqu’à ce jour mais… ce jour là lorsque tu es tombé sous mes yeux, c’était comme si… mon cœur avait cessé de battre en un instant… un seul instant qui m’a fait perdre toute raison et… lorsque j’étais à ton chevet, je ne pouvais pas m’empêcher de susurrer ton prénom, t’observant constamment avec cette inquiétude perpétuelle sur le visage, ne cessant ô grand jamais de caresser tes traits loin des yeux indiscrets. Ce jour là, je crois qu’inconsciemment j’ai su que je ne voulais plus jamais te faire passer avant quiconque… pas même pour Mi Na… et c’est une chose que je ne pourrais jamais oublier et qui revient lorsque mes yeux rencontre cette si belle cicatrice. »

Souriant tendrement à ses paroles, quelque peu gêné de les avoir prononcés, il vint doucement glisser ses phalanges sur la nuque de son ange pour l’intimer à rejoindre ses lèvres. Il les caressa longuement, savourant ô profondément leurs contacts bienfaiteurs alors qu’il les relâchait quelques instant pour murmurer :

« Je t’aime depuis des années et c’est que depuis un mois que je m’en rends compte mais je sais désormais, que je pourrais plus jamais me passer de toi… Sans toi, je ne suis rien, si ce n’est cette poupée de chiffon que j’étais avant de te rencontrer. »

En ce jour béni, Ki Suk avait enfin l’occasion de pouvoir découvrir le corps de son tendre et cher ami, une date qui n’était nullement anodine, ils fêtaient ensemble leur un mois de relation ensemble. Ainsi, assis sur les genoux de Yano, ses jambes encerclaient les reins de Yano, savourant leur douce étreinte après avoir passé trop d’heures éloignés l’un de l’autre à ses yeux. Le contact de la chair de Yano sur la sienne se trouvait particulièrement électrisant pour le jeune homme qui ne souhaitait qu’à chaque instant ressentir plus de plaisir au creux de ses bras. Yano ne se trouvait nullement cupide dans le fait de vouloir découvrir son corps en cette soirée puisque ce désir se trouvait également partagé par Ki Suk. Se laissant transporter par son désir, il était venu embrasser la nuque de son cher et tendre et soulever sous l’œil aguicheur de Yano son tee-shirt pour dévoiler le haut de son corps. Il ne fallut que quelques secondes avant qu’il ne sente les doigts de Yano sur son torse, effleurer chaque centimètre de sa chair, le faisant doucement frissonner. Ne pouvant nullement rester ainsi, désirant caresser ce corps ô tentateur de son cher et tendre, il vint alors détacher peu à peu chacun des boutons de la chemise de son amour avec délicatesse pour lui permettre de découvrir pleinement ce torse et le dévorer du regard, se mordant les lèvres face à cette vue si plaisante. Ses doigts étaient venus alors se déposer sur sa peau, découvrant peu à peu cette peau si inconnue murmurant simplement que Yano se trouvait totalement parfait.

Il ne put que frissonner tendrement alors que Yano venait baiser sa nuque avec tendresse et appétit, glissant sur sa peau murmurant son doux prénom. Ki Suk ne pouvait qu’aimer entendre son nom sortir de la bouche de Yano… Ses doigts vinrent glisser sur ses muscles et ses reins alors que ses lèvres allaient tendrement baiser sur sa clavicule, jusqu’à effleurer la cicatrice qu’il avait sur son corps, une cicatrice qui avait le denier vestige de cet accident qu’il avait vécut quelques années auparavant. Il releva légèrement le regard alors qu’il sentait les doigts de Yano frôlaient cette dernière avec douceur, en même temps qu’il lui lançait un regard plein d’amour. Il vint alors lui murmurer qu’il se trouvait être l’être le plus parfait qu’il connaisse, même si cette cicatrice aussi cruelle pouvait-elle être pour lui était le vestige de ce jour ô combien pénible. Il avait eu l’impression de mourir à l’idée de le perdre, son cœur avait cessé de battre un instant, il avait perdu raison. Lorsqu’il avait été à son chevet, il n’avait pu s’empêcher de susurrer son nom, l’observant avec toujours cette inquiétude, ne cessant de caresser ses traits loin des yeux indiscrets. Ce jour-là, il avait su inconsciemment qu’il ne voulait plus le faire passer avant quiconque et c’était une chose qui revenait à chaque fois qu’il voyait cette cicatrice. Ne pouvant résister à Yano, il était venu répondre au doux baiser de Yano, lui offrant un merveilleux sourire alors qu’il reprenait la parole, lui murmurant des mots ô envoutants pour sa personne, qui le firent frissonner de bonheur et de bien-être alors qu’à la fin des mots de Yano il vint recueillir ses lèvres dans un merveilleux baiser avant de les séparer et de murmurer à son tour :

« Mon Yano, ô grand jamais je ne m’éloignerai de toi et ô grand jamais tu ne redeviendras cette poupée de chiffon qui tu as pu être. A présent que nous connaissons chacun la nature de nos sentiments si forts… plus rien ne sous séparera. Nous nous aimons d’un amour tellement fort qu’il m’est bien impossible de pouvoir songer à une vie éloignée de toi. A propos de cette cicatrice, aussi douloureux a pu-t-elle être il y a quelques mois, jamais je ne la pleurerai… elle t’a permis de reconnaitre ses sentiments d’amours en toi en même temps qu’elle est synonyme d’espoir au plus profond de mon cœur, un espoir, l’idée que peut-être un avenir meilleur attend chacun de nous. Si elle t’a permis de découvrir la vraie nature de tes sentiments, elle ne peut qu’être belle… cette cicatrice.»

A ses mots, il vint embrasser sa nuque avec plaisir, effleurant avec l’une de ses mains le haut de son torse, venant frôler la peau situé au dessus de son cœur. Il vint alors embrasser à nouveau ses lèvres un dernier instant avant de reprendre la parole : « L’amour est quelque chose de bien particulier mon amour... tu sais ce jour, ce terrible jour où j’ai reçu ses brimades de la part de ces sangs-purs. Je ne me rappelle que peu de choses si ce n’est qu’on m’a frappé et m’a traité de « sang-de-bourbe », j’ai perdu conscience sans m’en rendre compte… Je me rappelle avoir vu ta silhouette te rapprochait de moi, uniquement de cela. Mes sentiments profonds m’ont été relevés à ce moment-là, lorsque j’ai ouvert les yeux, tu étais à mes côtés, avec ce regard empli d’inquiétude et d’amour. J’avais toujours jalousé Mi Na et tu avais bien t’en rendre compte lorsque tu étais avec elle… je me trouvais si naïf de croire que cette jalousie que je ressentais envers elle se trouvait anodine. Je t’aimais déjà et reprendre conscience en te regardant à mes côtés fut sans doute l’un des moments les plus importants de ma vie. Ce sont tes yeux qui me rendent si heureux… mon amour. Ta présence me sera pour toujours bénéfique… et je veux pour toujours rester à tes côtés.»

Du bout des doigts, Yano ne pouvait nullement s’empêcher de caresser avec délicatesse les formes si parfaite de cette cicatrice alors qu’il la fixait avec douceur. Une cicatrice qui se trouvait être le dernier vestige de cette journée ô effroyable où il avait eu l’impression de perdre la tête. Revoyant le corps inanimé de son ange dans son esprit alors qu’il glissait une de ses phalanges sur cette marque, il ne pouvait que se sentir habité par une douleur sans nom. Ce jour là, il avait cru perdre son âme, comme si sans Ki Suk il perdait toute raison de vivre, comme s’il se trouvait abandonner. Cette idée avait été si terrible pour son âme à cette époque, si seulement son ange pouvait en avoir la moindre idée. Songer à l’idée de ne plus pouvoir l’enserrer au creux de ses bras, de ne plus être en mesure de se sentir bienheureux devant ses sourires, était si effroyables pour lui. Il s’y était tant habitué à tout ceci que son âme avait profondément souffert de savoir cette chose probablement finie. Les quelques jours de coma de son ami, avaient été les plus longs de toute son existence alors qu’il s’était totalement refusé à quitter son chevet. Oui, qu’importe les recommandations du personnel de l’école, il n’avait point bougé de son tabouret, profitant de cette mise à pied justifiée et salutaire pour lui, pour veiller sur son ange. Un ange, qui lui était si précieux qu’au fond de lui-même, il ne pouvait que s’en vouloir de n’avoir point été à ses côtés. C’est ce jour là qu’il s’était décidé à ne plus jamais le mettre en second plan et de ne jamais le délaisser.

