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 (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray

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Cilian Murray
Cilian Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeVen 8 Aoû - 1:48

Il ne chercha pas à résister, pas un seul instant, il ne tenta de se réprimer, de se défendre de ses baisers, de ses caresses. Il se laissait faire, répondant avec joie aux douces lèvres de son frère adoptif qu’il dévorait avec passion. Il oubliait seulement le reste, c’était lui, rien que lui. Ils étaient tous les deux, si proches, si intimes. Cilian s’emportait pour cet être qu’il était venu dominer, s’installant devant lui, agenouillé par-dessus ses jambes, tendrement collées à son corps. Il l’embrassa passionnément, le maintenant avec une légère force sur le dossier du canapé. Son cœur battait si promptement et sa raison s’était envolée au profit du bonheur qu’il éprouvait contre ses lèvres, contre ce corps qu’il trouvait sublime. Le jeune homme ne voulait nullement penser aux limites, au frein qui pourrait le séparer de cet être dont il avait tant envie. Son corps se laissait envahir, succombant à ce péché de luxure. Dans cette intimité, il n’avait nulle pensée pour la bienséance, il n’avait d’yeux que pour cet homme si beau et sensuel, de lèvres que pour ses douces commissures rosées et tendres sur lequel il s’abattait. Il voulait tant rester avec lui, contre lui.

Il l’embrassait avec passion, la main d’Alessandro sur sa nuque le retenant quand bien même le jeune homme n’avait nulle envie de se défaire de lui, préférant retrouver la caresse de sa langue plutôt que de s’éloigner de cet être qui lui donnait si chaude, brulant ses entrailles d’un feu si ardent, un feu qu’il ne connaissait auprès d’aucun autre. Ce feu rendait Cilian si sensible et fébrile, si captivé par son ainé, par cet être à qui il voulait tout donné. Aemelia ne recevait rien d tout ça, de cette passion qui le rendait fou, qui anesthésiait son esprit, volait son cœur. Jamais il ne ressentait tant d’envie, d’exaltation que face à ce corps viril, face à la douceur de son ainé qui d’un être un peu irascible et arrogant, se transformait en un si doux amant en lui laissant l’opportunité de venir le dominer comme à l’instant. Des instants assez ponctuels dans leur relation, Cilian en profitait, laissant ses mains glisser sur le torse de son partenaire, sensible aux caresses ambitieuses que celui-ci lui procurait. Il frissonnait sous ses doigts qui semblaient frais sur sa peau déjà brulante. Il le troublait tant de cette main qui le parcourait, l’envahissant de cette douce chaleur luxuriante. Le jeune homme sentit les doigts pulpeux de son amant, venant taquiner ses petits boutons de chair de façon câline. Le regard de son frère était flatteur et amoureux, le jeune homme se laissant faire, comme des interrupteurs, il allumait par ce contact la folle cadence de son cœur, une explosion brulante au creux de son ventre tandis qu’un léger fourmillement parcourait sa peau tâtée par les doigts d’Alessandro. Il lui souriait, résolument serein contre son frère.

Leurs lèvres se séparèrent, chacun reprenant leur souffle, leur regard enflammé se caressant tendrement. Les mains de Cilian vinrent câliner sa nuque, sa barbe avec tendresse, souriant de manière si tendre et captivée, incapable de détourné son regard de cet homme. Très vite, leurs lèvres se retrouvèrent pour s’embrasser à nouveau, plus passionnément encore que précédemment. Il sentit la langue humide de son frère se frayer un chemin entre ses lèvres, un chemin que lui ouvrit le jeune homme avec plaisir, y goutant avec avidité. Gourmand, il venait échanger un baiser des plus torrides avec l’homme qui se trouvait sous lui. Ce gout, bien qu’amer et salé étaient si enivrants, tout comme l’odeur de sa peau. Cilian l’embrassait avec passion, une main caressant en douceur sa barbe et sa mâchoire, l’autre parcourant le muscle de son bras. Son frère caressait ses pectoraux, ses abdominaux, le bas de ses reins même avec la même cupidité que leurs lèvres s’échangeaient ses baisers passionnés. Il sentit ses mains glisser sous son jean, caressant ses fesses, le jeune homme éleva un peu le bassin pour profiter de ce contact si agréable, envoutant tout en se serrant un peu plus à lui, écartant davantage les jambes. Ses mains à lui retournèrent vers ses pectoraux, ses tétons flamboyant, formant le seul rempart entre la peau de leurs deux thorax qui se rencontrait avec joie et sensualité. Ses mains glissèrent inexorablement se calant sur ses hanches, l’élastique du boxer qu’il ne dépassa pas. Cilian le fixait, ne le lâchait pas du regard, ses yeux brulant comme l’ensemble de son corps de tant d’envie. Le regard de son frère était tout aussi passionné, passionnant. L’intensité de ces baisers, de ses caresses, de la rencontre de leur corps s’imposait tant, Cilian s’y perdait volontiers, admirant les prunelles sombres et pénétrantes de son ainé, sentant son frère fébrile par la moindre de ses inspirations. Les mains de son frère s’activaient autour de lui, venant défaire sa ceinture, tandis que ses lèvres le berçaient de doux baisers sur sa nuque laissant le jeune juge soupirer de plaisir sous ses tendres attentions, emplies de désir pour son frère.

Cilian était si fébrile ainsi cajoler par le jeune homme, espérait déjà voir le médecin plus gourmand et coquin encore en venant satisfaire l’ambition de ce qui se cachait sous son pantalon, s’il venait seulement le lui enlever. Cilian se laissait embrasser, penchant sa tête sur le côté pour se laisser embarquer dans cette enveloppe de tendresse et de passion. Il avait si chaud, humant le doux parfum du docteur. Ses lèvres venaient chercher sa mâchoire, sa nuque, son oreille, n’importe quoi tant qu’il s’agissait de la peau du jeune homme, celle-ci lui était si précieuse, si délicieuse qu’il cherchait à l’atteindre tendrement accro à son gout, laissant pourtant s’échapper de doux sons de ses lèvres entre chacune de ses cajoleries. Alessandro était absolument irrésistible, et ses doigts, cupide venait se glisser sous l’élastique de son boxer pour caresser le haut des cuisses de son frère, sous le tissu. Il venait avec intérêt palper ses chutes de rein, pourtant il ne frôlait qu’à peine son intimité, la fuyant presque même s’il mourait d’envie de la rejoindre, de découvrir sa forme. C’était une punition, de ne ne pas le débarrasser de ce jean trop lourd, de rester si timide et de ne pas le défaire de ses vêtements qui couvrait son bas comme il s’était trouvé si ambitieux de lui ôter son t-shirt quelques instants auparavant, avant qu’il ne dérive dans ce bain de bien-être et de tendresse, de passion qu’il réservait au cracmol. Le juge contourna ses reins, coinçant ses mains entre le dessus de ses fesses et le dossier du canapé de son hôte. Le souffle brulant, il vint se coller contre lui, autant qu’il le pouvait, se cambrant contre lui pour profiter au mieux du contact chaud de son torse contre lui. Dans de très légers mouvements, le sorcier se frotta doucement à son frère, savourant ce contact cocasse qui éveillait tant sa virilité. Le jeune homme s’en sentait si conquis, electriser par ce contact qui laissait ses lèvres exprimer aux oreilles d’Alessandro une satisfaction toute coquine.
Le cadet vint lui mordiller l’oreille, réclamant son attention, lui faisant part de ce désir cuisant qu’il ressentait à son égard. Il en était fou, tout simplement fou, dingue de ses yeux, de ce corps, de ce contact qu’il s’offrait contre la sensualité de son partenaire. Il le voulait pour lui, l’emprisonnait sur ce canapé de ses jambes qui travaillaient silencieusement au doux plaisir du jeune homme, silencieux, mais terriblement coquin. Ses lèvres mordillaient ce lobe, mais y expiraient aussi son envie de lui, sans mot, juste par de doux sons qu’il s’autorisait comme une supplique à son égard. Puis il vint rejoindre sa nuque ses épaules, y déposant de doux baisers papillon, léger, jusqu’à ses épaules. Il était si merveilleux, si beau.

