" Starting today, I'm totally yours, my love. | Partie 2"
Yoon Ki Suk & Wada Yano





Quand bien même toute son existence avait totalement été remise en jeu, en ce béni jeu de réveillon de Noël, le jeune homme qu’il était ne s’était jamais senti autant à sa place qu’au sein des murs, qui se trouvait être l’appartement qu’il partageait avec Ki Suk, son ange. Un lieu entièrement coupé du monde, qui au fil des années, était devenue sa maison, l’endroit où il n’avait plus à porter le masque qu’était celui qu’il portait continuellement lorsque son être ne se trouvait pas aux côtés des siens. La demeure familiale semblait bien loin de son esprit, quand bien même l’amour qu’il portait pour sa famille se trouvait fort. Loyal, il ne pouvait que l’être, un trait que tout membre de la famille se devait d’avoir pour être respecté au sein de cette identité familiale. Une famille dont les valeurs étaient ancrées depuis des siècles, qui avait formée sa renommée sur une image parfaite d’honnêtes sorciers, qui œuvraient pour protéger ce peuple qui vivait en marge de leur propre société. Lui-même avait répondu durant des années à la définition de cette famille et quand bien même la matriarche avait décidé de son cas, son destin, il n’en restait pas moins qu’il se savait être digne de sa famille. A aucun cas, il n’avait fuit ses responsabilités, n’avait baissé le regard face à ses choix. En homme digne, il avait su faire face à l’homme, l’être que son cœur lui dictait d’être. Certes il avait peut être manqué de franchise envers elle, en cachant par exemple le sang « impur » de son meilleur ami, qui était devenu désormais son tendre aimé, en acceptant sans broncher les fiançailles qu’on lui avait imposé et manquait à la promesse qu’il avait faite à ses parents, seulement il ne désirait plus se mentir à lui-même. Il voulait être lui-même, suivre la voie qu’il voulait être sienne. C’était sa vie, c’était lui qui devait en avoir le contrôle et il ne désirait plus se mentir. Cette révélation avait sans doute surprit ses inquisiteurs, ses parents mais au plus profond de son âme, il avait la certitude d’avoir vu dans le regard de sa mère et de son père, une certaine fierté mêlée à de la crainte.

Cela faisait bien longtemps qu’il avait prit pleinement conscience que ces parents s’efforçaient toujours de répondre aux exigences de leur famille, tâchant de préserver leurs enfants de la dureté de cette dernière sans pour autant avoir le contrôle sur cela. Grâce à lui, ils avaient eu la possibilité de porter tous les espoirs de sa famille sur lui, de laisser ses cadets vivre une vie plus « libre » que celle de leur ainé. Une obligation à laquelle il s’était soumit durant des années et dont il aurait sans doute poursuit la route si son être n’avait pas fait la rencontre du jeune homme, qui lui avait permit de se trouver, de laisser pleinement s’épanouir l’homme qu’il se trouvait être. Un homme qu’il ne souhaitait plus camouflé, qu’il désirait laisser vivre au grand jour sans jamais le soumettre à une autre raison que son cœur. Il était donc évident que malgré sa peine, une félicité des plus totales habitait son être alors qu’il pouvait passer cette douce soirée avec l’être qui ébranlait totalement son être.

En sa présence, plus rien n’avait de réelle importance que le fait de profiter de lui, tant les sourires que ce dernier lui tendaient, si heureux, si amoureux étaient une oasis dont il ne pouvait plus se passer. Le bonheur que ce dernier lui apportait était si profond, si vivifiant, qu’il avait passé sa soirée à le couvrir de tout son amour, l’embrassant aussi tendrement que possible dans le seul but de réduire à néant le manque que ce dernier avait crée par son absence. La soirée qui se déroulait actuellement était résolument précieuse à ses yeux. Quand bien même cela faisait près de deux ans qu’ils étaient ensemble, les deux jeunes hommes n’avaient jamais eu le bonheur de fêter Noël ensemble. Obligés par leurs familles à rentrer chez eux pour profiter de ces fêtes de fin d’années avec eux, ils avaient du se contenter de douces missives, qui ne comblaient malheureusement pas, le manque que la non présence de l’être aimé provoquait en son être. Il savourait donc cette soirée avec un bien être profond quand bien même cette soirée se trouvait-elle improvisée, les deux jeunes hommes s’étaient retrouvés en ces lieux pour partager un doux repas.

Comme un couple, ils avaient réalisés d’exquis plats avec ce qu’ils avaient pu trouver dans leur garde mangé. Un repas qui des bouts de leurs doigts, s’était transformé en un moment doux et merveilleux où ils n’avaient eu de cesse de se taquiner et se voler de doux baisers, tel un couple amoureux, qu’ils étaient. Le cœur battant précieusement de félicité extrême, Yano ne pouvait s’empêcher de sourire tendrement lorsqu’il songeait de nouveau à cela. Il se trouvait être si heureux, si pleinement à sa place qu’il ne pouvait s’empêcher d’avoir le regard brillant, doux d’un bonheur qu’il était difficile de masquer tant ce dernier emplissait son être. Collé tout contre lui, il avait doucement baisé sa nuque de milliers de baisers, profitant de ce doux bien être pour lui murmurer des mots doux.

« Mon amour, je suis tellement heureux de passer la soirée avec toi, tu le sais ? » susurra-t-il tendrement au creux de son oreille alors qu’il sentait son cœur battre promptement dans sa poitrine. Souriant à cela, il vint délicatement rajouter au creux de son oreille : « Par contre, je vais t’abandonner quelques instants pour aller prendre une douche… à moins que tu ne veuilles me rejoindre ? »

Riant faiblement à sa remarque un peu taquine, il vint délicatement lui voler un doux baiser en l’intimant à se tourner vers lui pour le prendre dans ses bras. Caressant avec amour les traits de son visage, il le dévora tendrement du regard avant de lui voler un énième baiser pour se rendre à l’étage.

Ayant pénétrer dans la salle de bain après avoir récupérer une tenue plus décontractée que celle qu’il portait auparavant, il s’était tout simplement dévêtu de ses affaires avant de se diriger dans la cabine de douche. Une cabine de douche résolument spacieuse, qui se trouvait dans le coin de la pièce, d’un verre transparent, dont il prit soin d’ouvrir le robinet d’eau chaude pour obtenir une eau tiède. Lorsque la température de cette dernière lui convint, il se lança sous le jet pour couvrir tout son être d’une fine pellicule d’eau, bienfaisante, qui eut le don de lui permettre de lâcher un léger soupir de bien être. Yano aimait énormément prendre des douches, trouvant dans cet exercice un procédé très efficace pour décontracter ses muscles. Dans le cas présent, c’était comme si l’eau effaçait la moindre trace des épreuves qu’il avait enduré durant la journée. Laissant l’eau fouetter son visage, il ferma quelques minutes ses paupières pour profiter du crépitement de cette dernière sur sa peau alors que perdu dans ses esprits, il n’entendit nullement son ange rentrer dans la pièce pour venir le rejoindre sous le jet de douche.

Lorsqu’il sentit les bras de ce dernier venir se perdre autour de son buste, ce ne fut nullement sans surprise que son être se sentit frissonner avec bonheur. Surprit mais néanmoins ravi, son visage vint rapidement transmettre l’émotion qui l’habitait alors qu’il profitait de cette douce étreinte, de la chaleur que ce dernier lui apportait, soupirant avec douceur. Il ouvrit donc ses yeux brillants d’émoi pour venir regarder son ange en se tournant vers lui, laissant alors leurs êtres s’embrasser tendrement, murmurant tout simplement :

« Je suis surpris, je ne pensais pas que tu accepterais aussi facilement mon invitation mon amour… mm… serais-je en train de te transformer en un petit pervers ? »

Riant faiblement de sa sortisse, il ne manqua nullement de le dévorer du regard. Magnifique, pas d’autres mots ne pouvaient convenir pour exprimer à sa juste valeur, la vue qu’il lui était donné. Cruellement faible face au corps de son amour, il ne manqua nullement de laisser ses phalanges se mouvoir sur la chair si délicate du buste de son ange alors qu’il se sentait tout simplement frissonner de bien être en venant l’embrasser.

« Mais ça ne devrait pas me déplaire, j’aime te voir coquin… mm… je dois être pervers également, non ? Tu me pardonnes, ne ? » Vint-il doucement susurrer contre ses lèvres alors qu’il laissa échapper un doux et exquis rire, se collant tout simplement plus fermement à son ange, bien trop heureux de le sentir tout contre lui, tout simplement, l'embrassant une énième fois.

Une soirée parfaite, aux côtés de son cher en tendre amant, la soirée ne pouvait que l’être aux yeux du jeune bulsajo. Rien n’aurait sans doute prédit que les deux jeunes hommes en ce jour béni allaient se retrouver après plusieurs jours loin de l’autre, dans leur famille respective. Comme la plupart des élèves de l’école de magie, ils rentraient chez eux pour les périodes de fêtes de Noël rejoindre leur famille. Une famille qui avait particulièrement manqué au jeune homme après avoir passé plusieurs mois loin d’eux dans le monde magique. Certes, il voyait son frère à l’école de magie mais cela n’était nullement la même chose que passer du temps avec lui dans leur demeure familial, dans le monde moldu auprès des autres membres de la famille. La famille Yoon était une famille ô combien unie et l’absence de sa famille pesait malgré tout sur le jeune homme, bien qu’il était sans aucun doute l’homme le plus heureux auprès de l’être cher. Ainsi, en ce jour du 24 décembre, le jeune homme avait eu une surprise particulière et ô plaisante lorsqu’il avait reçu une missive de son cher et tendre dans laquelle il l’invitait à venir le rejoindre sur la plage. Il n’avait fallu que peu de temps avant que celui-ci ne le rejoigne aussitôt, abandonnant sa famille quelques heures, pour venir se réfugier au creux des bras de l’homme qui lui manquait ô combien. Si ce jour se trouvait si béni c’était bien qu’un événement ô important s’était déroulé qui pouvait expliquer la raison pour laquelle ils ne s’étaient pas quitté une seule seconde depuis leur retrouvaille. En ce jour, Yano était venu annoncer au jeune bulsajo qu’à présent ils n’avaient plus une seule raison de cacher leur relation, en effet celui-ci avait tout simplement mis fin à ses fiançailles, le rendant tout simplement libre comme l’air, libre d’aimer enfin son Ki Suk. Les paroles de Yano suite à cette annonce avait été à nouveau quelque peu bouleversant pour le jeune homme qui avait pleuré d’émotion, de joie face à tous ses sentiments qui avaient possédé son être. Yano était désormais à lui, uniquement à lui. Pour sceller cette douce promesse d’appartenance et d’amour, Yano lui avait offert un magnifique cadeau, un collier à leur effigie. Sans doute l’un des plus beaux cadeaux que le jeune homme n’aurait jamais eu, un cadeau auquel il ne voudrait sans doute jamais se séparer, un symbole de leur amour, une douce promesse qui s’était enfin réalisé après tant de mois de secret.

Ainsi, le jeune homme se trouvait ô combien heureux en ce jour, alors même qu’il se trouvait tout simplement collé l’un contre l’un dans la cuisine après avoir passé plusieurs minutes à laver la vaisselle à la manière des moldus. Une habitude que les deux jeunes hommes avaient prise suite aux origines moldus de Ki Suk, qui avait parfois du mal à se séparer de ses habitus de moldu. Au creux des bras de son tendre aiment, le jeune bulsajo se sentait particulièrement heureux alors qu’il sentait le doux souffle de Yano sur sa nuque. Souriant comme un bienheureux, il se remémorait chacun des moments de sa journée, chaque seconde, chaque minute. Il n’y avait sans doute aucun homme sur cette terre qui pouvait ne serait-ce que le rendre plus heureux que Yano, il en était bien persuadé en ce jour ô béni. Même le simple repas qu’ils avaient partagé ensemble avait été splendide, ses moments d’amours, de baisers, de mots doux entre chaque bouchée de nourriture l’avait rendu si heureux. Yano vint alors lui baiser la nuque dans de multiples baisers, des baisers qui le faisaient doucement frissonner alors qu’il entendait la voix ô envoutante de Yano. Celui-ci venait lui murmurait au creux de son oreille qu’il se trouvait tellement heureux de passer la soirée à ses côtés, lui demandant s’il le savait. Ki Suk vint sourire tendrement à ses mots, hochant la tête et venant murmurer d’une voix douce : « Oh Oui… comme je le suis mon doux amour »

Seulement ces mots furent rapidement coupés par ceux de Yano, le faisant frissonner à nouveau malgré toi, au souffle contre son oreille d’une voix taquine et ô sensuelle. Le jeune homme était venu lui annoncer qu’il allait l’abandonner quelques instants pour prendre une douche, le taquinant lui proposant de venir le rejoindre. Une idée quelque peu surprenante mais très agréable en soit, l’idée de voir son aimé sous la douche, nu, avec un jet d’eau arrosant tout son corps lui semblait terriblement plaisant. Un agréable fantasme qui peuplait ses pensées à présent. Ainsi, il ne put que répondre à l’appel de Yano et venir se retourner pour venir capturer ses lèvres dans les siennes, dans un merveilleux baiser ô tendre, bien faible face aux caresses de son tendre aimant sur son visage. Il vint cependant gémir doucement alors qu’il vit Yano s’éloigner de lui pour rejoindre l’étage, il en profita pour le dévorer du regard, totalement envoûté par son apparence ô appréciable et désirable. Il ne fallut que peu de temps avant qu’il ne le voie redescendre avec ses changes, le faisant se mordre les lèvres face à la belle vue de son corps, l’imaginant sous la douche ou tout simplement vêtu d’un boxer. Pourquoi Yano était-il si séduisant peu importe les vêtements qu’il portait ? Il le trouvait tellement bea et si désirable en cet instant que la proposition de Yano ne cessait de tourmenter son esprit. Rejoindre Yano sous la douche lui semblait être une agréable idée, une réelle bonne idée à laquelle il n’avait peu de scrupule à résister. S’il en venait à rejoindre Yano sous la douche, celui-ci ne pourrait nullement refuser sa venue, n’est-ce pas ? A cette idée quelque peu perverse, il décida d’aller le rejoindre discrètement, en ayant l’intention de lui faire une surprise à laquelle il ne s’attendait sans doute pas.

Il ouvrit la porte discrètement, se mordant les lèvres alors qu’au fur et à mesure qu’il ouvrait la porte, il avait la possibilité de découvrir la silhouette de son tendre amant. Une vision ô enchanteresse qui ne faisait qu’accentuer son désir pour sa personne alors qu’il lui semblait ne jamais se lasser de cette silhouette. Yano se trouvait si désirable, si magnifique en cet instant qu’il était bien incapable de faire le moindre mouvement, bien trop hypnotisé par celui-ci… Yano se trouvait le plus bel homme sur cette terre oh oui. Il n’avait qu’une envie, venir se rapprocher de ce corps et d’embrasser chaque parcelle de cette peau ô délicieuse. Les gouttes d’eaux qui s’écoulaient sur son corps le rendaient si désirable et envoûtant.

