-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Sinseonghan Jolyu's Area
 

 Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Yano Yoon-Wada
Yano Yoon-Wada
Wizard
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:30

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
13 septembre 2012

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter

Mon tendre amour,

Je me rends compte que cela fait résolument des siècles que je ne t’ai pas écris quelques lignes. Disons que les occasions se font rares depuis des années. Auparavant je ne me lassais nullement de t’écrire quelques mots le soir, lorsque nous étions dans l’obligation de se séparer et de retrouver nos dortoirs personnels, ce la me donnait alors l’impression que dans une certaine mesure nous nous quittions jamais. Peut être était-ce idiot de ma part de songer ainsi mais c’était cette curieuse sensation qui faisait que j’aimais tant t’écrire des lettres.

Seulement le destin m’a permit de vivre des sensations bien plus profonde que le bonheur quelque peu futile que je ressentais à travers nos échanges de lettres. Être en mesure de te parler jour et nuit sans la moindre gêne, pouvoir te voir jour et nuit au sein d’un lieu qui se trouvait être notre chez nous, a fait que les lettres n’avaient plus de raisons d’être. Je pouvais profiter pleinement de tes sourires, de ta présence et mon cœur ne pouvait qu’en être que combler. Quand bien même te l’ai-je déjà assez dis, je suis résolument l’homme le plus heureux du monde à tes côtés. Seule ta personne peut provoquer une telle euphorie et mon être et ce depuis le commencement.

Alors, je ne sais pas réellement pourquoi je t’écris cette lettre ou du moins cette dernière me permet de garder ce contact avec toi. Pourtant, il suffirait simplement que je me transplane à la maison, que j’ouvre cette porte pour être en mesure de te prendre dans mes bras et profiter de cette douce chaleur qui m’envahit à chaque fois que c’est le cas. Peut être suis-je cruellement en manque de toi, après seulement une journée passé loin de ta personne ? Je pense que c’est bel et bien le cas, puisque je suis cruellement tiraillé par ce désir incommensurable de fuir ce lieu austère pour venir à la rencontre de ton aura si reposante. J’ai tellement envie d’effleurer tes lèvres des miennes, de me perdre dans l’un de ses baisers que tu sais résolument me tendre à chaque fois. Mes mains désirent tant être en mesure de se mouvoir sur ta chair comme il m’a tant été donné de le faire.

Ce camp d’une semaine, me fait amplement comprendre ô combien je ne puis être en mesure de te passer de ta présence. Je ne cesse de passer mes journées à penser à toi, à ce que tu fais, à la peine que tu dois ressentir de te savoir loin de moins, dans un lieu dont tu n’as point connaissance. J’espère que Shii est en mesure d’amoindrir ton inquiétude, que ses câlins parviennent à te rendre quelque peu le sourire. Encore quelques terribles journées et je pourrais de nouveau n’être qu’à toi au sein de notre appartement…comme j’ai hâte que ce camp se termine, que je puisse être de nouveau rien qu’à toi tout comme je le désire le plus au monde.

J’ai tellement envie de venir à toi pour t’annoncer une nouvelle qui devrait normalement t’enthousiasmer, venir panser toutes ses blessures que je t’ai infligées sans le vouloir. Seulement je ne puis le faire actuellement, tout comme je me retiens de l’écrire à travers ses lignes. Cette nouvelle, je me dois de te l’annoncer de vive voix à mon retour car je veux assister pleinement à ta réaction, entrevoir tes yeux briller d’émerveillement. Cependant, il nous faut être patient mon amour.

Je te laisse sur ces quelques lignes, avec difficulté, mais il le faut, c’est mon tour de garde et je ne puis désormais reporter l’échéance de ce dernier. Je t’aime du plus profond de mon cœur, mon amour, ne l’oublie ô grand jamais.

W.Y.

PS : Tu me manques cruellement.
Sur ces mots, il déposa sa plume dans son encrier alors qu’il pliait soigneusement son parchemin pour le glisser dans une lettre suivit de la lettre initiale. Une lettre sur laquelle il prit soin de marquer de sa fine écriture le nom du jeune homme avant de le remettre à son hibou. Lui donnant une petite confiserie, il entrouvrit alors la fenêtre de sa chambre pour le laisser sortir, alors qu'il se dirigeait vers son tour de garde.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t25-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love https://thephoenixsong.forumactif.org/t158-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love

Kisuk Yoon-Wada
Kisuk Yoon-Wada
Teacher
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:31

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
13 septembre 2012

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter

Mon tendre aimé,

J’espère que cette petite lettre que je suis en train de t’écrire te réchauffera le cœur, comme lire ta lettre a pu me refaire ressenti des sensations presque oubliées. Pendant ses longues nuits où n’avions pas pu nous retrouver ensemble comme nous avions eu la chance de le faire une fois l’accident passé… Pouvoir lire tes doux mots adressés pour ma personne me ravit au plus profond de mon cœur, ce cœur qui ne bat que pour toi depuis de nombreux mois et qui ne peut nullement ne pas le faire, mon cœur t’appartient à tout jamais mon tendre aimé. Ses mots m’ont manqués, ses douces lettres m’ont manquées, ses douces sensations qui me rendaient ô combien heureux à cette époque et qui continuent à me rendre incroyablement heureux en cet instant.

Malgré l’absence de ces lettres nous ne pouvons nullement nier que nous sommes heureux comme jamais à présent, nous pouvons nous côtoyer chaque jour, nous avouer notre amour, nous embrasser, nous aimer dans cette appartement qui est le lieu de tous nos secrets, de tout notre amour, à l’abri des regards indiscrets. Me réveiller au creux de tes bras grâce à tes baisers, grâce à tes caresses, t’admirer à chaque instant et pouvoir caresser chacun de tes traits me parait être les plus belles choses que l’on aurait pu m’offrir dans ma vie. L’amour véritable tout simplement… à tes côtés. Et cet amour ne peut que me faire souffrir en cet instant, tout particulièrement alors que je sais que tu trouves dans un endroit qui m’est inconnu à t’entrainer dans ce camps pour être auror, un métier passionnant mais qui se trouve bien dangereux et qui ne peut faire que naitre en moi des craintes et des peurs. Je suis une personne inquiète, tu le sais ô combien et à chaque instant, je ne peux jamais ô grand jamais cesser de penser à toi, qui se trouve peut-être en danger à l’heure actuelle…