« — S’il te plait, Alessandro ! je… laisse moi te découvrir, entièrement. Tu es si beau. »
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeSam 9 Aoû - 1:00


Cilian était son fantasme le plus inavouable. Cela faisait tant d’années que son âme se mourrait de désir pour lui. Sans même pouvoir y résister réellement. Pourtant, cela faisait des années qu’il s’interdisait ses pensées, se sentant toujours particulièrement frustré et mal à l’aise lorsqu’elles venaient le hanter. Il ne pouvait s’en empêcher. Il l’avait dans la peau, dans le cœur. Il aimait Cilian comme il n’avait jamais aimé une autre personne. Même s’il savait cet amour impossible et inconcevable, son cœur s’était laissé prendre sans crier garde. Il était néanmoins parvenu à le dompter, à le contenir à cette simple affection fraternelle. Il savait s’en satisfaire quand bien même souffrait-il inexorablement lorsqu’ils abordaient des sujets intimes et personnels sur leurs vies personnelles. Cilian était le seul à en parler et il s’efforçait toujours de faire bonne figure, d’être un bon grand frère pour le conseiller du mieux qu’il pouvait. Il lui avait également prouvé ce soir, une fois de plus. Cependant, Alessandro avait des faiblesses comme tout homme. Il lui arrivait de craquer et une fois de plus, il s’était laissé prendre par les lèvres, le corps de cet homme. Il fondait comme neige au soleil. Sa soif ne s’étanchait pas, elle n’avait de cesse de s’approfondir.

Il sentait sa chair se consumer au contact de celle de son frère. Son cœur savourait cet échange intime, passionné, le trouvant si précieux. Il en avait tant rêvé, le désirant tant. Comment pouvait-il seulement résister à l’appel de ce corps, qui semblait aussi endiablé que pouvait l’être le sien ? Comment pouvait-il refusait d’embrasser et de caresser ce corps dont la chair si cuisante semblait réclamer ses attentions ? C’était impensable. Il n’était pas assez fort pour se rétreindre dans ses pulsions, ses sentiments. Il avait envie de son frère, de voir son corps s’enflammer à son contact, le réclamer. Les souvenirs de cette nuit avec lui l’envoutaient, lui rappelait ô combien il s’était senti plus exalté que jamais. Inconsciemment, il voulait revivre cette luxure, cette plénitude à ses côtés, lui faire comprendre qu’il était le seul à pouvoir le rendre si érotique et désirable qu’il ne l’était à cet instant. Il voulait que l’âme de son frère lui appartienne. Une pure folie de sa part. Une pensée qui lui était formellement interdite, mais contre laquelle il ne pouvait lutter à cet instant. Il sentait Cilian si sensible, si fébrile et exalté sous le contact de ses lèvres, de ses doigts. Il était plus séduisant que jamais, se laissant totalement aller à ses cajoleries. Cet abandon de sa part le rendait ivre d’un désir sans nom. Il ne pouvait pas se contenir, amoindrir sa passion.

Au contraire, elle s’intensifiait, devenait d’autant plus intense et cupide. Il savait Cilian réceptif, quémandeur de ses actions. Il avait penché la tête sur le côté pour profiter de ses baisers. Alessandro appréciait le souffle chaud qui se dégager des lèvres si désirables de son frère. Il pouvait le sentir tout aussi gourmand, ses lèvres cherchant désespérément à se mouvoir contre ses lèvres. Des contacts résolument envoutants qui n’avaient de cesse d’accroitre son appétence. Ses sens savouraient ses frisons, ses gémissements qui s’extirpaient des lèvres de son frère, résolument irrésistibles. Lui-même sentait sa peau s’enflammer au contact des phalanges de son frère. Ces dernières s’étaient immiscées sous le tissu de son boxer pour caresser et palper ses chutes de reins. Un contact délicieux qui ne le rendait que d’autant plus ambitieux alors qu’il venait glisser ses mains sous le tissu du jean de son frère pour se mouvoir contre ses reins, retrouvant ses fesses avec plaisir. Il aimait la texture ferme et musclée de ces dernières, les trouvant si agréables au toucher. Il sentait Cilian impatient, résolument envouté et désireux. Il découvrait la texture de ses reins, venant mouvoir ses mains sur son fessier pour venir se coller plus intimement à lui.

Il se cambra contre lui, venant épouser les formes de son buste pour profiter au mieux du contact chaud entre leurs deux corps. Alessandro était venu mordiller sa nuque avec douceur et passion pour accroitre son bien-être, ses phalanges s’immisçant sous le tissu du boxer de son frère pour les cajoler avec attention, sentant le corps de son frère se frotter contre lui. Des frottements résolument envoutants qui le firent doucement soupirer au creux de la nuque de son frère. Un contact cocasse et coquin qui le rendait particulièrement désirable et érotique à ses yeux. Il vint délicatement gémir au mordillement des lèvres de son amant contre son oreille. Il le savourait avec plaisir, sentant sa chair réagir favorablement à tout cela. Il était si désireux contre lui. Il ne pouvait lui résister, le trouvant particulièrement envoutant à agir de la sorte. Il était fou de lui, dingue de ce contact et de cette chair qui s’enflammait contre lui, si désireuse de recevoir ses traitements. Il savourait le contact moite de sa bouche contre son oreille, se mordant délicatement la lèvre. Tout ceci envoutait le cracmol tant et si bien qu’il avait abandonné ses actions pour profiter de ces bienfaits. Cilian était venu embrasser sa nuque, ses épaules dans des baisers papillon, légers. Il le savourait avec attention, laissant ses doigts glisser au creux de ses fesses.

Son amant vint alors le supplier de le laisser le découvrir entièrement. Il le trouvait si beau. Une confession et une requête à laquelle il ne pouvait résister, ne cherchant nullement a le faire alors qu’il venait l’embrasser langoureusement. Il laissa sa bouche retrouver celle de Cilian, l’embrassant fougueusement alors qu’il retirait ses mains de son boxer pour glisser contre son intimité pour la frôler. Il savoura avec bonheur le gémissement qui s’extirpait des lèvres de son amant, susurrant contre ses lèvres. « Relève-toi alors, Cilian ! » Des paroles susurrées dans un soupir alors qu’il venait retirer ses doigts de son sous-vêtement, sentant Cilian se relever sans un léger gémissement de frustration. Une frustration commune alors qu’il venait l’accompagner dans son action, se relevant à son tour. Face à lui, il vint de nouveau l’embrasser fougueusement, laissant une de ses mains caresser sa nuque avant de se prendre sur son torse qu’il trouvait incroyablement désirable. Il laissa cette main retrouver les reins de son frère, venant faire glisser les derniers remparts de ses vêtements au sol pour le laisser nu. Alessandro vint s’éloigner de ces prisonnières pour venir l’observer, son regard brillant de désir et impatience.