Ne pouvant plus résister à l’appel de la chair de Yano, Ki suk vint rapidement enlever ses vêtements, les abandonnant avant de venir franchir à son tour les portes de la douche pour venir enlacer son tendre Yano, entourant son buste de ses mains, de façon presque possessive, soupirant de bien-être, le faisan frissonner à son tour. Yano vint alors cependant lui sourire tendrement alors qu’il venait se retourner, lui laissant la possibilité de le dévorer du regard. Ah… Yano était si sublime ainsi, si désirable. Il ne regrettait nullement d’avoir cédé à ces pulsions et son désir.

Les mots de Yano le firent doucement rire à son tour alors qu’il lui murmurait qu’il était surpris, qu’il ne s’attendait pas qu’il accepte aussi facilement à venir le rejoindre, venant même à supposer que peut-être il était en train de le transformer en un petit pervers. Des mots sans aucun doute véridique, Ki Suk se trouvait bien incapable de résister à l’appel de la chair de son amant. Il crut rougit légèrement alors que Yano le dévorait du regard, le faisant frissonner alors qu’il sentait les phalanges de Yano venir s’apposer sur son bustier pour y effectuer quelques caresses, venant répondre au doux baiser que lui offrait son tendre amant et ô séduisant. Il vint lui avouer que le fait qu’il devienne un coquin n’allait pas le déplaire, il l’aimait le voir ainsi… il devait se trouvait être un pervers lui aussi, lui demandant s’il lui pardonnait.

Ki Suk vint alors sourire à son tour, aimant le doux rire de son amant, alors qu’il venait répondre au baiser de Yano, venant laisser ses mains glisser sur le corps de son amant, caressant son dos ô musclé qui lui avait donné tant envie il y avait quelques instants. Ses mains se dirigèrent alors vers le bas de ses reins alors qu’il murmurait à son tour entre deux baisers : « Je ne crains que je deviens pervers en ta compagnie mon tendre amant… mais il m’est tout simplement impossible de refuser une telle offre de ta part… mm… tu es si beau ainsi et désirable mon Yano tu le sais ? Je te pardonne d’être pervers, je le suis tout autant je crois, je ne pourrais ô grand jamais te résister... te voir ainsi… est si plaisant » finit-il dans un dernier mot alors que ces lèvres venaient s’échouer sur sa nuque, dans de multiples baisers. Ses mains étaient venues se balader sur le torse ô musclé de Yano, venant caresser ses pectoraux, le faisant frissonner à nouveau alors qu’il lui semblait bien impossible de ne pas céder à chacun de ses pulsions. Les jours de séparations et le manque de chacun de leurs êtres ne se trouvaient nullement une mauvaise chose après tout, ainsi ils pouvaient profiter chacun du corps l’un de l’autre, bien plus peut-être qu’ils ne l’auraient fait. Ki Suk vint alors murmurer d’une voix volontairement sensuelle au creux de son oreille : « Refuser une douche avec toi après tant de jours loin l’un de l’autre me paraissait inapproprié, tu ne crois pas ? Mon amant… ? »

Pervers, sans aucun doute qu’il le devenait à ses côtés mais cela éveillait un nouveau Ki Suk, un jeune homme tout à fait différent à d’habitude. Le jeune homme vint laisser échapper un doux sourire avant de revenir embrasser sa nuque et de venir caresser ses pectoraux avec une envie non dissimulé. Il laissa échapper son doux nom plusieurs fois alors qu’il lui semblait mourir de plaisir au contact de leurs êtres. Il vint sourire tendrement en laissant échapper d’une voix douce et amusée : Tu n’aurais pas pu espérer une meilleure douche mon doux apollon… ne ? »

Heureux, il était évident qu’il ne pouvait que l’être à l’heure actuelle. Quand bien même les épreuves qui allaient sans doute l’attendre les jours à venir allaient être sans doute pénible pour lui, il n’en restait pas moins qu’il y songeait nullement à l’heure actuelle. Amoureux, résolument bienheureux, il ne voyait et ne songeait plus qu’à son ange, qui lui avait fait passer une des plus belles soirées de son existence. Noël, quand bien même n’était-ce pas une fête qui avait un réel sens au sein de sa famille, si ce n’est l’occasion unique de rassembler les êtres de cette dernière, il ne pouvait nier qu’il était cruellement chanceux de pouvoir le passer avec l’amour de sa vie. Il lui avait tant manqué au cours des dernières journées, qu’il avait l’impression que cela faisait des mois qu’il n’avait pu l’observer de la sorte, avoir la possibilité de laisser ses phalanges caresser sa chair, ses formes. Un corps et une âme qui lui avait tant manqué que son être ne pouvait que se sentir exalté d’être en mesure de savourer de nouveau cet exquis bonheur que seule sa personne pouvait lui procurer. Le cœur battant fortement au sein de sa poitrine, il n’était alors qu’un homme pleinement accompli, heureux et passionnément éprit de la personne de Ki Suk. Un homme dont il lui était décidément impossible de se détacher tant  ce dernier le possédait. Ses projets pour l’avenir n’étaient emplis que de lui, son rêve le plus cher se trouvant d’être à lui comme il était sien à jamais, ne jamais le quitter le moindre instant pour vivre dans ce monde qu’eux seuls étaient en mesure de créer. Il était tellement tout à ses yeux et cette fatalité ne devenait que plus profonde au fil du temps qui s’écoulait. Yano était tout à Ki Suk et leurs destins seraient à jamais liés l’un à l’autre pour leur plus grand bonheur.

Ses inquiétudes s’étaient envolés au loin tandis qu’une chaleur incommensurable avait prit place au sein de son être. Cela était résolument une douce surprise pour lui d’être en mesure de passer un instant si « particulier » en la compagnie de son ange. En effet, quand bien même cela faisait près de deux ans qu’ils se trouvaient ensemble, ils n’avaient jamais expérimenté une telle chose et c’est en homme résolument conquis qu’il se laissait entrainé dans ce jeu. Un jeu à la fois doux, amoureux et cruellement taquin tandis que son ange lui offrait une des plus belles vu qu’il pouvait lui être donné de voir. Il ne quittait point son corps du regard, le dévorant avec une exquise douceur alors qu’il était venu l’embrasser, se sentant cruellement frissonner au contact de leurs deux chairs. Leurs être s’étaient tant manqués, tout comme leurs âmes qu’il leur était tout simplement impossible de résister. Comment pouvait-il en être autrement alors qu’il était si terriblement évident qu’ils s’aimaient à la folie ? Il n’avait alors pu s’empêcher de le taquiner de nouveau, ne pensant pas la moindre de ses paroles tant ces dernières se trouvaient désinvoltes, ils avaient que pour seule finalité de lancer le jeu. Un jeu qu’il y avait souvent entre deux amoureux lorsqu’ils voulaient se jouer tendrement de l’autre.

Un jeu dans lequel son ange se laissa entrainait tandis qu’il venait lui voler un baiser à son tour, laissant ses mains se mouvoir sur son corps tout comme il se gênait nullement de le faire sur le sien. Tout en eux respirait la sensualité tandis qu’il avait la sensation de revivre pleinement à ce doux contact, laissant son corps frissonner avec bonheur. Il se sentait tellement bien ainsi tout contre lui, qu’il avait la sensation de fondre comme neige au soleil alors que son amant venait caresser ses reins, l’obligeant à soupirer de bonheur tandis que son ange venait rompre ce baiser. Tout contre ses lèvres son amour lui lança qu’il craignait de devenir pervers en sa compagnie mais que cela lui était tout simplement impossible de refuser une telle offre de sa part. En effet, il se trouvait si beau, si désirable qu’il le pardonnait d’être également un pervers car il ne pourrait jamais lui résister. Des paroles qui l’enchantaient totalement alors qu’il frissonnait avec délicatesse à ses baisers sur sa nuque, l’envoutant totalement alors qu’il ne manquait nullement l’occasion de frôler la chair de son torse de ses doigts, savourant avec bonheur leurs formes. Des formes qui étaient résolument loin de le laissait insensible alors qu’il se sentait bruler sous ses caresses qui le rendait fou, ivre d’un désir cuisant qui prenait peu à peu place au sein de son être. Le manque de sa personne se trouvait si profond qu’il était bien plus fébrile qu’en accoutumé alors qu’il avait l’impression d’être terriblement envouté lorsqu’il entendit la voix ô combien sensuelle de son amour lui susurrer au creux de son oreille qu’il trouvait que refuser une douche avec lui serait inapproprié après tant de jours passé l’un de l’autre alors qu’il se laissait susurrer à son tour.

« En effet, c’était résolument l’occasion à ne surtout pas rater en cette si merveilleuse soirée… d’autant plus qu’il est évident que tu savoure cette douche avec autant de félicité que moi, ne… ? »

Sa voix s’était faite sensuelle, un peu rauque alors qu’il se sentait fermer délicatement les paupières en venant baiser sa nuque à son tour, se laissant peu à peu emprisonner par cette passion qui commençait à naitre entre eux deux. Le désir prenait peu à peu place dans son esprit alors qu’il ne pouvait que soupirer sous les caresses de son ange qui n’avait de cesse de murmurer son prénom alors qu’il lui demandait dans une voix ô douce et amusée si il pouvait espérer une meilleure douche que cela, le surnommant son doux apollon. Un surnom qui le fit délicieusement sourire alors qu’il venait doucement suçoter la chair de sa nuque pour y laisser sa marque, un fait qui ne laissa nullement insensible son ange tandis qu’il remontait ses mains sur ses pectoraux pour frôler ses boutons de chairs.

« Oh oui, je n’aurai pu espérer une meilleure compagnie que celle de mon dieu… un être céleste qui est résolument depuis longtemps la cause de ma déchéance… un homme qui me rend cruellement cupide, tant il est désirable sous mes yeux… » Murmura-t-il avec sensualité alors qu’il venait mordiller doucement sa mâchoire, le posant doucement contre la paroi de la douche pour laisser leurs deux corps s’épouser totalement.

A ce contact, son corps fut victime d’un délicieux courant électrique qui l’envoutant pleinement alors qu’il venait soupirer son émoi au creux de son oreille. Toujours sous le flux de l’eau, il pouvait sentir l’eau, qui fouettait leurs deux êtres enlacés, se glisser entre ses phalanges alors qu’il continuait ses baisers au creux de son oreille, ses caresses sur son torse, se mouvant vers son dos, ses reins. Il était si vivifiant de pouvoir le caresser qu’il avait la douce sensation qu’il pourrait passer sa vie à le faire, le dévorer du bout de ses doigts, le voir devenir fou à ce simple contact. Fébrile, son cœur tambourinait dans sa poitrine alors qu’il se mordait délicatement les lèvres face à la vue qu’il lui était disponible de dévorer du regard tant son amour se trouvait érotique  ainsi collé au mur, l’eau s’écoulant sur sa chair ô délicate.

« Oh non je ne pouvais pas trouver meilleur dieu à chérir que celui qui m’est donné actuellement de dévorer ainsi du regard… dis moi, mon amour, mon dieu, est-ce résolument un pêché que de vouloir te dévorer ainsi ? De mes lèvres, des mes doigts, de mon corps… ne ? » Susurra-t-il tout contre ses lèvres dans un regard ô brulant et malicieux alors que du bout de sa langue il venait gouter à l’eau qui s’était égarée sur celles-ci, avant de venir les baiser avec amour, se laissant pleinement aller à ce baiser.

Dieu qu’il aimait ses lèvres, leurs textures, le chaos qu’elles pouvaient provoquer en lui alors qu’il continuait de fondre sous les caresses de son ange, de son dieu, poursuivant les siennes également. Ses phalanges se mouvaient alors passionnément sur la chair de son amour, la griffant délicatement parfois juste pour savourer les exquis frissons qui pouvaient traverser l’être de Ki Suk. Ces doigts vinrent rapidement se choir sur son délicat fessier qu’il ne manqua nullement de découvrir avec plaisir, laissant ses derniers se glisser entre ce dernier pour renforcer leur contact charnel. Passionné, il se sentait doucement le devenir tant il avait du mal à résister à la tentation, sa cruelle cupidité allait le perdre mais il ne pouvait simplement pas s’empêcher de le vouloir, le désirait comme personne au monde. Rompant le baiser, c’est dans un léger râle de bien être qu’il vint délicatement baiser de nouveau sa nuque, se mouvant sur sa pomme d’Adam pour susurrer tout contre elle.

« Dis moi, est-ce également un crime que d’avouer que j’ai cruellement envie de mon Dieu ? Si oui, je crains malheureusement d’être le pire des pécheurs, c’est triste ne trouve-tu pas ? »

A ses mots, son sourire se voulait cruellement séducteur alors qu’il se mordait délicatement les lèvres pour relever son regard vers le sien. Stoppant la moindre de ses caresses, il s’obligea à se décalait de quelques centimètres du corps de son ange, provoquant un manque cuisant en sa personne, rendant son regard d’autant plus séducteur. Son objectif en faisant cela ? Voir la frustration, le désir, la passion dans le regard de son ange et surtout cette pointe de perversité qui lui allait à merveille. Il aimait tant le voir ainsi et d’autant plus lorsqu’il projetait tout simplement de le dominer, de faire de lui sien, il ne trouvait pas plus beau bonheur que la virilité de son amant à ces instants où il s’éveillait face à lui. Pervers ? Il le reconnaissait mais que pouvait-il faire contre cela ? Il était bien trop dépendant de ces yeux, de cette bouche, de ce corps et surtout de cette âme qui lui faisait face.

Venir rejoindre Yano sous la douche avait été jusqu’à ce jour un doux fantasme auquel il n’avait jamais osé céder. Non pas qu’il soit timide avec Yano d’une quelconque manière au niveau de leur relation, les deux jeunes hommes avaient vu au cours de ces nombreux mois de relations qu’ils ne se trouvaient nullement timide. Il suffisait de voir ô combien facilement les deux jeunes hommes se laissaient entrainer aisément dans des jeux quelque peu érotiques, il suffisait seulement que leur regard se croise pour que naisse cette envie de découvrir à nouveau le corps de l’un et de l’autre. Un amour passionnel les reliait et personne n’était capable de les séparer d’une quelconque façon tant ce sentiment se trouvait puissant et indivisible. En ce jour ô béni qu’était le jour de Noël leur amour ne pouvait que se trouvait être encore plus présent et intense. Fêter le jour de Noël en tête à tête avec son tendra aimant n’était nullement un fait anodin sans signification, tout particulièrement alors qu’ils commençaient une nouvelle étape dans leur relation, une étape qui allait changer leur vie à tout jamais. A présent, chacun des deux pourraient s’aimer librement sans jamais n’avoir à se cacher d’une quelconque manière, ils étaient libre de s’avouer leur amour dès lorsqu’ils le souhaitaient ; Yano se trouvait à présent officieusement promis à lui jusqu’à la fin de leur jour. Quelles étaient alors les raisons pour qu’il ne cède pas à ses pulsions en ce jour si béni ? Aucune selon lui. Il n’avait alors qu’à céder à ses envies et en ce premier jour celle-ci se trouvait être de venir rejoindre Yano dans leur douche. Et en vue des réactions du corps de Yano contre le sien, son idée se trouvait tout sauf déplaisante. Comment aurait-il été pu être le contraire alors que les jeunes hommes se désiraient mutuellement depuis des années et encore plus à présent.