J’ai tant envie de venir t’embrasser, d’offrir un merveilleux sourire, t’accueillir dans mes bras en cet instant que cela en devient difficile, même si cela ne fait qu’un jour que tu es parti… Un jour, je n’imagine point dans quel état je serais les dernières avant ton retour. J’ai tant besoin de te voir pour me sentir pleinement heureux mon tendre amour. Je veux venir me perdre dans tes bras, venir te réchauffer, entendre ta douce voix auprès de moi et ne plus jamais te quitter… Ses longues heures loin de toi me paraissent bien interminables, tout particulièrement cette nuit dans notre lit où il manquait ta présence. Dormir m’a paru bien difficile sans toi et mon manque de sommeil doit s’en faire ressentir, il manque une personne ô importante dans ma vie depuis hier et c’est bien toi, reviens-moi vite mon tendre amour… J’ai besoin de ta douce chaleur au creux de mes bras pour me sentir vivant. Shii et Oreka sont là pour me soutenir pendant cette douce épreuve, Shii se trouve plus affectueux que d’habitude, comme s’il pouvait ressentir mes plus grands tourments. Tu leur manque aussi mon Yano et ils leur tardent que tu reviennes. Shii a moins mangé aujourd’hui que d’habitude, tu lui manques à lui aussi et il lui tarde que tu reviennes… tout le monde t’attend mon amour, reviens-vite…

J’ai l’impression de devenir l’une de ces nombreuses femmes qui attendent leur mari pendant les terribles guerres qu’ont put affronter nos ancêtres. Te savoir là-bas me terrifie chaque heure un peu plus… reviens-moi, je veux être avec toi mon tendre aimé, comme tu le désires toi aussi. Il me tarde de te voir.

Je ne sais nullement quelle est la nature de la nouvelle que tu veux m’annoncer qui aurait pour raison de m’enthousiasmer pour venir panser toutes mes blessures, je sais seulement que tu as su faire naitre de la curiosité et que je ne souhaite qu’une chose, t’entendre dire cette nouvelle qui m’émerveillera. Des tas d’idées me viennent à la tête aussi burlesques les unes que les autres mais je préfère les faire disparaitre, je veux seulement t’entendre dire cette nouvelle avec empressement. Chaque jour qui passe nous rapproche de ton retour et je ne peux que m’en retrouver enjoué, même si cela me peine aussi… j’aurais tant aimé passer ses jours avec toi. Seulement le destin en a décidé autrement et il me tarde que ses jours passent pour te retrouver… Je veux seulement t’embrasser et ne plus jamais te quitter, finir mes jours à tes côtés. Cela est mon seul souhait !

Je ne sais nullement à quelle heure tu liras ces mots, peut-être aurais-je réussi à m’endormir à ce moment-là, je n’ai pas encore réussi à trouver le sommeil et ta lettre fut sans doute le plus doux des cadeaux alors que je me retrouvais dans notre lit. Je ne pouvais que te répondre aussi rapidement… mon tendre amour. Je t’aime à la folie et pour toujours … je t’aime tant mon tendre amour. Prends bien soin de toi là-bas, qu’il ne t’arrive rien et que tu sois en parfaite santé. Je t’aime et je m’inquiète pour toi qui se trouve dans ce camp, dans un camp peut-être très dangereux.

Je t’aime encore et toujours mon amour (L)

Ton tendre amant, KS (L)

Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t27-yoon-ki-suk-my-heart-beats-for-you https://thephoenixsong.forumactif.org/t561-kisuk-yoon-mi-vida-es-perfecta-contigo

Yano Yoon-Wada
Yano Yoon-Wada
Wizard
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:32

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
16 septembre 2012

De constitution très fragile lors de sa tendre enfance, Yano ne faisait résolument point parti de ses garçons qui avaient pour principe de se plaindre de la moindre douleur. Ayant été accoutumé à la douleur physique à cette époque, du à ses poumons qui se trouvait fragilisés, il avait connu les pires douleurs respiratoires sans pour autant s’être plaint une seule fois. Il savait que cela ne faisait nullement avancer les choses et puis cela ne faisait nullement parti de sa nature. Il se devait d’être fort dans la pire des situations et l’ayant assimilé très tôt, il n’avait jamais eu un comportement autre que celui qu’il se devait d’adopter. Seulement, il devait ô reconnaitre que la situation qu’il vivait depuis presque deux jours était résolument d’une nature différente. Jamais jusqu’à ce jour, il n’avait connu une douleur si profonde, si cruelle pour lui, quand bien même les accidents de ses essais ratés lors de son apprentissage d’animagus avaient pus être pénibles. Longé sur le ventre, torse nu, il avait du supporter la douleur qu’était celle de sentir des phalanges étrangères à lui se mouvoir sur sa peau pour y appliquer une lotion censée mettre un terme à sa cruelle douleur. Une blessure ouverte, béante, qui ne semblait nullement être déterminée à disparaitre à son plus grand dan.

Et dire qu’il avait seulement fallut un moment d’inattention de sa part pour qu’une telle chose se produise. Son esprit alors bien trop préoccupé par la précédente lettre de son ange, à laquelle il n’avait point encore eu le temps de répondre, était la raison principale de son inattention, qui se trouvait être la cause de son mal être. Le manque de sa personne y avait également participé alors qu’il n’avait eu de cesse de vouloir se retrouver à ses côtés. Les deux longues journées qui avaient suivis cet accident, n’avait fait qu’accroitre sa frustration et sa peine tandis qu’il imaginait sans trop de mal l’angoisse que devait vivre son ange. Cela faisait désormais deux longues journées qu’il n’avait point eu la force, ni la possibilité de quitter son lit pour aller lui écrire le moindre mot et il savait qu’il allait résolument avoir du mal à en écrire une dans l’état dans lequel il se trouvait et pourtant, il ne pouvait supporter l’idée d’attendre une journée de plus.

C’est ainsi, qu’il avait patiemment attendu que l’infirmière ne quitte sa tente dans laquelle on l’avait placé le temps de suivre son traitement. Une cicatrice ouverte recouvrait une grande partie de son dos, comme s’il avait reçu un coup d’épée mais qui se trouvait être d’origine magique, un sort quelque peu dangereux qui l’avait effleuré que de justesse mais qui avait de grave conséquence. Se retrouvant enfin seul, il du prendre son courage à deux mains pour trouver la force de se relever, la douleur se trouvant presque cruelle. C’est donc avec difficulté qu’il prit place à son bureau, sortant un parchemin et sa plume alors qu’il s’intimait à rester assit difficilement. Il se devait avant tout de penser à Ki Suk et à son inquiétude, qui ne pouvait qu’être cruellement profonde, d’autant plus après deux jours de silence.

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter

Mon tendre amour,

Je suis profondément désolé de n’avoir point trouvé le temps jusqu’à aujourd’hui pour t’écrire ses quelques mots. Les journées se sont trouvées être particulièrement pénible lors de ce camp et je n’ai pu disposer de mon temps libre comme je l’aurai souhaité et je ne puis que m’en désolé.

