"Today, our promise becomes a reality."
Wada Yano & Yoon Ki Suk

Quand bien même la journée qu’ils venaient de passer s’était montrée particulièrement éprouvante pour les deux amants qu’ils étaient, il ne pouvait nier que cette dernière avait exalté tous ses sens. Amoureux, sans aucun doute qu’il l’était plus que jamais, son cœur qui battait à tout rompre dans sa poitrine ne pouvait que certifier la chose tant son affection pour son ange se trouvait profonde. Se reposant l’un contre l’autre dans le tissu douillet du canapé de leur appartement, devant un petit feu de bois, ils en avaient profité pour reprendre quelques forces, s’embrassant tendrement. Heureux, ils l’étaient résolument. Cette journée au sein de cette forêt en cette magnifique journée, leur avait permis de certifier une chose : ils étaient de véritables âmes sœurs. Yano n’en avait nullement douté, étant plus que persuadé que si cette source existait, elle ne pouvait nullement lui offrir un autre visage que celui de cet être qui ébranlait son être depuis tant d’années.

Vers 18h, il avait profité de l’assoupissement de son ange pour se rendre sous la douche, se préparant à l’avance afin de préparer la surprise qu’il souhaitait offrir à son ange. Une fois cette dernière prise, il s’était revêtu d’une élégante chemise en flanelle blanche qu’il avait accompagnée d’un pantalon moulant de costume bleu marine afin de donner un aspect chic à sa tenue qui lui allait à ravir. Satisfait du rendu de sa tenue, il avait passé plus de temps pour se coiffer, domptant sa chevelure qui semblait avoir poussée depuis la dernière fois qu’il les avait coupés avant de passer au maquillage. Il opta pour quelque chose de très discret, juste un fond de teint léger qui vint terminer sa préparation, du moins en ce qui concernait sa personne.

Une fois tout cela fait, il était donc retourné dans le salon pour y observer son ange toujours adorablement endormi sur le canapé. Souriant attendri par la scène que son amour lui offrait, il était venu s’agenouiller à ses côtés pour caresser les traits de son visage avec amour, le dévorant de son regard admiratif. Il était si parfait, si adorable, si précieux pour lui qu’il sentait son cœur palpitait dans sa poitrine. Ne pouvant résister à son désir de venir l’embrasser de nouveau, il s’était penché sur ses lèvres, les baisant avec douceur dans de douces étreintes qui rendait ivre son âme d’un bonheur sans nom. Des baisers ô cruellement doux et légers qu’il ne semblait nullement se lasser, sentant son ange s’éveiller sous ses derniers, y répondre dans de magnifiques sourires qui ravivait son âme. Arrêtant alors ses baisers, il n’avait pu que sourire de sentir les lèvres de son ange venir quémander leurs dues, l’embrassant à son tour alors qu’il susurrait tendrement entre ces derniers.

« Mon amour… il faut se réveiller… et se préparer… à moins que tu ne veuilles pas ta surprise. »

Des paroles qui vinrent faire grogner doucement son ange, qui en signe de réponse vint ouvrir ses paupières pour le fixer d’une lueur boudeuse. Il était si adorable à cet instant qu’il ne pu que rire amusé par son expression venant l’embrasser de nouveau, résolument amoureux et conquis. Il l’aimait, il ne pouvait nullement le nier même si il le désirait, tout son être se tendait toujours vers lui alors qu’il vint de nouveau rompre ce baiser qui ne demandait qu’à être poursuivi sans que cela ne le dérange nullement mais il s’efforça de ne point se laisser tenter. Rompant ainsi ce baiser à contre cœur, il l’avait alors laissé se réveiller doucement, le menaçant toutes les deux minutes de se dépêcher car sinon il n’aurait pas sa surprise. Une technique de sa part pour que son ange ne désire qu’une chose : se venger en prenant tout son temps pour se laver et prendre sa douche.

Ce qui ne manqua nullement de se produire. D’humeur grincheuse et boudeuse ce dernier s’était alors dirigé vers la salle de bain avec ses affaires, lui laissant toute la possibilité de préparer le salon pour leur surprise. Profitant ainsi de son absence tout en ayant conscience qu’il avait fait bouder son ange, c’est donc avec attention qu’il vint préparer le salon, pour cette soirée qu’il lui prévoyait depuis quelques semaines en secret. Ainsi, il avait créé des flammes rouges afin de les disperser dans toute la pièce, venant éteindre cette dernière pour regarder si la disposition était parfaite. Satisfait par ces dernières, il vint d’un coup de baguette, déplacer les meubles de la pièce pour y déposer des dizaines de cousins blancs qu’il avait achetés pour l’occasion autour du feu. Désirant instaurer une ambiance intimiste, il avait placé au centre de ces derniers ce magnifique bouquet de rose rouge en forme de cœur qu’il avait fait expressément réalisé pour lui. A l’intérieur de ce dernier, il vint y placer l’écrin qui conservait son présent le plus précieux : les alliances qu’il comptait lui remettre. En effet, quand bien même ne pourraient-ils résolument pas se marier un jour, il désirait tout de même avoir une bague qui leur rappelle leur assentiment mutuel qu’ils avaient formulé ce soir-là sur la plage. L’y plaçant là cette dernière sans qu’elle ne soit bien visible, il vint étaler du bout de sa baguette des centaines de pétales de roses sur la pièce avant d’y placer sur une mini table tous les mets qu’il avait réalisés pour lui. Il n’y avait rien d’un repas typique. Il s’agissait simplement d’un assortiment de desserts et de gourmandises qu’ils pourraient déguster ensemble dès lors que l’appétit leur viendrait.

Le rendu était particulièrement agréable à la vue, tandis qu’il ramenait deux coupes de champagnes et un seau de glace pour y placer l’une des bouteilles qu’il avait acheté pour l’occasion. Une fois tout ceci préparé, il vint mettre une délicate musique de fond, prenant place au sein de cette atmosphère romantique sur l’un des cousins, s’allongeant à moitié, attendant simplement son ange ne désire revenir à lui.  C’est d’ailleurs à cet instant qu’il sentit la porte de leur chambre s’ouvrir, lui permettant d’admirer son ange dans son plus bel ensemble. Résolument ravi par la vue qu’il lui offrait, il ne pu que se mordiller doucement la lèvre inférieure en susurrant.

« L’attente valait résolument le détour, je ne peux qu’être comblé d’être l’amant d’un dieu aussi magnifique que tu l’es... Tu sais que je suis fou de toi, Mon Ki Suk ? »

Le dévorant ainsi de son regard pénétrant et résolument amour, c’est avec douceur qu’il vint lui tendre la main pour venir à lui, s’installer à ces côtés. La soirée était sur le point de commencer et il espérait qu’elle répondrait résolument aux espérances de son amour.

TENUE : 01.
PLATS : 01. 02. 03. 04. 05. 06. 07.
MUSIQUE D'AMBIANCE : 01.
BOUQUET : 01.

Sagement installé dans les bras de son cher et tendre amant, Ki Suk profitait pleinement de la chaleur de ce corps après avoir passé une journée tant en aventure qu’en émotion. Le jeune homme ne pouvait nullement oublier la rencontre qu’ils avaient faite au détour d’un chemin, d’aucune façon, pour lui qui se trouvait déjà tant effrayé par un simple hippogriffe. Ainsi, allongé sur leur canapé, profitant de la tendresse des caresses et des baisers de son amant, le jeune homme s’était endormi paisiblement auprès de lui, se sentant comme un bienheureux ainsi. Pendant son sommeil, il n’avait pu que venir gémir alors que la chaleur de ce corps l’avait quitté subitement, se recroquevillant sur lui-même, l’absence de ce corps se faisant sentir contre le sien. Seulement bien endormi, son sommeil ne fut nullement perturbé d’une quelconque manière, son corps et son esprit se trouvant fatiguées de cette journée.

Ce fut le contact des douces lèvres de Yano sur leurs compères qui vinrent le réveiller doucement, l’emmenant à sourire doucement, bien trop heureux de se réveiller de cette manière. Souriant alors comme un bienheureux à ces doux baisers, quémandant à nouveau un baiser auquel Yano ne put résister, venant faire rencontrer à nouveau leurs lèvres dans un doux contact. S’il y avait bien une chose à laquelle le jeune homme ne se laisserait jamais, c’était bien ces doux réveils empli de doux baisers de la part de son amant. Cela faisait deux années qu’il y avait droit et ne comptait nullement s’en passer d’une quelconque façon dans les prochaines années, se satisfaisant de ces baisers jusqu’à la fin de ces jours. Les mots que murmurèrent Yano ne purent que le faire grogner alors qu’il lui disait qu’il fallait qu’il se réveille et se prépare pour fêter ce jour de la Saint Valentin, à moins qu’il ne voulait pas de sa surprise. Des mots qui ne pouvaient que le déplaire, laissant à Yano alors la libre vue de son visage avec une moue boudeuse. Un fait quelque peu amusant pour le jeune homme qui déjà venait cueillir ces lèvres dans un doux baiser, dans lequel Ki Suk vint caresser les traits de visage de son amant. Ki Suk ne put que laisser échapper un doux gémissement de frustration alors qu’il le voyait s’éloigner de lui et quitter ses lèvres. D’humeur quelque peu boudeuse, comme à chaque fois qu’il se réveillait, le jeune homme ne put qu’accentuer sa mauvaise humeur alors que Yano ne faisait que répéter trop souvent à son goût qu’il devait se dépêcher pour leur soirée, sinon il n’aurait pas sa surprise. Ki Suk ne put qu’être plus grincheux alors qu’il ne voyait pas l’intérêt d’être si pressé sachant qu’ils avaient la soirée pour eux deux, il n’était pas si tard encore. Marmonnant alors, le jeune homme était venu se lever, remontant à leur chambre pour se saisir des vêtements qu’il avait l’intention de mettre, avant de rentrer dans la salle de bain d’humeur râleuse.

Le jeune homme n’étant nullement pressé d’une quelconque manière, celui-ci vint se déshabiller avec lenteur, profitant du bain à bulle pour se prélasser un long moment avec une douce odeur de parfum. Une odeur ô agréable que Yano aimait particulièrement, souhaitant tout de même le séduire en ce jour, même s’il se trouvait d’humeur boudeuse. Il vint alors se prélasser ainsi de longues minutes, lavant ses cheveux avec un shampoing doux, lavant son corps avec son gel douche. Ainsi parfaitement lavé, il vint se lever et prendre une serviette pour se sécher. Grâce à l’aide de sa baguette magique, le jeune homme vint rendre ces cheveux en un instant alors qu’il venait s’habiller enfin. Il vint mettre alors un simple boxer blanc, un pantalon noir cintré et une chemise blanche. Pour changer à d’habitude et rendre ce jour peut-être exceptionnel, le jeune homme avait pris dans l’armoire de Yano une de ces cravates et avait fait de son mieux pour la rendre droite. Appliquant sur sa peau une légère crème hydratante, le jeune homme vint alors s’admirer alors qu’il remettait en place les quelques mèches de cheveux rebelles.

Satisfait de sa présentation, il vint alors ramasser ces anciens vêtements, les mettant dans le panier à linge avant de venir se diriger vers la porte de la salle de bain, le précieux cadeau de Yano dans sa poche de pantalon. Ki Suk ne put que venir sourire alors que devant lui se trouvait la plus belle scène qu’il n’avait jamais vu… devant lui, l’environnement du salon avait changé et des flammes rouges étaient dispersés dans toute la pièce. Tous les meubles de la maison avaient été déplacés et remplacé par des coussins blancs. Une magnifique si ce n’était splendide bouquer de rose avait été placé au centre des coussins, un décor absolument époustouflant pour son pauvre cœur qui s’était mis à battre si fort dans sa poitrine. Son regard se perdit alors sur les centaines de pétales de roses sur la pièce, tout comme ces mets qui étaient posés sur une mini table. Il put noter qu’une musique fond de ô agréable accompagnait cette scène. Lorsque son regard s’arrête sur une vision ô enchanteresse du corps de Yano, il fut obligé de se mordre les lèvres. Yano se trouvait si magnifique ainsi à moitié allongé sur l’un des coussins à le regarder avec ce regard ô pénétrant qui ne pouvait que le faire frémir. Ces mots prononcés ne purent qu’accentuer sa fébrilité. Yano lui murmurait que l’attente valait résolument le détour, il ne pouvait qu’être comblé d’être l’amant d’un dieu aussi magnifique qu’il l’était, lui assurant qu’il se trouvait fou de lui. Le jeune bulsajo ne put que sourire à son amant alors qu’il venait se saisir de sa main pour venir s’installer à ces côtés, ne lui laissant nullement le temps de parler, que déjà ces lèvres avaient rejoint ces compères dans un baiser ô langoureux, ne pouvant nullement s’empêcher de venir caresser de ces mains la nuque de son amant. Ce ne fut que lorsqu’il sentit l’air lui manquait qu’il vint lâcher ces lèvres, venant le dévorer d’un regard pénétrant. Le bulsajo, conquis, vint alors prononcer : « Mon doux amant… c’est moi qui est le plus de chance à mes yeux… d’avoir un amant si parfait et si magnifique… tu es sublime ainsi habillé tu sais ? Mmmm… Ta surprise est vraiment magnifique… vil manipulateur qui m’a fait bouder juste pour gagner du temps. Je crois que tu ne connais trop, ne ? Pour la peine… je vais être encore moins résistant à ton charme mon amant. » laissa-t-il échapper dans un doux sourire alors qu’il venait embrasser ces lèvres à nouveau, venant allonger entièrement sur l’un des coussins son amant. L’une de ces mains se trouvaient déjà sur l’un de ses reins, alors qu’il abandonnait ces lèvres pour embrasser sa nuque dans de doux baisers, heureux de goûter à cette peau qu’il n’avait pas pu goûter en ce jour d’aventure.

Tout contre sa nuque il vint alors murmurer : « Tu es vil Yano… tu t’es habillé particulièrement sexy pour me voir céder, ne ? Tout est absolument parfait pour ce soir… vraiment… mon doux amant et tendre amant, l’homme de ma vie, mon âme sœur… ». Terminant ses mots il vint embrasser ces lèvres dans un doux baiser, le regardant avec un regard ô captivé par sa personne.


Tenue de Ki Suk

Sublime, c’était résolument le terme qui convenait pour exprimer à sa juste valeur, la vision que lui offrait son ange à l’heure actuelle. Vêtu d’un costard deux pièces qui le mettait particulièrement en valeur, son regard n’avait de cesse de le détailler avec attention et passion. Il était si magnifique ainsi, bien plus qu’à ses habitudes, qu’il ne pouvait que succomber d’autant plus profondément à son regard qui se trouvait si intense. Le dévorant de son regard fébrile et ô pénétrant, il ne pouvait que se sentir comblé de recevoir celui si troublé et fébrile de son ange. C’était si exquis de le voir dans cet état, de savoir que le moindre de ses sourires ou de ses regards pouvaient l’ébranler de part et d’autres. Manipulateur, il ne pouvait nullement le nier tant il avait pleinement conscience de son pouvoir sur l’échine de son amant. Il le connaissait par cœur, savait quoi dire ou quoi faire pour en faire sa victime, tout comme en faire son bourreau. Ce pouvoir était résolument attrayant  et il mentirait s’il n’avouait pas qu’il en osait parfois juste par plaisir de voir ce dernier fondre face à son regard, ses sourires pour devenir cet amant qui le comblait ô profondément.