Le corps nu de son aimé sous la douche se trouvait résolument être une vue agréable et envieuse, personne ne pouvait le contredire, et tout particulièrement en vue du corps si sensuel et désirable de Yano. Son tendre amant était venu alors l’embrasser dans un merveilleux baiser, un baiser auquel le jeune homme ne put que répondre, tout particulièrement alors que Yano ne cessait de le manger du regard. Le contact de leurs deux chairs se trouvait si électrisant pour le jeune homme. Les mots qu’il avait murmuré au creux de son oreille se voulait volontairement tentateur, être un pervers ne dérangeait nullement le jeune homme, tout particulièrement alors qu’il l’était lui-même dès lors que Yano se trouvait être à ses côtés. Ne pas désirer le corps de son ange se trouvait tout simplement impossible. A la fin de ses mots il était venu dévorer sa peau de multiples baisers, frissonnant alors que Yano venait caresser le haut de son torse avec délice. Il était venu alors susurrer contre oreille qu’il ne pouvait nullement refuser une telle douche à ses côtés après tant de jours passé loin l’un de l’autre. Yano vint répondre à sa phrase d’une voix particulièrement sensuelle, un peu rauque qu’en effet cela se trouvait être l’occasion à ne pas surtout pas rater en cette merveilleuse soirée, d’autant plus qu’il était évident qu’il savourait cette douche avec autant de félicité que lui. Laissant échapper un doux soupir aux doux baisers de Yano sur sa nuque, venant lui répondre d’une voix éprise par le plaisir et l’envie qui prenait place en son corps : « Mon doux Yano… oh oui, depuis le temps que je rêve de venir te rejoindre dans cette douche… la vue de ton corps sous la douche est véritablement plaisante alors ne pas être enchanté de cette douche avec toi est bien une chose impossible. Tu es si… sublime et désirable. Nous commençons une merveilleuse nouvelle étape dans notre relation, tu ne crois pas ? » Les doux baisers que Yano lui adressait à cet instant le fit frissonner et confirmer chacune de ses pensées. Pour rien au monde il n’aurait quitté cette douche. Ses mains se dirigeaient alors vers les pectoraux de son tendre aimé, venant les caresser avec une envie certaine l’appelant son doux apollon. Un contact auquel Yano répondit en suçotant la chair de sa nuque, y laissant quelques suçons, venant caresser son torse à son tour, frôlant ses boutons de chair, le faisant gémit tendrement. Yano vint rajouter alors d’une voix toujours aussi sensuelle qu’il n’aurait pas pu espérer une meilleure compagnie que celle de « son dieu », des mots qui le firent sourire. Un être céleste qui est résolument depuis longtemps la cause de sa déchéance, un homme qui le rendait cruellement cupide, tant il se trouvait désirable à ses yeux. Ki Suk était venu alors geindre tendrement à son oreille alors que Yano venait le pousser contre la paroi de la douche, le faisant frissonner dans cette position.

Se retrouver nu, coller contra la paroi de la douche et collé contre Yano se trouvait si plaisant et si excitant. Observer l’eau s’écoulait sur le visage ô séduisant de son ange et de son corps si désirable ne pouvait pas le laisser insensible, ses mains se dirigeaient vers son corps avec une envie certaine. Yano se trouvait si magnifique en cet instant, si splendide qu’il ne pouvait nullement le quitter du regard une seule seconde. Son amant se trouvait être si parfait, lui donnait tant d’affection et lui faisait partager son envie au travers de ses baisers et ses caresser sur sont rose, son dos et ses reins. Des caresses qui se trouvaient réciproques, Ki Suk ne se laissait nullement de caresser le corps si parfait de son aimé. Son amant se trouvait si désirable ainsi, à se mordre les lèvres avec tant d’envie pour sa personne. Ses mots se trouvaient si tentateurs, voulait-il qu’il cède dès à présent et qu’il le dévore sous cette douche ? Il était venu lui murmurer qu’il n’aurait pu trouver meilleur dieu à chérir que celui qui lui était donné actuellement de dévorer ainsi du regard. Lui, son dieu, était-il réellement un pêché de vouloir le dévorer ainsi ? De ses lèvres, de ses doigts, de son corps ? Ki Suk crut mourir à ses paroles, Yano venant lécher du bout de sa langue, une goutte d’eau qui s’était égarée sur ses lèvres avant de venir les embrasser avec amour. Un baiser dans lequel le jeune bulsajo se laissa aller, venant répondre avec fougue au baiser de Yano, venant à son tour venir caresser la moindre chair du corps de Yano, venant caresser son dos, ses reins, toute partie de ce corps qui le rendait si fou. Gémissant au contact de ses mains et tout particulièrement son fessier, ses griffures qui se voulaient volontaires, le faisant frissonner de bien-être. Le jeune homme avait terriblement envie du corps de son tendre aimé, ô oui… Il souhaitait tant redécouvrir le plaisir à ses côtés, tout particulièrement après tant de jours sans n’avoir eu aucun contact avec son être. Ki Suk se savait ô combien dépendant de la personne de Yano.

Le jeune bulsajo vint laisser échapper un doux gémissement de frustration alors qu’il sentait les lèvres de Yano se séparer de leurs jumelles. Le doux baiser sur sa nuque comblant quelque peu ce manque. Venant gémir tendrement Yano vint lui susurrer d’une voix quelque peu espiègle si cela se trouvait être un crime que d’avoir cruellement envie de son dieu. Si oui, il craignait d’être le pire des pécheurs, ajoutant s’il trouvait cela triste. Oh bien sûr que non il était contre que cette idée se trouvait éplorée, il la trouvait très agréable même. Comment en aurait-il pu être autrement alors qu’il se sentait mourir de bien-être tout contre lui et de plaisir ? La seule chose qu’il pouvait bien faire était de déplorer le fait que Yano avait séparé leur corps, le faisant gémir de frustration. Il ne laissa que peu de temps s’écoulait avant de venir rapprocher leurs corps et de venir caresser son corps, tout en venant pousser à son tour Yano avec délicatesse et envie le dos de son tendre amant contre le mur de la paroi. Il vint gémir tout contre son oreille, caressant son torse avec délice jusqu’à atteindre le bas de ses reins, venant effleurer les fesses de Yano avec envie. D’une voix particulièrement suave il vint ajouter : « Je suis un dieu alors mon amour… un dieu qui souhaite seulement te faire partager toute son envie et sa passion. Je dois être un son nam shin, un demi-dieu pour me laisser tant aller au doux pécher du plaisir à tes côtés, je le crains mon doux amant… mon doux apollon. Je ne suis pas assez pur pour être un dieu… mais je ne crains pas que cela te dérange… j’aime tant te dévorer mon Yano. J’ai cruellement envie de toi… »
Ces mots ne furent pas sans résultat alors qu’il sentait déjà les mains de Yano sur son corps, venant capturer ses mains pour les poser sur son corps, venant lui adresser un regard ô conquis. Un regard qui ne laissa pas de marbre alors qu’il caressait avec encore plus d’envie son Yano, venant mordre sa nuque avec une envie certaine, collant leurs deux corps. Souriant tout contre Yano il vint lui voler un baiser alors qu’avec l’un de ces mains il se saisit du savon pour en prendre un peu de liquide pour venir en mettre au creux de sa main, avant de venir caresser son corps avec envie. Il se devait de nettoyer chaque parcelle de son corps pour voir encore ce regard ô épris par le plaisir de son amant.

Le bulsajo vient sourire d’une manière séductrice, venant embrasser les lèvres de Yano d’une manière qui se voulait ô sensuelle alors que ses mains s’égaraient sur lui, sur son buste ô musclé avant de venir s’égarer sur ses abdominaux. Ses mains vinrent alors se balader sur son dos, ses reins et enfin ses fesses, n’hésitant pas à passer ses doigts entre elles, venant frôler une partie ô désirable de cette partie de son corps. Il vint la laisser pour venir caresser le haut de ses jambes, venant effleurer son entrejambe pour le voir geindre de frustration. Ses mains y restèrent alors volontairement plusieurs secondes avant de frôler ses fesses ô désirable alors qu’il murmurait contre lui d’une voix suave et coquine: : « Mon doux Yano… ton traitement te convient-il ? Je suis là pour répondre à la moindre de tes requêtes, tu es mon apollon après tout. Je te dois obéissance… Je t’ai promis mon obéissance pour toujours en ce jour alors je me dois de t’obéir, d’obéir à tes exigences. » Il laissa échapper un doux sourire amoureux, conquis et pleins d’envie pour sa personne à ces mots. Il laissa en suspens ses actions alors à l’attente des exigeances de son doux amant.

Pervers ? Sans aucun doute qu’il ne pouvait que l’être lorsqu’on le voyait agir de la sorte. Il se trouvait si désireux de la personne de son ange qu’il lui était résolument impossible de ne point se laisser tenter par les charmes de cette divine créature que ce dernier était. Une créature si sublime qu’il n’était résolument pas en mesure de le quitter un seul instant du regard, laissant ses prunelles profondes et ô attirées se perdre sur les courbes de ce corps si parfait qui lui faisait face. Un dieu, son ange n’en était qu’un à ses yeux, le seul et l’unique qui était en mesure d’ébranlait son être de la sorte, de le rendre fou au point de perdre toute raison. Il se trouvait être si érotique ainsi lotit contre lui, frissonnant, gémissant avec délice à ses attentions loin d’être innocentes. Il lui était si difficile de rester sage avec lui, de ne point laisser sa passion s’exprimer dans son plus simple appareil tant l’amour qui transcendait son être n’avait de cesse de s’accroitre à son contact. Son appétit sexuel n’avait de cesse de le rendre fou à chaque fois qu’il se laissait aller en la compagnie de son ange mais cela ne semblait en aucun cas l’alarmait. Au contraire, il en devenait que de plus en plus dépendant, désireux, comme si il lui était désormais impossible de vivre sans cette addiction qu’était à ses yeux, le corps de son amant. Ainsi, il ne pouvait que savourer avec une exaltation sans pareille le regard ô pénétrant que ce dernier lui lançait à la moindre de ses caresses, le rendant fou sans même qu’il puisse s’en rendre réellement compte. Il lui était si difficile de lutter contre sa raison, ce désir qui n’avait de cesse de gronder en lui au fil que les secondes s’éternisaient, lui donnant l’exquise possibilité de voir l’être de son dieu bien plus érotique que jamais.

Il ne pouvait alors que souhaiter se laisser aller à cette douce tentation qu’était la chair de son homme, ressentir cette chaleur quasi-envoutante le retenir d’autant plus prisonnier de ses chaines. Il avait envie de le voir fondre, le dévorer du regard, sentir ses doigts parcourir sa chair, le caresser afin qu’il le rende fou comme il savait si bien le faire. Oui, il souhaitait plus que tout être la proie de son amant, se sentir bien plus fébrile à son contact qu’il n’avait pu l’être par le passé. Il voulait qu’il le désire, le dévore, le rende fou tout simplement pour qu’il le fasse sien. Il avait si cruellement envie de lui, le souhait de le voir de nouveau dominateur, plus magnifique, plus érotique qu’il ne l’était actuellement. Sans doute était-ce cruel de sa part de l’inciter ainsi à succomber au plaisir de la chair mais il ne parvenait absolument pas à ressentir la moindre once de culpabilité, le trouvant si fascinant lorsqu’il se laissait aller contre lui. Ainsi, il ne pu que sourire exalté de le voir venir de nouveau à lui, se coller tout contre lui alors que leurs chairs se retrouvaient de nouveau. Quand bien même la séparation n’avait duré que quelques secondes, l’unification fut tout même électrisante, plaisante alors qu’il se sentait poser à son tour contre la paroi de la douche, soupirant avec délice de ce contact. Sentir les doigts de son ange sur sa chair était résolument étourdissant, enivrant et à la fois si plaisant qu’il ne pouvait plus que l’encourager du regard, se mordillant légèrement les lèvres tant son plaisir se faisait puissant alors qu’il l’entendait si spontanément soupirer son émoi au creux de son oreille. Dieu seul savait ô combien il devenait fou sous ses caresses, ô combien son être n’avait de cesse de réclamer ces dernières. Fermant délicatement les paupières alors qu’il se sentait doucement bomber du torse pour ressentir d’autant plus le contact des phalanges de son ange sur sa peau brulante d’un désir sans nom, il ne pu que geindre délicieusement des paroles ô suave de son ange. Il était si délicieux de l’entendre susurrer qu’il souhaitait seulement lui faire partager son envie et sa passion, perdant ainsi son titre de die tant il adorait se laisser aller au doux plaisir de la chair à ses côtés. Oui, il n’était pas assez pu pour être un dieu mais il savait que cela ne le dérangeait nullement tant il avait envie de le dévorer, de lui.

« Moi aussi… je crains malheureusement que l’Apollon que je suis… aime résolument faire pêcher son dieu, le voir le dévorer entièrement de son corps, de ses doigts, de ses lèvres » susurra-t-il le souffle court alors qu’il venait doucement glisser ses doigts sur les bras de son amant pour l’intimer à le toucher, le caresser, lui lançant un regard ô conquis en se mordant délicatement la lèvre.

Son désir n’avait de cesse de gronder alors qu’il se sentait littéralement fondre à ses caresses, fermant délicatement ses paupières à ce contact qui le rendait fou, savourant dans un profond soupir les mordillements de son ange sur sa nuque ô délicate qui ne demandait qu’à être la cupide victime de ses attentions. Soupirant le doux prénom de son bourreau, c’est avec un bonheur extrême qu’il se laissa voler de nouveau un baiser, y répondant avec le même empressement alors qu’il frissonnait face à cette excitation qui n’avait de cesse de s’accroitre. Son désir ne semblait pas s’amoindrir alors qu’en amant conquis, il se laissa choir entre les phalanges de son ange, qui résolument coquin avait entreprit de le laver, souriant avec cet air séducteur qui le rendait fou et l’envoutait à la fois. Tout contre ses lèvres, il se sentait peu à peu devenir fou alors qu’il ne pouvait que geindre délicatement face à toutes ses attentions. Lorsqu’il sentit les phalanges de son ange s’échouer sur son intimité, la caressant avant de l’abandonner, il ne pu que se mordre la lèvre de frustration, le regardant avec un regard ô flamboyant qui démontrait parfaitement l’état de fébrilité dans laquelle il se trouvait. Tout en lui prouvait ô combien il voulait qu’il le touche, le caresse, le rende fou de son être. Soumis, il se soumettait pleinement aux volontés de son ange tant que ce dernier lui donnait la possibilité d’assouvir ses plus lubriques pensées. Ainsi, il ne pu que geindre fortement de le s’égarer sur cette partie pour lui demander d’une voix ô suave et coquine si son traitement lui convenait. Oui, après tout, il était là pour répondre à la moindre de ses requêtes, lui devant obéissance. Dieu que ses mots l’envoutaient totalement alors qu’il se mordait les lèvres, exalté et désireux d’être ainsi choyé par ses mains ô torturantes, qui venaient de l’abandonner le rendant fou d’une frustration sans nom.

C’est donc avec un empressement certain qu’il sentit ses mains capturer celles de son ange, obligeant l’une d’entre elle à retrouver la chair de son entrecuisse, qui cruellement cupide criait ô combien elle était en manque de ce contact. A ce déroutant contact, il ne pu qu’alors gémir de nouveau alors qu’il le regardait d’un regard flamboyant d’une passion sans nom, c’est dans une voix ô sensuelle qu’il se contenta seulement de venir murmurer au creux de son oreille.