Je n’ai pas pu passer une seule seconde sans penser à toi, tu occupais la moindre de mes pensées tandis que je ne souhaitais qu’une chose : te répondre. Répondre à cette délicieuse lettre que tu m’as tendue et qui m’a donné plus de courage que toute chose au monde. Dieu que mon cœur saigne de ne point pouvoir être à ta hauteur, près de toi, à profiter de la chaleur de ton être. Un être qui empli ma personne d’un bonheur sans fond et qui me manque cruellement.

Il est résolument ô complexe pour moi de supporter ses journées passées loin de toi tant tu es cet oxygène primordial dans mon existence. J’ai tant le souhait à l’heure actuelle de pouvoir glisser mes phalanges sur la chair si parfaite de ton visage, de venir voler tes lèvres des miennes pour ne plus m’en séparer. J’ai tant envie de pouvoir profiter de ta présence à l’heure actuelle, ce manque est tellement cuisant pour ma personne que j’ai l’impression de devenir fou, orphelin.

Mon corps ne cesse de te réclamer à chaque instant et je dois reconnaitre que n’avoir pu t’écrire ses lignes plus tôt fut une pure torture pour moi. Je n’ai point eu de cesse de ressasser ces dernières depuis que j’ai fini de lire tes doux mots. J’ai besoin de toi, tout autant que tu as besoin de moi. Je suis intimement persuadé que nos âmes ne sont faites que pour vivre l’une pour l’autre, sans l’autre moitié, elle perd sa raison d’être et j’ai l’impression de dépérir à chaque seconde passée loin de toi.

Si ma situation me le permettrait, je quitterai immédiatement ce camp perfide qui m’éloigne tant de ta personne. En une seconde, je serai de nouveau dans ce cocoon, ce monde que nous seuls sommes en mesure de construire autour de nos personnes pour profiter de cette félicité que tu m’offres à chaque instant passé à tes côtés.

Si tu savais ô combien tu me manques mon amour, j’ai tant besoin de te sentir contre moi à l’heure actuelle, me perdre dans la senteur si exquise de ton parfum et de ton corps. J’ai tant envie de sentir mon cœur battre si profondément en cadence au fond de ma poitrine, tant besoin de savourer cet instant de bonheur que je ne puis que ressentir à tes côtés.

Seulement, je sais que cela m’est impossible pour encore quelques jours, quatre pour être plus exact et cela ne cesse d’approfondir mon manque et mon mal être car je sais ô combien tu t’inquiètes... ce que je ne désire pour rien au monde. Je te prie mon amour de ne point te tourmenter à ce sujet car cela ne peut que t’apporter qu’angoisse et tourment. Tu n’as aucune raison de t’inquiéter, quoiqu’il arrive je te reviendrai… tu es l’homme de ma vie et rien au monde ne pourra m’empêcher de revenir à toi… oui pas même la mort.

Je t’aime mon amour et je te prie donc de ne pas te laisser dévorer par ta peur, cette angoisse terrible de songer au pire. Je ne le désire pour rien au monde car te savoir ainsi, ne cesse qu’approfondir ma propre peur. La peur de te savoir triste, perdu, angoissé sans pouvoir être en mesure d’atténuer cette crainte par mes mots et mes gestes alors que j’en meurs d’envie. Chose que j’ai toujours fais jusqu’à ce jour et qu’on me prive d’avoir à ton attention à l’heure actuelle.

Je t’aime tellement mon amour et je ne souhaite qu’une chose en ce moment : te rejoindre, savourer ce bonheur que toi seul peut m’offrir et t’embrasser encore et encore jusqu’à ne plus ressentir ce manque qui est présent au sein de mon être.

Je t’aime de tout mon cœur.

Ton Yano qui ne cesse de penser à toi...

Reposant sa plume sur le bureau, il ne pu que grimacer de douleur alors qu’il pouvait voir que son écriture était moins constante, parfaite qu’en accoutumé. Seulement, il n’était pas en mesure de la réécrire, il ne s’en sentait tout simplement pas capable alors que le fait de l’avoir écrit lui avait déjà demandé tant d’effort. Soupirant profondément pour garder ses esprits, il s’était levé avec difficulté pour se diriger vers son hibou, le libérant de sa cage pour lui remettre la lettre. Pour une fois, il n’eut nullement la force de lui donner la moindre gourmandise, tant ces dernières semblaient se trouver loin de sa personne. Obnubilé par son désir cuisant de transmettre quelques mots à son ange, il avait puisé dans ses dernières ressources et la seule chose dont il était résolument capable désormais, c’était de s’allonger et de laisser Morphée l’emprisonner de ses bras. Chose qu’il fit immédiatement lorsqu’il laissa son hibou s’envoler loin de sa tente sans un regard. La douleur reprenant de plus belle, il grimaça de nouveau avant de se diriger vers sa couche. Prenant place dans cette dernière sur le ventre, les seules pensées qui envahissaient son être étaient principalement composées que d’un seul être : Ki Suk.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t25-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love https://thephoenixsong.forumactif.org/t158-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love

Kisuk Yoon-Wada
Kisuk Yoon-Wada
Teacher
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:33

Ki Suk en digne ainé de la famille Yoon avait toujours eu un comportement protecteur envers les membres de sa famille et les personnes qu’il aimait tout particulièrement, ainsi lorsqu’il s’agissait de l’être qui faisait battre son cœur, son côté protecteur ne pouvait qu’être de plus en plus fort et peut-être exagéré. Il lui suffisait de savoir que Yano est seulement 10 minutes de retard pour qu’il s’inquiète légèrement… alors ne pas recevoir pendant plusieurs jours des nouvelles de Yano l’inquiétait au plus haut point. Ki Suk avait passé la première nuit sans nouvelles à s’inquiéter tout particulièrement et son sommeil s’était retrouvé alors bien difficile, son esprit divaguant, tentant de se convaincre que Yano n’avait eu tout simplement pas le temps de lui écrire, fatigué par ses épreuves et ses journées consacrées à son entrainement dans ce camp. Le métier d’auror se trouvant bien difficile et dangereux, il n’y avait rien d’étrange alors au fait que son aimé ne puisse pas lui répondre suivre une correspondance quotidienne. Ainsi, il avait été inquiet du non-envoi de la lettre mais attendait seulement sagement sa prochaine lettre, ne pouvant s’empêcher de lire avant de s’endormir leur dernière correspondance avec un léger sourire, comme si Yano pouvait se retrouver à ses côtés en cet instant, sentant encore l’odeur du corps de Yano dans leurs draps.