Tout comme il lui avait demandé, il vint à son tour retirer son boxer, laissant son intimité résolument éveillée s’ériger face au regard de son frère. Il pouvait sentir son regard brillant tout autant que le sien sur sa chair. Il y avait une tension résolument palpable entre eux deux. Il pouvait entendre sa respiration se faire tout aussi fort que la sienne. Il était envouté par son frère, le dévorant du regard, suspendu à ce corps si désirable qu’il se tendait face à lui. Il hésita quelques secondes, quelque peu conscient qu’il ne pourrait plus faire machine arrière, ne le désirant pas. Ils étaient sur le point de franchir de nouveau cet interdit. Cette frontière qu’ils n’auraient jamais dû dépasser, mais qui semblait si difficile à résister à cet instant. Il ne résista pas plus longtemps venant de nouveau vers lui pour se trouver face à lui. Il le détaillait avec attention, se mordant la lèvre, le souffle court. « Cilian… » Murmura-t-il contre ses lèvres, laissant une de ses mains glisser sur le bras de son frère pour empoigner son poignet, venant le conduire vers son bas-ventre. Son autre main quant à elle vint glisser sur son rein, glissant sur la courbe de son aine pour retrouver son entrejambe. Un frôlement fripon qui semblait affermir ce dernier alors qu’il venait l’embrasser délicatement, susurrant contre ses lèvres. « Découvre-moi, Cilian. Puisque c’est ce que tu désires. » Des mots à peine audibles, soufflés dans un souffle chaud. Il laissa sa bouche retrouver celle de son frère, s’immisçant dans cette dernière alors qu’il l’invitait à le caresser. Sa main vint relâcher son poignet, qui avait pris place sur son intimité, pour remonter son bras, s’échouer contre sa nuque et approfondir ce baiser. Son autre menotte quant à elle vint commencer à caresser le jeune juge pour lui offrir cette caresse qu’il semblait réclamer comme un dû alors qu’il le dévorait de ses lèvres, venant se coller délicieusement contre lui, ses gémissements exprimant son bien-être.
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Cilian Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeMar 12 Aoû - 11:06

Son ainé avait toujours occupé une place très particulière pour Cilian , une place unique et celle-ci prenait toute son ampleur quand il se trouvait ainsi, seul à seul, si proche l’un de l’autre, leur cœur battant, leur corps brulant. Quelque part, il s’enivrait de sa présence, celle-ci lui manquant tant. Il n’était plus séparé pendant des mois et des mois, même si leurs deux professions respectives les occupaient presque plus que leur livre de cours. Cilian en avait perdu l’habitude de lui écrire de longues lettres, mais il aimait toujours le revoir. Sans hésiter, il les considérait comme les instants les plus rafraichissants dans ses semaines de travail. Passer une soirée autour d’une bière avec son frère était un plaisir qu’il ne refusait jamais dès lors qu’il le pouvait. Même s’il faisait en sorte de le cacher, ses collègues se rendaient souvent compte de sa bonne humeur en ses lendemains, comme s’il rayonnait d’avoir vu son frère la veille, sans doute devait il avoir passer une bonne nuit auprès d’Aemelia plaisantait les gens au ministère sans que Cilian ne les entendent. Le juge s’était solidement attaché à son frère adoptif, quand bien même le lien de sang manquait, une relation extrêmement fusionnelle et fraternelle s’était instaurée entre eux. Puis il y avait eu le désir, celui qu’il avait porté à ce corps cette nuit ou, ivre, ils avaient partagé pour la première fois la plus grande intimité qui puissent y avoir entre deux personnes. Il avait beau avoir été saoul cette nuit-là, il se souvenait encore de ces sensations si douces, du tremblement de son corps sur celui de son frère aux formes si agréables, à son odeur enivrante. Le jeune homme le retrouvait avec joie, le désirant ardemment sans avoir l’excuse de ne plus tenir debout. Il voulait plus, le découvrir entièrement, dans ces moindres recoins, surtout celle-ci qui se trouvait encore prisonnière du sous vêtement, sur son joli fessier aussi ferme et rebondi. Il voulait le connaitre par cœur, pouvoir redessiner ses formes. Il se sentait si bien contre lui, semant les tracas qu’il avait retournés toute la journée dans sa tête. Il ne pensait à rien, rien d’autre que son frère et lui, de leur proximité, de l’enivrement qu’il ressentait en sa présence.

Le cracmol s’en amusa et après de doux baisers qu’ils s’échangèrent, sentant ses mains venir frôler son intimité sous son boxer. Un léger contact qui fit gémir Cilian contre les lèvres du médecin, résolument conquis par celui-ci. Alessandro lui susurra de se relever. Son amant quitta son boxer, mais obéit à l’ordre du jeune homme, légèrement frustré de s’éloigner de lui.  Il se leva, observant son amant en faire de même, venir face à lui en glissant une de ses mains autour de son cou. Alessandro vint l’embrasser de façon langoureuse, le sorcier venant y répondre avec passion, ses mains caressant son torse avec envie. Son ainé caressait son torse, descendit sur ses reins au cours de cette passionnante embrassade.  Son frère fit tomber son pantalon, son boxer au sol, laissant Cilian entièrement nu sous son regard. Il l‘observa avec douceur, le voyant s’éloigner de lui, causant un gémissement de frustration de la part de Cilian. L’homme apprécia son regard, le désir qui y flamboyait et cette impatience.

Alessandro retira son boxer lui aussi sous le regard intéressé de Cilian qui vint le scruter avec douceur, remarquant avec satisfaction l’intimité légèrement érigée de son partenaire, aussi fière qu’il pouvait l’être lui-même. Il la trouvait magnifique, si désirable das le plus simple appareil. Son souffle s’approfondit, encore, e désir montant en lui, brulant son cœur qui s’accélérait, ébouillantait son esprit comme il observait cet homme si sensuel que plus aucune barrière ne protégeait de lui. Il ne pouvait pas reculer, il lui était impossible de bouger, de sortir de sa torpeur, de cet état second qui s’était emparé de lui en cet instant, face à cet homme nu et magique. C’était déjà trop tard pour Cilian, il lui était impossible de relever son pantalon et de fuir, son regard ne se défaisait pas du corps absolument sexy de son ainé. Il le voulait lui, ce soir, même si ce n’était nullement à faire. Cilian était déjà perdu, son regard le dévorait, son corps l’appelait à lui.  Son ainé s’approcha, le regard aussi flamboyant que le sien pouvait l’être sur lui, le juge n’avait nul doute de ses pensées.  Il le vit se mordre la lèvre avant de susurrer son prénom tout près de lui. Cilian se mordit les lèvres, avalant sa salive troublée, frissonnant de la chaleur de ses doigts glissant sur ses bras. Il le sentit guider son poignet vers son bas-ventre. La main de Cilian vint toucher l’intimité du cracmol, tout en sentant celle d’Alessandro venir glisser vers la sienne. Cilian se mordit les lèvres plus fortement à ce contact, sa main venant entourer celle de son ainé. Il s’embrassèrent, avec douceur et délicatesse, la seconde main de Cilian s’échouant dans sa nuque, troublé. Il lui ordonna de le découvrir, puisque c’était ce qu’il désirait. Le jeune sorcier rougit tout en lui souriant le regard coquin et plein d’envie. Son frère vint l’embrasser, se frayant un chemin entre ses lèvres pour rencontrer sa langue, sentant la main d’Alessandro qui l’avait dirigé vers l’objet de son désir remonter son bras vers sa nuque pour approfondir le baiser. Un baiser passionner, empli de doux gémissement lié à l’activité de la main du médecin. Le juge ne se fit pas prier pour caresser du bout des doigts cette virilité ferme sous ses doigts, la sentant réagir favorablement aux caresses que sa main lui offrait tendrement. Cilian savourait cet instant qui l’enveloppait d’une merveilleuse chaleur, le plaisir s’immisçant, régissant les parties les plus friandes de on corps. Ne retenant pas son désir , ni même son plaisir, il laissait s’échapper des sons si sensuels, parfois étouffés au cœur de leur baiser passionner.