Il était cruellement heureux et gêné de lui faire part de tout cela. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il comprenait désormais ses sentiments avec une clairvoyance profonde. Déjà à l’époque, son cœur et son âme l’avait choisit comme âme sœur. Il était le seul dont il ne pouvait supporter l’idée de ne point suivre le même chemin que lui. Il l’avait alors embrassé avec douceur, souriant charmé de voir un tel sourire si merveilleux se tendre sur les lèvres si magnifiques de son ange. Les mots que ce dernier murmura après l’avoir embrassé se trouvait résolument enchanteur, merveilleux alors qu’il lui disait que rie ne les séparerait désormais tant l’amour qui les transcendait se trouvait fort et inébranlable. En ce qui concernait sa cicatrice, jamais il ne la pleurerait puisqu’elle lui avait permisse de reconnaitre ses sentiments pour lui en même temps qu’elle lui avait permisse de croire en un espoir que peut être un avenir meilleur les attendait, où ils seraient ensemble. Souriant tendrement à ces mots, il savoura ô pleinement le doux exquis frison de bien être qui le traversa sous les baisers et caresses de son ange. Il se sentait quelque peu dévoré par une douce chaleur alors qu’il poursuivait ses propres caresses sur ces biceps et cette cicatrice, soupirant dans de doux murmures le prénom de son ange.

Il était si bon d’être ainsi logé entre la chair si exquise de ce corps si magnifique, qu’il accepta avec bonheur le baiser que son ange lui tendit à son tour alors qu’il lui susurrait que ce jour là, il se rappelait que peu de choses si ce n’est des quelques insultes et coup qu’il avait reçu au point d’en perdre connaissance. Il se rappelait néanmoins avoir vu sa silhouette venir à lui. A son réveil ses sentiments profonds se sont relevés à ce moment précis où il s’était réveillé et qu’il l’avait vu si inquiet et terriblement affectueux. Il avait toujours jalousé Mi Na et il savait qu’il en avait prit conscience, seulement il avait été idiot de songer que cette cruelle animosité se trouvait anodine. Déjà à l’époque il l’aimait déjà et reprendre conscience à ses côtés était sans doute l’un des moments les plus importants car c’était son regard sur lui qui le rendait si heureux. Sa présence serait à toujours bénéfique pour son être et c’est pour cela qu’il souhaitait le garder toujours à ses côtés.

Ces doux mots eurent le don d’emplir son être d’un exquis bonheur alors qu’il glissait l’une de ses mains à sa nuque pour la caressait, laissant son pouce se choir sur sa mâchoire, dévorant de ces yeux son visage si parfait. Il était si heureux de l’entendre dire tout ceci qu’il se mit doucement à sourire avec douceur alors qu’il venait l’embrasser de nouveau avec amour. Mêlant leurs lèvres dans un exquis baiser, il susurra un nombre incommensurable de « je t’aime » avec amour entre plusieurs baisers. Il l’aimait si profondément, si indépendamment de sa volonté, que son cœur ne cessait ô grand jamais de se lasser de le lui dire. Un cœur qui avait tant prisonnier d’une raison aveugle qu’il ne pouvait pas en faire autrement, si ce n’est de se laisser doucement tenter par ce bien être vital qui ne faisait de s’accroitre chaque seconde passée tout contre sa chair. Relâchant ses douces lèvres, il sourit avec douceur alors qu’il murmurait contre ses dernières.

«  Tu es celui qui m’a fait connaitre le bonheur, le seul qui a su me révélé l’homme que je voulais être et ô grand jamais je ne pourrais le regretter… faire ta connaissance ce jour là, fut la plus belle de toutes les rencontres que j’ai pu faire. Rien et personne ne pourra voler ta place au sein de mon cœur… Si tu fus jaloux de Mi Na, je ne peux qu’avouer que je n’ai jamais réussi à supporter l’idée de te partager avec qui que ce soit… mon cœur s’y refusait et dieu seul sait ô combien tout ceci me tourmentait jour après jour, en silence. Peut être qu’au fond mes sentiments sont plus anciens que je ne le pensais mais cela n’a plus vraiment d’importance, ne ? Je t’aime et c’est tout ce qui compte désormais, mon amour. »

Souriant avec tendresse, ses doigts vinrent caresser sa chair avec douceur alors venait embrasser de nouveau ses lèvres. Guidé par son désir de le couvrir de tout cet amour qui étreignait son être, il vint délicatement quitter ses lèvres pour les mouvoir sur sa mâchoire, sa nuque en susurrant de délicieux mots d’amour. Possédé par un fort désir de possession, il vint marquer sa nuque de ses lèvres, suçotant sa nuque avec délice alors que ses doigts se mouvaient tendrement sur la chair de son torse avec délice. Il se sentait si terriblement à sa place à cet instant, dévoré à la fois par ce bonheur et ce cupide désir de découvrir son ange plus intimement. La sensation de sentir la pulpe de sa chair sous ses doigts, le rendait fou alors qu’il mouvait ses derniers à ses reins, glissant ses derniers sur le tissu de son jean, de façon quelque peu maladroite, tant il se sentait quelque peu gêné. Un petit geste de sa part qui démontrait ô combien son désir ne faisait que s’accroitre alors qu’il trouvait ses fesses si merveilleusement bien formées.

« Tu es si beau mon amour… » susurra-t-il alors qu’il glissait ses lèvres à son oreille, la baisant avec tendresse.

Cette cicatrice qui était apparue sur son torse n’était nullement une cicatrice qui était synonyme de souffrance aux yeux de Ki Suk. Cet accident certes violent à ses yeux ne l’était pas. Il avait perdu quelques jours de sa vie dans ses jours de coma forcé et décidé par l’infirmier de l’établissement qui avait souhaité que son patient souffre le moins possible de cette brimade dont il avait été la victime du seul fait que ses ancêtres ne se trouvaient pas être des sorciers. Un fait en soit qui ne pouvait nullement être blâmable par quiconque, on ne pouvait nullement choisir ses origines d’une quelconque manière. Seulement, le fait qu’il soit un enfant né moldu ne lui avait jamais posé problème et gêné au cours de son existence, même après avoir découvert qu’il se trouvait être un sorcier. Sa famille ne l’avait pas rejeté, aucun membre de cette dernière ne l’avait regardé avec un regard peut-être désobligeant envers sa personne. Il restait leur fils, ce Yoon Ki Suk qu’ils avaient toujours connu et dont ils étaient fiers depuis de nombreuses années. Ainsi, pour lui qui était passionné par le monde sorcier, comme le monde moldu, il ne s’était jamais senti inférieur et jamais cette cicatrice ne serait symbole de souffrance. Elle serait seulement symbole d’espoir, de la première fois où il s’était enfin rendu compte qu’il aimait cet homme, de cette lutte qu’il mènerait toujours contre ses sangs-purs. Cette cicatrice n’était que signe d’espoir et d’amour, elle n’avait que cette signification.


Ainsi, il pouvait que doucement frissonner lorsque les doigts de Yano vinrent effleurer cette terrible cicatrice, traçant sa forme de ses doigts, la regardant avec nostalgie et souffrance. Venant cueillir les lèvres de Yano, il était venu les embrasser dans un merveilleux sourire alors qu’il prononçait ses belles paroles contre lui alors que sa main était venue se placer sur la poitrine de Yano au niveau de son cœur. Soupirant de bien-être à son tour alors qu’il sentait Yano caresser ses biceps et cette cicatrice avec tendresse, murmurant son doux nom jusqu’à lui énoncer chacun des mots qu’il n’avait jusqu’à ce jour peut-être jamais osé dire. Yano vint alors glisser l’une de ses mains sur sa nuque pour le caresser, laissant son pouce se choir sur sa mâchoire, dévorant son regard, le faisant presque rougir tant son regard se trouvait si captivant. Il laissa échapper un doux sourire alors que Yano venait l’embrasser lui murmurant de multiples « je t’aime» avec amour encore et encore à son plus grand plaisir. Il le regarda avec amour tandis qu’il s’éloignait de ses lèvres pour murmurer qu’il était celui qui lui avait fait connaitre le bonheur, le seul qui avait su révéler l’homme qu’il voulait être ; faire sa connaissance ce jour-là fut la plus belle de toutes ses rencontres. Rien et personne ne pourrait voler sa place au sein de son cœur. S’il avait été jaloux de Mi Na, il pouvait avouer que lui non plus n’avait jamais réussi à supporter l’idée de le partager avec qui que ce soir, son cœur s’y refuser et dieu seul savait comment ceci le tourmentait jour après jour, en silence. L’essentiel dans tout ceci était qu’à présent qu’il aimait, tout simplement.