« Caresses moi… rends moi fou de ton être…ahh… j’ai tellement envie que tu me touches, me désires… mon amour… achève moi… fais moi l’amour… c’est tout ce dont j’ai envie à l’heure actuelle… »

Mordant délicatement son oreille dans un désir certain, c’est dans un râle quelque peu fébrile qu’il eut le grand plaisir de sentir les doigts de son ange se mouvoir sur son membre, le caressant du bout de ses phalanges pour le rendre fou. Sentant son autre main se mouvoir sur ses reins, il se laissa tout simplement emporter dans cette vague de chaleur profonde que son corps, ses doigts lui procuraient. Une passion qui n’avait de cesse de s’enflammer alors qu’il glissait à son tour ses doigts sur la nuque de son ange, qui résolu à répondre à ses attentes, n’avait de cesse de baiser sa nuque avec fougue, l’obligeant à gémir délicatement face à cet afflux si transportant que ce dernier lui offrait. Se mordant délicatement les lèvres, il se laissa tout simplement aller aux caresses de son ange sur son membre, accompagnant malgré lui les va et vient que ce dernier exerçait du bout de ses doigts, le frôlant parfois dans le seul but de l’exciter, de le frustrer.

« Oh mon amour… si tu savais… ô combien j’aime lorsque tu me touches… » Susurra-t-il dans un léger râle alors qu’il se mordait les lèvres ô combien cupide et désireux. « Rends moi fou, ô oui, je ne demande que cela, mon amour… je t’en prie… »

Un fantasme, un doux fantasme était en train de se dérouler sous les yeux du jeune bulsajo. Devant lui, contre cette paroi se trouvait le plus bel être qu’il était possible de trouver sur cette terre. Tout chez Yano respirait la perfection, chacun de ses traits semblait le rendre plus magnifique. Aucun être sur cette terre ne faisait naitre en lui une telle envie de le découvrir, une telle envie de voir dans ses pupilles du désir à son égard. Il lui suffisait simplement de voir ne serait-ce qu’une simple lueur d’envie pour sa personne dans le regard de Yano pour qu’il souhaite venir le dévorer, qu’ils viennent l’embrasser avec fougue, lui faisant partager ses envies. Le corps de Yano, à chaque instant à ses côtés, le jeune homme avait faim de ce corps qu’il trouvait tout simplement splendide. L’eau qui s’écoulait sur son corps lui offrait une vue digne d’un doux fantasme, observer ces gouttes d’eux s’évanouir sur sa peau l’emmenait à jalouser celle-ci. Naturellement, ces gestes venaient alors à effectuer le même chemin, comme ses baisers qui dévoraient chaque parcelle de sa peau. Le jeune homme avait envie de ce corps et il ne cherchait nullement à le cacher d’une quelconque manière. La manière dont il se comportait à l’instant avec Yano, en était bien la preuve. L’appétit pour le corps de Yano ne semblait pas vouloir disparaitre d’une quelconque manière tant il se trouvait à chaque jour, plus envoûté par cet être. Au-delà de ce corps, c’était bien la personnalité ô enchanteresse de Yano qui lui plaisait, et tout particulièrement lorsqu’il se montrait volontairement séduisant pour qu’il en tombe toujours plus amoureux. Le regard ô conquis, ô amoureux et empli de désir qu’il lui lançait faisait naitre en lui une envie pour son amant qui se voulait tentateur.  Chacune des paroles prononcée par son aimé l’avait emmené à céder et à venir embrasser cette peau, coller leurs corps après plusieurs secondes de séparations. Le jeune bulsajo désirait bien trop ce corps pour ne pas être emmené à céder aux mots volontairement séducteurs de la part de son amant.  Le sourire que Yano lui avait adressé alors n’avait pu que le ravie alors qu’il cédait à ses pulsions, venant caresser cette peau et s’exaltant du moindre contact de leurs deux corps.

Ses doigts étaient venus se poser contre sa chair, venant caresser sa chair avec délice et envie. Un traitement qui avait semblé plaire à Yano aux premiers abords du regard conquis qu’il lui lançait. Ses mains s’égaraient sur chaque partie de son corps, venant caresser son torse avec délice et envie, se mordant les lèvres face à l’afflux de plaisir qui prenait part de son corps. Yano se trouvait être un merveilleux amant, il ne pouvait nullement le nier d’une quelconque manière. Un amant qui souhaitait à chaque plus être séduisant, chacun des baisers sur sa peau l’électrisant, un stratagème qui semblait en effet fonctionner sur le jeune bulsajo pour le rendre chaque jour plus dépendant de lui.  Les mots qu’il avait murmuré au creux de son oreille qu’il ne pouvait nullement être considéré comme un dieu tant il se trouvait attiré par ce corps et aimait se laisser entrainer par la passion à ses côtés furent un certain effet plaisant au jeune homme.  Oui, il n’était pas assez pu pour être un dieu mais il savait que cela ne le dérangeait nullement tant il avait envie de le dévorer. Yano vint lui répondre que lui aussi n’était nullement un dieu, l’apollon qu’il était, aimait résolument faire prêcher son dieu, le voir le dévorer entièrement de son corps, de ses lèvres. Des mots qui venaient l’enchanter alors qu’il venait répondre à l’appel de la chair de Yano, venant caresser la moindre courbe de son corps.  Ki Suk était venu alors mordiller avec amusement et plaisir la peau de sa nuque jusqu’à venir embrasser ses lèvres qui lui avaient manqué pendant ces quelques minutes.

Suivant la demande de Yano et ses propres désirs, il était venu se saisir d’un peu de savon dans sa main avant de venir le laver avec gourmandise et envie. Ses phalanges s’étaient dirigées vers son torse d’une manière sensuelle, sur son buste, ses abdominaux, le bas de son dos afin de s’échouer sur ses fesses ô musclées qui le tentaient bien malgré lui.  Ses doigts s’étaient perdus alors contre l’intimité de Yano quelques instants, un fait qui semblait avoir plu au jeune en vue de son mordillement sur ses lèvres et de son regard flamboyant pour sa personne. Yano appréciait et souhaitait tout comme lui approfondir le contact de leurs deux chairs. Ses jours de séparations accentuaient l’envie qu’ils possédaient l’un pour l’autre. Voir son Yano uniquement être indépendant de sa personne se trouvait être parfaitement exquis selon lui, tout particulièrement alors qu’il le voyait si soumis à lui, se soumettant à ses volontés, même perverses. Yano était le seul être à connaitre cet aspect si dominateur de sa personne, pour lui qui avait pour habitude d’être si calme à son habitude. Le jeune dogsuli faisait naitre en lui des pensées lubriques auxquelles il ne pouvait résister, surtout lorsqu’il voyait à quel point le traitement qu’il lui portait satisfaisait son amant.  Au regard de son comportement qui était tout autant séducteur, venant demander lui-même qu’il devienne ainsi. Son côté dominateur plaisait tout autant à son amant qui ne paraissait pas arrêter son traitement en vu de sa réaction, les mots qu’il venait de prononcer firent naitre dans son regard une lueur certaine de désir. Ki Suk aimait tant ce regard ô plaisant, le rendant encore plus désirable.

Yano était déjà venu venir se saisir de ses mains pour obliger l’une d’entre elle à retrouver le contact de la chair de son entrecuisse, le faisant sourire d’une manière particulièrement conquise. Demandeur de contact, Yano se trouvait si attrayant  ainsi, soumis au contact de leur deux chairs. Le doux gémissement qui vint s’échapper de ses lèvres le firent frissonner à son tour, bien heureux de réentendre ce doux son qui l’enflammait.  Les mots murmurés à son oreille le firent frissonner à nouveau, Yano venait l’implorer de le caresser, de le rendre fou de lui. Il avait tellement envie qu’il le touche, qu’il le désire, qu’il l’achève et qu’il lui fasse l’amour… il avait seulement envie de cela à ce moment-là. Chacun de ses mots vinrent renchérir son désir pour sa personne alors qu’il se sentait mordre ses lèvres face à l’afflux de plaisir qui montait en lui.  Ki Suk, lui aussi, partageait à cet instant chacune de ses pensées, souhaitant uniquement faire ressentir du bien-être à son amant, voulant le rendre tel un pantin entre ses doigts, de ses baisers et de son amour.    Il ne fut nullement hésitant et vint répondre à sa demande, venant caresser son membre du bout de ses doigts avec lenteur. Ki Suk ayant abandonné ses lèvres, il venait embrasser sa nuque avec envie et tendresse, laissant sa main libre se promenait sur ses reins. Les doux gémissements que laissaient échapper ses lèvres le firent accentuer ses va-et-vient sur son entrejambe, légèrement, s’amusant et s’extasiant des réactions du corps de Yano qui accompagnait le rythme, venant lui-même imposer un rythme.  Yano vint alors lui dire à nouveau qu’il aimait ô combien lorsqu’il le touchait dans un doux râle, se mordant les lèvres, lui suppliant à nouveau de le rendre fou d’une voix ô sensuelle et désirable.

Un appel auquel le jeune homme n’eut aucun mal à répondre alors qu’il venait lui répondre d’une voix ô suave : «  Mon Yano… si tu savais ô combien chacun de tes mots me plaisent et me ravirent… j’ai tellement envie de t’aimer en ce jour… tellement envie que tu me touches toi aussi… mon amour… tellement ».   A la fin de ses mots, il vint se saisir à son tour de l’une des mains de Yano pour venir la placer sur sa propre entrejambe, déjà excité, soupirant de bien-être à ce contact ô électrisant sur sa personne. Fermant les yeux, heureux, il vint sourire à son aimé alors qu’il venait effectuer à son tour des va-et-vient sur son entrecuisse comme Yano lui avait demandé. Il aimait particulièrement cet instant et pour rien au monde il n’aurait voulu l’arrêter d’une quelconque manière. Depuis le temps qu’il rêvait de cette main sur cette partie de son corps… depuis qu’il l’avait vu partir dans cette salle de bain jusqu’alors non affecté par leur plaisir mutuel.  Un lieu qui n’était plus lieu de sagesse à présent tant il se trouvait dépendant de la personne de Yano et de chacune de ses caresses.  

Il vint rajouter alors d’une voix suave, rouvrant les yeux brillant d’amour et de désir pour lui : « Vois ô combien je te désire mon amour… vois ô combien mon corps est en manque de toi…  il te désire tant après ses jours loin d’un de l’autre… mon esprit et mon corps sont autant dépendant l’un que l’autre de toi… tu le sais mon amant ?».   murmura-t-il avant de venir embrasser avec passion les lèvres de son amant, venant effectuer à nouveau un va-et-vient sur l’intimité de Yano, gémissant bien malgré lui alors qu’il sentait Yano réagir à son tour, effectuant un mouvement sur son entrejambe. Ce contact se trouvait si agréable et tentateur, plaisant à ses yeux et pour son corps qui ne cessait pas de demander plus de contact à chaque seconde. Il désirait tant Yano, tant cet être qui le rendait si fou à chaque action de sa part. Venant répondre à ses propres envies, il vint séparer leurs lèvres pour venir mordre la nuque de Yano, ne cessant de murmurer son prénom d’une voix comblé par son amant.  Souriant d’une manière séductrice il vint alors murmurer contre son oreille à son tour : « J’ai tant envie de toi… tant envie de toi mon amour…. Je veux te faire mien… te faire l’amour…  ce traitement te convient-il mon apollon ? ». A ses mots il vint laisser l’une de ses mains se choir sur le bas de ses reins, jusqu’à frôler ses fesses, frôlant volontairement cette partie de son corps qu’il désirait particulièrement explorer. Il laissa échapper un doux sourire avant de venir mordiller son oreille avec envie, murmurant son prénom d’une voix ô suave. Il voulait tant à nouveau entendre ces mots d’abandon qu’il aimait tant venant de la part de Yano, des mots qui faisait renforcer son esprit de domination qui s’exaltait à chaque rencontre de leurs corps au milieu de cette passion dévorante.

Il était plus qu'évident que Yano était résolument en train de fondre devant le corps ô sulfureux et envoutant de la personne de son amant. Passionné, ses pensées semblaient avoir perdues toute rationalité tant ces dernières se trouvaient ô cruellement cupides. Le désir qui était en train d'éclore au sein de son corps était aussi brulant qu'un feu incandescent détruisait tout sur son passage. Fébrile, il ne pouvait alors que s'abreuvoir de la vue qu'il lui était donné de voir, de savourer dans un bonheur non contenu cette félicité qu'il éprouvait de sentir la chair de son amant se mouvoir sous la pulpe de ses phalanges. Parfait, c'était résolument l'adjectif qui convenait à merveille pour exprimer la sensation qu'il ressentait au doux contact avec son illustre et céleste amant. A l'heure actuelle, son seul et unique souhait était et restait de devenir la douce victime des pensées lubriques de ce dieu, qui lui faisait perdre tous ses sens tant il se trouvait désirable. Un être si envoutant et captivant qu'il ne pouvait nullement tenter de se raisonner pour lui résister. il avait tant envie qu'il poursuive ses caresses, qu'il embrasse aussi passionnément qu'il n'était en train de le faire, qu'il le fasse tout simplement fondre comme à ses habitudes. Sous cette douche, sous le jet brulant de cette eau qui flattait cruellement avec aisance les muscles si parfait de son dieu, il avait pour unique souhait : assouvir l'un de ses plus doux fantasme. Un fantasme qui l'avait souvent hanté lorsque son esprit malade s'était laissé quelque peu allé à ses pensées lubriques alors qu'il s'imaginait gouté au plaisir de la chair en la compagnie de son amant en ces lieux. Des lieux encore bien immaculés de leur passion et fougue mais qui en ce jour saint semblait perdre de son innocence.

Peau contre peau, lèvre contre lèvre, coeur contre coeur, ils se laissaient doucement dévorer par cette torride passion qui prenait place entre leurs deux âmes. Les baisers échangés ne venaient en aucun cas amoindrir ce désir cuisant qui prenait place en leur rein, tout comme ses caresses qui ne cessaient ô grand jamais de renforcer leurs présences sur la chair ô parfaite de l'être aimé. Son esprit malade, n'avait de cesse de se nourrir de cette chaleur quasi envoutante que l'être de son amant provoquer en sa chair. il se sentait si heureux, si fier d'être ainsi touché de la sorte, d'être en mesure de rendre fou son amour d'une façon aussi franche. Il se délectait de ce regard ô brulant qu'il lui tendait, tout comme des frisons de plaisirs qui parcouraient l'échine de Ki Suk. Tout ses gestes, ses regard n'avaient de cesse de lui avouer ouvertement que tout comme lui, il avait cruellement envie de lui. Un jeu dangereux  dans lequel tout deux se livraient une lutte acharnée et à la fois ô tendrement soumise. Le jeu de la séduction était résolument envoutant et tout deux semblaient y puiser son petit bonheur personnel qui avait ce luxe incroyable de rajouter un peu de félicité à celui de l'être aimé. Ainsi, en homme et résolument homme conquis, il se laissait pleinement soupirer et gémir sous les caresses ô vitalisantes de son amant, n'ayant de cesse d'en réclamer d'autant plus alors que son excitation n'avait cesse d'accroitre. Sentir les doigts de son amant se mouvoir sur la chair de son entrecuisse était résolument envoutant, à tel point qu'il n'avait de cesse de réclamer ce contact, sentant cette dernière se raffermir à chaque taquinerie de son bourreau. Un bourreau qui n'avait de cesse de le rendre fou tant il sentait son être bruler d'une passion sans nom. Il voulait qu'il le fasse fondre, qu'il lui fasse perdre toute raison au point d'être incapable de prononcer le moindre mot décent tant il serait dévoré par le désir. Des pensées ô cruellement perverses mais qui puisaient leurs forces dans cet amour ô dévorant qui le liait à cet homme si cruellement dominateur. Un aspect dont il était le seul responsable et qui était résolument le plus doux secret qu'il possédait. Oui, il était et resterait sans aucun doute le seul être en mesure de le voir ainsi car jamais ô grand jamais il n'accepterait le contraire possible.