Il le redécouvrait, formant de lents mouvements de va-et-vient sur sa prisonnière, lentement pour imprimer sous ses doigts cette forme qui se faisait tant interdire. Le juge plongeait dans cette luxure sans la moindre retenue, caressant cet homme essentiel à sa vie et qui lui prodiguait le même bien-être. La main de Cilian qui s’était perdu sur sa nuque vint tendrement caresser sa mâchoire, sa barbe douce sans pour autant cesser leur baiser. Il vint dessiner de  sa main ses traits, laissant son pouce descendre sous le menton de son ainé descendant sur son cou vers sa clavicule en de sensuelles caresses. Descendant un peu, il vint prendre en joue entre ses phalanges, le petit téton de son frère, victime de mille caresses et taquinerie. L’autre main poursuivait son dessein, glissant vers l’extrémité de sa proie pour rouler sa paume contre elle.  Il s’en sentit dingue, rien que de ce contact sans compter les caresses de son amant qui l’abasourdit encore plus violemment. Leur corps coller l’un à l’autre, il ne désunit ses lèvres que pour reprendre son souffle, bien qu’il semblait bien plus vouloir faire entendre la régularité de ses gémissements, ou bien son plaisir en murmurant le nom de son frère. Cilian ne s’éloigna point longtemps de lui, retournant bien vite à ses lèvres qui semblaient déjà lui manquer, en quelques secondes à peine.

« — Tu me rends fou… Alessandro… Complètement. » Sur ces mots, il revint l’embrasser avec douceur et passion.
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeMar 12 Aoû - 19:29


Ainsi nu devant le regard de son frère, Alessandro ne pouvait nullement camoufler l’émoi et l’excitation dans laquelle il mettait son corps. Son désir transpirait chaque parcelle de sa chair, qui se trouvait cruellement envoutée par cet homme qui se tendait sous ses prunelles. Il se trouvait si majestueux, si beau et parfait sous ses yeux. Il s’efforçait de le voir comme son frère, comme cet interdit qu’il ne devait point dépasser et pourtant, il ne parvenait pas à décroitre ce désir qu’il avait pour son corps. Il en avait tellement envie, à cet instant et les paroles de Cilian ne parvenaient nullement à lui faire entendre raisons. Il en avait envie, il le percevait dans son regard si intense qui détaillait avec la même lubricité que lui, son corps. Il semblait l’appeler, réclamer sa présence contre sa chair, qui ne demandait qu’à s’enflammer à ses côtés. Il était totalement envouté. Alessandro l’était tout autant de cet homme. Il sentait son cœur battre comme un fou dans sa poitrine. Sans doute l’était-il également ? Il n’en doutait pas. Il était en train de franchir de nouveau cette frontière qu’il s’était toujours interdit de dépasser. C’était simple en temps normal. Il y parvenait si aisément.

Cela faisait dix ans qu’il se contentait de cette relation fraternelle, de cette abstinence qui pourtant se trouvait satisfaite dans ses rêves érotiques. Il avait tant fantasmé sur lui, s’était tant caressé en pensant à lui, sans qu’il puisse contrôler tout cela. Cela avait dévoré son cœur et son âme sans limites, le rendant ivre de passion pour cet homme, qui lui était formellement interdit. Il s’en était éloigné pour le protéger, se protéger lui-même également. S’éloigner sans trop le faire, trouver toujours une excuse pour fuir son frère, instaurer une frontière invisible entre eux deux pour s’assurer de ne pas la franchir. Pourtant, cela faisait deux fois qu’il rompait cette frontière, par la faute de Cilian, ces mots qui savaient si bien le faire flancher. Il ne parvenait pas à résister. Cilian voulait le découvrir entièrement, il était celui qui s’était imposé à lui, lui qui l’avait séduit et avait bafoué toutes ces frontières. Comment résister à l’objet de ses fantasmes lorsqu’on devenait un objet de convoitise pour celui-ci ? Il n’était pas assez fort et son désir, sa soif pour l’échine de cet homme le rendaient incroyablement fou. Il succombait à son ambition bien trop profonde, ancrée à son esprit.

Il était incapable de songer à cet instant. Il avait seulement envie de lui, de sentir sa peau devenir folle sous le contact de ses doigts, de ses baisers. Il ne se sentait pas gêné par cela. Il l’assumait malgré l’interdit que son frère représentait à ses yeux. Il le sentait fébrile, frissonnant sous le contact de ses doigts. Alessandro l’avait ordonné de le découvrir s’il le désirait. Un moyen comme un autre de se dédouaner de la responsabilité de cette folie, de cette appétence qu’il satisfaisait à cet instant. Cilian était celui qui lui avouait son désir, lui qui voulait le découvrir. Alessandro se soumettait à ses désirs, même s’il savait que cela ne serait pas sans incidence. Il savait d’ores et déjà qu’ils feraient comme si de rien n’était, le lendemain. A l’image de cette nuit où saouls, Cilian était venu cueillir ses lèvres pour partager une nuit torride dans ses bras jusqu’à atteindre cette plénitude terrestre totale qu’il n’avait connue qu’à ses côtés. Cilian en avait tout autant envie. Son intimité était tendue contre la chair fraiche et gourmande de sa main, ne pouvait que le trahir. Son regard également. Ses prunelles le détaillaient avec désir et gêne, encore bien timide bien que désireux. Il était magnifique. Le regard d’Alessandro ne quittait pas des yeux le visage de cet homme qu’il était venu embrasser avec passion en le caressant.