Souriant, il avait souri à ses caresses et ses baisers. Laissant un doux soupir s’échapper de sa bouche alors que Yano vint marquer sa nuque de ses lèvres, suçotant sa nuque alors que ses doigts venaient caresser le haut de son torse, sa chair avec désir. Soupirant de bien-être à nouveau il laissa à son tour glisser ses doigts sur le haut du torse, caressant ses formes ô envoutantes, avec un regard particulièrement exquis. Ses mains vinrent se poser sur ses reins, jusqu’à glisser ses mains sur le tissu de son jean de façon quelque peu maladroite qui le fit doucement frémit et sourire, sentir les mains à cet endroit se trouvait particulièrement plaisant. Les mots de Yano le firent à son frissonner en sentant ses lèvres au creux de son oreille, il le trouvait si beau, tellement beau… Souriant tendrement, il vint à son tour répondre à ses paroles alors qu’il venait baiser sa nuque en échange de son comportement, venant glisser ses mains sur le bas de son dos, venant frôler à son tour ses fesses ô parfaites à ses yeux : « Yano… je t’aime à présent moi aussi et cela restera le plus important. Un mois, cela fait un mois que je suis avec l’être le plus le plus parfait de cette terre. L’être qui me fera toujours devenir cet être avide… qui ne souhaite qu’apporter joie et bonheur à l’homme qu’il aime en tant que petit ami qui se trouve totalement amoureux et dépendant de lui.»

Souriant à ses mots il vint lui offrir un merveilleux sourire avant de venir baiser sa nuque avec tendresse, venant suçoter sa peau jusqu’à laisser une légère marque rougie, remontant ses mains jusqu’au haut de son torse pour venir tracer la moindre de ses formes, ses muscles qui se trouvaient ô attirants pour lui qui l’avait tant fait le désirer secrètement : « Depuis trop de mois mon cher et tendre j’ai désiré vouloir te caresser ainsi tu sais… caresser tes formes si exquises à mes yeux. Tu es le premier être sur cette terre que je désire tant cajoler de mon amour et de désir même si je peux paraitre maladroit par moment… peut-être. »

Souriant à ses mots il revint poser ses mains non loin de ses bouts de chairs, venant apposer ses doigts pour venir les caresser pour la première fois, peut-être maladroitement. Un désir silencieux venait prendre une part importante dans son corps alors qu’il ne cessait de dévorer du regard son tendre aimé. Il lui sourit, continuant de sourire alors que l’une de ses mains restée au niveau de ses reins s’appliquait à effectuer de douces caresses, venant caresser avec délicatesse l’une de ses fesses, comme Yano avait eu l’idée de le faire, sentir la forme de ses fesses sur ses mains se trouvaient particulièrement plaisant. « Tu es parfait… totalement parfait, chaque partie de ton corps se trouve particulièrement désirable… » murmura-t-il alors qu’il lui offrait un doux sourire, venant à nouveau suçoter la peau de sa nuque. Yano le lendemain à l’école devrait sans doute cacher ses marques… il ne put que sourire à ce fait.

Il ne pouvait nier qu’une certaine passion commençait délicatement à naitre au creux de ses reins. Il faut dire que Ki Suk était résolument magnifique à ses yeux. La moindre des courbes de son corps éveillait en sa personne, un désir malsain qui ne faisait que s’accroitre petit à petit alors que les situations telles que celle-ci se présentaient de plus en plus nombreuses. Ce n’était point la première fois qu’ils passaient un moment à s’embrasser et se caresser ainsi, savourant ô pleinement le contact entre leur deux corps, qui ne cessaient ô résolument pas de se chercher, se mêler avec désir. Seulement jamais jusqu’à ce jour, ils n’étaient allés plus loin que ces quelques caresses qu’ils s’accordaient entre de multiples baisers. Pourtant le corps de son ange n’avait plus vraiment de secret pour lui, il avait passé tant de semaines, de mois, voir même d’années à le détailler du coin du regard qu’il ne pouvait point en être autrement. Son corps s’étant consumé à cette vision de le voir seulement vêtu d’un bas de pyjama ou un boxer qu’il ne pouvait que fondre de se retrouver face à cette créature divine qui lui permettait de connaitre tous ces délicieux frisons parcourir son échine.

Il est donc évidant qu’il ne pouvait que se sentir exalté d’être en mesure de le découvrir, l’explorer du bout de ses phalanges qui profitaient pleinement du luxe qu’on lui concédait. Sa peau était si délicate, si brulante comme ses rêves les plus fous, les pulsassions du cœur de son ange, comme les formes si parfaites de son corps, le rendait de plus en plus cupide. Il lui était si difficile de résister au désir qui le dévorait peu à peu, d’approfondir la moindre de ses caresses, qu’il ne pouvait que s’en sentir quelque peu gêné. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’amour qu’il portait à Ki Suk le rendait timide, quelque peu incertain même vis-à-vis de ses talents à être un amant parfait. Il avait tellement peur de ne point être à la hauteur qu’il se sentait aussi maladroit qu’un débutant. Peut être était ce quelque peu idiot de sa part mais son amour pour son ange était tel, qu’il souhaitait à tout jamais être parfait pour lui, tout comme ce dernier se plaisait sans cesse de lui murmurer entre quelques baisers. Il désirait tant se l’accaparer que cela commanditer le moindre de ses gestes dans la vie de tous les jours, quand bien même ne les calculaient-ils nullement. La préparation de ce diner était seulement du à son côté trop romantique qui ne pouvait nullement raté une telle occasion alors que cela faisait juste un mois qu’il s’était libérer de ses chaines lubriques qui faisaient de lui leur prisonnier.  

Ainsi, il succombait peu à peu à ce désir qui se nicher au creux de ses reins, alimenté d’autant plus par les frisons et soupirs de son ange qui aussi avide, n’avait de cesse de venir caresser sa chair, lui rendre tout autant l’attention qu’il lui portait. Ils se laissaient alors pleinement guidés par les battements fusionnels de leur cœur, et ce soir, étrangement, il ne souhaitait point mettre un terme à toute cette fougue qui naissait à travers leurs gestes et baisers. Caressant ses délicieuses et musclées fesses du bout de ses phalanges, Yano ne pouvait qu’approuver leur perfection, une remarque qu’il s’était depuis longtemps fait lorsqu’il s’était toléré à de nombreuses reprises de le dévorer du regard. Une remarque qu’il n’avait pu contenir et qui s’était exprimé faisant sourire son ange qui était venu à son tour baiser sa nuque en glissant ses doigts sur le bas de son dos, venant frôler ses fesses. Le frisson qui le parcouru à cet instant, le fit doucement soupirer d’aise alors que ce dernier lui susurrait des paroles ô enchanteresses qui enveloppait son âme dans une boule de chaleur qui ne cessait de s’accroitre. Il se sentait si heureux d’entendre ses mots qu’il soupira de nouveau en sentant ses lèvres venir baiser sa nuque, la marquant de toute sa passion, tandis qu’il sentait sa poitrine se comprimer, frissonnant sous les caresses plus profonde de son ange qui mouvait ses doigts de nouveau sur son torse. Les mots qu’il prononçait, le rendait fou alors qu’il lui avouait que cela faisait trop de mois qu’il désirait le caresser ainsi, qu’il se trouvait être le seul et le premier être sur terre qu’il désirait ainsi cajoler de son amour et son désir. Il se sentait bruler sous ses paroles alors que ses propres phalanges continuaient leur expédition sur son jean, venant se choir sous le tissu pour caresser enfin leur cher si désirée.

Il se sentait cupide mais il ne pouvait retenir son geste tant le bonheur qu’il éprouvait au contact de sa chair l’enivrait. La pulpe de ses fesses se trouvaient si attrayantes qu’il n’hésita nullement à les caresser avec douceur et passion, dessinant la moindre ses formes. Cela le rendait d’autant plus fébrile alors qu’il sentait les doigts de son ange entreprendre de se choir autour de ses boutons de chair pour les cajoler. Un geste qui le fit doucement  gémir de bien être alors qu’il se sentait quelque peu excité. Le désir prenant bien trop de place au sein de son être, lui qui était résolument une victime facile pour ce dernier, il vint délicatement baiser son oreille dans de profond soupir d’aise alors qu’il sentait sa nuque être prise pour cible des attentions de son ange. Fermant les paupières, il se mordit délicatement les lèvres pour déglutir avec fébrilité. Il avait envie de lui, il ne pouvait plus le nier désormais alors qu’il sentait ses phalanges renforcer leur présence sur la chair de ses fesses, l’intimant à se coller plus fermement à lui alors qu’il venait glisser ses lèvres sur sa mâchoire, susurrant dans une voix plus rauque désormais.

« Tu l’es tout autant à mes yeux mon amour… tu es si parfait… si sensuel à l’heure actuelle… que… je… j’ai envie de toi… te découvrir sous la pulpe de mes phalanges… tu me sembles si merveilleux que je fonds avec d’autant plus de dépendance que dans mes fantasmes les plus inavouables… »

Rougissant quelque peu à ses mots, il vint délicatement voler ses lèvres des siennes dans un baiser moins innocent, empli du désir qu’il éveillait au creux de ses reins. Venant mêler leur langue dans un baiser un peu plus fougueux, il laissa ses phalanges glisser entre ses fesses, venant délicatement se choir sur ses reins alors qu’il relâchait ses lèvres un instant pour susurrer.

