Qui je suis ? Je suis Oscar O’More, O’More venant de Ó Mordha qui veut dire majestueux. Oui rien que ça! Est-ce qu'un lointain ancêtre sorcier était si "Majestueux"? Peut être de la noblesse? ... Hm... j'en sais rien, bien que du côté de mon père ce ne sont que des sang-pur alors c'est possible. Haaan en faite c’est pas important, on s’en fiche, c’est de moi que je dois parler avant tout.Alors hm que dire ? Ha bha oui je suis un sorcier, 25 ans et toutes mes dents. Je suis fils unique, mon père est sorcier ma mère moldu. Je ne connais pas mes grands-parents, ni mes cousins et arrières cousins, Oncles et Tantes, enfin je connais personne d’autre que mes parents. Toute façon on n’a pas besoin d’eux pour s’en sortir, il ne me manque pas. Je suis assez fort et je peux l’être encore plus pour ma mère.j’ai failli avoir un petit frère ou une petite sœur, mais malheureusement ma mère a perdu le bébé. J’avais que 8 ans, je savais que c’était grave mais je n’avais pas compris l’ampleur de la perte, je pensais un peu égoïstement, comme le sont tous les jeunes enfants, de lui suffire. Pauvre maman, elle a mis du temps à ne plus pleurer. C’est là que j’ai commencé à jouer de la musique pour la faire sourire. Ça marchait à chaque fois pendant le morceau, puis avec le temps il n’était plus nécessaire de faire des mélodies pour qu’elle soit heureuse, mais elle aimait toujours m’entendre jouer alors j’ai continué. Depuis je crois que je m’en sors plutôt bien, je maîtrise plusieurs instruments et je compose mes propres chansons. Alors maintenant le soir j’interprète mes œuvres ou d’autres populaires dans un pub, cela me permet de me faire un peu plus de sous et puis si ça plaît aux gens c’est encore mieux.Mais je ne fais pas que ça, je bosse aussi dans une libraire sur Wincap, c’est un bon job, le patron est plutôt sympa.Halala mais je fais ma présentation n’importe comment là, je parle de mon métier et de Wincap avant de parler de ma scolarité et comment je suis arrivé ici, désolé.Alors à onze ans j’ai reçu ma lettre pour l’école Poudlard. Mes parents se doutaient que j’étais sorcier comme mon père, moi j’avais encore peur d’y croire, bien que malgré moi j’en aie fait des choses bizarres… Je vous ai pas raconté encore la fois où j’ai sans faire exprès fait sauter le verrou du réservoir à fumier et qu’un enfant moldu qui me persécutait c’est retrouvé couvert de m… Oui, bon, j’arrête de m’égarer.Donc j’ai reçu ma lettre et j’ai intégré l’école, la cérémonie du choipeau et tout le tralala, enfin vous savez hein ? Quoique si seulement vous veniez de Poudlard c’est vrai. Mais bon j’ai intégré une des maisons « Gryffondor » et j’ai obtenu mes buses et puis mes Aspic avec d’assez bonnes appréciations. Tant que mes parents étaient fiers j’étais content.Ensuite une fois adulte et diplômé, il a bien fallut que je puisse vivre,  j’ai fait beaucoup de petit boulot sur le chemin de traverse, jusqu’au jour où on m’a parlé du projet Wincap. C’était fantastique, je voulais pouvoir moi aussi en être, m’installer et peut-être enfin pouvoir mener ma vie comme j’ai envie, comme je l’entends, sans crainte d’être diffère dans tous les sens du terme. Alors me voilà dans cette city depuis quelques temps, comme j’ai dis plus haut, je travail dans une libraire et le soir j’anime un pub avec ma musique.Je mets beaucoup d’espoir dans cette capitale secrète, de pouvoir y être heureux, d’être vraiment moi à 100% sans aucune honte et puis surtout que mon père soit fier de moi et ne jamais faire pleurer ma mère