C’était si délicieux, ses lèvres, le contact de son torse contre le sien, sa main contre son intimité et sa nuque. Alessandro savourait ces caresses friponnes, laissant son plaisir se faire connaitre, grandir dans ses reins. Il se trouvait tout aussi gourmand, impatient et passionné. Sa main glissait avec lenteur et passion sur l’intimité de son frère, savourant sa texture, sa forme. Elle était toute aussi parfaite sous ses doigts que dans ses souvenirs. Cela le rendait d’autant plus gourmand, plus excité encore alors qu’il savourait les caresses de Cilian sur son intimité. Ses phalanges étaient incroyablement délicieuses. Elles embrasaient son bas ventre avec une telle forme, le satisfaisant avec une telle aisance. Même le souvenir de leur première nuit ensemble n’avait pas le même effet sur son corps. Un plaisir personnel qui s’était tant offert, qu’il lui offrait si obligeamment. Ses lèvres émettaient son plaisir sans aucune gêne. Il ne maitrisait pas ses gémissements, ces derniers se faisant aussi nombreux que ceux de son frère. Son cœur battait de façon effrénée, satisfait et comblé par cet acte coquin et érotique qu’ils s’offraient. Il savourait la main de Cilian contre sa mâchoire, sa barbe, sa nuque, sa clavicule. Elle le caressait avec attention et sensualité, cupides. C’était si appréciable. Alessandro sentait son cœur se glorifier dans sa poitrine, son intimité s’affermir cruellement sous les doigts de son frère. Il se mordait les lèvres pour contenir ses gémissements de se faire plus gourmands, quémandeurs. Pourtant, il succombait à cet homme. Il voulait qu’il le fasse jouir, atteindre ce moment de luxure totale où la libération charnelle était le seul moyen de calmer cette appétence, sans être certain que cela satisferait leur appétit. Il savait que le sien ne pourrait être contenté. Il se mourrait de désir pour lui, en cachette, bien loin de son regard si pénétrant et déstabilisant.

Cilian prononçait son prénom avec une telle sensualité. C’était bien trop salvateur et envoutant pour son âme, qui avait tant envie de l’entendre geindre son prénom en touchant cette extase. Un instant salvateur qu’il voulait lui faire vivre et redécouvrir à ses côtés alors que sa main glissait plus sensuellement et de façon plus active sur son intimité. Il le rendait fou, tout comme lui le rendait. Cilian le lui avouait dans une voix si brulante et délicieuse. Il susurra son prénom, ajoutant qu’il le rendait complètement fou. Des aveux qui ne pouvaient que le troubler alors qu’il se laissait embrasser de nouveau. Il sentait son cœur si fou implosait dans sa poitrine. Cilian n’aurait jamais dû les prononcer. Il ne devait pas. Cet instant de folie devait rester silencieux, un consentement mutuel de leur part pour satisfaire une attirance qui ne devait pas exister, être avouée. Il se laissa embrasser, laissant sa main appuyer contre la nuque de Cilian pour le maintenir avec force contre lui, dévorant ses lèvres avec la même ambition. Il ne se contrôlait plus, ses baisers devenant plus sauvages et passionnés, ces caresses plus pénétrantes et rapides. Il sentait Cilian succombait, sa peau frémissante contre son corps, son intimité si ferme et gonflée entre ses doigts. Il avait envie de lui, de le dévorer de ses lèvres. C’est pour cela qu’il vint se désolidariser de ses lèvres pour embrasser sa nuque avec passion, soupirant son prénom avec une voix ô sensuelle.

Il savait Cilian réceptif à cela alors qu’il venait embrasser sa nuque par des milliers de baisers papillon, bien plus intenses que les précédents. Il dévorait sa nuque de ses lèvres, sa main libre glissant contre sa clavicule pour descendre son torse, contourner son torse pour le bloquer contre lui. Leurs poignets se frôlaient dans la cadence érotique de leurs caresses avant qu’il ne vienne relâcher sa prisonnière, capturant la main de son frère dans la sienne pour venir les glisser sur leurs intimités qui se frôlaient, pressées l’une contre l’autre. Il vint gémir contre son oreille, prononçant son prénom dans une voix ô brulante alors qu’il venait glisser son visage contre sa clavicule, les yeux clos, ses lèvres dévorant cette peau à sa portée. Cilian se trouvait tout aussi fébrile qu’il ne pouvait l’être alors que mêlaient à la main de son frère, il venait caresser leurs bas-ventres collés l’un à l’autre, gonflés de désir et si tendus qu’il sentait cet instant de plénitude total approcher à pas. Il ne contrôlait plus ses gémissements, ne cherchait plus à le faire. Il voulait que ses gémissements rendent fous Cilian, le mettent dans un état intense dé fébrilité. Un fait dont il avait parfaitement conscience tant la respiration de Cilian se faisait intense et forte, ses gémissements d’autant plus forts et rauques. Ils devenaient fous, ensemble, plus fusionnels que jamais et il ne pouvait nullement résister à cela. Il était fou de ce corps. Il voulait atteindre cette extase avec lui, il en mourrait de désir et d’impatience.

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Cilian Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Aoû - 21:00

Il le rendait fou, chacun de ses gestes, de ses regards inondaient son cœur d’un feu qui n’aurait pas dû se trouver là. Pourtant c’était bien présent, cette brulure qui n’épargnait aucun membre de son anatomie masculine en réponse à la présence d’Alessandro contre lui, sous son regard. Il se trouvait envouté, ensorcelé par ce corps contre lequel il ne pouvait résister. Ce corps lui était interdit et sans doute d’autant plus attirant et désirable. Il avait passé les heures et des heures à ses côtés, des soirées entières en son unique compagnie et même s’il se voyait peu, sans le moindre incident, heureux de a présence, mais sans laisser aucune place à cette étrange sensation qui prenait place à ses côtés, à ce tiraillement, à ce manque, qui bien que toujours présent, bien qu’habitué se faisait de plus en plus pesant pour le juge dès lors que son esprit ne se trouvait pas occupé par le travail. La présence d’Aemelia à ses côtés le rendait heureux bien sûr, mais il était bien loin d’être aussi accroc à sa présence qu’à celle de son frère. Le jeune homme se sentait terriblement attiré par son ainé, son corps finement musclé de son torse, la douceur de ses bras. Son corps réagissait toujours face à son frère, accélérant son cœur ou nourrissant son cerveau de dopamine par une simple visite. Ce soir, il n’avait pu le faire, pu y résister, à cette force qui l’avait attiré contre lui, contre ses lèvres et son corps, tant qu’il en était là, à l’avouer qu’il le renait fou. Car c’était bien ce qu’il était, un fou attiré par les formes de son frère, cédant à cette terrible tentation qu’était le médecin, l’homme auprès de qui il avait grandi, un attachement profond s’étant installé entre eux et sans doute un peu trop profondément, l’empêchant de garder cette posture fraternelle en ces instants où il s’était trouvé si proche de cette tentation.