« Ce soir, j’ai le désir cuisant de te découvrir pleinement sous mes doigts, j’ai tant rêvé de ce moment… que je ne peux m’empêcher d’en rougir. Je suis tellement fou de toi mon amour… »

Désirer le corps de Yano ne se trouvait nullement un fait nouveau pour le jeune homme, pour lui qui avait été attiré depuis longtemps par le corps des hommes et particulièrement celui de son tendre et meilleur ami. Silencieusement, il l’avait désiré, il l’avait dévoré du regard de nombreuses heures depuis qu’il avait ressenti ce doux désir à ses côtés. Regarder Yano sortir de la douche uniquement en peignoir en direction de son ancienne chambre ou uniquement vêtu d’une serviette autour de ses hanches avait été particulièrement difficile pour le jeune adolescent qu’il fut, un adolescent avec des hormones. Un adolescent qu’il était encore aujourd’hui même si à présent il avait atteint l’âge de 20 ans. Seulement à la différence d’il y a de nombreux mois, Ki Suk, en ce jour n’avait aucune raison d’avoir honte de ses pensées, de dénigrer ses envies alors que l’être qui se trouvait si proche de lui semblait tant apprécier ses caresses et ses gestes emplis de désir de découvrir l’autre. Yano au travers de ses gestes et de ses mots lui faisaient comprendre et lui transmettaient ce désir qui possédait son être. Ce n’était nullement la première fois qu’ils avaient l’occasion de se découvrir ainsi, chaque jour, chaque réveil, chaque nuit lorsqu’ils se retrouvaient ensemble dans cet appartement, ils se laissaient aller au doux plaisir que leur apportait l’amour. Ils s’embrassaient à chaque fois avec une passion non dissimulée, seulement cette fois-ci leur désir les avait emmené à s’embrasser plus passionnément qu’à d’habitude, leurs caresses s’étaient intensifiées. Un fait qui ne semblait déranger aucun des deux hommes, il suffisait de lire les expressions de leurs visages, comme leurs mots pour s’en rendre compte.

Suivant ses instincts, il avait emmené ses doigts à venir effleurer et caresser ses bouts de chairs, venant les caresser avec plaisir et amusement, sentant le corps de Yano frémit à chacun de ses effleurements. L’une de ses mains était venue se loger sur le haut de ses fesses alors qu’il venait suçoter sa nuque, laissant quelques marques à son plus grand plaisir sur le corps de son ange. A défaut de ne pas savoir la nature de leur relation, les gens verront peut-être que Yano avait une possible personne dans sa vie. Possessif, Ki Suk l’avait toujours été dès qu’il s’agissait de cet homme. Le faisant sourire à ses pensées, il laissa échapper un doux soupir de bien-être alors qu’il sentait les mains de Yano sur ses fesses effectuaient de nombreuses caresses qui ne laissaient nullement de marbre. Il frissonna doucement à ce geste qui se trouvait toujours plus renforcé, Yano ne cachait nullement son désir pour lui, il lui suffisait de l’écouter parler pour s’en rendre compte, d’une voix si rauque. Parfait, il l’était tout autant à ses yeux, si sensuel à l’heure actuelle qu’il avait envie de lui, envie de le découvrir sous la pulpe de ses phalanges, qu’il lui semblait si merveilleux qu’il fondait avec d’autant lus de dépendance dans ses fantasmes les plus inavouables. Comme pour appuyer ses mots, Yano était venu embrasser ses lèvres dans un baiser ô passionné, empli d’un désir certain dans ce baiser ô langoureux. Il ne put que gémir doucement au contact de ses doigts sur ses fesses, venant se glisser entre elles faisant naitre en lui un désir profond que Yano ne pouvait ignorer. Les mots de Yano ne purent que le faire rugir intérieurement… son doux amour avait le désir, ce soir, de le découvrir pleinement sous ses doigts, il avait tant rêvé de ce moment qu’il ne pouvait s’empêcher de rougir, il était totalement fou de lui.

Ki Suk à ses mots ne put que venir embrasser tout aussi passionnément son tendre aimé alors que ses mains devinrent plus aventureuses, il abandonna tout simplement son bouton de chair pour venir à sont tour ses reins et ses fesses ô si bien sculptées à ses yeux. Guidé par sa passion, Ki Suk vint doucement coller leurs corps avant de murmurer d’une voix quelque peu suave : « Moi aussi Yano… je veux te découvrir pleinement ce soir… découvrir ce doux plaisir qui est celui de la chair à tes côtés. Depuis tant de temps je le souhaite… mon si parfait amour. Tu es si parfait. »

A ses mots, il vint caresser à nouveau sa chair alors qu’avec sa force il vint renverser leur position, faisant à moitié allonger avec délicatesse Yano sur leur fauteuil. Profitant de la situation pour lui enlever cette chemise bien trop gênante à ses yeux, pour la déposer non loin de son tee-shirt. Il allongea alors totalement Yano sur leur fauteuil, venant le surplomber légèrement avec un sourire charmeur. Suivant ses instincts, oubliant la timidité qui avait pu le posséder au cours de ses dernières semaines, il vint tout simplement déposer des baisers tendre sur son torse à présent à nouveau libre, se plaçant d’une manière pratique. Ses baisers vinrent peu à peu approcher de ses boutons de chair, les baisant quelques instants avant de redescendre sur ses abdominaux si bien dessinés. A l’aide de l’une de ses mains, il vint caresser avec presque avidité ses jambes, ses cuisses agréablement musclé par le métier d’auror et ses nombreuses heures d’entrainements. Il ne put que laisser échapper un doux sourire contre les abdominaux de son tendre et cher à cette pensée, venant l’embrasser à nouveau. Remontant ses baisers peu à peu en effectuant le chemin inverse, il vint murmurer au creux de sa nuque : « Yano… embrasser ta peau, embrasser chaque centimètre de ta peau qui m’es à présent découverte… je l’ai rêvé tant de fois… je crois que je m’en lasserai jamais, mon tendre aimé… »

Souriant il vint embrasser à nouveau sa chair tandis que ses mains caressaient tendrement ses jambes ô musclées, jusqu’à effleurer le haut de ses cuisses et ses fesses tentatrices. Comme pour imiter Yano quelques minutes auparavant, il vint les caresser avec l’une de ses mains, celle-ci se faufilant dans son pantalon pour venir effleure pour la première fois celles-ci. Le faisant simplement frissonner… Yano faisait naitre une nouvelle personnalité, celle d’un être avide de contacts avec lui, celle d’un être dépendant de sa personne, une personne qui ne souhaitait que ressentir plus de contacts de plaisir à ses côtés. « Te découvrir est si plaisant…»

La luxure était résolument l’un des plus gros péché sur terre. Considéré comme l’un des premiers vices de tout être humain, il était évidant qu’elle n’épargnait nullement l’homme qu’il était. Un homme, qui de nature passionné, se trouvait être l’une des principales victimes de ce cette dernière. Lorsque le désir prend possession de son être, exaltant la moindre parcelle de sa chair, il est résolument ô complexe de ne point y succomber et Yano, faisait résolument parti de ses êtres qui ne pouvait point y résister. Pour cela, il suffisait seulement d’observer avec quelle aisance, il se laissait peu à peu perdre dans cet instant de profonde sensualité alors que la chair de ses phalanges explorait si franchement et fougueusement la peau si parfaite de cet homme pour qui son cœur devenait fou. L’exaltation qu’il éprouvait actuellement était telle qu’il n’avait pu contenir ces mots, les exprimant de la façon la plus naturelle qu’il soit alors qu’il se laissait simplement guidé par les pulsions de son cœur. Ses fesses si musclées et parfaites, le rendait terriblement avide alors qu’il était venu embrasser les lèvres de son ange avec une fougue nouvelle. Une fougue, passion si profonde qu’il avait quelque peu du mal à la camoufler tant son être semblait résolument bienheureux de la ressentir. Ses phalanges frôlant l’intérieur de ses fesses avec désir, les griffant presque tant les frisons qu’il éprouvait le rendait esclave de son corps, son cœur, qu’il devait résolument paraitre cupide. Une cupidité dont il semblait peu à peu ne plus rougir alors qu’il se laissait doucement consumer par cette délicieuse chaleur, qui ne semblait jamais vouloir le quitter. Il était si délicieux de l’embrasser ainsi, de sentir les phalanges de son ange venir lui rendre ses caresses avec volupté.