Quand bien même s’était-il découvert sexuellement avec sa première petite amie, cela n’avait été qu’à son contact, auprès de cet homme si envoutant qu’il s’était vraiment épanouie. Ils se correspondaient en tout bon, il était son âme sœur et désormais il en avait la certitude. Rien au monde ne pourrait désormais l’empêcher d’en faire sa victime et son bourreau à jamais. Il désirait s’offrir à lui définitivement et souhaitait que cela soit réciproque. Jamais, il ne laisserait quiconque venir s’approprier son ange et il savait ô combien cette tâche serait aisée. Ki Suk l’aimait et le désirait plus que de raison, cette simple mise en scène semblait déjà avoir son assentiment, laissant bien derrière eux, ce passage où ce dernier était supposé le bouder pour sa menace qui n’en était point une. il ne pu alors que sourire d’enchantement de le voir sourire alors qu’il s’avançait déjà vers lui pour prendre sa main. Il n’eut même pas le temps de dire quoique ce soit qu’il sentit déjà les lèvres de son ange s’accaparait des siennes, souriant avec plaisir de ce fait, baissant les paupières pour profiter de ce baiser avec passion. Leurs lèvres se mêlèrent alors avec fougue comme si elles n’avaient pu se découvrir depuis des jours, ce qui n’était point le cas bien entendu mais, qui n’enlevait rien à la valeur de ce baiser qu’il savourait avec exquisité.  C’est donc avec une légère fébrilité qu’il le vit rompre ce baiser dans un sourire alors qu’il savourait le regard pénétrant qu’il lui offrait. Il se trouvait si magnifique qu’il n’avait qu’une envie l’embrasser de nouveau alors que ce dernier lui soufflait, conquis, qu’il était le plus chanceux à ses yeux d’avoir un amant si parfait, si magnifique et sublime ainsi habillé. La surprise qu’il lui offrait était vraiment magnifique, vil manipulateur qu’il était. Une remarque qu’il le fit sourire avec sournoiserie et vanité alors que son ange dévoilé le pot aux roses de sa technique. Un fait qu’il lui reprocha faussement alors qu’il murmurait dans un doux sourire que pour la peine, il allait être encore moins résistant à son charme. Une idée qui lui convenait aisément alors qu’il se laissait embrasser de nouveau sans aucune retenu, s’installant entièrement sur les cousins, glissant l’une de ses mains sur la nuque de son ange. Savourant ce baiser avec plaisir, il ne pu que sourire d’autant plus de sentir la main de son ange se choir sur l’un de ses reins, faisant de même sur les siens alors que son amour venait rompre ce baiser. Un baiser qui le laissait délicatement sur sa faim alors qu’il appréciait le contact des lèvres de son ange sur sa nuque, riant tendrement de ses remarques. Ce dernier l’accabla d’être un vil personnage qui s’était habillé de façon si sexy juste pour le voir céder. Etait-ce vraiment le cas ? Bien entendu, il avait prévu tout cela, à commencer par la passion de son ange. Souriant de façon sensuelle à sa remarque, c’est avec un air enjôleur qu’il vint de nouveau se faire embrasser. Ses lèvres dévorées par celle de son ange, il mit peu de temps avant d’y répondre à son tour pour le rendre légèrement moins innocent. Ces lèvres venant se mouvoir avec délicatesse sur leurs compères, il vint les mordiller légèrement sans pour autant approfondir ce baiser, sentant son ange désapprouver son petit jeu taquin alors qu’il le sentait grogner faiblement de mécontentement. Un fait qui le fit sourire d’autant plus alors qu’il glissait son autre main sur ses reins, son autre main descendant sur sa cravate pour l’agripper tendrement. Il n’y avait rien de plus fabuleux au monde pour lui que de voir son ange devenir fébrile sous ses baisers, ses gestes. Relâchant ses lèvres au moment où il laissait croire à son ange qu’il allait enfin l’embrasser fougueusement, il vint glisser ses lèvres sur sa nuque pour se choir au creux de son oreille, exerçant une douce pression sur la cravate pour le retenir tout contre son corps, venant mordiller le creux de son oreille en susurrant.

« Mm…  je crains malheureusement que tu ais raison mon tendre amour… il est si plaisant de te taquiner de la sorte, de te voir t’enflammer ainsi… tu es si sexy ainsi, si merveilleux que je ne peux qu’éprouver le désir de renforcer cette fébrilité en te rendant fou… d’amour et désir pour moi…  »


Souriant à ses paroles ô enjôleuses, il délicatement poser ses lèvres sur la pomme d’Adam de son ange, l’embrassant avec passion, y déposant un léger suçon tout contre alors qu’il venait susurrer entre deux baiser dans une voix ô profonde qui se voulait ô taquine :

« Mmm… alors mon amour, à qu’elle sentence vas-tu me soumettre, moi le vil personnage qui aime résolument te manipuler, te rendre fou sous ses doigts… sous ses lèvres. »

Quittant sa pomme d’Adam pour venir tout contre ses lèvres, son regard se voulait cruellement coquin alors qu’il venait délicatement lui mordiller la lèvre inférieure, attendant simplement une réponse de sa part, venant attraper un gâteau entre ses doigts pour croquer dedans en lui lançant un regard ô enjôleur. Il le tentait et cela il ne pouvait nullement le nier, appréciant bien trop résolument le regard qu’il lui offrait. Il aimait tellement voir ce regard sur lui, qu’il est fort à parier qu’il ferait tout au monde pour que ce dernier ne le réserve qu’à sa personne jusqu’à la fin de leur vie.

Ki Suk se savait être un pécheur depuis qu’il avait goûté au plaisir de la chair au côté de son amant. Un amant qui savait ô combien le manipuler et faire venir en lui son côté prédateur et dominateur. L’être sage qu’il était n’avait plus lieu d’être en la présence de Yano. Faible, il avait toujours été face à ce corps et ce jour ne faisait nullement exception. Comment l’aurait-il pu alors que devant ces yeux se trouvait le magnifique et splendide corps de son amant simplement vêtu d’une chemise et d’un pantalon. Personne ne pouvait résister d’une quelconque façon à ce corps si tentateur qui l’appelait en vue de sa position. Ainsi, n’essayant nullement de résister d’une quelconque façon, à peine l’avait-il vu qu’il s’était dirigé contre lui, se saisissant de sa main, venant se choir à ses côtés et venir dévorer ces lèvres des siennes. Ne mesurant nullement son ardeur, le jeune homme l’avait embrassé de manière passionné, caressant sa nuque avec une certaine envie, Ki Suk était venu lui murmurer des mots doux à ce vil manipulateur qui savait ô combien faire marcher le jeune homme dans son sens.  Ki Suk ne se lassait nullement de dévorer du regard son amant qu’il trouvait particulièrement séduisant ainsi.

A peine avait-il terminé ces compliments enjôleurs pour son amant qu’il était venu embrasser avec un plaisir non dissimulé sa nuque, s’amusant de cette situation pour venir lui murmurer des mots ô coquins pour sa personne.  Ki Suk le trait de vil, l’accusant de s’être habillé de manière particulièrement sexy dans l’unique but de le voir céder.  A nouveau il était venu le nommer par différents noms, lui avouant à demi-mot au travers de ces mots qu’il se trouvait tout simplement transi-amoureux de lui. Le jeune homme ne pouvant résister, il était venu ré-embrasser ses lèvres de manière douce, savourant ce baiser. Il eut la joie alors de voir Yano embrasser ses lèvres d’une manière moins innocente, s’amusant à mordiller ses lèvres, sans approfondir ce baiser, s’amusant à lui lancer un regard taquin. Le jeune homme ne put que venir grogner de mécontentement.

Ki Suk laissa échapper un doux gémissement alors qu’il sentait sa main sur ses reins, son autre main tirant sur sa cravate pour venir coller leurs corps l’un contre l’autre. Frissonnant tendrement à ce geste, il attendait alors un fougueux baiser de sa part, un baiser qui ne vint pas, Yano avait préféré venir embrasser sa nuque et le creux de son oreille, exerçant continuellement une pression sur sa cravate. Il ne put que laisser échapper un doux soupir alors que Yano venait mordiller son oreille, murmurant des mots d’une voix ô sensuelle.  Yano vint lui énoncer qu’il craignait qu’il avait raison dans ces mots, il se trouvait si plaisant de le taquiner la sorte, de le voir s’enflammer ainsi, il le trouvait si sexy, si merveilleux qu’il ne pouvait qu’éprouver le désire de renforcer sa fébrilité, souhaitant le rendre fou d’amour et de désir. Ki Suk ne put que lui répondre alors en lui lançant un regard ô enjôleur et captivé par sa personne, le dévorant du regard. Déjà Yano était venu embrasser sa pomme d’Adam avec passion, le faisant doucement gémir alors qu’il sentait que celui-ci déposer un léger suçon contre celle-ci. Ki Suk vint alors placer ses mains sur les épaules du jeune homme, serrant le tissu de la chemise, fermant les yeux pour profiter pleinement de ces attentions. S’amusant alors, Yano était venu lui demander à quelle sentence allait-il le soumettre, lui, le vil personnage qui aimait résolument le manipuler, le rendre fou sous ses doigts et ses lèvres. Une vérité qui ne pouvait tout simplement jamais le déranger tant il se trouvait lui-même une douce victime de ce fait, rendre fou son amant sous ses doigts se trouvaient bien être un plaisir certain pour chaque être sur cette terre, Ki Suk n’en faisant pas exception. S’amusant de la situation, il ne put que sourire alors que Yano abandonnait ces lèvres pour venir mordiller ces lèvres, avant de venir se saisir de l’un des gâteaux lui adressant un regard ô coquin.

Yano se trouvait définitivement un pervers qui souhaitait que le jeune homme cède à la tentation de son corps. La gourmandise étant un de ces pêchers, et détenir à sa disposition tant de pâtisserie et ce corps, ne pouvait que définitivement le voir céder. Ainsi, il ne lui fallait que quelques secondes avant de venir l’embrasser, s’amusant à venir passer sa langue sur le coin de ces lèvres où un petit bout de pâtisserie s’était perdu. Le bulsajo d’humeur taquine vint alors prendre entre ses doigts la moitié du gâteau que Yano avait commencé, venant mordre dedans et avaler celle-ci avec un regard volontairement tentateur en direction de son amant. Si Yano souhaitait le voir tentateur, Ki Suk allait le devenir et laisser paraitre un amant ô conquérant et désireux de sa personne, venant répondre à chacun de ces désirs ou fantasmes en ce jour où ils fêtaient leurs deux ans ensemble.  

Souriant d’un air provocateur, le jeune était venu de lui-même enlever sa veste pour laisser à Yano la libre vue de sa chemise cintré qui mettait en valeur les formes musclées du haut de son corps. Laissant bien évidement sa cravate autour de son cou, il était venu l’allonger à nouveau, plus confortement alors que ses lèves venaient embrasser sa nuque avec délice. L’une de ses mains venait caresser l’un des reins de Yano, l’autre venant prendre un des cœurs qui se trouvait à sa portée. S’amusant alors il vint en placer un sur la bouche de son aimé, venant y mordre dedans dans un regard coquin, remontant sa main sur son torse ô musclé et magnifique à ces yeux. Il vint cependant venir murmurer d’une vois sensuelle, au creux de ces lèvres, croquant à nouveau dans le gâteau : « Yano… ta pénitence… sera celle de me voir devenir terriblement séduisant en ce jour, plus que jamais. Une pénitence qui devrait te plaire je suppose… mais tu devras l’être autant si tu désires me voir sensuel. Je ne me lasserai jamais de te voir ainsi tu sais ?  » Termina-t-il venant embrasser et donner un léger coup de langue sur ces lèvres, laissant alors à Yano une vue ô agréable.

Le bulsajo ne s’arrêtant nullement là, celui-ci vint alors venir détacher les premiers boutons de la chemise de Yano, abandonnant les lèvres de Yano pour venir embrasser ce torse avec délice. L’une de ces mains se plaçant alors sur les reins de son amant, il vint susurrer son nom d’une voix sensuelle tandis qu’il continuait à embrasser son torse dans de merveilleux baiser.  Ayant une idée quelque peu sensuelle, le jeune homme vint arrêter ces baisers un instant pour se saisir d’un cœur intéressant. Il vint laisser échapper un doux sourire alors qu’il venait croquer dans l’un deux, laissant échapper alors par un heureux hasard un peu de coulis au niveau du haut de son torse, non loin de ses épaules. Le jeune homme vint alors venir embrasser le coulis alors qu’il murmurait d’une voix sensuelle au creux de sa peau : « Il ne faudrait pas  que ta chemise ne se tâche, tu ne crois pas ?   » Souriant, il vint alors finir par embrasser le haut de son torse, ne laissant alors plus une seule goutte du coulis sur celui-ci.

Coquin, sans aucun doute qu’il ne pouvait que l’être avec la personne de son ange tant ce dernier devenait un tout autre homme lorsque la cupidité prenait possession de son échine. Un homme terriblement attirant, excitant qui était résolument le seul être sur terre à être en mesure de le rendre si fou. Il était si délicatement envoutant de le voir céder à la luxure, se laissant peu à peu aller à toutes ces pensées lubriques qu’il se savait être le seul bénéficiaire. Un état de fait qui n’avait de cesse de le satisfaire pleinement tant il lui était désormais impossible de laisser la chance à quiconque de découvrir cet aspect si envoutant de son amant. Un amant qui avait découvert son côté passionné à ses côtés, rencontrait son aspect pervers et désireux vis-à-vis de la chair, de son corps. Yano ne pouvait que se sentir honorer d’avoir été, de continuer d’être le seul être sur cette terre à avoir éveillé sexuellement parlant l’être de son amant. Une fierté qu’il ne cachait nullement, sachant parfaitement qu’il était aux yeux de son amant, le seul être à pouvoir l’enflammer de la sorte. Une vanité qui pourrait sans doute le faire rougir tant elle le faisait paraitre orgueilleux mais que pouvait-il faire face à ce regard, qui n’avait de cesse de lui avouer qu’il avait terriblement envie de lui.

A cet instant, Ki Suk avait envie de lui, tout son être respirait ce désir alors qu’il le manipulait, le tentait comme jamais. Il aimait sentir l’être de son ange frémir sous ses gestes, ses mots, savourait cette délicate félicité de l’entendre gémir son émoi, son mécontentement parfois. Tout ceci faisait parti d’un jeu malsain auquel il ne pouvait point résister tant l’être de son amant, le passionnait plus que de raison. Son regard résolument coquin n’avait de cesse de fixer le regard pénétrant de son ange, d’humeur plus joueur que jamais en venant savourer de façon bien subjectives un cupcake avec sensualité, tel qu’il aimerait le dévorer. Ki Suk semblait tant espérer de lui qu’il soit un vil pervers, qu’il se contentait simplement de l’être, s’enflammant à chaque seconde face au regard si désireux que ce dernier lui tendait, si désireux, si passionné. A peine avait-il avalé la première bouchée de ce gâteau succulent, qu’il eut le plaisir de sentir les lèvres de son ange se posait sur ces lèvres, venant passer sa langue sur la chair de ces dernières pour gouter à ce met si délicieux. Un acte qui le fit délicatement sourire avec sournoiserie alors qu’il voyait son ange venir mordre l’autre moitié de son gâteau, effleurant le bout de ses phalanges dans un regard aussi coquin. Qu’il était beau à cet instant, son regard ne le lâchait point, le dévorant plus que de raison succombant résolument face au sien si tentateur à son attention. Yano aimait le voir ainsi, si conquérant et déterminé à le tenter à son tour, le voir céder. Seulement ce soir, il ferait tout pour qu’il cède le premier, qu’il vienne à sa rencontre car il n’en pouvait plus de résister. Une pensée ô combien lubrique qui ne le gênait nullement tant il était résolument envoutant de le voir agir ainsi.

D’ailleurs son ange ne semblait nullement se plaindre de cela venant retirer lui-même sa veste dans un sourire ô provocateur pour qu’il ait la possibilité d’admirer son buste dont la chemise cintrée mettant parfaitement ses formes en valeur. Il était si sensuel à cette instant alors qu’il l’avait obligé à s’installer plus confortablement, recevant ces lèvres au creux de la nuque qui n’avaient de cesse de la baiser. Des baisers qui venaient délicatement augmenter la température de son corps alors qu’il sentait les mains ô taquines de son ange se choir sur ses reins, les frôlant avec désir avant de prendre un bonbon au creux de cette main libre qui vint le placer sur sa bouche. Sans même dire quoique ce soit, Yano savait résolument ce qu’allait faire son ange, souriant tout contre ce met que ses lèvres goutaient seulement du bout alors que son ange y mordait de façon coquine et sensuelle. Un fait qui l’excitait totalement, le regardant de façon ô pénétrante alors que sa poitrine savourait le traitement de son ange, buvant ses paroles ô taquine avec plaisir. Sa pénitence serait de le voir devenir séduisant en ce jour, bien plus que jamais. Une pénitence qui allait résolument lui plaire, ce qui n’était relativement pas faux alors qu’il se mordait délicatement les lèvres, contre ce chocolat qui fondait sur ses lèvres et dont son ange plaisait à y croquer. Seulement si il souhaitait le voir sensuel, il devait également l’être tant il ne se lasserait jamais de le voir ainsi, venant prendre le dernier morceau de chocolat entre ses lèvres dont il vint lécher les dernières particules.