Cilian s’en retrouvait là, presque en pleine conscience, mais le corps fou d’Alessandro, debout, nu, face à l’objet de ses désirs. Il l’embrassait avec passion, son cœur battant promptement contre celui d’Alessandro qu’il entendait battre à l’unisson. Le médecin le maintenait contre lui, contre ses lèvres et Cilian n’avait nulle idée de s’en défaire. Il dévorait ses lèvres avec force et passion. Son partenaire venait prendre ses lèvres, plus sauvages que jamais, ses caresses s’accélérant, s’approfondissant. Le jeune homme venait prendre sa nuque comme il avait pris ses lèvres, électrisant le corps sensible de Cilian qui s’extasiait de ce bien-être qui s’emparait de lui. Alessandro savait parfaitement le lui procurer, réchauffer son âme par un simple murmure dans ses oreilles, par de simples baser qui émoustillait Cilian comme aucune autre. Chacun de ses gestes semblait calculer pour lui donner ce plaisir, comme il venait lui rendre la pareille, caressant la partie intime de son partenaire avec envie, autant que le poignet de son compagnon qui éveillait avec autant de volonté son intimité. Il sentit la main du médecin descendre sur son torse, le faisant frissonner légèrement, entre quelques gémissements . Il sentit bientôt la main de son frère venir chercher la sienne sur son intimité. Se serrant l’un à l’autre, liant leur main l’une à l’autre. Des mains qui se réfugièrent sur leurs intimités, les deux amants vinrent les caresser ainsi avec envie et passion. Son frère gémit contre lui, un son si doux à son oreille qu’il en extirpa un soupire d’aise de Cilian. Il sentait les lèvres de son partenaire embrasser sa clavicule avec passion, dévorant sa peau comme de doux sons sortaient de ses lèvres.

Cilian venait de sa main libre, encourager ses baisers par des caresses sur sa nuque et ses cheveux dans des mouvements de plus en lus incontrôlé et ambitieux comme leurs mains unies venaient leur offrir de plus en plus de plaisir agissant à l’unisson tous les deux. Uni par leurs mains, ils partageaient cette chose la plus intime tous les deux, en deux amants tendres et enflammés de désir pour le corps de l’autre. Ils allaient chercher ensemble cette félicité, ce bonheur que chaque caresse, chaque va-et-vient intensifiaient.

Cilian se sentait brulant, ce frôlement venant extasier chacun de ses membres, son visage se perdait sur les réactions de son compagnon, gémissant contre lui sans pouvoir s’en empêcher de plus en plus précipitamment, de plus en plus profondément. Il brulait d’ambition et de bonheur, sentant sa chair exalter avec ses caresses qu’ils s’échangeaient. Cilian se sentait fou, devenir fou et ferme contre son ainé. Le médecin était magnifique à l’approche de l’extase, à l’approche de cet instant de libération dont le besoin venait tant se faire sentir, venait tant se faire désirer comme le corps de cet homme. Il se sentait incroyablement fébrile et excité de cet homme. Il voulait lui faire atteindre l’apogée, le partager avec lui, il en avait envie et la sentait arrivée, il se sentait mené à bout de sa résistance sous les caresses si savoureuses de leurs mains. S’agrippant contre lui, il vint gémir d’un son rauque, profond et puissant comme dans un dernier mouvement de leur main, ils se libérèrent ensemble de leur frustration dans une même mesure. Cilian se sentait envahi de joie, son esprit semblant planer dans une douce joie angélique et luxuriante, un paradis qu’il n’atteignait qu’auprès de cet homme que son regard dévorait, un sourire radieux aux lèvres. Il vint chercher les lèvres d’Alessandro, qui souriait tout autant. Ses yeux pétillaient, radieux en le regardant avec magie. Cilian déposa de tout baiser, résolument heureux, le regard sans doute plus amoureux que jamais il n’avait osé le regarder, se laissant bercer par l’extase du moment. Le jeune homme passait ses mains sensuellement dans son dos, sans oser désunir sa main de celle de son frère, ses doigts profitant de ce contact doux avec l’être qu’il adorait plus que tout. Il n’avait aucun mot pour décrire son plaisir, celui qu’il venait de prendre à ses côtés dans leurs actes intimes, c’était mieux de ne rien dire. C’était un lien sublime, l’instant l’était aussi avec cet être merveilleux dans le cœur de Cilian.
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Alessandro Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeMar 19 Aoû - 23:31


Il savait cette action déraisonnée, tout comme les sentiments qui l’étreignaient pour cet homme. Son cœur se trouvait glorifié dans sa poitrine. Il pouvait l’entendre battre promptement dans sa poitrine, résolument fou. Il l’était de cet homme, de cet être qu’il lui était pourtant formellement interdit de désirer de la sorte. Il le savait. Cela faisait dix ans qu’il s’interdisait de telles pensées, de tels désirs envahir son être pour lui. Pourtant, il était faible face à lui. Il s’était laissé avoir par ce baiser volé, succombant totalement et sans limites à cette terrible tentation que représentait son frère. Sa soif, son désir de lui avait été plus fort que sa raison, le rendant incroyablement fou et ambitieux. Il n’avait pu que se perdre dans cet instant de luxure, l’ayant tant rêvé, tant fantasmé. Il laissait son corps s’exprimer de la façon la plus sensuelle et naturelle qu’il soit, sans timidité, ni gêne aucunes. Il se laissait dévorer par cette luxure merveilleuse, la savourant avec une effusion certaine. Il se sentait si bien contre lui, son cœur s’embrasant face à tant de plaisir. Il savait cela dangereux, en avait cruellement conscience, mais son ambition était bien trop forte pour pouvoir y résister.

Il fondait littéralement à son contact, son cœur tambourinant dans sa poitrine alors que leurs mains s’étaient liées pour s’offrir mutuellement ces caresses coquines et luxuriantes. Il pouvait sentir le corps de Cilian se serrer contre lui, sa main participant à cette communion intime et cocasse de leurs deux intimités. Sa respiration était forte et saccadée, ponctuée par des gémissements de plus en plus forts, de plus en plus envoutants. Alessandro se sentait totalement envouté, submergé par ce flux d’excitation et de bien-être qui l’étreignait. Cet échange était trop intense, trop passionnel et merveilleux pour qu’il se maitrise. Il trouvait son frère bien trop désirable, si magnifique lorsque son corps semblait se perdre dans les méandres du plaisir. Ses narines s’enivraient de son odeur, la trouvant particulièrement plaisante et merveilleuse. Alessandro aimait tant cette peau que sa bouche parcourait avec passion et désir. Il le dévorait entièrement, savourant cet instant comme s’il s’agissait du seul et du dernier qu’il pourrait vivre, même s’il savait qu’ils avaient déjà flanché par le passé. Un souvenir qui avait tant hanté son esprit par le passé et même aujourd’hui.

C’était une folie. Il le savait. Pourtant, sa chair frissonnait contre celle de son frère, devenant de plus en plus gourmande de ce contact qui la rendait ivre de bien-être. Les phalanges de Cilian contre sa nuque se trouvaient plaisantes et merveilleuses tant elles exprimaient le désir de son frère face à ses actions, au même titre que ses gémissements. Des sons érotiques qui rendaient son frère d’autant plus désirable et envoutant. Il le sentait brûlant contre sa chair, son intimité tant exaltée par les frôlements cocasses de leurs mains liées l’une à l’autre. Il sentait ce paradis terrestre s’approcher, devenir de plus en plus proche et intense. Ses prunelles s’abreuvaient de la vue que son frère lui offrait, le trouvant si désirable, si excitant et fébrile. Il sentait sa peau frémir sous ses lèvres, son cœur fou dans sa poitrine. Il n’était pas en reste, son cœur souffrant de palpitations tant l’excitation et son bonheur de vivre cet instant avec lui se trouvaient intenses. La culpabilité se trouvait néanmoins présente, bien que muette, résolument recouverte par cet amour qui l’inondait pour cet homme. Un amour interdit, qu’il devait taire qu’il devait terrer au fin fond de son âme. Pourtant, il se trouvait là, si flamboyant, ne demandant qu’à s’exprimer sans pouvoir le faire. C’était une torture de le contenir, d’autant plus à cet instant où celui-ci s’abreuvait de cette étreinte amoureuse et passionnée qu’ils s’offraient mutuellement.