Les heures qui suivirent ce jour lui parurent bien difficile à surmonter, restant sagement dans leur maison à attendre impatiemment cette lettre qui pouvait arriver à tout moment. Ainsi, il avait passé la grande partie de sa journée à rester dans leur lit, bien installé avec Shii contre lui et Oreka, à somnoler, s’empêchant de s’endormir pour ne pas rater cette lettre qu’il attendait tant. Il regardait toujours le réveil à côté de lui, s’emmitouflant dans les couvertures, patientant et tentant de se changer les idées en lisant un livre de la bibliothèque de leur chambre. Il n’avait pas eu le courage de se faire à manger le midi, préférant attendre cette lettre qui risquait d’arriver à tout moment. Le soir il avait réussi à se faire un peu à manger avant de repartir s’allonger patiemment, attendant la lettre, cette lettre qui n’arriva pas… à sa plus grande inquiétude faisant naitre en lui de multiples craintes vis-à-vis de Yano. Il réussit à s’endormir que tard dans la nuit, bien tourmenté par le non envoi de la lettre.

Ce ne fut que le lendemain qu’il reçut enfin cette lettre, cette lettre qui lui permit de soulager sa conscience, enfin heureux de savoir que son Yano se trouvait bien, il n’avait eu tout simplement eu le temps de lui répondre d’une quelconque manière, se retrouvant bien trop fatigué le soir pour lui écrire une longue lettre. Un fait qui ne pouvait nullement s’avérer faux lorsqu’on observait l’écriture changée de Yano, comme si Yano avait eu du mal à lui écrire, terrassé par la fatigue qui le possédait par ses activités dans ce camp. Il ne put alors que se précipiter vers le bureau de leur chambre pour sortir un parchemin et écrire à son tendre aimé, même s’il risquait de la lire uniquement le lendemain.

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
16 septembre 2012

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter


Mon tendre amour…

Je me suis tant inquiétée de ne pas recevoir la moindre lettre de ta part pendant ses derniers jours, même si je supposais bien évidement que tu te retrouvais dans l’indisponibilité de me répondre du à ton entrainement intensif dans ce camp. Tu n’as pas à t’excuser mon tendre amour de quoique ce soit… si tu n’as pas pu écrire tu n’y étais pour rien même si je ne pouvais pas m’empêcher de m’inquiéter.

Toi non plus, je n’ai jamais cessé de penser à toi ces derniers jours, attendant avec angoisse ta lettre remplie d’amour pour ma personne. Attendre la réponse d’une lettre de l’être aimée se trouve tout particulièrement difficile, tu le sais ? Je plains ces pauvres femmes pendant la guerre… ! J’aimerai tant me retrouver auprès de toi, dans tes bras, venant t’apporter la chaleur dont tu as besoin chaque jour dans ce camp qui j’imagine doit être si difficile à faire chaque jour. Si je te savais définitivement auror je risquerais de mourir de frayeur à chaque seconde mon tendre amour… de peur qu’il t’arrive quelque chose à chaque intervention.

Il m’est aussi bien complexe de supporter ses journées loin de toi, dans notre appartement qui me semble si vide sans toi, sans ta douce présence à mes côtés. J’aimerais pouvoir répondre à tes demandes, venir contre toi, sentir tes phalanges sur ma chair, ressentir tes baisers et ne plus jamais nous séparer me semble être une parfaite demande à laquelle je pourrais répondre sans aucune hésitation tant je me retrouve dépendant de toi mon cher et tendre amant. Il me tarde que tu rentres pour me retrouver dans tes bras ô agréables et empli de chaleur et tendresse.

Je suis persuadé aussi de ce fait mon tendre amour, nous sommes faits l’un pour l’autre… il suffit de se rendre compte à quel point nous sommes déjà en état de manque en cet instant, nous souffrons de la distance qui nous sépare alors que cela fait uniquement quatre jours que nous sommes éloignés loin de l’autre. Je veux tellement te rejoindre là-bas pour me sentir complet et pleinement heureux à tes côtés… que ces jours se terminent vite, je ne demande que cela. Sentir ton corps contre le mien, sentir ton parfum tout contre moi, me parait si plaisant et désirable. Je ne cesse ô grand jamais dans notre lit de chercher ton parfum et ta présence…
.

Je le sais ô que combien mon amour ô combien je dois te manquer, tout simplement parce que je ressens ce même manque depuis le jour où tu es partie. Je ne cesse ô grand jamais de mettre ton doux parfum sur mon corps mon tendre amour pendant ces derniers jours, comme si je pouvais imaginer que tu te trouvais à mes côtés. Je cherche le moindre contact avec toi-même si tu te trouves si éloigné… je crois que je suis totalement dépendant de toi, tu le sais mon doux amour ? Je veux seulement te retrouver près de moi… Tu me manques tant…

Les quatre jours qui nous séparent encore me paraissent ô difficile mon tendre amour… je fais de mon mieux pour ne pas m’inquiéter mais tu me connais trop pour que je puisse te mentir, je m’inquiéterais pour toi qui se trouve bien trop loin de moi à mon goût. Tu me reviendras mon amour, je n’espère que cela, je t’attendrai toujours mon amour, tu es toi aussi l’homme de ma vie et je ne veux nullement que l’on nous sépare, je veux seulement te revoir auprès de moi, loin de ce camps qui me parait ô dangereux. Je t’attendrai alors mon amour, tentant de calmer mes angoisses, mes peurs autant que possible… je ne souhaite pas que tu t’inquiètes pour moi alors que tu as tant à faire déjà là-bas. Il n’ y a que tes lettres pendant ton absence qui me permettent de me sentir mieux, de moins m’inquiéter tant tes mots me ravirent encore et toujours mon amour. Tu arrives quoiqu’il en soit à atténuer ma peine et mes craintes au travers de tes lettres mon si doux amant… n’aie aucune crainte à ce propos, seul toi peut me rassurer.

Il me tarde de te voir, de t’embrasser, de te prendre dans mes bras, je ne peux que vouloir ton retour, je ne veux qu’être à tes côtés pour toujours et ne jamais te quitter. Je veux seulement que ces jours avancent pour que tu viennes me rejoindre dans notre petit cocon doré, dans notre maison, là où est ton unique place mon tendre amant. Shii est en manque lui aussi, comme moi… il me tarde que tu reviennes et remplir ce manque qui me possède, j’ai tant besoin de ton amour chaque jour. Je ne veux que toi dans ma vie mon tendre Yano… je t’aime et je t’aimerai toujours. Alors fais bien attention à toi là-bas, qu’il ne t’arrive rien de grave… je veux seulement que tu ailles bien et que tu me reviennes en pleine santé mon tendre amant. Reviens-moi vite que je te donne tout mon amour, comme j’ai besoin de ton amour… Je t’aime mon tendre aimé, mon plus beau cadeau sur cette terre… mon amour.