Il soupira doucement d’aise en sentant les doigts de son ange quitter son torse pour venir se choir sur ses reins et ses fesses pour les caresser avec désir. Sentir le corps brulant à demi dévêtu de son ange se coller au sien, le fit délicieusement gémir de bien être et d’exaltation lorsque ce dernier lui fit part dans une voix ô suave qu’il le désirait tout autant… Il souhaitait le découvrir pleinement ce soir, car cela faisait parti de ses désirs comme celui de découvrir le doux plaisir de la chair à ses côtés, à son doux contact. Quelque peu ébranlé et surprit par le message que ce dernier venait de lui offrir, il n’opposa aucune résistance lorsqu’il sentit son ange venir renverser leur position en l’intimant à s’allonger sur le fauteuil alors que par reflexe il retirer ses mains de son jean pour tenter de garder l’équilibre. Un instant durant lequel son ange profita pleinement pour lui retirer sa chemise alors que Yano le regardait avec fébrilité tant un bonheur incommensurable prenait place en son être. Découvrir le doux plaisir de la chair à ses côtés… était-il cupide de sa part de songer qu’à travers ses mots, son ange lui avouait qu’il se trouvait être son premier et unique amant ? Si oui, cela lui convenait aisément de l’être car le bonheur qu’il ressentait… Cette félicité était telle qu’elle inondait son être tel un raz-de-marée qui terrasse tout sur son passage alors qu’il voyait son amour venir le dominait avec sensualité en venant déposer ses lèvres sur son torse. Totalement soumis, il se laissa pleinement faire alors qu’il glissait ses doigts au sein de ses cheveux pour les caresser avec douceur. Il se sentait de plus en plus fondre face à tant d’attention alors qu’il sentait les lèvres de son ange venir explorer la chair de son torse, glissant sur ses abdominaux avec volupté.

Ce simple geste eut le don de l’intimer à subir d’exquis frisons de bien être alors qu’il fermait ses yeux en se mordant les lèvres pour canaliser son émoi. Les phalanges de son ange vinrent alors caresser le creux de ses cuisses, remontant à ses fesses alors qu’il se sentait de plus en plus désireux, excité par tout cela. Il était tellement agréable d’être ainsi exploré, choyé par l’être de son ange qui lui faisait découvrir une facette dominatrice et sensuelle de son ange, tandis qu’il se laissait pleinement manier à sa guise. Etre la proie de ses pensées lubriques ne le gênait nullement, y prenant résolument gout alors qu’il sentait ses lèvres remonter à sa nuque pour y murmurer qu’il avait tant rêvé d’embrasser la moindre parcelle de sa chair qui lui était offerte désormais qu’il ne pensait pas pouvoir s’en lasser. Des mots qui le firent doucement soupirer d’aise alors que lui-même semblait nullement se lasser de sentir sa chair explorée la siennes. Glissant ses doigts sur la nuque de son ange, il vint délicatement les glisser sur son torse pour se choir sur son buste qu’il griffa délicatement en sentant les phalanges si brulantes et fraiches à la fois de son amant se mouvoir sous son pantalon, venant explorer la chair de ses fesses.

A ce doux contact, il se mordit délicatement les lèvres tandis qu’il sentait son ange lui susurrait que le découvrir était résolument plaisant, alors que lui-même glissait ses phalanges sur son torse pour l’explorer avec désir. Il éprouvait un tel plaisir au contact de ses doigts sur sa chair, qu’il ne pouvait plus contenir son désir d’en ressentir d’autant plus. Il glissa donc l’une de ses jambes entre les cuisses de son ange alors que ses doigts se glisser sur son bassin pour l’intimait doucement à rejoindre le sien qui commençait doucement à ne point masquer son exaltation. Soupirant fortement à ce doux frison qui vint le posséder, il susurra le prénom de son ange alors qu’il ajoutait dans un doux murmure.

« Alors découvre moi totalement mon amour… laisse pleinement les chaines de ta raison se détachait à jamais… sentir tes doigts, tes lèvres, ton corps sur ma peau… est tellement exaltant, plaisant mon amour… j’ai tant envie de connaitre ce plaisir à tes côtés, sous la pulpe de tes phalanges, mon amour… »

Souriant délicieusement à ses mots, il glissa ses doigts sur son torse, le caressant avec un désir certains tandis qu’il soupirait de bien être. Il devenait fou à le découvrir ainsi, résolument si parfait, si passionné, si dominateur. Il frissonnait de tout son être à l’heure actuelle, résolument désireux d’en découvrir toujours plus alors qu’il glissait ses lèvres à son oreille pour susurrer au creux de cette dernière.

« Fais de moi, le pantin de tes désirs mon amour… je m’offre à toi de la façon la plus naturelle qu’il soit. Aime-moi tout simplement, mon Ki Suk… »

Il ne savait pas si Ki Suk comprendrait le message qui se cachait derrière ses paroles mais il espérait que ces dernières soient aussi limpides que du cristal car elles étaient emplies d’une profonde véracité, sur laquelle il ne comptait résolument pas revenir dessus. Oui, ce soir il voulait que Ki Suk fasse de lui la pauvre victime de son amour tout simplement.

Le plaisir de découvrir le corps de Yano sous ses doigts se trouvait être particulièrement plaisant et inoubliable pour le jeune homme, pour cet homme qui n’avait jamais jusqu’à ce jour goûter au plaisir de la chair malgré ces vingt années d’existence. Il n’avait nullement honte de son inexpérience en ce qui concernait les relations sexuelles avec les hommes, la seule relation qu’il avait eue s’était trouvée avec un jeune moldu et il n’avait jamais ressenti à ses côtés l’enchantement qui le possédait contre l’être de Yano. La passion dévorante qui prenait part de son être était bien quelque chose de nouveau pour lui… malgré son inexpérience certaine, il ne se trouvait nullement guidé par une peur certaine de mal faire, il suivait seulement ses instincts tentant de faire de son mieux pour exalter son amour, bientôt amant, son premier amant… cette idée le fit doucement frissonner alors qu’il embrassait avec volupté Yano. Il lui avait murmuré à travers ces mots ce fait, un fait qui ne semblait nullement faire de la peine à Yano ou le déranger, celui-ci ne fit raffermir sa prise sur son corps, venant caresser ses cheveux alors qu’il embrassait son torse dans de multiple baisers jusqu’à atteindre ses abdominaux si bien musclés. Ses doigts se baladaient sur ses cuisses, remontant sur ses fesses, heureux de sentir contre lui la chaleur du corps de Yano et son excitation qu’il ne pouvait nullement ignorer. Il laissa échapper un doux gémissement à son tour alors qu’il sentait les doigts de Yano sur son torse le griffer alors que ses mains se dirigeaient vers ses fesses, venant les explorer en passant ses doigts sous son jean, venant les caresser avec une envie non dissimulée.

Il laissa échapper un doux gémissement à son tour qu’il sentit glisser l’une de ses jambes entre ses cuisses tandis que ses doigts se diriger vers son bassin pour l’intimer à rejoindre le sien qui semblait comme moi, bien exalté. Il ne put que sourire tendrement et avec une envie à ses doux murmures, il lui disait alors de le découvrir totalement, de se laisser aller pleinement et détacher sa raison. Sentir ses doigts, ses lèvres, son corps sur sa peau se trouvait exaltant. Il avait tellement envie de connaitre ce plaisir à ses côtés, sous la pulpe de ses phalanges. Ces mots le firent frissonner alors que Yano venait caresser son torse de ses doigts avec un désir important. Les derniers mots ne purent que le faire presque gurir de bien-être. Yano venait murmurer contre son oreille qu’il le fasse devenir le pantin de ses désirs, qu’il s’offrait à lui de la façon la plus naturelle qu’il soit. Il devait seulement simplement, comme il avait pu faire depuis ses nombreuses minutes à ses côtés. Yano voulait seulement être une victime de son amour… à ces mots il laissa échapper un doux sourire venant répondre au creux de son oreille : « Une victime… un pantin… mon doux amour que ces idées me semblent agréables. Je ferais tout pour que tu le deviennes à mes côtés en ce jour alors… je ferai de mon mieux pour être ce merveilleux amant, cet amant qui te rendra ainsi, te faisant devenir ce doux pantin, te faisant perdre toute raison… »