Il était une fois, un jeune sorcier qui tomba amoureux d’une jolie moldu, de cette union improbable pourtant, naquit Oscar, un joli enfant blond, un beau tableau de famille et une histoire qui s’annonçait sous les meilleurs auspices mais pas autant que ça au final. L’amour bien que parfait, n’était pas sans son lot de problème. Un sorcier, une moldu, et la religion, trois obstacles se dressant face à eux. La foi et les diableries, privèrent la jeune mère de ses parents, de ses proches. La famille du père toujours de sang pur, renia totalement leur fils, une moldu comme belle-fille . Non mais vous rigolez ! Renié, totalement isolé de leurs familles respectives, il eut bien du chagrin et de la colère pendant quelque temps sur cette toute neuve famille. Mais ils étaient des parents courageux, s’appuyant sur leurs sentiments, ils firent face à cette absence de soutien pour construire leur vie. Ils s’efforcèrent en tout cas qu’Oscar n’en souffre pas trop et qu’il puisse au mieux grandir. Évidement ils lui expliquèrent dès qu’il fut en l’âge de comprendre, pourquoi il ne pourrait jamais voir ses grands-parents. Souffrait-il de tout ça ? Ils ne le surent jamais, ils redoublèrent d’amour pour cet unique enfant. Hélas la mère enceinte d’un autre enfant, le perdit en couche et des complications s’en écoulant, elle n’aurait plus jamais l’occasion d’enfanté. Un autre drame qui bouleversa la petite famille, encore plus seule que jamais, mais se serrant les coudes à trois. Oscar petit bonhomme de huit ans s’était promis de ne plus jamais voir sa mère pleurer et s’isoler comme elle avait pu le faire autant de mois, son deuil interminable d’un regard d’enfant, semblait long et tellement difficile à comprendre.

La vie continuait, Oscar allant à l’école, son père si particulier très occupé dans un travail « secret » dont il ne devait jamais en parler à ses camarades. C’était leur petit secret à tous les trois, il avait fait le serment du petit doigt avec lui. Sa mère demeurant un peu fragile après la perte de son deuxième enfant, demeurait à la maison et gagnait un peu plus de sous en offrant ses services de couturière. Dans une petite ville comme Clifden, c’était un trésor d’avoir une femme avec un tel talent de couture. La vie rude et le taux de chômage ne permettaient pas toujours de s’offrir de beaux vêtements, il y avait d’autres priorités plus importantes, alors cette chère Eileen était très demandé pour réparer ou confectionner un vêtement pour pas trop chère. En tout cas, ainsi ils arrivaient à s’en sortir modestement, plus fort que jamais tous les trois.

Arriva l’anniversaire « spécial », depuis quelque temps le père observait son fils, malgré lui Oscar provoquait des bêtises bizarres quand il était sujet à de vives émotions. Fréquemment la maîtresse d’école laissait un mot dans son cahier, ils furent régulièrement convoqués, il fallait s’en rendre à l’évidence, Oscar en était un aussi. Mais ils attendirent le fameux jour de son onzième anniversaire. Il n’y avait pas d’école de sorcellerie en Irlande, comme son père avant lui, dès minuit passé, un hibou se présenta à la fenêtre avec accrocher à sa patte la fameuse lettre de Poudlard.
Oscar sautilla sur place, tellement ravi d’être « comme papa, spécial », il allait lui aussi étudier la magie. Impatient, effrayé un peu, exalté, et inquiet, c’est son père qui l’accompagna sur le chemin de Traverse pour ses premiers achats. Il lui paya son joli hibou grand Duc qu’Oscar nomma tout fièrement « Boru ». Voilà le blondinet était prêt pour faire ses armes à Poudlard et devenir un aussi grand sorcier que son papa.
Sa scolarité dans la célèbre école ne fut pas toute rose et facile. Le jeune apprenti sorcier apprit que le rang du sang compte beaucoup pour eux, qu’il existe une aversion importante chez certains pour le « métissage », pourquoi ? Qu’est-ce que cela avait d’important ? De sang-mêlé il dut se battre pour ne pas se faire marcher sur les pieds. La nature de certains autres jeunes sorciers était vraiment très discutable. Mais Oscar ne voulait pas se laisser faire, s’il fallait aussi se battre de temps en temps, il était prêt. Des séjours à l’infirmerie, d’autres en retenues pour avoir jeter quelques sortilèges sur ses assaillants. Faisant ses preuves, apprenant, étudiant au fur et à mesure de ses années dans la seconde maison qu’il s’était fait à Poudlard, il avait appris à être moins naïf. Autre difficulté aussi qu’il lui tomba dessus, sa vie sentimental et son orientation sexuelle. Là aussi il s’en prit des claques, au sens propre comme au sens figuré.
Son père à chaque vacance, lui rappelait sans cesse qu’il devait rester lui-même quoi qu’il en coûte et que chaque épreuve nous rend toujours plus fort et plus vaillant.
Il essaya d’appliquer cette devise même si de temps en temps régler ça à coup de poing bien fort dans le ventre de l’autre avait quelques choses de très « satisfaisant ».