Ton tendre amour, ton tendre amant, l’homme qui ne cesse jamais ô grand jamais de penser à toi…

K.S
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t27-yoon-ki-suk-my-heart-beats-for-you https://thephoenixsong.forumactif.org/t561-kisuk-yoon-mi-vida-es-perfecta-contigo

Yano Yoon-Wada
Yano Yoon-Wada
Wizard
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:34

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
17 septembre 2012

La nuit qui venait de s’écoulait s’était retrouvée être particulièrement pénible pour le jeune héritier que le jeune homme se trouvait être. Quand bien même la douleur n’avait plus de secret pour lui, il ne pouvait nier que plusieurs râles de souffrance avaient franchis les barrières de ses lèvres dès l’instant fatidique où le tissu d’un drap était venu frôler la chair de son dos. L’élancement que provoquait sa blessure au sein de son être était si cuisant, qu’il n’avait de cesse d’avoir l’impression qu’une lame invisible ne cessait de lui asséner des coups violents. Il avait passé une bonne partie de sa nuit à se tordre dans la moiteur de ses draps alors que sa chair n’avait eu de cesse de se couvrir d’une pellicule de sueur qu’il n’était point parvenu à contenir tant il avait eu la sensation de sombrer dans une folie inconcevable. Il avait cruellement mal qu’il avait l’impression qu’aucune potion ou pommade qu’on lui administrait était en mesure de venir atténuer cet élancement qui venait réduire à néant les moindres forces qu’il lui restait. C’est la fatigue accumulée des précédentes journées qui avait eu raison de lui et l’avait intimé à plonger dans un sommeil sans rêves sans pour autant être compensateur. A son réveil, la douleur s’était tout de suite réveiller et il avait encore passé toute une journée à subir les essais vains des infirmières qui s’enchainait pour trouver une potion capable de venir refermer cette cicatrice béante qui avait élue domicile au sein de sa chair.

C’est donc en silence qu’il recevait ses soins, réprimant ses gémissements de douleur à la moindre seconde qu’il sentait la chair d’une phalange des infirmières rentrer en contact avec sa chair meurtrie. Il désirait tant que cette douleur s’atténue, tant être en mesure de songer à autre chose mais il n’y parvenait point. La seule chose qui venait après sa douleur, se trouvait son manque béant d’un être qu’il lui était tout simplement impossible d’apercevoir quand bien même son être n’avait de cesse de le réclamer. Il voulait tant sentir les phalanges de son ange venir se mêler à ses doigts, dans ses cheveux comme pour venir panser sa douleur comme ce dernier avait toujours su le faire. Ki Suk était résolument le seul être en mesure à venir apaiser son être qui plongé dans ces tourments était tant vulnérable qu’un jeune enfant. Une poussée de fièvre avait eu raison de lui au cours de la journée, qu’il avait était obligé d’être plongé dans une inconscience qu’il n’avait pu éviter. Durant ses longues heures passées dans ce monde inconscient, il n’avait eu de cesse de voir les traits de son ange, désirant du plus profond de son âme, d’être à ses côtés. Le retour à la réalité s’était alors fait quelque peu cruel lorsque ses prunelles s’étaient rouvertes pour entrer en contact avec celles d’une infirmière qui l’informait qu’elles avaient trouvés une potion qui faisait que sa cicatrice se refermer quelque peu. Quelques jours de traitements et elles semblaient penser que cette dernière ne résorberait dans une certaine mesure. Elle ne lui cachait cependant pas que la cicatrice mettrait plus de temps pour disparaitre, que le sort qu’il avait reçu était d’une magie si mystérieuse qu’elle ne pouvait nullement certifier qu’il n’aurait plus rien.

La remerciant d’un regard alors qu’on lui donnait à boire ainsi qu’à manger, il se retrouva enfin seul alors qu’il songeait à tout cela d’humeur quelque peu morose. Cette idée ne l’enchantait nullement, d’autant plus qu’il savait qu’il ne pourrait point cacher ce fait aux yeux de son ange. Un ange qui s’inquiétait pour lui dès l’instant où il ne l’avait pas dans son champ de vision, tout comme lui ressentait cette peur à son attention. Comment allait-il lui annoncer une telle chose ? Pourquoi se devait-il constamment de le blesser quelque peu sans le cherchait réellement. Il savait ô combien l’angoisse naturelle de Ki Suk était puissante et il ne pouvait que se sentir quelque peu déprimé à l’idée que les craintes de son ange soit confirmées. Pour cela, il devrait alors cacher sa situation, faire en sorte que Kisuk ne soit au courant nullement de tout cela et surtout de cet accident. Peut être était-ce idiot de sa part de songer ainsi mais être à l’origine d’une quelconque peine de son ange, lui était tout simplement impossible à vivre.

C’est donc avec un ravissement non camouflé qu’il eut le plaisir de voir apparaitre son hibou personnel qui déposa rapidement une lettre avant de s’envoler en direction de la forêt. Se levant rapidement malgré la douleur toujours quelque peu présente, il ouvrit rapidement la lettre pour en boire le contenu comme s’il s’agissait d’une eau désaltérante qui lui redonnait vie. Les mots de son ange n’avaient de cesse d’embaumer son être d’un bonheur sans nom, venant qu’accroitre son manque de sa personne. Il mourrait tant d’envie de le retrouver, de faire passer le temps pour que ce terrible camp ne s’arrête, il désirait tant pouvoir admirer et peindre au fond de ses prunelles les traits de son amant. Il se sentait si opprimé à l’heure actuelle comme si on l’obligeait à se sevrer d’une drogue dont il ne pouvait et ne voulait nullement se passer. Son cœur n’avait de cesse de réclamer la présence de son ange et c’est ainsi qu’il avait prit un parchemin et sa plume pour venir s’asseoir à son bureau pour y répondre avec passion.


Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter

Mon tendre amour…

Si tu savais ô combien ta personne se fait cruellement désirée par ma personne. Il ne se passe pas une seule seconde sans que mon être ne soit obnubilé que par ta personne. Tu me manques tellement que j’ai cette envie cruelle de tout quitter à la seconde pour revenir à l’appartement et profiter de ta personne en cette journée difficile.

La fatigue accumulée de ces derniers jours me font totalement déraisonné j’en conviens aisément mais j’ai de plus en plus de mal à lutter. A lutter contre ce terrible désir de revenir à toi, je me sens si dépendant de ta personne et pourtant je ne puis que me sentir heureux de l’être car je sais ô combien cette dépendance et cet amour est réciproque.

Je ne cesse ô grand jamais de penser à toi, tu le sais ? En cette sainte journée, je n’ai fais que penser à toi, ton inquiétude et ton impatience vis-à-vis de la fin de ce camp qui nous sépare malgré nous, l’un de l’autre. C’était comme si le monde se liguait pour nous intimer à nous tenir loin de l’autre mais je ne puis me satisfaire d’une telle fatalité. Pourquoi ? Tout simplement parce que je t’appartiens et que tu m’appartiens.

J’ai pleinement conscience que mes mots ne peuvent en aucun amoindrir ton inquiétude naturelle mais je m’efforce de faire de mon mieux pour que cette inquiétude s’amoindrisse au fil de mes mots, mes lettres quand bien même ne suis-je nullement en mesure d’y répondre sur l’instant.