A ces mots, Ki Suk vint embrasser sa douce oreille, descendant à nouveau ses baisers vers sa nuque, la suçotant à nouveau, venant embrasser sa peau jusqu’à atteindre le haut de son torse. Ces doigts étaient venus à nouveau se loger contre les cuisses de Yano, venant les caresser avec avidité. Il embrassa à nouveau son torse, déposant des baisers ô sensuels jusqu’à embrasser ses bouts de chairs, souhaitant voir le corps de son tendre et amour si pris le plaisir, exulté, susurrant et gémissant son nom. Un doux fantasme qui ne pouvait quitter nullement un seul instant son esprit. Voir l’homme qu’on aimait devenir un simple pantin était réellement envoutant… Pour faciliter ses gestes, Ki Suk vint dans un geste sensuel, détacher la ceinture de Yano délicatement. Peu à peu, il vint glisser à nouveau l’une de ses mains contres les fesses de Yano, faisant glisser légèrement le haut de son pantalon et son boxer, pour venir cajoler ses fesses ô tentatrices qui le tentaient tant. Ses fesses qui se trouvaient tant désireuses et si appétissantes à ses yeux. Ses doigts venaient effleurer ses fesses, avec toujours avidité, alors qu’il continuait à embrasser ses bouts de chairs, plaquant son corps sans hésitation contre celui de Yano. Gémissant à ce doux contact, il vint placer l’une de ses mains contre la cuisse de son aimé, la caressant avec volupté alors qu’il sentait Yano réagir positivement à chacune de ses caresses. Il murmura alors d’une voix quelque peu envieuse : « Te caresser me parait si … plaisant. »

Laissant échapper un gémissement, il vint doucement descendre chacun de ses baisers jusqu’à atteindre ses abdominaux et progressivement jusqu’à la hauteur de son bassin. Voulant voir dans ses yeux la lueur de désir, une lueur de désir qu’il souhaitait tant voir dans ses yeux. Il vint embrasser au travers de son boxer, son intimité qui semblait tant déjà désirée plus de contact, plus d’attentions de sa part. Il laissa échapper un doux sourire à ce fait, avant de venir l’abandonner à nouveau pour venir embrasser ses abdominaux, souriant, voulant rendre à son plus grand plaisir Yano cette douce poupée gémissante qui ne demanderait que plus de plaisir, qu’à devenir cette victime de ce plaisir. Souriant, il vint l’embrasser à nouveau, caressant ses fesses et ses cuisses, jusqu’à effleurer à nouveau son intimité au travers de son boxer pour l’abandonner de suite après, Il aimait tant taquiner cet être qui le rendait fou. « Mon Yano… » murmura-t-il d’une voix suave.

Cupide sans aucun doute possible que le jeune homme qu’il était le devenait. Après tout quel homme sain d’esprit pouvait rester de marbre face à une telle démonstration de passion qui ébranlait son être. Quand bien même n’était-il point un débutant à la matière, puisqu’il avait déjà auparavant connu ces instants de luxure dans les draps d’autres femmes, jamais jusqu’à ce jour, il n’avait eu l’impression de sombrer peu à peu sous une chaleur incommensurable, qui pourrait à tout instant lui faire perdre toute raison. Et pourtant face à cet être qui se tenait sous son regard, tout cela n’avait plus aucune importance. Devant son ange, il ne pouvait s’empêcher d’être fébrile, quelque peu maladroit, tant l’amour qu’il possédait pour cet homme surpassait toute raison et le rendait si timide, avide de plus de sensation. La passion qui possédait son être en ce moment n’avait jamais connu d’antécédents tant les frissons qui faisaient de lui leur prisonniers se trouvaient nouveaux. Jamais il ne s’était senti si soumis à un être et pourtant pour Ki Suk, il était résolument prêt à tout. Sentir les phalanges de son amour glisser sur sa peau exaltait tous ses sens alors qu’il se laissait pleinement dévoré par cette passion, qui le rendait ivre d’un bonheur sans nom. Il lui était si exquis de voir son ange se transformait sous ses yeux, de le voir peu à peu abandonner toute raison et timidité pour venir assouvir ses fantasmes qui n’avaient de cesse d’étranglait son âme. La facette si sensuelle, sexy et résolument cupide de son amour le fascinait totalement alors qu’il se laissait quelque peu profiter de ces instants.

Il était résolument plaisant de savoir ô combien son être provoquait en la personne de l’être aimé des pensées lubriques. Savoir qu’on était désiré, chéri avec autant de fougue et de déraison que l’on pouvait ressentir pour l’autre, était résolument quelque chose de saisissant. Ainsi, il ne pouvait que lui avouer que son désir à l’heure actuelle était qu’il se laisse aller, qu’il laisse pleinement ses sens le guidait dans sa découverte de sa propre sexualité. Une sexualité qu’il allait découvrir à ses côtés et qui ne pouvait que le laisser pantois, résolument bienheureux d’être le premier amant de cet homme dont il était si profondément dépendant. Il s’offrait à lui de la manière la plus naturelle qu’il soit et rien ne pouvait altérer cette vérité. Il voulait que son amour lui permette d’entrevoir pleinement toutes les facettes qu’il possédait, qu’il lui donne la possibilité de devenir une simple poupée de chiffon sous son regard de braise. Un regard qui le rendait ivre d’une plénitude sans pareille et qui lui faisait perdre toute raison. Assoiffé, son être ne pouvait que l’être alors qu’ils se perdaient dans ses caresses sans fin qui n’avaient relativement que pour seul objectif de rendre fou l’être aimé. La peau de son ange était si parfaite sous ses doigts, la chaleur de son être collé au sien, plongeait son être dans un émoi sans précédent sous les délicieux soupirs qu’il parvenait à entendre émanant de son ange. Son organe vital n’avait de cesse de battre à une vitesse hallucinante dans sa poitrine tant qu’il lui était résolument difficile d’acquérir une respiration quelque peu paisible. Ses poumons n’avaient de cesse de se comprimer à chaque merveilleux frison qui étreignait son être alors que les mots si délicieux de son ange ne faisaient qu’approfondir son émoi.

Entendre son ange lui susurrait que l’idée lui semblait agréable et qu’il ferait tout pour qu’il devienne, était résolument source d’un plaisir sans nom. La voix de Ki Suk se trouvait être si suave, si emplie d’un certain désir cupide qu’il ne pouvait que soupirer son bien être alors qu’il l’entendait dire qu’il ferai de son mieux pour être un merveilleux amant qui lui ferait perdre toute raison. Fébrile et résolument enchanté de l’entendre lui susurrait ses quelques mots, il ne pu que savourer ô pleinement le contact de ses merveilleuses lèvres sur son oreille, se mouvant sur sa nuque pour la suçoter. Il devenait résolument dépendant de ses baisers, de ses frisons qui assaillaient son être de part et d’autre, il lui était même relativement difficile d’en faire autrement. C’est donc en amant conquis et résolument cupide qu’il se laissa pleinement faire entre les phalanges de son ange qui étaient venues se choir sur ses cuisses, les caressant avec désir. Dieu qu’il aimait tout cela, sentant les lèvres de son ange se mouvoir sur ses boutons de chair pour les titiller du bout de ses lèvres, approfondissant inexorablement son excitation alors qu’il se mordait délicatement les lèvres en savourant cet instant de passion. A ce doux contact, sa poitrine se souleva avec exultation dans un doux gémissement tandis qu’il sentait les doigts de son ange se glisser à sa ceinture pour la lui retirer doucement alors qu’il sentait l’une de ses mains se glisser sous les pans de son pantalons et son boxer pour les faire descendre quelque peu pour caresser ses fesses. Un geste qui le fit délicatement frissonner d’autant plus alors qu’il fermait ses paupières pour se mordre les lèvres. Il adorait tout cela et il était intimement persuadé que rien ne pourrait atténuer cette songée tant il se sentait bruler de l’intérieur, susurrant le doux prénom de son aimé qu’il sentait renforcer ses baisers, caresses en venant se coller à lui si fermement.

Il se sentait si bien qu’il ne pu que soupirer plus profondément aux mots et gémissement de son ange, qui avide quitta ses boutons de chair pour baiser ses abdominaux avec volupté, le laissant quelque peu pantois, frustré de ne plus ressentir cette présence sur son torse. Tel un pantin qu’il souhaitait intimement devenir il le laissa pleinement baiser son bas ventre, ressentant une certaine impatience et résolument exaltation à ces doux contacts. Ces yeux exprimés pleinement tout le bien être qu’il provoquait au sein de ses reins. Un bien être loin d’être innocent et qui prenait peu à peu forme alors que cupide et résolument désireux, il cambrait délicieusement du dos pour renforcer l’éteinte de ses lèvres sur sa chair. La vision qu’il lui offrait devait résolument comblé son être mais cette dernière ne pouvait être plus merveilleuse que celle qu’il lui offrit lorsqu’il sentit ses lèvres venir se poser sur son intimité. Une intimité quelque peu animée par le désir cuisant qui somnolait en lui, un désir si profond qu’il ne pu que geindre son exquis bonheur et sa frustration face au manège si coquin que lui dévoiler son ange. Un ange qui semblait résolument devenir un tout autre homme en venant plusieurs fois le taquiner de la sorte. Les profonds frisons qui le possédait étaient tels qu’il ne pu que geindre sa frustration dans un susurre ô profond dans lequel il prononça son doux prénom. C’était à la fois une torture et un exquis bien être qu’il se sentait quelque peu perdu dans les méandres de ses pensées.