Il finit par atteindre ce point de non-retour, si intense et effusant, si merveilleux. Une sensation de bien-être total, de bonheur qui l’avait étreint en quelques secondes, fulgurant et envoutant. Il s’était laissé aller dans un dernier râle, sentant son plaisir s’immiscer dans les moindres pores de sa chair comme jamais. C’est le cœur fou et le souffle haletant qu’il laissa ses prunelles fébriles et heureuses retrouver le regard de son frère. Son regard rencontra celui de son frère, envahi de joie, empli de cette effusion luxuriante que seul le désir charnel et partagé pouvait initier au sein de ses entrailles. Le même bonheur qui l’envahissait malgré lui, qui lui donnait l’ambition de se l’accaparer pour toujours. Il le voulait si cruellement. Cet instant qu’il vivait avec lui, à ce moment précis,  il souhaitait ne pas se sentir honteux de le ressentir. Il voulait s’accaparer le cœur de son frère, le rendre fou tout autant qu’il le rendait irraisonné. Une pensée déraisonnée, interdite, contre laquelle il luttait depuis tant d’années. Pourtant, son sourire bienheureux exprimait cette extase qu’il avait connue grâce à lui. Aucune autre personne au monde ne pouvait le rendre aussi fou qu’avec ce genre de caresse. Le souffle court, il se laissa de nouveau embrasser par les lèvres si délicieuses et gonflées de Cilian. Elles étaient terriblement attrayantes et envoutantes et il était bien trop faible pour les rejeter, pas après avoir connu un tel instant magique à ses côtés. Il retrouva avec plaisir le contact de cette bouche, venant participer à ce baiser, remarquant résolument la lueur dans son regard. Une lueur qui vint l’électrocuter tant elle le fixait avec tendresse et amoureux. Cilian se trouvait magnifique, ses prunelles si brillantes de cette émotion qu’il vivait, similaire à la sienne. Un sentiment qu’il ne devait pas ressentir et qu’il cherchait pourtant à avoir de son frère. Pourquoi l’amour était si complexe ? Pourquoi sa raison ne l’intimait pas à résister à cet homme ?

Une raison qui avait tant pris l’habitude de le restreindre dans ses actions, le contraignant à subir ce besoin si intense de le fuir durant tant d’années, car il était fou de cet homme. Il le détaillait avec attention, le souffle chaud, sa chair frissonnant sous le contact de sa main sur son dos. Il déglutit, laissant sa main glisser sur la gorge de son frère, sentant les formes de sa pomme d’Adam glisser sous la texture de son pouce. Il était si beau, si magnifique et pourtant si inaccessible. Sa respiration se fit forte, son cœur battant fortement dans sa poitrine, tandis que leurs mains jointes continuaient délicatement leur mouvement uni pour prolonger cet instant de luxure jusqu’au bout. Ils ne disaient mot, savouraient cet instant pour se détailler avec intensité. Il tentait de reprendre sa respiration, en vain, toujours autant envouté par lui. Il finit par céder à son ambition, venant glisser sa main derrière sa nuque pour venir l’embrasser. Il en avait trop envie. Il ne voulait pas réfléchir aux conséquences, aux raisons qui avaient passé son frère à venir à lui, comme il y a trois ans. Du moins, pas ce soir. Un baiser que son frère lui rendit sans nul gêne, passionné et doux alors qu’ils se laissaient de nouveau portés par leurs désirs, se redécouvrant de nouveau par cet acte charnel qui l’envoutait tellement.

Ils passèrent ainsi le reste de la soirée à s’embrasser et se dévorer de leurs lèvres, de leurs doigts, se découvrant au travers de mils caresses, mils baisers, le souffle court, le cœur fou. Alessandro vint profiter de cette nuit comme jamais, succombant à sa tentation, celle qui le rendait fou de désir et d’impatience pour cet homme qui s’était tant accaparé son cœur. Le lendemain matin, sagement endormi tout contre lui, le réveil fut plus douloureux. Il pouvait sentir le corps nu de son frère tout contre lui, lui offrant une vue merveilleuse sur son visage endormi. Alessandro passa de nombreuses minutes à le contempler, le trouvant incroyablement beau et angélique. Il pouvait sentir sa respiration lente tandis que la sienne s’accélérer. Il se mordait la lèvre, le regard brillant alors qu’il prenait conscience de ce qu’ils avaient fait et ô combien ils avaient fait une erreur. Il sentait son cœur se serrer à cette pensée alors qu’il venait doucement s’éloigner de son frère pour rejoindre la douche. Il vint se positionner devant l’évier, regardant son reflet dans le miroir. Il percevait les marques rougies de sa chair, ses lèvres gonflées d’avoir été trop embrassées. Il se souvenait cruellement de la texture de ses doigts, de ses lèvres sur sa chair, le rendant fébrile alors que son cœur battait la chamade. Il inspira profondément pour tenter de s’éloigner de ces souvenirs qui l’assaillaient, envahissait sa chair.

Il se mordait la lèvre, glissant sous la douche pour tenter de se dégager de cette chaleur qui l’envahissait. Il prit une douche froide pour tenter de reprendre ses esprits, se convaincre d’agir de façon détachée, comme si rien ne s’était passé, tout en sachant que ce n’était pas le cas. Le flux d’eau lui permit d’apaiser les battements de son cœur avant de venir rejoindre sa chambre en boxer. Il y retrouva son frère à moitié endormi, les cheveux en pétard avec une barbe naissante, fine. Il laissa son regard se poser sur lui, observer la beauté de son corps nu, ainsi que les marques rougies de sa chair. Son cœur rata un battement alors qu’il venait lui jeter sa serviette humide qu’il utilisait pour sécher ses cheveux. Pourquoi diable ne pouvait-il pas le considérer comme ce que son cœur d’homme désirait ? « Allez ! On se réveille et on va prendre sa douche, M. le juge endormi. » Il avait lancé ces mots dans un ton amical et doux alors qu’il ajoutait. « Je vais préparer du café, vu ta tête, tu vas en avoir besoin. » Agir comme si de rien n’était. C’était la seule chose qu’il pouvait faire et c’est ce qu’il était en train de faire, se dirigeant vers son armoire pour en retirer un costume, s’habillant pour se préparer au travail, tout simplement, bien que ses phalanges se trouvaient légèrement tremblantes, son corps et son âme bien trop sensible à cet homme, qui était son frère. Un interdit auquel il ne devait absolument plus toucher, sous peine de se bruler les ailes.