Ki Suk était résolument en train d’enflammer son être, le rendant fou d’un désir sans nom alors qu’il le sentait déboutonner sa chemise, abandonnant ses lèvres pour baiser le haut de son torse avec délice. Résolu à se montrer plus sensuel que jamais, murmurant son prénom entre chacun de ses baisers, il eut le délice de le voir prendre entre ses doigt un autre chocolat au cœur de framboise, venant y croquer à l’intérieur tandis qu’un lit de nappage s’échouait sur sa chair. Un fait nullement anodin à ses yeux alors qu’il le voyait descendre embrasser sa clavicule pour ne plus laisser une goutte de ce coulis sur cette dernière. Un fait résolument attrayant à ses yeux alors qu’il l’entendait lui murmurer qu’il ne faudrait pas que sa chemise se tâche. Souriant sournoisement à ces paroles, il n’avait pu que le fixer de façon ô enjôleuse, venant glisser ses phalanges sur sa propre chemise qu’il vint très lentement déboutonner en se mordant les lèvres.

« Mm... je crains en effet qu’il est désirable que je ne la retire, ne penses-tu pas ? »

La lenteur de ses gestes allaient en totale adéquation avec le désir montant qui semblait prendre place dans le regard de son ange, qui résolument amoureux le dévorait tout simplement du regard. Un regard qui ne le laissait nullement de marbre alors que son torse s’exposait peu à peu à son ange, se découvrant avec une telle lenteur que cela devrait être interdit. Totalement obnubilé par son torse, son ange l’observait avec un désir certain, parcourant sa chair comme s’il s’agissait d’un met qu’il voulait dévorer simplement. Ce simple fait accentuant son excitation alors qu’il se découvrait enfin totalement, venant surélever un sourcil  coquin, lorsque ses phalanges vinrent ce choir sur le bouton de son pantalon,  le déboutonnant, offrant ainsi une vision ô enchanteresse à son ange qui semblait frémir de désir. Un état de fait qui l’enchantait grandement alors qu’il se retrouvait en chemise entrouverte, pantalon détaché, venant choir ses mains sur les reins de son ange pour les caresser, les cajoler avec désir. Son regard ne quittait nullement celui de son ange, venant se mordre les lèvres, laissant sa langue les parcourir. Son but ? Se montrer plus sexy que jamais, le voir céder à sa propre excitation et se soumette à lui où du moins qu’il le domine tant le désir l’étreignait. C’est pour cette raison qu’il vint simplement susurrer dans une voix ô profondément sensuelle, continuant de le fixer avec ce désir sans nom.

« Tu voulais que je sois sensuel, mm ? Cela te convient-il où faut-il que je me déshabille encore plus, mm ? Que dirais-tu si j’étais en boxer, mm ? A moins que tu me préfères nu, mm... dis-moi mon amour, qu’est-ce que tu préfères ? Car j’ai terriblement envie de te voir nu, être en mesure de retirer cette chemise ô embarrassante pour observer la moindre de tes forces... mm... tout comme ce pantalon ô bien dérangeant qui m’empêche de dévorer du regard ces si délicieuses petites fesses... »

Souriant à ces paroles ô taquines, ces mains vint approfondir leur présence sur ses fesses dans un geste ô éloquent, montrant résolument son désir cuisant pour son être. Il était fort à parier que ce petit jeu allait gagner en intensité à chaque seconde qui allait s’écoulait. Il était prêt à tout pour le voir céder, quitte à devenir l’amant le plus frustrant du monde. Cette idée lui plaisait résolument alors que son regard s’emplissait d’une fourberie sans précédent. Ki Suk était résolument l’homme de sa vie et le simple fait qu’il soit ainsi, le prouvait sans mesure.

Ki Suk ne cessait de lancer des regards ô captivés et volontairement coquins vers son amant, cet amant qui avait le pouvoir de le transformer en cet être cupide. A peine avait-il fallu que Yano vienne le regarder en mordant dans ce gâteau que Ki Suk était venu faire rencontrer leurs lèvres dans un baiser doux, venant passer sa langue sur la chair pour venir goûter celui-ci. Venant répondre à ces plus secrètes envies, le jeune homme s’était amusé à venir mordre l’autre moitié de son gâteau. Le jeune homme était venu alors se dévêtir de sa veste, laissant la libre vue à cette chemise qui avait le mérite de mettre en valeur son buste particulièrement musclé. Le bulsajo était venu alors embrasser avec une envie certaine le creux de la nuque du jeune homme dans de multiples baisers sensuels et ô possessif envers sa personne. Ne masquant plus une seule de ces envies, le jeune homme laissait cours à sa passion et son envie de le dévorer, dévorer chaque partie de ce corps pour le rendre entièrement dépendant de sa personne. Ces mains s’étaient dirigées vers ses reins, les caressant avec une envie certaine. A l’aide de sa main libre le jeune homme s’était alors dirigé vers un des bonbons pour venir les porter au creux de leurs lèvres, venant croquer avec sensualité et envie celui-ci, dans l’unique but de voir au travers des pupilles de son amant ces envies de luxures. Continuant son doux supplice, il était venu murmurer tout contre lui que sa seule pénitence serait de le voir plus séduisant qu’auparavant, lui demandant aussi d’être tout aussi sensuel que lui. S’amusant quelque peu de la situation dans laquelle ils se trouvaient, le jeune homme mordait avec délice le bonbon, partageant ainsi le chocolat qui fondait au creux de leurs lèvres brulantes de désir et d’émotion.

Venant répondre à ses doux envies secrètes, le jeune homme était venu déboutonner les premiers boutons de la chemise de Yano, embrassant le haut de son torse avec délice et envie. Ki Suk ne cessait pas de prononcer son nom de manière sensuelle alors que ses doigts caressaient son corps. L’un de ses mains étaient venues se saisir d’un chocolat au cœur de framboise, le croquant et faisant tomber malencontreusement son coulis sur le haut du torse à Yano. Ki Suk fut alors obligé de venir embrasser sa nuque et son torse, pour venir éliminer la moindre trace de ce coulis. Le jeune homme était venu alors murmurer qu’il ne fallait pas que sa belle chemise se tâche. Yano vint alors sourire à ces mots, se mettant à déboutonner très lentement sa chemise de manière enjôleuse, se mordant les lèvres. Le jeune homme vint alors murmurer tout contre lui qu’en effet, il était préférable selon lui, venant lui poser la question. Se laissant désirer, le bulsajo ne put que se mordre les lèvres alors que Yano venait détacher avec une lenteur extrême celle-ci, lui offrant alors une merveilleuse vue. Il ne cessait de lui envoyer un regard conquis, captivé par cette vision si enchanteresse de son amant. Il ne sut exactement combien de temps s’écoula avant qu’il ne voit Yano achevait son travail mais il ne pouvait s’empêcher de lui envoyer un regard captivé et envieux pour sa personne. Ki Suk ne put que le trouver particulièrement tentateur alors qu’il le voyait venir détacher le bouton de son pantalon d’une manière si sensuelle, qui fait naitre au creux de ses reins un désir plus fort pour sa personne. Yano souhaitait le voir le céder déjà face à son corps ? Yano ne restait nullement inactif, ces mains s’étaient placées sur ces reins, les caressant avec désir. Comme pour attiser son désir, le jeune homme avait laissé sa langue se choir sur ces lèvres dans un regard extrêmement coquin.

Dans une voix extrêmement désirables, Yano était venu le tenter à nouveau alors qu’il demandant si la prestation qu’il lui avait faite était suffisamment sensuelle. Cela suffisait-il ou fallait-il qu’il vienne se déshabiller plus, suggérant alors l’idée de se trouver en boxer voire nu. Il lui demandait alors ce qu’il préférait, lui laissant le choix. Ki Suk ne put alors que se mordre les lèvres, bien faible face à ces mots. Yano vint lui annoncer qu’il avait terriblement envie de le voir nu, d’être en mesurer de retirer cette chemise qui l’empêchait d’observer la moindre de ces formes, tout comme ce pantalon qui l’empêchait de dévorer du regard ces petites fesses. Des mots qui ne purent qu’accentuer son désir pour sa personne, frissonnant alors qu’il sentait les mains de Yano caresser ses fesses. Le jeune bulsajo ne put que sourire simplement à ces mots, venant lui-même venir caresser les reins de son amant avec envie, admirant la vision qu’il lui offrait. Il vint alors murmurer au creux de sa nuque, entre deux baisers ces mots : « La vision que je préfère ? Il me semble que tu la connais vu qu’à chaque instant nous nous rapprochons de cette vision... celle de ton corps nu contre le mien. Il n’y a sans doute pas une plus belle image sur cette terre… mon doux amant qui est déjà si sensuel. Mon amour… si ce pantalon ou un autre vêtement vienne te dérange, il te suffit simplement que tu l’enlèves… pour que je puisse réaliser tes possibles fantasmes…»

Souriant tendrement à ces mots, le jeune homme vint embrasser à nouveau sa nuque, la mordillant, y déposant un doux suçon. Ces mains se trouvaient pour leur part autour de ce corps, venant caresser son torse, frôlant ces bouts de chairs et ses abdominaux si bien dessinés. Venant porter ses lèvres au contact de leurs compères, le jeune homme vint susurrer d’une voix sensuelle le nom de son amant alors qu’il venait le redresser pour lui enlever cette chemise qui était de trop à ces yeux, lui permettant alors de dévorer du regard le corps de son amant. S’amusant particulièrement de cette vision, il venait déposer ses mains sur ces reins, frôlant ces fesses ô musclées qui l’appelaient. Le bulsajo vint alors déposer ses mains sur le haut de son pantalon, embrassant sa nuque au même instant. Celles-ci venaient alors détacher entièrement la ceinture de son pantalon ainsi que son pantalon, qui avec l’aide de Yano, fut rapidement enlevé. Heureux et le dévorant du regard, il ne put que venir embrasser ce torse avec envie, attrapant à nouveau un des chocolats, souhaitant renouveler l’expérience passée. Ainsi, Ki Suk vint mordre dans un chocolat rempli de liqueur, laissant le liquide s’écouler sur ses abdominaux alors que quelques instants plus tard ses lèvres se trouvaient à cet endroit, embrassant chaque parcelle de peau affecté. Ces mains pour leurs parts se situaient sur le reste de son corps et notamment sa main droite qui venait caresser les cuisses ô musclées de son amant, tout comme cette si belle paire de fesses. Il resta sans doute dans cette position bien plus de temps qu’il ne fallait réellement, en raison de sa persévérance à ne voir plus une seule goutte de liqueur sur cette peau si douce et agréable.

Une fois sa tâche accomplie, le jeune homme vint relâcher légèrement sa cravate, s’amusant à venir détacher quelques boutons de sa chemise, jugeant qu’il faisait particulièrement chaud, ou bien était-ce pour lire dans les yeux de Yano une lueur particulièrement perverse. Souriant à nouveau, il vint à nouveau embrasser ces lèvres, venant coller leurs corps et murmurant alors : « Tu veux bien m’aider à me déshabiller mon doux amant ? Tu as le choix de la tenue que tu préfères, même si je suppose que tu préfères me voir nu… mmm ?» Souriant simplement à ces mots, il laissa ces mains s’égarer sur le corps de son amant qu’il savait ô particulièrement désirable. Se saisissant de l’une des mains de son amant, il vint la poser alors sur ces reins dans un regard résolument taquin, l’invitant à le déshabiller pour qu’il puisse avoir la vision de ces rêves, celle d’un amant conquis et qui ne désirait que lui appartenir à tout jamais. Souriant tendrement et d’une manière taquine, il vint se saisir de son autre main pour la guider au niveau du prochain bouton de sa chemise lui adressant un regard volontairement séduisant et envoutant. Yano se devait de céder, tout comme lui avait pu le faire auparavant.

Si à cet instant précis, Yano se trouvait être le plus frustrant des amants, son amour ne pouvait que s’en prendre à lui-même. Après tout, n’était-ce pas lui-même qu’il lui avait soufflé qu’il devait se montrer sensuel avec lui s’il souhaitait le voir faire de même ? Il ne pouvait alors que se plaindre de sa propre perversité qui faisait de son amant : le plus tentateur du monde. Yano avait pleinement conscience de tout ceci, appréciant bien trop grandement ce regard ô envouté de son ange sur sa chair. Un fait qui ne faisait que doublait son plaisir, son désir de son être alors qu’il avait entreprit de le frustrer, l’exciter encore plus. Se déshabiller de la sorte sous les yeux enflammés de son ange, était un doux amusement pour sa personne, qui ô taquine n’avait de cesse de vouloir tourmenter d’autant plus son amant qui ne pouvait point le lâcher de son regard ô envieux. Un regard qui ne le laissait nullement insensible alors qu’il n’avait de cesse de le rendre fébrile, d’amplifier le désir qu’il provoquait en la personne de son amant. Ce dernier le laissait faire, cupide et désireux de le voir poursuivre dans ce jeu ô sensuel et vicieux auquel ils se livraient depuis de nombreuses minutes. Lui-même n’était nullement en mesure de déterminer combien de temps il avait mit pour déboutonner sa chemise ainsi que son pantalon avant de venir le taquiner franchement du bout de ses phalanges dans des caresses ô débauchées sur ces fesses qui le tentaient cruellement, même au travers de ce pantalon ô moulant qui lui sillait à merveille.

Des paroles qui exaltèrent les sens de son amant, le faisant frémir sous ses caresses alors qu’il souriait à ses mots coquins, venant caresser ses reins à son tour, avec envie. Un geste qui ne le laissa nullement de marbre alors que tout comme ce dernier, son excitation n’avait de cesse de s’accroitre, le rendant cruellement cupide de découvrir l’échine de son amant. Une idée qu’il lui plaisait résolument mais à laquelle il résistait par cupidité. Il voulait que son ange vienne le supplier de le toucher, le caresser pour frissonner d’extase sous ses lèvres, sous ses doigts. Une songée qui le rendait cruellement cupide et vicieux mais dont il n’avait nullement honte tant il trouvait tout ceci : incroyablement érotique. C’est pour cette raison qu’il ne pu que sourire enchanté de voir son ange venir baiser le creux de sa nuque contre laquelle il lui fit part de la plus belle vision à ces yeux. Cette dernière se trouvait être celle de voir son corps nu contre le sien, ne voyant pas d’autre plus belle image sur terre tant il se trouvait déjà si sensuel. Une remarque qu’il fit sourire d’autant alors qu’il lui murmurait que si son pantalon ou un autre vêtement venait à le gêner, il lui suffisait de le retirer pour qu’il puisse réaliser ses possibles fantasmes.

Une idée qui lui plaisait énormément alors qu’il se mordait délicatement la lèvre pour contenir un soupir de s’extirper tant son corps et son cœur n’avait de cesse de s’exalter à chaque instant. La température de la pièce semblait devenir plus chaude, l’amenant à subir les effets d’une chaleur presque étouffante alors qu’il fermait délicatement ces paupières un instant pour savourer cette luxure qui s’immisçait en lui. Le désir s’accroissant de secondes en secondes, son torse ne pu que se bomber délicatement à la présence des doigts de son amant, appréciant leur contact ainsi que le souhait qu’ils avaient de le tourmenter. Frissonnant d’effusion, c’est dans un sourire ô appréciateur qu’il se laissa embrasser fougueusement, répondant silencieusement aux gestes de son ange qui l’intimèrent de se relever afin de retirer cette chemise qui semblait le gêner. Enflammé, il savait que son amant l’était, résolument bien trop envieux de le dévorer de son corps, de ses lèvres, de ses doigts alors qu’il sentait les phalanges de ce dernier se choir sur ses reins, ses fesses, bien trop cupides. Des actes qui amplifiaient sa propre excitation, se laissant totalement faire alors qu’il l’aidait à lui retirer son pantalon, le laissant en simple boxer devant le regard ô appréciateur de son ange qui le dévorait comme jamais. Après tout, y avait-il une meilleure vision au monde que celle de voir son amant excité sous un simple bout de tissus.