Malgré cette scolarité un peu chaotique, Oscar passa ses buses et ses aspics avec des appréciations et notes des plus favorables. Il n’était pas le meilleur certes mais pas loin après en tout cas. Fier d’avoir fait ses preuves, il était temps pour lui de commencer sa nouvelle vie. Il commença par quelques petits boulots comme serveur au chaudron baveur, soignant et nettoyant les cages des animaux à la ménagerie magique et puis assistant vendeur chez fleury et bott sur le chemin de traverse. Encore une fois il réalisa qu’être sur-exploité n’était pas forcément qu’une réalité chez les moldus, dans le monde sorcier, il était aussi facile de prendre un jeune diplômé pour un sot ou du moins essayer. Peut-être pour ça que chez certains commerçants il n’y resta pas très longtemps, avec son franc-parler, il connut les joies d’être licencié. Loin de perdre totalement courage, un peu beaucoup effronté le blondinet, il tentait toujours un petit job ailleurs. Il gardait le moral et il avait surtout sa passion dont on n’a pas encore dévoilé la nature dans cette rétrospective. De ses origines, la musique est très importante, justement pour faire sourire sa maman dans sa longue période en peine, il avait appris à jouer de la flûte gaélique (au début), puis développant un certain talent et se découvrant une bonne oreille, il se mit à jouer d’autres instruments. Depuis  se poser dans un coin et jouer une petite chanson où deux luis plaisait, même en pleine rue, devant un petit attroupement. Il ne se considérait pas comme un artiste, juste un esprit créatif appréciant faire sourire et danser (lui qui danse si mal pourtant) le plus de monde, même si son meilleur public demeure évidement son père et sa mère.
Oscar a maintenant 25 ans et il a intégré Wincap, le projet lui plaisait, peut être même qu’il lui serait plus facile d’être lui-même. Il loge dans un petit appart qu’il paye en travaillant dans une librairie. Mais il joue aussi le soir dans les pubs pour quelques dizaines de mornilles supplémentaires, animant l’ambiance avec ses petites compositions musicales.

Cher citoyen, WINCAP est résolument ravi de t’accueillir au sein de sa communauté. Comme tu l’as sans doute remarqué, ta baguette t’a désigné une communauté, celle auprès de laquelle tu feras tes premiers pas dans la ville. Sache qu’il s’agit d’un élément indispensable à ta bonne intégration ici. Tout comme toi, de nombreux sorciers vont faire leurs premiers pas à tes côtés, au sein de cette ville hors du commun. Qu’importe les raisons qui t’ont amené jusqu’à WINCAP, personne ne te jugera, car ici, on a une devise : l’unité des peuples fait celle des cœurs. Alors, prépare-toi à vivre une aventure exceptionnelle, inoubliable où peut-être apprendras-tu à en savoir plus sur toi-même, sur ceux qui t’entourent. Quoi qu’il en soit, le monde de WINCAP s’offre à toi et nous te souhaitons une bonne aventure parmi nous !

« Félicitations ! Tu fais désormais partie de la communauté des Obsidian Bear, dont l'ours est l’animal protecteur. Sois digne de porter ses couleurs et agit en tant que bon citoyen pour faire briller ton emblème !

Te voici enfin validé, petit(e) sorcier(e) ! En tant que citoyen de WINCAP, tu peux désormais postuler pour devenir membre de l’équipe de Quiddich de ta communauté. Afin de ne pas dormir dans une ruelle paumée de la ville, tu peux enfin réserver ton appartement ou ta maison et créer ta fiche de lien. Pour finir, n’oublie pas de remplir les différents éléments dans ton profil et ton Magic Diary. De plus, il est vivement recommander de venir référencer son patronus et découvrir comment aider ta maison dans le tournoi des communautés. Dans tous les cas, nous te souhaitons une bonne aventure parmi nous !!!