Si tu savais ô comme j’ai envie de te sentir au creux de mes bras, de laisser enfin mon être se reposer à tes côtés. A des milliers de kilomètres de ta personne, je suis résolument incapable de trouver un repos compensateur. Mon corps semble être habitué à ta présence, à la chaleur de ton être contre ma chair. C’est comme s’il m’était désormais impossible de vivre sans tout cela sans risquer une mort longue et douloureuse.

Je ne souhaite désormais qu’une chose : que ce camp se termine rapidement et que je puisse être en mesure de calmer mes tourments au sein de tes bras comme toujours à chaque fois que mon âme est plongée dans une tourmente des plus totale. Je ne rêve plus que de cela et mes nuits ne cessent d’être hantées par ta personnage. Je désire tant être à tes côtés, mon amour…

Je ne sais nullement lorsque je pourrais être en mesure de t’écrire une nouvelle lettre dans les jours prochains mais je souhaite tout de même t’avouer une fois de plus que je t’aime du plus profond de mon être. Toi seul au monde peux, être en mesure de me rendre heureux et je ne souhaite en aucun cas me passer de ta présence. Tu es mon ange, ce rayon de soleil qui fait de ma vie, un bonheur éveillé et mon être ne peut que réclamer ta présence lorsque cette dernière se fait désirer.

J’aimerai tant pouvoir m’enivrer de ton parfum mon amour, venir nourrir mon être de toi mais je sais que ce bonheur que je pensais acquis m’est impossible à l’heure présente mais je m’efforcerai de survivre pour être enfin en mesure de profiter de tout cela à mon retour, comme toujours.

Je t’aime, ton yano qui ne cesse ô résolument de penser à toi, jour et nuit…

Sur ses mots, il entendit des pas se diriger vers sa chambre. C’est donc en vitesse qu’il rangea tout cela avec force avant de se rendre à son lit pour subir de nouveau traitement. Cette lettre resta enfermée encore quelques heures avant qu’il n’obtienne la possibilité de l’envoyer réellement… mais cela lui convenait, tant que son ange, la recevait…
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t25-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love https://thephoenixsong.forumactif.org/t158-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love

Kisuk Yoon-Wada
Kisuk Yoon-Wada
Teacher
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Son Dong Woon ». J'ai égaré : 419 parchemins. Ma bourse est remplie de : 211 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:35

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
17 septembre 2012


Après avoir passé plusieurs nuits à tenter de s’endormir avec difficulté dans les draps de leur lit, Ki Suk après avoir reçu la douce lettre de Yano n’avait pu que passer une nuit agréable, ses rêves s’étant remplis d’image de son doux amant chez eux, de son amant qui avait dû à un fait extérieur rentrer plus tôt chez eux à son plus grand bonheur. Un rêve qui avait duré une grande partie de sa nuit jusqu’à le bruit strident de leur réveil ne sonne pour le ramener à la réalité, une réalité qui le faisait à chaque réveil un peu plus souffrir. Les doux baisers de Yano sur son être, les caresses sur son corps se trouvait être un réveil bien plus appréciable pour son être qui avait toujours bien eut du mal à se réveiller le matin pour aller en cours. Il n’y eut rien d’étonnant alors au fait de le voir quelque peu ensommeillé pendant les premières heures de cours, aussi captivantes auraient pu-t-elles être Ces pensées étaient seulement dirigées vers Yano et uniquement lui, même s’il avait eu la chance d’avoir une lettre de lui la veille. Il ne pouvait ô grand jamais cessé de penser à lui qui se trouvait dans un lieu ô inconnu dans un camp d’entrainement pour auror, un camp qui pouvait se trouver ô combien dangereux, un accident pouvait se déclarer si rapidement. Etre auror se trouvait être un métier bien trop dangereux pour Yano, il en était persuadé…

Ainsi, sa journée avait été peuplée de rêveries, de pensées pour l’être de son cher et tendre amour qui ne cessait ô grand jamais de le quitter. Sa concentration en cours, comme depuis son départ, s’était fait moindre mais cela ne semblait nullement inquiéter quiconque de son entourage, la relation qu’il entretenait avec Yano était certes secrète mais l’affection qu’ils se portaient depuis le début de leur relation non, ainsi il n’y avait rien d’étonnant à le voir si inquiet pendant ses longues heures qui le séparaient l’un de l’autre. Bon nombres avaient du deviner malgré eux leur secret, sans aucun doute mais avait sans doute préféré taire ces pensées, Yano se trouvait fiancé après tout, il allait se marier avec Sun Hee…

Seule, l’arrivée de cette fameuse lettre dans la soirée, alors qu’il se retrouvait chez lui à tenter d’étudier ses cours dans le salon lui permit de ne plus rêver de son aimé, son âme se concentrait sur cette lettre qu’avait porté le doux Gekko qui avait eu le droit d’obtenir une douce friandise de sa part. Il avait porté la lettre de son doux amant, il ne pouvait que recevoir une attention particulière de sa part. Ainsi après avoir lui donné quelques friandises, il lut avec attention cette douce lettre qui lui ravivait à chaque fois son cœur avant de venir y répondre de suite, même si Yano n’aurait peut-être pas le temps de lui répondre de suite…

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter



Mon tendre amant, mon tendre aimé, ma tendre âme sœur… Mon doux Yano.

Tu me manques chaque jour un peu plus, tu me manques tellement… mon cœur souffre tant loin de toi mon amour. Je ne cesserai jamais, ô grand jamais de penser à toi ne serait-ce qu’une seule seconde, mes pensées ces derniers jours sont seulement dirigées vers ton être, qui se trouve bien trop loin de moi à mon goût mon aimé, si seulement nous pouvions avancer ses jours pour que l’on puisse à nouveau nous voir et nous aimer comme avant lorsque nous étions ensemble… ces jours me paraissent bien trop loin, je veux simplement te retrouver mon doux aimé pour que nos journées soient bien moins difficiles à supporter.

J’aimerais tant venir te rejoindre mon doux amour, pour répondre à chacun de tes désirs, pour soulager chacune de tes peines, faire en sorte que tu puisses enfin te reposer convenablement dans mes bras, dans ses bras qui ne demandent qu’à t’aimer et te réconforter. Je veux seulement être avec toi, je veux seulement passer tous mes instants de vie à tes côtés pour ne jamais te quitter…


Nous nous appartenons et rien au monde ne pourrait nous séparer, même ce camp d’entrainement qui ne peut être une épreuve de plus pour notre amour… un amour qui ne peut que se consolider chaque jour un peu plus… nous nous aimons et pour rien au monde nous pourrions nous séparer, rien ne nous séparerait mon amant.