Excité, il était évident que Yano ne pouvait nullement nier l’être. Son membre se trouvait bien dessiné sous le tissu ô moulant de son sous vêtement, qui donnait sans doute une vision ô délicieuse à son ange qui venait de quitter ses lèvres pour venir baiser son corps. Simplement assis, à moitié allongé, reposant uniquement sur ses coudes, Yano se laissait dévorer par ces lèvres, appréciant leur contact et la chaleur qu’elle provoquait en son être. Satisfait, il ne pouvait que l’être des attentions de son amant alors qu’il le voyait prendre entre ses doigts un morceau de chocolat dans lequel il vint croquer, laissant un coulis de liqueur venir se choir sur ses abdominaux, le faisant délicatement sourire de la perversité de son ange. Un simple regard avec ce dernier vint rapidement lui faire comprendre ce qu’il comptait faire, ne pouvant alors que soupirer d’aise de sentir ses si délicates et désireuses lèvres se mouvoir sur la chair de son corps pour effacer les traces de ce liquide, n’hésitant pas à taquiner ses cuisses et ses fesses à leur porter. Se mordant alors les lèvres, résolument envouté par cet acte ô sensuel de son amant, il ne pu que soupirer son prénom avec fébrilité. Il commençait doucement à atteindre sa limite en ce qui concernait sa résistance, son désir n’ayant de cesse de gronder au fond de ses reins.

C’est pour cette raison qu’il ne pu que sourire avec malice de le voir détacher légèrement sa cravate afin de déboutonner quelques boutons de sa chemise, tant il semblait se consumer sous la chaleur d’un feu sans nom. Il était si érotique à cet instant qu’il ne pu que sourire alors qu’il le sentait coller son corps au sien, lui murmurant s’il voulait bien l’aider à le déshabiller dans une voix ô sensuelle. Des mots qui semblaient plus être un ordre puisqu’il le sentit se saisir d’une de ses mains pour la poser sur ses propres reins dans un regard ô cruellement taquin tandis qu’il venait faire de même avec son autre main, la posant au niveau du prochain bouton de sa chemise. Autant dire qu’il était muettement en train de le suppliait de le déshabillait, ce qu’il ne refusait nullement de faire alors qu’il souriait à son tour dans un regard ô cupide tandis qu’il agrippait sa cravate brusquement pour venir plaquer son visage contre le sien, lui volant ses lèvres par la même occasion dans un baiser plus que tumultueux. Ses lèvres dévorant celle de son amant, il vint les baiser avec fougue et anticipation, les tourmentant avec sensualité alors que son autre main retrouver les formes si désirables de ses fesses, les cajolant pour venir plaquer son bas ventre contre le sien, si désireux à cet instant. Une vérité qui vint rendre fébrile son amant tout autant que lui, alors qu’il le sentait gémir faiblement  contre ses lèvres, n’ayant de cesse de taquiner ces fesses de ses doigts avant de les glisser contre sa ceinture sans un mot. Un simple geste qui vint agiter son ange, l’amenant à donner un léger mouvement de rein d’anticipation, ce qui le fit sourire d’autant plus, ne lâchant nullement ses prisonnières alors qu’il glissait ses doigts sous la forme si désirable de son membre, la caressant à travers le tissu, se satisfaisant de sa fermeté. Un geste qui sembla faire frissonner son ange alors que son autre main descendait langoureusement sur le tissu de sa chemise pour glisser sa main en dessous, frôlant la chair de ses abdominaux qui si formés lui donnait envie de les découvrir encore plus sous ses bras. Le caressant ainsi durant de longues minutes qui n’avaient de cesse de rendre fou son amant, il ne se lassait pas de dévorer ses lèvres, les mordant avec enthousiasme tant il devenait de plus en plus fébrile sous son geste. C’est un léger râle de frustration de sa part, qui vint le décider à répondre à ses désirs, retirant sa main de son torse pour lui retirer ce tissu si gênant, lui arrachant presque avec sensualité alors qu’il venait le renverser sur les cousins, glissant ses cuisses autour de sa taille pour laisser leurs bassins impatients en contact. Un fait qui le fit doucement gémir à son tour alors qu’il relâchait ses lèvres un instant, bloquant les bras de son amant au dessus de sa tête pour l’observer ainsi à sa merci.

Il était si érotique à cet instant, simplement vêtue de cette cravate qui lui donnait cruellement envie de jouer avec elle. Lui lançant alors un regard ô désireux, il vint délicatement opérer un léger coup de reins contre le sien, se mordant les lèvres face à l’excitation que ce geste lui procurait afin de rendre fou son amant, dont il pouvait l’excitation au creux de ses paupières. Souriant de façon ô taquine à ce fait, ses lèvres vinrent alors se poser sur sa nuque, l’embrassant avec fougue alors qu’il opérait un nouveau mouvement des hanches, sentant résolument le corps de son amant apprécier sa taquinerie, le rendant plus fébrile encore alors qu’il  souriait contre sa victime. Une de ses mains vint relâcher sa prise pour se mouvoir sur ces biceps, ses abdos, sa ceinture. S’arrêtant un instant contre cette dernière, elle vint sournoisement desserrer cette dernière, s’immisçant sous le tissu de son pantalon pour venir s’ajouter à la pression qu’exerçait son bassin actuellement. Relevant alors son regard ô enflammé sur le visage de son ange qui tentait de retenir un gémissement de se faire connaitre, il vint exercer un nouveau mouvement de ses hanches sur sa victime, sa main s’égarant sur ces fesses pour faire descendre son pantalon, le laissant à son tour en simple boxer. Un boxer qui ne camouflait nullement l’excitation de son amour alors qu’il venait de nouveau replacer son bassin contre le sien en venant mordiller ses lèvres, murmurant enfin.

« Cette vue est résolument merveilleuse en cet instant… excité dans ce simple boxer est résolument magnifique… érotique à souhait… Suis-je assez sensuel pour toi où dois-je le devenir encore plus ? »

Souriant à ses paroles, il vint de nouveau mouvoir ses reins contre les siens, ajoutant faiblement dans une voix prise par le plaisir.

« Dis-moi ce que tu désires mon amour… car je pourrais passer des heures à te taquiner de la sorte tant ton regard ébranlé est envoutant… ça ne cesse de me donner des pensées cupides mais ce que je souhaite le plus… je suis persuadé que tu  sais ce qu’il est… me donneras-tu cette satisfaction de te l’entendre dire mon dieu si magnifique ? »

Son désir le plus profond : qu’il l’intime à lui faire l’amour, le rendre fou de son corps afin de connaitre cette félicité si envoutante d’être la victime de son amour. Lui faire l’amour serait résolument le plus beau cadeau qu’il pouvait lui offrir, même s’il ne promettait pas de ne pas user de ses délicieuses pâtisseries pour agrémenter leurs ébats. Après tout, ils étaient là pour être consommer, qu’importe la façon, n’est-ce pas ?

Dévorant du regard son apollon, Ki Suk ne cessait pas de désirer cet être qui lui paraissait si parfait. Sensuel, il l’était, venant répondre à ces désirs les plus malsains, celui de le voir devant lui si sensuel et séducteur envers son encontre. Il savait que ces mots se trouvaient coquins mais ne pas venir céder au corps de son petit ami se trouvait bien difficile pour lui. Ses doigts se promenaient sur sa chair, s’égarant sur ses reins, son dos, ces fesses et ces cuisses ô exquises. Pervers, il l’avait été résolument alors qu’il s’amusait à faire écouler le coulis de fruit sur les abdominaux ô si magnifique de son amant. Lançant un regard captivé à son amant, il était venu poser ses lèvres sur ceux-ci, laissant sa langue et ses baisers retraçaient la moindre ligne de ces abdominaux, s’amusant à caresser ces cuisses et ces fesses avec une envie peu dissimulée. Frissonnant malgré lui au doux murmure de son amant, il sourit alors qu’il sentait que Yano approchait peu à peu de sa limite au niveau de sa résistance, son intimité prenant de plus en plus forme dans son boxer, lui laissant une vue ô agréable. Pour venir taquiner son petit ami, le jeune homme était venu lui murmurer des mots ô coquins et tentateurs, l’emmenant à poser ses mains sur ses reins, l’autre sur l’un des boutons de sa chemise, lui suppliant et l’obligeant à venir le déshabiller pour réaliser ces fantasmes.

La réaction de Yano ne se fit nullement attendre, à peine avait-il terminé ces propos que Yano était venu se saisir de sa cravate, plaquant son visage au sien, l’embrassant dans un fougueux, le faisant frissonner, brûler de désir pour son être qui ne souhaitait qu’approfondir leur contact. Il ne put que gémir alors que sa main venait caresser ses fesses avec une envie certaine, sentir le bas ventre si excité de son ange contre le sien se trouvait si aguichant. Ces doigts sur sa ceinture ne purent que le faire sourire, les emmenant à effectuer un léger mouvement de rein, soupirant de bien-être alors qu’il sentait les doigts de Yano caressait son intimité au travers du tissu de son boxer. L’autre main de Yano venait se poser sur ses abdominaux au même instant, le faisant frissonner tandis qu’il répondait avec autant d’ardeur au baiser de Yano, ces mains caressant la moindre forme du corps de son amant. Il ne sut combien de temps ils restèrent ainsi mais son corps ne se lassait nullement de caresser son amant, venant embrasser avec ferveur ces lèvres qui se gonflaient peu à peu face au désir et aux nombreux baisers qu’ils échangeaient. Ki Suk aimait tant embrasser ces lèvres, caresser ce corps, la moindre de ces formes qu’il ne se lasserait tout simplement jamais de son amant. Il ne put que soupirer de bien-être alors que Yano venait enfin répondre à sa demande, enlevant complètement sa chemise avec empressement et sensualité, le faisant se renverser alors sur les coussins, inversant leurs positions. Ki Suk laissa un gémissement s’échapper alors que Yano avait collé leurs baisers, glissant les cuisses de Ki Suk autour de sa taille, une position qui ne laissait que peu d’imaginations à leurs futures activités, ne pouvant qu’accroitre son désir pour son amant. Il ne put que lancer un regard ô conquis et captivé à son amant qui avait bloqué ces bras au dessus de sa tête, lui offrant sans doute une des plus belles vues de son corps.

Il ne put que sourire et offrir un visage ô conquis et demandeur d’attention alors que Yano venait effectuer un mouvement de va-et-vient en son encontre, souhaitant approfondir ce contact dans les minutes qui suivaient. Il laissa échapper un doux gémissement alors que Yano venait embrasser sa nuque avec fougue, son corps réclamait alors des contacts plus approfondis tant il se sentait frustré dans son pantalon et dans son sous-vêtement bien trop serré.  Une main bloquant toujours ses bras, Yano vint de sa main libre caresser ses biceps, ses abdominaux et sa ceinture, se sentant fébrile, venant de lui-même soulever son corps quelque peu à la demande de nouvelles caresses, tout aussi sensuelle, venant répondre à son désir. Cette main, taquine vint desserrer sa ceinture, s’immiscent à son plus grand plaisir au travers du boxer contre son intimité, le faisant doucement se mordre les lèvres tant son désir était fort en cet instant pour son amant. Ki Suk se sentait défaillir alors que Yano effectuait à nouveau un mouvement de hanche, sa main venant enfin descendre pour lui permettre de se sentir libéré, même si son intimité se trouvait particulièrement serrer dans son sous-vêtements.  A peine avait-il enlevé le pantalon que déjà Yano effectuait un énième mouvement contre son bassin, le laissant pantois alors qu’il murmurait des mots ô sensuels en venant mordiller ses lèvres. Celui-ci venait lui avouer qu’il disposait d’une merveilleuse vue, excité dans ce simple boxer, il le trouvait si érotique.  Il vint alors lui demander s’il le trouvait assez sensuel ou fallait-il qu’il le devienne plus ? Des mots enchanteurs qui venaient accentuer son désir pour la personne de Yano.  Il lâcha  un énième soupir de bien-être alors que Yano venait effectuer à nouveau un mouvement contre ses reins, alors qu’il murmurait des mots à nouveaux tentateurs. Il venait lui demander ce qu’il désirait car il pourrait passer des heures à le taquiner de la sorte tant son regard envoûté se trouvait envoutant. Ce regard ne cessait de lui donner des pensées cupides mais il désirait une chose qu’il ne pouvait ignorer, il lui demanda alors s’il lui donnerait la satisfaction de lui entendre le dire. Sans doute que dans d’autres circonstances, Ki Suk aurait pu continuer à vouloir le voir si taquin mais en cet instant son corps l’empêchait de penser rationnellement. Son seul souhait était celui d’enfin pouvoir goûter au vrai plaisir de la chair de son amant, qu’il le rende fou. Ainsi n’essayant nullement de résister, le jeune vint murmurer d’une voix déjà éprise par le plaisir : « Je… fais tout ce que tu veux de moi Yano… tout ce que tu veux… je n’en plus… tu es si parfait… si magnifique, si sensuel… mon corps te réclame seulement… fais tout ce que tu veux…. Je n’en peux plus… fais-moi l’amour mon doux apollon… je ne demande que ça…» murmura-t-il alors qu’il venait soulever le bas de son corps pour faire rencontre à nouveau leurs doux bassin. Ce boxer lui paraissait si étroit en cet instant, il ne souhaitait qu’une chose que Yano lui enlève pour enfin être libéré et faire rencontre leurs deux corps nus, enfin rencontrer leurs intimités et qu’enfin Yano lui fasse l’amour tant son corps se trouvait épris de sa personne, quémandeur.  

Ki Suk ne se satisfaisant nullement de cette situation, vint alors effectuer un nouveau mouvement de rein, se mordant les lèvres alors qu’il gémissait non silencieusement, accentuant bien sa voix alors qu’il venait prononcer : « Rends-moi fou de ton corps… ne me fais penser qu’à ton corps, qu’à toi qui se trouve si parfait, le plus merveilleux des amants… fais-moi rêver pour nous deux ans mon amour… fais ce que tu veux de mon corps, il t’appartient depuis si longtemps déjà.» Laissa-t-il échapper alors que déjà Yano venait l’embrasser avec fougue, sans doute était-il fou en cet instant mais peu l’importait, son corps réclamait la présence de Yano en son sein et il souhaitait mourir de désir en ce jour. Pour lui qui se savait déjà bien cupide du corps de son amant, en ce jour, il avait l’impression de l’être plus qu’à l’habitude, souhaitant se perdre dans les méandres du plaisir.  La main de Yano sur son corps le fit frissonner à nouveau alors qu’il se perdait dans ce baiser ô fougueux de son amant. Les mains de son amant se trouvait déjà sur ses fesses, les caressant avec envie et ardeur, l’emmenant à quémander plus de contact alors qu’il sentait les mains de Yano enlever enfin son boxer, mettant à jour son intimité ô déjà si excité. Il laissa échapper un doux gémissement au contact de son intimité et de la peau du corps de Yano. Sans aucun doute qu’il devait donner une image dépravé mais peu l’importait, seul l’amour, l’envie, la passion de Yano l’importait en ce soir alors qu’il venait murmurer dans un dernier gémissement : « Yano… j’en veux plus… bien plus… s’il te plait..» Son désir se trouvait si fort, si intense qu’il ne pouvant s’empêche d’à nouveau coller leurs bassins ensemble, gémissant le nom de son amant.