Son regard brillant n'avait alors de cesse de dévorer celui de son ange, qui résolument taquin et cruellement joueur, titillait son membre pour l'entendre gémir, prononcer des paroles ô cruellement envoutantes face à toutes ses attentions. Son corps semblait s'offrir à lui de la manière la plus naturelle qu'il soit alors qu'il se laissait bruler de désir sous ses doigts. pour rien au monde, il ne souhaitait qu'il cesse de le malmener alors qu'il ne demandait que cela, son être parlant de lui même. Un désir ô combien partagé et dont il avait parfaitement conscience lorsque son ange l'intima à rejoindre sa chair. Ses phalanges vinrent alors redécouvrir avec volupté la pulpe si parfaite du membre de son amant, qui comblé ne manqua nullement d'exprimer son bonheur. oh oui, cet état d'excitation était seulement du à lui, au plaisir qu'il faisait naitre dans le creux des reins de son ange. Ce simple fait l'exaltait totalement alors qu'il ne pouvait que sourire comblé de l'entendre lui murmurer de telles paroles. Il se mordit alors tendrement la lèvre, cruellement excité alors qu'il le sentait si cruellement ferme sous ses doigts. Un fait qui le rendait dingue alors qu'il sentait ses doigts explorer cette forme avec délicatesse, avec un désir bien non innocent tant et si bien qu'il aurait pu rester des heures à agir de la sorte. Les paroles de son ange exaltaient son âme d'un désir sans nom alors que son amour lui demandait à son tour qu'il le caresse. Comment pourrait-il seulement lui refuser une telle demande ? Jamais et c'est en amant ô cruellement amoureux qu'il s'exécuta de nouveau avec passion dans un mouvement de va et vient, qui l'envouta tout autant que son amant. C'était si exquis de se sentir prisonnier de cette fougue, qu'il se laissa tout simplement gémir au creux de son oreille alors que son excitation n'avait de cesse de s'accroitre.

Il était si envoutant pour lui de voir l'être de son amant s’enflammer de la  sorte, de le voir si cruellement cupide à son attention, qu'il laissa pleinement ses sens parler d'eux même à toutes ses attentions, taquineries de sa part. il savait à quel jeu son amant se livrait, un qu'il connaissait que trop bien lorsque dominateur, il ne se lassait ô résolument pas de voir son amour réclamer sa personne. Ainsi, il ne pu que gémir d'émoi de l'entendre lui murmurer au creux de l'oreille qu'il avait tant envie de le faire sien, lui faire l'amour et est-ce que ce traitement lui convenait. Oh dieu seul savait ô combien, il crevait littéralement d'envie d'être la proie de sa fougue, de son corps. Bien entendu que ce traitement lui convenait parfaitement et quand bien même son regard parlait à sa place, il ne manqua nullement de renverser la tendance entre eux deux. Repoussant son amant contre la paroi de la salle de bain, il ne manqua nullement de venir plaquer ses lèvres contre sa nuque qu'il baissa d'une fougue sans nom, caressant le membre de son ange qui cruellement cupide, n'avait de cesse de prendre force sous ses doigts. Taquin, il se contenta seulement de le caresser de  la sorte dans des gestes à  la fois vifs et langoureux. ses doigts renforçant leurs emprises sur leur prisonnier, il ne se gêna nullement de venir susurer le doux prénom de son amant dans l'oreille ô facilement fébrile de son ange qu'il mordillait avec empressement.

"Si ce traitement me convient ? je ne saurai le dire  mon amour... mmm... et toi ?" Susurra-t-il en titillant son oreille du bout de sa langue qu'il laissa rapidement se mouvoir sur sa nuque alors qu'il se collait plus durement à la personne de son ange.

Son corps épousant parfaitement celle de son amant, il laissa pleinement leurs membres se rencontrer, se mouvoir l'un contre l'autre alors qu'il dandinait des hanches pour exercer de douces et langoureuses rencontres entre leurs deux corps cruellement excités. S'amusant énormément de cela, le regard qu'il lui offrait se trouvait cruellement séducteur alors qu'il n'avait de cesse de presser ses reins contre les siens, lui mordant les lèvres en susurrant son prénom. Pervers ? Assurément, il ne pouvait point le  cacher à  l'heure actuelle alors qu'il glissait enfin le membre de son ange sous le sien, pour le retenir prisonnier de ses cuisses. Ravi ? il ne pu que l'être de sentir le membre si excité de son ange être victime d'un frisson ô transcendant qui le fit gémir à son tour alors qu'il bougeait délicatement ses reins contre son prisonnier. il était si cruellement excitant de le sentir si ferme entre ses fesses qu'il ne pouvait s'empêcher de se mordre délicatement les lèvres en venant dévorer le visage si éblouissant et magnifique de son amour. Ses reins se mouvant avec délice sur son prisonnier, c'est dans un baiser ô cruellement langoureux, qu'il se contenta seulement de murmurer dans une voix ô suave.

"Est-ce que mon désir actuel est assez explicite où dois-je te supplier... de me faire l'amour ?... mm ? Te supplier de faire de moi la douce victime de ta passion sous cette douche ? Tu sais que c'est si délicieux de te sentir si ferme au creux de mes fesses,  mon amour ? Je pourrai passer des heures à rester ainsi... j'aime tellement savoir que tu me désires... être désirer par son dieu, n'est-ce pas la plus douce des pénitences, ne ?"

Souriant comme un bienheureux, il vint de nouveau l'embrasser avec passion alors qu'il sentait délicatement l'extrémité du membre de son ange entrer en contact avec sa prochaine victime. Un frison vint alors parcourir toute son échine alors qu'il n'avait qu'une hâte : qu'il lui fasse l'amour et vint mettre terme à tous ses fantasmes en lui donnant l'occasion d'assouvir l'un d'entre eux.

Provocateur, le jeune bulsajo l’était volontairement dans l’unique but de voir son doux amant sous une face qu’il était bien le seul à connaitre et dont il ne pourrait nullement tolérer qu’une autre personne que lui puisse voir. Le bulsajo était particulièrement possessif dès lorsqu’il s’agissait de son amant. Son esprit amoureux déjà ayant bien du mal à supporter les regards parfois désireux de nombreuses personnes sur lui, malgré le fait qu’il ne cessait pas de lancer des regards noirs à chacune d’entre elles dès lorsqu’il en avait la possibilité et particulièrement dans le monde moldu où ils n’avaient pas de raisons de cacher leur relation. Un comportement qui devait sans doute amuser Yano lorsqu’il voyait son Ki Suk si possessif avec lui. A présent, qu’ils n’avaient plus aucune barrière à leur amour, le jeune homme avait l’intention de se trouver malgré lui, toujours plus possessif dans le monde sorcier avec son bien aimé. Le fait de pouvoir être enfin libre allait lui permettre aussi de pouvoir organiser des rendez-vous romantiques avec son tendre Yano dans l’unique but de conquérir son cœur à nouveau, de le rendre plus fortement de lui. Un fait qui se trouvait objectivement difficile lorsqu’on observait à quel point les deux jeunes hommes s’aimaient. Ki Suk comptait organiser une surprise à son amant dans les prochaines semaines pour prouver d’une manière quelque peu originale son amour pour lui, une idée qu’il devait encore perfectionner.  Seulement, en cet instant, ses pensées n’étaient guères dirigées vers cette surprise, elles se trouvaient seulement préoccupées par le corps ô séduisant qui se trouvait à ses côtés de la part de  l’être qui avait fait chaviré son cœur il y avait plusieurs années et dont il ne pouvait plus se séparer d’une quelconque manière. Son pauvre cœur se trouvant bien trop amoureux de cet être pour ne serait-ce qu’un jour se séparer de cet homme.

Le regard que lui adressait Ki Suk en était bien la preuve, tant celui-ci ne pouvait nullement d’une se détacher de ce corps si sublime et désirable. Ses mains caressaient ce corps avec une envie non dissimulée. Un jeu de séduction s’était établi entre eux dès les premières secondes de l’arrivée du jeune bulsajo dans cette douche qui n’avait jamais été un lieu de luxure pour les deux jeunes hommes. Un lieu où son esprit de domination avait pris place, un esprit qui n’avait jamais cesse de vouloir désirer cet homme et de voir dans ces yeux une lueur de perversité et d’envie envers sa personne. Ce côté de personnalité ne cessait ô grand jamais de s’exalter devant la soumission du corps de Yano face à l’ensemble de ses baisers, de ses caresses sur ce corps et des ses paroles qui se voulaient ô tentatrices.  Ses baisers ne cessaient pas de quitter ses lèvres, sa nuque, le moindre centimètre de peau qui lui était offert sous cette douche.  Ses mains étaient venues effleurer avec amusement l’entrecuisse de Yano, son pousse effleurant avec amusement celui-ci dans l’unique but de l’entendre gémir, de l’entendre prononcer des paroles ô cruellement envoutantes. Des attentions qui se trouvaient appréciées lorsqu’il observait celle-ci se durcir au fur et à mesure du temps, ne pouvant que faire naitre à nouveau un désir malsain au creux de ses reins. Ses mains étaient venues guider son amant à poser ses mains sur son entrejambe ô désireuse d’attention de sa part, un fait qui le fait doucement  gémir de bien-être, ce contact se trouvait particulièrement électrisant pour le jeune homme.  

Amusé par la situation, le dogsuli était venu alors prolonger le doux contact, explorant son entrecuisse avec délice en vue de son sourire et de son comportement. Savoir que Ki Suk se trouvait excité par son corps n’était nullement un fait inappréciable par son amant, tout particulièrement lorsqu’on observait à quel point celui-ci se trouvait dépendant de Yano. L’effet de la vue du corps de Yano ne l’avait jamais laissé de marbre et cela faisait seulement confirmer ces paroles de voir à quel point il se trouvait envouté par lui.  Ki Suk souhaitait que Yano le touche, un fait qui sembla plaire à son amant qui s’appliquait déjà d’effectuer des mouvements de va-et-vient sur son corps, le faisant gémir à son tour face au contact qui l’avait tant manqué pendant ces derniers jours.  Un contact qu’il appréciait et dont il demandait à chaque fois plus d’intensité de la part de son aimé.  Voir une lueur de désir sur les prunelles de l’être cher se trouvait tout simplement appréciable et très agréable pour le jeune homme qui souhaitait tant voir un regard ô conquis de la part de Yano.  Un regard qui se voulait ô combien demandeur d’affection de sa part, venant répondre aux demandes de son esprit dominateur qui souhaitait le voir si cupide de ses attentions et demandeur de sa personne.

Les mots qu’il était venu susurrer à son oreille en était bien la preuve, venant lui avouer qu’il avait envie de le faire sien, de lui faire l’amour jusqu’à venir lui demander si le traitement auquel il avait droit lui convenait. Ki Suk savait ô combien le jeune dogsuli appréciait déjà son traitement mais celui-ci ne pouvait que s’extasier de pouvoir entendre Yano le dire à nouveau, son esprit de domination ne pouvant qu’apprécier ce fait. La réaction de Yano  fut quelque peu immédiate alors que déjà il venait renverser la situation, venant repousser cette fois son amant contre la paroi. Ki Suk gémit alors doucement alors que les lèvres de Yano venaient déjà se plaquer contre sa nuque pour l’embrasser avec passion et fougue, venant caresser son membre avec cupidité, le faisant gémir. Le jeune homme alors semblait s’amuser en venant effectuer des mouvements vif et à la fois langoureux, l’obligeant à fermer les yeux face à l’afflux de plaisir qui prenait place dans son être.  Entendre Yano murmurer son nom d’une manière ô fébrile le laissa  gémir à nouveau alors que déjà il le mordillait, venant l’emmener à venir caresser à nouveau le doux ô musclé de Yano, venant presque le griffer.  Yano vint répondre à ses propos en lui murmurant qu’il ne saurait dire si le traitement lui convenait, lui réitérant sa propre question.  Le rapprochement de leurs deux corps le fit doucement frissonner avec un certain plaisir, s’amusant de la réactivité de son amant qui semblait lui aussi pris  dans ce petit jeu.

Leurs deux membres vinrent alors se rencontrer, Yano vint mouvoir leurs chairs dans une danse érotique qui le faisait gémir doucement, faisant en sorte qu’il vienne griffer le dos de son aimé.  Yano s’amusait de ses réactions venant rencontrer leurs deux chairs à nouveau, venant l’emmener à frémir alors que Yano mordait ses lèvres, susurrant son prénom. L’action de Yano vinrent le faire gémir face à son audace, Yano était glisser son membre sous le sien, l’emprisonnant entre ses cuisses. Ah, que ce contact était agréable, pour lui qui avait tant désiré ce corps depuis ses dernières minutes. Yano se trouvait si sensuel, si désirable en cet instant. Sentir le désir de Yano sur son propre entrejambe se trouvait délicieux et il ne pouvait qu’être félicité de cette action.  Il désirait tant faire l’amour à Yano en cet instant. Les yeux ô vitreux de désir de Yano pour sa personne vint raffermir son désir pour celui-ci alors qu’il venait de lui-même à présent caresser les fesses ô musclées de Yano. Venant répondre avec plaisir aux baisers de Yano, il vint embrasser ses lèvres avec passion et désir non dissimulé. Au milieu du baiser, Yano vint se rapprocher de lui, murmurant au creux de son oreille qui vint faire le dernier mur de résistance qu’il s’était lui-même construits quelques instants auparavant. Yano était venu lui murmurer si son désir actuel se trouvait  assez explicite ou devait-il le supplier de lui faire l’amour, de faire de lui sa douce victime de sa passion sous cette douche. Cela se trouvait si délicieux de le sentir si ferme au creux de ses fesses. Il pourrait passer des heures à rester ainsi, il aimait tellement savoir qu’il le désirait. Etre désiré par son dieu se trouvant bien la plus douce des pénitences.