C’est donc avec difficulté, qu’il se mordit les lèvres avec désir alors que ses phalanges venaient se mouvoir dans ses cheveux pour les caresser avec tendresse, susurrant délicatement.

« Oh mon amour… j’ai l’impression de devenir fou si tu savais…mm… ces caresses sont si plaisantes, si additives… je t’en prie mon amour… »

Déglutissant difficilement à ses mots, il ne pu que gémir d’une fébrilité sans pareille lorsqu’il sentit de nouveau les lèvres de Ki Suk venir titiller son membre qui ne cessait de prendre forme au sein de cette prison de vêtement. C’était résolument une première fois pour lui, ce genre de caresses, d’actes charnels lui était totalement inconnu et pourtant désormais il souhaitait plus que tout connaitre cela. Si les frisons qui le parcourraient à l’heure actuelle le rendaient dingue, que seraient-ils s’il pouvait les sentir à même la peau. Cette pensée, le fit délicieusement geindre de bonheur alors qu’il renforçait la prise de ses doigts autour des cheveux de son ange pour renforcer l’étreinte entre ses lèvres et son membre. Un fait qui le fit doucement mordre ses lèvres, laissant délicatement sa langue se glisser sur ses lèvres dans un désir cuisant. Il se trouvait si fébrile, si cupide et si déraisonné qu’il ne pu s’empêcher de susurrer des mots, qui auraient sans aucun doute un effet cuisant de désir sur la personne de son ange.

« C’est si exquis mon amour… si nouveau pour moi… ah… s’il te plait, laisse moi en découvrir toujours plus… dévore moi mon amour… je brûle tant d’impatience… ne le vois-tu pas… mon Ki Suk… »

Renforçant d’autant plus son étreinte autour de ses cheveux pour l’intimer à ne point abandonner cette partie si sensible, cupide de son anatomie, il ne pu que respirer profondément son émoi alors que sa respiration se faisait si saccadée. Prisonnier de cette chaleur, tout son être brulait d’un feu sans nom qui ne faisait qu’accroitre son aspect passionné, il était si désireux de connaitre des frisons bien plus puissants que ceux qu’il ressentait actuellement. Ki Suk ne pouvait point l’abandonner à son triste sort, ne ?

Un doux fantasme était en train de se dérouler sous ses yeux, un doux fantasme qui ne pouvait nullement le laisser de marbre face au plaisir et à la passion qui possédait son corps peu à peu. Un plaisir qui lui avait été inconnu jusqu’à ce jour qui faisait naitre en lui, un autre homme, un homme guidé par ses désirs et qui avait oublié sa timidité pour répondre à ses désirs. En homme novice il aurait du peut-être moins sûre de lui, plus hésitant dans chacun de ses gestes, guidé par une peur certaine de ne pas être un bon amant digne de l’homme qu’il aimait. Seulement, Ki Suk avait écarté dès la première seconde l’idée même de songer à n’être pas un partenaire idéal pour Yano. Guidé par ses instants d’homme, il suivait seulement ses envies intérieures, venant dévorer chaque chair de cet homme, embrassant chaque chair de sa peau qui ne demandait qu’à être embrasser et cajolé par ses lèvres qui était source de plaisir. Entendre gémir Yano son doux nom se trouvait particulièrement exquis, tout particulièrement alors qu’il sentait ses mains sur son corps venant le griffer, voir et sentir ce corps qui ne demandaient que plus d’attentions était particulièrement électrisant pour l’homme qu’il était. Cette douce passion qui le prenait pour la première fois faisait apparaitre un nouvel Ki Suk, un être ô dépendant des réactions de cet homme, un être sans doute sensuel qui voulait donner tant de plaisir à son amant, comme le plaisir qu’il ressentait à chaque fois que son corps se rapprochait du sien, à chaque fois que ses lèvres pouvaient goûter à cette peau si exquise qui était à sa portée. Le goût de cette peau se trouvait être l’un des plus beaux délices de cette terre, il en était bien persuadé depuis qu’il avait commencé à suçoter la peau de sa nuque. La douce chaleur qui prenait part de son être, il ne souhait qu’ô grand jamais elle ne s’arrête et ne le quitte. Caresser cette peau lui paraissait tellement plaisant, cette peau si douce qui lui plaisait et faisait naitre en lui un certain désir.

L’image du corps gémissant de Yano ne pouvait que lui plaire, que l’attirer à chaque seconde alors qu’il le dévorait littéralement de baisers. Sa voix qui se voulait suave semblait enchanter Yano, celui-ci frissonnait à son plus grand plaisir. Ses lèvres venaient embrasser ses bouts de chair avec délice, sans jamais ne laisser aucune seconde de répit à cet homme, sans ne lui laisser le temps de pouvoir désenchanter de ce plaisir qui possédait le corps de Yano. Ses doigts l’avaient guidés à suivre ses plus grand instincts premiers, venant détacher cette douce ceinture qu’il trouvait bien dérangeant pour venir baisser les pans de son pantalon et de son boxer pour les faire descendre et lui permettre de caresser cette douce peau, de caresser ses fesses avec envie. Il pouvait observer alors Yano se mordre les lèvres aves délice, fermant les yeux, une vision ô enchanteresse qui légitimait chacune de ses envies.

Guidé par son désir malsain et coquin, il était venu alors embrasser son entrejambe au travers de son boxer, souriant avec délice, venant le taquiner à chaque seconde, s’éloignant et recommençant son action pour ne jamais se lasser des doux gémissements qui sortaient de cette bouche ô délicieuse, la douce voix gémissant de son tendre amant. Sentir ses mains dans ses cheveux, ses mains qui venaient réclamer plus de contact entre leurs chairs, plus de contacts entre sa bouche et son intimité qui prenait peu à peu plus de place dans son boxer, qui semblait presque étouffer. Souriant, s’amusant tout particulièrement de ses réactions, il continuait son manège avec plaisir jusqu’à qu’il suspende son geste lorsqu’il sentit les phalanges de Yano se serrer d’avantage, lorsqu’il entendit cette douce voix pris par un désir sans fin. Une voix qui lui murmurait qu’il avait l’impression de devenir fou, ces caresses se trouvaient si plaisantes, si additives, il lui priait de cesser sa taquinerie et d’enfin céder à ses plus grandes envies. A ses mots, il laissa échapper un doux sourire, se délectant de cette vision, recommençant sa douce taquinerie, heureux. Voir Yano se léchait les lèvres face à doux plaisir attisait son propre désir, sa propre intimité qui se trouvait bien trop serré dans son jean. Les derniers mots de Yano eurent pour effet de détruire sa taquinerie, faisant naitre un feu ardent au creux de ses reins… Yano lui murmurait qu’il se trouvait particulièrement exquis, tout ceci se trouvait si exquis, il lui suppliait de lui permettre de découvrir ce doux plaisir, de le dévorer, il brûlait d’impatience, murmurant encore son nom avec délice.

Souriant alors, il vint susurrer contre son intimité des mots qui se voulaient électrisants, faisant naitre en lui des idées quelques peu malsaine, pour répondre à ses envies et ses fantasmes. Il allait enfin pouvoir réaliser un de ses doux rêves qui peuplait ces nuits depuis nombreux mois. Il serait le premier homme, la première personne à lui faire découvrir ce plaisir et il ne pouvait qu’en être ravi et fier : « Je vais te laisser alors, je vais te laisser découvrir ce plaisir au creux de mes bras… Je vais être cet amant parfait qui te fera découvrir cette douce envie… ce plaisir sans fin mon tendre Yano. Je vais répondre à chacune de tes envies… faire de toi cette douce poupée gémissante que tu veux être… seulement, pour faire cela il faut avant tout que je fasse quelque chose … »

Souriant, il vint alors se redresser quelques instants venant capturer dans ses lèvres celle de Yano, dans un baiser ô passionné alors qu’il venait caresser la peau de son être, venant caresser ses reins alors que discrètement il se saisissait de sa baguette, murmurant d’une voix tendre les mots « Wingardium Leviosa » avant de faire venir à sa hauteur la ceinture de Yano, attrapant les mains de Yano dans les siennes pour les lever et les réunir en les attachant à l’aide de sa propre ceinture. Il vint alors sourire, l’embrassant encore avec passion, soupirant de bien-être à cette vue ô exquise… Yano à sa merci, incapable de se mouvoir véritablement, devenant peu à peu cette douce poupée gémissante. Il murmura alors du bout de ses lèvres : « Je te promets que tu deviendras cette poupée gémissante, cette poupée gémissante qui me fait tant envie… cette poupée qui me fera perdre toute raison. »