Exalté, il ne pouvait nier qu’il avait cruellement envie de Ki Suk, de l’embrasser, lui faire l’amour au point qu’ils atteignent tous les deux ce paradis terrestre qu’était le plaisir charnel. La vue que lui offrait son amant se trouvait si érotique, si tentatrice, si envoutante, qu’il pouvait que sentir son être s’ébranler face au désir cuisant qu’il provoquait au sein de ses reins. Comment pouvait-il résister à cette dernière, freiner ses pensées lubriques alors qu’elles n’avaient de cesse de tourmenter son esprit, l’obligeant à devenir cet être passionné qui ne désirait qu’une chose : rendre folle la personne de son amant. Un amant qui le faisait fondre comme neige au soleil, consumant son être et son cœur à chaque seconde qu’il passait à ses côtés. Il l’aimait à la folie, son excitation et son regard ne pouvait que certifier son inclinaison alors qu’il le tourmentait de la sorte, se montrant plus sensuel que jamais. Ce regard lubrique enchantait tous ses sens, animant le moindre de ses gestes coquins qu’il ne parvenait point à maitriser tant son tendre amour n’avait eu de cesse de les réclamer.

La situation actuelle dans laquelle ils se trouvaient n’était que la sadique conséquence de ce petit jeu de séduction qu’ils avaient initié quelques minutes auparavant lorsque son amant était venu à lui. Bien entendu, il mentirait s’il n’avait pas prévu que les évènements tournent de cette façon et qu’ils en viennent à profiter de leur repas au travers de gestes tentateurs et peut être pervers. C’était auprès de l’homme de sa vie que Yano s’était réellement découvert en tant qu’amant. Cette passion, que seul Ki Suk était en mesure d’instaurer en sa personne, était une douce drogue contre laquelle il ne pouvait point lutter, se laissant dévorer par cette dernière sans aucune limite. Où se trouvait la réelle limite dans la luxure à partir du moment où leurs deux cœurs ne battaient qu’à l’unisson ?  Il ne le savait pas et ne cherchait nullement à s’en trouver, se laissant guider par les battements de son cœur qui gouvernait simplement son être, sans que sa raison n’ait son mot à dire. Il se délectait de tous les frisons qu’il ressentait, parcourait son échine sans la moindre honte, savourant pleinement celles qu’il pouvait provoquer en la personne de son amant.

Ce regard si fébrile sur lui était résolument une ode à la luxure, qu’il n’avait de cesse de provoquer par des coups de reins salvateurs qui le soulageait tout en l’excitant. Il n’avait de cesse de le dévorer des yeux avec cette expression sensuelle et sexy qui rendait fou son amant, qu’il n’avait de cesse de taquiner. Il avait envie de lui, il le lisait dans son regard qui brillant, lui suppliait de poursuivre ces espiègleries, de le rendre fou juste par ce contact, qui tourmenteur les émoustillait réciproquement. Yano avait cruellement envie de lui retirer ce boxer, de venir caresser sa victime de ses doigts pour entendre ces sons si sexuels s’extirper des lèvres de son amant dont le corps semblait fondre d’effusion face au plaisir cuisant qu’il provoquait en sa chair. Un fait que ce dernier vint lui révéler de la façon la plus parfaite qu’il soit. Sa voix si sensuelle, si envoutante tant le plaisir se trouvait puisant était en train de le suppliait de faire tout ce qu’il voulait de lui, n’en pouvant tout simplement plus tant il était si parfait, si magnifique et sensuel à ses yeux. Son corps n’avait de cesse de le réclamer, ayant atteint sa limite alors qu’il lui susurrait de lui faire l’amour, qu’il ne demandait que ça. Se mordant les lèvres à cette confession plus que merveilleuse, il ne pu que gémir à son tour, cruellement excité alors qu’il sentait son ange soulever ses reins pour les frôler au sein.

Une scène plus qu’érotique à ses yeux alors qu’il le regardait faire si sexy que jamais. Il aimait le voir ainsi, aussi pervers que pouvait être cette songée, elle le possédait de tout son être. Ses reins savouraient ce contact que poursuivait son amant, si dévoré par le plaisir qu’il le rendait fou. Il s’efforçait de résister, en vain, son torse se soulevant difficilement au rythme de sa respiration qui difficile, ne faisait que doubler son émoi, son désir pour son amant. Y’avait-il plus belle vision en ce monde que la vue de son amant au bord de la folie tant son être se brulait de désir pour sa personne ? Résolument pas. C’est pour cette raison qu’il ne pu rester de marbre face aux suppliques de son amant qui l’implorait de le rendre fou de son corps, de ne lui faire penser qu’à ça, qu’à lui qui était si parfait. Il voulait qu’il le fasse rêver en cette nuit, faisant ce qu’il voulait de son corps qui lui appartenait tout entièrement depuis si longtemps. Incapable de résister plus longtemps, ses lèvres s’étaient fondues sur celles de son amant pour les dévorer, les embrasser avec fougue dans un gémissement ô profond. Il se sentait totalement consumer à son contact, son être s’abreuvant de ces délicieux frisons qui parcouraient l’échine de son ange sous ses mains cupides, qui le caressaient sans aucune honte afin de la marquer au fer. Des phalanges qui trouvèrent bientôt leur terre d’attache se nichant sur ses hanches, ses fesses qui ne demandaient qu’à être choyer de ces tortionnaires alors qu’il sentait son ange venir se coller plus à même de sa chair, quémandant ses attentions comme un drogué ne pouvant se passer de sa dose. Un état de fait qui exaltait ses sens alors qu’il entreprenait de lui retirer son boxer, s’éloignant de lui pour le contempler désormais nu, si animé par le désir qui lui coupa le souffle tant il se trouvait simplement « magnifique » tel le Dieu qu’il était à ses yeux. Se mordant délicatement la lèvre à cette vision sublime, il ne pu que gémir à son tour de venir de nouveau opérer un mouvement de bassin contre le sien, sentant son excitation tout aussi profonde que la sienne, alors qu’il soufflait dans une voix ô profonde en vue de son émoi.

« Tu me rends fou… terriblement dingue… tu es si envoutant ainsi… que je me demande si un jour, je pourrais me lasser de te voir ainsi… je crains fort que cela ne soit impossible… tu es juste magnifique, ainsi… si demandeur, si passionné… ahh… mon amour, je ne vais pas pouvoir être patient si tu continue de me supplier de la sorte… »

Venant embrasser de nouveau ses lèvres avec passion, il sentit enfin les mains de son ange se mouvoir sur sa chair, le faisant frémir alors qu’il continuait ses caresses sur la chair de ses fesses, glissant ses phalanges entre ses dernières pour renforcer le contact avec son bas ventre toujours cruellement niché dans son sous vêtement. Un fait qui le contrarier tout contre son amant qui vint enfin mouvoir ses doigts sur ses reins, faisant délicatement choir le tissu sur ses cuisses, le découvrant en partie de son boxer pour permettre à leur bassin de se rencontrer de nouveau, chair contre chair. Un contact qui vint d’autant plus le faire frémir alors continuait de l’embrasser avec fougue, son membre venant frôler le sien dans de légers mouvements de reins, qui l’achevaient totalement, d’autant plus sous les soupirs de son ange qui n’avait de cesse de susurrer son prénom comme une plainte pour qu’il accède à sa demande.

N’y pouvant plus résister tant la passion animait le moindre de ses gestes, il ne pu que gémir profondément lorsqu’il sentit son membre s’échouer contre les fesses de son ange, dans  un ultime mouvement de bassin de la  part de son ange. Fébrile, il ne pu que se sentir exalter de ce contact étourdissant, sentant les reins impatient de son hanche intimer sa présence en son sein. Cette idée l’étourdissait profondément alors qu’il venait délicatement l’embrasser dans un baiser beaucoup moins féroce, plus doux que jamais. Son amour surpassait de nouveau sa fougue antérieure, l’obligeant à glisser l’une de ses mains sur sa nuque alors qu’il se glissait enfin en lui, en douceur. Une pénétration tout aussi troublante que  les autres fois où il avait eu la possibilité de le faire, beaucoup moins aisée mais pourtant bien plus envoutante que jamais. En appui sur ses bras, les jambes de son ange autour de ses hanches, il s’immisçait en lui en délicatement, fermant les paupières face à l’afflux de bien être qui étreignait son être, le faisant gémir comme jamais. Sans doute devait-il envoyer une image résolument sensuelle à son ange, celle de voir son amant le souffle coupé par cette effusion de ses sens dont il était le seul responsable.

Soupirant son prénom dans une voix ô fébrile, il ne su combien de temps s’écoula avant qu’il ne se retrouve complètement en son sein, plus excité que jamais. Le souffle court, il se mordait délicatement les lèvres en l’observant à son tour, si excité et tourmenté à la fois. Sans doute que la douleur se trouvait présente en son être, à l’image de cette qu’il avait éprouvé lorsqu’ils avaient fais l’amour dans la douche mais si c’était  le cas, elle devait résolument être faible face au bonheur fulgurant que ce dernier devait éprouver de le savoir en son être, plus excité que jamais. C’est pour cette raison qu’il vint  embrasser sa nuque de ses lèvres, l’embrassant avec tendresse et amour alors qu’il sentait délicatement ses reins opérer un premier mouvement dans ses reins, le faisant délicatement gémir alors qu’il susurrait.

« Mon amour… tu es si étroit… c’est si bon… je deviens fou tant le désir me consume de l’intérieur… tes reins me rendent dingue… cupide comme jamais… ce soir en cette sainte nuit de nos deux ans, je vais tout faire pour assouvir tes désirs les plus secrets… et te rendre fou de mon corps à jamais… tu m’appartiens, tout ton échine ne peut qu’être enlacé par mon être… jamais je ne laisserai un autre homme toucher cette chair qu’est mienne. »

Mordillant sa nuque à ses mots ô possessifs, ses phalanges vinrent se choir sur les cuisses de son ange, remontant à son bassin pour les intimait à revenir à ses reins, débutant ainsi ce manège ensorcelant où il laisserait la passion guidait ses gestes, laissant son membre ô cupide explorer cet antre où il semblait tout simplement fou. Le cœur au bout de ses lèvres, les premiers coups de reins furent lent et langoureux, les faisant geindre tous deux alors qu’il se consumait à petit feu. C’est ainsi que peu à peu le rythme vint à s’accélérer, beaucoup moins innocent, plus franc et fougueux qu’auparavant tandis qu’il gémissait contre sa nuque, fusionnant tout simplement avec ses reins, qui tout aussi quémandeur n’avait de cesse de venir à lui. Dieu que tout ceci était envoutant et planant, le rendant fou, ses reins bien incapable de se contenir, laissant ses sens s’exprimaient sans aucun état d’âme alors qu’il susurrait son prénom entre des baisers, qui n’avaient de cesse de le tourmenter plus encore. C’était si délicieux d’être en son sein, que pour rien au monde, il n’aurait changé sa place avec quiconque…

Ki Suk n’était en cet instant que la douce victime de son amant. Un amant qui ne cessait ô grand jamais de le rendre fou et si dépendant de sa personne. Comment un être humain pouvait-il seulement être si beau, si séduisant et si merveilleux ?  Si Dieu existait et avait crée cet être,  il ne l’avait engendré que dans le but de rendre fébrile Ki Suk, le jeune homme en était persuadé. Il n’y avait que cet homme sur cette terre qui avait le don de le rendre fébrile au moindre regard, à la moindre caresse. Personne ne pouvait le remplacer dans son cœur, le jeune homme en était intimement persuadé alors qu’il ne cessait de dévorer du regard son amant. Le contact entre leurs chairs se trouvaient si bénéfique pour lui qui ne désirait plus qu’une chose en cet instant : unir leurs corps au moyen de ce doux pécher qu’était la luxure au creux de ces bras. Peut-être était-il fou en cet instant mais il ne s’en inquiétait pas, son amant l’était tout autant que lui en vue de son comportement qui paraissait si appréciateur de son corps. Chacun des coups de reins que lui administraient son amant au travers de ce boxer lui paraissait si électrisant, si agréable qu’il ne pouvait que gémit à chacun de ces mouvements.

Sans doute devait-il paraitre bien fébrile en cet instant mais son cœur comme son corps ne pouvait nullement agir autrement, chaque partie de son être se trouvait si sensible.  Ce boxer était bien trop inutile pour le jeune homme qui n’avait qu’une envie : celle que Yano lui retire enfin pour lui permettre de revivre à ces côtés. Se laissant porter par son désir, le jeune homme était venu se montrer si désirable, murmurant des mots ô volontairement enchanteurs pour Yano. N’était-il pas agréable et désirable d’entendre son amant susurrer dans un certain supplice de lui faire l’amour ? Sans doute que non. Ces mots étaient l’entière traduction de sa fébrilité, de ce corps qui souhaitait s’unir au sien et découvrir à nouveau ces sensations si agréables que lui permettait d’obtenir le corps de son amant. Chacun de ces mots étaient venus faire céder le jeune homme, à peine avait-il terminé ces mots que déjà Yano était l’embrasser avec fougue, le faisant gémir avec plaisir alors que son corps ne pouvait pas s’empêcher de frissonner. Il n’eut que peu de temps avant que Yano ne vienne répondre à sa requête et lui enlever son sous-vêtement, à son plus grand plaisir. Son intimité en cet instant se trouvait particulièrement ferme, offrant ainsi une vue ô agréable à Yano qui le dévorait littéralement du regard. Yano venait de se mordre les lèvres, lui offrant une vision tout autant enchanteresses à ces yeux, le laissant gémit alors qu’il effectuait un mouvement de bassin contre le sien, l’obligeant à fermer les yeux face à l’afflux de plaisir.  Les mots de Yano venaient le ravir alors qu’il lui murmurait qu’il le rendait fou, terriblement dingue, le trouvant si envoutant. Il se demandait un jour s’il pourrait se lasser de le voir ainsi, mais il craignait fort que cela ne pouvait pas être possible. Ki Suk se trouvait si magnifique ainsi, si demandeur, si passionné qu’il ne pouvait être patient s’il continuait à le supplier de la sorte.

Ne pouvant être nullement inactif, le jeune homme était venu enfin caresser la chair de son amant,   souriant avec délice alors qu’il sentait les mains de son amant sur fesses, le faisant doucement gémir.  Ainsi, ne souhaitant nullement être le seul dans cette position, le jeune homme était venu caresser les reins de son amant, pour venir descendre ce tissu qui était de trop à ces yeux. Faisant enfin rencontrer leurs deux entrejambes, à son plus grand plaisir alors qu’il se sentait gémir face à contact qui l’avait tant manqué.  Ne cessant d’embrasser ces lèvres, venant répondre à chaque baiser de manière langoureuse, susurre le doux nom de son amant lui paraissait être la meilleure chose alors, dans l’unique but de faire fondre son amant, le jeune bulsajo désirait tant son amant en cet instant.  
Accompagnant chaque mouvement de ce corps contre le sien, le jeune homme était venu alors faire échouer le membre de Yano contre ses fesses à son plus grand plaisir. Il désirait tant l’avoir en son sein.   Le jeune homme ne put alors que sourire dans le baiser de Yano, un baiser doux qui transmettait leur amour dans une infime tendresse. Il ne put que laisser échapper de douleur, comme de bien-être alors qu’il le sentait le pénétrer avec autant de douceur.   Il ne pouvait nier que la douleur se faisait forte mais cela ne l’importait peu,  il savait que cette douleur disparaitrait bientôt pour laisser place à un plaisir certain.

Ces jambes accrochées aux hanches de son amant,  le jeune homme était venu rapprocher leur corps pour lui permettre de s’immiscer encore en lui, venant répondre à son désir d’être possédé par Yano. La violence se faisait présente mais la vision du corps de son amant lui permettait de l’oublier quelque peu.  Yano se trouvait si beau, si séduisant pendant que son corps ressentait tant de bien-être. Cette vision lui paraissait si enchanteresse. Peu à peu, il réussit enfin à s’immiscer entièrement en lui, lui laissant le souffle coupé alors qu’il se sentait si bien, Yano en son être, si excité par son corps et le fait d’être en lui. Il ne put que gémir : de douleur comme de bien-être alors que Yano effectuait un premier mouvement de va-et-vient, se satisfaisant du gémissement de bien-être de son amant. Yano était alors venu murmurer qu’il se trouvait si étroit, ne pouvant qu’être ravi, devenant fou de désir tant le désir le consumait de l’intérieur. Ces reins le rendaient particulièrement dingue, cupide comme jamais. Ce soit en cette sainte nuit de leurs deux ans, il avait tout faire pour assouvir ces désirs les plus secrets et le rendre fou de son corps à tout jamais. Il lui appartenait, son échine ne pouvait qu’être enlacée par son être. Il lui murmurait alors qu’il ne laisserait jamais aucun homme toucher cette chair qui était sienne. Chacun se trouvait véridique aux yeux du bulsajo qui ne pouvait pas se détacher de ce corps ô si sexy et désirable, de cet être qu’il trouvait si magnifique et si aimant. La promesse du jeune homme ne put que réveiller son désir, l’idée d’assouvir ces plus grands fantasmes ne pouvaient que lui plaire pour lui qui se savait tomber dans la luxure depuis qu’il avait rencontre son amant.  