A peine eut-il le temps de finir ses mots que déjà Ki Suk vint l’embrasser avec plus de passion, plus désir, venant plaquer leurs corps à nouveau. Ses mains se dirigeant alors vers ses fesses avec aisance, venant s’amuser à frôler cette zone qui ne demandait plus qu’à être aimé par Ki Suk. Ki Suk vint alors laisser échapper d’une voix suave au creux de son oreille :  «  Yano…  oh oui ton désir actuel se trouve assez explicite et c’est avec grand plaisir que je vais venir répondre à ta demande… mon corps a tellement besoin du tien… je ne peux plus un seul instant te résister, tu es si… si… désirable… tellement … » Souriant contre Yano il vint l‘embrasser avec passion alors que l’une de ses mains venait caresser l’intérieur de ses fesses avec envie, laissant un de ses doigts venir entrer dans son intimité, laissant échapper un doux gémissement à l’idée même que d’ici quelques secondes c’était son entrecuisse qui allait s’y loger pour faire l’amour à son aimé, pour lui faire découvrir un plaisir jusqu’alors inconnu en ses lieux.  Gémissant de son geste et de ses pensées, il vint capturer les lèvres de Yano dans un baiser ô langoureux, empli de passion, pour lui transmettre toute l’envie qui possédait son être.

Seulement, il ne prit pas le peine, cette fois-ci de venir préparer plus son tendre aimé. La passion qui possédait son être ne pouvait tout simplement plus rester de marbre face à ce corps si séduisant et si demandeur de son désir. Ainsi, Ki Suk vint à nouveau pousser le corps de son amant contre le mur de la douche, gémissant alors que son doigt venait effleurer à nouveau l’intérieur de Yano, impatient d’enfin pénétrer ce corps.   Suivant la moindre de ses envies, Ki Suk vint embrasser les lèvres de Yano à nouveau avec passion alors que sa main abandonné les fesses de Yano un instant pour venir se saisir des mains Yano, pour lui intimer de venir s’accrocher à ses épaules pour se relever quelque peu, s’aidant de la paroi.  Ainsi, le jeune bulsajo l’aida à son tour, profitant de leur proximité pour rapprocher leurs corps autant que possible, venant s’amuser à mordre sa nuque et caressant ses fesses quelques instants. A présent, Yano,  se trouvait relevé, ses jambes encerclant ses cuisses, faisant rencontrer leur intimité, l’obligeant à gémir.

Il ne fallut pas plus de temps avant que Ki Suk ne vienne rapprocher son entrejambe pour venir effleurer son intimité gémissant à ce simple son contact, avant de venir le pénétrer avec délicatesse, soupirant et gémissant à ce contact. Il le pénétra alors murmurant   :  «  Yano…  c’est si… tellement… ah… plaisant ». Il laissa passer alors quelques instants avant de venir effectuer un léger mouvement en lui, ne souhaitant nullement faire souffrir son Yano d’une quelconque manière malgré le fait qu’il ne l’avait pas réellement préparé à le recevoir. Ses lèvres étaient venues alors se perdre sur la nuque de Yano, l’embrassant dans de multiples baisers qui se voulaient ô enchanteurs. Sa respiration se faisait alors saccadée, il se sentait tellement bien ainsi, dans le corps de son amant, redécouvrant ses sensations qui le rendaient tant dépendant de ce corps si désirable. Il était prêt à assouvir chacun des fantasmes de Yano sous cette douche en cet instant, des pensées qu’il vint prononcer d’une voix éprise par le plaisir :  «  Yano…  nous… réalisons… un de … mes ... grands… fantasmes… oh… oui… tu le sais mon amant ? Je veux… réaliser… tous tes fantasmes…». A ces mots, il vint effectuer à nouveau un mouvement à l’intérieur du corps de Yano alors qu’il se sentait perdu dans le plaisir, perdu dans un monde où seule la passion existait. Il n’y avait plus rien qui comptait si ce n’était le corps de Yano et l’amour qu’il lui portait, il voulait aimer son tendre aimé autant qu’il le pouvait en ce jour.

Pervers, il était évident que Yano avait pleinement conscience de l'être à l'heure actuelle. Tout contre l'être de son amant, il ne pouvait que le devenir tandis que la passion habitait tous ses sens. il était tellement exquis de se trouvait tout contre lui, de voir la passion possédait l'échine de son amour qu'il ne pouvait ô nullement se contenir. il était si plaisant de voir Ki Suk agir de la sorte, être si terriblement excité par ses agissements qu'en homme cupide, il s'efforçait alors seulement à répondre à ces attentes, à l'appel de son corps. Il se montrait alors terriblement séduisant et sensuel, s'amusant simplement à jouer avec les pulsions dominatrices de son amant. Le rendre fou était la seule pensée rationnelle qui guidait ses gestes, ses paroles qui se voulaient alors cruellement sensuelles. Il avait envie de lui, qu'il le fasse sien, qu'il parvienne à mettre un terme à l'appétit débordant qu'il avait de lui. En homme soumis, il voulait que Ki Suk assouvisse ces propres fantasmes, qu'il vienne à son tour répondre à son désir en faisant de lui, la proie de ses désirs. Tout ceci était résolument malsain sans doute pour certaines personnes mais cela lui semblait tout simplement naturel. N'était-ce pas normal de la part d'un amant que de vouloir répondre aux désirs de l'être aimé, de se laisser consumer à ses côtés pour connaitre le paradis terrestre à ses côtés ? Si, et Yano était depuis longtemps prisonnier de cette addiction que représenter l'échine de son dieu, qui lui donnait l'impression de connaitre le septième ciel à chaque fois qu'il l'étreignait de ses bras.

Leur première fois était résolument ancrée dans son esprit au point de se sentir cruellement fébrile à chaque fois qu'il y songeait. Cette première fois avait été cruellement unique par sa maladresse, sa passion et cet amour ô débordant que tout deux avait voué à l'autre au cours de cette dernière. il lui avait été si cruellement précieux de voir son amour se transformait sous son regard, devenir cet homme dont il était prisonnier depuis des années. Dominateur, Ki Suk devenait un tout autre homme, un être qui se laissait  tout simplement aller à ce qu'il désirait et pour rien au monde Yano n'avait cherché à le retenir. il voulait découvrir cet homme jour après jour, lui donner la possibilité de se sentir cruellement accompli dans tous les domaines à ses côtés, de devenir cet homme rempli d'arrogance et d'érotisme lorsqu'il désirait le faire sien. Ce désir, cette excitation était résolument merveilleuse à ses yeux, au point qu'il ne manquait nullement d'affermir cet état de fait. Il était donc évident qu'il avait cherché à provoquer la folie de son amour en faisant glisser son intimité entre ses cuisses pour le mener discrètement à ses fesses. il savait qu'ainsi lotit tout contre cette partie de son anatomie qu'il désirait dévorer depuis quelques minutes allaient déclencher une seconde étape dans l'esprit de son amour. A l'exciter ainsi, à se montrer si pervers, il savait dans quoi il s'engageait. La frustration, le désir et la passion se trouvait bien trop intense pour qu'aucune raison cohérente puisse les écarter de leur objectif : celui de s'appartenir mutuellement.

Ainsi ce baiser qu'il était venu lui voler avec tant de force et de passion était un appel à la luxure. Sentir le même si durci de son amant frôler et caresser cette partie si particulière de son anatomie, l'obligeait à frissonner d'un bonheur sans nom. Il était tellement délicieux de le sentir si ferme entre ses fesses qu'il ne pouvait s'empêcher de sourire d'un air enjôleur alors qu'il pouvait admirer les yeux de son ange le dévorer du regard alors qu'il lui rendait son baiser avec autant de fougue. il était si plaisant de sentir les phalanges de son amour se choir sur ses fesses, les caresser avec désir et fougue, à la suite de ses paroles ô enjôleuse dans lesquelles il l'avait presque supplier qu'il lui fasse l'amour. Lorsqu'il sentit les doigts de son ange se faufiler entre ses fesses pour renforcer leurs caresses, il ne pu que frémir de bonheur à l'entente des paroles ô envoutantes de son ange, qui lui susurra au creux de l'oreille qu'il avait bien comprit le message et que c'était avec un grand plaisir qu'il allait répondre à sa demande. Oui, il ne pouvait point lui résister tant il était si désirable, si indispensable pour son corps. C'est donc dans un léger gémissement de satisfaction qu'il vint de nouveau accueillir les lèvres de son amour alors qu'il sentait l'une de ses phalanges s'égarer sur son orifice, qui allait devenir sous peu la destinataire de ses attaques passionnées. Soumis sans aucune honte, il se laissa pleinement faire lorsque son amant vint de nouveau  le plaquer contre les parois de la douche dans un baiser ô cruellement langoureux. Gémissant comme son ange à cet acte, c'est tel un pantin qu'il se laissa faire lorsque Ki Suk vint l'intimer à poser ses mains sur ses épaules pour s'accrocher à lui alors que de ses doigts, il l'intima à relever ses jambes pour encercler ses cuisses, adoptant ainsi une position bien plus agréable  pour la suite. Son membre si ferme tout contre ses abdos, il ne pu que gémir à la morsure brulante que son ange vint déposer sur sa chair alors que son membre frôlait de nouveau son intimité. Il avait pleinement conscience de ce qu'il allait se produire, la douleur que cela allait engendrer mais en même temps, il avait tant envie qu'il lui fasse l'amour, qu'il mette une fin à cette attente, qu'il ne pu que geindre quelque peu de bonheur de sentir son intimité pénétrer sa chair dans un mouvement délicat alors qu'il entendait son amour lui murmurer qu'il trouvait cela si plaisant. Se mordant les lèvres alors qu'il sentait son amour opérer un léger mouvement en lui, il ne pu que se sentir bruler d'un feu incandescent lorsqu'il sentit les lèvres si exquises de son amour venir baigner sa nuque. Prenant appui sur les épaules de son amant, il ne pu que les griffer malgré lui alors qu'il le sentait de nouveau opérer un mouvement de rein alors qu'il lui  avouait qu'ils étaient en train de réaliser un de ses plus grands fantasmes, qu'il désirait réaliser tout ses fantasmes également. Fermant délicatement ses paupières face au frison transcendant qui traversait toute son échine, il ne pu que gémir doucement alors qu'il renforçait son étreinte autour de ses cuisses pour obliger son amant à se coller à lui.

« C'est également... un... de mes plus grands... fantasmes...mon amour... c'est si plaisant... te sentir si ferme... ah... je crois que je m'en lasserai jamais... » murmura-t-il d'une voix ô saccadée alors qu'il glissait ses doigts dans la chevelure de son amour pour l'obliger à le fixer.

Venant lui voler un langoureux baiser à son tour, il ne pu que gémir de nouveau en le sentant de nouveau se mouvoir en son sein, tant le plaisir qui l'envahissait se trouvait puissant. Griffant son cuir chevelure avec douceur, il se contenta seulement de fermer ses paupières pour profiter pleinement du bien être qui l'habitait. Ainsi, lotit contre son amant, laissant sa main libre venir flatter les biceps de son amour, il se laissa pleinement faire entre les mains expertes de son amant, qui résolument dévoré par la passion n'avait de cesse d'accroitre la cadence de ses mouvements de reins. Un fait qui ne le laissait nullement de marbre alors qu'il fermait doucement ses paupières pour profiter tout simplement de tout cela, son membre étant bien cajolé par les abdos de son ange qui ne le ménageait nullement. Rapidement la douleur s'estompa pour laisser place à du bien être à l'état pur. Se mordant alors les lèvres pour contenir le plaisir cuisant qui prenait place dans son échine, il renforça son étreinte autour des mèches de son ange tandis qu'il l'intimait à poursuivre ses mouvements, se laissant tout simplement fondre. Son membre n'avait de cesse de s'affermir au moindre de ses mouvements alors qu'il le sentait accélérer ses coups de reins.

« C'est si plaisant...ah...mon amour... continue... j'aime tellement te voir ainsi... » murmura-t-il dans une voix  saccadée alors qu'il venait voler ses lèvres dans une passion non dissimulée, les mordant légèrement alors qu'il gémissait entre deux baisers. Ses doigts renforçant leurs étreintes autours de ses cheveux, son autre main n'avait de cesse de se mouvoir sur chaque  partie du torse de son amant qu'il lui était permit de toucher, le griffant avec délice alors qu'il soupirait tout simplement dans un dernier baiser ô passionné.

« Laisses-toi complètement aller, mon  amour... dévore moi, laisse-moi te voir devenir fou en me faisant l'amour... j'ai tellement envie de connaitre de nouveau cet aspect si passionné de ton âme... fais de moi ce que tu veux... je suis tout à toi, à toi mon Ki Suk....»

Souriant tout contre ses lèvres, il vint soutenir son regard dans un sourire ô enjôleur alors qu'il venait de nouveau l'embrasser avec douceur mais sensualité, le suppliant du regard de nouveau de le rendre fou.

Désirable, Yano se trouvait en cet instant l’homme le plus désirable aux yeux du jeune bulsajo. Sous cette douche, n’ayant plus un seul vêtement sur lui, ce corps lui semblait ô envoutant pour le jeune homme faible qu’il était. Chaque goutte d’eau qui s’écoulait sur son corps le rendait toujours plus charmant, sans omettre son comportement volontairement coquin envers sa personne. Son amant cherchait d’une manière ou d’une autre à toujours l’emmener à devenir plus dominateur et à faire naitre en lui un désir malsain de le posséder sous cette douche pour la première fois de leur existence. Un lieu qui serait à présent  un lieu de tous les pêchers, leur couple ayant dépassé une étape importante ce jour, comme si à présent il n’y avait plus aucune barrière qui pourrait leur interdire certaines envies, certains désirs. Ki Suk ignorait bien la raison pour laquelle il n’avait jamais osé franchir les portes de la salle de bain pour venir répondre à l’un de ses fantasmes, la timidité peut-être ? Il n’en savait point mais à présent qu’il avait pu y gouter, le jeune bulsajo n’allait plus jamais dans leur futur restreindre ses envies, notamment lorsqu’il remarquait à quel point son amant semblait avoir apprécié son initiative.

Le jeune bulsajo ne cessait d’embrasser le corps de son amant, de caresser chacune de ses formes avec envie.  Ki Suk souhaitait assouvir ses doux fantasmes au travers de la passion de leurs deux corps en ce jour, une passion commune à laquelle son amant agissait de telle sorte qu’il ne puisse pas y résister. Chacun des mots que son amant prononçait au creux de son oreille se voulait évocateur, tout comme son comportement si tentateur envers sa personne. Le jeune homme était venu se saisir de son entrecuisse avec tendresse pour la placer entre ses jambes, pour qu’il vienne frôler son intimité et qu’il l’emmène à devenir particulièrement pervers. Pour le né moldu qui désirait tant posséder son amant, cette action avait été un coup de grâce pour le jeune homme qui n’avait pas pu résister quelques minutes de plus à venir en lui. Il savait bien malgré lui que son amant risquait d’avoir mal au début mais il avait fait en sorte de le préparer un minimum, son esprit pervers restant toujours prévenant dès qu’il s’agissait de son amour. Sa prévenance s’était retrouvé certes amoindrie mais le jeune homme avait fait du mieux qu’il pouvait, tout particulièrement alors que son corps réclamait de plus en plus le contact de leurs chairs dans une passion dévorante depuis de nombreuses minutes. Chacun des baisers qu’il lui adressait se trouvait empli d’une puissante luxure dans laquelle il se laissait entrainer continuellement tant celle-ci se trouvait plaisante pour chacun d’eux. Le jeune bulsajo ne se lassait tout simplement pas des caresses de Yano sur son corps en cet instant précis, venant prolonger lui-même le contact. Ses doigts étaient venus caresser le corps de Yano, son dos et particulièrement ses fesses qui n’attendaient que lui et son attention.