Souriant à ses mots, il vint lui voler un dernier baiser doux avant de venir embrasser sa nuque, descendant à nouveau peu à peu jusqu’à ses bouts de chairs, jusqu’à ses abdominaux et le tissu de son boxer. Il vint à nouveau le taquiner quelques secondes, embrassant son intimité, se délectant des doux gémissements de Yano. Laissant court à ses envies et enfin répondre à la demande Yano, il vint faire descendre peu à peu son pantalon, entrainant son boxer et laissant afficher cette douce intimité déjà excité par ses nombreux baisers qui semblaient enfin pouvoir respirer, pouvoir montrer sa réelle nature. Ne le quittant nullement du regard, il vint d’abord effleurer celle-ci de sa main, effectuant une légère caresse qui laissa échapper un doux gémissement à Yano. Souriant, il vint alors approcher ses lèvres de son intimité jusqu’à l’effleurer et peu à peu, jusqu’à venir l’embrasser, venir embrasser la base de son intimité. Apposant ses lèvres encore, il vint l’embrasser à nouveau d’une manière un peu plus sûre de lui, venant déposer de multiples baisers sur son entrejambe. Répondant à un doux fantasme, il vint alors laisser sa langue se perdre sur son intimité jusqu’à arriver à son intimité. Ses mains au même instant étaient venus se poser sur ses reins, sur le bas de ses reins jusqu’à caresser ses fesses et ses jambes à présents mises à nus pour lui. Cette peau si douce et merveilleuse qui faisait naitre en lui un désir cuisant de connaitre le plaisir au creux de ses reins. Savourant ce doux plaisir de le caresser il effectua à nouveau de nombreuses caresses, venant presque griffer malgré lui ses fesses. Il laissa échapper un doux gémissement alors qu’il se sentait bien trop serré lui-même dans son boxer, dans son jean qui lui semblait bien trop étroit pour contenir sa passion.

Voulant continuer de vivre l’un de ses plus grands fantasmes, il vint abandonner quelques instants son intimité avant de venir caresser à l’une de ses mains son entrejambe, venant embrasser encore celle-ci avant de venir cueillir entre ses lèvres son extrémité quelques instants. Gémissant de cette vision ô enchanteresse avant de murmurer contre celle-ci : « tu es si… si… beau »

Cette douce euphorie qui résidait au sein de son être à l’heure actuelle, avait le cruel don de lui faire perdre toute raison. Se laissant pleinement dévoré par ce doux monstre qu’était la luxure, le jeune homme qu’il était, se transformait en un être cruellement cupide qui n’avait que pour seul et unique objectif : celui de devenir la proie de son ange. Un ange, qui semblait devenir un tout autre homme à ses côtés, au doux contact de sa chair. Il était si plaisant pour lui de sentir la chair de son amour se mouvoir sur sa chair, de pouvoir profiter pleinement de l’exquis contact de ses lèvres sur son corps. Il avait tant rêvé de cela dans ses rêves les plus inavouables qu’il avait la douce impression de vivre un songe. Un rêve dans lequel leurs êtres se libéraient totalement des chaines de leur conscience, raison et se laissaient seulement guidés par leur désir pour en découvrir sa douce saveur. Il mentirait s’il disait qu’il n’avait jamais rêvé de ressentir ses frisons d’exquis bonheur qui assaillaient son âme depuis une demi heure, qu’il n’avait jamais souhaité que leur ébat ne prenne une telle tournure. Avouer cela, revenait à dire qu’il n’avait jamais désiré Ki Suk et cela était résolument impossible. Dieu seul au monde savait ô combien son être s’était ébranlé à la vue presque dénudé de ce corps qui se trouvait sous ses yeux. Son regard s’était tant perdu sur les courbes si parfaites de son corps qu’il avait eu la cruelle impression de devenir fou. Si seulement savait ô combien son corps s’étant langui de tout cela, ô combien il avait du mal à rester de marbre face à cette effusion de bonheur que ce dernier était en train d’apporter à celui-ci ? Il avait alors l’impression de devenir fou, de sentir son cœur battre à une vitesse si étourdissante, qu’il semblait quitter sa cage thoracique, l’obligeant à avoir une respiration plus que sifflante, démontrant pleinement l’état d’excitation dans lequel il se tenait.

Les frisons qui étaient en train d’embrumer totalement son esprit, le rendait fou, pantois et cruellement cupide. Sentir sur son membre, le souffle si brulant, si excitant de son ange à quelque millimètres de sa chair, lui arrachait les derniers brins de sa conscience. Le désir de sentir enfin ses lèvres sur cette intimité si excitée, désireuse d’en recevoir toujours plus, se faisait cruellement cuisant, presque incontrôlable. Les mots qu’il prononçait allaient dans ce sens alors qu’il lui avouait totalement devenir fou de tout cela, qu’il mourrait d’envie d’en ressentir toujours plus tant son être semblait le réclamer. Il lui semblait si exquis et additif de voir son ange  se transformait sous ses yeux. Il était cruellement heureux de faire face à un homme empli d’amour, de courage et de confiance en lui. Il aimait plus que toute la lueur qu’il entrapercevait dans les yeux de son ange, ce côté dominateur qu’il ne lui avait jamais connu et qui pourtant le rendait encore plus magnifique, hypnotisant. Le sourire que ce dernier fit à sa supplique, l’acheva totalement alors qu’il laissait échapper un râle d’impatience tandis que ce dernier lui lançait dans un ton ravi et fier qu’il allait lui faire découvrir ce plaisir aux creux de ses bras. Il allait être l’amant le plus parfait qui soit pour lui faire découvrir ce doux plaisir sans fin. La vanité de ses mots  le faisait sourire avec douceur alors qu’il ne pouvait que frissonner de sentir continuellement son souffle brulant effleurer son membre si excité. L’entendre lui murmurer qu’il allait répondre à chacune de ses envies, le rendait ivre d’une cupidité sans pareille alors  qu’il lui promettait de faire de lui une poupée gémissante mais qu’avant cela il devait faire quelque chose.

Sentant son souffle brulant quitté son intimité, il ne pu que gémir de frustration alors qu’il le voyait revenir à son visage pour lui voler un baiser. Un baiser si passionné, qu’il se laissa pleinement allait à ce dernier, dévorant ses lèvres comme s’il s’agissait d’une chose dont il ne pouvait résolument pas se passer. Son être, son âme se sentait si bien aux contacts de ses lèvres qu’il n’avait aucune autre possibilité que de se perdre à ses côtés. Comment pouvait-il en être autrement alors qu’il sentait son être devenir fou au contact de ses phalanges sur sa chair ? C’est donc en homme résolument conquit, qu’il le vit se saisir de sa baguette, attraper sa ceinture pour venir attacher ses deux bras au dessus de sa tête alors qu’il soupirait d’aise et quelque peu frustré. Par ce geste Ki Suk lui empêchait toute marge de manœuvre mais le regard si cruellement cupide que lui envoyait son ange, le rendait ivre d’un bonheur sans nom. Il semblait cruellement excité de le voir à sa merci, de le savoir si prompt à recevoir toutes ses attaques charnelles.  Il ne pouvait alors que s’en exaltait également alors qu’il sentait ses poumons se comprimer tant la chaleur qui résidait au creux de ses reins était puissante. Sentir ses lèvres se mouvoir sur son buste, continuant leur exploration sur ses abdominaux alors que ses phalanges entreprenaient de le dévêtir totalement, l’intimait à frissonner cruellement. Son intimité désormais libérée des chaines de cette prison de tissu qu’avait été son boxer, il ne pu que geindre doucement de sentir les doigts si délicats de son ange, venir se choir sur cette dernière. Cette première caresse l’acheva quelque peu alors qu’il sentait enfin les lèvres de son ange approchait de son membre, l’embrassant doucement à sa base. A ce contact, ses paupières se fermèrent alors qu’il semblait bruler de l’intérieur, sa gorge se faisait si sèche qu’il avait du mal à déglutir. Il avait la sensation de devenir fou alors que son ange, guidait par cette confiance aveugle qui l’habitait peu à peu venir approfondir ses baisers, laissant sa douce langue gouter à la chair de son membre. A ce contact, il cru totalement défaillir alors qu’il sentait ses phalanges se choir sur ses reins, les caressant avec cupidité. Il était si bon d’être la proie de son amour, qu’il se laissa pleinement faire comme un pantin, acceptant ses taquineries, tout comme le bonheur fou qu’il ressentait de le voir ainsi. C’est donc en amant conquis qu’il se laissa geindre profondément d’émoi alors qu’il le sentait enfin le prendre entre ses lèvres. Si ses lèvres parvenaient ainsi à le rendre fou, que pouvait-il escompter pour la suite de cette nuit merveilleuse ? Dans tous les cas, cette nuit semblait se profiler sous son meilleur jour et il savait encore aujourd'hui ô combien cette nuit qui se déroula pour la suite…resterait ô grand jamais ancrée dans sa mémoire pour toute sa vie. Ki Suk était parvenu à faire de lui, son amant tout dévoué et rien au monde ne pouvait modifier cette vérité.