Le jeune homme n’eut nullement le temps de répondre d’une quelconque façon alors que déjà il se sentait gémir face à la morsure de son amant sur sa nuque, tout comme ses phalanges qui venaient caresser ces fines cuisses, effectuant à nouveau un coup de rein. Les premiers mouvements se faisaient lents et langoureux, toujours douloureux pour le jeune homme mais cela était logique dans la mesure où son corps n’avait pas eu de préparation. Soupirant bien malgré lui, peu à peu, alors qu’il venait de lui-même rapprocher leurs reins pour s’unir à nouveau, la douleur vint à disparaitre pour laisser place à un plaisir certain, à chaque fois que son amant venait rencontrer sa prostate. Devenant une masse gémissante au creux de ces reins, gémissant son nom à chaque mouvement, le rendant ô combien fébrile. Sa prostate appréciait ô grandement son traitement, accentuant leur contact alors qu’il accompagnait chacun des ces coups de rein. Le jeune vint alors susurrer entre plusieurs gémissement ces mots, sa voix totalement éprise par la plaisir qui prenait part en son sein, le faisant à chaque fois un peu plus : «Oh mon Yano... c’est si bon… tellement… mon corps… apprécie tant … ce traitement….oh oui..  il n’y a rien… de mieux… que ton corps… en mon sein… ô oui..»

Ces mots se trouvaient tout aussi enchanteurs pour la personne de son amant alors que ces mains venaient s’accrocher à son amant, griffant ce dos alors qu’à chaque mouvement il se sentait partir bien loin. Le plaisir se trouvait si fort pour lui qui n’avait pas eu pendant ces deux ans à expérimenter tant de fois cette position de dominé, Yano se trouvait si parfait. Chaque pénétration le faisait gémir, ne tentant pas de retenir un seul gémissement, fermant les yeux alors qu’il se sentait ce plaisir monstre prendre possession de son corps. Il vint alors malgré lui, mordre la nuque de son amant alors qu’une poussée dans son corps vint le faire gémir plus fortement, Yano semblait avoir réussi à trouver la zone de sa prostate la plus sensible. Ki Suk vint alors gémir son doux nom à nouveau, se sentant si bien choyé par son amant. Il ne put alors que laisser échapper dans un gémissement de continuer à le posséder ainsi, bien plus fort, tant son corps appréciait le contact. Une requête à laquelle Yano vint répondre alors qu’il lui semblait mourir de bien-être au creux de ces reins, de ces mains qui caressaient chaque parcelle de son corps, le rendant ô combien fébrile. Comme à chaque fois qu’il se trouvait dominé et posséder par son amant, il lui semblait mourir de bien-être tant l’affection et l’amour qu’il lui portait se trouvait forte. Le jeune bulsajo murmura alors : «Oh oui … fais ce que tu veux… de mon corps… tout ce que tu veux… tu es si merveilleux… tellement… réalise tes fantasmes…  réalise tout ceu que tu souhaites… tant mon corps apprécie chacune de tes actions… mon amant…» Yano se trouvait être le plus merveilleux des amants, Ki Suk en était persuadé à cet instant où son corps ne demandait plus que le contact entre leurs deux chairs, omettant totalement l’environnement dans lequel il se trouvait.  Ki Suk semblait prêt à répondre au moindre fantasme de son amant en ce jour, aussi pervers pouvait-il être tant il savait qu’il ne pourrait que mourir de bien-être au creux de ces reins. Le plaisir se trouvait si fort qu’il savait qu’il ne pourrait nullement ne pas répondre à une seule de ces requêtes, Yano se trouvait si parfait et un si bon amant.

Fou, il ne pouvait nier le devenir tant l’être de son amant le faisait fondre comme neige au soleil. La sensualité de leurs caresses, de leurs baisers, de leurs mots allumaient un feu ardent au sein de ses reins contre lequel il ne pouvait point lutter. Il était si délicieux de voir son amant agir de la sorte, se laisser aller à ses désirs, ces pensées lubriques qui faisaient de leur ébats des instants magiques au point qu’il se sente à jamais prisonnier de son emprise. Ki Suk avait ce talent incroyable de le captiver jour après jour, ne faisant qu’approfondir cet amour qu’il avait pour lui. Un amour qui se trouvait ô profond, si précieux, qu’il était persuadé qu’il ne pouvait qu’être à ses côtés. Leurs destins étaient liés étroitement et de la façon la plus somptueuse qu’il soit. Il en avait eu la preuve en cette journée lorsqu’ils s’étaient trouvés au sein de cette forêt. Il n’avait pas eu besoin de voir l’image de son ange en intégrité dans le reflet de cette source pour comprendre qu’il ne pouvait s’agir que de lui. Cela faisait bien des années qu’il savait que cet homme était le seul à être en mesure de l’ébranler de cette façon, le rendant à la fois si passionné et cupide. Il ne pouvait nier ce fait, en avait parfaitement conscience mais contre lequel il ne pouvait pas combattre. Comment sa raison pouvait-elle seulement escompter rivaliser avec cet amour fulgurant, qu’il éprouvait chaque seconde un peu plus pour cet homme qu’il tenait au creux de ses bras ? Cela se trouvait bien impossible et il ne résistait nullement à cet amour, se laissant noyer par ce dernier sans le regretter un instant.

De plus, comment pouvait-il rester de marbre face à ce corps, cette âme qui se montrait si parfaite, si envoutante sous son regard. Il était si érotique de le voir exciter de la sorte, d’entendre ses sons ô sensuels s’extirper de ses lèvres, si magnifiques qui ne demandaient que les siennes. Si Dieu existait, vraiment, il ne pouvait qu’être cet homme pour lequel son cœur s’agitait si fougueusement. Un dieu qui ne pouvait désormais qu’être que le sien, refusant simplement l’idée de partager avec d’autres car il lui appartenait. Une possessivité contre laquelle il n’avait pas à lutter tant sa victime semblait ravie de sa captivité. Sans doute étaient-ils insensés de se fendre ainsi dans  la luxure, l’amour le plus fusionnel qu’il soit mais, que pouvaient-ils faire contre les battements si euphoriques de leur cœur, qui ne semblaient que vivre intensément au contact de la chair de l’autre ? Il ne pouvait point répondre à cette question, ne cherchant même pas à en trouver une tant son être s’abreuver de cette chair, qui lui avait permis de se découvrir. C’était grâce à cet amant ô merveilleux qu’il avait pu entrapercevoir cette partie si érotique de sa personne, qui avait fait de lui, cet homme ô dominant qui ne désirait qu’une chose : exalter tous les sens de son amour pour lui faire connaitre ce paradis terrestre.

Un paradis terrestre qu’il ne pouvait que connaitre à ses côtés, si salvateur et recherché. Son amant n’avait de cesse de lui supplier de lui faire connaitre tant son être aussi cupide que le sien n’avait de cesse de lui insufflait la chose. Un appel auquel il avait répondu sans aucune hésitation, laissant enfin leurs chairs se retrouvaient de nouveau avec un ravissement sans précédent. Au creux de ses reins, il se sentait délicatement dévorer par le désir, cette soif contre laquelle il ne pouvait point lutté tant elle le déroutait totalement. Il était si merveilleux d’être en son sein, de sentir l’antre de cet homme l’accueillir si aisément pour qu’il lui apporte cette félicité qu’il était le seul à pouvoir lui apporter. L’émoi qui le traversait était puissant et profond, étourdissant alors qu’il ne pouvait retenir ses gémissements de se faire connaitre tant ce plaisir était intense. Il se sentait se consumer de l’intérieur par ce feu ardent qui n’avait de cesse de s’accroitre désormais qu’il le possédait. Il se laissait pleinement guider par ses sens sans la moindre hésitation, venant lui mordre la nuque alors qu’il le caressait de ses doigts, s’immisçant en lui comme si son être ne réclamait que cela. Ce qui était résolument le cas alors qu’il sentait son ange devenir plus fébrile à ses caresses, à ses coups de reins. La douleur semblait peu à peu disparaitre, rapidement remplacée par cette effusion qui le faisait délicatement gémir des paroles si enchanteresses, qu’il semblait devenir fou. Son corps répondait à sa place venant asséner des coups de reins de plus en plus puissant alors que tout comme son ange, il se transformait en une masse gémissante. Son membre merveilleusement bien lotit au creux de ses reins, il laissait le plaisir exaltait ses sens, renforçant ses caresses, ses baisers sur cette chair qui semblait bruler sous ses gestes. En bon amant, il appréciait ses gémissements, ses griffures que son amour laissait sur sa chair, tout comme ses mouvements de reins qui venaient chercher les siens. La chaleur s’accumulaient, ses sens plus en éveil que jamais, il laissait son corps commandait ses actions, se fondant plus fougueusement dans ses reins qui le faisaient délicieusement rêver. Il se trouvait si rare qu’il soit le dominant dans leurs ébats qu’il ne pouvait nier que son corps se trouvait bien plus fébrile que d’habitude tant il était cruellement encensé de sentir son ange, si fébrile, si désireux sous ses doigts, sous ses coups de reins. Les frisons que le parcourait étaient merveilleux, son cœur semblait devenir fou dans sa poitrine, l’obligeant à respirer fortement alors que ces reins n’avaient de cesse de réaliser des mouvements de va-et-vient en adéquation avec ceux de son ange, qui participaient à cet échange. La chaleur qui l’inondait à cet instant était brulante et salvatrice alors qu’il se sentait mourir de bien être à son doux contact tout comme son ange, qui n’avait de cesse de murmurer son prénom, lui murmurant de faire tout ce qu’il voulait de son corps tant il se trouvait merveilleux. Il voulait qu’il réalise ses fantasmes, tout ce qu’il souhaitait tant il appréciait chacune de ses actions. Des paroles qui vinrent le faire geindre de bien être au creux de son oreille alors qu’il poursuivait ses mouvements, gémissant son prénom tant le plaisir exhumait son être. Des mouvements fougueux qu’il vint stopper par désir de le frustrer, savourant ce gémissement qui s’extirpa des lèvres si cupides de son amant alors qu’il sentait ses reins venir à sa rencontre, le faisant gémir à son tour. Le souffle court, il savoura ce coup de rein profond que son amour vint réclamer comme un du alors qu’il murmurait faiblement contre son oreille.

« Mon amour… tu es si érotique… ton corps semble si dépendant du mien… c’est merveilleux… j’aime tellement t’entendre réclamer mon être en ton sein… »

Venant mordiller son lobe du bout de ses lèvres, il vint de nouveau se retirer de ses reins dans un mouvement lent et langoureux alors qu’il sentait ceux de son ange revenir à leur rencontre. C’était comme s’ils ne pouvaient plus se passer de ses reins, ne cessant pas un instant de les réclamer alors que cela éveillait un désir lubrique au sein de son être. Un souhait qu’il vint murmurer au creux de son oreille alors qu’il venait coller ses reins aux siens dans un geste profond, gémissant par la même occasion.

« C’est si envoutant que je n’ai qu’un seul désir… celui que tu viennes les réclamer jusqu’à atteindre ce paradis si envoutant que nous pouvons que connaitre au creux des reins de l’autre… tu es si magnifique, mon amour… je désire te voir encore plus érotique que tu ne l’es à cet instant. »

Gémissant de nouveau alors qu’il opérait un nouveau mouvement de va-et-vient, c’est avec fébrilité qu’il vint glisser ses lèvres sur celle de son ange, les embrassant avec fougue tant elles semblaient manquer à son être. Pourtant, cela ne faisait quel quelques minutes qu’il s’en était retiré mais leur chaleur embrassait sa chair face à ce feu ardent qu’il provoquait en ses reins. Laissant échapper de nouveau un soupir contre ses lèvres, c’est dans une voix ô grave et sensuelle qu’il vint murmurer tout simplement contre ses lèvres.

« Donne moi la possibilité de te dévorer entièrement sous cet aspect si envoûtant, qui me rend fou juste par la pensée… sans doute est-ce pervers mais je ne puis que le reconnaître, rien ne me rend plus fou que ton corps possédé par cette fougue, cela te rend si désirable mon amour… »

Souriant tout contre ses lèvres, il vint de nouveau se coller à lui, laissant tout son corps épousait ses formes, l’embrassant comme jamais. Un baiser empli de fougue, de désir qui exprimait totalement son désir actuel et pour lequel il souhaitait que son ange réponde à sa requête tout simplement.

Une masse gémissante, un être pervers, à chaque instant où le plaisir de la luxure prenait possession de son être, Ki Suk avait l’impression de l’être un peu plus. Son cœur et son corps se trouvait si dépendant du corps de son amant depuis la début de leur relation, peut-être même avant, qu’il ne pouvait tout simplement pas en être autrement. Le jeune bulsajo ne se lassait tout simplement jamais du corps de son amant, d’une quelconque façon, le trouvant magnifiquement beau et séduisant. Son amant le savait et jouait bien des fois à ce propos, venant titiller sa passion, omettant de porter un haut en sortant de la douche, portant des vêtements qui saillaient les formes ô attirantes de son corps. Yano savait parfaitement manipuler le jeune homme, connaissant sans doute chacune des faiblesses. Ki Suk se trouvait à chaque fois hypnotisé par le jeune homme, tout comme en ce soir où il l’avait vu si beau et désirable. Sa passion le dévorant il n’avait pas pu résister à ce corps, ni sans doute jamais d’une quelconque façon alors qu’il se trouvait déjà si bien loti contre lui, au creux de ces reins.  Cupide, il ne pouvait que l’être alors que son corps appréciait tant le traitement de son amant sur son corps, savourant chacun de ces instants à ces côtés. Rares étaient les occasions où il se trouvait dans la situation où Yano venait à le dominer véritablement. La luxure avait eu le mérite de faire apparaitre un nouvel homme, bien plus charismatique, bien plus imposant qu’il ne l’était naturellement.

Ainsi, savourant ce côté passionné et dominant du jeune homme, son amant ne pouvait que désirer le voir ainsi. Cependant, en cet instant le bulsajo pouvait tout autant apprécier cette position tant les sensations qui le traversaient lui paraissaient si bénéfiques pour son être. Yano était venu le posséder de la manière la plus simple, venant répondre à ces désirs d’amants. La douleur avait été présente mais il préférait l’ignorer, sachant ô combien le plaisir serait fort dans les prochaines minutes. La douce morsure de son amant sur sa nuque n’avait pu que le faire doucement frissonner, caressant de ces doigts ces formes, attisant son désir déjà si présent dans son corps. Le plaisir avait laissé place au doux plaisir du la luxure alors qu’il sentait peu à peu qu’il perdait raison, son esprit le quittant, seul son corps l’importait en ce temps.  Un corps qui désirait seulement ressentir ses douces sensations à chaque coup de rein en son sein, appréciant ces sensations qui prenaient part de son être. Son corps ne pouvait alors que répondre à ce désir, venant accompagner chacun des coups de reins de son amant, rapprochant leurs corps pour ressentir ce doux délice. Seuls ces gémissements venaient sortir de sa bouche, venant griffer ce dos si musclé qui n’avait jamais cessé de l’attirer d’une quelconque façon.