Le regard ô conquis qui lui lançait Yano ne pouvait pas lui faire croire le contraire, ses yeux brillant de désir se trouvait particulièrement exquis pour le jeune homme qui voulait tant que ceux-ci dans quelques minutes exprime le bonheur suprême de la luxure lorsqu’il serait en train de lui faire l’amour.  Souriant de bonheur, le jeune homme était alors venu lui voler un baiser ô langoureux, ses phalanges venant s’égarer sur son orifice avant de venir le plaquer contre l’une des parois de la douche. Se laissant guider par son envie, il était venu intimer à Yano avec tendresse de poser ses mains sur ses épaules et d’encercler ses cuisses pour adopter une position bien plus agréable en vue du traitement ô agréable qu’il allait recevoir de sa personne. Sentir contre ses abdominaux, le membre de son Yano, déjà si dur avant même qu’il ne le possède  se trouvait si exquis pour le jeune homme. Savoir qu’on était l’unique personne à rendre si enflammé son amant se trouvait l’un des plus beaux précieux que le jeune homme pouvait avoir en cet instant. Le jeune bulsajo n’avait mis alors que peu de temps avant d’enfin posséder son amant avec délicatesse, pour ne pas le faire souffrir d’une quelconque manière.

A ce premier contact, les deux jeunes hommes étaient venus gémir de bien-être l’un contre l’autre, le laissant venir soupirer qu’il se trouvait particulièrement heureux en cet instant, se trouver en Yano était si plaisant pour le bulsajo qui avait tant désiré ses dernières minutes enfin le posséder.   Le jeune bulsajo était venu effectuer alors un léger mouvement en lui, ses lèvres s’étaient posées sur sa nuque dans de multiples baisers dans l’unique but d’apaiser son amant.  Au second mouvement qu’il effectua, il ne put que gémir à nouveau lorsqu’il sentit son amant griffer son dos face à l’afflux de sensations qui le possédaient. Les paroles qui lui avaient adressé semblaient plaire à son tendre amant qui était venu renforcer leur étreinte en l’obligeant à se coller à lui, fermant les yeux face à l’afflux de plaisir. Le jeune homme semblait apprécier son traitement, tout comme son bourreau qui ne cessait pas de vouloir le rendre fou à chaque mouvement. Yano lui répondit alors qu’il s’agissait lui aussi de l’un de ses plus grands fantasmes, cela se trouvait si plaisant de le sentir si ferme, il croyait qu’il ne pouvait nullement s’en lasser une seule fois. Le jeune homme était alors venu le lui fixer d’une façon langoureuse, venant glisser ses doigts dans sa chevelure. Perdu dans un baiser alors langoureux, le jeune homme était venu accroitre sa passion, se laissant alors aller au doux plaisir, venant effectuer à nouveau un mouvement de va-et-vient, le faisant frissonner. Ses reins se mouvaient alors avec plus de ferveur en son sein, le faisant gémir de bien-être alors qu’il sentait les mains de Yano venir s’égarer sur ses biceps. Progressivement, le jeune homme accompagnait lui-même ses mouvements, tout particulièrement alors que Ki Suk semblait avoir touché ce point sensible en l’être Yano à force de ses mouvements, un point qui transcendait son amant, l’obligeant à mordre ses lèvres et lui laissant alors la libre vue de son corps épris par le plaisir et bien-être. Une vision ô enchanteresse qui ne cessait de faire naitre en lui un feu ardent, et satisfaisant sa personnalité dominatrice, ravie de voir à quel point son amant se satisfaisait de son traitement.

Chacun des mots que Yano prononçait le rendait particulièrement fou, surtout lorsqu’il lui disait que son traitement se trouvait particulièrement plaisant, venant lui demander à nouveau de continuer, il aimait particulièrement le voir ainsi. Souriant à ces mots, le jeune homme vint répondre alors avec une passion certaine au baiser que Yano était venu lui voler, appréciant ses morsures avec délice. La douleur ne le dérangeait plus depuis longtemps, le bien-être qui le transcendait à chaque fois qu’il venait dans sa chair se trouvant bien plus puissant que la moindre douleur. Ses griffures sur son corps se trouvaient particulièrement exquises, celui-ci venant gémir à son tour au moindre de ces baisers. Chacun de ses mouvements de reins se voulant bien plus puissants, voulant répondre au plaisir et au bien-être de son amant.  Les mots qu’étaient venus lui murmurer son amant le firent frissonner de bien-être, venant ravir son égo de dominant.  Il lui murmurait alors de se laisser complètement aller, l’intimant de le dévorer, de le laisser voir à nouveau son être devenir fou lorsqu’il lui faisait l’amour. Le jeune dogsuli souhaitant tant de connaitre à nouveau cet aspect si passionné de son âme. Il lui demandait de faire ce qu’il voulait de lui, il se trouvait à lui, uniquement à lui, son Ki Suk.

Chacun de ses mots étaient venus alors raviver son égo et sa passion, l’obligeant presque malgré lui à venir lui faire l’amour avec encore plus de passion qu’il n’avait pu connaitre jusqu’à cet instant. Une passion qui souhaitait répondre aux demandes de son amant, voulant être toujours possessif et aimant.   Le bulsajo était venu alors coller leurs corps encore plus, ne laissant aucun centimètre de séparation entre leur deux corps. Il vint alors venir embrasser Yano dans un baiser langoureux, venant faire descendre l’une de ses mains frôler l’entrejambe de son amant qui se trouvait si bien cajolé contre ses abdominaux.  Il vint laisser un doux sourire amusé à son geste alors qu’il effectuait à nouveau une oscillation  à l’intérieur de Yano. Il vint alors murmurer d’une voix particulièrement suave et volontairement coquine entre deux mouvements en son être : « Mon Yano…oh mon Yano… je vais tout faire… tout faire… pour que ton souhait soit réalisé. J’ai tellement envie… tellement envie de toi en cet instant…. si tu savais à quel point. Te faire… te faire l’amour est si plaisant… ah…  » Murmura-t-il dans un énième mouvement de va-et-vient alors qu’il laissait échapper à nouveau un gémissement.

En effectuant un léger mouvement, Ki Suk vint alors s’amuser à frôler quelques instants son intimité déjà si dur jusqu’à la saisir et la prendre dans sa main effectuant une caresse plus appuyée, effectuant un va-et-vient sur celle-ci, au même rythme que ses mouvements dans son corps.  Ki Suk souhaitait tant faire plaisir à son amant, tant lui faire connaitre à nouveau le septième ciel au creux de ces reins, l’emmener dans ce paradis terrestre avec son seul corps et son amour.  Ki Suk souriait alors avec amusement, venant faire fondre son corps dans le sien, gémissant, ne retenant pas un seul de ces gémissements. Il se sentait tellement bien ainsi, dans son être, il ne souhaitait nullement quitter ce corps qui le tentait et lui donnait tant envie à chaque fois. Voir Yano si dominé, si dépendant de son être se trouvait l’un des plus grands délices qu’il lui était permis d’avoir pour lui simple mortel sur cette terre.  Il vint alors murmurer, ne se laissant pas de dévorer du regard son amant qui semblait tant apprécier est traitement : « Tu es… tu es… si … magnifique mon aimé. Ton visage pris par le plaisir est si beau… tellement… personne n’a le droit… de te voir ainsi … oh non… tu es si beau… »

Terminant ses paroles dans un baiser sur sa nuque, il vint la mordre avec délice, s’amusant des réactions de son aimé. Sa main était alors venue continuer son traitement sur son intimité avec un délice certain, voulant tant l’emmener au plaisir extrême entre ses doigts et ses reins. Chacun de ses mouvements de reins se voulaient plus passionné à chaque instant. Souriant tendrement, le jeune homme vint alors s’amuser pour rendre son partenaire encore plus fougueux de ralentir le rythme de ses mouvements avant de revenir quelques instants plus tard accélérer, s’amusant du visage quelque peu du visage contrarié de son aimé et de ses râles à chacun de ses mouvement de reins et de ses mouvements sur son entrejambe. Voir le visage pris par le plaisir de son amant se trouvait si exquis. Il vint alors susurrer avec amusement tout contre lui : « Yano… mon Yano… je deviens fou… je veux… je veux te voir toujours plus pris par le plaisir… je suis… je suis un pervers… tu le sais ? »

Rendre fou Ki Suk était résolument l'objectif qu'il souhaitait atteindre à cet instant précis. il était tout simplement trop exquis de le voir si enflammé, si désireux, si érotique qu'il ne pouvait s'empêcher de fondre comme neige au soleil. Jamais ô grand jamais, Yano ne pourrait un jour se lasser de la fébrilité dont il était l'investigateur en la personne de son amant. il était après tout, trop envoutant de le voir ainsi, si dominateur, si excité et cupide. Voir dans les prunelles de cet ange si pures en accoutumée, cette convoitise qu'il possédait pour sa personne était résolument étourdissante et cruellement additive. il était si plaisant de le voir agir de la sorte, le dominer avec tant de fougue qu'en amant ô comblé et amoureux, Yano n'avait de cesse de vouloir se soumettre à lui. Collé tout contre la paroi de cette douche qui accueillait pour la toute première fois leur fougue, il se laissait totalement embraser par ce feu incandescent qui avait pris place au sein de son être. il était si délicieux de sentir la chair brulante de son ange être si fermement proche de la sienne, sentir l'eau s'écoulait sous la pulpe de ses doigts, ressentir si profondément le moindre de ses mouvements en son sein. Quand bien même la douleur était présente, il tentait tout simplement d'en faire abstraction pour ressentir tout simplement ce plaisir cuisant qu'il ressentait de l'appartenir de nouveau. Son cœur battant à tout rompre dans sa poitrine, il avait l'impression de devenir à la moindre seconde passée aux côtés de l'être si passionné de son amant. Son corps bien plus démonstratif qu'il ne le devrait, il se laissait tout simplement manier sous les doigts experts de son amant, qui par ses caresses, ses baisers parvenait tout simplement à l'embraser.

A la fin de ses paroles ô cruellement cupides et réclamant toujours plus de fougue de la part de son bourreau, il avait eu la satisfaction de le sentir venir se coller plus durement contre lui, lui donnant la félicité de sentir son torse rejoindre le sien pour se mouvoir tout contre lui dans un oscillation de ses reins dans les siens. Ce simple geste eut le mérite de l'électriser totalement alors qu'un soupir de bien être s'était échappé de ses lèvres qui eurent le bonheur de se retrouver de nouveau prisonnière de leurs jumelles. Savourant ce baiser fougueux avec un plaisir ô certains, il se laissa tout simplement y répondre avec le même empressement alors que ses doigts renforçaient leurs étreintes sur la chevelure de son amant. Une prise qui s'affermit d'autant plus lorsqu'il sentait les phalanges de son amant se choir sur son entrejambe pour la frôler, l'obligeant à gémir de plaisir contre les lèvres de son amant, amusé qui pouvait ainsi l'admirer si cruellement soumis. Conquit, soumit, il ne pu que geindre d'autant plus lorsqu'il eut le plaisir de sentir de nouveau son amant se mouvoir en lui, l'obligeant à ressentir de nouveau ce délicat bien être d'être la victime de sa folie. La douleur s'estompa, il ne pu que bruler intérieurement des paroles de son amant lorsqu'il vint lui susurrer dans un énième mouvement de hanche qu'il allait tout faire, absolument tout pour répondre à son souhait. il avait tellement envie de lui en cet instant tant il était si plaisant de lui faire l'amour, que Yano ne pu que sourire ô satisfait de l'entendre dire ceci dans une voix si cruellement saccadée qu'il se mordit les lèvres avec plaisir.

Lorsqu'il sentit les phalanges de son amant se choir sur son intimité pour la caresser dans un léger mouvement, il ne pu que gémir de nouveau en lui lança un regard brulant et cruellement enflammé. Son corps appréciait cette caresse, son cœur tambourinait dans sa poitrine tandis que sa respiration se faisait si saccadée qu'il avait la sensation de suffoquer. Fermant ses paupières en soulevant sa poitrine dans une inspiration profonde, il avait l'impression de perdre la tête face à tant de plaisir d'un seul coup. Ses doigts griffant avec force la peau qui se trouvait à sa merci, il avait la sensation de devenir fou au moindre des agissements de son bourreau et amant. La passion qui possédait son âme était si profonde qu'il n'arrivait plus à garder les esprits claires, leurs corps se mouvant à la perfection, il ne ressentait désormais que du plaisir, du désir au moindre coup de rein ou de main de la  part de son amant. Gémissant comme un bien heureux, il profitait totalement des sensations de bien être totaux qu'il ressentait en son être. Cette chaleur l'aveuglait totalement et le rendait à la  fois si dépendant de son corps. Se livrant pleinement à son Dieu, il devait résolument offrir une vision ô enchanteresse de sa personne tant il avait la sensation de bruler à son contact sous son regard. Les paroles de ce dernier venait en total adéquation avec ses pensées puisque ce dernier le trouvait si magnifique lorsqu'il était prit par le plaisir qu'il refusait qu'une autre personne que lui ne le voit ainsi. Un fait totalement partagé par sa personne car il était résolument contre l'idée qu'une autre personne ne puisse le voir si enflammé, si dominateur, si érotique à souhait. Se mordant les lèvres avec force, il ne pu que geindre le prénom de son aimé lorsque celui ci vint mordre sa nuque avec délice, s'amusant sadiquement de le voir si fébrile sous son être. Un fait qui ne le gênait nullement et qui venait même s'ajouter à son bien être. il était résolument bien envoutant de sentir son amant être conquis par votre personne et pour rien au monde, il ne souhaitait que ce dernier se détache de son être. S'habituant résolument à la cadence que son amant l'intimait à suivre, il n'était plus qu'en mesure de gémir, soupirer de bonheur à la moindre de ces actions. il était si dépendant de cette passion que lorsque Ki Suk prit  la décision de ralentir le rythme de ses mouvements, il ne pu que geindre sa frustration, griffant sa nuque que ses doigts n'avaient point quitter alors qu'il venait lui même glisser ses reins et sa main libre sur la personne de son bourreau, l'obligeant alors de nouveau à le pénétrer, tout comme le caresser alors qu'il le sentait de nouveau reprendre la cadence. Fou, son coeur n'avait de cesse de rater un battement à la moindre de ses agissements, qu'il ne savait plus où il était. perdu dans sa passion, cette luxure qui faisait de lui la totale victime de ses pulsions animales, il ne pu que sourire exalté par les paroles de son amant qui lui avouait devenir fou, désirant le voir toujours plus pris par le plaisir. Ce désir de lui devait sans doute le rendre pervers mais cela n'avait  aucune importance pour lui, puisqu'il l'était tout autant de lui. Il mentirait s'il n'avouait pas qu'il appréciait justement cet aspect de sa personne, y puissant lui même une addiction sincère. Il était tellement merveilleux de savoir qu'il devenait un tout autre homme à son contact, que Yano ne pouvait nullement se lasser ce cela, savourant pleinement cet état de fait.