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Cilian Murray
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MessageSujet: Re: (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray   (fini) What a surprise! what's the hell ? | PV Cilian Murray - Page 2 Icon_minitimeDim 24 Aoû - 0:37

L’instant était résolument magique, merveilleux pour le jeune homme, cette délivrance contre le corps de son frère, simplement uni par leurs mains qui se tenaient et leurs lèvres, pourtant Cilian le ressentait comme une véritable union de leurs âmes. Le juge se sentait submerger de bonheur et de bien-être, le paradis coulant dans ses veines, y explosant enivrant l’esprit voletant de légèreté et de joie. C’était une jouissance éclose de leur union, de leur simple caresse coquine entre leurs deux personnes qui n’aurait pas dû se joindre l’une à l’autre. Ils venaient de le faire pourtant développant un feu dément en son cœur, sa petite amie ne pouvait nullement s’ enorgueillir de lui avoir donné autant de plaisir par ses simples caresses, de recevoir la moitié de ce qu’il offrait naturellement à cet homme qui se trouvait contre lui. Il restait contre lui, continuait de l’embrasser refusant de laisser sa conscience se réveiller de ce rêve. Ce lieu idyllique dans lequel il s’enveloppait, blotti contre le corps de son partenaire d’un soir. Il ne voulait nullement le quitter, s’échapper de sa chaleur, du contact de ses muscles, se complaisant simplement dans cette présence. Il n’avait aucun mot pour s’exprimer, aucun n’avait l’autorisation de franchir ses lèvres et c’est silencieux qu’il restait ainsi, profitant encore un peu de ses lèvres, de son corps. Déjà les mots prononcés plus tôt prêtaient à confusion, trop fort, trop intime, ils trahissaient son attachement, son envie, la passion de son corps pour son frère et aurait du se trouver banni de ses lèvres. Trop tard pour les retirer, l’émoi qu’il ressentait contre l’autre pourtant devait rester une attirance indicible, silencieuse, et certainement pas assumée au travers de ce genre de phrase. Aucun mot ne sortit plus de ses lèvres, ni pour dire combien cela s’était dévoilé splendide, ni que c’était un incident qu’il ne devrait jamais réitéré. C’était merveilleux et un petit rien, à peine une trahison de sa petite amie tant qu’il se taisait. La soirée défila ainsi, dans les bras de son frère, dans sa tendresse entre enlacement fraternel et baiser amoureux. Aucun des deux ne semblait prêt à sortir de cette torpeur qui entourait leur esprit, ne les paralysait contre le corps de l’autre. Cilian restait, blotti contre le beau corps sexy de son frère et l’accompagna toute la soirée dans de doux câlins. Ils avaient rejoint le lit de son ainé ensemble s’y endormant ensemble, l’un contre l’autre, dans de tendres étreintes.

Cilian avait fini par clore les yeux, submergé par la fatigue d’émotion journalière que cette luxure avait magnifiée, comme une réponse à ses questions, à ses hésitations. Il avait la réponse sous les yeux, il lui suffisait de la voir, de la recevoir comme telle pour plonger par la porte qu’elle lui ouvrait. Tous les secrets, les hésitations s’éclaircissaient à la lumière de cette soirée, de sa manière de succomber à l’homme qui était son frère, celui qui avait été adopté par sa famille comme un fils et qui le rendait interdit même si aucun lien de sang n’existait entre eux deux. Il s’était rencontré quand ils avaient tous deux sept ans, rien ne pouvait vraiment les différencier d’ami. Il ne se ressemblait même pas physiquement et les gens s’étonnaient toujours de les entendre dire qu’ils étaient frères. Ils s’aimaient ainsi bien sûr, Cilian l’aimait même plus. Ce soir en était la preuve, chaque nuit de luxure en était la preuve, mais il y restait aveugle, s’endormant apaisé contre lui, le retrouvant dans ses rêves sas avoir avancé dans ses questionnements internes, sans même la moindre culpabilité. Il s’endormait contre son frère, heureux, mais aveugle.

Il avait entendu son ainé se lever, mais ne quitta pas les draps doux et chaud du lit, réclamant de dormir encore un peu, tranquille et serein dans ce lit. C’était simple alors, de n’être que dans ce lit, de ne penser à rien sans affronter le réveil, le souvenir de la nuit d’avant. Il ne voulait pas émerger du cocon insouciant dans lequel il se trouvait. Dormant encore à moitié, bercé par l’eau de la douche, seul son sur lequel il se concentrait avant d’entendre son ainé revenir et lui lancer une serviette sur le corps. Il laissa échappe un léger grognement témoignant de la difficulté et la réticence qu’il avait à sortir de son lit. Il vint lui dire de se réveiller et d’aller prendre sa douche , lui Mr le juge endormi. Nouvelle plainte mignonne comme son ainé venait lui annoncer qu’il allait préparer du café, car vu sa tête, il en avait besoin.

« — Elle a quoi ma tête ? » murmura t’-il d’une voix encore endormie et peu convaincante. Il se releva pour s’asseoir sur le lit et regarda autour de lui, plissant les yeux attaquer par la lumière de la pièce, cherchant ses vêtements pour se rhabiller du regard. Il se mordit les lèvres, son regard croissant le dos nu d’Alessandro, un objet tentateur, mais intouchable. Il devait reprendre ses esprit, une douche froide lui ferait du bien, clore cette parenthèse qui ne devait se réitérer. Il se leva en utilisant la serviette qu’avait lancée son frère pour couvrir sa partie intime et se diriger vers le salon. La comme si de rien était, il ramassa ses vêtements étalés sur le sol auprès de ceux de son frère. Il ne dit rien et passa auprès d’Alessandro en silence, comme tout autre matin, dirigeant son regard ailleurs que sur cet homme qu’il trouvait magnifique. Il devait éclaircir ses idées, son cœur, passer sur la nuit dernière, faire comme si. Il n’y avait rien eu, rien de tout ça ne pouvait exister entre eux, c’est ce qui se martelait dans son esprit. D’autant plus qu’il avait sa petite amie. Il entra dans la salle de bain et se doucha, laissant l’eau coulant laver sa trahison effacer les traces de son frère sur son corps, la caresse de ses mains, l’odeur de son parfum qui restait ancré dans ses narines. Une douche pour effacer qu’il avait tromper sa petite amie avec l’être le plus improbable.

Cilian sortit de la douche et s’habilla, enfilant ses vêtements après avoir rapidement lavé magiquement ses sous-vêtements de la veille n’ayant pas pris de change. Il rejoignit son ainé dans le salon en venant lui sourire, comme n’importe quel matin, aucune gêne ne marquait son regard même si le souvenir de la veille ne le quittait pas. Il s’installa à sa table en disant qu’il avait bien besoin d’un café.

« — Tu bosses quand aujourd’hui, je ne sais jamais avec tes horaires bizarres . » Il lui sourit comme il se faisait servir un café et c’est auprès de celui-ci qu’il vint ajouter mine de rien.

« — Je dois voir Aemelia ce soir, après le travail, je lui parlerais de la décision qu’on a prise hier tous les deux je pense qu’elle comprendra. J’espère. Je n’ai pas grand-chose comme affaire, mais si tu n’a pas le temps pour m’accueillir aujourd’hui, je peux attendre la fin de semaine pour m’installer ici, ce serait cool. » il sourit en buvant son café, avant de regarder sa montre, constatant qu’il était temps pour lui de filer au bureau sans quoi il serait en retard pour son premier rendez-vous de la journée. Il finit rapidement son café et remercia son frère pour la nuit en venant très naturellement lui toucher les cheveux, comme si de rien n’était. Fuyant tout de même de rester à son contact, auprès de lui pour reprendre ses esprits, se rabâcher à nouveau qu’il s’agissait de son frère et que c’était à nouveau l’erreur d’une fois.

-FIN-
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