Chacun des gémissements qu’il effectuait en son sein le rendait particulièrement fébrile, ces mouvements de reins devenant plus puissants, le faisant gémir le doux son nom de son amant. Le jeune bulsajo se sentait si bien ainsi, fou de ce corps qui l’emmenait si proche de ce doux pécher qu’était la luxure. Perdu dans cette luxure, le jeune homme lui avait alors avoué qu’il pouvait absolument tout ce qu’il voulait de son corps, tant il le trouvait merveilleux, souhaitant réaliser ces fantasmes, Ces mots semblèrent au jeune homme qui vint feindre un gémissement à son oreille. Un son qui le fait doucement sourire, simplement alors que Yano effectuait à nouveau un mouvement de va-et-vient agréable en son sein. Seulement à son plus grand désarroi stopper ces mouvements, l’emmenant à venir faire rencontrer de lui-même son entrejambe en son sein, tant il sentait frustré de cet arrêt. Un coup de rein profond qui vint le faire gémir à nouveau, souhaitant ne jamais quitter ce doux processus qui les emmènerait dans un paradis de luxure.  Face à ce geste, Yano était venu murmurer qu’en cet instant, il était si érotique, son corps paraissait si dépendant du sien. Tout était si merveilleux, il aimait tellement l’entendre réclamer son être son sein. Un fait ô véridique alors qu’il le sentait venir mordre le lobe de son oreille, le faisant gémir à nouveau ; stoppant à nouveau son mouvement et retirant son entrejambe de son sein, l’emmenant à nouveau à réitérer ce geste qui rendait si fou son amant.  Yano ne put rester insensible à ce geste, gémissant à nouveau et murmurant qu’il était si envoutant qu’il n’avait qu’un seul désir, qu’il vienne les réclamer jusqu’à atteindre ce paradis si envoutant qu’ils pouvaient connaitre au creux des reins de l’autre. Il le trouvait si magnifique, désirant le voir encore plus érotique qu’il ne l’était en cet instant. Le jeune bulsajo ne put alors que venir apprécier le mouvement de va-et-vient enfin complet en son être, gémissant d’enfin se sentir à nouveau complet.

Le contact de ces lèvres contre les siennes ne put que le faire doucement frissonner, gémir face à fougue de ce baiser qui ne le rendait que plus fébrile. Le jeune homme vint alors dévoiler son doux fantasme, celui de lui donner la possibilité de le dévorer entièrement sous cet aspect si envoutant. Ce doux fantasme le rendait fou, sans doute était-ce pervers mais il ne pouvait que reconnaitre que rien ne le rendait plus fou que son corps possédé par cette fougue qui le rendait si désirable. Des mots qui venaient ravir le jeune homme qui n’était nullement contre la réalisation de ce doux fantasme qui était prometteur de bien de sensations agréable pour l’amant qu’il était. Comment pourrait-il seulement résister à l’appel de la chair de Yano qui se trouvait déjà si possédé par la fougue ? Le jeune homme ne pouvait nullement ne réaliser. Ainsi, dévorant des lèvres celles de son amant, le jeune homme caressait avec une envie non dissimulée son amour alors qu’il profitait de cet instant de folie pour renverser leur position, venant faire échouer Yano sur le dos, contre ces coussins. Gémissant doucement alors qu’il se trouvait à la fois dans une position de dominant et de dominé, celui profita de la vue ô agréable de son amant, le désirant fortement, le forçant à venir se mordre ces lèvres.  Ainsi, il vint murmurer alors qu’il effectuait un premier mouvement, s’empalant lui-même sur la virilité dressé de son amant, laissant échapper un gémissement, serrant entre ces doigts ces épaules musclées et attirantes : « Oh Yano… c’est si… électrisant.»

Faible telle la masse gémissant qu’il était, ses jambes enserrant les reins du jeune homme, le bulsajo vint à nouveau agripper les épaules de son amant pour remonter et redescendre sur cette virilité qui semblait si bien loti en son sein. Ainsi positionné, le bulsajo semblait ressentir plus fortement son ami en son sein, venant directement toucher sa prostate et ce point si sensible qui vint le faire gémir à nouveau, le forçant à fermer les yeux. Il lui semblait en cet instant ressentir bien plus de plaisir qu’il n’en avait jamais ressenti tant cette position lui permettait directement de ressentir le plaisir, touchant sa prostate d’un seul mouvement. En tant qu’amant désireux, il ne put alors qu’à nouveau effectuer un mouvement d’empalement, soupirant et gémissant de bien-être, tant le plaisir lui plaisait si fort en cet instant. Il ne sut exactement combien de temps il effectua ainsi des mouvements d’empalement, la seule chose qui l’importait se trouvait être le plaisir qu’il ressentait, tout comme le plaisir qu’il apportait à son amant, ainsi positionné, lui offrant une vue imprenable, comme il l’avait souhaité. Réaliser un des fantasmes de son amant se trouvait ô combien électrisant pour le jeune homme qui ne cessait pas de gémir, savourant le contact de leur chair, venant griffer sans le vouloir ces épaules. Le plaisir se faisait si fort en cet instant, tellement qu’il lui semblait se rapprocher à chaque mouvement de l’extase, susurrant le doux prénom de son amant à chaque instant, se trouvant si épris par lui. Gémissant il vint murmurer d’une voix suave : « Oh mon Yano… tu es si… merveilleux… c’est si bon… »

Sans doute était-il trop fébrile en cet instant mais il sentait cette extase se rapprocher progressivement. Soupirant, il sentit peu à peu son souffle devenir de plus en plus difficile, s’empalant avec toujours plus de force contre l’aine de son amant. Ainsi, devenant si faible et si fébrile, il soupira doucement alors qu’il se sentait partir dans ce doux extase de la luxure, rendant les armes dans un dernier mouvement, gémissant le nom de son amant. Un amant qui ne put nullement tenir bien plus longtemps alors que son corps était venu s’empaler dans un dernier mouvement sur son aine, sentant son amant rendre les armes à son tour, le faisant gémir à nouveau de bien-être. Le jeune homme, le souffle coupé vint s’accrocher à son amant, toujours empalé, si bien loti ainsi alors qu’il murmurait son nom, heureux, encore perdu dans les brumes du plaisir.

Sans doute que Yano devait paraitre bien cupide aux yeux de son amant à cet instant mais, il ne pouvait rien faire pour lutter contre cette dernière. Il était si envoutant de le voir ainsi, si excité par sa personne, qu’il ne pouvait s’empêcher de le dévorer du regard, laissant son être s’étourdir de cette chaleur, qui n’avait de cesse de lui taraudait le corps. Une flamme incandescente qui ne semblait point n’avoir de fin tant elle semblait abroger toute pensée cohérente de sa chair. Il mourrait littéralement de désir pour lui, appréciant avec cette culpabilité lubrique de le voir d’autant plus érotique qu’à cet instant. Il ne semblait pas y avoir plus belle vue que celle qui lui était actuellement possible d’admirer. Cette chair divine, nue et animée par le plaisir de la chair était résolument un spectacle époustouflant devant lequel il ne pouvait que se consumer. Il était si magnifique, si désirable, si merveilleux qu’il ne pouvait que se laisser allé à ce doux plaisir lubrique qui le possédait tant il n’avait pas l’habitude de le voir ainsi. En effet, cela faisait des années que Yano se soumettait à son ange par amour mais aussi par plaisir. A ses yeux, il n’y avait rien de plus fabuleux que de voir l’échine de son amour fondre pour son corps, transformant cet ange si tendre en un être avide qui ne pouvait lutter contre ses pulsions dominantes. Voir le désir imprégner les prunelles de cet homme lorsqu’il lui murmurait de lui faire l’amour était une joie sans nom pour son être, qui en était devenu cruellement dépendant. Une dépendance face à laquelle il ne luttait pas, appréciant ô résolument le fait de se soumettre à son ange, qui s’épanouissait à ses côtés. C’était Ki Suk, qui lui avait permis de se révéler dans sa vie sexuelle et il ne pouvait que se sentir honoré que cela soit de même pour son ange. Il était son premier amant et il comptait bien mettre tout en œuvre pour  le demeurer même s’il savait le cœur de son ami lui être totalement acquis. Ils s’appartenaient mutuellement et la découverte de cette source ne pouvait plus que les conforter dans cette idée alors qu’ils consumaient leur amour de la façon la plus naturelle qu’il soit.

Une passion si dévorante qu’ils perdaient toute notion tant le désir n’avait de cesse de les ronger. Avide et résolument pervers, il ne désirait qu’une chose : lui faire du bien. Il ne pouvait que s’exalter de ses gémissements, plaintes qui s’extirpaient de ses lèvres si désirables. Après tout, quel digne amant pouvait désapprouver tout cela alors qu’ils étaient les signes évidents du bien être qu’il provoquait ? Aucun et il se plaisait résolument à le tourmenter de la sorte, savourant ô grandement l’appétence dans lequel il avait plongé son corps. Ce dernier n’avait de cesse de le réclamer, venant à la rencontre de ses reins taquins qui le tourmentaient de la sorte. C’était un véritable océan de frisons et d’extase pour lui de le voir ainsi insatiable de son corps. Tellement, qu’il n’avait pu que lui faire part de son doux fantasme à demi-mot. Un fantasme qui lui donnait la sensation d’être corrompu tant ce dernier se trouvait lubrique. Il lui avouait qu’il voulait le dévorer du regard tandis qu’il venait chercher lui-même ses reins. La vue de ce corps qui réclamait le sien, l’émoustillait profondément alors qu’il ne rêvait plus que de cela, bien trop désireux de le voir de nouveau si enflammé par le plaisir de la chair en atteignant cet orgasme, que ses reins pourraient lui procurer.

C’est donc avec émoi qu’il vint accueillir les lèvres de son ange dans un baiser ô langoureux, sentant les phalanges de son ange le caresser avidement en renversant leur position. Une action dans laquelle il se laissa totalement faire tant ce dernier semblait être déterminé à répondre à ses commandements. Il était si enchanteur de le voir dans cette position qu’il ne pu que gémir à son tour, se mordant les lèvres, ses phalanges glissant sur ses cuisses pour venir se mouvoir sur ses reins, ses fesses si délicates. Ki Suk était résolument érotique à souhait à cet instant, s’appuyant à ses épaules alors qu’il venait à la rencontre de son intimité. Une aine résolument cupide et enthousiasmée par ce châtiment alors qu’il se sentait frémir, son regard ne quittant pas la chair de son ange. Un mouvement qui était prometteur d’autant plus de jouissance alors qu’il sentait la doux voix de son ami s’exalter de cette position, la rendant encore plus stable et profonde en venant enserrer ses reins de ses jambes, permettant une proximité extrême de leurs deux bassins. Des reins qui vinrent rapidement reprendre la cadence initiale, lui permettant d’avoir une vue imprenable en contreplongée sur la chair de son ami, son corps qui n’avait de cesse de venir à la rencontre du sien. Une vision enchanteresse qu’il lui coupait le souffle alors que ses mains cupides n’avaient de cesse de caresser ses fesses, incitant ces dernière à revenir sur son aine, qui ô avide ne semblait point se plaindre de ce mouvement. Des mouvements de va et vient qui se firent de plus en plus pénétrant alors qu’il sentait son membre vaciller face au plaisir, sa voix n’ayant de cesse de s’exprimer dans des râles profonds, se sentant proche de ce paradis terrestre qu’il vint rapidement atteindre. Juste quelques minutes après son ange, il ne pu résister plus encore, sentant ses mains maintenir les reins de son ange contre les siens alors qu’il se laissait allé en lui, le souffle plus difficile que jamais. Il avait connu bon nombre de moment d’extase avec cet homme mais jamais d’aussi envoutant pour son être. Il avait tant du mal à réguler sa respiration qu’il ne pouvait que prononcer le prénom de son amant, laissant une de ses mains remonter à son visage pour l’inciter à venir à ses lèvres. Des lèvres qu’il embrassa avec une irrésistible douceur dans un baiser qui emplissait son être de petits papillons alors qu’il lui murmurait.

« C’était parfait mon amour… Tu es merveilleux, tu sais ? Je suis complètement fou de toi… »

Sa voix se trouvait suave et résolument envoutante alors qu’il venait l’embrasser de nouveau tout en prenant appui sur son autre main pour relever son torse pour prendre une position à demi-assise. Des lèvres qu’il ne vint nullement quitter des siennes dans de douces étreintes comme s’il tentait de savourer jusqu’à la dernière seconde, ce sentiment d’effusion qui le possédait. Son cœur était fou dans sa poitrine, résolument enivré par ce bonheur qui l’étreignait alors qu’il murmurait tout contre ses prisonnières, le regard plus fébrile que jamais.

« Tu es l’homme de ma vie… je n’en douterai jamais un seul instant et cette source n’a pu que me renforcer dans cette idée… Même si je ne pourrai jamais devenir ton mari officiellement, tu l’es dans mon cœur et j’espère que tu voudras bien porter ce cadeau que j’ai fais fabriquer pour nous. »

A ses mots, il vint délicatement prendre entre ses doigts sa baguette utilisant un sort pour mener l’écrin à eux. Même si il n’avait pas totalement indiqué de quoi il s’agissait, Ki Suk ne pouvait nullement ignorer de quoi il s’agissait. Il ne pu d’ailleurs que venir l’embrasser en douceur face au regard fébrile et enchanté que lui tendit son amant. Il n’avait aucune crainte à avoir au sujet de la réaction de son ange à ce présent ô spécial pour eux deux alors qu’il ouvrait doucement l’écrin. Souriant doucement, il vint lui laisser découvrir les deux alliances qu’il avait fait réaliser pour eux, où se trouvait marquer leurs initiales en compagnie de leur date de mise en couple. Deux ans déjà qu’il vivait un bonheur perpétuel à ses côtés, vingt quatre mois qu’il connaissait la vraie signification du mot amour, sept cent vingt huit jours qu’il avait rêvé de cet instant où il pourrait réellement faire de lui sa propriété, tout comme il devenait désormais la sienne. Une idée qui vint le faire rire de nervosité alors que l’une de ses mains venait prendre la main gauche de son ange pour lui passer l’anneau à l’annulaire en douceur alors qu’il murmurait tout contre ces lèvres, dans une voix résolument amoureuse :

« Passes-moi là également… je veux t’appartenir plus que jamais. »

Il souriait avec fébrilité, venant baiser ses lèvres un instant alors qu’il semblait mourir d’un bonheur fulgurant. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, faisait légèrement trembler ses lèvres qui n’avaient qu’une hâte : entrevoir la réaction de son ami, son bonheur tout comme son émoi vis-à-vis de la signification que possédait son prénom. Il ne craignait rien d’un éventuel refus, il se trouvait improbable, il était fou de lui et cette folie était réciproque tout simplement.

ANNEAU : 01.

Réaliser l’un des fantasmes de son amant le jour de la Saint Valentin, ce jour où les deux jeunes gens il y avait exactement deux ans s’étaient déclaré ne pouvait qu’être  un merveilleux cadeau. Un cadeau qui lui avait offert de manière volontaire et le plaisir qu’il avait ressenti était si fort et si bénéfique pour lui que s’il le souhaitait, il réitérait son fantasme à son plus grand plaisir. Ki Suk ne s’était nullement senti si bien ou du moins il en avait eu l’impression alors que son corps avait atteint l’orgasme à ces côtés. Le jeune homme s’était retrouvé si éreinté qu’il n’avait pu que s’échouer dans les bras de son tendre amant, dans un dernier gémissement de bien-être, appréciant la rencontre de leur chair. Entendre son doux nom murmuré par son aimé se trouvait résolument enchanteur après avoir goûté au plaisir et avoir été l’homme qui lui avait permis de l’atteindre. Souriant contre lui, il n’avait pu qu’apprécier le doux baiser qu’il lui avait offert, faisant rencontrer leurs lèvres alors qu’il venait caresser les reins de son tendre amant. Celui-ci vint alors murmurer que le moment qu’ils avaient passé ensemble avait été merveilleux, lui demandant s’il savait qu’il était merveilleux. Lui avouant qu’il était tout simplement fou de lui, un fait réciproque tant Ki Suk était résolument fou de son tendre amant qu’il aimait du plus profond de son cœur, comme jamais il ne pourrait aimer un autre homme. Yano était bien l’unique homme sur cette terre à pouvoir le rendre si fou et si dépendant de ce désir qui tiraillait à chaque instant son être.