Mon inquiétude, je crois que rien au monde ne pourrait la calmer tant que tu trouves si éloigné de moi, seule ta présence pourrait l’apaiser mais malheureusement cela nous est bien impossible, bien interdit à ce jour. Lire tes mots m’apaisent mon tendre aimé, n’en doutes jamais, ils me permettent de me sentir mieux, de me sentir heureux, de pouvoir t’imaginer à mes côtés… et cela m’est bien bénéfique même si malheureusement ils ne pourront jamais remplacer ta douce présence à tes côtés. Je m’impatiente à chaque seconde de recevoir l’une de tes lettres mon doux amour, ces lettres qui m’apportent tant de bonheur à leur lecture. Ne cesse jamais de m’en écrire, tes mots sont à chaque fois si merveilleux et agréable à lire mon doux aimé.

Je souhaiterais tellement te sentir au creux de mes bras, tant je perçois ta fatigue et ton désespoir, j’aimerais calmer chacune de tes peines, répondre à chacun de tes appels et réchauffer ton corps, répondre à ce terrible manque qui tiraille chacun de nos êtres. J’aimerais tant te permettre de te reposer à mes côtés. Je calmerais chacun de tes manques mon amour, je veux tant voir ce doux sourire sur ton visage, voir ton regard émerveillé, t’observer et jamais me lasser de te voir… toi qui se trouve ô si parfait à mes yeux.

Je ne souhaite que la même chose mon doux amour, que tu me reviennes, que tu te reposes au creux de mes bras et ne t’éloignes plus jamais de moi… ces camps d’entrainements sont difficiles autant pour toi que pour moi je crois. Je m’inquiète bien trop même si je tente comme je peux de calmer chacune de mes craintes me rassurant qu’il y a une équipe qui est là pour s’occuper de toi s’il t’arrivait quelque chose, une équipe qui prend soin de toi… tu n’as aucune raison de te trouver dans une situation dangereuse, tu me reviendras sain et sauf… et je t’accueillerai avec tout mon amour mon doux amour.

J’attendrai patiemment ta lettre mon doux amour, j’attendrais cette douce lettre, même si je dois attendre plusieurs jours. Tant que je reçois de tes nouvelles, tant que l’on nous gardons en contact même si nous sommes dans l’illégalité en faisant ceci… rester une semaine sans aucune nouvelle de ta part aurait été particulièrement difficile mon amour et je ne peux que te remercier et t’avouer mon amour. Je t’aime mon amant, je t’aime mon Yano et ô grand jamais mon cœur ne cessera de battre pour toi… mon amant, l’air qui me permet de respirer chaque jour. Je te couvrirai d’amour et de ta tendresse à ton retour, mon doux amour… te couvrant de l’amour que nous n’avons pas pu profiter ces derniers jours si loin de l’autre.

Je t’aime tant mon Yano et je ferai de mon mieux moi aussi pour ne pas me laisser dépérir et te rendre fier de moi, même si la distance nous sépare, nous devons garder le sourire puisque nous nous retrouverons dans quelques jours dans notre appartement, nous pourrons nous aimer comme avant, comme si nous avions pas été séparés ces derniers jours… vivre notre doux amour dans ce doux cocon que nous avons créé dont nous sommes les seuls témoins. Nous allons bientôt nous retrouver et même si un manque cuisant de ta personne est présent en moi, je ne peux qu’être heureux de savoir que les jours qui nous réunissent sont plus nombreux que ceux qui nous ont déjà séparés. Nous nous retrouverons bientôt… mon tendre amour et nous vivrons cet amour comme avant, nous vivrons cet amour qui nous rend si heureux et complet. Oh que ce jour me tarde mon amour…

Je t’aime Yano, je t’aime pour toujours et je t’attendrai toujours, reviens-moi vite mon tendre amour… je souhaite tellement te voir si près de moi, sentir ton doux parfum, ressentir ta douce présence tout contre moi. Je souhaite tellement que ce jour arrive mon amant…

Ton tendre amour, ton tendre amant qui n’attend que ton retour pour t’aimer bien plus qu’hier…

K.S
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t27-yoon-ki-suk-my-heart-beats-for-you https://thephoenixsong.forumactif.org/t561-kisuk-yoon-mi-vida-es-perfecta-contigo

Yano Yoon-Wada
Yano Yoon-Wada
Wizard
Jade's Woopecker
Je ressemble à « : Hyun Joong Kim ». J'ai égaré : 524 parchemins. Ma bourse est remplie de : 648 et j'ai : 32
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitimeDim 6 Juil - 21:36

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI 25a57yf
18 septembre 2012

Deux jours, c’était résolument la durée qui le séparait du bonheur qu’il ressentirait sans aucun doute de quitter ses terres reculées pour revenir auprès de l’être qui ne quittait un seul instant ses pensées. Cloué à son lit au sein de sa tente personnelle, le jeune homme faisait en sorte de résister à la douleur que provoquée sa cicatrice sur sa chair si brulante. Quand bien même cette dernière avait commencé doucement à se résorber sur elle-même, il n’en restait pas moins qu’il se devait encore de suivre des soins particuliers qui faisaient que durant une grande partie de la journée, il était entouré par deux ou trois infirmières qui tentaient de le soigner. Voir des étrangers frôler sa chair ne l’enchantait nullement, il ne s’y était jamais habitué quand bien même avait-il du faire face au corps doctoral dès sa plus tendre enfance lorsque petit, il était de constitution fragile. Seulement, il ne parvenait nullement à lutter contre ce mal être évidant que son être éprouvait à la présence d’être inconnus. Quand bien même ses dernières s’efforçaient de se montrer souriantes, voir même amicales, il n’était nullement en mesure de répondre à leurs essais vains de détendre l’atmosphère. Il s’efforçait seulement d’être poli et respectueux comme toujours et subissait tant bien que mal leur agissement vis-à-vis de sa personne quand bien même ces derniers ne l’enchantaient nullement.

Il avait alors passé sa journée longé sur le ventre à attendre patiemment que les traitements qu’on lui appliquait sur sa peau meurtrie ne fassent effet. Durant ses longues heures, il ne cessa ô grand jamais de songer à son ange qui se trouvait à des milliers de kilomètres de sa personne. Il avait tant envie d’être à ses côtés, de pouvoir sentir sa chair se mouvoir sur la sienne comme il avait prit tant l’habitude de le faire. Il ressentait un tel manque de sa personne qu’il avait cruellement du mal à songer au fait qu’il se devait d’attendre encore deux longues journées pour escompter le retrouver et revivre. C’est donc telle une poupée qu’il se laissa manier entre leurs doigts, qui avaient que pour seul objectif de faire cicatriser cette blessure qui ne faisait qu’enlaidir son corps. Il n’avait pas encore eu l’occasion de l’observer par lui-même, à vrai dire, il avait refusé l’idée même de la voir tant il avait peur de ne point s’en remettre. Quand bien même ne se considérait-il point comme un apollon, il savait qu’il était pourvu de formes bien attirantes et il en était quelque peu fier, l’entretenant pour que ce dernier ne perde en aucune façon de sa perfection. Alors songé un seul instant qu’une simple erreur avait anéanti peut être à tout jamais tous ses efforts, la perfection de son enveloppe charnelle, plongé son âme dans une tristesse des plus profondes. Qu’allait être la réaction de Ki Suk face à cela, le trouverait-il toujours assez parfait pour lui, lui dont la perfection n’était plus totale ? Il ne voulait en aucun instant y songer tant cela réveillait en lui, une inquiétude des plus profondes. Son âme semblait alors totalement dépérir face à cette réalité alors qu’il pouvait sentir dans une certaine mesure l’ampleur de cette cicatrice qui ne semblait nullement s’atténuer.