C'est donc dans un empressement certain qu'il vint à son tour lui voler un baiser avec fougue et passion, bombant son torse pour se retrouver en contact avec le sien, appréciant tout simplement cette chaleur et ce contact qui le rendait fou. Soupirant avec fébrilité tout contre ses lèvres, il ne pu nullement s'empêcher de lui lancer un regard enflammé alors qu'il glissait ses doigts sur la main de son ange pour l'intimer à poursuivre son supplice. Fermant ses yeux à son geste dans un léger soupir d'aise, il se mordit délicatement les lèvres en murmurant.

"J'aime te voir... te savoir pervers... avec moi mon amour... cela me rend dingue de savoir que je suis... le seul... et l'unique être à te voir ainsi... j'aime tellement te voir ainsi... si déterminé à me rendre fou... à me faire l'amour... je t'en prie... continue... fais de moi cet amant accompli...qui ne demande qu'à te faire atteindre l'orgasme également"

Gémissant tout simplement de sentir de nouveau un mouvement de hanche de son amour le pénétrer, il se contenta seulement de venir mordre à son tour sa nuque avec un plaisir certain, la suçotant pour y apposer sa  marque, se laissant tout simplement guider par sa propre passion. Comme si son amant avait comprit son appel à la luxure totale, il le sentit tout simplement se libérer des dernières chaines de sa passion, s'amusant tout simplement avec son corps en lui faisant subir cette douce pénitence qu'était le plaisir et la frustration. Déterminé à le rendre fou, Ki Suk n'avait de cesse d'atténuer ses coups de reins, parfois langoureux et vifs ou lent et cruellement frustrant. Tel un pantin, il laissait pleinement son corps s'exprimer alors qu'il avait la sensation de suffoquer au moindre coup trop vif en son sein, tant ces derniers venaient enflammer d'autant plus son être. S'agrippant alors à son dos, il ne pouvait alors que se soumettre à le griffer, le caressant à chaque seconde pour ne point rester inactif. Ses lèvres baignant sa nuque avec volupté, la mordant malgré lui lorsque son amour lui assénait un mouvement trop puissant au creux de ses reins, ses gémissement n'étaient plus que des plaintes de supplication pour encore plus de luxure de sa part. La douleur s'étant totalement évanouie, il se laissait totalement envoutée par les bruits érotiques que leurs deux êtres émettaient alors qu'il n'avait de cesse de lui dire qu'il appréciait tout cela, l'intimant à y aller toujours plus fort, résolument bien trop enflammé pour être en mesure de rester sage. il voulait tant qu'il le rende fou, qu'ils atteignent ce paradis terrestre tant désiré, que ses yeux s'embrumaient peu à peu face à tant de sensations si étourdissantes. Sentant les doigts de son ange opérer un geste bref et vif sur son membre si mortellement dressé, il ne pu que geindre fortement alors qu'il venait mordre doucement le lobe de l'oreille de son bourreau pour y susurrer dans une voix ô suave.

"Ah... mon amour... c'est si bon... j'ai l'impression de devenir fou... je t'en prie... continue... atteignons ensemble ce bonheur fulgurant qu'est la jouissance... j'ai tellement envie de connaitre de nouveau cet instant grâce à toi..."

Se mordant les lèvres, c'est dans un énième râle qu'il sentit de nouveau les reins se mouvoir en lui, alors qu'il n'avait de cesse de susurrer le nom de son amour, l'implorant tout simplement de poursuivre alors qu'il renforçait son étreinte autour de son torse, de ses cuisses pour le sentir encore plus en lui, contre lui. Si seulement son amour pouvait l'achever et répondre à son pervers désir, il pourrait faire de lui, tout ce qu'il désirait.

Marqué par l’amour qui les possédait, les corps des deux jeunes hommes n’allaient nullement rester vierges de toute griffure et de morsures après ces instants de bonheur, collé l’un à l’autre, leurs corps s’emmêlant dans une danse ô somptueuse.   Un ballet qui ne lasserait sans aucun doute jamais les deux jeunes hommes amoureux qu’ils étaient. A chaque instant, à chaque caresse, à chaque pénétration, il semblait au jeune bulsajo atteindre le paroxysme tant les sensations qui l’habitaient se trouvaient fortes et agréable. Son esprit pervers ne se lassant tout simplement pas de la vue qui lui était offerte, ce corps pris par le plaisir et n’attendant alors que chacune de ses pénétrations pour pouvoir accéder au paradis terrestre. Un paradis où seul Yano et Ki Suk avait le droit d’accès et dont jamais le jeune bulsajo ne laisserait la place à quiconque. Il se trouvait être bien le seul dans ce monde à pouvoir goûter à ce plaisir à ses côtés, il ne laisserait personne d’une quelconque façon d’avoir ce privilège à part lui. Personne n’avait le droit de lui prendre son Yano tant l’amour qu’il ressentait l’un pour l’autre se trouvait fort et unique. Dans chacun de ses gestes, dans chacune des actions son tendre amant avait l’unique but de le rendre fou et totalement dépendant de sa personne, ceux-ci ne se trouvaient nullement sans conséquence lorsqu’on remarquait à quel point le jeune homme désirait son Yano. Heureux, le jeune homme n’avait pu l’être alors qu’enfin il était venu posséder ce corps qui lui donnait tant envie. L’être si innocent qu’il était à l’accoutumé avait laissé place à une personne particulièrement perverse et dominatrice qui ne voulait que se satisfaire de ces instants de luxure.

Ses lèvres étaient venues embrasser leurs jumelles dans un baiser rempli de fougue alors que déjà il s’amusait à venir frôler l’entrejambe de son amant avec amusement. Ses reins accentuant leur contact, venant à nouveau pénétrer le corps ô tentant de son amant, un corps qui le rendait fou à chaque instant. Posséder Yano se trouvait un délice particulier pour le jeune homme, tout particulièrement alors qu’il sentait les mains de Yano sur son torse venir s’égarer, griffant ses pectoraux sans aucune retenue, le faisant frissonner à chaque instant. Ses doigts effectuaient de doux mouvements de va-et-vient sur son entrejambe dans l’unique but de le rendre fou et de lire dans son regard un plaisir infini pour sa personne, un regard envoûté qui ne pourrait que satisfaire son esprit pervers. Caressant encore celle-ci avec envie, son amant venait griffer le moindre centimètre de sa peau alors qu’il pouvait le dévorer du regard lorsqu’il le voyait fermer les yeux, pris par ce plaisir qu’il était l’unique à lui donner. Le bulsajo se laissait peu à peu laisser aller à cette douce passion, venant embrasser d’une manière particulièrement sensuelle son aimé tandis que son corps ne cessait de se mêler avec passion au corps de son amant. La chaleur qui le possédait se trouvait si forte qui lui était bien impossible de pouvoir penser sereinement si ce n’était de vouloir rendre son aimé encore plus fou de lui en ce jour. Ses lèvres étaient venues se déplacer alors sur sa nuque, s’amusant à la mordre et de le voir dans un état ô désirable pour sa personne. Entendre Yano gémir son nom se trouvait exquis pour le jeune homme qui  ne cessait de s’amuser, venant effectuer des mouvements plus lent en son être pour le voir geindre de frustration. Un fait qu’il réussit totalement lorsqu’il le vit venir lui-même placer sa main sur son entrejambe pour qu’il le possède à nouveau, bien trop demandeur de contact entre leurs deux chairs. Yano était venu griffer sa nuque, l’obligeant à nouveau à gémir de bien-être malgré lui, la douleur et le plaisir, se mêlant dans un délicieux mélange qui faisait frémir son âme.

Le bulsajo vint alors à nouveau reprendre sa cadence avec un doux plaisir, s’amusant de sa personne à nouveau et de cette vue venant lui faire murmurer des mots emplis de luxures à son encontre, des mots qui semblèrent lui plaire au vue de son sourire charmé et si envieux.  Yano était venu alors répondre avec empressement à ses mots au travers d’un baiser particulièrement fougueux, l’emmenant à vibrer alors que Yano venait coller leur torse ensemble. Le contact de leurs chairs se trouvait si agréables que Ki Suk ne pouvait tout simplement pas s’en lasser d’une quelconque manière. Yano vint lui lancer un regard ô enflammé alors que de son initiative il se saisit de sa main pour l’intimer à poursuivre ses mouvements, effectuant un doux et vient sur son entrecuisse déjà si éprise par le plaisir. Le gémissement qu’il laisse échapper se trouvait ô si doux à son oreille il vint lui lancer un regard ô captivé écoutant attentivement chacun des mots de son amant. Des mots dans lesquels celui-ci lui avouait qu’il aimait le voir si pervers avec lui, le fait de savoir qu’il se trouvait le seul et l’unique à le voir devenir ainsi le rendait aliéné. Il aimait tant le voir ainsi, si déterminé à le rendre, à lui faire l’amour… il venait lui supplier alors de continuer, de faire de lui un amant accompli qui ne demandait qu’à lui faire atteindre l’orgasme à lui aussi. Ne pouvant nullement résister d’une quelconque manière, le jeune homme était venu alors effectuer un énième coup de rein, heureux d’être en lui et de pouvoir ressentir toutes ses sensations ô enchanteresse. Gémissant à la morsure de Yano sur sa nuque à nouveau, el faisant frémir alors qu’il effectuait un mouvement en lui, soupirant et gémissant le doux nom de son amant.

Ne souhaitant tout simplement plus se retenir d’une quelconque façon, le jeune homme était venu alors se libérer de ses chaines de raison et était venu posséder le corps de Yano dans un rythme plus soutenu, d’une manière plus puissante comme pour faire connaitre à nouveau le plaisir intense à son aimé dans l’unique but d’atteindre le septième ciel à ses côtés. Ses coups de reins se voulaient en même temps particulièrement bouleversés, alternant la douceur et le désir ô puissant et vif. Les griffures que Yano effectuait sur son corps ne le dérangeant nullement, si ce n’était que chacune de ses réactions faisaient naitre en lui un plaisir malsain mélangé à la douleur, un plaisir auquel il ne pouvait nullement se lasser tant il se trouvait si charitable.  Chacun des mots prononcé par son aimé se trouvait si exquis, chacun de ses gémissements et de ses appels à la luxure… comment pouvait-il seulement résister au corps de Yano, calmer sa passion alors que celui-ci lui intimait à chaque fois de le posséder encore plus, encore plus fort ? Il était bien possible pour le jeune homme de résister et il venait à chaque fois répondre aux demandes de son aimé, son esprit pervers aimant ô combien entendre les gémissements de Yano et son être devenir de plus en plus dur à chaque poussée dans ce corps, l’emmenant petit à petit dans un endroit de luxure ô présent qu’ils connaissaient si bien dès lors qu’ils étaient ensemble.  Le jeune effectua à nouveau un geste bref et vif sur son membre, souriant vicieusement alors qu’il entendait Yano gémir à ce contact, le faisant gémir à son tour alors qu’il venait mordre son lobe d’oreille, gémissant son nom. Yano vint susurrer d’une voix ô suave que son traitement se trouvait si délicieux, qu’il avait l’impression de devenir fou, en ayant comme unique pensée de continuer ce traitement et d’enfin atteindre ensemble ce bonheur fulgurant qu’était la jouissance, il avait tellement envie de la connaitre à nouveau grâce à lui.

Ki Suk ne pouvant que venir répondre à son amant, celui-ci vint alors effectuer un énième mouvement dans son être, gémissant fortement alors qu’il touchait à nouveau ce point si délicieux qui faisait tendre Yano à chaque poussée. Son entrejambe se trouvait si bien logé en Yano, celle-ci devenant de plus en plus dur, le rapprochant à chaque fois un peu plus de cette luxure ultime qu’était l’orgasme. S’accrochant fortement à son aimé, ses reins venaient à la rencontre à son corps de plus en plus rapidement, le jeune homme ne pouvant plus se retenir d’une quelconque manière alors qu’il se sentait si proche de ce paradis terrestre. Gémissant il vint alors murmurer tout contre Yano : « Yano…tout est si bon… si … magnifique… ah … je vais bientôt ne plus tenir… tu es si délicieux… oh oui… j’aime tant te faire l’amour mon aimé… tellement…  tout est si… plaisant…» Gémissant à ses mots, il était venu mordre les lèvres de son aimé un instant avant de venir embrasser sa nuque murmurant son nom sans cesse.

La passion venait embraser son corps alors qu’il sentait de plus en plus le moment arrivé où le plaisir deviendrait de plus en plus puissant, un moment où il goûterait à nouveau à un plaisir jusqu’à alors perdu lors de ces derniers jours loin de l’autre. Ce plaisir le rendait à chaque fois plus dépendant de sa personne et en ce jour de Noël son plus cadeau serait d’atteindre à nouveau ce paradis terrestre à ces côtés en cet instant. Ainsi, le jeune homme ne cessait d’effectuer des mouvements de va-et-vient grâce à sa main sur l’intimité de son amant avant d’à nouveau pénétrer son corps d’une manière particulièrement sensuelle et remplie de passion, laissant chacun de ses gémissement sortir alors qu’il mordait sans le vouloir la nuque de son aimé. Soupirant à nouveau à un énième coup de rein, il vint laisser échapper dans une voix particulièrement prise par le plaisir ces mots : « Mon amour… je ne vais plus tenir… c’est si bon… Yano… je vais… ah…»

Il ne lui fallut que quelques mouvements de plus dans le corps de Yano avant qu’il ne se sente partir et qu’il vienne gémir dans un dernier mouvement et qu’il n’en vienne à jouir, criant malgré lui le nom de son amant, tant le plaisir qui le possédait pour une dernière fois se trouvait ô combien puissant.  Seulement quelques secondes de plus suffirent à son amant pour que lui aussi rende les armes et qu’il sente celui-ci jouir sur son ventre, face à l’afflux de plaisir qui les avait possédé. Venant gémir malgré lui, il sentit son souffle devenir difficile, celui-ci s’adaptant à l’affluence de bien-être de son corps. Il se trouvait bien incapable en cet instant, son corps encore dans le corps de Yano, ne souhaitant s’’y détacher pour rien au monde même si à présent ils avaient atteint le paradis terrestre. Fermant les yeux, le visage contre la nuque de son amant, le jeune bulsajo reprenait son souffle alors qu’il ne cessait de murmurer son doux nom, ne souhaitant pas se séparer de lui d’une quelconque manière, se trouvant  bien trop heureux ainsi loti dans le corps de Yano. Sa main vint alors caresser les formes ô musclées de son dos dans un geste tendre, voulant lui partager tout l’amour dont il était capable alors que Yano se trouvait dans le même état que lui, tentant de reprendre son souffle. La position qu’ils avaient en cet instant ne se trouvait pas peut-être très pratique mais il lui était bien impossible de bouger d’une quelconque manière, il se trouvait bien trop heureux ainsi, collé l’un contre l’autre. Soupirant il vint alors prononcer d’une voix essoufflée et pourtant si conquise par l’être aimé: « Mon Yano… je t’aime… je t’aime tant… tellement…»

Ils restèrent alors de longues minutes ainsi à se dévorer du regard, se remettre de cette ivresse passionnelle qui les avaient consommer en cette merveilleuse soirée. L'amour débordant de leur être, rien à cet instant n'était plus important que la personne qu'ils aiment du plus profond de leur âme. En cette sainte nuit, ils s'appartenaient et ce pour le reste de leur vie.