Yano continua ces mots alors qu’il lui avouait qu’il était l’homme de sa vie, qu’il n’en douterait jamais un seul instant et ces instants de plaisir ne faisait que renforcer son idée. Même s’il ne pouvait nullement devenir officiellement son mari, il l’était dans son cœur et espérait qu’il voudrait bien porter ce cadeau qu’il avait fabriqué pour eux. Des mots qui ne pouvaient que ravir le jeune homme qui sentait son cœur battre à un rythme effréné qui n’espérait qu’admirer ce beau bijou qu’il ait réalisé pour eux, pour leur amour, qui les unirait même si la loi n’autorisait nullement au fait que deux hommes s’unissent légalement. Peu importe, le jeune homme s’en fichait tant ce moment signifiait un nouveau pas dans leur relation. Le jeune bulsajo était si heureux à ces côtés, se sentant pleinement complet, prêt à s’unir à tout jamais avec son amant pour une vie remplie d’amour. Lui offrant un merveilleux sourire et ô comblé, il vint l’observer se saisir de sa baguette pour mener cet écrin à sa main. Se sentant ô combien fébrile il répondit avec tendresse et amour au baiser de son amant, sentant son cœur vibrer à chaque geste de son amant. Il ne put qu’ouvrir les yeux de façon émerveillé alors qu’il le voyait ouvrir l’écrin qui devait contenir ces merveilleuses alliances, que le cadeau qu’il avait prévu de lui offrir à son aimé lui paraissait fade à côté, même s’il se trouvait tout autant significatif. Le jeune homme n’avait pu que sourire alors qu’il avait pris dans sa propre main l’une des alliances pour l’admirer, la trouvant absolument magnifique, la retournant et observant chacune des initiales, comme s’il s’agissait de la neuvième merveille du monde. Heureux, il lui semblait n’avoir jamais été aussi heureux alors qu’il voyait Yano se saisir de l’un des anneaux à son annulaire en douceur, souriant comme un bienheureux à ces côtés. La sensation de cette alliance autour de son annulaire lui paraissait si agréable alors qu’il souriait aux lèvres de son aimé qui lui disait de lui passer également à son tour l’autre alliance, souhaitant lui appartenir plus que jamais. Des mots qui venaient lui plaire, le faisant presque rougir à cette image.

Dans un geste alors presque timide, les mains quelque peu tremblantes il vint alors se saisir de l’alliance. Le regard empli d’émotion, sentant une larme de bonheur s’écouler sur sa joue sans qu’il ne s’en rende compte, il vint déposer la fameuse alliance autour de l’annuaire de son amant.  Observant son amant ô merveilleux, il vint alors l’embrasser dans un tendre baiser, joignant leurs mains avec tendresse et murmurant ô creux de ces lèvres : « Mon Yano…  Je… c’est si merveilleux… nous sommes unis, nous sommes unis à tout jamais. Je me sens si heureux… tellement…» Ces yeux à cet instants brillaient tant ils se savaient heureux, tant il avait l’impression de mourir de bonheur. Ces lèvres étaient venues cueillir les lèvres de Yano dans un baiser rempli de tendresse et d’amour, souriant comme un bienheureux, caressant les traits de son visage si parfait. Il prononça alors : « C’est bien le plus beau des cadeaux que l’on peut offrir en ce jour de la Saint Valentin… tu es l’homme le plus romantique, le plus merveilleux… mon homme à moi et qui m’appartient définitivement en ce jour. Je t’appartiens officiellement mon aimé et je ne le regretterai nullement tant tu me parais absolument parfait… Il ne manque qu’à présent notre nuit de noce pour fêter notre mariage intime… même si nous avons eu un très bon avant-goût il y a quelques minutes.» Termina-t-il dans un doux sourire, tirant la langue alors qu’il embrassait ces lèvres un instant, s’éloignant un instant de lui pour se saisir de son pantalon, attrapant dans sa poche arrière un petit tissu dans lequel Yano pouvait y trouver son cadeau, un bracelet en argent dans lequel était inscrit leur date de mise en couple et leurs initiales entremêlées. Souriant comme un bienheureux, il était venu se saisir lui-même du bijou, venant embrasser les lèvres de Yano dans un baiser tendre venant lui attacher lui-même le bijou autour de son poignet. Une fois attachée, il vint relever la main de Yano, venant l’embrasser simplement de ces lèvres dans de multiples baisers avant de murmurer d’une voix ô amoureuse : « Mon doux amant… j’espère que ce cadeau te plaira. Tout comme pour ton cadeau, tu peux lire nos initiales entremêlées… je crois qu’à présent tout le monde peut voir que tu m’appartiens, même si la plupart des personnes le savent déjà.  Tu m’appartiens… Wada Yano… enfin préfères-tu t’appeler Yoon Yano ou que je m’appelle Wada Ki Suk ? » Il termina ces mots dans un doux rire, résolument amoureux de l’homme qui se trouvait à ces côtés.

Leurs mains entrelacées, il vint poser son visage contre la nuque de Yano, se sentant toujours et encore dans un petit nuage d’amour en ce jour de la Saint Valentin. Rester toute sa vie au creux de ces bras lui semblaient être la plus douces des pénitences, et même le jour où il disparaitrait de ce monde il n’espérait qu’une chose celle d’être pour toujours dans un cadre magique avec son amour, l’aimant même au travers de la magie, même si leurs esprits ne seraient plus vraiment là. Le sourire aux lèvres il continua de prononcer : « Je suis définitivement l’homme le plus heureux… oh oui…  mon doux et tendre Yano. Je porterai pour toujours cette alliance, comme mon cœur t’appartient pour toujours. Tu es si sublime, si parfait… en ces deux années de relations tu m’as déjà tant comblé. Je n’imagine même pas tout ce que j’aurais la chance de vivre à tes côtés jusqu’à la fin de ma vie... il ne me tarde que de découvrir tout cela. Tout comme je souhaite te combler de bonheur jusqu’à nos derniers jours…  j’aime tant te voir si heureux, si beau et merveilleux. Pour rien au monde je ne te rendrai triste, je serai un parfait mari ! » Il se savait bête en cet instant mais que pouvait-il faire d’autres que de devenir fou de cet homme ? Rien, Yano se trouvait si merveilleux et parfait qu’il ne pouvait nullement que le rendre ainsi, tout particulièrement en ce jour où ils s’étaient échangé en secret ces alliances qui les avait fait devenir de vrais mariés, même si cela ne pouvait être considéré comme cela légalement. Son cœur et son esprit savait qu’à présent qu’ils étaient mariés et sans doute que cela était l’une des plus belles choses de sa courte vie. Même s’il n’avait que vingt ans, même s’ils étaient encore jeune, se marier à son âme sœur était sans aucun doute l’un des plus beaux moments qu’il aurait de sa vie.

L’amour était résolument un sentiment ô complexe et puissant qui dépassait la raison elle-même lorsqu’il s’immisçait dans l’être d’une personne. Ainsi, une personne résolument raisonnée pouvait à tout instant devenir fou, perdre cette faculté d’être cohérent tant la fougue que cette émotion provoquée balayait tout sur son passage. Yano avait cru l’avoir pleinement exploré au sein de sa relation avec Mee Na, sa précédente petite amie, mais cette affection telle qu’elle avait pu l’être n’avait rien de comparable à cette folie qu’il vivait aux côtés de cet homme depuis près de deux ans. Deux merveilleuses années où il s’était découvert à ses côtés comme il avait pu permettre à son amant de le faire également. Leur relation se trouvait si enchanteresse qu’il ne pouvait que désirer être à ses côtés, jour après jour, venant même à se demander s’il serait capable de l’abandonner durant des semaines, des mois, plus tard pour vivre son rêve d’enfant. Ki Suk se trouvait si cruellement ancré dans sa chair, qu’il ne pouvait que souhaiter le voir nuit et jour, l’enlacer, l’embrasser de tout son soul tant son cœur ne se trouvait complet à ses côtés. Cette dépendance à l’être de son amant était totale et d’autant plus réciproque tant leur inclination se trouvait mutuelle.

Il est donc évident que l’anneau s’était trouvé être une évidence pour le jeune homme qu’il était lorsqu’un mois auparavant, il était entré dans cette bijouterie magique. Il avait tout quitté pour son ange, avait accepté d’être renié par une partie de sa famille, d’aller à l’encontre de leurs désirs. Pour Ki Suk, il avait manqué de tuer quelqu’un qui lui avait voulu du mal au point d’avoir failli lui voler cet être sans qui son cœur ne pouvait vivre. Il ne voyait plus que lui, ne désirait plus que lui dans sa vie, il était son essentiel, l’air dont il avait besoin pour vivre pleinement sa vie d’homme libre. Il n’avait que faire des avis des autres, de leurs remarques et regards désapprobateurs, son cœur y étant parfaitement aveugle tandis que son adoration pour cet homme ne devenait que plus puissante. Il lui avait déjà fait part de ses intentions à son sujet, de son désir de l’avoir à jamais à ses côtés tant il se trouvait fou de lui. Chaque jour n’avait de cesse de le confirmer dans ce désir cupide d’en faire son homme, son amant. Nul être au monde ne pouvait le chérir et le désirer autant qu’il ne le faisait, nul ne le connaissait assez pour le rendre aussi fou qu’il était en mesure de le faire. Ki Suk lui appartenait, tout comme lui ne pouvait en être autrement. Deux âmes sœurs qui s’étaient rencontrées, unies pour former à jamais une unité, un monde, rien qu’à eux. Une bulle infranchissable pour quiconque souhaiterait les faire douter de ces sentiments, de leur puissance et surtout de leur profondeur sans n’être sauvagement expulser de cette dernière à jamais.

Un anneau qui avait la merveilleuse forme d’une alliance, de celle qu’il désirait le voir porter à jamais. Cette bague n’était pas qu’une alliance moldue, elle était doutée d’une magie qui la rendait impossible à enlever, s’incrustant parfaitement à la forme de la phalange de son porteur. Le seul moyen de la retirer était à la fois simple et compliqué. Cette bague puissant son énergie magique dans l’amour que portait l’amant pour son amoureux, cette dernière s’éteignait au moment où cet amour disparaissait, la rendant purement futile. Dès cet instant, si possible puisse-t-il être, cette dernière se briserait, n’existant plus comme l’amour qu’elle était supposée représenter. Il ne pouvait alors qu’être ravi de la lui offrir, d’être en mesure de la poser à son doigt, voyant cet anneau prendre place sur cette phalange qui prouverait aux yeux de tout son engagement à ses côtés et la force de leur amour. Un anneau qu’il désirait tout autant porter que son ange, lui formulant ainsi son désir dans un léger baiser, ne pouvant inexorablement pas s’empêcher de l’observer avec amour. Le bonheur qu’il éprouvait à cet instant se trouvait si profond, si intense qu’il n’avait jamais eu l’impression de l’avoir plus été qu’à ce doux instant. C’est donc dans un regard ô brillant d’émotion qui le vit se saisir de l’alliance dans un geste troublé par l’émotion, lui passant délicatement la bague autour de son doigt. Un geste qui lui apporta un enchantement profond, sentant le métal de cet anneau s’incruster dans sa peau, appréciant ce délicat contact qui lui prouvait désormais qu’ils s’appartenaient. Leur engagement n’était plus verbal, il était tacitement exprimé au travers de ces deux anneaux. Cette simple pensée le fit délicatement frissonner d’effusion alors qu’il se laissait délicatement embrasser par son ange, sentant ses mains prendre les siennes pour les caresser avec douceurs. Les paroles de son amant ne purent que le faire délicatement sourire de bonheur, ne pouvant que le trouver merveilleux, comblé de le voir si heureux. Son regard ne lui avait jamais semblé si brillants, si envoutants qu’à cet instant alors que l’émotion commençait doucement à le submergeait. Son cœur se trouvait si complet à cet instant, si gorgé par cette folie qui l’habitait, qu’il ne pu que verser une larme à son tour alors qu’ils s’embrassaient de nouveaux, sentant les phalanges caresser sa joue, faisant de même. La suite des paroles de son amant n’avaient rien à envier aux précédentes. Il considérait ce cadeau comme le plus beau cadeau qu’on pouvait offrir en une telle occasion alors qu’ils s’appartenaient officiellement désormais, ne pouvant ô grand jamais le regretter tant il le trouvait parfait. Il leur manquait plus désormais qu’à fêter leur nuit de noce même si ils avaient eu un très bon avant goût, il y a quelques minutes. Des mots qui le firent délicatement rire en douceur alors qu’il murmurait tendrement.

« Et encore le meilleur est à venir, soi en sure. »

Des paroles qui se trouvaient résolument taquines alors qu’il se laissait embrasser de nouveau avant de le laisser s’éloigner un instant de sa personne, ne pouvant empêcher son corps d’éprouver un léger manque à cette séparation intempestive. Seulement, ce dernier vint rapidement le retrouver, lui montrant son présent, une gourmette en argent où se trouvait les mêmes initiales et dates, ce qui le fit doucement sourire, remarquant aisément ô combien leurs pensées se trouvaient identiques. Un présent qui le toucha profondément alors qu’il le laissait l’attacher autour de son poignet, le regard doux et amoureux, ne pouvant que sourire d’autant plus de le voir embrasser le bijou avec tendresse. Nul mot n’avait besoin d’être prononcé pour exprimer à sa juste valeur la profondeur mais il ne pu qu’être satisfait de la suite des paroles de son amant qui lui murmurait qu’à présent nul ne pourrait ignorer qu’ils s’appartenaient même si une grande majorité devait le savoir désormais. Oui, il lui appartenait à moins qu’il ne préfère qu’il l’appelle Yoon Yano, à moins qu’il ne préférait que ce soit lui qui prenne son nom, riant faiblement de sa remarque alors qu’il venait faire de même, c’est dans un doux murmure qu’il répondit simplement.

« Qu’importe mon amour. Je serai comblé de porter le tien, tout comme de te voir porter le mien, tant que tu m’appartiens et que je t’appartiens, tout me convient. Merci également pour cette gourmette que je ne quitterai plus jamais, nul ne pourra la déroger de ce poignet, sois en sur, mon Ki Suk. »

C’est ainsi qu’il le sentit venir poser son visage contre sa nuque, venant renouer le contact entre leurs deux êtres nus, enflammés et brulant de cet amour qui coulait dans leurs veines sans être en mesure d’éteindre cette flamme qui se consumait sans fin. Il ne pu alors que se sentir d’autant plus amoureux de cet être tandis que ce dernier lui murmurait que son cœur lui appartenait pour toujours tant il l’avait comblé durant ces deux dernières années. Il n’osait pas imaginer tout ce qu’il aurait la chance de vivre à ses côtés jusqu’à la fin de sa vie, ne pouvant que se tarder de découvrir tout cela, tout comme il souhaitait le rendre heureux jusqu’à la fin de leur jours. Des mots qui ébranlèrent son cœur alors qu’il lui murmurait que pour rien au monde il ne le rendrait triste en devenant un mari exemplaire. Un compagnon dont il ne doutait nullement, étant bien incapable de mettre en doute sa paroles alors qu’il venait glisser une ses mains autour des reins de son amant, l’intimant à rejoindre sa peau, murmurant tout fébrilement au creux de son oreille.

« Il en sera toujours de même pour moi, mon amour… mais si jamais tu en doutes un jour, il ne te suffira plus qu’à user de tes charmes pour me reconquérir, après tout mon corps ne t’appartient-il pas mon Ki Suk. »

Des paroles qui avaient prises une teinte un peu taquine, voyant le regard boudeur de son ange se relever sur le sien, le réprimant de venir ternir cette ambiance romantique qu’il avait lui-même initié. Il se déclarait lui-même coupable mais que pouvait-il rajouter à ces paroles que Ki Suk n’eut connaissance ? Ses yeux brillants d’amour et de passion, son cœur qui tambourinaient farouchement dans sa poitrine ne suffisaient-ils nullement pour exprimer cet déraison dont il était l’investigateur ? Si et il ne fallut que quelques secondes de plus pour qu’il vienne de nouveau l’embrasser avec fougue et passion pour lui faire comprendre qu’au grand jamais il ne pourrait quitter sa chair, tant cette dernière se trouvait désormais l’unique à le faire vibrer de la sorte et surtout pour toujours.