Le soir tombé, il se retrouva enfin seul pour la première fois de la journée alors qu’on lui avait amené son repas. Soupirant enfin de soulagement d’être enfin laissé en paix, il se releva difficilement pour faire le tour de sa chambre, l’air songeur. Il ne savait pas comment il allait faire en sorte de cacher cette blessure à Ki Suk, il ne savait même pas combien de temps il allait tenir mais orgueilleusement il ne souhaitait en aucun cas que son ange, voit son corps être bafoué de façon si laide. Comment une blessure nullement gagnée après une lutte acharnée pouvait être belle, n’est ce pas ? Soupirant avec tristesse, il fut alerté par le bruit connu de son hibou qui l’alertait de sa présence. Se rendant à la petite ouverture de sa tente, il ramassa le pli de son hibou tandis que ce dernier se rendait au sein de la tente pour chercher sa petite friandise bien méritée. Le laissant faire, il entreprit rapidement de l’ouvrir alors qu’il en lisait le contenu avec un bonheur sans nom. Comme toujours son ange parvenait à atténuer la moindre de ses craintes, en éveillant peut être d’autres sans s’en rendre compte.

Savoir que son ange désirait plus que tout pouvoir frôler sa chair, profiter pleinement de la chaleur de ses bras alors qu’il était intimement persuadé de ne point pouvoir lui offrir tout cela sous peine de mettre à mal son secret, le plongeait dans une tristesse profonde. Il osait à peine songer à tout cela tant son être refusait cette option et pourtant… que pouvait-il escompter de plus qu’agir de la sorte ? Il avait tant la peur au ventre que Ki Suk cesse de le désirer alors que ce dernier n’avait de cesse de lui dire que son corps était parfait à ses yeux. Il lut donc plusieurs fois la lettre avant de venir s’asseoir à son bureau pour attraper un parchemin et sa plume. Soupirant quelque peu déprimé mais aussi déterminé à rédiger cette lettre, il se lança simplement en écrivant :

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Letter

Mon doux Ki Suk…. Mon tendre amour,

Si tu savais ô combien ta personne se fait cruellement désirer ma personne. Quand bien même, il ne reste désormais que deux journées qui nous séparent l’un de l’autre, j’ai l’impression que le temps file à une vitesse si lente que même les secondes semblent me paraitre une éternité.

Tu ne quittes en aucun instant mes pensées et je ne cesse ô grand jamais de voir tes traits venir occuper la moindre de mes pensées lorsque ces dernières ne sont point préoccupées par un autre sujet. J’ai tant le désir de te tenir au creux de mes bras, d’abraser mon être tout contre le tien comme à chaque fois que mon être à le bonheur de se trouver coller à ta personne, tout comme je ne songe plus qu’à m’enivrer de ton odeur.

Une odeur si familière que je ne puis être en mesure de m’en passer désormais mais dont je dois supporter l’absence encore quelques journées. Les journées ici me semblent bien fades et inintéressantes sans ta présence, mes nuits sont sans rêves et pourtant quand bien même je ne cesse jamais de songer à toi, rien ne parvint à emplir mon être d’un bonheur sans nom.

Si tu as l’impression d’être la femme d’un soldat parti en guerre, j’ai la sensation d’être ce soldat qui ne cesse de penser à la personne qui l’attend patiemment et sagement à son domicile et si il va rentrer sain et sauf, quand bien même n’y a-t-il point de raison dans mon cas, que je rentre, blessé. Je suis parfois stupide, ne trouves tu pas mon amour ? Et je ne peux même pas m’empêcher de sourire comme un idiot à cette pensée…

Encore deux jours et nous serons réunis mon amour, c’est la seule pensée qui égaye mon âme et me donne envie d’être à demain car ainsi la distance qui nous séparer s’amoindrira seconde après seconde. Il me tarde d’être à cet instant, de quitter ce lieu austère pour retrouver notre chez nous et y profiter pleinement de ta présence comme j’aime tant le faire.

Deux jours, c’est le temps qui nous sépare mon amour et sous peu, je te serai de nouveau tout acquis comme pour toujours. C’est donc sur ces douces paroles que je termine cette douce lettre qui je l’espère saura te prouver ô combien je ne cesse de penser à toi.

Je t’aime du plus profond de mon cœur et d’ici quelques jours, quelques heures, je pourrai enfin te révéler cette nouvelle que je souhaite du plus profond de mon cœur t’annoncer depuis mon arrivée à ce camp.

Avec tout mon amour, ton yano qui ne cesse ô grand jamais de rêver de toi et qui ne songe qu’à toi.


C’est ainsi qu’il apposa sa fine signature alors qu’il refermait son parchemin pour la plier dans une lettre sur laquelle il écrivit avec soin le nom et prénom de son ange. Il l’observa quelques instants avant de se relever difficilement pour remettre le pli à son compagnon de correspondance préféré ; Gekko. Après quelques caresses, il le laissa pleinement s’envoler dans les airs loin des yeux indiscrets avant de retourner au creux de sa tente, fatigué pour se longer sur sa couche afin de laisser enfin son traitement agir sur sa chair.
Revenir en haut Aller en bas
https://thephoenixsong.forumactif.org/t25-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love https://thephoenixsong.forumactif.org/t158-yano-wada-i-ll-be-here-forever-for-you-my-love


Contenu sponsorisé
profil +
Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI   Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Tu me manques tellement... | PV Yoon Ki Suk - Septembre 2012 | FINI

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» St Valentin | PV Ki Suk Yoon | Fini
» Tonight, you'll be mine, my love | PV Yoon Ki Suk | FINI
» (fini) What is this story? I hope you have an explanation. | PV Ki Suk Yoon
» no, sorry ... I will not let escape your hand because you're mine | PV Yoon Ki Suk | FINI
» Starting today, I'm totally yours, my love. | Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | FINI

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Phoenix Song ::  :: Oubliettes :: Rps :: Sinseonghan Jolyu's Area-